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[FINI] Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

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Yamagashi Hitomi

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 15 mercredi 25 janvier 2012, 20:27:31

Un cadeau ? Je sens une bille chaude et humide pousser contre mon ventre. Je baisse les yeux, puis les ouvre grands de surprise. Un membre viril, déjà bandé, palpitant, brûlant de désir pour moi. La dernière fois qu'une femme m'a fait ce coup-là ne m'a pas laissé que de bons souvenirs. Bien sûr j'ai pris un plaisir fou, mais quand je suis revenue à moi la panique m'a fait frôler le malaise.

Cette fois la surprise est tout aussi agréable. Même si mon désir me fait tourner la tête j'ai encore l'esprit clair. Mélinda remue le bassin, son sexe bouge, pointant toujours contre mon estomac. Mon regard remonte vers son visage et son sourire.

« Quand je te disais que je n’étais pas comme les autres, ma belle…
- Vraiment pas. »

Mes lèvres descendent vers les siennes, sa main plonge vers sa verge. Je l'embrasse encore, la déguste alors qu'elle frémit sous ses propres caresses. Son souffle est aussi lourd que le mien.

« Occupez-vous de lui, Madame… soupire Mélinda. Il n’attend que ça…
- Ho, jeune fille... On veut donner des ordres à sa maîtresse ? »

Je lui donne un baiser du bout des lèvres, un autre sur son menton, sa gorge. Je continue de descendre avec une lenteur presque sadique. Je coule littéralement de la table pour finir accroupie devant le sexe tendue de mon étonnante élève. À y repenser, la dernière fois je n’ai pas eu l’occasion de « me pencher sur le sujet ». Laisser passer une autre chance serait pour de basses raisons sexuelles serait indigne d’un vrai professeur.

Je pose une main à l’intérieur de la cuisse de Mélinda, puis remonte d’une caresse pour atteindre sa chaude et fière lance. Mes doigts emprisonnent sa base, puis remontent pour chasser ceux de mon élève. Je me relève juste assez pour amener ma tête au niveau de son gland, que je chatouille de quelques coups de langue.

Ma main libre vient délicatement soupeser ses bourses, remuant les doigts pour les faire profiter elles aussi de la fête. Je m’enivre de sensations. La douceur de sa verge, sa chaleur, son goût, son arôme. Je l’agresse tendrement du bout de la langue, puis continue en abaissant ma bouche grande ouverte. Je lève les yeux vers les siens alors que mes lèvres glissent le long de son membre. De haut en bas, puis de bas en haut, et ainsi de suite.

Le mélange impossible, impensable des arômes l’homme et la femme qui ne sont qu’un, me fait tourner la tête. Mais très vite je ne laisse que mon index tendu entre ses testicules. Ma bouche abandonne son membre, sans le priver d’une dernière caresse du bout de la langue. Je presse mon visage contre lui avec un soupir, sans arrêter de le branler langoureusement. Je fixe son visage du seul de mes yeux dont la vue n’est pas bouchée.

« Est-ce que cela vous excite assez, Miss Warren ? dis-je d’une voix suppliante, avant de reprendre sans lui laisser le temps de répondre. Non, vous valez beaucoup mieux que ça. »

L’index que je gardais entre ses bourse part soudain se presser contre son clitoris. Mes doigts se resserrent autour de son membre que j’enfourne à nouveau. J’y ai goûté, j’ai aimé, je le dévore maintenant avec l’avidité d’une bête sauvage. J’aspire le peu d’air qu’il y a dans ma bouche pour le comprimer entre ma langue et l’intérieur de mes joues.

Ma main tire sa peau pour que son gland n’est d’autre refuge que ma propre chair. Plus bas, mon index abandonne son clitoris pour trouver un petit orifice où il s’enfonce doucement. Bientôt mon pouce a pris la place vacante et je torture ma mauvaise élève avec un plaisir que mes gémissements étouffés ne cachent sûrement pas.

Mélinda Warren

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 16 mercredi 25 janvier 2012, 22:37:52

Naturellement, Yamagashi fut assez surprise de voir ce membre tendu, mais, pour autant, sa surprise se dissipa bien vite. Seikusu n’était pas un endroit banal sur Terre ; Mélinda n’était pas le seul être « spécial » vivant ici. Peut-être que la senseï avait déjà vu une hermaphrodite, mais elle ne tarda pas à réagir, et embrassa le corps de Mélinda. La vampire ne frémit de plaisir, sentant les doucereuses lèvres de la femme glisser de ses lèvres vers son bassin, se promenant le long de son corps. Elle en frémit de plaisir, poussant de nouveaux soupirs, et finit par se mettre sur le rebord du bureau, alors que la professeur continuait à descendre, continuait à embrasser avec une lenteur infinie la peau tendre et fine de la jeune vampire. Cette dernière en poussa un nouveau soupir de plaisir, écartant faiblement les jambes. Sadiquement, la senseï avait pris tout son temps, et, même si Mélinda avait de l’expérience, le plaisir était quelque chose de vif chez elle, surtout quand son membre masculin était sorti. Ce dernier vibrait, et les griffes de Mélinda étaient désormais sorties, s’enfonçant dans le bois du bureau, le raclant, alors qu’elle remuait faiblement.

Finalement, après un temps qui lui sembla interminable, Yamagashi lui offrit ce qu’elle demandait. Un plaisir immense se mit à exploser dans le corps de Mélinda, remplaçant l’impatience qui brûlait en elle. C’était la double face du désir : un désir insatisfait était quelque chose de terrible à supporter, surtout pour une femme comme Mélinda, mais, inversement, un désir satisfait provoquait des plaisirs terribles. Les deux devaient savamment être équilibrés pour produire une dose de plaisir maximale, et Mélinda, sentant le plaisir venir, rétracta ses griffes, et tendit une main pour caresser la femme.

Cette dernière ne négligeait aucune partie de son pénis. Avec ses lèvres, elle léchait sa verge dans tous les sens du poil, et, avec l’autre, elle caressait ses testicules. Tout son membre était trempé, tacheté par sa cyprine, et Mélinda soupira de plaisir. Elle sentait son membre la torturer. Elle ignorait si c’était là ce que ressentait un homme, n’ayant jamais pu se mettre dans leur peau, mais c’était terrible ! Tout son être était accaparé, et sa verge dure la faisait souffrir, tellement souffrir ! Elle était grosse, tendue, et avait soif, soif de sexe. Yamagashi la masturbait avec une main, glissant avec aisance sur cette verge trempée. Elle embrassait son membre, et Mélinda poussait des cris. Contrairement à un homme, son pénis jouissait bien plus facilement, et Yamagashi, en poursuivant son traitement, ne tarderait pas à en faire les frais.

« Est-ce que cela vous excite assez, Miss Warren ?
 -  Énormément ! acquiesça-t-elle sur un soupir, son corps se dandinant.
 -  Non, vous valez beaucoup mieux que ça.
 -  Hum… J’espérais bien que vous ne voudriez pas en rester là, ma belle ! »

Yamagashi alla titiller son clitoris, et Mélinda poussa alors un hurlement de plaisir strident. On excitait à la fois son pénis et son vagin. Elle ressentait à la fois le plaisir qu’un homme ressentait quand on le branlait, et le plaisir qu’une femme éprouvait quand on la caressait. Sa cyprine se mit à dégouliner le long des doigts de la professeur, satisfaisant énormément la mauvaise élève, tandis que la main de Yamagashi alla se glisser dans un autre trou, dans son fondement. Mélinda sautilla légèrement, remuant ses fesses, et poussa un autre cri de plaisir, un râle langoureux, sentant des frissons la traverser le long de tout son corps.

Les mains d’Alice caressaient les cheveux de Yamagashi, et l’amenaient à prendre son sexe dans sa bouche, à continuer sa fellation. La femme jouait avec son gland, avec cette partie sensible, électrisant Mélinda. Oh oui, qu’elle était douée ! Bien plus que ses esclaves ! Bien plus que bien des partenaires, et bien des lycéennes ! Jamais Mélinda n’avait été autant convaincue d’avoir fait le bon choix avec elle, et ses griffes s’enfonçaient le long de ses cheveux, caressant sa peau, là encore, sans la faire souffrir. Mélinda remuait le long du bureau, ce dernier émettant quelques craquements, et elle donna un violent coup sur le bureau. Son corps remuait tellement qu’elle finit par glisser de son bureau, glissement facilité par la mouille qui commençait à s’accumuler.

