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Romance interdite [Décatis Cryptinna]

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Juliette Beaumont

Humain(e)

Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 60 mardi 11 novembre 2014, 01:51:37

Juliette ouvrit les lèvres, et accueillit le morceau de viande, les joues rougies par la gêne et par le plaisir... Un plaisir grandissant, face auquel, par manque d’expérience, elle ne pouvait tout simplement rien faire. D’une main, Décatis la faisait manger, comme une mère nourrissant son bébé, et, de l’autre, elle sentait contre ses bas, puis contre sa peau, ses doigts gantés, les bagues de la femme griffant délicieusement sa peau, provoquant de magnifiques paradoxes entre la douceur de son gant, le crissement du cuir, et le frottement des bagues. Juliette avait le feu entre ses cuisses, un feu brûlant et vibrant, comme un volcan sur le point d’entrer en éruption. Elle gémissait et soupirait, tournant légèrement sa tête, son dos l’élançant. Tout son corps était sur le point de craquer, ses muscles tendus à hauteur de ses jambes, et, pourtant, elle se sentait tellement bien... C’était merveilleux, et elle continuait à manger, gémissant, ouvrant mécaniquement les lèvres et les refermant sur la fourchette, en continuant à soupirer. Difficile de remuer son corps, avec toutes les sangles qui immobilisaient ses membres. Elle ferma les yeux en soupirant, rouvrant les lèvres, regardant à nouveau la femme. Ce que Juliette vivait en ce moment était magnifique. Aucun mot n’était suffisamment fort pour décrire ça, pour indiquer toute la puissance de son plaisir. La fourchette de Décatis remuait lentement. Elle découpait la viande par de touts petits morceaux, et Juliette couinait et gémissait, ne pouvant la repousser, ne pouvant lutter les vagues frénétiques de plaisir qui montaient en elle.

Aucun mot ne suffisait à résumer le plaisir qu’elle ressentait avec suffisamment de force. Se pinçant les lèvres, elle sentait sa poitrine lui faire également mal, ses tétons pointant contre son corset, soulevant un peu ce dernier. Ses joues étaient rouges, elle soupirait lentement, et sentit alors la femme retirer son gant. Ses doigts s’étaient rapprochés dangereusement de son intimité, et, au stade où Juliette en était, chaque caresse du vent sur sa moule faisait trembler son corps. Elle se pinça les lèvres et sentit ensuite la femme commencer à la pénétrer avec son doigt.

« Haaaaaa... »

Elle n’arrivait pas à parler, sa bouche étant toujours pleine, et Décatis passa ensuite au dessert, enfonçant alors deux doigts en elle. Juliette devait se contrôler, afin de réussir à bien ingérer ce que l’enchanteresse, sa Maîtresse, sa délicieuse et magnifique Maîtresse, lui faisait. Son corps vibrait, ses yeux s’écarquillaient, et le plaisir... Oh, ce plaisir, ce plaisir ! Elle s’y abandonnait, elle s’y perdait, sans comprendre comment un tel plaisir était possible. Ses doigts se serraient compulsivement, son regard se perdait au loin, et elle sentait comme de violents spasmes recouvrir l’intégralité de son corps, la traversant de haut en bas, l’atomisant sur place. C’était un plaisir névralgique, d’une toute autre ampleur. Un plaisir immense, jouissif, merveilleux, exquis... Tous les superlatifs possibles se mélangeaient dans la tête de la jeune femme.

Juliette finit ainsi par connaître son premier orgasme. Son corps éclata comme une partition, atteignant le point d’orgue final, l’ultime note, et elle se vida, sentant tout son être disparaître, fondant contre les doigts de Décatis. Elle avait l’impression de lui pisser dessus, mais, pourtant, ce n’était pas de l’urine... N’étant pas totalement ignare, elle savait de quoi il s’agissait, et elle poussa de longs gémissements en jouissant.

« HHHUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUNNN-HMMMMMMMMMMMMMMMMMMM !! »

Elle soupira encore, et rouvrit les yeux, la respiration lourde et précipitée. Plutôt que de lui répondre, de la rassurer, sa Maîtresse partit alors, et Juliette soupira, restant suspendue au lit. Elle venait de jouir. De jouir ! La jouissance... L’orgasme... Elle en était donc capable ? Elle pouvait donc réellement jouir, elle aussi ? Juliette en était sincèrement perturbée... Mais c’était un trouble positif. Elle observa ses jambes, soupirant, clignant des yeux. Son corps était encore en feu, et elle sentait la caresse du vent sur son sexe, caressant sa vulve, la faisant soupirer et gémir. Elle se mordilla les lèvres, regardant autour d’elle.

*Ohlàlà, c’est si bon...*

Elle savait que sa Maîtresse allait revenir, et… Sa Maîtresse. Quelle chance ! Elle avait une Maîtresse ! N’importe quel membre de sa famille en aurait été horrifié, mais, dans cet état de plaisir, Juliette ne pouvait pas se mentir à elle-même : elle adorait ça. Le plaisir qu’elle avait ressenti était immense. Elle serra les doigts, et commença à remuer un peu les pieds. Elle éprouva la résistance des sangles, et, avec un sourire amusé, s’amusa à tirer sur les sangles, juste pour sentir ses bras immobilisés. C’était... C’était exquis ! Le pire, c’est qu’elle ne pouvait pas expliquer en quoi, mais elle adorait tout simplement cette sensation... Être captive, immobilisée, retenue. C’était le paradoxe de la prisonnière. Sa liberté était restreinte, sa liberté de déplacement, et, pourtant, loin de se sentir agacée, ou repoussée, le plaisir qu’elle éprouvait était immense. Sans s’en rendre compte, Juliette était en train d’expérimenter les joies du bondage, dont le plaisir de cette technique résultait tout particulièrement autour du fait d’être immobilisée dans des positions inconfortables, afin que plaisir et douleur fusionnent Le sexe n’était rien d’autre qu’une fusion de sentiments paradoxaux et contradictoires, et le bondage était l’une des manières les plus parfaites de manifester ces oppositions

Maîtresse Cryptinna revint alors, et Juliette rougit Elle la vit se déplacer, et s’asseoir face à elle Juliette ne voyait rien d’autre que son nombril, mais elle la sentait, devant elle, observant son intimité... La cyprine de Juliette glissait le long de son sexe sur ses cuisses, tombant le long de son dos, attirée par la gravité. Sa Maîtresse mangeait... Et lui donna alors des ordres. Juliette hocha la tête en clignant des yeux, et répondit assez rapidement :

« Je veux être votre esclave, Maîtresse... Je veux que vous m’appreniez les joies du sexe, les joies de la soumission, et je veux aussi être votre élève. Faites de moi votre chose, Maîtresse... »

La relation dominante/dominée était compliquée... Mais, pour le coup, Juliette avait le sentiment que quelqu’un tenait vraiment à elle. En ce moment, elle tenait alors plus à sa relation avec sa Maîtresse qu’à sa propre famille ! Un grand sourire orna ainsi ses lèvres, et elle poursuivit, pleine de bonheur, les yeux fiévreux :

« J’aime tant être votre esclave, Maîtresse... C’est si plaisant... »
DC d’Alice Korvander.

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Décatis Cryptinna

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Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 61 lundi 24 novembre 2014, 11:10:58

Mangeant sa viande tout en regardant le résultat de cette séance teste, Décatis attendait la réponse de son élève. Juliette ne tarda pas à affirmer sa conviction. Comme elle lui avait demandé, il n’y avait pas hésitation, pas de de timidité. A crois que la jouissance avais brisé ses barrière, c’était même limite un peu trop déballer. Enfin au moins son envie était claire.

-Bien parfait ma petite soumise, je vais prendre soin de toi. J’ai pas mal de chose à te faire découvrir. Sa te fait un secret important gardé. Tu sais que garder un secret est une première étape pour apprendre à se maitrisé ? Il faut être capable de surmonté l’envi d’en parler, savoir contrôlé sa curiosité.

Continuant à lui parler donnant quelque petit conseil de base, Décatis continua son repas la regardant attaché et encours couverte de mouille.

-Et si tu me parlais de tes envies ? Tu es une novice, mais je suppose que ton imaginaire à travailler non ? Puis vivant aux milieux de démon tu as du voir des choses. Raconte-moi ce qui te plais, ce qui te fait envi ce qui t’excite
.

Son propre repas se termina rapidement, le verre de sang lui avait déjà apporté l’essentiel de son régime. Elle se leva continuant à l’écouté et déposa sa vaisselle sur un table. Ensuite l’enchanteresse se déplaça venant à côté de sa soumise attaché de façon d’être entièrement à sa vue. Décatis releva une partie de sa robe pour venir poser une jambe sur le lit. Elle retira d’abord la botte et ensuite de façon volontairement sexy, elle fit glisser son bas le long de sa jambe pour mettre cette dernière à nue. Débarrassé de tout ça, elle monta à son tour sur le lit et se plaça face à son élève. Avec son pied maintenant nu, elle lui caressa ses jambes avec douceur. Petite à petit, elle rapprocha son pied de l’intimité de Juliette et fini par la caressé, venant le recouvrir de cyprine de la jeune fille. Son pied une fois trop couvert, elle s’étira et apporta se dernier à la bouche de Juliette.

-Nettoie moi ça et dit-moi si ce n’est pas une bonne chose. Crois-tu que ça le gout d’une bonne soumise ? Pense tu que ça le gout pour être gouté par se Maitresse ?

Son pied correctement léché, elle repartie à l’assaut du sexe de la jeune fille. C’était plaisant de pouvoir faire ça, la situation l’excitait elle aussi. Ses propres relations sexuelles étaient rares en ce moment, si bien qu’elle pensait aller faire un tour dans des établissements pour ça. Mais maintenant que Juliette était là, demandant qu’à être formé à l’enchantement et à la soumission, pouvoir être que se besoin se fera moins sentir. Tout cela était bien prometteur.


Juliette Beaumont

Humain(e)

Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 62 jeudi 27 novembre 2014, 01:13:07

Ligotée, Juliette ne pouvait que se laisser faire, et continuait à reprendre son souffle. Elle avait franchement avoué ce dont elle avait envie, et elle-même se surprenait de sa franchise. L’orgasme avait eu une sorte d’élément déclencheur en elle, comme un déclic… L’enchanteresse en formation avait compris qu’elle aimait ça, qu’elle était profondément une jeune femme appréciant la soumission. Elle était la honte de sa famille, et s’en moquait. En ce moment, elle l’admettait sans ombrages, sans difficulté, et avec une passion vibrante sur le bord des lèvres. Maîtresse Décatis lui expliqua alors que cette relation devait être secrète, que sa famille ne devait surtout pas être au courant, et Juliette acquiesça en hochant la tête.

