Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Mélinda Warren le lundi 23 janvier 2012, 00:26:34

Titre: [FINI] Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 23 janvier 2012, 00:26:34
Journée de cours classique au lycée de Seikusu. Il faisait chaud, Mélinda avait séché les cours du matin, préférant dormir, et s’ennuyait maintenant dans celui de l’après-midi. Son uniforme scolaire la gênait, et elle était bien plus intéressée par observer le corps aguichant de la professeur, une certaine Yamagachi, plutôt que noter les inepties inutiles qu’elle racontait. Néanmoins, comme trop l’observer paraissait curieux, Mélinda préféra se plonger dans une autre de ses activités préférées : contempler ses merveilleux ongles. Narcissique ? Naturellement. Mélinda passait volontiers une demi-heure, au moins, à s’observer chaque matin dans le miroir de sa salle de bains, contemplant ses formes voluptueuses, sa belle poitrine, ses lèvres d’ange, sa longue chevelure… La vampire se savait belle, et le simple fait qu’elle vienne en cours était généralement un cadeau pour les autres. Bien des mâles louchaient ainsi entre la professeur, Mélinda, et quelques rares autres lycéennes. Et Mélinda se faisait un plaisir de les perturber, glissant parfois son crayon entre ses seins, ou déboutonnant un ou deux boutons de son chemisier, prétextant la chaleur, tout en n’hésitant pas à plonger son regard hypnotique dans les pupilles des hommes, ou même des femmes, qui la regardaient.

Néanmoins, un cours, c’était long, très long, et la contemplation de ses ongles finit par ne plus amuser Mélinda, qui décida alors de faire une autre chose qu’elle aimait : réaffirmer son autorité sur ses petits camarades. Son regard se porta naturellement sur sa voisine, sur une table juste à côté d’elle, une lycéenne qui écrivait distraitement, se ruant parfois dans sa trousse pour y répondre au dernier SMS qu’un mystérieux individu lui envoyait. Habilement dissimulé dans la trousse, le portable était supposé ne pas attirer l’attention, et ce curieux engin fascinait Mélinda. A qui écrivait-elle ainsi ? La tentation était grande d’en savoir plus. Trop grande. Pendant que la professeur parlait, et sans que Mélinda ne l’entende, elle se dressa subitement, se levant, et alla à côté de sa camarade.

« Qu’est-ce que tu… ? »

Le raclement de sa chaise avait du attirer tous les regards, mais Mélinda s’en souciait comme d’une guigne, et poussa la lycéenne.

« Dégage, avança-t-elle simplement en s’emparant du portable rose.
 -  Hey, mais j’te permets pas, espèce de… !
 -  La ferme ! »

Mélinda se rassit, sans aucun intérêt pour le cours, ou la gêne qu’elle avait pu occasionner, et consulta le portable. Elle y lut des messages sans intérêt, bourrées de faute, où sa camarade disait qu’elle s’ennuyait, et qu’elle voulait « ab-so-lu-ment » voir son correspondant.

« Rends-le moi, pétasse ! » grinça la lycéenne.

Mélinda la regarda en souriant, puis porta son regard vers la professeur.

« De mon humble point de vue, les trois quarts des élèves de cette classe seraient bien plus intéressés de savoir ce que tu as écrit, ma chère, et le quart restant est un ramassis d’imbéciles, avança-t-elle, arrachant quelques rires gênés, mais il y a tellement de conneries dans ce que tu écris que les lire serait un affront à la décence humaine. »

Et, disant cela, Mélinda jeta le portable au sol, et constata qu’il ne s’était pas brisé. Surprise, elle leva son pied, et l’abattit violemment dessus. On entendit le choc sourd de son pied, suivi du portable qui explosait en des filaments électriques. Les yeux de la propriétaire se vrillèrent de rage.

« SALE PUTE !!! » hurla-t-elle en lui bondissant dessus, essayant de la gifler.

Malheureusement pour elle, Mélinda avait des réflexes acérés, et sa main se dressa, interceptant celle de la lycéenne, se serrant sur son poignet, l’emprisonnant dans un étau, et elle la regarda en souriant.

« Lèche mes pieds, petite conne…
 -  Aïe… Tu… Tu me fais mal, putain !
 -  Je pourrais briser ton os d’une simple traction, alors, fous-toi à genoux, et lèche mes pieds pour implorer mon pardon. Tes parents doivent vraiment être des minables. Tu n’es qu’une sale gosse pourrie gâtée, alors je vais t’apprendre ce qu’est l’autorité, moi. Fous-toi à genoux !
 -  Au secours… » gémit la lycéenne en pleurant, ayant visiblement très mal.

Mélinda ignorait alors totalement ce que faisait la professeur, entendant des murmures. Elles se tenaient au fond de la classe, et la vampire jubilait de voir ce qu’elle faisait. Elle affirmait son autorité. Qui y avait-il de plus beau sur Terre que faire ça ?
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le lundi 23 janvier 2012, 01:26:28
Finalement je prends mes marques peu à peu. Du moins c'est ce que je croyais encore il y a une heure. Miss Warren m'a complètement mise à sac en déboulant dans mon cours. Elle est jeune, belle et elle le sait. Entre le lycée et la fac j'en ai croisé plus d'une comme ça. Je ne sais pas si c'est le fait d'être de l'autre côté de la barrière, mais celle-ci est pire. Seuls les classiques bons élèves du premier rang écoutent ce que je dis. Tous les autres se retournent pour la regarder, ce qui en a mis un coup à mon ego après une semaine à régner sans partage sur leurs regards.

Le pire c'est qu'elle me regarde. Quand je lui fait face elle se cache à peine, quand je lui tourne le dos mes cheveux se dressent sur ma tête. Ça n'arrange mon petit problème de stress. Il faut vraiment que je trouve une heure ou deux pour me trouver un club de sport. Mais en attendant je distribue des règles sur les verbes irréguliers à ceux qui en veulent. Je vais me payer un rapport trimestriel impeccable avec une classe au fond du trou pour tâcher le décor, je le sens.

Alors que j'inscris au tableau quelques exemples ça bouge derrière, et bientôt ça crie. Je me retourne et ferme immédiatement le livre que j'ai dans la main. Mélinda Est en train de se battre avec une autre élève. Très vite elle prend le dessus et force son adversaire à se pencher.

"Lèche mes pieds, petite conne..."

La plupart des élèves sautent de leurs chaises et observent, abasourdis. Je marche droit vers l'esclandre, lâchant au passage mon livre sur le bureau. J'écarte sans ménagement celles et ceux qui sont sur mon chemin. Je viens me planter devant les deux jeunes femmes. Mélinda tient son adversaire par une clé de poignet, une peu plus de pression la pauvre fille est bonne pour des mois de rééducation. En attaquant au bon endroit ça pourrait passer, mais je ne veux pas prendre le risque.

" Miss Warren ! Lâchez immédiatement votre camarade ! "


Je jette un regard noir alentour.

" Assis ! Tout le monde ! "

J'en reviens à ma fauteuse de troubles qui n'a toujours pas lâché prise.

" Lâchez-la tout de suite ! "
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 23 janvier 2012, 09:46:50
Impuissante, la lycéenne piaillait et se tortillait. Elle avait beau vouloir se libérer, Mélinda n’était pas une vampire pour rien. Sa poigne en acier lui garantissait l’impossibilité pour la jeune femme de se libérer sans son autorisation. Un sourire de plaisir se dessinait sur les fines lèvres de la vampire. Elle fut néanmoins tirée de son plaisir jouissif en entendant la professeur. Cette dernière avait remonté toute la salle, poussant les élèves, ordonnant aux élèves de se rasseoir, ce que ces derniers firent pour la plupart, sans s’empêcher de parler entre eux. Son regard se plongea dans celui de Mélinda, et elle lui ordonna de lâcher ‘‘immédiatement’’ la camarade. Mélinda hésita pendant plusieurs secondes.

« Vous n’avez pas dit ‘‘s’il-vous-plaît’’, répliqua-t-elle, ouvertement provocatrice.
 -  Au secours ! Mais lâche-moi, salope !! » continuait à s’égosiller la lycéenne.

Mélinda soupira, et écarta ses mains, lâchant le poignet de la lycéenne, qui, surprise, fut déstabilisée. Elle tomba sur Yamagashi, s’empêchant ainsi de glisser sur le sol, et s’écarta bien rapidement du professeur, des larmes coulant le long de ses yeux, détruisant son joli mascara.

« Madame, sanglota-t-elle, j’ai mal, et elle a détruit mon portable ! Oh putain, cette folle m’a déboîté le bras ! »

Si fragile… Mélinda poussa un nouveau soupir de lassitude. Les humains terriens étaient vraiment pathétiques ! Elle ne lui avait pas déboîté le bras, mais, pour le portable… Il était démantibulé, explosé et éparpillé sur le sol.

« Ça t’apprendra à envoyer des SMS en plein cours, répliqua vertement Mélinda, avant de regarder Yamagashi. Vous devriez la sanctionner, Madame ; elle a voulu m’attaquer. Je n’ai fait que me défendre. »

Et, pour illustrer sa bonne foi, elle lui adressa un ravissant sourire étincelant. Vue de près, Yamagashi était encore plus belle que ce qu’elle pensait. Elle s’apprêta à le lui dire, quand ses oreilles captèrent des murmures émanant d’une autre camarade.

« Salope… »

Instantanément, Mélinda se retourna sur son dossier, et plongea son regard dans celui de l’autre lycéenne. Elle lui sourit alors, sans que Yamagashi ne puisse le voir, mais le sourire n’avait rien d’étincelant. Ses canines pointues apparurent, et son regard se vrilla d’une lueur à faire froid dans le dos. La lycéenne qui l’avait insulté rougit, et préféra détourner le regard. Satisfaite, Mélinda reposa son attention sur Yamagashi.

« Madame, puis-je aller m’installer au premier rang ? demanda-elle subitement. Je veux être au plus près de vous pour rester… attentive », fit-elle, en louchant effrontément sur la poitrine de Yamagashi.

Elle lui refit un autre charmant sourire, puis attendit sa réponse.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le lundi 23 janvier 2012, 16:29:58
« Vous n’avez pas dit s’il vous plaît. »

C’est qu’elle me provoque, et devant toute la classe ! Si je me laisse faire je suis grillée jusqu’à la fin de l’année. D’un autre côté la dernière personne à devoir se battre dans une classe, c’est le professeur. Pour la première fois depuis que j’ai pris mon poste, c’est bien sur mon visage que tous les regards sont braqués. je baisse la tête le temps de souffler puis la relève avec un grand sourire.

« Miss Warren, auriez-vous l’amabilité de libérer votre camarade, s’il vous plaît. »

Elle finit par lâcher sa victime qui me tombe dans les bras en sanglotant. Je la remet sur pieds alors qu’elle insulte copieusement Mélinda. C’est compréhensible, mais pas vraiment acceptable.

« On se calme, miss Toriyama, c’est fini. Inutile d’être grossière.

- Grossière ? Mais cette...
- Miss Toriyama !
- D’accord, sensei. »

Mélinda ne tarde pas à se couvrir en invoquant le règlement intérieur. Je la laisse parler dans le vide le temps de confier sa victime à la déléguée de classe, direction l’infirmerie. Alors qu’ils quittent la classe une nouvelle insulte fuse vers Mélinda qui se retourne. Je balaie la salle de cour de mon plus méchant regard de professeure énervée.

« Si j’entends encore un mot plus haut que l’autre vous prenez tous ! Et pas un avertissement ou des cours à copier : un vrai devoir noté qui va vous pourrir le week-end ! »

Celles et ceux qui étaient encore debout se rassoient. Il n’y en a qu’une pour se lever.

« Madame, puis-je aller m’installer au premier rang. Je veux être au plus près de vous pour rester... attentive. »

Elle fait les yeux doux à mon décolleté maintenant ? Cette gamine n’a donc pas de limites ? D’un autre côté elle donne le bâton pour se faire battre et je ne peux que sourire en réponse.

« J’allais justement vous le proposer, miss Warren. Au plus près, comme vous dites, juste devant mon bureau. »


Je n’ai qu’à jeter un regard par dessus mon épaule. Les élèves désertent les trois tables centrales du premier rang comme un groupe d‘otaries attaqué par un épaulard. La place est libre, et elle le sera encore la prochaine fois que Mélinda passera la porte... Du moins si elle ne passe pas celle de l’établissement à grands coups de pieds dans ses petites fesses sexy.

En attendant j’expédie la dernière demi-heure du cours sans plus de trouble. Les gros yeux de la méchante prof ont écrasé les cancres et les bavards. La seule qui n’en a pas fait grand cas passe la fin du cours à me déshabiller du regard, parfois d’assez près pour le faire de ses mains. Quand finalement la cloche retentit, tout le monde se lève et se dirige vers la porte.

« Miss Warren ! Un moment, s’il vous plaît ! »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 23 janvier 2012, 20:49:20
Sourire aux lèvres, Mélinda récupéra ses affaires, les enfila dans son petit cartable, et s’avança vers le premier rang. Il n’y avait que trois lycéens, qui, prudents, filèrent rapidement, afin de l’isoler. La jeune vampire eut un sourire assez amusé, et, en approchant d’un homme, en profita pour ébouriffer ses cheveux, glissant ses ongles pointues le long de son cuir chevelu.

« Délicieux… commenta-t-elle.
 -  Hey ! » protesta le lycéen.

Mélinda lui offrit un léger clin d’œil, puis alla s’asseoir pile en face du bureau de Yamagashi, au plus près possible. Elle sortit proprement son cahier, l’ouvrit devant elle, sortit un stylo, et commença à se mettre à l’ouvrage. Le cours reprit avec une tension assez palpable, et la vampire était sûre qu’au fond de la classe, le groupe de filles de Miss Toriyama préparait une vengeance, maudissait cette salope aux gros nichons qui leur pourrissaient la vie. Mélinda n’en avait cure. Elle avait ce qu’elle voulait, et elle passait son temps à observer Yamagashi sur toutes les positions, sans aucune discrétion. Si elle avait obéi à cette humaine, c’était parce qu’elle était belle, et que Mélinda, comme tout être censé, appréciait la beauté. Qu’elle soit professeur, Ministre, Présidente, ne changeait fondamentalement rien ; en tant qu’humaine, elle était, par pure logique, inférieure à Mélinda. Mais sa beauté suffisait à la rendre agréable aux yeux de Mélinda, si bien qu’elle choisit de rester calme, se contentant de tracer de curieuses lignes sur son cahier.

Le cours se termina donc sans qu’elle ne sache vraiment sur quoi il portait. Yamagachi avait l’air assez énervé, et Mélinda se fit l’image d’une professeur jeune, qui n’avait guère confiance en ses capacités d’enseignement, et qui savait que les élèves ne la suivaient que parce qu’elle était belle. Est-ce que ça la flattait, ou est-ce que la gênait ? Sans doute un mélange des deux. Que des jeunes s’intéressent à soi, c’était la preuve qu’on était toujours belle. Et, pour ces humains décrépis, rien n’était plus important que de savoir qu’on était toujours jeunes et beaux. C’était une race tellement pathétique pour ça… Mais bon, avec une espérance de vie aussi courte, c’était compréhensible…

Mélinda fut bien tentée à plusieurs reprises d’interrompre le cours pour honorer la beauté de Yamagachi, mais elle se rattrapa, préférant se concentrer sur son dessin. Lorsque la professeur annonça la fin du cours, Mélinda resta assise pendant que les lycéens partaient, certains en la regardant, mais elle préférait continuer son dessin, donnant un coup de trait ici, un autre coup là. Elle finit par se renverser sur son dossier, et arracha proprement, avec l’un de ses ongles, la page du reste du cahier, la contemplant en souriant. Les autres camarades, ces larves insignifiantes, étaient partis, et Yamagachi se mit à lui parler.

« Miss Warren ! Un moment, s’il vous plaît !! »

La vampire leva les yeux en souriant. A l’exception de sa page, toutes ses affaires avaient été rangées. Mélinda répondit assez rapidement.

« Pour vous, Madame, je veux bien rester toute la nuit. »

Elle lui fit un sourire étincelant, plein de franchise, et, sans attendre sa réponse, reprit.

« Je tiens à vous présenter mes plus sincères excuses, fit-elle sur un ton bas en s’extirpant de son siège, tenant entre ses délicates mains la feuille, les yeux baissés. Voir cette insolente écrire de telles inepties, au lieu de suivre votre enseignement, m’a semblé tellement… Irrespectueux que je n’ai pu m’empêcher de réagir…  Alors, pour me faire pardonner, je vous ai dessiné ceci, senseï. »

Proche de Yamagachi, elle joignit ses deux mains, tenant le morceau de papier. Dessus, on pouvait y constater que Mélinda avait un certain talent pour le dessin, et avait tracé une image qui ne laissait guère de doute. On y voyait le corps nu de sa professeur, un sourire aguicheur, un clin d’œil, une main serrée autour d’une barre de strip-tease, ses seins se glissant de part et d’autre, les jambes écartées en arrière, l’autre main glissant dans son intimité, masquée par la barre, en disant les mots suivants : « I WANT L♥VE ! ». Les joues rougies par une timidité qui avait l’air tout sauf feinte, Mélinda se mordilla les lèvres, avant de poursuivre.

« J’espère que ce dessin vous fait plaisir… »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le lundi 23 janvier 2012, 22:40:22
Je comptais incendier cette petite prétentieuse avant de l'envoyer chez le directeur à grands coups de pied aux fesses. Mais sa réponse me prend à contrepied, et le temps de passer la surprise voilà que Mélinda me présente de plates excuses. Plates et un peu hypocrite, elle ne compte tout même pas me faire avaler qu'elle a tout suivi de mon enseignement ?

Je jette un œil au dessin qu'elle le présente avec ses excuses et je dois avouer que je suis surprise. Généralement les filles dans son genre sont belles, elle savent et elles s'en contentent. Autrement dit elles sont stupides et ne cherchent pas à développer un talent particulier. Même si le sujet est osé, Mélinda a du talent. Cette femme est... Une seconde... C'est moi ?! Noooon ! Mais si ! "I WANT..."

Je baisse la feuille et lâche un soupir. Je me sens soudain fatiguée. Trop pour m'énerver, assez pour ne plus prendre de gants.

- D'accord, miss Warren. Primo : si je devais m'énerver contre tous ces qui bavardent ou qui textotent, je passerais mon cours à jeter des élèves par la fenêtre. Ensuite...