Mélinda s’écrasa sur le corps de Yamagashi, renversant sa professeur sur le sol, la vampire tombant avec elle. Son membre heurta l’aine du senseï, à proximité de son intimité, et elle remonta ses lèvres près de son visage, pour l’embrasser. Sa queue tremblante frotta l’intimité de la senseï, mais un sourire éclaira les lèvres de Mélinda.

« Non…, dit-elle, rejetant l’idée de la pénétrer. C’est encore trop tôt… Et vous aussi, vous méritez mieux, Mlle Yamagashi. »

Elle lui sourit, lui mordillant l’oreille, et l’aida à se mettre assise. Tenant son membre à la base, elle l’approcha des seins de la professeur, et le glissa entre ses derniers, son bout frottant contre la chair de la femme. Mélinda s’était positionnée de telle manière que le bout de son membre, quand elle le faisait bien glisser, approchait des lèvres de Yamagashi, la tapotant.

« Haaaaaaaaaaaaaaannn !!! Faites-moi jouir, sensei, avec votre superbe poitrine et vos lèvres délicieuses, et je vous rendrais la pareille. Je vous baiserai comme une chienne ! »

Mélinda avait beau avoir plusieurs siècles d’existence, elle restait une vampire assez jeune, très soumise à ses propres pulsions.

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Yamagashi Hitomi

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 17 jeudi 26 janvier 2012, 16:10:09

Les griffes de Mélinda se baladent sur ma tête. Mon cuir chevelu est parcouru de frissons électriques qui se répandent comme le sillage d'un bateau sur une mer calme. Pendant quelques secondes je ne contrôle plus ma nuque, qui tire ma tête en arrière entre mes épaules. Je dois me pencher pour garder son membre à portée de lèvres. Très vite les frissons se font moins agressifs. Chaque mouvement de ses griffes diffuse un peu plus loin des pulsations apaisantes.

Mes épaules se détendent, les mouvements de mes bras deviennent plus fluides. Je sens un nuage orageux, chargé d'électricité, se former dans ma tête et engourdir ma raison. On néglige trop souvent l'effet d'une simple main passée dans les cheveux. Pour la plupart des hommes, ils ne servent qu'à être tirés ou écrasés contre la tête par des mains tyranniques. Mais sous des caresses langoureuses, à peine griffantes, le cuir chevelu n'a rien à envier aux zones dites "érogènes", dont on sous-estime gravement le nombre.

Les ongles étrangement pointus de ma mauvaise élève suffisent à me garder excitée. Ses ongles, et ses gémissements, les respirations profondes qui les ponctuent, le contact de son membre sous mes doigts, sur mes lèvres, ma langue. Je ne peux m'empêcher de répondre aux mouvements implorants de son bassin. Mes propres hanches bougent lentement d'avant en arrière, de droite à gauche. Comme si elles cherchaient quelque chose pour combler mon intimité larmoyante de solitude.

Soudain Mélinda glisse et m'emporte avec elle. Je tombe à la renverse, brutalement privée de tout le plaisir qu'elle me donnait. Ma tête encore frémissante rencontre le carrelage, le choc fait voler en éclat tous mes repères. Doublement sonné je lève les yeux vers le visage de la jeune femme, comme si je sortais d'un songe éveillé. Mon regard choqué dévale son corps pour se fixer un instant sur son sexe, tendu vers le mien. Je laisse échapper un souffle tremblant mais rassuré. Le rêve n'est pas fini.

Le baiser qu'elle me donne, le contact de ses lèvres, réveille tout ce que notre chute a assommé. Je la fixe d'un regard implorant quand elle joue de son membre aux limites de mon intimité. Si elle ne se décide pas très vite je vais lui sauter dessus, quitte à souffrir en forçant moi-même son membre entre mes lèvres humides. Malheureusement elle se décide.

« C’est encore trop tôt… Et vous aussi, vous méritez mieux, Mlle Yamagashi. »

Elle m'aide à me redresser, me manipule comme un jouet. Sa verge brûlante vient se blottir au creux de mes seins. Ma frustration s'efface devant la promesse d'un plaisir dont l'attente pousse déjà l'intensité. Mes mains monte s’emparer da ma poitrine pour mieux emprisonner son membre. Son gland disparaît pour jaillir à nouveau. Il monte frôler mes lèvres comme un petit animal qui viendrait quémander un peu d’attention.

Je penche la tête pour répondre à ses suppliques silencieuses. Ma langue l’accueille à chaque passage, pour le repousser ou accompagner son mouvement. De temps en temps mes lèvres se referment sur lui comme pour le retenir. Je sens son corps qui réagit au plaisir que je lui donne, qui le vie, qui le respire.

« Haaaaaaaaaaaaaaannn !!! Faites-moi jouir, sensei, avec votre superbe poitrine et vos lèvres délicieuses, et je vous rendrais la pareille... »

Sa voix implorante attise en moi les braises d’où la tempête de feu à prête à éclater.

«  Je vous baiserai comme une chienne ! »

Soudain c’est une bourrasque glacée qui me fait frémir de l’intérieur. Dans cette situation je ne pense pas que ma voix gémissante rende justice à mes sentiments.

« Comme une chienne ? »

Autant dire comme les autres. Comme tous ces « babouins », ces « demeurés congénitaux » dont elle se dit tellement supérieure. Elle aurait aussi bien pu me repousser et repartir sans un mot, j’aurais préféré plutôt que d’entendre ça. La tempête qui gronde en moi n’est pas celle que j’avais imaginé, les frissons qui courent le long de mes muscles n’ont plus rien à voir avec le plaisir.

Mes doigts se crispent, j’écrase mes propres seins l’un contre l’autre jusqu’à en souffrir. Je comprime le membre de Mélinda. Je le branle avec toute la rage de ma frustration, comme pour lui faire payer les mots qui m’ont blessés.

« Comme une chienne, c’est ça ? Assis, couché, pas bouger ? À genoux et avale ou c’est la fessée ? »


Je ne sais même plus ce que je raconte, je m’en fous. Je ne sais qu’une chose : dans mon état d’excitation je risque de perdre le contrôle. Si mes main s’écartent de ma poitrine je vais la frapper, si ma bouche arrête de parler je vais la mordre. Si je me lève je vais me jeter sur elle, et pas pour lui faire bien.

« C’est tout ce que vous voulez, Miss Warren ? C’est ça que vous aimez ? C’est tout ce dont une lionne est capable ? »

Un jet de sperme vient soudain frapper mon visage. Je me fige un instant, puis remue encore ma poitrine pour aider son gland surexcité à se libérer complètement. Quand plus une goutte n’en sors, je laisse mes main retomber. Je me penche en arrière, le membre toujours tendu glisse le long de ma gorge puis entre mes seins couverts de sa semence encore chaude. Je lève vers Mélinda mon visage souillé, mon regard où ou la déception prend déjà plus de place que la colère.

« C’est ça, le mieux que je mérite ? »

Puis j’attends, mais de ce qu’elle m’a promis je n’espère plus grand-chose.

Mélinda Warren

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 18 vendredi 27 janvier 2012, 00:17:09

Excitée, Mélinda avait bien du mal à comprendre que sa dernière tirade, dite sans réfléchir, avait froissé Yamagashi. Elle sentit juste cette dernière compresser un peu plus son membre tendu, la faisant trembler de plaisir. Qu’est-ce que c’était bon ! C’était tellement bon que la vampire se sentait ailleurs, et parvenait tout juste à glisser à nouveau ses doigts entre les mèches de cheveux de la senseï. Elle sentait son orgasme venir, tant son membre masculin était comprimé, caressé, serré. La senseï essayait presque de le broyer entre ses deux beaux mamelons, et la petite vampire était incapable de rester stoïque. Son membre était dur, si impatient, et elle sentait dans son corps un savant mélange naturel d’une exquise douleur et d’un plaisir fulgurant. Elle interpréta donc les paroles de Yamagashi, non pas comme l’expression de sa frustration, mais comme des paroles destinées à l’exciter encore plus.