« O-Oui, Maîtresse… Je… Cette relation ne… Ne concernera que nous deux… »

En aucun cas, Juliette ne comptait en parler à sa famille. Ses sœurs se moqueraient d’elle en apprenant que Juliette aimait se faire traiter comme une esclave, et sa mère ne supporterait pas une telle humiliation, un tel déshonneur au nom des Beaumont. Le stage serait totalement terminé, et elle ne reverrait plus jamais Décatis… Elle n’avait donc que de bonnes raisons de ne rien dire, et de s’assurer que personne ne le saurait. Oui, Juliette ne dirait rien, et ce serait un amour secret… Elle était pour l’heure encore trop enfiévrée et trop heureuse pour se dire que, sur le long terme, cette romance secrète risquait de poser des problèmes. Pour l’heure, tout ce à quoi son esprit embrumé songeait, c’était qu’elle était heureuse ainsi, heureuse de sentir ses jambes être tendues et tirées au-dessus de sa tête, heureuse de se sentir dans cette position improbable, de sentir tous ses membres être tirés. Décatis était terriblement douée, et venait de montrer à Juliette que le bondage était clairement une chose qu’elle aimait… Ça, et le fétichisme. Ses fantasmes s’affirmaient clairement maintenant, Juliette admettant ce qu’elle était.

Sa Maîtresse lui posa alors une question concernant ses envies, et Juliette s’humecta les lèvres. Elle rougit un peu. En un sens, le fait de ne pas voir sa Maîtresse, dont le corps était obstrué par la vue de son bassin, l’amena à se confier plus facilement :

« J’aime être votre chose, Maîtresse Décatis… J’aime que vous m’attachiez, que vous me priviez de mes sens, et que vous me caressiez… J’aime tout simplement être votre esclave, Maîtresse, et que vous me traitiez ainsi… »

Juliette avait bien d’autres envies, bien entendu, mais elle n’osait pas les admettre. Elle avait vu et entendu bien des choses avec ses sœurs. Izaël, notamment, avait des goûts sexuels très osés, n’hésitant pas à fouetter longuement ses esclaves, et Joan, de son côté, était une perverse incroyable. Si Juliette n’avait jamais vraiment participé aux jeux de la jeune femme, elle savait que Joan organisait des orgies avec ses esclaves, en les frustrant. Elle les attachait comme des objets, et les pauvres femmes regardaient Joan se faire prendre pendant des heures… Ou alors, elle attachait les mâles, et attendait qu’ils soient bien excités pour les lâcher. Les mâles en rut la défonçaient, et Joan hurlait comme une folle. Elle s’amusait follement avec ses deux esclaves, qui participaient toujours à ses orgies. À bien y réfléchir, Joan serait peut-être la seule de ses sœurs à qui, dans l’absolu, Juliette pouvait confier cette histoire… Mais elle s’y refusait. Pour l’heure, cette histoire se devait de rester secrète, de ne concerner qu’elles, et rien qu’elles.

Maîtresse Décatis finit par revenir à l’assaut, et posa sa jambe sur le rebord du lit. Juliette tourna la tête, et vit lentement Décatis ôter sa longue botte, puis le bas se trouvant dessous, découvrant ainsi son pied nu. Elle avait agi lentement, faisant frémir la jeune femme, l’excitant délicieusement. Se pinçant les lèvres, Juliette serrait les poings, voyant ce magnifique pied… Qu’est-ce que Décatis lui préparait ? La réponse ne tarda pas à venir. Sa Maîtresse déplaça, et leva son pied, s’en servant pour caresser le corps de la femme, jusqu’à atteindre son intimité. Sa Maîtresse révéla plutôt agile, et Juliette se mit à soupirer. Elle était déjà émoustillée, très excitée par ce qui se passait autour d’elle, et cet attouchement ne fit rien pour la calmer, continuant à l’exciter davantage. Elle soupirait de plaisir, ne trouvant rien à dire, rien à faire d’autre que gémir et soupirer longuement. Décatis finit par se retrouver avec le pied rempli de cyprine, puis l’approcha des lèvres de Juliette, qui déglutit devant l’ordre de cette dernière :

« Nettoie moi ça et dit-moi si ce n’est pas une bonne chose. Crois-tu que ça le goût d’une bonne soumise ? Penses-tu que ça a le goût pour être goûté par se Maîtresse ? »

Elle déglutit, et entrouvrit les lèvres, puis pencha la tête en avant, venant lécher ce pied. Ses joues rougirent légèrement, et on pouvait l’entendre soupirer et gémir, alors que sa langue glissait sur ce pied… C’était un pied délicieux et savoureux, que Juliette mordillait parfois tendrement. Sa langue continuait à filer le long de sa peau, et elle suçait, embrassait, avalant énergiquement cette mouille en abondance, qui débordait parfois sur son menton. Elle léchait activement, savourant ce contact, ne laissant finalement plus sur le pied de sa Maîtresse que sa salive, et un beau sourire, radieux, éclaira son visage, ainsi qu’une lueur pleinement épanouie brûlant dans le firmament de ses yeux.

« Je… Hum… C’est… C’est merveilleuuuuxxx !! »
DC d’Alice Korvander.

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Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 63 lundi 08 décembre 2014, 11:15:30

Décatis se laissa délicieusement léché le pied, c’était agréable et un classique pour montrer la place de la soumise par rapport à sa maitresse. Bon elle manquait  clairement d’expérience en la matière, mais après tout cette petite semblait expérimenter le sexe pour la première fois. Tout ça sa s’apprenait avec le temps et l’expérience. Elle avait encore tant de chose à apprendre comme le fait de répondre quand on lui demande quelque chose.

-Quand je te pose une question j’exige une réponse. Sinon les choses n’évolueront pas.

Elle retira son pied de sa bouche le tenant à sa vue le laissant le regardé avec envie. Après une bonne minute à la faire espérer, elle remit son pied sur son intimité la caressant, allant jusqu’à enfoncer un peu les orteils à l’intérieur. Son pied suffisamment recouvert à son goût, elle l’apporta de nouveau à la bouche de sa soumise.

-Alors ? Ça le gout d’une bonne soumise ça ? C’est digne du palais de sa Maitresse ? Mais peut être qu’elle a besoin d’être éduqué pendant plusieurs jours avant d’avoir le goût recherché, quand penses-tu ?

La faire participé à ses choix était une de ses façon de faire, rien ne garantissait se qu’elle allait lui faire, mais à travers ses réponse elle cherchait à percé ses pensées. Sondé ses envie. En tant que maitresse c’était son devoir après tout. Dé catis décolla son pied de ses lèvre, pour la laissé répondre cette fois et une fois fait lui rentra légèrement au bouche la laissant le léché. Bien propre ce dernier retourna une fois de plus sur son intimité, mais cette fois déterminé à la faire jouir de nouveau. Après l’avoir fait une fois, elle devrais pouvoir tenir un peu plus longtemps. Tout ça l’excitait elle-même, après tout Juliette était belle et excitante ainsi. Mais elle n’avait pas l’intention de se faire plaisir, non, elle voulait devenir une envie pour son élève, devenir un vrais fantasme, jusqu’au jour où elle la sentirait suffisamment impliqué pour lui laisser le privilège de la voir. Encore plus tard avoir même la récompensé de la touché. Pour ça elle devait devenir son envie, son obsession.

Quand Juliette joui pour la seconde fois, Décatis se retira. Sans rien dire de plais, la laissant savouré. Elle leva  du lit et pris une serviette qu’elle utilisa pour nettoyer son pied. Ensuite, prenant son temps, elle remit son bas puis sa botte. Une fois nettoyer et rechaussé, elle s’approcha de Juliette et viens lui caressé affectueusement la joue.


-Je viens de passé un agréable moment ma soumise.


Décatis se pencha sur elle et lui déposé une bise sur le front. Puis elle lui détacha une main et seulement une main et lui mit la clé dedans.

-Fini de te détaché, et rhabille toi normalement. Je t’attends pour travailler, l’ouverture de l’après-midi va ne pas tarder.

L’enchanteresse, n’en dit pas plus et sorti de la pièce emportant ses couverts. Juliette se retrouva donc à devoir se détaché toute seule, elle allait devoir se montré habille et surtout prudente. Car si elle venait à lâché la clé et à la faire tomber, Décatis n’avait pas l’intention de revenir avant un bon moment.

« Modifié: mardi 09 décembre 2014, 10:09:11 par Décatis Cryptinna »

Juliette Beaumont

Humain(e)

Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 64 jeudi 11 décembre 2014, 02:28:43

Comment le simple fait d’embrasser et de lécher un pied pouvait-il être si excitant ? C’était une question à laquelle Juliette n’avait, pour l’heure, absolument aucune réponse. Elle adorait tout simplement ce moment, dans chacun de ces aspects. La langue de l’apprentie-enchanteresse filait sur cette surface plane et légèrement arrondie, et la brave Juliette était tellement troublée qu’elle en avait oublié la moitié de la phrase de Décatis, ce que sa Maîtresse ne tarda pas à lui faire savoir, sur un ton de reproche. Juliette rougit en se mordillant les lèvres, comme si elle était une petite fille prise en faute par sa mère, et hocha lentement la tête.

« Pa… Pardon, Maî… Maîtresse, je… »

Mais je « quoi » ? Juliette n’avait quasiment rien compris à cette question ! Elle dut rapidement y réfléchir, tout en voyant sous son nez, le pied de sa Maîtresse. Elle continuait à jouer avec elle, et Juliette serra les poings, les joues empourprées, l’esprit en ébullition. Vite, réfléchir ! Vite, trouver quelque chose à dire avant que sa Maîtresse ne se fâche ! L’esprit de Juliette tournait à toute allure, optant pour toutes les possibilités qui trottaient dans son crâne.

Finalement, comme Juliette n’avait rien compris, et n’avait aucune réponse satisfaisante à donner, elle choisit la porte de sortie donnée par sa Maîtresse à la fin de sa tirade :

« O-Oui, Maîtresse, je… Il faut encore m’éduquer et me former pour que… Pour que je sois à votre… À votre goût… »

Si Juliette bégayait, ce n’était pas que par gêne, mais aussi parce que, en ce moment, elle ressentait le plus profond des plaisirs, celui venant du sexe, celui venant du désir sexuel. Or, c’était un plaisir qu’elle n’était pas habituée à recevoir, ce qui expliquait ses hésitations, dues à des soupirs et à des vagues de plaisir qui remuaient dans son corps. Fort heureusement, Maîtresse Cryptinna ne sembla pas trop s’en formaliser, et offrit bientôt, à nouveau, sa récompense à la jeune Juliette. Ouvrant les lèvres, elle accueillit le retour de ce pied, et continua à le lécher, léchant les doigts de pied de la femme, sentant sa langue s’enfoncer entre deux doigts, dans les petits espaces creusés par les sillons de ses doigts. Hmm… ! Oh, qu’est-ce que ça pouvait être bon !