Je pose le dessin à plat sur la table.

- Je suis flattée, mais pas idiote. Tu as passé le cour à buller, je le sais. Et la fille qui t'a sauté dessus était assise à deux mètres de toi. Je ne sais pas pourquoi tu est allé l'embêté, mais tu ne me feras pas gober qu'elle t'a agressée sans raison.

Je tape du doigt sur le dessin pour marquer le changement de sujet.

- Et surtout, ne prétend pas défendre mon enseignement alors que tu viens jusque sous mon nez pour te moquer de moi. Je veux bien reconnaître que tu es douée pour avoir dessiné ça en une demi-heure. Mais je ne pense pas que tu ais noté un mot de ce que j'ai dit.

Pour finir je croise les bras sur ma poitrine.

-Maintenant donne-moi une bonne raison de ne pas te faire exclure pour ce que tu as fais à cette fille.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 23 janvier 2012, 23:12:31
Un sourire amusé éclaira les lèvres de Mélinda, qui alla s’asseoir sur son bureau, écoutant Yamagashi. Elle commença par lui avouer, globalement, qu’elle était nulle, et incapable de rendre son cours intéressant pour les deux tiers de ses élèves au moins, avant de lui expliquer, ce qui, ma foi, était entièrement vrai, que Mélinda n’avait rien suivi de son cours.  La pauvre… Mélinda ignorait même dans quelle classe elle se trouvait, et quelle était cette matière ! Elle était venue parce que Yamagashi était tout simplement la plus belle prof que Mélinda ait encore eu l’occasion de voir à Seikusu. La professeur termina son exposé en menaçant Mélinda, qui se mit à glousser.

*C’est ça, sa pire menace ? Oh mon Dieu… Qu’elle est candide !  Bon, tâchons de rester concentrée…*

Sourire aux lèvres, Mélinda la regarda, remuant les jambes, visiblement très amusée.

« Cette fille a entièrement mérité ce que je lui ai fait. Si elle savait écrire, je n’aurais pas détruit son portable. Ensuite, elle m’a attaqué, je vous signale. Je n’ai pas levé la main sur elle, je n’ai fait que me défendre. Quoiqu’il en soit, le sort de cette pauvre demeurée n’a aucune importance. »

Ça en avait d’autant moins que Mélinda lui rendrait certainement visite une prochaine nuit, afin de planter ses canines dans son cou. Oh, bien sûr, elle ne tuerait pas ses victimes, car elle se ferait remarquer, mais elle s’assurerait de leur retirer suffisamment de sang pour qu’ils soient au lit pendant plusieurs jours… A moins qu’elle ne daigne faire une exception avec Miss Tori-je-sais-plus-quoi. Elle repensa à l’instant présent, et poursuivit.

« Mais, Madame, j’crois que vous avez pas bien compris qui je suis. Contrairement à tous ces demeurés congénitaux, je ne viens pas en cours pour apprendre quelque chose, ou parce que j’y suis obligée. Je sais pas si vous le savez, mais je vis dans l’un des plus beaux manoirs de cette ville. Je suis immensément riche, et je n’aurais jamais à faire ce que vous faites. Vous aurez beau travaillé d’arrache-pied, vous ne serez jamais plus riche que moi. Je suis aussi très belle, et spirituellement très épanouie. Alors, à votre avis, en quoi un fonctionnaire minable comme votre cher Proviseur peut me faire peur ? »

Elle ne lui avoua pas qu’elle était une vampire, et qu’elle disposait d’une jeunesse éternelle. Ce serait un raccourci trop facile, trop simple. Elle continua sur le même ton, sautant de sa table, et se posa sur le bureau, déposant devant Yamagashi son carnet de liaison, avant de s’asseoir sur le bureau, à côté d’elle.

« Mais vous avez raison, Madame, je n’ai pas suivi un simple mot de votre cours. A vrai dire, j’ignore même la matière que vous enseignez. Je choisi mes cours à la carte, et j’ai décidé de rejoindre le vôtre, car vous êtes la plus belle prof que j’ai eu l’occasion de voir. Et, s’il y a une chose que j’aime bien, c’est la beauté. Si je me suis mise au fond, c’était pour ne pas que vous perdiez totalement l’attention des petits génies devant. Honnêtement, s’ils avaient eu, en prime de votre superbe corps, le mien à observer, je ne pense pas que vous auriez eu beaucoup d’élèves intéressés par ce que vous disiez. »

Elle resta assise sur le bureau, poursuivant ses explications.

« Ce qui m’amène à me demander ce qu’une belle femme comme vous peut bien avoir fait pour finir prof’ de lycée. Assurément, ce n’est pas par amour de l’éducation. Il suffit de voir combien vous êtes blasée en voyant que les deux tiers de vos élèves ne suivent pas un seul mot de ce que vous dites. Un tel comportement est réservé à de vieux croulants, ces dinosaures de l’enseignement dont on ne peut pas se débarrasser, mais pas à de jeunes profs, encore plein d’espoir. Je me demande donc bien ce qu’une belle fille comme vous peut bien faire en compagnie de jeunes hommes si frivoles, et si attirés par le charme féminin… »

Toujours aussi provocatrice, Mélinda enchaîna à nouveau.

« Lequel vous fait fantasmer ? A moins que vous ne rêviez d’en avoir plusieurs en même temps… Mais aucun de ces minables ne saurait vous procurer autant de plaisir que moi, soyez-en sûre… »

Et, à nouveau, elle lui refit un autre de ses charmants sourires.

« Pourquoi vous ne me colleriez pas en retenue ? Insubordination, provocation, tout ça, tout ça ? Mais je vous préviens tout de suite : je n’y irais que si c’est vous qui me surveillez. »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mardi 24 janvier 2012, 00:21:20
Rien de ce que j'ai pu dire n'a fait retomber son sourire. En prime elle me répond, et avec quel arrogance ! Quel mépris affiché ! Coup après coup j'encaisse sa nonchalance hautaine mais l'envie monte de lui rendre ce qu'elle a donné à cette fille. Une torsion du poignet et « lèche mes pieds, petite conne ».

Et elle enchaîne, elle parade. Mademoiselle a de l'importance ! Mademoiselle est riche ! Et nous autres, pauvres prolos, ne pouvons que nous aplatir. Je devrais aller m'acheter une voiture et lui rouler dessus, ça l'aiderait peut-être à relativiser le faible niveau de ressources du commun des mortels.

Ce qu'elle dit ensuite change la donne. Ainsi elle n'est venue que pour se rincer l'œil, et par extension pourrir un travail qui me donne déjà bien du soucis. Pour un peu je devrais la remercier. La suite n'est pas mieux : elle se met à lire mes pensées, comme pour me révéler que je suis une pauvre cloche obsédée par tous les jeunes mâles qui reluquent en classe. Fait-toi une raison, Hitomi, les jeunes mâles... C'est pas la question !

Voilà qu’elle me fait du rentre dedans pour compléter le tableau. De colère ou de gêne, je sens que je rougie.

« Pourquoi vous ne me colleriez pas en retenue ? Insubordination, provocation, tout ça, tout ça ? Mais je vous préviens tout de suite : je n’y irais que si c’est vous qui me surveillez. »

Pourquoi pas ? Excusez du peu ! Je suis une professeure titulaire dans un lycée, pas la réceptionniste de l'hôtel du coin ! Mais il y a peut-être une idée à creuser. Je n'ai plus de cours aujourd'hui, et je sais que la salle est aussi libre que moi. Je jette un rapide coup d'œil alentour. La porte à fermée, nous sommes au premier étage. Inutile de l'envoyer sur les roses, elle serait capable de revenir dès demain pour me pousser à bout. Ce qui ne me laisse plus que deux options.

« D’accord... »

Je fais mine d’éviter de la regarder, pointant une moue dubitative autour de moi. Je déteste cette fille, je voudrais lui vomir ses quatre vérités en plein visage. mais je ne peux décemment pas me défouler en cognant dessus. Je finie par la fixer, avec le froncement de sourcils de la réflexion.

« Hors de question que je te colle en retenue. Tu veux savoir pourquoi ? La retenue c’est aussi chiant pour les profs que pour les élèves. Quand on demande une salle pour une retenue, on se retrouve à encadrer tous les boulets du lycée. Et je crois que tu seras d’accord pour qu’on s’en passe. »


D’une grande foulée je comble l’écart. Mon champ de vision est envahi par sa poitrine arrogante, qui se vante de faire de l’ombre à la mienne. Au-dessus, son énervant visage de poupée de porcelaine est encadré par les cascades de sa chevelure parfaitement insupportable.

D’aussi près elle dégage un parfum, une odeur subtile. J’ai connu des femmes très particulières mais je n’ai que rarement ressenti ça, du moins avant de commencer à enlever mes vêtements. Peut-être est-ce simplement la colère ? J’ai l’impression qu’une bête furieuse rue et hurle en moi.

« Je me fous de ce que tu penses de moi, de mon job ou de mes élèves. Mais je suis curieuse. Comment tu comptes rivaliser avec vingt paquets d’hormones en ébullition, prêts à se plier en quatre pour me donner du plaisir ? »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 24 janvier 2012, 00:41:38
Un grand conflit interne semblait se dérouler dans l’esprit de la professeur, au fur et à mesure que Mélinda parlait. Elle n’avait pas eu l’occasion de parler beaucoup en une heure, il fallait bien qu’elle compense ! Elle se demandait si la belle femme irait jusqu’à la gifler. Peut-être ? Ça n’en serait que plus intéressant, après tout ! Son regard se porta sur la porte, fermée, et il n’y avait probablement personne derrière. Qui serait restée pour Mélinda ? Personne, et elle ne tenait pas à ce que quelqu’un reste. Les lèvres, les si belles lèvres de la professeur, reflétèrent sa désapprobation, son envie d‘hurler sur Mélinda. Elle finit par se forcer à la regarder, et Mélinda lui rendit son regard.

« Hors de question que je te colle en retenue. Tu veux savoir pourquoi ? La retenue c’est aussi chiant pour les profs que pour les élèves. Quand on demande une salle pour une retenue, on se retrouve à encadrer tous les boulets du lycée. Et je crois que tu seras d’accord pour qu’on s’en passe.
 -  Tout à fait, convint-elle. Toi seule importe, ma belle… »

Yamagashi la tutoyait, alors elle pouvait se permettre d’en faire autant. Mélinda ne se sentait nullement inférieure par rapport au professeur, et estimait même plutôt que c’était le contraire. C’était elle qui dominait, pour des raisons naturelles. Elle commença à regarder le corps de Mélinda, louchant sur sa belle poitrine comprimée sous sa chemise d’étudiante, et c’est avec un sourire complice que la vampire entreprit de se rapprocher d’elle. Elle ne s’était décidément pas trompée, même si elle ne savait pas trop ce qui incitait Yamagashi à vouloir lui faire l’amour : le désir naturel pour son corps ? Sa frustration ? Une envie de rendre à Mélinda ses provocations ? Un savant mélange des trois ? Elle finit par rompre le silence.

« Je me fous de ce que tu penses de moi, de mon job ou de mes élèves. Mais je suis curieuse. Comment tu comptes rivaliser avec vingt paquets d’hormones en ébullition, prêts à se plier en quatre pour me donner du plaisir ? »

Sur le coup, un léger rire cristallin s’échappa des lèvres de Mélinda, qui y répondit en rapprochant son visage de la professeur. Elle leva l’une de ses mains, et caressa tendrement la joue droite de la femme, son front se posant contre le sien, tandis que son pouce allait frotter contre les lèvres de la professeur.

« Les lois de la Nature fonctionnent ainsi ; vingt moustiques ne pourront jamais égaler un lion. Et je suis une lionne. »

Mélinda alla alors l’embrasser, glissant sa main sur la nuque de la professeur, s’appuyant dessus, tout en posant sur elle ses magnifiques, douces et tendres lèvres. Elle se pencha vers la femme, utilisant son autre main pour s’appuyer sur le bureau, écartant les lèvres pour partir à l’assaut. Sa langue alla frotter les lèvres de la femme, puis elle laissa parler ses dents, aspirant tour à tour les délicates et fines lèvres de la bouche de la senseï, les mordillant tendrement. Elle continua ce petit jeu pendant plusieurs minutes, jouant avec la langue du professeur, puis rompit le baiser, se retrouvant à quatre pattes sur le bureau.

Un sourire carnassier se dessina sur les lèvres de la vampire. De petite taille, elle alla se presser et se lover contre le corps de la professeur, étirant ses jambes de part et d’autre de son corps, promenant ses ongles pointus dans son dos. Elle embrassa ensuite l’une de ses joues et son cou.

« Le plaisir, ma chère, est une savante alchimie, qui nécessite de la douceur et de la sauvagerie. Tout un troupeau de babouins ne saurait m’égaler. »

Elle lui mordilla le lobe de l’oreille, et se retira alors du corps de la professeur. Elle bascula son corps en arrière, et déboutonna plusieurs des boutons de sa chemise, accentuant ainsi son décolleté.

« Je ne suis venue ici que pour ça… » affirma-t-elle.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mardi 24 janvier 2012, 01:54:44
« Une lionne ? »

Toujours aussi prétentieuse. Elle se trompe autant sur ma vie que sur mon désir. Une petite caresse sur la joue, comme c’est mignon. Elle m’embrasse comme pour me distraire pendant qu’elle change de position. Je commence à me dire qu’elle a des dents sacrément pointues.

Mélinda a de l’expérience, ça je ne peut que le reconnaître. Mais apparemment sa mauvaise habitude à généralisé va plus loin que je ne le croyais. Elle passe par-dessus le bureau et me fait la leçon comme la plus pudiques des vierges. Elle se dit lionne, mais est-ce qu’elle pense avoir trouvé une oie blanche ?

Elle se retrouve assise au bord du bureau, ses genoux autour de ma taille. Elle me mordille l’oreille, puis se penche en arrière, son éternel sourire aux lèvres. Son sourire étincelant, prédateur, acéré. Les canines qu’elle découvrent me donnent un frisson. Elle me fixe en faisant sauter les premiers boutons de sa chemise.

« Je ne suis venue ici que pour ça... »

Je me penche soudain sur elle, presque à poser ma poitrine sur la sienne.

« C’est parfait, Miss Warren, peut-être un peu trop. »

Je m’appuie d’une main sur le bureau et pose l’autre sur sa cuisse. Je remonte en une longue caresse qui ne trouve que du tissu avant d’arriver à son cou.

« Ça manque de... passion. »


Ma main passe derrière la nuque de Mélinda et tire son visage vers le mien. L’acte y perd en style, la méthode en raffinement, je ne suis plus la lycéenne qui rougissait à l’idée d’embrasser une autre fille. Je suis une femme qui ne craint plus de céder à ses pulsions. Nous lèvres se caressent, nos langues se taquinent l’une l’autre, se battent presque. Dans ma bouche, la sienne, sur la frontière qui ne les séparent plus vraiment.

Je tire un peu plus Mélinda pour la forcer à se redresser. Un désagrément nécessaire pour que ma main libre puisse passer entre nos poitrines, et déboutonner ma veste et mon chemisier.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 24 janvier 2012, 02:48:24
Nos poitrines se heurtèrent avec délice. Elle avait une belle paire de seins, tout à fait honorable. Un sourire ravi étirait les lèvres de Mélinda. Un frisson parcourut le corps de la vampire quand la main de la professeur remonta le long de son corps, glissant le long de son chemisier, de ses vêtements gênants et handicapants. A nouveau, leurs lèvres se pressèrent, et les mains de Mélinda se posèrent sur le buste de la professeur, répondant à son baiser. Celui qu’elle avait fait était calme et délicieux, un simple baiser introductif. L’humaine se plaignait d’un manque de passion ? Tâchait-elle de la narguer ? Mélinda lui répondit en frottant ses dents contre ses lèvres. Sous l’effet de l’excitation, ses attributs vampiriques étaient un peu plus visibles : accroissement du calcium dans ses canines, ses ongles se durcissant… La vampire tâcha de se contrôler avec ses dents, frotta sa langue sur celle de Yamagashi, dans un tendre et onctueux ballet. Les tétons de Mélinda se durcirent tendrement sous ce contact. Elle sentit la main de Yamagashi attirer autoritairement, étirant son dos, alors que la professeur cherchait à libérer ses vêtements.

« Laisse-moi t’aider… »

Chassez le naturel, et il revenait au galop. En tant que professeur, Yamagashi devait sûrement mener le bal avec des lycéens normaux, mais Mélinda n’avait rien de vraiment normale, de ce point de vue. Ses mains se serrèrent sur le chemisier de la femme. Ah, elle se plaignait que ça n’était pas assez vif à son goût ? Mélinda tira un coup sec, déchirant une partie du chemisier, ne laissant plus à Yamagashi que son soutien-gorge. Son chemisier glissa le long de sa peau, et Mélinda se mordilla les lèvres.

« Oups… sourit-elle innocemment. Je ne connais pas ma force, face à la beauté… »

Elle s’approcha du soutien-gorge de la professeur, et l’embrassa, baisant le tissu, ses dents pointues s’enfonçant contre ce dernier, titillant sa peau, tandis que ses ongles frottaient contre sa peau. Elle ne la griffait pas encore au point de la faire saigner, car telle n’était pas son intention, mais elle s’enfonçait tout de même contre sa peau, la grattant délicieusement, frottant ses cotes. Elle tira un peu sur le soutien-gorge, utilisant ses belles dents, puis releva la tête, avant d’embrasser la professeur dans le cou, lui faisant un agréable suçon. Elle s’arrêta ensuite, et glissa sa main dans le bas du dos de Yamagashi, glissant ses ongles sur le sommet de ses fesses.

« Tu n’es pas encore au bout de tes surprises, ma belle, glissa Mélinda. Excite mon corps, et tu ne le regretteras pas… »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mardi 24 janvier 2012, 15:46:53
Les boutons de mon chemisiers pleuvent sur le sol. Je ferais bien remarquer à Mélinda que, contrairement au sien, mon budget vêtement est très serré. Mais elle commence à peine à répondre à mes attentes et je ne veux pas couper son élan. Elle joue avec mon soutien-gorge, mes tétons durcis frottent douloureusement contre le tissu qui les oppresse.