« Comme une chienne, c’est ça ? Assis, couché, pas bouger ? À genoux et avale ou c’est la fessée ?
 -  Aaaaaaaah !!! »

Incapable de lui répondre, elle se laissait faire, et promena ses mains griffues sur son propre estomac, bouillonnant. Elle entendit vaguement Yamagashi lui parler d’une « lionne », mais Mélinda était alors ailleurs. Avec ce membre masculin, et ses instincts vampiriques, son plaisir était complètement décuplé, à tel point qu’elle en devenait ivre. Le sperme jaillit de son membre, éclaboussant les lèvres de Yamagashi, et Mélinda poussa alors un nouveau cri, faisant venir d’autres giclées. Elle en poussa de multiples cris, le sperme continuant à jaillir, sentant un indescriptible bonheur la traverser. Le sperme continua à venir, éclaboussant les seins de la femme et sa gorge, avant qu’elle ne se ressaisisse. Mélinda alla s’appuyer contre le bureau, soupirant lourdement, sa poitrine se soulevant.

« C’est ça, le mieux que je mérite ?
 -  Quelle impatience, fit-elle., relevant la tête. Est-ce que je… ?»

Mélinda se tut en voyant le regard de Yamagashi. Le sperme de la vampire avait éclaté sur le bas de son visage, heurtant ses joues, ses lèvres, et même un bout de son nez, ce qui la rendait assez attirante, mais c’était surtout son regard qui l’interloqua. On pouvait y lire tout, sauf du plaisir. Mélinda se rappela alors ce qu’elle avait dit, et commença à comprendre, ce qui la fit sourire. Restant avec son membre, elle s’approcha de la senseï, et alla lui lécher le visage, se blottissant contre elle.

« Ne prends pas en…, commença-t-elle, avant de l’embrasser dans le creux du cou, …Compte tout ce que je dis quand je suis dans…, poursuivit-elle, lui embrassant désormais le lobe de l’oreille. … Cet état. Un pénis excité, ça a de quoi rendre fou, ma belle. »

Mélinda retourna sur ses lèvres, et l’embrassa tendrement, son membre frottant contre son estomac. Le baiser se poursuivit plusieurs longues secondes, puis Mélinda se redressa lentement, aidant également la professeur à se redresser, avant d’aller délicatement la pousser contre une table. Caressant l’un des seins de Yamagashi, Mélinda embrassa l’autre, le suçotant, avant de lécher son propre sperme, qui dégoulinait entre ses seins.

« Ma belle, comment peux-tu croire que je te négligerais ? Ton corps est une œuvre d’art… Je ne peux décemment pas le traiter comme je le ferais avec n’importe qui…#

Elle continua à embrasser le corps de Yamagashi, se dressant un peu, afin de l’embrasser à nouveau sur le bout des lèvres, mordillant la lèvre inférieure, lui grattant tendrement le dos, glissant vers son postérieur, sans encore le toucher, se contentant d’alterner baisers, coups de langue, et frottements avec ses griffes. Elle n’avait pas tort ; le corps de Yamagashi était effectivement une ode à la beauté. Comment pouvait-elle croire que Mélinda comptait expédier cette scène ? Était-elle si convaincante que cela ? Ou est-ce que la senseï lui faisait du cinéma ? Son regard avait l’air si vrai… Mais elle ne devait pas oublier que la femme était loin d’être une novice dans le domaine de la séduction. Mélinda ne doutait pas une seule seconde qu’elle était du genre à coucher avec ses élèves, et à savoir comment les manipuler. En d’autres circonstances, la perspective d’être manipulée aurait agacé Mélinda, mais ici, elle était suffisamment excitée pour ne pas céder à des relents paranoïaques. Elle continua à l’embrasser, et glissa vers son nombril, avant de s’approcher de son intimité. Elle donna un coup de langues dessus, et regarda Yamagashi avec ses yeux innocents.

« Oublie cela, ma belle ; ma langue a fourché. Me pardonnes-tu ? »

Sans vraiment attendre sa réponse, elle renifla son intimité.

« Ton corps, lui, a l’air de ne pas m’en tenir rigueur, en tout cas… Retourne-toi, s’il-te-plaît, je crois que je dois m’occuper d’une autre partie de ton corps… »

Mélinda se mordilla les lèvres, et aida Yamagashi à se retourner, puis embrassa chacune de ses belles fesses, avant de les mordiller affectueusement. Elle lécha ensuite la petite raie qui démarquait ses deux belles bosses, et les malaxa tendrement.

« M’en tiendrez-vous rigueur, senseï, lança-t-elle pour la narguer, si je vous dis que vous avez un délicieux cul ? »

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Yamagashi Hitomi

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 19 vendredi 27 janvier 2012, 03:37:37

Redevenue amante attentive, Mélinda chasse peu à peu mes craintes. Ses caresses et ses baiser dispersent mes doutes, ranime les braises de mes espoirs charnels. Je me laisse charmer par ses mots, convaincre par ses excuses. Je penche la tête pour accueillir chaque passage de sa langue sur mon visage souillé. Rares sont les jeunes hommes qui sacrifient à ce genre d'attentions. C'est tellement obscène, mais tellement excitant.

J'avance ensuite la poitrine alors qu'elle me nettoie comme le ferait un animal. Elle me caresse et m'emporte à nouveau. Je ne résiste pas. Elle m'envoûte aussi facilement qu'une sirène charme les marins restés trop longtemps en mer. Mon ventre s'embrase quand je sens ses baiser descendre vers mon nombril, puis plus bas encore. Elle excite mes lèvres intimes d'un coup de langue précis. Ses grands yeux de poupée me donnent le vertige.

« Oublie cela, ma belle ; ma langue a fourché. Me pardonnes-tu ?
- Pas encore. »

J’ai parlé sans réfléchir. Je ne veux pas lui pardonner, pas avant qu’elle me fasse crier de plaisir. Pas avant de lui céder entièrement, jusqu’à cette dernière réserve. Mais regarde les choses en face, Hitomi : il ne faudra pas longtemps. Piquer ma petite crise m’a épuisée. Entre résister et obéir à mes pulsions, le choix ne se posera pas. Je sens son souffle caresser mon intimité. Je frissonne, et rougie d’une gêne qui m’étonne moi-même.

Puis sur quelques notes de sa voix enivrante je suis ses mains qui guident mes hanches. Ses lèvres se posent tour à tour sur chacune de mes fesses. Je rougie de plus belle quand sa langue remonte le long de ma raie.

« Non... C‘est trop... »

Sale ? Indécent ? Pervers ? Sans doute un peu des trois, car je ne veux pas avouer que cela m’excite. De toutes façons elle ne semble pas s’en soucier.

« M’en tiendrez-vous rigueur, senseï, si je vous dis que vous avez un délicieux cul ?
- Non. »

On m’a déjà dit qu’il était ferme, doux, chaud, étroit, bon. Mais « délicieux » : c’est une première. Je ne peux qu’accueillir le compliment avec plaisir. Je sens mes jambes s’affaiblir comme la langue de Mélinda se fait plus pressante. Dans ma position je ne fais que subir, et j’aime ça. À chaque coup de langue sur mon petit orifice, à chaque infime griffure que laissent ses ongles, la chaleur qui monte en moi devient un supplice.

C’est incroyablement bon, plus que ça ne l’a jamais été. mais bientôt ça ne suffit plus. Moi qui, d’habitude, ne consent à la sodomie que pour la plaisir de mes partenaires, cette fois je me retiens de la réclamer. Je repense au sexe de Mélinda, à cette verge inattendue, impossible, irrésistible. Son goût envie ma bouche comme s’il s’y trouvait encore, son odeur puissante emplit mes narines. Je me souviens de sa douceur, sa chaleur.

Je ne peux m’empêcher de me cambrer. Au bout de mes bras tendus, mes mains décollent presque de la table. Une bonne occasion d’en envoyer une chercher à tâtons la chevelure soyeuse de ma douce tortionnaire.