Pendant quelques temps, Juliette soupirait en léchant ce pied, et on pouvait entendre les sangles grincer à chaque fois que l’ample corps de la soumise se déplaçait, tendue sous l’effet du plaisir. Elle continuait à mouiller, et couinait légèrement, sentant ce pied s’enfoncer en elle. Sa Maîtresse savait y faire, et le plaisir que Juliette ressentait était tellement bon que al femme ne pouvait rien faire d’autre que l’accepter pleinement, sans se poser aucune question. Elle faisait entièrement confiance à la femme, et sa langue léchait avidement ce bout de son corps, jusqu’à ce qu’elle le retire, et ne s’attaque à son sexe avec.

« Haaaa… »

Étant toujours vierge, et supportant des années de frustrations sexuelles refoulées, Juliette était une femme facile à exploiter et à faire jouir. Elle frissonna en sentant ce pied remuer contre sa fente, sentant un ou deux doigts s’enfoncer en elle. Juliette se tendit en se crispant, sen tant une indicible vague de plaisir et de douleur pénétrer dans les tréfonds de son corps. Elle serra ses mains, bascula sa tête en arrière, continuant à gémir et à exprimer l’intense et profond plaisir qu’elle ressentait :

« Hooooo… Maî… Maîtresse-haaaaaaaaaaaaaaann !! »

Soupirs, encore et encore, et le plaisir, toujours là, vibrant, s’exprimant dans toute sa splendeur. Contractions. Oscillations. Gémissements, couinements, soupirs. Juliette n’était plus qu’un atome de plaisir, un énorme génome qui ne répondait pas qu’aux stimuli sur son sexe, sur sa fleur. Dans ces circonstances, l’orgasme arriva très vite, dans un nouveau soupir, et Juliette restait allongée, la tête posée contre l’oreiller, comatant à moitié, les yeux embrumés. Ce qu’elle vivait… Ça n’avait pas de mot suffisamment fort pour le décrire précisément. C’était… Tout simplement merveilleux. Une succession de merveilleuses sensations ne demandant qu’à recommencer. Malheureusement, sa Maîtresse avait assez joué, et Juliette l’entendit remettre ses efforts, puis elle lui déposa un baiser sur son front, en lui avouant qu’elle avait passé un très bon moment, et libéra l’une de ses mains.

C’était le rappel à la réalité, mais Juliette avait encore l’esprit embrumé, traversé par les effluves de désir, ce qui fit que, après le départ de sa Maîtresse, il lui fallut bien une ou deux minutes, le temps de se réveiller. Sa main attrapa la clef, et elle s’en servit pour libérer son autre main, puis entreprit ensuite de desserrer les sangles autour de ses orteils. Quand elle réussit ses deux pieds partirent à la verticale, happées par la gravité, et Juliette sentit ses articulations lui faire mal. La position dans laquelle elle avait été mise n’était pas très bonne pour le dos. Elle était à l’image de ce que les deux femmes avaient fait pendant cette pause : un défi contre la logique… Et, si Juliette aurait auparavant pu feindre la honte et le dégoût, elle ne ressentait maintenant que de la satisfaction, et une profonde envie de recommencer. Elle vit des marques sur ses orteils, les traces des sangles s’imprimant sur sa peau, et se pinça les lèvres.

*C’était magnifique… Tout simplement.*

Magnifique, oui… Elle ne voyait pas comment le dire autrement. Juliette se redressa lentement, et entreprit de remettre sa robe.

*Tout ce que je souhaite, c’est le refaire…*

Le bilan à faire durant cette après-séance était extrêmement positif. Se rhabillant, Juliette retourna voir Décatis, tout en se disant qu’elle allait avoir bien du mal à se remettre au boulot !
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Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 65 samedi 27 décembre 2014, 11:45:18

Plusieurs semaine de stage c’était écouler depuis que Juliette l’avait rejoint. Durant ce temps, Décatis c’était beaucoup occupé d’elle. L’enchanteresse lui avait enseigné beaucoup de chose, lui avait après ses petites astuces personnelles. Mais son enseignement, ne c’était pas limité à l’enchantement, maintenant Juliette pouvait tenir le comptoir seule. Prendre des commande, répondre même à certaine, faire les ventes et les conseils. Décatis lui donnait régulièrement des exercices pour la faire progresser, la soumettait à des problèmes difficile et allait même jusqu’à même lui faire travailler sa magie pour la renforcé. Elle se montrait exigeante et lui e demandait bien plus se qui concernait une simple apprenti. Décatis était fière de voir que Juliette progressé rapidement, devenant de plus en plus puissante et surtout plus confiante. C’est ce qu’elle cherchait, Décatis à travers tout ça, voulait donner à la jeune fille confiance en elle. Après tout elle lui avait promis de l’aidé à se faire bien voir de sa mère, de lui prouver qu’elle aussi pouvait être forte.

Son dernier travail avait été très difficile pour Juliette, c’était un enchantement de très haut niveau, que surement même les plus ancien élève de son académie serrais incapable de faire. Avec beaucoup de difficulté et en s’épuisant physiquement et magiquement, elle avait réussi à le faire en suivant ses instruction à la lettre. Juliette pour ça se montrait très discipliné, elle suivait parfaitement tout ce qu’elle lui disait. Si bien que Décatis en avait été impressionné par sa performance. Elle lui avait fait part de sa fierté et lui avait laissé une journée entière de repos pour se remettre de son épreuve.

Les progrès de Juliette n’étaient pas visibles que dans l’enchantement. Durant les pauses du midi, Décatis avait régulièrement continué ses petit jeu de soumission. Lui faisant découvrir divers plaisir. Mais à aucun moment, Décatis n’avait elle-même pris du plaisir. Tout ce temps elle se retenait et travaillait l’envie de Juliette pour devenir le fantasmée même de son élève. Si bien que le dernier jour avant de lui offrir son jour de repos, Décatis lui avait offert pour la première fois l’honneur de la voir entièrement nue. Et pour cela, elle l’avait invité à fêtait la réussite de son exercice autour d’un diner. Dans un robe élégante et sexy, elle l’avait conduite à un restaurant luxueux et avait passé la soirée ensemble. Juste avant de la quitté, elle l’avait conduite à son balcon et c’était d’habiller face à elle, mais elle ne c’était pas contenté uniquement de ses vêtements. Dos à la lune, baigné dans sa lumière elle avait retiré ses bijoux qui lui donnais se corps pratiquement humain. Ainsi Décatis c’était révélé dans sa vrais apparence de vampire, à la lumière de la lune et dans une nudité parfaite, elle c’était montré dans sa plus grande beauté. Après cette récompense, elle l’avait laissé partir. La prochaine étape sera surement de la laissé la touché. Pour ça elle allait encore travailler davantage son envie.

Durant la journée de repos de Juliette qui devais en profité pour se remettre de son terriblement épuisement dû à son exercice, mais aussi du choc d’avoir pu voir sa Maitresse dans sa plus belle apparence, Juliette reçut la visite d’un papillon d’or. Une des créations de Décatis, que Juliette avait ut l’occasion de voir à de nombreuse reprise. Pour de nombreuse tâche, l’enchanteresse utilisait beaucoup d’insecte enchanté fait d’or. Ils lui servaient généralement à la récolte où a quelque tâche facile et des fois comme à ce moment de messager. Ses petits êtres en or, possédait de nombreux enchantement qui leur permettait d’être discret et d’être indétectable. Donc le petit papillon apporta à Juliette un message de Décatis.




« Ma cher Juliette. Je t’attends comme prévue demain à la boutique. Mais un cas d’urgence m’oblige à prendre certaine disposition. Demain tu ouvriras la boutique avec l’aide de mon familier doré qui restera avec toi. Tu tiendras la comptoir comme je ‘ai appris. Mais surtout je t’INTERDIS de monté à l’étage qu’importe la raison. Je suis actuellement enfermé dans mon atelier à effectuer un désenchantement d’un danger beaucoup trop élevé pour te l’exposé. C’est pourquoi, qu’importe les bruits que tu entendras je t’interdis de monté. Il se peut que tu entends des cris, je te demanderais de gardé ton calme. Puis si à la fin de la journée je ne suis pas descendue rejoindre. Il te faudra aller avertir la garde magique et les faire venir pour éliminer la chose que j’aurais enfermée dans mon atelier. Si je n’en reviens pas vivante. Tu auras d’autre instruction dans notre pièce. Enfin ceci n’est que pire scénario, je pense être largement capable d’éliminé tout ça moi-même. Je compte sur toi pour garder cela secret jusqu’au moment venue.

Décatis Cryptinna »


Le lendemain, le jour de la reprise pour Juliette, comme dit dans sa lettre, Décatis s’était enfermé dans l’atelier. Avant de débuter, elle avait posé de nombreuse protection puissante. Empêchant les dégât, mais surtout empêchant la chose de pouvoir s’échappé et même si Décatis venais à mourir. Les protections posé, L’Enchanteresse avait installé le livre à l’origine de tout ça sur la table au centre de la pièce. Pour ça, Décatis portait une armure magique avec toute sorte d’enchantement de protection et ses plus puissant bijoux magique de sa création et même certain de la réserve.

Décatis désactiva le sceau qui scellait jusque-là le livre. Se dernier s’ouvrit alors tout seul, les page se mire a tourné les unes après les autres à une vitesse qui faisait presque peur de voir le papier se déchiré. Puis fini par s’ouvrir sur les page du milieux. C’est alors que se libéra une puissante magie maléfique. Une magie néfaste, une magie horrible, le simple fait de ressentir sa présence pouvait retourner les plus sensible à la magie. Heureusement cette magie était retenue dans la boutique, sinon déjà de nombreux sorcier de l’empire serrais arrivé armé de leur plus puissant sort pour éliminer la menace retenue jusque-là. On ne pouvait la ressentir en dehors des mur de la boutique mais en bas au comptoir c’était tout à fait possible. Une forte odeur de pourriture envahit la pièce alors que se matérialisa la chose. Face à Décatis apparut la Liche qui était enfermé dans le livre. La liche le stade le proche de l’immortalité atteint par les nécromancien, l’un des mort vivant les plus dangereux de ce monde. Un sorcier ressuscité et emporté dans les ténèbres.