Mes mains descendent se poser sur les hanche de mon élève rebelle, puis remontent pour passer sous son chemiser. Sa peau est douce, sa chair tendre. Je sens ses ongles parcourir mon corps, comme les griffes d'un chaton encore trop jeune pour blesser.

Au point où nous en sommes le plaisir prime sur le reste. Mais la raison a toujours raison. Et me dit que si je pourrais cacher mon chemisier sous ma veste, j'aurais du mal à traverser le lycée si ma jupe finit en lambeaux.

Je profite que Mélinda m'embrasse pour faire glisser la fermeture éclair de ma jupe, qui s'affaisse à mes pieds. Elle m'embrasse dans le cou, aspire ma peau comme si elle voulait me boire. Le pincement me donne un frisson qui se diffuse dans mon corps comme une onde de choc. Sa main descend dans mon dos. Bien joué, Hitomi ! T'as sauvé ta jupe !

« Tu n’es pas encore au bout de tes surprises, ma belle. Excite mon corps, et tu ne le regretteras pas… »

Je plonge dans ses yeux étincelants, passant à nouveau les mains sur ses hanches pour la pousser en arrière. Mes doigts se rejoignent sur ventre, je commence à déboutonner son chemisier de bas en haut.

« Je ne regrette jamais rien, Miss Warren... »

Finalement le dernier bouton cède. Mes mains partent chacune dans une direction à la découverte du corps de Mélinda. Sans la quitter des yeux je me penche vers son ventre.

« Je profite. »

Puis ma langue descend sur son ventre, survole son nombril, s’arrête un moment pour tirer son soutien-gorge. C’est à mon tour de monter vers son cou pour baiser, lécher, mordre la peau fine et douce.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 24 janvier 2012, 22:07:03
Le plaisir montait entre les deux, délicieusement et onctueusement. N’ayant probablement pas envie de voir ses autres vêtements être déchirés, la professeur ôta sa jupe, ce qui était effectivement une bonne idée. Mélinda n’était pas spécialement du genre à déshabiller lentement ses partenaires quand elle était excitée. Elle s’occupa des seins de Yamagashi, sentant les tétons durcir, sentant le plaisir naître dans le corps de la femme, qui répondit en s’occupant du petit corps bouillonnant de Mélinda. Leurs regards se croisèrent à nouveau, et les mains délicates et expertes de la belle femme se promenèrent sur le chemisier de Mélinda, déboutonnant ses boutons avec tendresse. Elle lui ôta sa chemise, et Mélinda se sentit bien mieux sans cette dernière, sans ce morceau de tissu qui la gênait. Yamagashi se positionna ensuite, penchant sa tête vers le ventre de la vampire, qui remonta ses mains pour caresser les longues mèches de cheveux de la femme. Elle embrassa son ventre, puis s’attaqua à ses seins.

Mélinda s’allongea un peu sur le bureau, permettant à Yamagashi de venir. Elle l’embrassa sur son ventre, la faisant frissonner, et les lèvres de la professeur remontèrent vers ses seins. Ses dents tirèrent sur son tissu, et elle poussa un petit gémissement de plaisir.

« Profite, alors, ma belle senseï. »

Elle tira dessus, et les seins de Mélinda furent enfin à l’air libre, ce que cette dernière apprécia, sentant graduellement le plaisir monter. Elle hésita encore à faire apparaître son membre masculin, et préféra attendre un peu, tandis que les lèvres de la professeur montèrent sur son cou, l’embrassant et la mordillant.

« Oh oui, savoure ma belle peau, Yamagashi… »

Ses mains légèrement griffues caressèrent avec tendresse les cheveux de la femme, se faufilant à l’intérieur, glissant le long de ses dernières pour gratter sa peau. Elle agit ensuite, et inversa les rôles, amenant Yamagashi à s’allonger sur le bureau, tandis que elle se mit à califourchon sur elle. Elle s’approcha des seins de la femme, et commença à les suçoter les uns après les autres. Elle en prit un dans sa bouche, et le suçota, mordillant son téton, utilisant une main pour caresser la culotte de la femme, entre ses cuisses, à l’emplacement de son intimité.  Elle changea ensuite de sein, afin que sa poitrine ne soit pas jalouse. Elle les suçota et les mordilla avec plaisir pendant plusieurs minutes.

Au bout d’un petit moment, Mélinda releva la tête. Tandis qu’elle embrassait ses seins, son autre main caressait sa culotte, enfonçant son doigt à l’emplacement de son intimité, sans pouvoir toutefois aller trop loin, à cause du tissu qui la gênait. La vampire glissa ses lèvres sur le corps de Yamagashi, puis embrassa sa culotte. Elle hésita à découper le morceau de tissu avec ses dents, puis se rappela que la professeur semblait attachée à ses vêtements, et opta donc pour l’ôter avec ses doigts. Elle fit glisser la culotte le long des longues jambes de la senseï, et se dressa ensuite à califourchon devant elle. Lui faisant son sourire insolent habituel, elle tenait dans une main sa culotte, et s’amusa à la plaquer contre son visage, la reniflant.

« Ça sent bon… » avoua-t-elle.

Conservant la culotte dans une main, elle s’allongea à nouveau sur le corps de la femme, et l’embrassa à nouveau, caressant ses cheveux avec la culotte de la femme, avant de la glisser derrière sa nuque, utilisant son autre main pour attraper l’autre extrémité de la culotte. Elle se plaqua contre le corps de la femme, frottant ses seins contre les siens, l’embrassant avec ferveur, gémissant de plaisir, attrapant ses lèvres, la léchant et la mordillant.

« Excite-moi », finit-elle par demander, sur le ton de la supplique..
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mercredi 25 janvier 2012, 02:52:32
Je la sens me pousser sur le côté. Nous ondulons ensemble comme des serpents, sans à-coups pour gêner nos caresses. Je finie sur le dos, Mélinda me domine de toutes son arrogante beauté. Qu'elle s'en vante ne m'étonnait pas, mais je me surprend à penser qu'elle a vraiment de quoi. C'est évident, presque naturel, ça en deviendrait même légitime. De ce point de vue elle est clairement au-dessus de tous les autres. Pour l'instant, elle est au-dessus de moi dans tous les sens du terme.

Je profite tant que je peux du spectacle, puis ferme les yeux quand elle se penche sur ma poitrine. Mes mains se lèvent pour accueillir ses seins. Ils se dessinent à l'intérieur de mes paupières closes. J'éprouve leur poids, leur douceur. Mais mains descendent lentement à une altitude calculée. À chaque respiration ses tétons durcis par le plaisir viennent effleurer mes paumes.

La main libre de Mélinda caresse mon ventre pour descendre vers mon intimité. le contact de ses doigts à travers le tissu humide me fait frémir. Je laisse échapper des soupirs déjà courts. Je tend le bras pour atteindre l'intérieur de sa cuisse, mes doigts remontent vers ses lèvres intimes pour lui rendre ses attentions.

Bientôt je la sens aventureuse, frustrée par ce sous-vêtement que je regrette d'avoir enfilé. Elle me glisse entre les doigts, s'échappe de ma poitrine qui se sens soudain délaissée. Ses lèvres caressent mon corps pour le rassurer, lui dire qu'elle ne part pas vraiment. La pression de ses lèvres contre les miennes me donne un nouveau frisson. Je lève les jambes pour qu'elle me libère enfin de ce tissu oppressant.

Elle m'escalade à nouveau, pour me montrer ma culotte. Je rougis quelle la porte à son visage. Ce n'est pas la première fois qu'on me fait le coup, mais ça ne m'a jamais autant gêné. Je me sens indigne du compliment qu'elle me fait. Ressaisit-toi, Hitomi ! Aucune chance. S'il me reste de la volonté, mon excitation l'a envoyée se tasser dans un coin. J'ai soif d'elle, j'ai faim d'elle. Je sens brûler en moi un feu qui ne désire que l'envelopper, la dévorer jusqu'à ce que je tombe moi-même en cendres.

Elle s'écrase contre moi. Le poids de sa poitrine sur la mienne pousse mes poumons à un peu plus d'effort. Une nouvelle vague de sensations qui souffle sur le brasier étouffe tout dans mon esprit. Elle me fait relever la tête avec ma propre culotte, c'est tellement... Je devrais peut-être trouver ça bizarre, ou humiliant ? Ce détail est emporté par la descente de son visage vers le mien, par son souffle qui se mêle aux mien avant la rencontre de nos lèvres.

Elle se met à jouer avec mes lèvres. Ma langue tente de lui répondre mais je la sens maladroite, j'ai l'impression de l'agiter grossièrement tant celle de ma compagne est experte.

« Excite-moi. »

On dit que seule une femme sait vraiment toucher une autre femme. C’est elle. Je tente bien de me convaincre que mes jeunes et fougueux élèves pourraient au moins se rattraper sur le nombre. Mais il peuvent tous aller se rhabiller en attendant la prochaine absence de leur si insupportable camarade.

Je me redresse, la poussant à faire de même. Mes doigts glissent sur ses hanches, puis ses cuisses. J’éprouve la fermeté de sa chair pour glisse jusqu’à ses fesses j’empoigne à pleine mains alors qu’elle m’embrasse. Nos poitrines se pressent l’une contre l’autre, se caressent entre elles chaque fois que l’une de nous penche la tête d’un côté ou de l’autre.

Ma main droite remonte sur sa hanche pour contourner sa cuisse. Je la sens vibrer contre moi quand mon index va courir le long de ses lèvres intimes. Il les remonte, puis les dévale, sans tenter de forcer le passage. Il dessine sa petite fente avec la délicatesse d’un artiste marquant un trait subtil et primordiale de son œuvre.

Puis j’écarte mon visage du sien malgré son emprise pour relever la main. Je passe mon doigt perlé de son nectar sur le bout de ma langue avant de l’en écarter.

« Délicieux. »

Ma main droite replonge entre ses cuisses, cette fois pour esquisser le trait de deux pinceaux. Nos lèvres se joignent à nouveau. Le rythme paresseux de mes doigts devient langoureux, puis gagne lentement en intensité, très lentement. La seule chaleur qu’ils rencontrent suffit à me faire frissonner. J’ai presque l’impression de me toucher moi-même, comme si je partageais les sensations de mon envoûtante compagne.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 25 janvier 2012, 17:26:54
Le baiser était délicieux, et Mélinda sentait un savant mélange d’orgueil et de plaisir à voir à quel point la senseï était excitée. Elle le sentait dans la manière dont elle répondait à son baiser, dont sa langue avide se faufilait dans la sienne, et dont ses mains la palpaient. Yamagashi finit par réagir, alors que Mélinda tirait sur sa culotte, et elle fut soulevée. Mélinda ne portait, elle, pas de culotte, mais avait toujours ses collants d’étudiante, ce qui faisait que l’accès à son intimité était possible.

Utilisant sa masse corporelle, la plantureuse professeur se hissa, et alla poser ses mains sur le petit cul rebondi de Mélinda. La vampire ne poussa un petit soupir, et plaça ses propres mains sur les joues de la femme, afin de continuer à l’embrasser, remuant son corps contre le sien, se retrouvant assise sur cette dernière. Leurs lèvres continuèrent cette superbe danse, et Mélinda alla mordiller le cou de la senseï, sans chercher à lui faire mal, avant de retourner vers ses lèvres, soupirant de plaisir. La femme faisait ce qu’elle attendait : l’exciter… Et, pour une humaine, elle se débrouillait plutôt bien ! Sentir les mains de la senseï palper, empoigner son derrière, était un plaisir vif pour la vampire, leurs seins frottant tendrement les uns contre les autres.

La professeur opta elle aussi pour des poses provocatrices, en approchant son doigt de l’intimité, naturellement humide, de Mélinda. Cette dernière en frémit, ses joues rougissant également de plaisir, et elle vit la jeune femme suçoter le bout de son doigt, dont l’ongle était couvert de son délicieux nectar intime.

« Délicieux., commenta-t-elle.
 -  J’espère bien, répliqua Mélinda en souriant. (b]Je t’en offrirai à profusion, ma beauté…[/b] »

Elles retournèrent ensuite s’embrasser, et, progressivement, Mélinda amena Yamagashi à s’allonger sur elle, la jeune vampire basculant lentement en arrière, afin de s’étaler sur le bureau. Sa tête heurta une série de livres et de classeurs, probablement des affaires, et elle ramena le visage de la professeur vers le sien, attrapant pour cela avec fermeté sa nuque, pour retourner l’embrasser, les baisers coupant les gémissements de plaisir que la vampire faisait.

« Hmmmm… gémissait-elle en sentant sa professeur s’amuser près de son intimité. Han, senseï »

Elle s’infiltrait en elle avec un talent certain, et Mélinda écarta les jambes, l’une de se mettant à pendouiller plus ou moins dans le vide. Avec son autre main, elle alla rendre la pareille à la femme, palpant ses fesses, lui donnant de délicates tapes, comme pour l’inciter à se dépêcher. Le plaisir montant, Mélinda devait se concentrer pour que ses griffes ne se tendent pas. Combien d’esclaves sexuels n’avait-elle pas estropié en étant incapable de contrôler les poussées d’hormones de son corps ? Fort heureusement, Mélinda avait appris depuis à réussir à contrôler les émotions de son corps, et elle put donc profiter de ce long et délicieux moment.

Au bout d’un moment, alors que le plaisir explosait dans le corps de la vampire, Mélinda alla attraper le poignet de la main qui jouait dans son intimité, et la retira, afin de l’amener près de ses lèvres, les léchant. Elle se sentait toute chaude, prête à exploser, et décida d’offrir à la jeune professeur sa surprise. En la regardant, elle lui adressa un léger sourire complice, avant de l’embrasser à nouveau.

« Senseï, voilà votre cadeau… » dit-elle après avoir relâché sa lèvre inférieure.

Mélinda se concentra, et quelque chose jaillit de son intimité, la recouvrant presque entièrement. Une verge en érection apparut, se dressant, s’enfonçant contre l’estomac de la belle femme, tandis que des testicules se formèrent également. Mélinda en poussa un long soupir, courbant son corps en avant pour apprécier ce poids supplémentaire. Sa verge était un peu humide, puisqu’elle avait traversé un endroit mouillé. Sous son pénis, on pouvait encore trouver une partie de son intimité, avec son clitoris. Elle sourit, ravie, à la senseï, la laissant observer ce nouveau membre.

« Quand je te disais que je n’étais pas comme les autres, ma belle… »

Comme pour la provoquer, elle glissa l’une de ses mains, et caressa sa verge. Elle était assez belle et longue, à l’image de l’orgueil de Mélinda, qui ne pouvait décemment pas avoir un petit membre. Ce membre, après tout, était d’origine magique, et avait été conçu pour satisfaire les fantasmes de vieilles aristocrates d’Ashnard. Il était donc normal qu’il soit de taille tout à fait honorable. Le faire apparaître avait encore plus excité Mélinda, qui était à moitié assise sur le bureau, soupirant longuement, son membre masculin lui envoyant dans tout le corps des élancements de douleur et de plaisir.

« Occupez-vous de lui, Madame… soupira Mélinda. Il n’attend que ça… »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mercredi 25 janvier 2012, 20:27:31
Un cadeau ? Je sens une bille chaude et humide pousser contre mon ventre. Je baisse les yeux, puis les ouvre grands de surprise. Un membre viril, déjà bandé, palpitant, brûlant de désir pour moi. La dernière fois qu'une femme m'a fait ce coup-là ne m'a pas laissé que de bons souvenirs. Bien sûr j'ai pris un plaisir fou, mais quand je suis revenue à moi la panique m'a fait frôler le malaise.

Cette fois la surprise est tout aussi agréable. Même si mon désir me fait tourner la tête j'ai encore l'esprit clair. Mélinda remue le bassin, son sexe bouge, pointant toujours contre mon estomac. Mon regard remonte vers son visage et son sourire.

« Quand je te disais que je n’étais pas comme les autres, ma belle…
- Vraiment pas. »

Mes lèvres descendent vers les siennes, sa main plonge vers sa verge. Je l'embrasse encore, la déguste alors qu'elle frémit sous ses propres caresses. Son souffle est aussi lourd que le mien.

« Occupez-vous de lui, Madame… soupire Mélinda. Il n’attend que ça…
- Ho, jeune fille... On veut donner des ordres à sa maîtresse ? »

Je lui donne un baiser du bout des lèvres, un autre sur son menton, sa gorge. Je continue de descendre avec une lenteur presque sadique. Je coule littéralement de la table pour finir accroupie devant le sexe tendue de mon étonnante élève. À y repenser, la dernière fois je n’ai pas eu l’occasion de « me pencher sur le sujet ». Laisser passer une autre chance serait pour de basses raisons sexuelles serait indigne d’un vrai professeur.

Je pose une main à l’intérieur de la cuisse de Mélinda, puis remonte d’une caresse pour atteindre sa chaude et fière lance. Mes doigts emprisonnent sa base, puis remontent pour chasser ceux de mon élève. Je me relève juste assez pour amener ma tête au niveau de son gland, que je chatouille de quelques coups de langue.

Ma main libre vient délicatement soupeser ses bourses, remuant les doigts pour les faire profiter elles aussi de la fête. Je m’enivre de sensations. La douceur de sa verge, sa chaleur, son goût, son arôme. Je l’agresse tendrement du bout de la langue, puis continue en abaissant ma bouche grande ouverte. Je lève les yeux vers les siens alors que mes lèvres glissent le long de son membre. De haut en bas, puis de bas en haut, et ainsi de suite.

Le mélange impossible, impensable des arômes l’homme et la femme qui ne sont qu’un, me fait tourner la tête. Mais très vite je ne laisse que mon index tendu entre ses testicules. Ma bouche abandonne son membre, sans le priver d’une dernière caresse du bout de la langue. Je presse mon visage contre lui avec un soupir, sans arrêter de le branler langoureusement. Je fixe son visage du seul de mes yeux dont la vue n’est pas bouchée.

« Est-ce que cela vous excite assez, Miss Warren ? dis-je d’une voix suppliante, avant de reprendre sans lui laisser le temps de répondre. Non, vous valez beaucoup mieux que ça. »

L’index que je gardais entre ses bourse part soudain se presser contre son clitoris. Mes doigts se resserrent autour de son membre que j’enfourne à nouveau. J’y ai goûté, j’ai aimé, je le dévore maintenant avec l’avidité d’une bête sauvage. J’aspire le peu d’air qu’il y a dans ma bouche pour le comprimer entre ma langue et l’intérieur de mes joues.