« C’est tellement bon... Mélinda. »

Mélinda Warren

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 20 vendredi 27 janvier 2012, 12:12:28

La tension qui avait vaguement animé le corps de Yamagashi disparaissait à chacun des coups de langue de Mélinda. Comment résister à de telles caresses, après tout ? Soigneusement et tendrement, la vampire s’occupait de cet adorable derrière, mordillant la chair, la palpant et la serrant entre ses doigts, la griffant avec gentillesse, embrassant ces deux petites collines de plaisir. Elle sentait tout le corps de Yamagashi se détendre, trembler, et Mélinda en rajoutait, naturellement. Son sexe tendu se frottait contre l’une des jambes de la femme, afin de lui rappeler la présence de ce membre assoiffé, qui n’attendait qu’à se plonger dans les profondeurs de son corps. En d’autres circonstances, Mélinda aurait sans doute pratiqué d’office une sodomie, car elle sentait que la senseï n’attendait que cela. Néanmoins, l’estime qu’elle portait pour sa beauté suffisait à permettre à Mélinda de se contrôler… Et puis, il était bien plus amusant de la malmener ainsi, de l’exciter, de la voir perdre son sang froid.

C’est donc avec un plaisir évident que Mélinda jouait avec son derrière. Elle fourrait son nez dans sa croupe, le faisant glisser le long de cette raie, le reniflant bruyamment, multipliant les gestes salaces et pervers. Elle écartait chacune des fesses de Mélinda avec ses doigts, voyant son petit anus, allant le lécher, le suçoter tendrement, mais sans jamais y glisser un seul doigt. Elle retournait ensuite déposer des baisers sur les fesses de la femme, ne parvenant pas à s’en lasser.

Elle glissa l’une de ses mains sur le devant de son corps, griffant tendrement son aine, son auriculaire effleurant son intimité, et elle sentit le corps de la prof’ se tendre, se cambrer délicatement. L’une des mains de la femme alla se glisser assez maladroitement dans les longs cheveux de Mélinda, et elle remua sa tête, sentant un frisson la parcourir.

« C’est tellement bon... Mélinda.
 -  Mmmm… En aurais-tu douté ? » la nargua-t-elle à nouveau.

Elle lécha son fessier, continuant encore ce petit jeu pendant plusieurs minutes, ses mains baladeuses continuant à explorer le bassin de Yamagashi. La main posée sur son aine enfonça tendrement son petit doigt dans le sexe de la prof’, remuant lentement dans ce puits de plaisir, s’enfonçant délicatement, avant de ressortir. Mélinda satisfaisait le désir de la prof’, tout en la rendant de plus en plus insatisfaite. Son auriculaire, en effet, n’allait pas très loin, restant, pour ainsi dire, à la surface de ce petit trou.

« Sens-toi honorée, ma beauté ; d’habitude, je traite mes partenaires sans vraiment chercher à leur demander leur consentement, mais toi… Tu mérites un traitement de faveur »

Mélinda ponctua son assertion en embrassant à nouveau son derrière, puis commença à se redresser, promenant ses mains le long des hanches de la prof’, finissant par les placer sur ses seins, emprisonnant chacun de ces deux belles pointes entre ses doigts, frottant et enfonçant les siens contre le dos de Yamagashi, son membre tendu s’enfonçant contre l’une des fesses de la prof’. Elle lécha ses cheveux, avant de s’approcher de l’oreille de la femme, comprimant son beau corps contre le sien, pour lui murmurer à l’oreille :

« Devant ou derrière ? Mon sexe a très envie de te farfouiller un peu, ma belle. Dis-le. Gémis-le. Que je vois et entende tout l’effet que je te procure.[{/color] »

Elle lécha ensuite le cou de Yamagashi, mordillant sa peau entre ses cheveux, et continua à remuer ses seins sous ses mains, frottant avec certains de ses doigts ses deux tétons. Elle voulait la rendre folle, afin que Yamagashi oublie la petite peur qu’elle avait eu, et, pour cela, Mélinda remuait aussi son bassin, son membre glissant sur le postérieur de la prof’, s’enfonçant dedans, avant de se redresser.

DC d’Alice Korvander.

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Yamagashi Hitomi

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 21 vendredi 27 janvier 2012, 15:08:51

Elle me touche, elle me flatte, elle m'explore. Elle me dit que je suis belle, qu'elle me traite beaucoup mieux que tous les autres parce que je le mérite. Ses caresses et ses timides incursions font frissonner mon corps. je n'ai plus qu'une envie : lui céder. Je veux me laisser emporter comme un fétu de paille par la tornade de délices qu'elle me promet. Alors d'où vient cette sensation désagréable ?

Une goutte glacée dévale mon dos à la rencontre de ses lèvres qui le remontent. Trop envahie par le plaisir, brûlante de désir, je ne peux pas lutter contre ses sensations. Je ne les comprends même pas dans un premier temps. Mon estomac se noue. J'ai l'impression que quelque chose écrase ma poitrine de l'intérieur, bien avant que les mains de ma compagne ne se posent sur elle.

Je me raccroche à ses caresses en espérant chasser mon malaise. Je m'empiffre frénétiquement de la plus petite sensation. Ses lèvres toujours aussi douce. Son sexe tendu, plaqué contre mes fesses. Sa tendre poitrine qui presse dans mon dos, et ses tétons qui le chatouillent. Son souffle qui remonte le long de ma nuque.

« Devant ou derrière ? Mon sexe a très envie de te farfouiller un peu, ma belle. Dis-le. Gémis-le. Que je vois et entende tout l’effet que je te procure. »

Derrière ! Sans hésiter ! Par pitié ! Mais ma bouche s’ouvre à peine qu’une main implacable me tord la gorge. Je sens mes poumons forcer pour expulser l’air qu’ils contiennent. Les caresses de Mélinda mettent au supplice, son sexe n’est toujours pas entré en moi pourtant il me manque. Je veux pas qu’elle me prenne le plus vite et le plus sauvagement possible : j’en ai besoin.

L’appel est irrépressible. Même cette petite voix qui me ramène toujours à la raison n’ose plus murmurer. Je dois la sentir de toutes les manières possibles. Mon corps me hurle qu’il veut sa verge. J’ai l’impression que je ne pourrai pas survivre si elle ne laboure pas tous mes orifice jusqu’à m’abandonner au sol, moribonde. je ne supporte plus ce tourment, tous ces dilemmes. Où poser mes mains, mes lèvres ? Que dire ou que faire ? Devant ou derrière ?

Pitié, Mélinda ! Délivre-moi de mon malheur ! Enfonce-toi toute entière en moi ! Cogne ma volonté à grands coups de reins jusqu’à ce qu’elle tombe en miettes ! Tant pis pour ce que j’ai dit, pardon pour ce que j’ai fait. Entre en moi pour détruire ce qui me distingue encore de la chienne... La chienne...

Soudain tout devient clair. Les chaînes invisibles qui m’étouffaient disparaissent. Je lâche un long souffle apaisé qui calme même le désir sauvage. Le mon revient autour de nous. La classe, le tableau noir où sont encore inscrits la dates et les points importants du cour.

« Devant. »

Ma voix est faible pourtant je ne gémis pas. Je veux, je ne supplie pas. Sans la consulter, mais sans chercher à la surprendre, je retourne face à Mélinda. Mes mains viennent se poser sur ses joues comme je me penche pour l’embrasser.

« Je veux voir ton visage d’ange, Mélinda... »

Cette fois je supplies, je me prête au jeu. Mes mains glissent vers sa poitrine pour la caresser, pincer tendrement ses tétons excités.

« Je veux toucher ton corps parfait... »

L’une de mes main glisse encore plus bas pour enfer mer son membre dans une douce étreinte. Je le caresse de bas en haut, me dressant sur la pointe des pieds pour m’asseoir au bord de la table.

« Je veux que tu vois tout ce que tu provoques en moi... »

Mon autre main descend dans son dos, suis les courbes de sa chair tendre pour appuyer contre ses fesses. Je la tire vers moi, guidant son membre entre mes cuisses. Ma voix devient implorante.

