Le baiser était délicieux, et Mélinda sentait un savant mélange d’orgueil et de plaisir à voir à quel point la senseï était excitée. Elle le sentait dans la manière dont elle répondait à son baiser, dont sa langue avide se faufilait dans la sienne, et dont ses mains la palpaient. Yamagashi finit par réagir, alors que Mélinda tirait sur sa culotte, et elle fut soulevée. Mélinda ne portait, elle, pas de culotte, mais avait toujours ses collants d’étudiante, ce qui faisait que l’accès à son intimité était possible.
Utilisant sa masse corporelle, la plantureuse professeur se hissa, et alla poser ses mains sur le petit cul rebondi de Mélinda. La vampire ne poussa un petit soupir, et plaça ses propres mains sur les joues de la femme, afin de continuer à l’embrasser, remuant son corps contre le sien, se retrouvant assise sur cette dernière. Leurs lèvres continuèrent cette superbe danse, et Mélinda alla mordiller le cou de la senseï, sans chercher à lui faire mal, avant de retourner vers ses lèvres, soupirant de plaisir. La femme faisait ce qu’elle attendait : l’exciter… Et, pour une humaine, elle se débrouillait plutôt bien ! Sentir les mains de la senseï palper, empoigner son derrière, était un plaisir vif pour la vampire, leurs seins frottant tendrement les uns contre les autres.
La professeur opta elle aussi pour des poses provocatrices, en approchant son doigt de l’intimité, naturellement humide, de Mélinda. Cette dernière en frémit, ses joues rougissant également de plaisir, et elle vit la jeune femme suçoter le bout de son doigt, dont l’ongle était couvert de son délicieux nectar intime.
« Délicieux., commenta-t-elle.
- J’espère bien, répliqua Mélinda en souriant. (b]Je t’en offrirai à profusion, ma beauté…[/b] »
Elles retournèrent ensuite s’embrasser, et, progressivement, Mélinda amena Yamagashi à s’allonger sur elle, la jeune vampire basculant lentement en arrière, afin de s’étaler sur le bureau. Sa tête heurta une série de livres et de classeurs, probablement des affaires, et elle ramena le visage de la professeur vers le sien, attrapant pour cela avec fermeté sa nuque, pour retourner l’embrasser, les baisers coupant les gémissements de plaisir que la vampire faisait.
« Hmmmm… gémissait-elle en sentant sa professeur s’amuser près de son intimité. Han, senseï… »
Elle s’infiltrait en elle avec un talent certain, et Mélinda écarta les jambes, l’une de se mettant à pendouiller plus ou moins dans le vide. Avec son autre main, elle alla rendre la pareille à la femme, palpant ses fesses, lui donnant de délicates tapes, comme pour l’inciter à se dépêcher. Le plaisir montant, Mélinda devait se concentrer pour que ses griffes ne se tendent pas. Combien d’esclaves sexuels n’avait-elle pas estropié en étant incapable de contrôler les poussées d’hormones de son corps ? Fort heureusement, Mélinda avait appris depuis à réussir à contrôler les émotions de son corps, et elle put donc profiter de ce long et délicieux moment.
Au bout d’un moment, alors que le plaisir explosait dans le corps de la vampire, Mélinda alla attraper le poignet de la main qui jouait dans son intimité, et la retira, afin de l’amener près de ses lèvres, les léchant. Elle se sentait toute chaude, prête à exploser, et décida d’offrir à la jeune professeur sa surprise. En la regardant, elle lui adressa un léger sourire complice, avant de l’embrasser à nouveau.
« Senseï, voilà votre cadeau… » dit-elle après avoir relâché sa lèvre inférieure.
Mélinda se concentra, et quelque chose jaillit de son intimité, la recouvrant presque entièrement. Une verge en érection apparut, se dressant, s’enfonçant contre l’estomac de la belle femme, tandis que des testicules se formèrent également. Mélinda en poussa un long soupir, courbant son corps en avant pour apprécier ce poids supplémentaire. Sa verge était un peu humide, puisqu’elle avait traversé un endroit mouillé. Sous son pénis, on pouvait encore trouver une partie de son intimité, avec son clitoris. Elle sourit, ravie, à la senseï, la laissant observer ce nouveau membre.
« Quand je te disais que je n’étais pas comme les autres, ma belle… »
Comme pour la provoquer, elle glissa l’une de ses mains, et caressa sa verge. Elle était assez belle et longue, à l’image de l’orgueil de Mélinda, qui ne pouvait décemment pas avoir un petit membre. Ce membre, après tout, était d’origine magique, et avait été conçu pour satisfaire les fantasmes de vieilles aristocrates d’Ashnard. Il était donc normal qu’il soit de taille tout à fait honorable. Le faire apparaître avait encore plus excité Mélinda, qui était à moitié assise sur le bureau, soupirant longuement, son membre masculin lui envoyant dans tout le corps des élancements de douleur et de plaisir.
« Occupez-vous de lui, Madame… soupira Mélinda. Il n’attend que ça… »