Ma main tire sa peau pour que son gland n’est d’autre refuge que ma propre chair. Plus bas, mon index abandonne son clitoris pour trouver un petit orifice où il s’enfonce doucement. Bientôt mon pouce a pris la place vacante et je torture ma mauvaise élève avec un plaisir que mes gémissements étouffés ne cachent sûrement pas.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 25 janvier 2012, 22:37:52
Naturellement, Yamagashi fut assez surprise de voir ce membre tendu, mais, pour autant, sa surprise se dissipa bien vite. Seikusu n’était pas un endroit banal sur Terre ; Mélinda n’était pas le seul être « spécial » vivant ici. Peut-être que la senseï avait déjà vu une hermaphrodite, mais elle ne tarda pas à réagir, et embrassa le corps de Mélinda. La vampire ne frémit de plaisir, sentant les doucereuses lèvres de la femme glisser de ses lèvres vers son bassin, se promenant le long de son corps. Elle en frémit de plaisir, poussant de nouveaux soupirs, et finit par se mettre sur le rebord du bureau, alors que la professeur continuait à descendre, continuait à embrasser avec une lenteur infinie la peau tendre et fine de la jeune vampire. Cette dernière en poussa un nouveau soupir de plaisir, écartant faiblement les jambes. Sadiquement, la senseï avait pris tout son temps, et, même si Mélinda avait de l’expérience, le plaisir était quelque chose de vif chez elle, surtout quand son membre masculin était sorti. Ce dernier vibrait, et les griffes de Mélinda étaient désormais sorties, s’enfonçant dans le bois du bureau, le raclant, alors qu’elle remuait faiblement.

Finalement, après un temps qui lui sembla interminable, Yamagashi lui offrit ce qu’elle demandait. Un plaisir immense se mit à exploser dans le corps de Mélinda, remplaçant l’impatience qui brûlait en elle. C’était la double face du désir : un désir insatisfait était quelque chose de terrible à supporter, surtout pour une femme comme Mélinda, mais, inversement, un désir satisfait provoquait des plaisirs terribles. Les deux devaient savamment être équilibrés pour produire une dose de plaisir maximale, et Mélinda, sentant le plaisir venir, rétracta ses griffes, et tendit une main pour caresser la femme.

Cette dernière ne négligeait aucune partie de son pénis. Avec ses lèvres, elle léchait sa verge dans tous les sens du poil, et, avec l’autre, elle caressait ses testicules. Tout son membre était trempé, tacheté par sa cyprine, et Mélinda soupira de plaisir. Elle sentait son membre la torturer. Elle ignorait si c’était là ce que ressentait un homme, n’ayant jamais pu se mettre dans leur peau, mais c’était terrible ! Tout son être était accaparé, et sa verge dure la faisait souffrir, tellement souffrir ! Elle était grosse, tendue, et avait soif, soif de sexe. Yamagashi la masturbait avec une main, glissant avec aisance sur cette verge trempée. Elle embrassait son membre, et Mélinda poussait des cris. Contrairement à un homme, son pénis jouissait bien plus facilement, et Yamagashi, en poursuivant son traitement, ne tarderait pas à en faire les frais.

« Est-ce que cela vous excite assez, Miss Warren ?
 -  Énormément ! acquiesça-t-elle sur un soupir, son corps se dandinant.
 -  Non, vous valez beaucoup mieux que ça.
 -  Hum… J’espérais bien que vous ne voudriez pas en rester là, ma belle ! »

Yamagashi alla titiller son clitoris, et Mélinda poussa alors un hurlement de plaisir strident. On excitait à la fois son pénis et son vagin. Elle ressentait à la fois le plaisir qu’un homme ressentait quand on le branlait, et le plaisir qu’une femme éprouvait quand on la caressait. Sa cyprine se mit à dégouliner le long des doigts de la professeur, satisfaisant énormément la mauvaise élève, tandis que la main de Yamagashi alla se glisser dans un autre trou, dans son fondement. Mélinda sautilla légèrement, remuant ses fesses, et poussa un autre cri de plaisir, un râle langoureux, sentant des frissons la traverser le long de tout son corps.

Les mains d’Alice caressaient les cheveux de Yamagashi, et l’amenaient à prendre son sexe dans sa bouche, à continuer sa fellation. La femme jouait avec son gland, avec cette partie sensible, électrisant Mélinda. Oh oui, qu’elle était douée ! Bien plus que ses esclaves ! Bien plus que bien des partenaires, et bien des lycéennes ! Jamais Mélinda n’avait été autant convaincue d’avoir fait le bon choix avec elle, et ses griffes s’enfonçaient le long de ses cheveux, caressant sa peau, là encore, sans la faire souffrir. Mélinda remuait le long du bureau, ce dernier émettant quelques craquements, et elle donna un violent coup sur le bureau. Son corps remuait tellement qu’elle finit par glisser de son bureau, glissement facilité par la mouille qui commençait à s’accumuler.

Mélinda s’écrasa sur le corps de Yamagashi, renversant sa professeur sur le sol, la vampire tombant avec elle. Son membre heurta l’aine du senseï, à proximité de son intimité, et elle remonta ses lèvres près de son visage, pour l’embrasser. Sa queue tremblante frotta l’intimité de la senseï, mais un sourire éclaira les lèvres de Mélinda.

« Non…, dit-elle, rejetant l’idée de la pénétrer. C’est encore trop tôt… Et vous aussi, vous méritez mieux, Mlle Yamagashi. »

Elle lui sourit, lui mordillant l’oreille, et l’aida à se mettre assise. Tenant son membre à la base, elle l’approcha des seins de la professeur, et le glissa entre ses derniers, son bout frottant contre la chair de la femme. Mélinda s’était positionnée de telle manière que le bout de son membre, quand elle le faisait bien glisser, approchait des lèvres de Yamagashi, la tapotant.

« Haaaaaaaaaaaaaaannn !!! Faites-moi jouir, sensei, avec votre superbe poitrine et vos lèvres délicieuses, et je vous rendrais la pareille. Je vous baiserai comme une chienne ! »

Mélinda avait beau avoir plusieurs siècles d’existence, elle restait une vampire assez jeune, très soumise à ses propres pulsions.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le jeudi 26 janvier 2012, 16:10:09
Les griffes de Mélinda se baladent sur ma tête. Mon cuir chevelu est parcouru de frissons électriques qui se répandent comme le sillage d'un bateau sur une mer calme. Pendant quelques secondes je ne contrôle plus ma nuque, qui tire ma tête en arrière entre mes épaules. Je dois me pencher pour garder son membre à portée de lèvres. Très vite les frissons se font moins agressifs. Chaque mouvement de ses griffes diffuse un peu plus loin des pulsations apaisantes.

Mes épaules se détendent, les mouvements de mes bras deviennent plus fluides. Je sens un nuage orageux, chargé d'électricité, se former dans ma tête et engourdir ma raison. On néglige trop souvent l'effet d'une simple main passée dans les cheveux. Pour la plupart des hommes, ils ne servent qu'à être tirés ou écrasés contre la tête par des mains tyranniques. Mais sous des caresses langoureuses, à peine griffantes, le cuir chevelu n'a rien à envier aux zones dites "érogènes", dont on sous-estime gravement le nombre.

Les ongles étrangement pointus de ma mauvaise élève suffisent à me garder excitée. Ses ongles, et ses gémissements, les respirations profondes qui les ponctuent, le contact de son membre sous mes doigts, sur mes lèvres, ma langue. Je ne peux m'empêcher de répondre aux mouvements implorants de son bassin. Mes propres hanches bougent lentement d'avant en arrière, de droite à gauche. Comme si elles cherchaient quelque chose pour combler mon intimité larmoyante de solitude.

Soudain Mélinda glisse et m'emporte avec elle. Je tombe à la renverse, brutalement privée de tout le plaisir qu'elle me donnait. Ma tête encore frémissante rencontre le carrelage, le choc fait voler en éclat tous mes repères. Doublement sonné je lève les yeux vers le visage de la jeune femme, comme si je sortais d'un songe éveillé. Mon regard choqué dévale son corps pour se fixer un instant sur son sexe, tendu vers le mien. Je laisse échapper un souffle tremblant mais rassuré. Le rêve n'est pas fini.

Le baiser qu'elle me donne, le contact de ses lèvres, réveille tout ce que notre chute a assommé. Je la fixe d'un regard implorant quand elle joue de son membre aux limites de mon intimité. Si elle ne se décide pas très vite je vais lui sauter dessus, quitte à souffrir en forçant moi-même son membre entre mes lèvres humides. Malheureusement elle se décide.

« C’est encore trop tôt… Et vous aussi, vous méritez mieux, Mlle Yamagashi. »

Elle m'aide à me redresser, me manipule comme un jouet. Sa verge brûlante vient se blottir au creux de mes seins. Ma frustration s'efface devant la promesse d'un plaisir dont l'attente pousse déjà l'intensité. Mes mains monte s’emparer da ma poitrine pour mieux emprisonner son membre. Son gland disparaît pour jaillir à nouveau. Il monte frôler mes lèvres comme un petit animal qui viendrait quémander un peu d’attention.

Je penche la tête pour répondre à ses suppliques silencieuses. Ma langue l’accueille à chaque passage, pour le repousser ou accompagner son mouvement. De temps en temps mes lèvres se referment sur lui comme pour le retenir. Je sens son corps qui réagit au plaisir que je lui donne, qui le vie, qui le respire.

« Haaaaaaaaaaaaaaannn !!! Faites-moi jouir, sensei, avec votre superbe poitrine et vos lèvres délicieuses, et je vous rendrais la pareille... »

Sa voix implorante attise en moi les braises d’où la tempête de feu à prête à éclater.

«  Je vous baiserai comme une chienne ! »

Soudain c’est une bourrasque glacée qui me fait frémir de l’intérieur. Dans cette situation je ne pense pas que ma voix gémissante rende justice à mes sentiments.

« Comme une chienne ? »

Autant dire comme les autres. Comme tous ces « babouins », ces « demeurés congénitaux » dont elle se dit tellement supérieure. Elle aurait aussi bien pu me repousser et repartir sans un mot, j’aurais préféré plutôt que d’entendre ça. La tempête qui gronde en moi n’est pas celle que j’avais imaginé, les frissons qui courent le long de mes muscles n’ont plus rien à voir avec le plaisir.

Mes doigts se crispent, j’écrase mes propres seins l’un contre l’autre jusqu’à en souffrir. Je comprime le membre de Mélinda. Je le branle avec toute la rage de ma frustration, comme pour lui faire payer les mots qui m’ont blessés.

« Comme une chienne, c’est ça ? Assis, couché, pas bouger ? À genoux et avale ou c’est la fessée ? »


Je ne sais même plus ce que je raconte, je m’en fous. Je ne sais qu’une chose : dans mon état d’excitation je risque de perdre le contrôle. Si mes main s’écartent de ma poitrine je vais la frapper, si ma bouche arrête de parler je vais la mordre. Si je me lève je vais me jeter sur elle, et pas pour lui faire bien.

« C’est tout ce que vous voulez, Miss Warren ? C’est ça que vous aimez ? C’est tout ce dont une lionne est capable ? »

Un jet de sperme vient soudain frapper mon visage. Je me fige un instant, puis remue encore ma poitrine pour aider son gland surexcité à se libérer complètement. Quand plus une goutte n’en sors, je laisse mes main retomber. Je me penche en arrière, le membre toujours tendu glisse le long de ma gorge puis entre mes seins couverts de sa semence encore chaude. Je lève vers Mélinda mon visage souillé, mon regard où ou la déception prend déjà plus de place que la colère.

« C’est ça, le mieux que je mérite ? »

Puis j’attends, mais de ce qu’elle m’a promis je n’espère plus grand-chose.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 27 janvier 2012, 00:17:09
Excitée, Mélinda avait bien du mal à comprendre que sa dernière tirade, dite sans réfléchir, avait froissé Yamagashi. Elle sentit juste cette dernière compresser un peu plus son membre tendu, la faisant trembler de plaisir. Qu’est-ce que c’était bon ! C’était tellement bon que la vampire se sentait ailleurs, et parvenait tout juste à glisser à nouveau ses doigts entre les mèches de cheveux de la senseï. Elle sentait son orgasme venir, tant son membre masculin était comprimé, caressé, serré. La senseï essayait presque de le broyer entre ses deux beaux mamelons, et la petite vampire était incapable de rester stoïque. Son membre était dur, si impatient, et elle sentait dans son corps un savant mélange naturel d’une exquise douleur et d’un plaisir fulgurant. Elle interpréta donc les paroles de Yamagashi, non pas comme l’expression de sa frustration, mais comme des paroles destinées à l’exciter encore plus.

« Comme une chienne, c’est ça ? Assis, couché, pas bouger ? À genoux et avale ou c’est la fessée ?
 -  Aaaaaaaah !!! »

Incapable de lui répondre, elle se laissait faire, et promena ses mains griffues sur son propre estomac, bouillonnant. Elle entendit vaguement Yamagashi lui parler d’une « lionne », mais Mélinda était alors ailleurs. Avec ce membre masculin, et ses instincts vampiriques, son plaisir était complètement décuplé, à tel point qu’elle en devenait ivre. Le sperme jaillit de son membre, éclaboussant les lèvres de Yamagashi, et Mélinda poussa alors un nouveau cri, faisant venir d’autres giclées. Elle en poussa de multiples cris, le sperme continuant à jaillir, sentant un indescriptible bonheur la traverser. Le sperme continua à venir, éclaboussant les seins de la femme et sa gorge, avant qu’elle ne se ressaisisse. Mélinda alla s’appuyer contre le bureau, soupirant lourdement, sa poitrine se soulevant.

« C’est ça, le mieux que je mérite ?
 -  Quelle impatience, fit-elle., relevant la tête. Est-ce que je… ?»

Mélinda se tut en voyant le regard de Yamagashi. Le sperme de la vampire avait éclaté sur le bas de son visage, heurtant ses joues, ses lèvres, et même un bout de son nez, ce qui la rendait assez attirante, mais c’était surtout son regard qui l’interloqua. On pouvait y lire tout, sauf du plaisir. Mélinda se rappela alors ce qu’elle avait dit, et commença à comprendre, ce qui la fit sourire. Restant avec son membre, elle s’approcha de la senseï, et alla lui lécher le visage, se blottissant contre elle.

« Ne prends pas en…, commença-t-elle, avant de l’embrasser dans le creux du cou, …Compte tout ce que je dis quand je suis dans…, poursuivit-elle, lui embrassant désormais le lobe de l’oreille. … Cet état. Un pénis excité, ça a de quoi rendre fou, ma belle. »

Mélinda retourna sur ses lèvres, et l’embrassa tendrement, son membre frottant contre son estomac. Le baiser se poursuivit plusieurs longues secondes, puis Mélinda se redressa lentement, aidant également la professeur à se redresser, avant d’aller délicatement la pousser contre une table. Caressant l’un des seins de Yamagashi, Mélinda embrassa l’autre, le suçotant, avant de lécher son propre sperme, qui dégoulinait entre ses seins.

« Ma belle, comment peux-tu croire que je te négligerais ? Ton corps est une œuvre d’art… Je ne peux décemment pas le traiter comme je le ferais avec n’importe qui…#

Elle continua à embrasser le corps de Yamagashi, se dressant un peu, afin de l’embrasser à nouveau sur le bout des lèvres, mordillant la lèvre inférieure, lui grattant tendrement le dos, glissant vers son postérieur, sans encore le toucher, se contentant d’alterner baisers, coups de langue, et frottements avec ses griffes. Elle n’avait pas tort ; le corps de Yamagashi était effectivement une ode à la beauté. Comment pouvait-elle croire que Mélinda comptait expédier cette scène ? Était-elle si convaincante que cela ? Ou est-ce que la senseï lui faisait du cinéma ? Son regard avait l’air si vrai… Mais elle ne devait pas oublier que la femme était loin d’être une novice dans le domaine de la séduction. Mélinda ne doutait pas une seule seconde qu’elle était du genre à coucher avec ses élèves, et à savoir comment les manipuler. En d’autres circonstances, la perspective d’être manipulée aurait agacé Mélinda, mais ici, elle était suffisamment excitée pour ne pas céder à des relents paranoïaques. Elle continua à l’embrasser, et glissa vers son nombril, avant de s’approcher de son intimité. Elle donna un coup de langues dessus, et regarda Yamagashi avec ses yeux innocents.

« Oublie cela, ma belle ; ma langue a fourché. Me pardonnes-tu ? »

Sans vraiment attendre sa réponse, elle renifla son intimité.

« Ton corps, lui, a l’air de ne pas m’en tenir rigueur, en tout cas… Retourne-toi, s’il-te-plaît, je crois que je dois m’occuper d’une autre partie de ton corps… »

Mélinda se mordilla les lèvres, et aida Yamagashi à se retourner, puis embrassa chacune de ses belles fesses, avant de les mordiller affectueusement. Elle lécha ensuite la petite raie qui démarquait ses deux belles bosses, et les malaxa tendrement.

« M’en tiendrez-vous rigueur, senseï, lança-t-elle pour la narguer, si je vous dis que vous avez un délicieux cul ? »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le vendredi 27 janvier 2012, 03:37:37
Redevenue amante attentive, Mélinda chasse peu à peu mes craintes. Ses caresses et ses baiser dispersent mes doutes, ranime les braises de mes espoirs charnels. Je me laisse charmer par ses mots, convaincre par ses excuses. Je penche la tête pour accueillir chaque passage de sa langue sur mon visage souillé. Rares sont les jeunes hommes qui sacrifient à ce genre d'attentions. C'est tellement obscène, mais tellement excitant.

J'avance ensuite la poitrine alors qu'elle me nettoie comme le ferait un animal. Elle me caresse et m'emporte à nouveau. Je ne résiste pas. Elle m'envoûte aussi facilement qu'une sirène charme les marins restés trop longtemps en mer. Mon ventre s'embrase quand je sens ses baiser descendre vers mon nombril, puis plus bas encore. Elle excite mes lèvres intimes d'un coup de langue précis. Ses grands yeux de poupée me donnent le vertige.