« Je veux que tu me regardes jouir. »

J’appuie mon front contre le sien en la fixant droit dans les yeux. Tu en veux, des choses, Hitomi. Pas tant que ça. Finalement je ne veux qu’elle, et je ne pense pas qu’elle refusera. mais bientôt le bout de son gland rencontre mes lèvres humides. J’ouvre grande ma bouche sur un gémissement silencieux. Les yeux dans les yeux, je la pousse lentement à l’intérieur.

Elle me pénètre presque jusqu’au bout quand je me mords la lèvre inférieure pour retenir un gémissement. Mes mains la libèrent pour aller courir sur son corps. Mon visage glisse jusqu’à son oreille.

« Fait-moi gémir ! »

Est-ce un ordre, un souhait ou une supplication ? Je ne le sais pas moi-même. je m’enivre du parfum de ses cheveux en lui mordillant l’oreille.

Mélinda Warren

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 22 vendredi 27 janvier 2012, 20:20:51

Yamagashi était au bord de la crise de nerfs, de la rupture. Mélinda le sentait, et cela lui faisait énormément plaisir, de voir à quel point elle la mettait dans l’embarras. La brave professeur peinait à retrouver ses esprits, et il fallait bien dire que la vampire faisait tout ce qu’elle pouvait pour compliquer cette tâche. Elle malmenait avec une douceur insupportable la belle poitrine de la senseï, embrassait et mordillait sa peau, se presser contre elle… Et ce sexe, hum, ce sexe ! Même pour elle,c’était un supplice. Elle se retrouvait dans le même état qu’il y a quelques minutes, avant de jouir, un état d’impatience fort, où elle pouvait dire n’importe quoi. Son corps vibrait également d’impatience, et elle n’attendait qu’une seule chose : qu’elle se décide ! Devant, derrière, quelle différence ça faisait ? Mélinda comptait bien, de toute façon, la prendre dans tous les sens possibles ! Elle tremblait, tant ce corps était beau, tant cet esprit était attirant, tant cet être la faisait fantasmer.

« Devant », finit par dire, au bout d’un temps infini, la prof’.

Devant, finalement… Elle voulait revenir sur quelque chose de plus classique, de moins violent, mais Mélinda avait promis de faire ce qu’elle voudrait, et la vampire ne revenait jamais sur ses paroles. Yamagashi se détacha un peu de son étreinte, se retournant, et Mélinda alla cueillir ses lèvres dans un énième baiser, gémissant en la sentant pincer ses tétons. Ses seins étaient tendus et assoiffés, à l’image de tout son corps de vampire, et sa cyprine coulait sous son pénis, glissant sur le sommet de ses jambes La prof’ se mit à parler d’un ton sensuel et bas, excitant encor eplus Mélinda, qui en serra ses petits poings, ses griffes se tendant à nouveau. L’une des mains de la prof’ s’empara de son membre, et elle poussa un soupir.

« Je veux toucher ton corps parfait...
 -  Aaaaaaahhh… !» lâcha-t-elle dans un soupir.

Son membre se tendit sous cette main doucereuse, alors que la prof’, avec habileté, s’asseyait sur le rebord de la table, cette petite table d’étudiant. Son autre main s’empara du postérieur de Mélinda, et un frisson la parcourut. Son corps s’avança rapidement vers celui de Yamagashi, Mélinda perdant toute notion des choses, son esprit se focalisant uniquement et exclusivement sur cette belle femme, qui la rendait folle.

« Je veux que tu me regardes jouir. »

Elle amena autoritairement Mélinda contre elle, et leurs têtes se heurtèrent. Mélinda lut dans le regard de la senseï une inébranlable détermination, mélangée à un plaisir vif et intense. Une légère poussée sur ses fesses, un mouvement du bassin, et son membre se faufila dans son trou de plaisir. La vampire en ferma les yeux brièvement, relevant la tête, soupirant légèrement. Toute sa verge se glissa en deux ou trois secondes, son épée se faufilant dans cette manche délicieuse. Rouvrant les yeux, Mélinda regarda à nouveau sa professeur.

« Fait-moi gémir ! intima-t-elle dans le creux de son oreille.
 -  Sans… Sans problème ! » l’assura-t-elle.

Mélinda plaça ses mains sur les cuisses de la senseï, les remontant vers les fesses de la belle et plantureuse dame, et commença à la pénétrer, remuant son membre. Elle était debout, et elle assise sur le rebord de la table, et Mélinda se laissa aller, son propre corps heurtant le rebord de la table, sans vraiment la faire souffrir, tant elle était excitée. Les paroles laissèrent place aux gémissements et à des cris de plaisir, et Mélinda ne se privait pas, tant c’était bon ! La vampire devait parfois poser l’une de ses mains sur la table, la raclant avec ses griffes, ne voulant pas spécialement découper Yamagashi en rondelles, avant de reposer fermement ses mains. Elle remuait tellement en elle que la table commençait à remuer. Fragile et bancale, elle se soulevait un peu, Yamagashi étant après tout sur le bord.

Après un certain temps, Mélinda décida donc de changer un peu la situation. Sa bouche, qui allait se promener entre les seins de la senseï et ses délicieuses lèvres, s’écarta un peu, et Mélinda entreprit de se hisser. Elle souleva Yamagashi en utilisant ses mains et son corps, afin de la pencher un peu sur la table. Trop petite pour supporter un corps allongé, la table en tant que telle ne présentait qu’un intérêt réduit. Mélinda poussa donc Yamagashi, la mettant au bout de la table, rompant très brièvement le contact de son membre, le temps que Mélinda saute sur la table, utilisant son agilité pour retourner la pénétrer, l’embrassant tendrement. Leurs deux corps penchèrent légèrement vers le vide. D’une pousse, Mélinda renversa la table, et, avec le bout de ses griffes, parvint à saisir le rebord de la table derrière elle, la tirant pour la plaquer contre elle où elles s’embrassaient. De cette manière, Mélinda put pousser Yamagashi, l’étalant sur les deux tables, et put pleinement la pénétrer, s’étalant sur elle.

Une main sur un sein, elle lui sourit de toutes ses dents.

« Allez, allez, professeur, je veux vous entendre HURLER ! » l’encouragea Mélinda.

Elle serra son sein, et continua à s’enfoncer en elle, accélérant le rythme, les tables craquant délicieusement sous leurs ébats. Mélinda s’enfonçait aussi loin qu’elle le pouvait, tout en accélérant le rythme, ce qui n’était toutefois pas très difficile. L’intimité de sa professeur était tellement humide que son membre tendu et assoiffé s’y baignait avec joie. Elle embrassa à nouveau Yamagashi, dans un baiser difficile et torride, douloureux et mordant, avant de soupirer à nouveau, les joues rougies par le plaisir et le bonheur qu’elle ressentait.

« Han PUTAIN , si c’est bon ! » jura-t-elle alors.

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 23 dimanche 29 janvier 2012, 00:40:26

Une hésitation ? Je me rassure vite en sentant ses mains imprimer à mon corps le rythme du sien. Très vite la table grince et tremble sous moi. Ses pieds cogne tour à tour sur la sol carrelé. Quelqu'un pourrait entendre et je n'en ai rien à faire. Chaque fois que l'une des mains de Mélinda quitte mon corps, un nouveau grincement se fait entre. Long et continu, suivant le rythme des autres sans se couper. Ce n'est pas quelque chose qui se tord : trop régulier.

Mais même ce détail pour le moins troublant ne parvient pas à m'intéresser. J'arrive à peine à penser que, si j'avais su, je l'aurais prise sous mon bras et serai rentrée chez moi en courant avec. J'aurais d'ailleurs sans doute expédié les remontrances sur le chemin pour gagner du temps.

Je sens la table se réchauffer sous mes fesses, ce qui n'a rien de désagréable. Mais ce n'est pas cette chaleur qui me fait ronronner. Le sexe de Mélinda va et vient en moi avec une facilité qui n'ôte rien au plaisir. Chaque passage m'électrise. Mes pieds remuent jusqu'aux orteils autour de ses jambes.

Je voudrais m'allonger pour profiter un peu plus de son membre, jouer avec sa belle poitrine, voir son corps parfait à l'œuvre. mais en plus du boucan et des secousses cette table à le défaut d'être minuscule. mon amante semble du même avis que moi, et aussi peu encline à couper notre élan.