C’est pour éliminer cette créature que Décatis avait prise autant de précaution. Si bien que quand elle activa l’une de ses bague et qu’une explosion de feu fracassante résonna dans toute la boutique, seule la liche fut endommager et que rein de l’immobilier de fut affecté. Malgré que le feu était reconnue comme efficace pour détruire des mort vivant, ce n’était pas simplement cela qui allait éliminer la liche qui déjà riposté de sa magie maléfique. Un combat entre deux grande puissance venais de débuté, alors qu’en bas une simple apprentie devait venir tenir la boutique comme si rien n’était.

« Modifié: samedi 27 décembre 2014, 11:50:43 par Décatis Cryptinna »

Juliette Beaumont

Humain(e)

Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 66 lundi 29 décembre 2014, 02:07:48

« Je vous dis qu’elle a changé, Mère...
 -  Et qu’en sais-tu, hum ?
 -  Je connais Juliette, Mère ! Je la surveille fréquemment, et je sais que son stage l’a changé... Le stage avec cette Décatis...
 -  Si ce stage la rend moins dévergondée, alors c’est une bonne chose.
 -  Je pense que vous ne réalisez pas très bien, Mère ! Nous sommes les Beaumont ! Nous avons nos entrées au sein du Conseil Impérial, ce que Juliette semble ignorer ! Je me méfie de cette nouvelle amitié, et... »

Pour toute réponse, la Matriarche, Ursa Beaumont, eut un grand éclat de rire, et sa main, ferme et autoritaire, trempée du sang de l’esclave à qui elle venait d’arracher un lambeau de peau, se déplaça pour attraper le cou de sa fille, Joan Beaumont. Elle la souleva, la décollant du sol, et sa fille se mit à couiner, se tortillant lentement, devant la poigne solide et terrifiante de la Matriarche. Son visage dégoulinait de sang, et Joan la vit sucer ses doigts griffus. L’esclave était en train de pisser du sang, avec des épines plantées dans un corps torturé et retenu au-dessus du sol par de solides cordes, la tête penchée vers le bas.

« Jusqu’à preuve du contraire, ma petite Joan, c’est moi, ta Maman, qui s’occupe des intérêts du clan Beaumont ! Qui est la Matriarche, Joan ? Toi, ou moi ?
 -  Uugh... T-Toi, Mè... Mère... Je... Désolée, je...
 -  Et qui est donc la mieux placée pour savoir ce qui est bon ou non concernant le clan ?
 -  Haaa... T-T-Toi, Mè... »

Joan avait du mal à respirer et la Matriarche, en soupirant, la balança alors comme un fétu de paille. Les deux femmes se tenaient dans un grand hall, entreposant les multiples « repas » de la Matriarche, accrochés au plafond. Joan s’envola, et heurta lourdement un mur, avant de tomber sur le sol en grognant. La Matriarche se retourna alors, mettant fin à la conversation, tout en retournant s’occuper de son repas. Ursa avait de longues canines pointues. Elle était une vampire... Très particulière.

« Maintenant, file, tu es en train de gâcher mon repas... Retourne t’amuser avec tes deux esclaves, et laisse Juliette en paix. »

Joan se releva, et acquiesça. Elle allait partir, oui... Mais elle n’allait pas lâcher Juliette. Après l’échec de Valentin, Joan continuait à surveiller Juliette... Et, si elle ignorait précisément ce qui se passait dans l’enseigne de Décatis, elle s’était renseignée sur elle... Et avait engagé des agents qui les avaient suivis. Elle savait ainsi que les deux femmes avaient mangé ensemble dans l’un des restaurants les plus prestigieux de la capitale. Joan savait comment Juliette pensait, et elle savait que Décatis était une femme forte et autoritaire, talentueuse, qui avait de nombreux clients, et des protections haut placées... Elle était notamment proche d’Edea Kramer, une puissante sorcière galbadienne, un État insulaire sur lequel l’Empire avait des vues.

*Il est hors-de-question qu’on me la vole ! La virginité de Juliette est mienne !*

Elle sortit sur cette pensée, tandis qu’Ursa continua à caresser la chair de l’homme, arrachant l’une des pointes noires, longue de plusieurs centimètres, et la léchait, recueillant le sang du blessé, qui gémissait faiblement...



Ce que Juliette vivait s’apparentait à un rêve éveillé. Ni plus, ni moins. Les semaines défilaient à toute allure, et, sur tous les plans, Maîtresse Décatis la comblait. Elle était exigeante et dure, mais Juliette n’était pas dérangée par cela, car elle n’avait jamais travaillé autant sur ses enchantements, et, en quelques semaines, son niveau avait singulièrement accru. Il s’avérait que Juliette était une enchanteresse très talentueuse, maîtrisant à la perfection la théorie, et la pratique de plus en plus. Elle n’était pas un boulet, mais un véritable soutien... Et ça, c’était très positif pour elle, et pour sa fierté. Et puis... Outre ça, outre le travail en lui-même, il y avait... Il y avait leurs pauses... Décatis veillait à toujours l’attacher, et à toujours la faire jouir, mais jamais Juliette n’avait eu l’occasion de la toucher. Plus le temps passait, et plus elle voyait davantage Décatis comme une sorte de Déesse, comme sa véritable Maîtresse, et elle comme sa disciple.

Elle avait encore en tête leur soirée au restaurant, et la révélation qui avait suivi par la suite... Sa virginité était toujours intacte, malgré ses nombreux orgasmes. Décatis lui avait montré ce qu’elle était réellement... Une vampire. Sur ce balcon, Juliette avait alors su avec certitude qu’elle l’aimait. Plus aucun doute n’était en effet venu assaillir son esprit, seul dominant l’absolue certitude de ses sentiments. Avec le reflet de la lune sur son corps, Décatis était comme une espèce de nymphe. Juliette était tombée à genoux, et elle aurait alors pu offrir sa vie à Décatis, sans rechigner et sans sourciller. Elle avait cru que la femme prendrait sa virginité ce soir, mais Juliette était rentrée chez elle avec l’intimité en feu, et avait à nouveau utilisé une culotte spéciale... Une culotte qu’elle avait enchanté grâce à Décatis. Un client avait eu une demande particulière à faire, voulant développer une culotte qui pourrait, en sentant l’excitation sexuelle de la femme qui le portait, faire pousser de petits tentacules en elle afin de la faire jouir. L’imagination des clients était réellement sans faille, et Juliette avait réitéré cette technique, qui lui permettait de jouir sans avoir à utiliser ses mains. Elle joui toute la nuit, et avait littéralement fait une nuit blanche...

Juliette se trouvait maintenant seule dans la boutique, et ne pouvait s’empêcher de regarder l’escalier menant à l’étage. La porte du haut était fermée à clef, et Maîtresse lui avait formellement interdit d’y grimper.

*Je me demande bien ce qu’il peut se passer là-haut...*

Ses pensées furent interrompues quand un client arriva, demandant à récupérer une commande. Juliette acquiesça, et lui apporta l’objet. Elle sentit alors une odeur de brûlé, et releva la tête... Quelque chose était en train de brûler à hauteur du plafond, et Juliette s’approcha à nouveau de l’escalier, en se pinçant les lèvres. Le sol vibrait parfois, comme les murs. Juliette serra nerveusement les doigts. Dans sa lettre, Décatis avait clairement dit qu’elle risquait de mourir... Que pouvait-elle bien affronter à l’étage ? Juliette se sentait comme l’épouse de Barbe-Bleue, et posa un pied sur la marche, la main posée sur la rampe... Puis un autre pied.

*Arrête, Décatis t’a formellement interdit de...*

La porte d’entrée du magasin s’ouvrit brusquement, et Juliette sursauta.

« Helloooooo !! »

Cette voix... Non ! Juliette sentit ses yeux s’écarquiller, et retourna dans la boutique... Joan ! Joan Beaumont était là ! Sa sœur ! Elle s’avançait lentement, dans une sensuelle toge rouge, et sourit à sa sœur. Mais que faisait-elle là ?

Et, pendant ce temps, Décatis était en train de se battre contre une force terrifiante...
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Décatis Cryptinna

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Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 67 mardi 13 janvier 2015, 11:51:04

Cette magie noire était vraiment impressionnante, la Liche  utilisait de puissant sort de destruction basé sur la foudre, les ténèbres et même le feu. En tant que vampire le feu était plus efficace que les deux autre, fort heureusement son armure magique était là pour ça. La particularité de cette armure était de diminué considérablement l’efficacité des sort qui la frappaient en l’absorbant et renouvelant ainsi la réserve de magie de sa porteuse. Pour autant le combat n’était pas gagné d’avance, la Liche était puissante et surtout très fourbe. Plusieurs de ses sort avait servi à couvrir l’utilisation d’autre, sans son bijoux à son œil pour avoir un perçut de l’avenir, elle aurait put y passé déjà trois fois. Décatis ne se contentait pas d’esquivé et d’encaissé son adversaire, à l’aide d’une de ses bague magique, elle lui lançait plusieurs sort de feu qui se montrais moins efficaces que prévue. Pour la vaincre Décatis avait un plan, son collier était un objet enchanté sacré, un objet fait pur vaincre les mort vivant et les purgés. C’était très risqué car une vampire comme elle était aussi une mort vivant. Ainsi pendant qu’elle combattait le collier puisait dans sa magie pour se changer et lancé le sort sacré anti mort vivant.

La Liche semblait aussi avoir un plan car subitement, elle changea de tactique et lança un sort qui fit apparaitre deux cadavre animé derrière elle qui la saisi chacun par un bras. Se retrouvant bloqué pour lancé ses sort de feu à l’aide de sa bague. Il ne lui restait que peu d’option pour s’en sortir, ainsi elle lâcha la charge du collier. Un grand flash lumineux envahie la pièce. Les cadavres ambulants étaient faibles, ce qui fit qu’ils brulèrent immédiatement. La Liche par contre commença à se consumé, mais résista quand même, elle était condamné, elle tomba à genoux et brulait petit à petit disparaissant purifier par les flammes blanche. Sa serrais plus long que si la charge avait pu être entière, mais au moins elle était vaincu. Puis décatis se retrouva aussi touché. Libéré des deux cadavres, elle s’empressa d’enfilée ses bagues qui lui permettait de redevenir en partie humaine. Du coup les flammes qui la consumaient disparurent presque complétement. Quelque flamme blanche  ne se dissipèrent pas, laissant son corps brulé légèrement, elle n’était pas en danger de morts, mais soufrait beaucoup.