« Oublie cela, ma belle ; ma langue a fourché. Me pardonnes-tu ?
- Pas encore. »

J’ai parlé sans réfléchir. Je ne veux pas lui pardonner, pas avant qu’elle me fasse crier de plaisir. Pas avant de lui céder entièrement, jusqu’à cette dernière réserve. Mais regarde les choses en face, Hitomi : il ne faudra pas longtemps. Piquer ma petite crise m’a épuisée. Entre résister et obéir à mes pulsions, le choix ne se posera pas. Je sens son souffle caresser mon intimité. Je frissonne, et rougie d’une gêne qui m’étonne moi-même.

Puis sur quelques notes de sa voix enivrante je suis ses mains qui guident mes hanches. Ses lèvres se posent tour à tour sur chacune de mes fesses. Je rougie de plus belle quand sa langue remonte le long de ma raie.

« Non... C‘est trop... »

Sale ? Indécent ? Pervers ? Sans doute un peu des trois, car je ne veux pas avouer que cela m’excite. De toutes façons elle ne semble pas s’en soucier.

« M’en tiendrez-vous rigueur, senseï, si je vous dis que vous avez un délicieux cul ?
- Non. »

On m’a déjà dit qu’il était ferme, doux, chaud, étroit, bon. Mais « délicieux » : c’est une première. Je ne peux qu’accueillir le compliment avec plaisir. Je sens mes jambes s’affaiblir comme la langue de Mélinda se fait plus pressante. Dans ma position je ne fais que subir, et j’aime ça. À chaque coup de langue sur mon petit orifice, à chaque infime griffure que laissent ses ongles, la chaleur qui monte en moi devient un supplice.

C’est incroyablement bon, plus que ça ne l’a jamais été. mais bientôt ça ne suffit plus. Moi qui, d’habitude, ne consent à la sodomie que pour la plaisir de mes partenaires, cette fois je me retiens de la réclamer. Je repense au sexe de Mélinda, à cette verge inattendue, impossible, irrésistible. Son goût envie ma bouche comme s’il s’y trouvait encore, son odeur puissante emplit mes narines. Je me souviens de sa douceur, sa chaleur.

Je ne peux m’empêcher de me cambrer. Au bout de mes bras tendus, mes mains décollent presque de la table. Une bonne occasion d’en envoyer une chercher à tâtons la chevelure soyeuse de ma douce tortionnaire.

« C’est tellement bon... Mélinda. »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 27 janvier 2012, 12:12:28
La tension qui avait vaguement animé le corps de Yamagashi disparaissait à chacun des coups de langue de Mélinda. Comment résister à de telles caresses, après tout ? Soigneusement et tendrement, la vampire s’occupait de cet adorable derrière, mordillant la chair, la palpant et la serrant entre ses doigts, la griffant avec gentillesse, embrassant ces deux petites collines de plaisir. Elle sentait tout le corps de Yamagashi se détendre, trembler, et Mélinda en rajoutait, naturellement. Son sexe tendu se frottait contre l’une des jambes de la femme, afin de lui rappeler la présence de ce membre assoiffé, qui n’attendait qu’à se plonger dans les profondeurs de son corps. En d’autres circonstances, Mélinda aurait sans doute pratiqué d’office une sodomie, car elle sentait que la senseï n’attendait que cela. Néanmoins, l’estime qu’elle portait pour sa beauté suffisait à permettre à Mélinda de se contrôler… Et puis, il était bien plus amusant de la malmener ainsi, de l’exciter, de la voir perdre son sang froid.

C’est donc avec un plaisir évident que Mélinda jouait avec son derrière. Elle fourrait son nez dans sa croupe, le faisant glisser le long de cette raie, le reniflant bruyamment, multipliant les gestes salaces et pervers. Elle écartait chacune des fesses de Mélinda avec ses doigts, voyant son petit anus, allant le lécher, le suçoter tendrement, mais sans jamais y glisser un seul doigt. Elle retournait ensuite déposer des baisers sur les fesses de la femme, ne parvenant pas à s’en lasser.

Elle glissa l’une de ses mains sur le devant de son corps, griffant tendrement son aine, son auriculaire effleurant son intimité, et elle sentit le corps de la prof’ se tendre, se cambrer délicatement. L’une des mains de la femme alla se glisser assez maladroitement dans les longs cheveux de Mélinda, et elle remua sa tête, sentant un frisson la parcourir.

« C’est tellement bon... Mélinda.
 -  Mmmm… En aurais-tu douté ? » la nargua-t-elle à nouveau.

Elle lécha son fessier, continuant encore ce petit jeu pendant plusieurs minutes, ses mains baladeuses continuant à explorer le bassin de Yamagashi. La main posée sur son aine enfonça tendrement son petit doigt dans le sexe de la prof’, remuant lentement dans ce puits de plaisir, s’enfonçant délicatement, avant de ressortir. Mélinda satisfaisait le désir de la prof’, tout en la rendant de plus en plus insatisfaite. Son auriculaire, en effet, n’allait pas très loin, restant, pour ainsi dire, à la surface de ce petit trou.

« Sens-toi honorée, ma beauté ; d’habitude, je traite mes partenaires sans vraiment chercher à leur demander leur consentement, mais toi… Tu mérites un traitement de faveur »

Mélinda ponctua son assertion en embrassant à nouveau son derrière, puis commença à se redresser, promenant ses mains le long des hanches de la prof’, finissant par les placer sur ses seins, emprisonnant chacun de ces deux belles pointes entre ses doigts, frottant et enfonçant les siens contre le dos de Yamagashi, son membre tendu s’enfonçant contre l’une des fesses de la prof’. Elle lécha ses cheveux, avant de s’approcher de l’oreille de la femme, comprimant son beau corps contre le sien, pour lui murmurer à l’oreille :

« Devant ou derrière ? Mon sexe a très envie de te farfouiller un peu, ma belle. Dis-le. Gémis-le. Que je vois et entende tout l’effet que je te procure.[{/color] »

Elle lécha ensuite le cou de Yamagashi, mordillant sa peau entre ses cheveux, et continua à remuer ses seins sous ses mains, frottant avec certains de ses doigts ses deux tétons. Elle voulait la rendre folle, afin que Yamagashi oublie la petite peur qu’elle avait eu, et, pour cela, Mélinda remuait aussi son bassin, son membre glissant sur le postérieur de la prof’, s’enfonçant dedans, avant de se redresser.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le vendredi 27 janvier 2012, 15:08:51
Elle me touche, elle me flatte, elle m'explore. Elle me dit que je suis belle, qu'elle me traite beaucoup mieux que tous les autres parce que je le mérite. Ses caresses et ses timides incursions font frissonner mon corps. je n'ai plus qu'une envie : lui céder. Je veux me laisser emporter comme un fétu de paille par la tornade de délices qu'elle me promet. Alors d'où vient cette sensation désagréable ?

Une goutte glacée dévale mon dos à la rencontre de ses lèvres qui le remontent. Trop envahie par le plaisir, brûlante de désir, je ne peux pas lutter contre ses sensations. Je ne les comprends même pas dans un premier temps. Mon estomac se noue. J'ai l'impression que quelque chose écrase ma poitrine de l'intérieur, bien avant que les mains de ma compagne ne se posent sur elle.

Je me raccroche à ses caresses en espérant chasser mon malaise. Je m'empiffre frénétiquement de la plus petite sensation. Ses lèvres toujours aussi douce. Son sexe tendu, plaqué contre mes fesses. Sa tendre poitrine qui presse dans mon dos, et ses tétons qui le chatouillent. Son souffle qui remonte le long de ma nuque.

« Devant ou derrière ? Mon sexe a très envie de te farfouiller un peu, ma belle. Dis-le. Gémis-le. Que je vois et entende tout l’effet que je te procure. »

Derrière ! Sans hésiter ! Par pitié ! Mais ma bouche s’ouvre à peine qu’une main implacable me tord la gorge. Je sens mes poumons forcer pour expulser l’air qu’ils contiennent. Les caresses de Mélinda mettent au supplice, son sexe n’est toujours pas entré en moi pourtant il me manque. Je veux pas qu’elle me prenne le plus vite et le plus sauvagement possible : j’en ai besoin.

L’appel est irrépressible. Même cette petite voix qui me ramène toujours à la raison n’ose plus murmurer. Je dois la sentir de toutes les manières possibles. Mon corps me hurle qu’il veut sa verge. J’ai l’impression que je ne pourrai pas survivre si elle ne laboure pas tous mes orifice jusqu’à m’abandonner au sol, moribonde. je ne supporte plus ce tourment, tous ces dilemmes. Où poser mes mains, mes lèvres ? Que dire ou que faire ? Devant ou derrière ?

Pitié, Mélinda ! Délivre-moi de mon malheur ! Enfonce-toi toute entière en moi ! Cogne ma volonté à grands coups de reins jusqu’à ce qu’elle tombe en miettes ! Tant pis pour ce que j’ai dit, pardon pour ce que j’ai fait. Entre en moi pour détruire ce qui me distingue encore de la chienne... La chienne...

Soudain tout devient clair. Les chaînes invisibles qui m’étouffaient disparaissent. Je lâche un long souffle apaisé qui calme même le désir sauvage. Le mon revient autour de nous. La classe, le tableau noir où sont encore inscrits la dates et les points importants du cour.

« Devant. »

Ma voix est faible pourtant je ne gémis pas. Je veux, je ne supplie pas. Sans la consulter, mais sans chercher à la surprendre, je retourne face à Mélinda. Mes mains viennent se poser sur ses joues comme je me penche pour l’embrasser.

« Je veux voir ton visage d’ange, Mélinda... »

Cette fois je supplies, je me prête au jeu. Mes mains glissent vers sa poitrine pour la caresser, pincer tendrement ses tétons excités.

« Je veux toucher ton corps parfait... »

L’une de mes main glisse encore plus bas pour enfer mer son membre dans une douce étreinte. Je le caresse de bas en haut, me dressant sur la pointe des pieds pour m’asseoir au bord de la table.

« Je veux que tu vois tout ce que tu provoques en moi... »

Mon autre main descend dans son dos, suis les courbes de sa chair tendre pour appuyer contre ses fesses. Je la tire vers moi, guidant son membre entre mes cuisses. Ma voix devient implorante.

« Je veux que tu me regardes jouir. »

J’appuie mon front contre le sien en la fixant droit dans les yeux. Tu en veux, des choses, Hitomi. Pas tant que ça. Finalement je ne veux qu’elle, et je ne pense pas qu’elle refusera. mais bientôt le bout de son gland rencontre mes lèvres humides. J’ouvre grande ma bouche sur un gémissement silencieux. Les yeux dans les yeux, je la pousse lentement à l’intérieur.

Elle me pénètre presque jusqu’au bout quand je me mords la lèvre inférieure pour retenir un gémissement. Mes mains la libèrent pour aller courir sur son corps. Mon visage glisse jusqu’à son oreille.

« Fait-moi gémir ! »

Est-ce un ordre, un souhait ou une supplication ? Je ne le sais pas moi-même. je m’enivre du parfum de ses cheveux en lui mordillant l’oreille.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 27 janvier 2012, 20:20:51
Yamagashi était au bord de la crise de nerfs, de la rupture. Mélinda le sentait, et cela lui faisait énormément plaisir, de voir à quel point elle la mettait dans l’embarras. La brave professeur peinait à retrouver ses esprits, et il fallait bien dire que la vampire faisait tout ce qu’elle pouvait pour compliquer cette tâche. Elle malmenait avec une douceur insupportable la belle poitrine de la senseï, embrassait et mordillait sa peau, se presser contre elle… Et ce sexe, hum, ce sexe ! Même pour elle,c’était un supplice. Elle se retrouvait dans le même état qu’il y a quelques minutes, avant de jouir, un état d’impatience fort, où elle pouvait dire n’importe quoi. Son corps vibrait également d’impatience, et elle n’attendait qu’une seule chose : qu’elle se décide ! Devant, derrière, quelle différence ça faisait ? Mélinda comptait bien, de toute façon, la prendre dans tous les sens possibles ! Elle tremblait, tant ce corps était beau, tant cet esprit était attirant, tant cet être la faisait fantasmer.

« Devant », finit par dire, au bout d’un temps infini, la prof’.

Devant, finalement… Elle voulait revenir sur quelque chose de plus classique, de moins violent, mais Mélinda avait promis de faire ce qu’elle voudrait, et la vampire ne revenait jamais sur ses paroles. Yamagashi se détacha un peu de son étreinte, se retournant, et Mélinda alla cueillir ses lèvres dans un énième baiser, gémissant en la sentant pincer ses tétons. Ses seins étaient tendus et assoiffés, à l’image de tout son corps de vampire, et sa cyprine coulait sous son pénis, glissant sur le sommet de ses jambes La prof’ se mit à parler d’un ton sensuel et bas, excitant encor eplus Mélinda, qui en serra ses petits poings, ses griffes se tendant à nouveau. L’une des mains de la prof’ s’empara de son membre, et elle poussa un soupir.

« Je veux toucher ton corps parfait...
 -  Aaaaaaahhh… !» lâcha-t-elle dans un soupir.

Son membre se tendit sous cette main doucereuse, alors que la prof’, avec habileté, s’asseyait sur le rebord de la table, cette petite table d’étudiant. Son autre main s’empara du postérieur de Mélinda, et un frisson la parcourut. Son corps s’avança rapidement vers celui de Yamagashi, Mélinda perdant toute notion des choses, son esprit se focalisant uniquement et exclusivement sur cette belle femme, qui la rendait folle.

« Je veux que tu me regardes jouir. »

Elle amena autoritairement Mélinda contre elle, et leurs têtes se heurtèrent. Mélinda lut dans le regard de la senseï une inébranlable détermination, mélangée à un plaisir vif et intense. Une légère poussée sur ses fesses, un mouvement du bassin, et son membre se faufila dans son trou de plaisir. La vampire en ferma les yeux brièvement, relevant la tête, soupirant légèrement. Toute sa verge se glissa en deux ou trois secondes, son épée se faufilant dans cette manche délicieuse. Rouvrant les yeux, Mélinda regarda à nouveau sa professeur.

« Fait-moi gémir ! intima-t-elle dans le creux de son oreille.
 -  Sans… Sans problème ! » l’assura-t-elle.

Mélinda plaça ses mains sur les cuisses de la senseï, les remontant vers les fesses de la belle et plantureuse dame, et commença à la pénétrer, remuant son membre. Elle était debout, et elle assise sur le rebord de la table, et Mélinda se laissa aller, son propre corps heurtant le rebord de la table, sans vraiment la faire souffrir, tant elle était excitée. Les paroles laissèrent place aux gémissements et à des cris de plaisir, et Mélinda ne se privait pas, tant c’était bon ! La vampire devait parfois poser l’une de ses mains sur la table, la raclant avec ses griffes, ne voulant pas spécialement découper Yamagashi en rondelles, avant de reposer fermement ses mains. Elle remuait tellement en elle que la table commençait à remuer. Fragile et bancale, elle se soulevait un peu, Yamagashi étant après tout sur le bord.

Après un certain temps, Mélinda décida donc de changer un peu la situation. Sa bouche, qui allait se promener entre les seins de la senseï et ses délicieuses lèvres, s’écarta un peu, et Mélinda entreprit de se hisser. Elle souleva Yamagashi en utilisant ses mains et son corps, afin de la pencher un peu sur la table. Trop petite pour supporter un corps allongé, la table en tant que telle ne présentait qu’un intérêt réduit. Mélinda poussa donc Yamagashi, la mettant au bout de la table, rompant très brièvement le contact de son membre, le temps que Mélinda saute sur la table, utilisant son agilité pour retourner la pénétrer, l’embrassant tendrement. Leurs deux corps penchèrent légèrement vers le vide. D’une pousse, Mélinda renversa la table, et, avec le bout de ses griffes, parvint à saisir le rebord de la table derrière elle, la tirant pour la plaquer contre elle où elles s’embrassaient. De cette manière, Mélinda put pousser Yamagashi, l’étalant sur les deux tables, et put pleinement la pénétrer, s’étalant sur elle.

Une main sur un sein, elle lui sourit de toutes ses dents.

« Allez, allez, professeur, je veux vous entendre HURLER ! » l’encouragea Mélinda.

Elle serra son sein, et continua à s’enfoncer en elle, accélérant le rythme, les tables craquant délicieusement sous leurs ébats. Mélinda s’enfonçait aussi loin qu’elle le pouvait, tout en accélérant le rythme, ce qui n’était toutefois pas très difficile. L’intimité de sa professeur était tellement humide que son membre tendu et assoiffé s’y baignait avec joie. Elle embrassa à nouveau Yamagashi, dans un baiser difficile et torride, douloureux et mordant, avant de soupirer à nouveau, les joues rougies par le plaisir et le bonheur qu’elle ressentait.

« Han PUTAIN , si c’est bon ! » jura-t-elle alors.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le dimanche 29 janvier 2012, 00:40:26
Une hésitation ? Je me rassure vite en sentant ses mains imprimer à mon corps le rythme du sien. Très vite la table grince et tremble sous moi. Ses pieds cogne tour à tour sur la sol carrelé. Quelqu'un pourrait entendre et je n'en ai rien à faire. Chaque fois que l'une des mains de Mélinda quitte mon corps, un nouveau grincement se fait entre. Long et continu, suivant le rythme des autres sans se couper. Ce n'est pas quelque chose qui se tord : trop régulier.

Mais même ce détail pour le moins troublant ne parvient pas à m'intéresser. J'arrive à peine à penser que, si j'avais su, je l'aurais prise sous mon bras et serai rentrée chez moi en courant avec. J'aurais d'ailleurs sans doute expédié les remontrances sur le chemin pour gagner du temps.

Je sens la table se réchauffer sous mes fesses, ce qui n'a rien de désagréable. Mais ce n'est pas cette chaleur qui me fait ronronner. Le sexe de Mélinda va et vient en moi avec une facilité qui n'ôte rien au plaisir. Chaque passage m'électrise. Mes pieds remuent jusqu'aux orteils autour de ses jambes.

Je voudrais m'allonger pour profiter un peu plus de son membre, jouer avec sa belle poitrine, voir son corps parfait à l'œuvre. mais en plus du boucan et des secousses cette table à le défaut d'être minuscule. mon amante semble du même avis que moi, et aussi peu encline à couper notre élan.

Soudain elle me porte presque. Je me cramponne à ses épaules. Je n'ai pas peur de tomber ou de glisser. Ce que je ne veux surtout pas, c'est qu'elle arrête. Bouger a fait monter le plaisir d'un cran, je n'arrive presque plus à retenir mes cris. Il ne m'en faudra pas beaucoup plus. Quand son sexe se retire je ne peux retenir un gémissement désespéré.