Soudain elle me porte presque. Je me cramponne à ses épaules. Je n'ai pas peur de tomber ou de glisser. Ce que je ne veux surtout pas, c'est qu'elle arrête. Bouger a fait monter le plaisir d'un cran, je n'arrive presque plus à retenir mes cris. Il ne m'en faudra pas beaucoup plus. Quand son sexe se retire je ne peux retenir un gémissement désespéré.

Elle me repousse et bondit sur la table, ou plutôt sur moi, sans me laisser le temps d’être surprise. Elle m’embrasse et me penche en arrière, son membre pointant aux porte de mon intimité. Je crains un instant de tomber à la renverse, mais très vite je sens que mes cheveux ne pendent pas dans le vide.

Je finis allongée, les cuisses grandes ouverte pour accueillir Mélinda. Elle me pénètre jusqu’à la garde, avec une force qui pousse presque tout mon corps. Cette puissance me fait frissonner, puis le sourire qu’elle me dévoile, avec ses deux canines décidément un peu trop longue. Ces grincements sur la table.

« Allez, allez, professeur, je veux vous entendre HURLER ! »

Avec qui suis-je en train de faire l’amour ? Plus son membre s’agite en moi, plus je me souviens d’un détail important : je m’en fous royalement. Mélinda est une « créature de rêve » dans toute la beauté de la formule, peut-être la plus envoûtante que j‘ai croisée à ce jour. Quelques secondes lui ont suffis à me faire perdre pieds à nouveau.

Elle me caresse et m’embrasse encore. Ma main droite descend caresser dès qu’elle se redresse. La gauche n’a pas attendu pour la caresser, dessinant du bout du doigt la ligne de son dos.

« Han PUTAIN , si c’est bon. »

Ma main vient claquer sa fesse avant de la pétrir avidement.

« Ne te crois pas tout permis parce... parce que tu baises comme une déesse. »

J’ai failli gémir à la moitié. Mes hanches remuent d’elles-mêmes, pressant le membre qui va et vient en moi. Bientôt ma deuxième main descend imiter la première. Elle suivent son rythme, le soutiennent. Je la force à revenir un peu plus vite à chaque fois. le plaisir m’envahit, m’étouffe délicieusement.

Si cela ne suffisait pas à me couper le souffle, Mélinda est encore plus belle dans l’effort et le plaisir. Son visage rougi, soulignant un peu plus l’émeraude miroitante de ses yeux. Les tables claquent et grincent sous nos corps en mouvement. Elle n’a bientôt plus besoin de mes mains pour la guider. Elles reviennent jour avec sa poitrine, parcourir ses hanches, ses épaules, sa gorge. Je la balaie avec un appétit dévorant. Je râle et gémis sans pudeur mon désir, je chante le plaisir qu’elle me donne de ma voix essoufflée.

« Ah !... Mélinda !... Continue !... »

Les sensations commencent à se détacher les unes des autres, comme si soudain je me retrouvais le nez collé au tableau. Au centre ce sexe emplit mon vagin offert, juste à côté sa peau qui vient caresser mon clitoris excité. Dans un coin l’air qui rafraîchit d’un souffle la sueur sur ma peau, quelque part autour de son ventre qui glisse contre le mien. Mes tétons durcis tendrement écrasés par sa poitrine, les siens remuent contre la mienne.

« Tu vas... me faire... hurler ! »

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 24 dimanche 29 janvier 2012, 01:19:32

Une belle gifle sur ses fesses vint ponctuer son juron, la faisant hurler de plaisir.

« Ne te crois pas tout permis parce... parce que tu baises comme une déesse. »

Souriant à nouveau, Mélinda regarda sa prof’.

« Ah oui ? réplique-t-elle, avant de s’enfoncer à nouveau aussi loin que possible. Toi aussi, ma belle, toi aussi ! »

Mélinda continua ses mouvements, dansant sur le corps de la femme, embrassant de temps en temps ses lèvres, mais préférant se porter sur d’autres parties de son visage ou de son cou. Yamagashi gémissait de plaisir, tout comme Mélinda, qui ne se privait pas pour hurler son propre plaisir. Cette humaine était une créature terrifiante, indiscutablement. L’une des plus belles humaines que Mélinda n’avait jamais eu l’occasion de voir, dépassant dans tous les domaines toutes ses esclaves, et bien toutes ses amantes. Elle le prenait avec envie, s’enfonçait avec elle avec un plaisir ardent, se glissant dans les profondeurs de son être sans hésitation, glissant toujours plus rapidement, ses fesses pétries par les mains de Yamagashi. Cette gifle… Elle ignorait si elle était intentionnelle ou non, mais elle avait encore plus excité Mélinda, qui avait toujours eu un fort penchant sadomasochiste.

La vampire sentait son membre dur se glisser dans ce trou humide, ce puits de plaisir, et elle était fiévreuse, fiévreuse de voir tout l’effet qu’elle procurait sur le corps ô combien parfait et délectable de la senseï. Cette dernière se tortillait sous elle, soulevant parfois les tables, provoquant des grincements. Les murs n’étaient pas très épais entre chaque classe. S’il y avait des élèves en face, ils les entendraient sûrement. Mais en quoi était-ce un problème ? Qu’ils viennent ne ferait ni chaud ni froid à Mélinda, lui offrant juste un spectacle. La seule chose qui comptait vraiment était ce corps chaud qui se situait sous elle.

Sans qu’elle ne puisse se l’expliquer vraiment, Mélinda avait envie de faire plaisir à la senseï. Quand elle faisait l’amour, généralement, son propre plaisir était la seule chose qui importait. Que son partenaire n’éprouve aucun plaisir ne la gênait que peu, mais, ici, c’était différent. Et ce n’était pas que parce que Yamagashi avait joué avec son orgueil ; c’était… Autre chose. Elle voulait que la prof soit heureuse, car elle estimait qu’elle le méritait. Elle était belle, divine, parfaite, et lui faire l’amour était aussi bien un grand plaisir qu’un bel honneur. La Terre était vraiment un monde merveilleux !

Mélinda redoubla ses efforts, se mettant à grogner entre ses soupirs, les mains de Mélinda se faisant baladeuses, se promenant sur son corps en sueur.

« Ah !... Mélinda !... Continue !...
 -  Oui, oui, oui, aaaaaahhhh, rien ne pourrait m’empêcher de continuer, raaaaaahhhh ! »

Elle donna un autre coup de rein, sa cyprine maculant la table. Elle posa sa main sur le rebord de la table, et l’embrassa fiévreusement, s’enfonçant contre elle pendant plusieurs secondes, sans bouger, avant de recommencer ses mouvements, accélérant le rythme, la profondeur, soupirant à chaque fois. La fatigue pointait, mais l’adrénaline l’électrisait, balayant toute envie de s’arrêter là. Elle voulait que Yamagashi hurle, elle voulait entendre sa prof’ être hors de contrôle.

Leurs seins se touchaient, s’enfonçaient, se caressaient, illustrant la danse effrénée de leurs corps.

« Tu vas... me faire... hurler ! » s’exclama alors la professeur.

A cette idée, un sourire ravi perla sur les lèvres de Mélinda, et elle se sentit venir.

« Oh oui, oui, oui, OUUUUUUUIIIIIIIIIIII !!!! »

Son sperme jaillit en plusieurs giclées, et ses mouvements ralentirent rapidement. Mélinda remua son sexe avec lenteur, baignant ailleurs, dans une autre dimension, où plus rien n’existait, où plus rien d’autre n’avait d’importance que cette légère sensation, cette secousse au bout de son sexe, quand elle sentait ce dernier lâcher du lest. Impossible de décrire fidèlement cette sensation. L’insoutenable légèreté de l’être. Elle ne voyait aucune autre formule pour résumer cela. Ce fut une seconde d’éternité, où elle écouta sans entendre, où elle sentit sans toucher, et, quand cette ellipse fut terminée, le regard de Mélinda se reporta sur le corps de Yamagashi.