Son corps en partie enflammé de flamme blanche, Décatis s’avança vers la porte de l’atelier. Elle la déverrouillât et la passa rapidement avant de la refermé et la scellé à nouveau. La Liche n’avait pas encore disparut, même si rien ne pouvait la sauvé maintenant. Avec difficulté et affichant un visage déformé par la douleur, l’enchanteresse enflammé descendit l’escalier pour rejoindre la boutique. A peine arrivé en bas derrière le comptoir, une jarre fermé se trouvant posé dans la partie non commercial s’ouvris lissant sortir une nué de mouche d’argent. Les insectes se précipitèrent sur elle et se servant de la magie de leur enchantement, se mirent à dévoré les flammes qui restait sur son corps. Ainsi en quelque seconde, Décatis se retrouva sauvé du sort sacré qu’elle-même avait lancé.

Décatis soufflât un peu la douleur étant beaucoup moins forte à présent. Sa régénération allait être longue, mais elle ne craignait plus rien. L’enchanteresse s’avança dans la boutique pour voir Juliette et une jeune fille. Si de physique ce n’était pas forcément frappant, l’odeur de son sang lui permit de comprendre qu’elle était surement l’une des sœurs de Juliette. Retrouvant tout de suite un sourire professionnel, elle s’avança vers les deux demoiselles.


-Excusez-moi de ce spectacle, je sors d’un désenchantement complexe. A qui ai-je l’honneur ? Peut-on faire quelque chose pour vous ou serrais qu’une visite familial ?

Juliette Beaumont

Humain(e)

Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 68 samedi 17 janvier 2015, 02:09:15

« Et bien alors, Juliette... On ne salue pas les clientes ?! »

La voix moqueuse de Joan amena Juliette à cligner des yeux. La femme venait de rejoindre le comptoir, et avait un sourire moqueur et joueur sur les lèvres. C’était bien elle... L’une de ses sœurs, ses sœurs qui, soit se moquaient d’elle, soit la battaient et la menaçaient. Juliette rougit rapidement, et baissa les yeux, ses mains se mettant à trembler maladroitement.

« Je... Euh... Bi-Bienvenue, Jo... Joan...
 -  Ah ! Je croyais que cette femme, cette... Cette Cryptinna... T’avait instauré vœu de silence...
 -  Je ne m’attendais pas spécialement à te voir, Joan... La famille n’a-t-elle pas ses propres enchanteurs ? »

Les Beaumont disposaient d’un atelier influent, abritant des alchimistes et des enchanteurs ashnardiens très réputés. Juliette avait répondu sur un ton fort et véhément, et Joan se retourna alors vers elle, et sa main se crispa sur son menton. Une poigne solide, une main de fer, tandis qu’une lueur espiègle se dessinait dans les yeux de Joan Beaumont. Sa grande sœur était une grande joueuse, beaucoup moins sadique et cruelle qu’Izaël... Et la lueur dansant dans la prunelle de ses yeux n’était pas sans inquiéter Juliette, qui se mordillait les lèvres.

« Quel petit ton... Je le savais bien, que tu faisais des choses avec cette femme, Juliette...
 -  Qu... ?
 -  Silence, petite peste... Tu crois donc que je ne le verrais pas ? Je lis en toi comme dans un livre ouvert, Juliette... »

La pauvre jeune fille serra ses poings, et Joan lui ordonna de se positionner à côté d’elle. Juliette obtempéra alors, nerveuse, jetant un bref regard vers l’escalier. Elle ignorait ce qui se passait en haut, mais, parfois, elle sentait de curieuses vibrations. Le combat devait faire rage, mais, sans pouvoir dire quoi que ce soit, Juliette vit Joan se pencher vers elle, et l’embrasser sur les lèvres. Juliette gémit silencieusement, n’osant plus bouger. La main de Joan se déplaça pour caresser ses cheveux, glissant le long de sa robe, pour filer vers ses fesses. Elle les pinça, tout en poursuivant son baiser, enfonçant sa langue dans sa bouche, puis le rompit en souriant.

« Oui... Elle t’a embrassé, n’est-ce pas ?
 -  Je...
 -  Est-ce qu’elle t’a dépucelé, petite salope ?
 -  Hey ! »

Joan posa immédiatement un doigt sur la bouche de Juliette, l’empêchant de parler. Elle sourit lentement, un sourire mielleux, malicieux.

« Non... Toujours pas... »

S’humectant les lèvres, Joan se rapprocha d’elle, et murmura quelques informations à son oreille :

« Je te fouetterai bientôt le cul, Juliette... Cryptinna ne sera pas la seule à profiter de ton corps de catin. »

Juliette n’osa rien dire, et, alors qu’elle était étonnée, elle entendit des bruits de pas venant de l’escalier. Le cœur battant la chamade, elle se retourna, et vit sa Maîtresse arriver... Joan, elle, sentit l’odeur de brûlé, et ce fut une femme épuisée qui arriva par l’arrière-salle. Elle qui veillait toujours à présenter une apparence impeccable et bien soignée avait les cheveux décoiffés, et elle pouvait sentir une certaine fatigue dans la manière dont elle se déplaçait. Décatis resta cependant professionnelle, et s’adressa à Joan.

« Hum... Pas de problème... Je m’appelle Joan Beaumont, Madame Cryptinna... je suis la grande sœur de votre stagiaire, et j’avais une requête à vous soumettre, oui... »

Qu’est-ce que Joan manigançait ? Elle n’était pas aussi manipulatrice et aussi calculatrice qu’Izaël, mais elle avait toujours un plan derrière la tête. De sa ceinture, elle sortit un long fouet noir en cuir, et le posa sur le comptoir.

« Je ne suis pas convaincue par les talents de mon enchanteur actuel, et j’aimerais que vous enchantiez ce fouet... J’aimerais que l’extrémité puisse se transformer en une tête de serpent qui mordrait dans la peau de ce qu’il toucherait, afin de répandre un venin aphrodisiaque. »

Laissant planer quelques secondes, Joan reprit, avec un petit sourire sur le coin des lèvres :

« Naturellement, vous pourrez l’expérimenter sur le corps de votre assistante... Elle ne parle pas beaucoup de vous, mais je n’ai eu que des retours positifs de la part des autres personnes qui ont eu besoin de vos services. »

Juliette ne dit rien, baissant les yeux en se mordant les lèvres. Maudite Joan, Juliette la détestait ! Et, pourtant, elle se faisait en ce moment surtout du souci pour sa Maîtresse.

Qu’avait-elle bien pu vivre là-haut ?!
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Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 69 lundi 26 janvier 2015, 11:54:03

Gardant un visage professionnelle, Décatis compris rapidement que cette Joan devais partie des personnes avec qui Juliette avait de mauvaise relations dans sa famille. La position de la fille a ses côté montrait une sorte de soumission forcé. La demande de la Joan était clairement faite pour humilier sa sœur. Décatis se devait tout de même de répondre à la demande d’une cliente.

-C’est tout à fait faisable. Je tien juste à vous prévenir que son utilisation risque de pas correspondre à vos attente. Si vous attendez la morsure au moment du coup de fouet, le temps serra bien trop cours pour laisser le venin pénétré la victime, de plus les crocher risque de plus arraché la chair que la contaminé. Par contre en y allant plus en douceur, laissant la tête mordre, là par contre il fonctionnera parfaitement.

Décatis s’avança et pris le fout en main le caressant en l’examinant. Cette demande était facile à exécuté, elle pouvait même le faire maintenant ne prenant que quelque minute. C’est même ce qu’elle décida de faire.

-Juliette, attrape moi une émeraude de petite taille, tailler en pointe. Puis apporte-moi mon grimoire d’or. Celui que tu m’as demandait à quoi il servait et que je ne t’ai jamais répondu.


Le temps qu’elle lui apporte se qu’elle avait demandé, Décatis étendit le fouet sur le comptoir entièrement déplier. Dans sa tête, elle calculait toute les données qu’elle avait besoin pour l’enchantement. De sous le comptoir, elle sorti une petite bouteille entièrement noir ne laissant aucune transparence sur son contenue.

-Excuser moi, je prends un petit remontant.

D’une seule gorgé, elle but l’intégralité de la bouteille qui contenait du sang. Avec ça elle espérait régénérer plus vite et surtout évité que son épuisement réveille une soif de sang. Cette soif lui était déjà arrivée le jour où la boutique avait été attaquée et elle kidnappé. Si cela l’avait sauvé, ça n’avait pas était la plus agréable des expériences vampirique qu’elle avait vécu. Juliette de retour, elle la remercia et récupéra ce qu’elle avait demandé. Avec grand soin, elle déposa le grimoire sur le comptoir et garda la pierre en main. D’une main elle tient la pierre devant elle en évidence, de l’autre elle tendit le doigt et dessina dans l’air une forme allongé. Suivant le mouvement de son doigt, il se dessina un serpent d’un vert éclatant. Ce dernier entièrement apparut, elle continua son mouvement de doigts pour le guidé et le faire rentrer dans l’émeraude. Ensuite elle prit la pierre et la posa la pointe contre la bout du manche du fouet. D’un simple appui du doigt et de magie, ma pierre s’enfonça et s’inséra comme si elle avait toujours était fait pour être installé là. La pierre en place, un éclair émeraude parcourra le fouet qui se mit alors à bouger comme un serpent et l’extrémité de ce dernier se changea en tête de reptile. Décatis pris le manche de fouet pour le montré à Joan.

-L’utilisation est simple. Il suffit de tourné la pierre dans un sens pour activé la transformation, dans l’autre pour une utilisation normal. Maintenant, si vous voulez un test, je vous préviens que je n’utilise pas ma stagiaire pour cela.

Décatis pris le grimoire qu’elle avait demandé à Juliette, ce dernier avait une couverture entièrement en or et travailler comme une véritable œuvre d’art. De plus on pouvait ressentir une puissante magie s’en dégagé. Sur le côté de l’ouverture se trouvait un verrou qui scellait les pages du livre. L’enchanteresse leva la main à son œil et détacha l’extrémité de son bijou qui pendait toujours devant celui-ci.  Pour Juliette c’était la première fois que Décatis le retirait. Elle prit la partie détacher et l’installa sur la couverture du livre qui dans sa dorure avait une forme parfait pour l’accueillir. Le bijou installé, le livre se déverrouilla et s’ouvrit de lui-même. Tenant toujours le fouet d’une main, elle posa une main sur l’une des pages du livre.

-Si vous voulez bien posé la vôtre sur l’autre page.