Elle me repousse et bondit sur la table, ou plutôt sur moi, sans me laisser le temps d’être surprise. Elle m’embrasse et me penche en arrière, son membre pointant aux porte de mon intimité. Je crains un instant de tomber à la renverse, mais très vite je sens que mes cheveux ne pendent pas dans le vide.

Je finis allongée, les cuisses grandes ouverte pour accueillir Mélinda. Elle me pénètre jusqu’à la garde, avec une force qui pousse presque tout mon corps. Cette puissance me fait frissonner, puis le sourire qu’elle me dévoile, avec ses deux canines décidément un peu trop longue. Ces grincements sur la table.

« Allez, allez, professeur, je veux vous entendre HURLER ! »

Avec qui suis-je en train de faire l’amour ? Plus son membre s’agite en moi, plus je me souviens d’un détail important : je m’en fous royalement. Mélinda est une « créature de rêve » dans toute la beauté de la formule, peut-être la plus envoûtante que j‘ai croisée à ce jour. Quelques secondes lui ont suffis à me faire perdre pieds à nouveau.

Elle me caresse et m’embrasse encore. Ma main droite descend caresser dès qu’elle se redresse. La gauche n’a pas attendu pour la caresser, dessinant du bout du doigt la ligne de son dos.

« Han PUTAIN , si c’est bon. »

Ma main vient claquer sa fesse avant de la pétrir avidement.

« Ne te crois pas tout permis parce... parce que tu baises comme une déesse. »

J’ai failli gémir à la moitié. Mes hanches remuent d’elles-mêmes, pressant le membre qui va et vient en moi. Bientôt ma deuxième main descend imiter la première. Elle suivent son rythme, le soutiennent. Je la force à revenir un peu plus vite à chaque fois. le plaisir m’envahit, m’étouffe délicieusement.

Si cela ne suffisait pas à me couper le souffle, Mélinda est encore plus belle dans l’effort et le plaisir. Son visage rougi, soulignant un peu plus l’émeraude miroitante de ses yeux. Les tables claquent et grincent sous nos corps en mouvement. Elle n’a bientôt plus besoin de mes mains pour la guider. Elles reviennent jour avec sa poitrine, parcourir ses hanches, ses épaules, sa gorge. Je la balaie avec un appétit dévorant. Je râle et gémis sans pudeur mon désir, je chante le plaisir qu’elle me donne de ma voix essoufflée.

« Ah !... Mélinda !... Continue !... »

Les sensations commencent à se détacher les unes des autres, comme si soudain je me retrouvais le nez collé au tableau. Au centre ce sexe emplit mon vagin offert, juste à côté sa peau qui vient caresser mon clitoris excité. Dans un coin l’air qui rafraîchit d’un souffle la sueur sur ma peau, quelque part autour de son ventre qui glisse contre le mien. Mes tétons durcis tendrement écrasés par sa poitrine, les siens remuent contre la mienne.

« Tu vas... me faire... hurler ! »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 29 janvier 2012, 01:19:32
Une belle gifle sur ses fesses vint ponctuer son juron, la faisant hurler de plaisir.

« Ne te crois pas tout permis parce... parce que tu baises comme une déesse. »

Souriant à nouveau, Mélinda regarda sa prof’.

« Ah oui ? réplique-t-elle, avant de s’enfoncer à nouveau aussi loin que possible. Toi aussi, ma belle, toi aussi ! »

Mélinda continua ses mouvements, dansant sur le corps de la femme, embrassant de temps en temps ses lèvres, mais préférant se porter sur d’autres parties de son visage ou de son cou. Yamagashi gémissait de plaisir, tout comme Mélinda, qui ne se privait pas pour hurler son propre plaisir. Cette humaine était une créature terrifiante, indiscutablement. L’une des plus belles humaines que Mélinda n’avait jamais eu l’occasion de voir, dépassant dans tous les domaines toutes ses esclaves, et bien toutes ses amantes. Elle le prenait avec envie, s’enfonçait avec elle avec un plaisir ardent, se glissant dans les profondeurs de son être sans hésitation, glissant toujours plus rapidement, ses fesses pétries par les mains de Yamagashi. Cette gifle… Elle ignorait si elle était intentionnelle ou non, mais elle avait encore plus excité Mélinda, qui avait toujours eu un fort penchant sadomasochiste.

La vampire sentait son membre dur se glisser dans ce trou humide, ce puits de plaisir, et elle était fiévreuse, fiévreuse de voir tout l’effet qu’elle procurait sur le corps ô combien parfait et délectable de la senseï. Cette dernière se tortillait sous elle, soulevant parfois les tables, provoquant des grincements. Les murs n’étaient pas très épais entre chaque classe. S’il y avait des élèves en face, ils les entendraient sûrement. Mais en quoi était-ce un problème ? Qu’ils viennent ne ferait ni chaud ni froid à Mélinda, lui offrant juste un spectacle. La seule chose qui comptait vraiment était ce corps chaud qui se situait sous elle.

Sans qu’elle ne puisse se l’expliquer vraiment, Mélinda avait envie de faire plaisir à la senseï. Quand elle faisait l’amour, généralement, son propre plaisir était la seule chose qui importait. Que son partenaire n’éprouve aucun plaisir ne la gênait que peu, mais, ici, c’était différent. Et ce n’était pas que parce que Yamagashi avait joué avec son orgueil ; c’était… Autre chose. Elle voulait que la prof soit heureuse, car elle estimait qu’elle le méritait. Elle était belle, divine, parfaite, et lui faire l’amour était aussi bien un grand plaisir qu’un bel honneur. La Terre était vraiment un monde merveilleux !

Mélinda redoubla ses efforts, se mettant à grogner entre ses soupirs, les mains de Mélinda se faisant baladeuses, se promenant sur son corps en sueur.

« Ah !... Mélinda !... Continue !...
 -  Oui, oui, oui, aaaaaahhhh, rien ne pourrait m’empêcher de continuer, raaaaaahhhh ! »

Elle donna un autre coup de rein, sa cyprine maculant la table. Elle posa sa main sur le rebord de la table, et l’embrassa fiévreusement, s’enfonçant contre elle pendant plusieurs secondes, sans bouger, avant de recommencer ses mouvements, accélérant le rythme, la profondeur, soupirant à chaque fois. La fatigue pointait, mais l’adrénaline l’électrisait, balayant toute envie de s’arrêter là. Elle voulait que Yamagashi hurle, elle voulait entendre sa prof’ être hors de contrôle.

Leurs seins se touchaient, s’enfonçaient, se caressaient, illustrant la danse effrénée de leurs corps.

« Tu vas... me faire... hurler ! » s’exclama alors la professeur.

A cette idée, un sourire ravi perla sur les lèvres de Mélinda, et elle se sentit venir.

« Oh oui, oui, oui, OUUUUUUUIIIIIIIIIIII !!!! »

Son sperme jaillit en plusieurs giclées, et ses mouvements ralentirent rapidement. Mélinda remua son sexe avec lenteur, baignant ailleurs, dans une autre dimension, où plus rien n’existait, où plus rien d’autre n’avait d’importance que cette légère sensation, cette secousse au bout de son sexe, quand elle sentait ce dernier lâcher du lest. Impossible de décrire fidèlement cette sensation. L’insoutenable légèreté de l’être. Elle ne voyait aucune autre formule pour résumer cela. Ce fut une seconde d’éternité, où elle écouta sans entendre, où elle sentit sans toucher, et, quand cette ellipse fut terminée, le regard de Mélinda se reporta sur le corps de Yamagashi.

Elle baignait dans un océan de délice, tout son corps était électrifié, et, après ces quelques secondes, Mélinda redonna de nouveaux coups de butoir. Être un vampire, par rapport aux humains, avait cet avantage que le sang fonctionnait de manière différente. Tant qu’elle était excitée, elle pouvait toujours être en érection… A moins que ça ne soit ses capacités de futanari. Dans tous les cas, elle continua à danser sur elle.

« Je… Je ne te lâcherai pas avant que tu deviennes complètement folle, et que tes hurlements me torpillent l’esprit, ma belle », lança tout simplement Mélinda.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le lundi 30 janvier 2012, 02:25:29
« Oh oui, oui, oui, OUUUUUUUIIIIIIIIIIII !!!! »

Le cri que je pousse ne se soucie pas d'être articulé, il ne peut être que compris. La décharge de sperme que Mélinda libère en moi me catapulte comme une bille de flipper. Je m'agrippe à elle, secouée par un orgasme qui emporte tout autour d'elle. Il n'y a plus que la belle jeune femme qui me donne tant de plaisir. J'ai l'impression de flotter un instant dans un  néant douillet, toujours plaquée contre elle.

Mais très vite, trop vite, nous sommes à nouveau allongées sur ces deux tables. le plaisir n'en retombe que plus durement. Soudain je réalise que le sexe de Mélinda est encore en moi, toujours aussi dur et brûlant. Ses assauts reprennent avec la même vaillance que quelques secondes plus tôt.

« Je… Je ne te lâcherai pas avant que tu deviennes complètement folle, et que tes hurlements me torpillent l’esprit, ma belle. »

Un frisson de peur remonte le long de mon dos pour être recouvert d'une vague de plaisir. Elle est insatiable : tant mieux. Les jeunes hommes valent pour leur fougue moins que leur endurance, à quelques exceptions près. Au point où j'en suis je ne me demande même plus qui elle est ou ce qu'elle est.

Je sais que je la veux et qu'elle me veux. Je sais qu'elle réagit à la moindre de mes attentions, et que la moindre de ses caresse me fait vibrer. Je sais qu'elle en veut encore, au moins autant que moi. Je sais surtout qu'elle m'en donne plus, toujours plus. Je ne peux retenir de petits cris essoufflés, saccadés.

« Mélinda !... Ha !... »

Ses coups de boutoir ne me laissent même pas le temps de prononcer un phrase. De toutes façons le plaisir ne me laisse pas plus d’attention pour les former dans mon esprit. Il n’y a qu’elle, elle est tout, et tout n’est que délice. Je parviens à me redresser sur les coudes pour embrasser sa gorge, goûter le sel de sa transpiration. J’adore tout en elle, même sa transpiration vierge de l’arôme musqué, assommant des hommes.

Je réalise à quel point j’ai de la chance. Son corps ne laisserait aucun homme de marbre, et sexe impensable ferait fondre la plus frigide des femmes. La pureté et l’opulence d’une femme à fleur de peau, la puissance et l’appétit d’un amant attentif. Cette poitrine qui pèse sur la mienne, au rythme de son endurance surnaturelle. Et toujours son visage angélique serti d’émeraudes étincelantes. Mélinda est parfaite, en tous points parfaite.

Mes yeux embrumés peinent de plus en plus à rester ouverts. Je voudrais m’enfoncer une main dans le cerveau pour éteindre tous mes sens à l’exception du toucher. Son membre me pénètre avec fureur, courant après une nouvelle jouissance. C’est si bon, et tellement fort. Mes mains courent sur son corps. Au bout de mes doigts je sens les muscles brûlants à l’œuvre sous sa peau délicate. À chaque baiser que nous échangeons ses dents retiennent ma lèvre, la font délicieusement souffrir.

« Han !... Tu es !... Tellement !... Ha !... Tellement belle... Han !... Mélinda !... »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 30 janvier 2012, 11:57:14
Mélinda flottait dans le corps de Yamagashi. A chaque mouvement de son membre tendu et assoiffé, elle sentait combien cette intimité était remplie, tant par le propre nectar de la senseï, que par celui qu’elle venait de mettre. C’était particulièrement agréable, et la vampire commençait à soupirer longuement. Même pour un vampire, l’acte sexuel était quelque chose d’épuisant, et remuer son membre en elle avec une telle intensité avait de quoi fatiguer la vampire. Fort heureusement, l’excitation qu’elle ressentait était telle que la fatigue ne l’empêchait pas de continuer à se dandiner, à s’enfoncer, et à sentir des frissons de plaisir. Ces frissons étaient d’autant plus convaincants qu’ils étaient entièrement partagés par Yamagashi. Elle peine à conserver les yeux ouverts, à formuler des phrases cohérentes, comme si le plaisir l’écrasait, la soumettait totalement. Elle n’aurait su dire en quoi, mais elle voyait dans le corps de la senseï l’expression d’une grande beauté.

« Hannn… » soupira Mélinda, quand la prof’ l’embrassa sur la gorge.

Ayant déjà joui, Mélinda était plus à même de pouvoir se contrôler, et arrêtait parfois, pendant plusieurs secondes, ses coups de reins, le temps de se calmer, de respirer, en profitant pour embrasser voracement Yamagashi, gobant ses lèvres dans un sensuel et mordant baiser, les titillant langoureusement, avant de reprendre assez rapidement, continuant à la pénétrer. Comme c’était bon, de s’enfoncer ainsi, de se glisser dans ce corps tendre, doux, et grand. A chaque mouvement, Mélinda se mit à gémir, à soupirer, à grogner, fermant parfois les yeux, la sueur continuant à s’écouler le long de son corps.

L’une de ses mains alla se glisser sous le corps de sa belle senseï, grattant l’une de ses fesses, et elle promena son visage sur la tête de la femme, l’embrassant, la mordillant, promenant sa langue. Leurs baisers sont mordants, et Mélinda sourit et frémit de plaisir, en sentant à chaque fois les dents de la prof’ tirer sur sa lèvre, la faisant vibrer. Quelle femme sensuelle, torride et excitante ! La sentir bouillonner sur elle était le plus grand des plaisirs, et elle continua à la pénétrer, toujours avec force, sentant les tables remuer.

« Han !... Tu es !... Tellement !... Ha !... Tellement belle... Han !... Mélinda !... » soupira la prof’.

Un sourire éclaira les lèvres de l’élève, qui alla l’embrasse, palpant l’un de ses seins, le serrant en tirant dessus.

« Je… Je sais, ma… Ma beauté », répondit Mélinda.

Elle continua à se mouvoir en elle, se sentant tellement bien. La senseï irradiait de bonheur, et Mélinda sentait les minutes défiler, se transformant en secondes, alors qu’elle faisait preuve de toute sa résistance vampirique pour parvenir à la satisfaire. Cette humaine était terrifiante, à la fois belle, sensuelle, provocante, mais aussi très endurante. Peu importe la manière dont on envisageait la chose, cette humaine constituait la partenaire la plus attirante que Melinda eut encore jamais trouvée sur Terre.

« Hmmm… Te pénétrer, c’est… C’est si bon ! »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le lundi 30 janvier 2012, 23:31:20
Elle fait décidément tout pour me rendre folle. Ses coups de reins sont ponctués de pauses de plus en plus fréquentes. Ivre de plaisir, toujours brûlante de désir, je laisse mon corps réagir de lui-même. Je remue mon bassin pour ne lui laisser aucun répit. mes mains caressent ses magnifiques fesses, les palpent sans vergogne, puis remontent le long de ses hanches ou dans son dos. Je vais et je viens sur son corps, comme elle dans le mien.

Après chaque repos qu'elle s'accorde, ses assauts sont un peu plus frénétiques. Chaque pénétration m'assomme un peu plus. Je suis à la limite du rêve, et pourtant terriblement consciente. Une douleur lancinante vient souligner le plaisir de son membre affamé. Le bâtiment pourrait s'effondrer sur nous, c'est d'ailleurs peut-être déjà le cas. Les tables bougent tellement que j'ai l'impression que nous faisons l'amour pendant un séisme.

Ou peut-être que nous faisons trembler la terre ? C'est idée est aussi stupide qu'excitante. Quelqu'un pourrait entrer, n'importe qui, je ne crois pas que ça me gênerait. Je voudrais même appeler tous les hommes avec qui j'ai couché pour qu'ils la voient me faire l'amour. Pour qu'ils voient ce qu'ils n'ont jamais su provoquer en moi. J'en ai charmés, j'en ai commandés, j'en ai servis, j'en ai même suppliés. Mélinda est différente. Je ne lui parle que par jeu tant elle sait lire en moi pour me donner ce que je désire.

Je ne retiens plus mes cris depuis déjà longtemps. Ma gorge commence à me brûler, tout comme mon intimité. Sa lance implacable n'en fini pas de s'enfoncer en moi. Le coup de grâce ne tardera plus, à nouveau.

« Han !... Mélinda !... Achève-moi !... Haaaaa !... »

Ma main file tellement vite vers mon visage que je manque de me frapper moi-même. Je me mord le poing pour différer l’orgasme. Je ne veux pas jouir toute seule, sans elle, et l’abandonner à ma chair déjà rassasiée. Tout a été parfait jusqu’ici, une symphonie sans la moindre fausse note. Je ne peux pas laisser cette perfection tomber en ruine, même si je dois me battre contre moi-même.

C’est d’ailleurs ce que je fais, et je ne tiendrais plus longtemps.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 31 janvier 2012, 02:24:34
Yamagashi était aux anges. Et Mélinda aussi. La pénétrer était un véritable plaisir, un bonheur sans cesse renouvelé, et elle sentait que cette dernière était sur le point de se laisser aller, qu’il ne restait plus grand-chose pour qu’elle succombe enfin à ce plaisir suprême que constituait l’orgasme. Mélinda avait déjà joui deux fois, et son sperme continuait à maculer le corps de la senseï, mais, pour autant, jouir une troisième fois ne la dérangeait pas, et cela risquait fortement d’arriver. Elle l’entendait hurler, rugir de plaisir. On disait que les professeurs avaient de solides cordes vocales ; Mélinda en avait confirmation. Cette cacophonie sonore était un véritable régal, un plaisir sonore, et la vampire veillait désormais soigneusement à ne pas embrasser beaucoup trop les lèvres de Yamagashi, afin que les cris de cette femme ne faiblissent pas.

Il y avait là de quoi ameuter tout le lycée. S’il y avait des lycéens dans une classe à proximité, les pauvres devraient avoir bien du mal à suivre leur cours. Mélinda continuait à onduler dans le corps de la prof’, se demandant combien de temps la femme allait encore réussir à tenir, avant de s’abandonner. Tout son corps semblait impatient, tendu et nerveux, et la vampire lui mordilla une joue.

« Han !... Mélinda !... Achève-moi !... Haaaaa !...
 -  Haaaa, mais… Je… Je ne fais que ça, haaaannn !! » s’exclama-t-elle.