Elle baignait dans un océan de délice, tout son corps était électrifié, et, après ces quelques secondes, Mélinda redonna de nouveaux coups de butoir. Être un vampire, par rapport aux humains, avait cet avantage que le sang fonctionnait de manière différente. Tant qu’elle était excitée, elle pouvait toujours être en érection… A moins que ça ne soit ses capacités de futanari. Dans tous les cas, elle continua à danser sur elle.

« Je… Je ne te lâcherai pas avant que tu deviennes complètement folle, et que tes hurlements me torpillent l’esprit, ma belle », lança tout simplement Mélinda.

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 25 lundi 30 janvier 2012, 02:25:29

« Oh oui, oui, oui, OUUUUUUUIIIIIIIIIIII !!!! »

Le cri que je pousse ne se soucie pas d'être articulé, il ne peut être que compris. La décharge de sperme que Mélinda libère en moi me catapulte comme une bille de flipper. Je m'agrippe à elle, secouée par un orgasme qui emporte tout autour d'elle. Il n'y a plus que la belle jeune femme qui me donne tant de plaisir. J'ai l'impression de flotter un instant dans un  néant douillet, toujours plaquée contre elle.

Mais très vite, trop vite, nous sommes à nouveau allongées sur ces deux tables. le plaisir n'en retombe que plus durement. Soudain je réalise que le sexe de Mélinda est encore en moi, toujours aussi dur et brûlant. Ses assauts reprennent avec la même vaillance que quelques secondes plus tôt.

« Je… Je ne te lâcherai pas avant que tu deviennes complètement folle, et que tes hurlements me torpillent l’esprit, ma belle. »

Un frisson de peur remonte le long de mon dos pour être recouvert d'une vague de plaisir. Elle est insatiable : tant mieux. Les jeunes hommes valent pour leur fougue moins que leur endurance, à quelques exceptions près. Au point où j'en suis je ne me demande même plus qui elle est ou ce qu'elle est.

Je sais que je la veux et qu'elle me veux. Je sais qu'elle réagit à la moindre de mes attentions, et que la moindre de ses caresse me fait vibrer. Je sais qu'elle en veut encore, au moins autant que moi. Je sais surtout qu'elle m'en donne plus, toujours plus. Je ne peux retenir de petits cris essoufflés, saccadés.

« Mélinda !... Ha !... »

Ses coups de boutoir ne me laissent même pas le temps de prononcer un phrase. De toutes façons le plaisir ne me laisse pas plus d’attention pour les former dans mon esprit. Il n’y a qu’elle, elle est tout, et tout n’est que délice. Je parviens à me redresser sur les coudes pour embrasser sa gorge, goûter le sel de sa transpiration. J’adore tout en elle, même sa transpiration vierge de l’arôme musqué, assommant des hommes.

Je réalise à quel point j’ai de la chance. Son corps ne laisserait aucun homme de marbre, et sexe impensable ferait fondre la plus frigide des femmes. La pureté et l’opulence d’une femme à fleur de peau, la puissance et l’appétit d’un amant attentif. Cette poitrine qui pèse sur la mienne, au rythme de son endurance surnaturelle. Et toujours son visage angélique serti d’émeraudes étincelantes. Mélinda est parfaite, en tous points parfaite.

Mes yeux embrumés peinent de plus en plus à rester ouverts. Je voudrais m’enfoncer une main dans le cerveau pour éteindre tous mes sens à l’exception du toucher. Son membre me pénètre avec fureur, courant après une nouvelle jouissance. C’est si bon, et tellement fort. Mes mains courent sur son corps. Au bout de mes doigts je sens les muscles brûlants à l’œuvre sous sa peau délicate. À chaque baiser que nous échangeons ses dents retiennent ma lèvre, la font délicieusement souffrir.

« Han !... Tu es !... Tellement !... Ha !... Tellement belle... Han !... Mélinda !... »

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 26 lundi 30 janvier 2012, 11:57:14

Mélinda flottait dans le corps de Yamagashi. A chaque mouvement de son membre tendu et assoiffé, elle sentait combien cette intimité était remplie, tant par le propre nectar de la senseï, que par celui qu’elle venait de mettre. C’était particulièrement agréable, et la vampire commençait à soupirer longuement. Même pour un vampire, l’acte sexuel était quelque chose d’épuisant, et remuer son membre en elle avec une telle intensité avait de quoi fatiguer la vampire. Fort heureusement, l’excitation qu’elle ressentait était telle que la fatigue ne l’empêchait pas de continuer à se dandiner, à s’enfoncer, et à sentir des frissons de plaisir. Ces frissons étaient d’autant plus convaincants qu’ils étaient entièrement partagés par Yamagashi. Elle peine à conserver les yeux ouverts, à formuler des phrases cohérentes, comme si le plaisir l’écrasait, la soumettait totalement. Elle n’aurait su dire en quoi, mais elle voyait dans le corps de la senseï l’expression d’une grande beauté.

« Hannn… » soupira Mélinda, quand la prof’ l’embrassa sur la gorge.

Ayant déjà joui, Mélinda était plus à même de pouvoir se contrôler, et arrêtait parfois, pendant plusieurs secondes, ses coups de reins, le temps de se calmer, de respirer, en profitant pour embrasser voracement Yamagashi, gobant ses lèvres dans un sensuel et mordant baiser, les titillant langoureusement, avant de reprendre assez rapidement, continuant à la pénétrer. Comme c’était bon, de s’enfoncer ainsi, de se glisser dans ce corps tendre, doux, et grand. A chaque mouvement, Mélinda se mit à gémir, à soupirer, à grogner, fermant parfois les yeux, la sueur continuant à s’écouler le long de son corps.

L’une de ses mains alla se glisser sous le corps de sa belle senseï, grattant l’une de ses fesses, et elle promena son visage sur la tête de la femme, l’embrassant, la mordillant, promenant sa langue. Leurs baisers sont mordants, et Mélinda sourit et frémit de plaisir, en sentant à chaque fois les dents de la prof’ tirer sur sa lèvre, la faisant vibrer. Quelle femme sensuelle, torride et excitante ! La sentir bouillonner sur elle était le plus grand des plaisirs, et elle continua à la pénétrer, toujours avec force, sentant les tables remuer.

« Han !... Tu es !... Tellement !... Ha !... Tellement belle... Han !... Mélinda !... » soupira la prof’.

Un sourire éclaira les lèvres de l’élève, qui alla l’embrasse, palpant l’un de ses seins, le serrant en tirant dessus.

« Je… Je sais, ma… Ma beauté », répondit Mélinda.

Elle continua à se mouvoir en elle, se sentant tellement bien. La senseï irradiait de bonheur, et Mélinda sentait les minutes défiler, se transformant en secondes, alors qu’elle faisait preuve de toute sa résistance vampirique pour parvenir à la satisfaire. Cette humaine était terrifiante, à la fois belle, sensuelle, provocante, mais aussi très endurante. Peu importe la manière dont on envisageait la chose, cette humaine constituait la partenaire la plus attirante que Melinda eut encore jamais trouvée sur Terre.

« Hmmm… Te pénétrer, c’est… C’est si bon ! »

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 27 lundi 30 janvier 2012, 23:31:20

Elle fait décidément tout pour me rendre folle. Ses coups de reins sont ponctués de pauses de plus en plus fréquentes. Ivre de plaisir, toujours brûlante de désir, je laisse mon corps réagir de lui-même. Je remue mon bassin pour ne lui laisser aucun répit. mes mains caressent ses magnifiques fesses, les palpent sans vergogne, puis remontent le long de ses hanches ou dans son dos. Je vais et je viens sur son corps, comme elle dans le mien.

Après chaque repos qu'elle s'accorde, ses assauts sont un peu plus frénétiques. Chaque pénétration m'assomme un peu plus. Je suis à la limite du rêve, et pourtant terriblement consciente. Une douleur lancinante vient souligner le plaisir de son membre affamé. Le bâtiment pourrait s'effondrer sur nous, c'est d'ailleurs peut-être déjà le cas. Les tables bougent tellement que j'ai l'impression que nous faisons l'amour pendant un séisme.