Une fois fait, Joan et Décatis virent la boutique disparaitre pour se retrouvé dans une pièce entièrement blanche. Devant elles se tenait un homme nu, un homme beau avec une musculature travailler. Cette homme était un vampire et accessoirement celui qui avait fait d’elle se que Décatis était maintenant. L’enchanteresse saisi le fouet et le fit claqué dans un son agréable pour les amateurs. D’un geste précis, elle porta un coup sur le dos de l’homme. Satisfaite du mouvement produit, elle tourna la pierre comme montré plus tôt dans la boutique.


-Regardez se que je vous disais.

La tête de serpent était apparue au bout du fouet. D’un même geste, elle fouetta de nouveau l’homme. Cette fois les crochés du serpent se plantèrent dans son dos, mais a cause du mouvement, il ne resta pas accroché, mais arracha un morceau de peau et cris de douleur bien plus élevé que le premier coup.

-Si votre but est la douleur, vous pouvez l’utiliser ainsi, aussi violente que vous serrez, les crochets ne se briseront pas. Par contre si vous voulez lui infliger la morsure et le venin, il faut y aller autrement, il faut laisser le temps au venin de s’écoulé.


D’une démarche fière et dominante, elle s’approcha de l’homme et lui caressa le dos avec le fouet tandis que ce dernier se  planta déjà dans son corps. L’effet fut rapidement visible à son sexe qui se dressa rapidement à la morsure.


-Vous avez bien des manières d’utilisé le fout pour laisser le temps de la morsure, étranglement, caresse ou simplement le posé et laissé faire. La taille de la tête laisse place à bien des possibilités pour l’endroit à mordre. Je suis certaine que vous trouverez votre façon de faire.

Après un sourire commercial. La pièce s’effaça, l’homme disparut et Juliette reparut ainsi que la boutique. En réalité il c’était passé qu’une infinie seconde et tout ça n’avait été qu’une vision, une vision qui permettait un vrais teste de l’objet, rien n’était trompé.

-Cela vous convient-il ?

Juliette Beaumont

Humain(e)

Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 70 mercredi 28 janvier 2015, 02:09:34

Juliette connaissait suffisamment Joan pour savoir que cette dernière n’avait qu’une envie : utiliser ce fouet sur son dos. Joan était une perverse... Comme si toute la cruauté héritée de leur mère, chez elle, au contraire de chez Izaël, s’exprimait dans la luxure et la perversion. Elle avait déjà mis un collier autour du cou de Juliette, en lui ordonnant, alors que Juliette était plus jeune, de se mettre à quatre pattes, et d’aboyer. Juliette avait pleuré, et, en la surprenant, Ursa, leur mère, avait libéré Juliette, et avait mis Joan sur ses genoux, puis l’avait solidement fessé. Joan avait alors pleuré, crachant des langues de feu depuis sa bouche, tandis qu’Ursa, d’une main ferme et implacable, lui disait qu’une Beaumont ne devait JAMAIS poser la main sur une autre Beaumont, ni chercher à l’humilier. La famille était sacrée. Après cette punition, Joan avait fusillé Juliette du regard, en lui ordonnant de ne jamais répéter à qui que ce soit ce qui avait eu lieu aujourd’hui. Juliette ne l’avait jamais fait... Mais elle n’avait jamais oublié non plus. Joan, depuis tout ce temps, cherchait-elle à prendre sa revanche ? Obéissant à la demande de sa Maîtresse, Juliette alla chercher les objets requis, puis vit Maîtresse ouvrir un livre. La magie se mit alors à développer, à s’envoler, mais Juliette n’eut droit à aucune des visions des deux femmes. Elle ne vit pas l’homme attaché, et vit juste les deux femmes se regarder pendant un bref laps de temps, le regard vide, avant que Joan ne hoche la tête, apparemment satisfaite.

Un petit sourire en coin orna ses lèvres, et elle pencha sa tête vers Juliette, avec une expression sur le visage qui voulait tout dire, et qui fit un peu rougir Juliette. Oh oui, maintenant, il n’y avait plus aucun doute possible... Ce fouet était pour elle ! Elle avait essayé d’être la plus prudente possible, de masquer auprès de sa famille ses émotions pour Maîtresse Cryptinna, mais Joan l’avait remarqué... Ohlàlà ! Si Maman Ursa l’apprenait, ce serait... Terrible ! La Matriarche ne laisserait pas passer ça ! Juliette était une Beaumont, et une Beaumont ne se faisait pas fouetter le cul par une étrangère ! Venant de Joan, Juliette s’attendait donc au pire, au chantage, à l’intimidation, et à quantité de méthodes peu recommandables pour la faire craquer.

« Votre fouet me convient parfaitement, Madame Cryptinna. Je vois qu’entre vos mains, Juliette est bien placée. »

Juliette déglutit faiblement, baissant craintivement la tête, amenant sur les lèvres de la redoutable Joan un nouveau sourire en coin.

« Il me tarde de pouvoir l’essayer. »

Joan décrivit quelques moulinets dans la pièce avec le fouet, l’abattant sèchement. À chaque fois que le fouet fendait l’air, il claquait, et, à chaque fois que le claquement se terminait, la tête de serpent sifflait, une langue fourchue jaillissant à son extrémité. Joan continua à le bouger, et le claqua rapidement, si bien que le fouet claqua à quelques centimètres de la tête de Juliette, qui sursauta en bondissant sur place, heurtant le mur.

« Wooops... ! Pardonnez mon empressement ! »

Joan se concentra, puis enroula le fouet autour de sa taille, s’en servant comme d’une espèce de ceinture.

« Je vous souhaite une bonne journée, toutes les deux... Reviens-nous en forme, Juliette ! »

La démone termina cette phrase avec un clin d’œil appuyé, puis s’écarta, laissant Juliette déglutir lentement. Lorsque Joan sortit, Juliette avait encore le cœur qui battait la chamade, et elle releva lentement la tête, son regard croisant celui de Décatis. Elle se rappela alors l’état de fatigue dans lequel elle avait revu sa Maîtresse, balayant alors instantanément ses interrogations concernant Joan et ses plans.

« Maî-Maîtresse, vous... Vous allez bien ? »

Elle avait bien le droit d’être inquiète, après tout... Et, pour le coup, l’état de santé de sa Maîtresse la préoccupait bien plus que les provocations de sa grande sœur !
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Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 71 samedi 07 février 2015, 12:07:29

Décatis pris l’encaissement de l’enchantement du fouet et remercia sa cliente avec la politesse qui conviens. Bien sûr Décatis avais bien compris la situation et avait déjà prévu ce genre de complications. C’est pourquoi, elle avait déjà a pensé à plusieurs porte de sortie pour Juliette. Joan sorti, Juliette s’approcha inquiète de son état. Se retrouvant seule avec elle, Décatis put soufflet un peu.

-Ne tant fait pas je n’ai rien de grave, j’ai simplement épuisé ma magie et brulé un peu. Comme tu le  sais je suis une vampire alors utilisé de la magie sacré est dangereux pour moi-même. J’ai détruit la créature, mais sa ma également considérablement affaiblie. J’ai pu réaliser la commande de ta sœur, mais c’était limite. Mon corps a besoin de se régénéré. Mais nous avant un autre problème. Suis-moi. Prend la livre doré.

Essoufflé elle monta les escaliers lentement. Arrivé en haut elle posa sa main sur la porte de l’atelier pour vérifier la stabilité du sort qui verrouiller l’entrée. La Liche n’était pas encore éteinte, mais elle en avait plus pour longtemps, la créature était vraiment forte pour tenir si longtemps face à la purification. Rassuré elle s’avança au salon où elle avait ut leur premier entretien. Devant son fauteuil, Décatis s’écroula dessus aux lieux de s’assoir. D’un geste elle rassura Juliette et lui fit signe de venir devant elle.


-Je me doutais bien qu’il arriverait à un moment à un autre quelque chose du genre avec ta famille, je n’avais cependant pas pensé que sa viendrais si vite. En plus cela vient au mauvais moment…Ai-je tort de croire que se fouet t’es réservé ?


Qu’importe la réponse de Juliette, elle avait compris la situation, cette Joan n’avait rien dissimulé de ses intention et loin de là. Décatis connaissait les problèmes de Juliette avec sa famille. Les Beaumont  étaient une famille forte et fière de caractère, Juliette était pour eux fille faible et une honte. Décatis l’avais prise sous son aile et lui avait promis de l’aidé à surmonté tout ça et arrivé à prouver à sa mère qu’elle aussi pouvait être digne du nom des Beaumont. C’était là l’occasion d’enfin lui prouvé.

-Ecoute mon bien Juliette, je t’ai promise de faire de toi une femme forte, je t’ai dit que ça n’allait pas être facile, mais tu as quand même accepté. J’ai confiance en toi et voilà ta première épreuve. Je veux que tu affronte ta sœur ! A moins que souhaite qu’elle te soumette à ma place. Tu vas donc par un premier temps te défendre de sa tentative. Je vais te fabriqué un objet pour te protéger du fouet, mais surtout je veux que tu prennes le courage de refusé de de t’écrasé devant elle et lui prouvé ta force. Si tu n’y arrive pas et qu’elle arrive à te soumettre je ne pourrais plus te gardé avec moi. Mais nous manquons de temps pour te préparer à ça. Pose le livre sur la table basse.

Ce qu’elle préparé à faire ne l’enchantait as du tout. C’était une magie qu’elle connaissait et maitrisait à la perfection, mais contrairement à l’enchantement cette magie l’écœurait. Pour autant pour le bien être de Juliette elle allait l’utilisé si elle l’acceptait bien sûr.

-Pour devenir forte, il va falloir t’apprendre tout en étant ma soumise à être capable de dominé. En dominant quelqu’un tu apprendras mieux ce que je ressens pour toi et acceptera avec encore plus d’honneur mes attention à ton égare. Mais aussi sa te servira à te faire bien voir au prés de ta mère. C’est pourquoi on va te trouver une esclave, ta famille en as plein et même des esclaves personnel a chacune. Il temps pour toi d’avoir le tien ou la tienne. Je suis sûr que ça aidera à te faire bien voir de ta famille, de plus tu pourras transférer tes envi sur lui ou elle. Sa te permettra à mieux te maitrisé dans tes envie et à mieux me comprendre. Mais on verra ça demain. Il faut te préparé à affronter ta sœur ce soir.

Décatis ferma les yeux et pris une profonde inspiration, ce qu’elle allait lui proposé était quand même dur pour elle comme pour Juliette. Ce n’était pas quelque chose qu’on faisait tous les jours et surtout c’était très intime.