Elle vit Yamagashi se mordre le poing rapidement, et Mélinda comprit qu’elle se retenait, désirant probablement qu’elles jouissent ensemble. Une certaine forme de romantisme ? Il est toutefois vrai qu’il était très agréable de jouir ensemble, et elle lui sourit, avant de tendre une main pour éloigner celle de Yamagashi.

« Ne… Ne me cache pas le plaisir de… De ton s-s-si beau visage… »

Reprenant son souffle, elle s’approcha de l’oreille de Yamagashi, et lui dit plusieurs choses.

« Si tu veux m’exciter, palpe mes jolies fesses. Elles n’attendent que ça. Mon beau cul, il s’ennuie énormément. »

Était-ce un effet de son passé ? Dans le passé, Mélinda avait été battue pendant des années, surtout au niveau des fesses, et elle devait bien avouer que c’était une zone sensible sur son corps. Puisque Yamagashi tenait à l’exciter, le mien était sans doute d’agir de telle manière qu’elle pourrait l’exciter rapidement. Elle frémit donc en sentant les mains de la senseï se poser sur son petit cul, et en poussa un cri, puis remua à nouveau son bassin. Son membre était toujours aussi dur, aussi tendu, aussi gonflé, et elle accéléra le rythme, sentant le corps de Yamagashi secouer, rebondir sur les tables, alors qu’elle décrivait des mouvements de bas en haut, remuant également la femme, ainsi que les tables.

« Oh, oh, ooohhhhhh !! Je… Haaaaaaaann ! C’est si… C’est si BON ! »

Elle poussa un cri, et s’enfonça encore, sentant le liquide venir.

« Je… Je… Je vais v-v-veee… Aaaaaahhhh ! »

Mélinda ne parvint pas à achever ce qu’elle avait à dire, et eut un nouvel orgasme, s’enfonçant aussi loin que possible en le sentant approcher et exploser. Elle remua bien plus lentement son membre, donnant à chaque fois un mouvement en sentant son sperme jaillir, s’échappant de son corps. Elle poussa un long soupir, sentant un frisson de plaisir la parcourir, et elle remua son membre pendant de nombreuses et de nombreuses secondes, éjaculant avec un plaisir intense, une expression d’intense bonheur sur le visage.

Après cet élément, Mélinda rouvrit les yeux, et regarda Yamagashi en souriant. Son membre restait délicatement posé dans son intimité, et elle laissa plusieurs longues secondes s’écouler, avant de finir par parler.

« Heureuse, ma beauté ? T’aurais-je épuisé sous le bonheur ? » sourit-elle.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mercredi 01 février 2012, 00:28:04
« Ne… Ne me cache pas le plaisir de… De ton s-s-si beau visage… »

Je tente de résister quand sa main se referme sur mon poignet. En vain. J’ai beau la supplier du regard elle me prive de ma diversion. Je me mordille la lèvre inférieure pour gagner un peu plus de temps.

« Si tu veux m’exciter, palpe mes jolies fesses... »

Sitôt libérée, ma main file rejoindre l’autre qui obéit déjà. Je pétris ses magnifique fesses, je les écrase, je le empoigne. Je les écarte même un court instant, offrant à son petit orifice la simple caresse de l’air. Mais le temps joue contre moi.

Soudain je la sensation de son membre qui s’enfonce en moi devient d’une clarté aveuglante. Le son de sa voix fait tout exploser. Je pousse un long gémissement, saccadé par les coups de rein de Mélinda. Tout mon corps trésaille, j’en ai les larmes aux yeux. Je me plains de jouir car je suis seule.

« Je… Je… Je vais v-v-veee… Aaaaaahhhh ! »

Soudain le sexe de Mélinda me pénètre au plus profond. je sens son sperme brûlant se répandre à nouveau. Son orgasme rattrape le mien au vol pour lui offrir une seconde jeunesse.

« Haaaaaaaaaaaaaaa.... »

Je crie jusqu’à me vider entièrement les poumons. Mon corps électrifié, cambré contre le sien, tremble de plaisir et de panique. Je respire l’air qui lui manque en me laissant retomber allongée sur la table. Mélinda finit de jouir en moi, chaque petit giclée poussant un peu plus les précédentes. Je suis à bout de forces, essoufflée, mon corps veut rester immobile au moins quelques secondes. Des secondes qu’elle m’accordent sans pour autant se glisser hors de moi.

Je ne peux m’empêcher de rire. Un rire fatigué, sincère, qui ne tarde pas à se calmer. Je suis avec cette créature de rêve, paresseusement vautrée dans les échos de mes orgasmes. Je suis repue de sexe, mais il ne tient qu’à la gourmandise de changer cela. En attendant je souffle, je profite de la beauté sauvage du calme après la tempête. Je ferme les yeux et laisse ma langue jouer sur les lèvres tant mon plaisir reste intense.

« Heureuse, ma beauté ? T’aurais-je épuisé sous le bonheur ? »

Je ne peux m’empêcher de rire à nouveau avant d’ouvrir les yeux.

« Comblée, ma belle. Épuisée, aussi. »

Je me redresse pour l’embrasser langoureusement, balader mes lèvres sur les siennes, puis autour sur son visage. Mon nez s’enfouit dans ses magnifique chevelure pour trouver sur oreille.

« Mais pas encore rassasiée. »

Je me rallonge pour jouer avec sa poitrine. Je pense la tête sur le côté en la fixant dans les yeux.

« Qu’est-ce que tu en dis ? Devant ou derrière ? »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 01 février 2012, 22:34:50
Un petit sourire éclaira les lèvres de Mélinda quand la senseï se mit à rire. Le fait est que Mélinda se sentait délicieusement bien sur le corps ô combien tendre et chaud de cette femme. Elle avait eu son orgasme, et son membre flottait dans ce trou de plaisir humide, tandis que ses yeux contemplaient la belle tête de la femme. Mélinda ne pouvait pas dire qu’elle l’aimait, car la jeune vampire était bien trop prétentieuse et hautaine pour éprouver de tels sentiments envers d’autres, mais elle ne pouvait pas dire non plus que Yamagashi la laissait de marbre. Étrangement, elle se mettait à éprouver une relative forme d’affection, et même de respecter, pour une simple humaine. A tel point que l’idée de quitter en lui prélevant un peu de sang ne traversa pas du tout l’esprit de la vampire, qui se sentait pleinement rassasiée.

« Comblée, ma belle. Épuisée, aussi, avoua la femme.
 -  Naturellement… » acquiesça avec fierté la vampire.

Yamagashi alla alors l’embrasser avec tendresse, ravivant en Mélinda ce désir de ce corps parfait, désir qui ne s’était jamais réellement tari, son membre étant après toujours en elle, et elle en frémit, soupirant silencieusement. Yamagashi ne semblait pas si épuisée que ça, vu qu’elle alla, après l’embrasser sur le slèvres,s e promener sur sa tête. Mélinda tourna la sienne en soupirant, sentant la belle senseï se glisser dans ses cheveux, fourrant son nez dans ses mèches, ses lèvres à hauteur de son oreille, pour l’encourager.

« Mais pas encore rassasiée », lâcha-t-elle subitement.

La vampire sourit tendrement, révélant ses petites dents pointues, avant de passer sa langue sur ses lèvres.

*Que me prépares-tu donc, ma belle humaine insatiable ?*

Yamagashi s’allongea, et Mélinda s’allongea également, à côté d’elle, son membre sortant de son intimité. Elle lui caressa tendrement sa poitrine, faisant sourire Mélinda. Un joli sourire de plaisir, et la senseï lui fit l’une des plus agréables propositions qu’elle eut jamais entendue. Elle pencha légèrement la tête, la rendant encore plus mignonne et belle à regarder.

« Qu’est-ce que tu en dis ? Devant ou derrière ? »

Sur le coup, un sourire éclaira les lèvres de Mélinda. Ainsi donc, la senseï n’était pas opposée aux sodomies ? Paradoxalement, ceci n’étonnait nullement Mélinda, et elle réfléchit. Elle posa pour cela un doigt devant ses lèvres, comme une petite fille en train de réfléchir à une sucrerie à acheter. Ses beaux yeux brillant d’innocence et de douceur oscillaient entre le regard de la prof’, et sa poitrine.

« Hummm… Je crois que je me suis suffisamment occupée de ce trou-là », fit-elle en caressant avec le bout de sa verge les lèvres vaginales de la senseï.

Elle glissa ensuite une main, la posant tendrement sur les belles fesses de Yamagashi, et la pressa avec envie, approchant le bout de ses doigts de sa croupe, avant d’approcher ses lèvres pour embrasser l’un de ses seins à hauteur de son téton, le suçotant goulûment.

« Je ne voudrais pas que l’autre soit jaloux… Et ton corps est tellement beau que je me sens obligée de l’honorer en chacune de ses extrémités. »

Mélinda releva la tête pour voler un baiser sur les lèvres de la jeune prof’. Elle prolongea ensuite le baiser, se blottissant à nouveau contre elle, et ne tarda pas à se redresser, regardant le bureau de la prof’. Elle lui adressa un sourire amusé, se mettant à califourchon sur elle.

« Je crois qu’il vaut mieux un endroit plus solide que ces tables, non ? Suis-moi… »

Se redressant, Mélinda guida Yamagashi en la tenant par la main, l’amenant vers son bureau, et l’incita à se mettre à quatre pattes sur le bureau. Il était suffisamment large pour leur permettre de s’allonger. Seuls les pieds pourraient éventuellement dépasser, et Mélinda observa pendant plusieurs secondes sa professeur, avant de sauter à l’arrière du bureau.

Elle ne pénétra pas tout de suite Yamagashi, sentant que le postérieur était un endroit sensible, et préféra le préparer. Se mettant à genoux, elle posa ses mains sur chacune des fesses de Yamagashi, et lécha tendrement sa croupe, glissant sa langue à l’intérieur, remontant dans cet espace étroit, son nez se faufilant également entre ses fesses chaudes et tendres. Elle déposa plusieurs baisers, continuant ce petit manège pendant une ou deux minutes, avant de progressivement utiliser ses mains. Se relevant un peu, Mélinda finit par écarter les fesses de Yamagashi sous ses caresses, titillant et léchant le timide petit trou de la femme, avant de se relever, et d’y glisser lentement un doigt, le remuant dans cette partie étroite et chaude. Son autre main, elle, alla se promener sur son corps, palpant son dos, se glissant sur son estomac, et elle alla même, tout en remuant son doigt, jusqu’à pencher son corps pour embrasser la femme au milieu du dos.

Cette préparation dura un certain temps, jusqu’à ce que Mélinda libère le fondement de sa professeur, et que son membre retrouve une érection qui s‘était un peu affaiblie après avoir joui à trois reprises. Même pour une vampire comme elle, le sexe était quelque chose de très éprouvant. Une bonne manière de retrouver toute sa libido et sa puissance aurait consisté à mordre la prof’ pour lui prendre son sang, mais elle s’y refusait. Elle retourna placer ses mains sur son postérieur, massant ses fesses, son membre frottant l’entrée de sa paroi.

« Tu te sens prête, ma beauté ? » lança-t-elle, comme pour la narguer.

Elle enfonça ensuite, doucement, son membre dans son postérieur, grognant un peu. Avec ses doigts, elle avait veillé à dilater un peu les parois, afin de faciliter la pénétration anale, mais ça restait toujours assez difficile et périlleux. Enfin, il fallait bien que ce le soit, après tout. C’est ce qui constituait le plaisir de la sodomie, selon Mélinda, cette souffrance extrême qu’on ressentait, mêlée à un plaisir pervers.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le jeudi 02 février 2012, 01:00:27
Le bureau. Faut-il que je sois conne pour ne pas y avoir pensé plus tôt ? D'un autre côté je n'ai pas vraiment l'esprit logistique depuis quelques temps. Combien ? Je ne sais pas. Quelques minutes, une heure, une éternité. Je n'ai pas le temps d'y penser. Je suis Mélinda jusqu'au bureau et me laisse guider comme un pantin. À quatre pattes sur le bureau ? Dommage que la salle soit déserte.

Vraiment dommage, la plupart des hommes en apprendraient beaucoup en la regardant faire. Mélinda prend le temps de cajoler mes fesses, des les flatter de tendres attentions. Je frissonne quand elle les écarte. Le contact de sa langue chaude et humide sur mon petit trou m'arrache un cri surpris. Je n'ai pas l'habitude qu'on s'abaisse à prendre si bien soin de moi. Ça chatouille. Tout mon corps vibre et je ne peux m'empêcher de rire, le souffler encore court.

Un nouveau frisson, plus intense remonte dans mon dos. Je me mords la lèvre inférieure en sentant le doigt de Mélinda se glisser dans mon anus. Une sensation dérangeante crispe mes doigts sur le bureau. Je prends de grandes inspirations pour détendre totalement mon corps. Elle le caresse toujours, de sa main libre et de ses lèvres. Je petits rappels plaisants, comme pour étouffer ce qui ne le serait pas.

« Tu te sens prête, ma beauté ? »

Je ne sais pas si je suis vraiment prête. En tous cas je le plus qu’avec tout ces jeunes hommes qui se contentent de m’écarter les fesses. Cela suffit amplement me faire soupirer de désir.

« Oui. »

Son gland se glisse entre mes fesses pour pousser contre mon petit trou juste assez dilaté. Le gland brûlant de Mélinda, suivit de son sexe dur et infatigable. Elle force lentement le passage. ma main se plaque contre la table, cherche à tâtons quelque chose à saisir. Ça fait mal. Je sais que ça va passer, que ça va devenir bon. Mais qu’est-ce que ça fait mal au début !

«  Haaa !... Doucement !... Haaa ! »

Je sens son sexe palpiter, presque paniquer à cause de l’anneau qui le serre. Pour elle comme pour moi le chemin du plaisir est pavé de douleur. Je sens mes cuisses s’engourdir au moment où le bassin de Mélinda rencontre mes fesses. Elle est entrée tout entière en moi. Le pire est passé. Elle recule, presque jusqu’à se retirer, puis revient.

La chaleur de sa verge envahit mes entrailles. Tous mes muscles au-dessous de la taille se détendent peu à peu. Mon cul lui laisse plus de liberté, dont elle profite pour accélérer lentement. Ses cuisses viennent caresser les miennes, ses bourses frôlent mes lèvres intimes, encore débordante de sa semence. Bientôt la douleur n’est plus qu’un bruit de fond, sourd et lointain. Un leitmotiv qui passe pour me dire que je suis une dépravée.

Au point où j’en suis - où nous en sommes - je me moque bien d’être jugée. Je me tape une de mes élèves, une mauvaise élève en plus. C’est la troisième fois que l’encourage à me prendre en classe. Deux fois sur des tables, une sur le bureau que je partage avec la plupart de mes collègues. Comme les tables ils va finir souillé de sueur, de sperme et de cyprine. Et nous hurlons ensemble notre plaisir depuis tout ce temps.

Mélinda est bien trop belle, trop jeune et trop experte pour être honnête. Sans compter ses dents pointues, ses ongles étrangement griffus, et son membre viril qui n’en finit pas de sa dresser pour moi. Si j’ai fait un trait sur tous ces détails, je me fous bien de l’avis de ceux qui pourraient nous surprendre. Plus rien ne compte à part elle.

On m’a déjà sodomisée violemment, parfois timidement, ou avec précaution. Mais personne n’a pénétré mon cul avec autant de tendresse. Une tendresse qui cède lentement place à l’excitation. Le sperme s’écoule lentement entre de mes cuisses, poussé par les va et vient de Mélinda. je me sens sale, perverse, et le plaisir n’en est que plus intense.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 02 février 2012, 13:32:08
« Oui. »

Un mot simple, léger, rapide, une tendre autorisation. C’est avec un sourire ravi que Mélinda entama donc ses mouvements, n’ayant jamais douté que Yamagashi l’autoriserait. La vampire tâcha ensuite de se concentrer ; généralement, avec ses esclaves, elle s’enfonçait rapidement, ne se souciant guère de les faire souffrir, mais, ici, l’estime naturelle qu’elle éprouvait pour sa senseï l’amenait à réfléchir différemment. Il était hors de question de la faire souffrir, impensable de la martyriser en se glissant douloureusement en elle. Elle y allait donc lentement, tout en sachant que la senseï ne pourrait que souffrir, mais pas de manière excessive. Mélinda avait bien veillé à préparer le terrain, à exciter suffisamment sa prof’, et à dilater son petit trou, pour qu’elle n’ait pas mal.

Néanmoins, au fur et à mesure que Mélinda forçait le passage, elle sentait sa senseï gesticuler, se cramponner à son bureau, sentait une certaine tension, s’insinuer dans son corps, tension qui ne demanderait qu’à se relâcher.

«  Haaa !... Doucement !... Haaa ! finit-elle par dire.
 -  Ne… Ne t’en fais pas, ma belle… » l’assura Mélinda.

Yamagashi influait vraiment sur elle. Dans d’autres situations, elle aurait eu mille répliques différentes, tout en accélérant naturellement sa pénétration, mais aucune remarque sarcastique ne lui vint à l’esprit, et elle continua à s’enfoncer, jusqu’à ce que les parois de la prof’ daignent suffisamment se tendre et s’écarter pour que son membre puisse se faufiler. Son membre s’enfonça jusqu’à la garde, et les mains de Mélinda, posées sur les cuisses de la belle rousse, firent poindre des griffes assez petites, frottant cette masse de chair. Heureuse, oui, comme elle se sentait heureuse, à dominer ainsi sa prof ! Elle sentit une ivresse jouissive la saisir en la voyant, là, à quatre pattes sur son bureau, ployée devant elle.

Alors, elle commença ses mouvements, commença à remuer en elle, s’insinua dans les profondeurs de son corps, remuant son membre, ses mains continuant à frotter ses cuisses, ses testicules heurtant son intimité, et le corps de Yamagashi finit par remuer de concert. La belle vampire se fondait dans ses belles fesses, ce cul délectable, et elle en poussa un long soupir, comme pour exprimer son plaisir. Elle donna un nouveau coup, avant de reprendre.

« Je… Hum… Tes fesses sont… A l’image du reste de ton… Corps » acheva-t-elle dans un soupir.