Ou peut-être que nous faisons trembler la terre ? C'est idée est aussi stupide qu'excitante. Quelqu'un pourrait entrer, n'importe qui, je ne crois pas que ça me gênerait. Je voudrais même appeler tous les hommes avec qui j'ai couché pour qu'ils la voient me faire l'amour. Pour qu'ils voient ce qu'ils n'ont jamais su provoquer en moi. J'en ai charmés, j'en ai commandés, j'en ai servis, j'en ai même suppliés. Mélinda est différente. Je ne lui parle que par jeu tant elle sait lire en moi pour me donner ce que je désire.

Je ne retiens plus mes cris depuis déjà longtemps. Ma gorge commence à me brûler, tout comme mon intimité. Sa lance implacable n'en fini pas de s'enfoncer en moi. Le coup de grâce ne tardera plus, à nouveau.

« Han !... Mélinda !... Achève-moi !... Haaaaa !... »

Ma main file tellement vite vers mon visage que je manque de me frapper moi-même. Je me mord le poing pour différer l’orgasme. Je ne veux pas jouir toute seule, sans elle, et l’abandonner à ma chair déjà rassasiée. Tout a été parfait jusqu’ici, une symphonie sans la moindre fausse note. Je ne peux pas laisser cette perfection tomber en ruine, même si je dois me battre contre moi-même.

C’est d’ailleurs ce que je fais, et je ne tiendrais plus longtemps.

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 28 mardi 31 janvier 2012, 02:24:34

Yamagashi était aux anges. Et Mélinda aussi. La pénétrer était un véritable plaisir, un bonheur sans cesse renouvelé, et elle sentait que cette dernière était sur le point de se laisser aller, qu’il ne restait plus grand-chose pour qu’elle succombe enfin à ce plaisir suprême que constituait l’orgasme. Mélinda avait déjà joui deux fois, et son sperme continuait à maculer le corps de la senseï, mais, pour autant, jouir une troisième fois ne la dérangeait pas, et cela risquait fortement d’arriver. Elle l’entendait hurler, rugir de plaisir. On disait que les professeurs avaient de solides cordes vocales ; Mélinda en avait confirmation. Cette cacophonie sonore était un véritable régal, un plaisir sonore, et la vampire veillait désormais soigneusement à ne pas embrasser beaucoup trop les lèvres de Yamagashi, afin que les cris de cette femme ne faiblissent pas.

Il y avait là de quoi ameuter tout le lycée. S’il y avait des lycéens dans une classe à proximité, les pauvres devraient avoir bien du mal à suivre leur cours. Mélinda continuait à onduler dans le corps de la prof’, se demandant combien de temps la femme allait encore réussir à tenir, avant de s’abandonner. Tout son corps semblait impatient, tendu et nerveux, et la vampire lui mordilla une joue.

« Han !... Mélinda !... Achève-moi !... Haaaaa !...
 -  Haaaa, mais… Je… Je ne fais que ça, haaaannn !! » s’exclama-t-elle.

Elle vit Yamagashi se mordre le poing rapidement, et Mélinda comprit qu’elle se retenait, désirant probablement qu’elles jouissent ensemble. Une certaine forme de romantisme ? Il est toutefois vrai qu’il était très agréable de jouir ensemble, et elle lui sourit, avant de tendre une main pour éloigner celle de Yamagashi.

« Ne… Ne me cache pas le plaisir de… De ton s-s-si beau visage… »

Reprenant son souffle, elle s’approcha de l’oreille de Yamagashi, et lui dit plusieurs choses.

« Si tu veux m’exciter, palpe mes jolies fesses. Elles n’attendent que ça. Mon beau cul, il s’ennuie énormément. »

Était-ce un effet de son passé ? Dans le passé, Mélinda avait été battue pendant des années, surtout au niveau des fesses, et elle devait bien avouer que c’était une zone sensible sur son corps. Puisque Yamagashi tenait à l’exciter, le mien était sans doute d’agir de telle manière qu’elle pourrait l’exciter rapidement. Elle frémit donc en sentant les mains de la senseï se poser sur son petit cul, et en poussa un cri, puis remua à nouveau son bassin. Son membre était toujours aussi dur, aussi tendu, aussi gonflé, et elle accéléra le rythme, sentant le corps de Yamagashi secouer, rebondir sur les tables, alors qu’elle décrivait des mouvements de bas en haut, remuant également la femme, ainsi que les tables.

« Oh, oh, ooohhhhhh !! Je… Haaaaaaaann ! C’est si… C’est si BON ! »

Elle poussa un cri, et s’enfonça encore, sentant le liquide venir.

« Je… Je… Je vais v-v-veee… Aaaaaahhhh ! »

Mélinda ne parvint pas à achever ce qu’elle avait à dire, et eut un nouvel orgasme, s’enfonçant aussi loin que possible en le sentant approcher et exploser. Elle remua bien plus lentement son membre, donnant à chaque fois un mouvement en sentant son sperme jaillir, s’échappant de son corps. Elle poussa un long soupir, sentant un frisson de plaisir la parcourir, et elle remua son membre pendant de nombreuses et de nombreuses secondes, éjaculant avec un plaisir intense, une expression d’intense bonheur sur le visage.

Après cet élément, Mélinda rouvrit les yeux, et regarda Yamagashi en souriant. Son membre restait délicatement posé dans son intimité, et elle laissa plusieurs longues secondes s’écouler, avant de finir par parler.

« Heureuse, ma beauté ? T’aurais-je épuisé sous le bonheur ? » sourit-elle.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 29 mercredi 01 février 2012, 00:28:04

« Ne… Ne me cache pas le plaisir de… De ton s-s-si beau visage… »

Je tente de résister quand sa main se referme sur mon poignet. En vain. J’ai beau la supplier du regard elle me prive de ma diversion. Je me mordille la lèvre inférieure pour gagner un peu plus de temps.

« Si tu veux m’exciter, palpe mes jolies fesses... »

Sitôt libérée, ma main file rejoindre l’autre qui obéit déjà. Je pétris ses magnifique fesses, je les écrase, je le empoigne. Je les écarte même un court instant, offrant à son petit orifice la simple caresse de l’air. Mais le temps joue contre moi.

Soudain je la sensation de son membre qui s’enfonce en moi devient d’une clarté aveuglante. Le son de sa voix fait tout exploser. Je pousse un long gémissement, saccadé par les coups de rein de Mélinda. Tout mon corps trésaille, j’en ai les larmes aux yeux. Je me plains de jouir car je suis seule.

« Je… Je… Je vais v-v-veee… Aaaaaahhhh ! »

Soudain le sexe de Mélinda me pénètre au plus profond. je sens son sperme brûlant se répandre à nouveau. Son orgasme rattrape le mien au vol pour lui offrir une seconde jeunesse.

« Haaaaaaaaaaaaaaa.... »

Je crie jusqu’à me vider entièrement les poumons. Mon corps électrifié, cambré contre le sien, tremble de plaisir et de panique. Je respire l’air qui lui manque en me laissant retomber allongée sur la table. Mélinda finit de jouir en moi, chaque petit giclée poussant un peu plus les précédentes. Je suis à bout de forces, essoufflée, mon corps veut rester immobile au moins quelques secondes. Des secondes qu’elle m’accordent sans pour autant se glisser hors de moi.

Je ne peux m’empêcher de rire. Un rire fatigué, sincère, qui ne tarde pas à se calmer. Je suis avec cette créature de rêve, paresseusement vautrée dans les échos de mes orgasmes. Je suis repue de sexe, mais il ne tient qu’à la gourmandise de changer cela. En attendant je souffle, je profite de la beauté sauvage du calme après la tempête. Je ferme les yeux et laisse ma langue jouer sur les lèvres tant mon plaisir reste intense.

« Heureuse, ma beauté ? T’aurais-je épuisé sous le bonheur ? »

Je ne peux m’empêcher de rire à nouveau avant d’ouvrir les yeux.

« Comblée, ma belle. Épuisée, aussi. »

Je me redresse pour l’embrasser langoureusement, balader mes lèvres sur les siennes, puis autour sur son visage. Mon nez s’enfouit dans ses magnifique chevelure pour trouver sur oreille.

« Mais pas encore rassasiée. »

Je me rallonge pour jouer avec sa poitrine. Je pense la tête sur le côté en la fixant dans les yeux.

« Qu’est-ce que tu en dis ? Devant ou derrière ? »


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