-A cause de mon état et du peu de temps que nous avons je ne peux pas te faire l’objet pour te protégé. Ainsi si tu acceptes d’affronté ta sœur, si tu es déterminé à prouver à ta famille que tu es une femme forte, à prouver que tu es digne de ma confiance et surtout que tu as confiance en moi, je te proposé de te posséder. Je vais prendre le contrôle de toi, je vais te dominer de l’intérieur, mais soit consciente d’un truc. Si tu me laisse te faire ça, on va avoir un contact bien plus intime que n’as jamais ut avec personne. Accepté ça vas profondément d’affecté et te touché. Tu n’en ressortiras pas indemne, ça ne vas te blessé rassure toi, ce que je veux dire que tu ne me verras plus de la même façon. Tu porteras un regard nouveau sur moi. Je te laisse une heure pour faire ton choix. Tu peux refuser et toujours vouloir affronter ta sœur, mais il vas falloir trouver une autre solution qui n’est pas sûr de marché ou tu peux encore accepter de te soumettre à ta sœur  et en assumé les conséquences sur ta famille. Réfléchi bien à tout ça et donne-moi ta réponse.


Juliette Beaumont

Humain(e)

Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 72 lundi 09 février 2015, 01:48:20

La visite de Joan Beaumont avait effectivement bouleversé Juliette, et Maîtresse Décatis l’avait parfaitement compris, en disant qu’elles avaient maintenant un « autre problème ». Il n’était pas difficile de se renseigner sur Juliette. Les Beaumont étaient une famille très vieille à Ashnard, très influente, et chacune des sœurs de Juliette avaient de grandes ambitions. Dans cette famille puissante, Juliette était clairement la cinquième roue du carrosse, provoquant, soit un sentiment de honte, soit une envie de la brutaliser en la traitant comme le reste des esclaves du clan. Le secret de Juliette avait finalement été éventé par Joan, mais, fort heureusement, personne d’autre ne semblait être au courant. Le pire, ce serait qu’Izaël soit au courant... De toutes ses sœurs, elle était la plus cruelle et la plus ambitieuse, celle qui était appelée à succéder à Mère au titre de Matriarche du clan. Belle et forte, Izaël dirigeait déjà d’une main de fer la famille, et était sans cesse irritée par le comportement faible de Juliette, qui provoquait le déshonneur et la honte sur le clan. Joan pouvait toujours la menacer... Sa sœur n’avait pas l’ambition d’Izaël, mais était très perverse... Et elle avait toujours rêvé de fouetter Juliette. Pour le coup, la jeune femme n’avait pas dut out envie d’être à ce soir !

Morte d’inquiétude, elle suivit sa Maîtresse en hauteur, et perçut les traces d’un violent combat magique... Décatis avait visiblement combattu un enchantement redoutable, et Juliette percevait les traces d’une Liche... Une Liche ! Ils ‘agissait d’une créature extrêmement dangereuse, généralement l’esprit désincarné d’un ancien mage noir, capable d’invoquer les morts, et d’utiliser la nécromancie.

*Une Liche...*

Même malgré l’incursion de Joan, Juliette était impressionnée. Ce n’était pas commun ! Sa Maîtresse était vraiment une femme forte, et, sans trop savoir pourquoi, Juliette se remit à penser au moment où elle avait vu sa Maîtresse nue, avec le reflet de la lumière solaire sur son corps... Ce spectacle avait hanté ses nuits et ses draps pendant de nombreux jours, et continuait encore à le faire. Oui... Ce que Juliette ressentait pour sa Maîtresse était encore nettement plus fort que ce qu’elle avait ressenti avec Valentin. C’est en songeant à ses sentiments envers sa Maîtresse que Juliette comprenait clairement qu’elle n’avait jamais vraiment été amoureuse de Valentin.

Maîtresse Décatis ne tarda pas à lui parler de Joan, et lui expliqua qu’il était temps pour Juliette de prendre le taureau par les cornes... En se dressant face à Joan. En entendant ça, Juliette écarquilla les yeux, en sentant une onde de peur la traverser. S’opposer à ses sœurs ? Est-ce que Décatis venait de péter un plomb ?! Contre elles, Juliette n’avait aucune chance ! C’est ce qu’elle pensait, mais elle refoula la vague de panique, quand Décatis lui expliqua que, si Juliette ne se dressait pas ce soir contre l’envie de Joan de la fouetter, alors leur union serait finie. À cette idée, Juliette sentit la panique éclater à nouveau dans son corps. Mettre fin à leur idylle ?! Oh non ! Cette perspective était encore plus terrifiante que l’idée d’affronter Joan ! En soi, ce n’était pas que Juliette était contre, mais... Comment faire ? On ne repoussait pas Joan en lui disant simplement « Non ». Sa sœur savait très bien ce qui se passait entre elle et Décatis, et elle avait amplement les moyens de forcer Juliette à obéir. La violenter physiquement était exclue, car Joan savait que Mère y était opposée, mais elle pouvait toujours faire pression, en menaçant d’aller le dire à Izaël, ou, pire, à la Matriarche ! Si Ursa apprenait ce que Juliette faisait ici, Décatis risquait de passer un sale quart d’heure... Bref, Juliette ne voyait que des catastrophes émerger dans son esprit, et elle devait se retenir de ne pas pleurer sur place, tant elle semblait désolée et désespérée.

*Sois forte, Juliette, sois forte !*

Oui, voilà ce qu’il fallait être... Forte, solide, et suivre les conseils de Maîtresse Décatis, qui avait plusieurs idées en tête... Et la plus efficace semblait être de permettre à Maîtresse Décatis de prendre le contrôle de son esprit et de son corps. Juliette en fut, encore une fois, estomaquée. C’était... C’était excessivement dangereux ! Juliette savait combien il était difficile de prendre possession de l’esprit d’une autre personne, même avec son consentement. Il y avait quantité de risques possibles : schizophrénie, troubles dissociatifs d’identité, altérations de la réalité... Et des risques de catatonie et de mort cérébrale... L’esprit était une chose très dangereuse, un domaine où la magie en était encore à ses balbutiements.

Maîtresse Décatis lui laissa une heure de réflexion, que Juliette mit à son profit pour... Réfléchir.

« Très... Très bien, Maîtresse... »

Perturbée, Juliette passa l’heure qui suivit assise sur une chaise, ses pensées confuses. Ce dont elle était sûre, c’était qu’elle tenait énormément à Maîtresse Décatis... Et qu’elle se voyait mal dominer. Maîtresse Décatis voulait qu’elle acquière un esclave, ce qui, honnêtement, n’était pas trop compliqué. Ursa serait ravie de lui en donner une, si cela permettait à sa cloche de fille de devenir un peu plus forte... Mais Juliette ne se voyait clairement pas en tenue d’esclavagiste, avec le latex et le cuir, tenant dans la main un fouet ou une cravache. Et puis... Elle ne voulait pas que Maîtresse Décatis rentre dans son esprit et qu’il y ait des séquelles psychologiques. C’était surtout ça qui l’inquiétait... Ça, en plus du risque inhérent qu’il y avait à combattre ses sœurs. Cette perspective continuait perpétuellement à l’effrayer.

L’heure défila assez rapidement, et Juliette finit par se relever, puis par rejoindre sa Maîtresse. Sa décision était arrêtée.

« Je... Je... J’accepte que vous me possédiez, Maîtresse. Je n’ai rien à vous cacher, et je vous aime profondément... Je crains juste qu’il n’y ait des séquelles en connectant nos esprits... Mais vous devez aussi savoir que Joan n’est pas la pire de mes sœurs... Si nous nous opposons trop à elle, elle pourra menacer d’en parler à Izaël, et elle... »

Juliette soupira, secoua la tête, et expliqua les choses différemment :

« Joan veut juste profiter de mon corps... Mais elle n’est pas opposée à notre union... Izaël, en revanche... Elle n’acceptera jamais que l’une de ses sœurs ait une Maîtresse... »

Elle ignorait si Décatis comprenait toutes les nuances... Le clan Beaumont était varié, et chacune des sœurs de Juliette avait sa propre personnalité et ses propres aspirations.
DC d’Alice Korvander.

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Décatis Cryptinna

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Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 73 jeudi 26 février 2015, 13:26:54

Assise dans son fauteuil Décatis se reposait pendant que Juliette réfléchissait à tout ce qu’elle lui avait dit. C’est vrais qu’elle lui en avait dit beaucoup et que pour elle sa faisait beaucoup. Quel que soit son choix, Décatis n’avait pas réellement l’intention de l’abandonné, c’était surtout qu’elle avait besoin d’une raison forte pour surmonté cette épreuve. Décatis était consciente de l’attachement de Juliette envers elle, un attachement qui petit à petit était devenue réciproque. Certes ce n’était pas vraiment une relation amoureuse, pas encore mais ça s’en approchait mais d’une façon différente du commun. Pour le moment le problème principal était la relation de Juliette avec sa famille, il était temps  d’aidé cette fille à améliorer son image parmi les Beaumont. Pour ça l’enchanteresse avait plusieurs idées.

L’heure de réflexion écoulée, Juliette revient au près d’elle lui faisant part de son choix. Sa réponse la fit sourire. Juliette n’en avait pas conscience, mais avoir accepté tout ça pour affronter sa sœur était déjà une étape. Elle venait de prouvé qu’elle avait quand même une certaine force, une forme de courage.

-Je suis fière de toi Juliette, tu viens de me prouver que tu es courageuse et ça c’est déjà une force. Maintenant laisse-moi te rassuré sur deux points. Le premier c’est que je n’ai pas l’intention de prendre possession de ton esprit, mais juste de ton corps. C’est quelque chose de bien différent et surtout bien moins dangereux. Ensuite ta mère ne découvrira pas notre relation de Maitresse Soumise, car nous allons lui présenter autrement. Mais commençons d’abord par le plus urgent. Je vais prendre le contrôle de ton corps pour te fabriqué un objet qui pourra te protégé du fouet de ta sœur.

Décatis se leva avec difficulté malgré qu’elle avait un peu récupéré de cette heure de repos et pris la main de Juliette dans la sienne. Elle l’approcha d’elle et la regarda dans les yeux. Utilisé cette magie ne lui plaisait pas, mais pour crée en urgence un tel objet elle n’avait pas vraiment d’autre choix.

