Yamagashi était au bord de la crise de nerfs, de la rupture. Mélinda le sentait, et cela lui faisait énormément plaisir, de voir à quel point elle la mettait dans l’embarras. La brave professeur peinait à retrouver ses esprits, et il fallait bien dire que la vampire faisait tout ce qu’elle pouvait pour compliquer cette tâche. Elle malmenait avec une douceur insupportable la belle poitrine de la senseï, embrassait et mordillait sa peau, se presser contre elle… Et ce sexe, hum, ce sexe ! Même pour elle,c’était un supplice. Elle se retrouvait dans le même état qu’il y a quelques minutes, avant de jouir, un état d’impatience fort, où elle pouvait dire n’importe quoi. Son corps vibrait également d’impatience, et elle n’attendait qu’une seule chose : qu’elle se décide ! Devant, derrière, quelle différence ça faisait ? Mélinda comptait bien, de toute façon, la prendre dans tous les sens possibles ! Elle tremblait, tant ce corps était beau, tant cet esprit était attirant, tant cet être la faisait fantasmer.
« Devant », finit par dire, au bout d’un temps infini, la prof’.
Devant, finalement… Elle voulait revenir sur quelque chose de plus classique, de moins violent, mais Mélinda avait promis de faire ce qu’elle voudrait, et la vampire ne revenait jamais sur ses paroles. Yamagashi se détacha un peu de son étreinte, se retournant, et Mélinda alla cueillir ses lèvres dans un énième baiser, gémissant en la sentant pincer ses tétons. Ses seins étaient tendus et assoiffés, à l’image de tout son corps de vampire, et sa cyprine coulait sous son pénis, glissant sur le sommet de ses jambes La prof’ se mit à parler d’un ton sensuel et bas, excitant encor eplus Mélinda, qui en serra ses petits poings, ses griffes se tendant à nouveau. L’une des mains de la prof’ s’empara de son membre, et elle poussa un soupir.
« Je veux toucher ton corps parfait...
- Aaaaaaahhh… !» lâcha-t-elle dans un soupir.
Son membre se tendit sous cette main doucereuse, alors que la prof’, avec habileté, s’asseyait sur le rebord de la table, cette petite table d’étudiant. Son autre main s’empara du postérieur de Mélinda, et un frisson la parcourut. Son corps s’avança rapidement vers celui de Yamagashi, Mélinda perdant toute notion des choses, son esprit se focalisant uniquement et exclusivement sur cette belle femme, qui la rendait folle.
« Je veux que tu me regardes jouir. »
Elle amena autoritairement Mélinda contre elle, et leurs têtes se heurtèrent. Mélinda lut dans le regard de la senseï une inébranlable détermination, mélangée à un plaisir vif et intense. Une légère poussée sur ses fesses, un mouvement du bassin, et son membre se faufila dans son trou de plaisir. La vampire en ferma les yeux brièvement, relevant la tête, soupirant légèrement. Toute sa verge se glissa en deux ou trois secondes, son épée se faufilant dans cette manche délicieuse. Rouvrant les yeux, Mélinda regarda à nouveau sa professeur.
« Fait-moi gémir ! intima-t-elle dans le creux de son oreille.
- Sans… Sans problème ! » l’assura-t-elle.
Mélinda plaça ses mains sur les cuisses de la senseï, les remontant vers les fesses de la belle et plantureuse dame, et commença à la pénétrer, remuant son membre. Elle était debout, et elle assise sur le rebord de la table, et Mélinda se laissa aller, son propre corps heurtant le rebord de la table, sans vraiment la faire souffrir, tant elle était excitée. Les paroles laissèrent place aux gémissements et à des cris de plaisir, et Mélinda ne se privait pas, tant c’était bon ! La vampire devait parfois poser l’une de ses mains sur la table, la raclant avec ses griffes, ne voulant pas spécialement découper Yamagashi en rondelles, avant de reposer fermement ses mains. Elle remuait tellement en elle que la table commençait à remuer. Fragile et bancale, elle se soulevait un peu, Yamagashi étant après tout sur le bord.
Après un certain temps, Mélinda décida donc de changer un peu la situation. Sa bouche, qui allait se promener entre les seins de la senseï et ses délicieuses lèvres, s’écarta un peu, et Mélinda entreprit de se hisser. Elle souleva Yamagashi en utilisant ses mains et son corps, afin de la pencher un peu sur la table. Trop petite pour supporter un corps allongé, la table en tant que telle ne présentait qu’un intérêt réduit. Mélinda poussa donc Yamagashi, la mettant au bout de la table, rompant très brièvement le contact de son membre, le temps que Mélinda saute sur la table, utilisant son agilité pour retourner la pénétrer, l’embrassant tendrement. Leurs deux corps penchèrent légèrement vers le vide. D’une pousse, Mélinda renversa la table, et, avec le bout de ses griffes, parvint à saisir le rebord de la table derrière elle, la tirant pour la plaquer contre elle où elles s’embrassaient. De cette manière, Mélinda put pousser Yamagashi, l’étalant sur les deux tables, et put pleinement la pénétrer, s’étalant sur elle.
Une main sur un sein, elle lui sourit de toutes ses dents.
« Allez, allez, professeur, je veux vous entendre HURLER ! » l’encouragea Mélinda.
Elle serra son sein, et continua à s’enfoncer en elle, accélérant le rythme, les tables craquant délicieusement sous leurs ébats. Mélinda s’enfonçait aussi loin qu’elle le pouvait, tout en accélérant le rythme, ce qui n’était toutefois pas très difficile. L’intimité de sa professeur était tellement humide que son membre tendu et assoiffé s’y baignait avec joie. Elle embrassa à nouveau Yamagashi, dans un baiser difficile et torride, douloureux et mordant, avant de soupirer à nouveau, les joues rougies par le plaisir et le bonheur qu’elle ressentait.
« Han PUTAIN , si c’est bon ! » jura-t-elle alors.