-Ferme les yeux et accepte-moi dans ton corps quand tu sentiras mon intrusion. Tu vas alors devenir simple spectatrice de ton corps, tu verras toujours, tu entendras toujours et tu sentiras toujours, mais tu ne contrôleras rien. Tu sentiras mon esprit, je te demanderais de ne pas chercher à t’en approché, c’est là qu’il peut y avoir des risque. Me sentir si proche de toi pourras être une forte tentation. Tu risques d’avoir l’envie de m’exploré, mais actuellement tu n’as pas un esprit suffisamment fort et tu risques de t’y perdre. Concentre-toi sur ce que je ferais, tu y apprendras beaucoup. Le corps à une mémoire physique, ainsi ce que je vais faire restera en mémoire de ton corps et serra donc plus facile pour toi de le reproduire plus tard. Bon allons s’y.

Prenant une profonde inspiration Décati pris la seconde main de Juliette dans la sienne et se penchant pour poser ses lèvres sur les sienne. Ce n’était pas un baisé malgré les apparences, mais une intrusion dans le corps de la jeune fille. Passant du bouche à l’autre, se fut comme une brume blanche et froide qui rendra dans la bouche de Juliette sortant de celle de Décatis. Le transfert fini le corps de Décatis s’effondrât, mais l’enchanteresse maintenant dans le corps de son élève le rattrapa aussitôt et le replaça délicatement dans le fauteuil. Ce corps lui semblait si différent du sien, c’est là qu’elle se rendit compte que même avec ses enchantement son corps n’était vraiment plus humain. Par contre elle se mit à sourire en ressentant la magie du corps.

-J’en était sûr, tu as une grande magie en toi Juliette. Je vais faire de toi une puissante enchanteresse, tu n’arriveras peut être pas à mon niveau, mais tu as un potentielle pour te faire un nom. Si tu compense notre différence de magie par le travail et l’expérience tu pourras devenir meilleur que moi j’en suis convaincu.

C’était perturbant de parler avec la voix d’une autre personne, comme ça devait l’être pour Juliette d’entendre sa propre voix sans avoir cherché à parler. Surtout que la pauvre ne pouvait pas lui répondre. Après quelque seconde d’adaptation, Décatis marcha vers l’atelier cette fois elle fut sûr que la liche était détruite. Pour autant, elle ne tenta pas d’y entré pour le moment. Elle descendit l’escalier pour rejoindre le comptoir. Décatis ferma la boutique et pris ce qu’elle avait besoin pour faire l’objet de Juliette. Une bague en argent incrusté d’une émeraude. Sa capacité d’absorption de magie serra suffisante pour ce qu’elle a besoin. Le tout récupéré, elle remonta dans le salon où le livre dorée attendait. Avec les mains de Juliette, elle ouvrit le livre à la page qui avait servie à tester le fouet. Une image d’illutions du fouet apparut alors flottant au-dessus du livre. Se servant de cette copie de l’objet et de la magie de Juliette, elle débuta l’enchantement. C’était simple la bague allait être tout simplement un contre du fouet. Si jamais le fouet frappait Juliette alors qu’elle porte cette bague. Le fouet allait devenir brulant a la poignée et Juliette ne ressentirait aucune douleur si aucun effet de l’objet. Mais la réserve magique de l’apprentie et sa puissance était plus grande que prévue, preuve que Juliette se sous estimais.

-Hum je peux même faire mieux… Je peux faire en sorte qu’il te protège de la même façon de tout objet moins puissant que toi. Ce qui fait une belle protection vue ta magie.

Décatis ne se gêna pas pour le faire et crée ainsi un puissant objet de protection pour sa soumise et élève. La fabrication dura deux bonnes heures, mais le résultat était plus que satisfaisant. L’objet crée était puissant et dans la boutique se serrais vendu à un prix très élevé. C’était une belle performance et qui effectuer avec le corps et la magie de Juliette prouvait que cette dernière en n’était tout à fait capable.


-Tu vois Juliette, ce que je viens de crée tu peux le  faire toi-même et vue la puissance cette objet, je peux t’affirmer que tu es très doué.

Soulager, d’avoir fini elle posa le bijou sur la table et se regarda dans un miroir. Juliette put voir alors son propre visage avec l’aire fière et plein de confiance de Décatis .Cette expression était nouvelle sur ce visage mais lui allait plutôt bien.

-Regarde toit Juliette, c’est ce que je vais faire de toi si tu le veux bien.

Elle lui fit un beau sourire à travers le miroir et retourna face à son corps. Elle se pencha vers lui pour venir poser ses lèvres sur les siennes et réintégré son corps. Tout c’était bien passé et Juliette n’avais rien tenté de dangereux. La fatigue de son corps lui retomba dessus immédiatement.

-Ouf tout c’est bien passé…Comment tu as trouvé ça Juliette ? Te sens-tu prêtes à écouter mon plan pour ce soir ?


Juliette Beaumont

Humain(e)

Re : Romance interdite [Décatis Cryptinna]

Réponse 74 dimanche 01 mars 2015, 01:55:26

Ce qu’elles allaient faire était dangereux. Juliette le savait. C’était une forme très avancée de télépathie, qui prouvait les talents très impressionnants de sa Maîtresse. Cependant, outre les talents, pour que ce lien fonctionne, il fallait aussi une grande confiance entre les deux personnes. À l’académie, Juliette avait suivi des cours sur la métempsycose, une notion très complexe de la télépathie, qui était à mi-chemin entre la magie et la psychologie. Par « métempsycose », on désignait en effet toutes les méthodes magiques existantes pour déplacer une âme, ce qui, de base, posait le problème de l’interaction entre le corps et l’esprit. Rares étaient les télépathes capables de tels prodiges, et les plus talentueux survivaient potentiellement à la mort, en pouvant se réincarner, devenant alors, après la mort physique, des sortes de spectres. C’était un domaine passionnant et riche, mais qui restait extraordinairement complexe. Ce faisant, Juliette n’avait jamais rien fait d’autre qu’une étude théorique.

Face à sa Maîtresse, elle était nerveuse, mais elle avait, fondamentalement, confiance en elle. C’était sa Maîtresse, et, par ce terme, Juliette ne voyait pas là qu’une simple formatrice théorique pour lui enseigner les arcanes de la magie. Elle écouta donc les instructions de la femme... Puis Décatis l’embrassa, et Juliette sentit un souffle fort jaillir dans sa gorge, puis remonter jusqu’à son cerveau.

Immédiatement, une sensation de vertige s’empara d’elle, ainsi qu’une forte panique. Ce fut comme si elle était prisonnière de son propre corps. Elle pouvait continuer à voir, mais ne pouvait plus tourner la tête, ni remuer ses bras ou ses jambes. Tout était figé, comme si ses membres venaient de peser plusieurs tonnes, et qu’elle ne pouvait plus els bouger... Ni même remuer le petit doigt. Elle ne pouvait même pas fermer les yeux, ou remuer sa bouche pour parler, ayant l’impression que son corps venait de se statufier... Et, pourtant, quand Décatis se déplaçait, Juliette se déplaçait aussi, sentant le mouvement de ses jambes, ou encore le poids du corps de Décatis quand sa Maîtresse l’aida à s’asseoir sur un fauteuil. Le corps vide de Décatis respirait encore. Les fonctions organiques et primaires de son organisme fonctionnaient toujours, mais il n’y avait plus personne à l’intérieur pour le faire vivre.

*Calme-toi, Juliette, calme-toi...*

Si elle contrôlait mieux sa télépathie, elle pourrait, elle aussi, parler. Pour l’heure, elle était étrangère dans son propre corps, et, en se concentrant, elle pouvait sentir des idées spéciales, comme des parasites, qui n’étaient pas les siennes. Juliette acceptait la présence de l’esprit de sa Maîtresse, ce qui faisait que les deux esprits ne se heurtaient pas, mais, même malgré cela, l’enchanteresse en formation pouvait sentir une certaine résistance. Elle ne chercha pas à s’aventurer dans les pensées de sa Maîtresse, et laissa la femme parler. C’était bien sa voix, sa bouche, ses sons, ses intonations... Mais pas ses mots. Elle ne pouvait nullement répondre, et choisit de le faire par la pensée.

*D’accord... Je m’entraînerais...*

Elle comptait le faire, et entendre Maîtresse Cryptinna qu’elle avait un fort potentiel lui faisait énormément plaisir. Elle vit alors Décatis travailler pendant plusieurs heures, cherchant à enchanter un objet, et, si, au début, Juliette avait eu envie de rejeter cet esprit, peu à peu, elle se laissa faire. Décatis avait accès à tout ce que Juliette voulait cacher. Seules les tréfonds de son inconscient étaient plus difficiles à accéder, les endroits de son esprit où Juliette elle-même n’avait pas accès. Ainsi, sa Maîtresse pouvait voir combien Juliette l’aimait et la respectait. Et, même si Décatis lui avait formellement déconseillé de lire ses pensées, peu à peu, certaines de celles-ci fusèrent dans son esprit... Il s’agissait essentiellement de pensées liées à l’enchantement, dans lesquelles Juliette pouvait sentir tout son contrôle, tout son talent, toute l’étendue de ses connaissances.

Plusieurs heures passèrent, et, à travers les pensées de sa Maîtresse, Juliette comprit ce qu’elle lui fabriquait : une bague magique de protection, qui, tant qu’elle la porterait, aurait pour but de la protéger du fouet de Joan, ainsi que d’autres attaques minoritaires.

*C’est un artefact puissant, mais est-ce qu’il sera suffisant contre mes sœurs ?*

Joan pouvait toujours lui ôter sa bague, ou, au contraire, voir cette bague comme un défi, afin d’utiliser sur elle différentes techniques de torture, jusqu’à pouvoir surpasser les effets de la bague, ou épuiser sa protection magique. Pour le coup, Juliette avait tendance à voir le verre à moitié vide, mais, pour autant, ça ne l’empêchait pas d’apprécier ce qui se passait ici. Maîtresse Cryptinna finit ensuite par se retirer d’elle, et Juliette s’appuya contre le mur, en sentant un nouveau vertige la saisir. Une migraine subite et passagère émergea dans sa tête, avant d’en partir. Elle soupira à nouveau, puis vit sa Maîtresse

« Ouf tout s’est bien passé… Comment tu as trouvé ça Juliette ? Te sens-tu prête à écouter mon plan pour ce soir ? »

Juliette hocha lentement la tête.

« O-Oui, ça... Ça va... Je... C’était une expérience... Ça m’a effrayé au début, mais, après coup... Vous sentir dans ma tête était une sensation formidable, Maîtresse... »

Le contrecoup était qu’elle était nerveusement fatiguée, mais elle était prête à l’écouter, ce qui l’amena à enchaîner :

« Je suis prête à écouter votre plan, Maîtresse. »
DC d’Alice Korvander.

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