Elle se devait bien d’admettre que Yamagashi avait un cul de rêve, doux et étroit. Elle continuait ses rythmes, et commença à remuer l’une de ses mains. La sodomie, c’était l’un des grands plaisirs de Mélinda, et elle tenait à ce que la senseï le sache, et le lui faisait savoir en remuant son membre en profondeur, l’amplitude de ses mouvements s’accroissant de plus en plus, ainsi que ses soupirs et ses cris. Elle lui donna alors une petite gifle sur les fesses, comme pour lui rendre la monnaie de sa pièce, et poussa un cri de plaisir. C’était tout simplement délicieux ! L’érection de Mélinda était revenue en force, aussi belle qu’avant ses deux jouissances dans le vagin de la plantureuse rousse.

« Tu… Dis-moi que tu ai… Que tu adores ça… »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le samedi 04 février 2012, 00:18:58
Le sexe de Mélinda  me torture délicieusement. Peu de femmes aiment la sodomie, moins encore l'avoueraient. Je ne le crie pas sur tous les toits mais j'aime ça, surtout quand c'est aussi bien fait. Les amants dont j'ai l'habitude sont pour la plupart des élèves. Les jeunes filles n'ont pas à tâtonner bien longtemps pour savoir comment me faire vibrer. Pour les jeunes hommes c'est une autre histoire. Ils ont beau être excités ils ne savent généralement pas y faire. Au final je me retrouve à faire des heures sup' en tant que professeure.

Je ne renie pas le plaisir que je prend à maîtriser la situation, mais parfois je préfèrerais me laisser simplement porter. C'est le cas en ce moment. Pour la première fois j'ai exactement ce que je recherche en la matière. Du vagin à l'anus il y a un monde. le premier est si sensible, si accueillant, alors que le deuxième n'est pas vraiment fait pour le plaisir. C'est tout l'intérêt de la chose. La sensation instinctive de mon corps pénétré, envahi comme il ne devrait pas l'être.

En soi cela n'est pas plaisant, et c'est paradoxalement là que se trouve le plaisir. Certaines y voient la douleur et peut-être la violence. Pour moi, la sodomie est synonyme de paresse. À quatre patte sur ce bureau étroit, je n'ai pas assez de marge pour vraiment répondre aux mouvements de ma partenaire. Je la laisse faire tout le travail. Je n'ai même pas à retenir la douleur tant elle est douée. Ni le plaisir animal, primaire, que mon propre sexe m'imposerait.

« Tu… Dis-moi que tu ai… Que tu adores ça…
- J’adore ça. »

Je ronronne comme une chatte paresseuse sous les caresses qu’elle exige. Du moins je le ferais si les coups de reins de mon amante ne rendaient pas son souffle court. Je ferme les yeux pour mieux apprécier nos ébats. Je la sens en moi, je l’entends soupirer et crier. L’image de la fenêtre en face de moi n’est vraiment pas à la hauteur. Car je ne trouve pas tout mon plaisir dans ce que mes sens me rapporte. Dans ce cas, où je peux bien le puiser ?

Je ne le puise pas : je le fabrique. Sous mes paupière close je vois la salle de cours. Je me vois à quatre pattes sur cette table. Je ne manqua aucune image, aucun détail. je vois sa poitrine se gonfler à chaque respiration, l’énergie qu’elle met à enfoncer son sexe en moi. Je vois ses mains agrippées à mes hanches. Sa petite fessée m’a prise au dépourvue, mais ce n’en était que meilleur.

« Haaa... Mélinda... Ça n’a jamais été aussi bon ! »

Elle me fait oublier tous ces branleurs qui ont pris mes fesses pour le trou d’une poupée gonflable. Pourtant elle ne se gêne pas. Son membre s’engouffre en moi jusqu’au bout. Son bassin claque contre mes cuisses, ses bourses contre mes lèvres intimes. C’est bon parce que je veux que ce le soit. À force de le chercher au fil du temps et de mes ébats, j’ai dressé mon plaisir comme le plus obéissant des chiens de cirque. Et avec elle je n’ai pas à le siffler bien longtemps pour qu’il accoure.

Bientôt Mélinda va jouir une fois de plus. Elle va me remplir de sperme jusqu’à ce que j’en déborde. Rien que d’y penser je sens déjà que je vais jouir moi aussi. Mais c’est elle qui mène le jeu. Cette fois j’ai le temps. Je sais très bien ou nous allons, mais je la laisse me guider. Après tout ce n’est que justice : elle fait tout le boulot et moi j’en profite. Tu es vraiment une feignasse, Hitomi... Une belle feignasse égoïste et dépravée.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 04 février 2012, 12:11:19
Mener la danse, c’est tout ce que Mélinda aimait. Que ce soit dans le domaine du sexe, ou dans sa vie en général, elle n’aimait rien de plus que contrôler et diriger ce qu’elle faisait. Et c’est précisément ce qu’elle faisait avec Yamagashi en ce moment. C’était d’autant plus gratifiant que la senseï était une forte tête, une femme autoritaire, belle, expérimentée, qui n’avait rien à envier aux esclaves de Mélinda, bien au contraire. Explorer son fondement était par conséquent un plaisir encore plus intense, et elle ne se lassait décidemment pas de le faire. Son sexe tendu se faufilait dans cet antre étroit, la déchirant, écartant les parois, simplifiant chacun de ses mouvements. C’était douloureux, même pour Mélinda. Son sexe souffrait, à se mouvoir là-dedans. Néanmoins, la dose de plaisir que la vampire ressentait était telle qu’elle n’avait nullement envie de s’arrêter.

« J’adore ça », confessa la sensei.

Un sourire vorace éclaira les lèvres de la vampire, qui donna un autre coup de rein. Elle sentait effectivement la femme vibrer de plaisir, vibrer d’un bonheur qui ne tendait qu’à être satisfait. Mélinda continuait à grogner et à soupirer. Une sodomie, ça demandait de l’effort, et son membre était si dur si épais qu’il était assez difficile de confortablement se plaire dans cet anus dilaté. Elle donnait des coups rapides, son corps rougissant sous l’effort, la sueur s’écoulant de ses longs cheveux. Plusieurs de ses mèches filèrent devant ses yeux, à chaque fois qu’elle continuait à remuer son corps, le remuant avec une frénésie palpable. Rien n’était trop excessif pour cette humaine qui bouillonnait sur le bureau. Mélinda eut un bref coup d’œil pour le bureau où, impatiente, elle s’était tenue pendant plus d’une demi-heure, et un sourire de fierté éclaira ses lèvres. Elle avait toujours ce qu’elle voulait. Comment résister aux charmes de cette belle vampire ? A son sourire innocent ? A ses grands yeux enfantins, à la silhouette fine et délicate de son corps ?

Elle donna de nouveaux coups de reins, oscillant entre des caresses griffues sur le corps fin, délicat et doux de la senseï, et des gifles sur son derrière. Ses mains remontaient ainsi sur ses cotes, glissant sur son dos. Elle s’appuya avec une main sur le postérieur de la femme, afin de pencher l’autre, et pouvoir caresser brièvement ses cheveux, glissant ses doigts dans les mèches de cheveux, les caressant, les relevant, avant de les relâcher, et de recommencer de plus belle à jouer dans son fessier. Qu’il était bon, ce cul ! S’y promener, s’y glisser, le farfouiller dans les profondeurs, c’était un véritable bonheur !

« Haaa... Mélinda... Ça n’a jamais été aussi bon ! avoua alors Yamagashi, ce qui arracha un nouveau sourire de satisfaction aux lèvres de Mélinda.
 -  É… Évidemment, parvint-elle à lancer. Ton petit cul est… Est si merveilleux… »

Elle ponctua cette affirmation par un nouveau coup de rein, retirant son membre, pour le remettre de plus belle, ne laissant que le bout à l’intérieur de son fessier, le glissant d’un coup, se délectant des hurlements et des gémissements de sa prisonnière. Oh, comme ce devait être douloureux pour elle ! Des esclaves avaient déjà parcouru son fondement, dans des lieux secrets et intimes, et elle savait ô combien une sodomie était un exercice difficile. C’était, au moins pour elle, justement cette souffrance qui la menait au plaisir suprême, mais elle accompagnait généralement ses petits plaisirs d’une relative forme de mise en scène, se mettant une laisse autour du cou. Dans ses fantasmes masochistes, Mélinda était généralement aussi soumise, mais, malheureusement pour ses partenaires, souvent des esclaves, elle les tuait ensuite. Qu’un esclave sodomise et qualifie sa maîtresse de « petite chienne », ce n’était pas très concevable. En fermant les yeux, Mélinda s’imagina à la place de Yamagashi, se rappelant sa dernière sodomie, dans ses luxueux appartements au cœur d’Ashnard, dans une salle remplie de tapis et de rideaux, où elle était prise sur le sol par un esclave. Cette image la fit frémir, et, quand elle rouvrit les yeux, elle continua à donner des mouvements encore plus forts, faisant remuer la senseï.

« Haaaan !! Ha !!! » éructait-elle, de sa belle voix.

Le dernier coup fut si fort que le corps de Yamagashi ne put le supporter. Elle glissa, et s’étala sur le bureau, rapidement rejoint par Mélinda. La vampire tomba sur le dos de Yamagashi, allongée sur elle, son membre toujours glissé en elle. Une ou deux secondes après, Mélinda continuait ses mouvements, collée à sa senseï, et en profita pour glisser ses mains sur le devant du corps de la jeune femme, en plaçant une sur l’un de ses seins, l’emprisonnant entre ses doigts, et glissant l’autre près de son intimité. Elle s’appuya sur le sein de sa prof’ pour poursuivre ses mouvements, jouant dans les profondeurs de son fessier, embrassant sa nuque, sa tête se faufilant dans ses cheveux. Heureuse, heureuse, comme elle se sentait joyeuse ! Le corps en sueur de cette femme l’enivrait, sur le point de la rendre folle, et elle continuait à se mouvoir en elle, lui mordillant parfois la peau.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le lundi 06 février 2012, 01:39:46
Mélinda est de plus en plus avide, presque acharnée. Ses coups de boutoir m'arrachent des cris. Ça fait tellement mal que la douleur elle-même me donne du plaisir. Ma mauvaise élève est déchaînée. Je l'ai ramenée au rang d'animal sauvage assoiffé de sexe. Je cède bientôt, m'affalant sur la table. Son membre tendu est propulsé encore plus loin et plus vite par le poids de son corps, qui tombe sur le mien. mais je n'ai pas le temps de souffler qu'elle se glisse sous moi. Je me retrouve encore une fois à quatre pattes, mais face au plafond.

Je n'ai jamais fait ça, et toute cette paresseuse liberté d'imaginer, d'habiller le plaisir, vole en éclat. Mais ce n'est pas nécessairement plus mal. Je suis dois forcer sur mes bras et mes jambes pour rester au-dessus d'elle. Une épreuve d'endurance alors que ses coups de reins me malmènent. La douleur et l'effort me font trembler. je sens les mains de Mélinda sur ma peau, son souffle et ses lèvre dans mon dos, sur ma nuque.

C'est un supplice, ou un  délice. Je ne distingue plus la douleur du plaisir. Tout deviens trop violent et trop long. Je la croyais sur le point de jouir mais elle plus insatiable que jamais. c'est incroyable. N'en a-t-elle jamais trop ? Ou seulement assez ? Entre ces émotions contradictoires et ces pensées dérangeantes, je commence à prendre peur. Mon amante si particulière m'inquiète de plus en plus. Mais c'est surtout de moi-même que j'ai peur. Je suis à bout de forces, je souffre, et pas uniquement de mon pauvre cul ravagé. Tous mes muscles commence à tirer.

Pourtant je bouge. J'agite mon bassin pour décupler les sensations. Est-ce que je veux la faire jouir plus vite ? Ou prendrais-je finalement du plaisir à me faire maltraiter ainsi ? Je ne sais pas, je n'arrive pas à me décider. Rien que pour ça j'ai envie que ça s'arrête.

« Ha !... Mélinda !... Pitié ! »

Je dois serrer les dents, respirer pour supplier. Je sens les larmes qui coulent de mes yeux.

« Je... Ha !... Je... N’en peux plus ! »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 06 février 2012, 14:00:55
La brave senseï semblait exténuée, à bout. Elle était comme une vulgaire poupée de chiffon que Mélinda agitait et malmenait, utilisant sa constitution de vampire pour remuer le corps de la femme autour de son membre. Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même, après tout. N’était-ce pas elle qui avait nargué Mélinda ? Elle qui lui avait dit qu’elle ne serait pas capable de faire mieux que ces mammifères imbéciles qui composaient sa classe ? A plusieurs reprises, Yamagashi l’avait nargué, soit par simple goût de provocation, soit parce qu’elle avait été provisoirement déçue. Dans tous les cas de figure, elle méritait ce qui lui arrivait, et Mélinda était on ne peut plus heureuse, on ne peut plus satisfaite. Perforer les fesses de la senseï lui procurait un plaisir incommensurable, mais la voir dans cet état d’impatience était encore plus gratifiant.

« Ha !... Mélinda !... Pitié ! » se mit-elle à gémir.

Souriant malicieusement, Mélinda entreprit à nouveau de changer de position. Elle redressa son corps, et se retrouva en somme en position assise, Yamagashi assise sur elle, la virilité tendue et assoiffée de la vampire dans les fesses. Elle plaça ses mains sur les jambes de Yamagashi, s’en servant pour continuer à la faire glisser le long de son sexe, ses seins frottant le dos de la senseï. Elle l’avait supplié, sur un ton qui avait effectivement tout de la supplique. La pauvre devait vraiment être à bout.

« Je... Ha !... Je... N’en peux plus ! » insista-elle.

Les dents de Mélinda allèrent mordiller tendrement son cou, sans chercher à s’enfoncer dans sa peau. Elle pouvait le sentir. Mieux que son corps en sueur, que ses muscles tendus, elle sentait le sang bouillonner dans les veines de Yamagashi. Un véritable volcan de désir. La vampire devait réellement commencer à se forcer pour ne pas lui sucer le sang, et continuait en ce sens à malmener le cul de Yamagashi, ressentant à la fois un plaisir immense, et une frustration aussi grande, à l’idée de ne pouvoir goûter à son cou merveilleux. Comme elle rêvait d’enfoncer ses belles canines dans sa peau… Mais elle ne devait pas succomber à cette tentation. Oh non ! Elle se mordilla les lèvres, ayant également du mal, et continua à remuer son membre dans son fondement. Elle sentait sa jouissance sur le point de venir, et se retenait pour empêcher une éjaculation rapide et intense. Elle soupira longuement, gémissant, grognant, et embrassa à nouveau le corps de Yamagashi.

« Hnn… C’est… Oh… Han… Je-je l’adore, ce petit cul… »

Mélinda fut tentée de jouir dans son fondement, mais elle se dit que Yamagashi apprécierait sans doute de sentir sa virilité dans son intimité. Elle tira alors sur les jambes de Yamagashi, la soulevant suffisamment pour retirer son membre de son anus. Mélinda poussa un petit cri en sentant son membre partir de ses fesses, et allongea Yamagashi sur le bureau. Sans vraiment lui laisser le temps de se reposer, elle retourna glisser son membre dans son intimité humide, devant lui procurer des ondes de plaisir. Un sourire ravi éclaira les lèvres de Mélinda, qui se balança sur elle pendant un certain nombre de secondes.

Encore une fois, elle aurait pu jouir ainsi, mais elle choisit de prolonger le plaisir. Elle se mouvait délicieusement en elle, sentant le corps chaud et bouillonnant de Yamagashi, et elle se déplaça brusquement, posant une main sur le postérieur de sa senseï, afin de l’emmener avec elle. Mélinda alla alors atterrir sur le fauteuil de la senseï, s’enfonçant dedans, laissant Yamagashi s’empaler sur elle, ses jambes filant à gauche et à droite de la vampire. Cette dernière posa ses mains sur les hanches de sa prof’, et embrassa les seins de Mélinda, souriant.

« Allez, allez, Yamagashi, déferle ta frustration sur moi. Vas-y, empale-toi sur moi, hann… Ma queue… Elle n’attend que ça ! »

Mélinda devait relativement vulgaire, tant elle était excitée. Des mèches de cheveux glissaient devant son visage, des cheveux collés par la sueur.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mardi 07 février 2012, 17:54:03
La douleur ne s'en va pas avec le membre de Mélinda, mais au moins elle me laisse pousser un soupir de soulagement. Elle n'a pas joui mais cette fois je ne vais pas faire la fine bouche. La sodomie : ça fait aussi bien quand ça s'arrête. Pourtant ma jeune amante est toujours aussi vorace. Elle ne me laisse qu'une seconde pour souffler, puis s'enfonce à nouveau dans mon vagin. La souffrance de mon pauvre cul n'est qu'une impression persistante. La plaisir que je sens revenir en moi est bien plus fort.

Je ne comprends pas trop comment je me retrouve à cheval sur elle, dans ce fauteuil qui ne me paraît plus trop grand. Je me laisse tomber sur elle, aussi ramollote qu’un poulpe. Après le tremblement de terre qui m’a littéralement ravagée, je suis sur un nuage. Un petit nuage dont je caresse les seins pour gagner du temps. Mais ce petit nuage veut laisser éclater sa tempête.

« Allez, allez, Yamagashi, déferle ta frustration sur moi. Vas-y, empale-toi sur moi, hann… Ma queue… Elle n’attend que ça ! »

Je me penche sur elle pour écarter délicatement les cheveux plaqués sur son visage. je les passe même derrière ses oreille, comme si je la coiffait. Puis prend tendrement sa tête entre mes mains pour la guider jusqu’à mon visage. Je l’embrasse langoureusement, je fais durer le plaisir. Ce n’est qu’une pause, sa verge n’est pas seule à attendre. Quand nos lèvres se quittent ce sont nos regards qui se rencontrent.

« Appelle-moi Hitomi. »

Je joue des cuisses pour faire monter et descendre mes lèvres intimes le long de sons membre. D’abord lentement, puis un peu plus vite. J’ai à peine repris mon souffle que l’effort et le plaisir reviennent à l’assaut. Je dois bientôt me cramponner au dossier du fauteuil pour rester stable. Chaque coup de boutoir que je m’inflige me fait un peu plus oublier la douleur persistante de mon anus.

« Han!... C’est ça ?... Mélinda !... C’est ça... Que ta queue attend ?... »

C’est aussi ce que j’attendais, mais pas ce que je veux le plus. Bien sûr c’est avec plaisir que je la ferais jouir encore, avec délice que je la laisserais me remplir encore de sperme. L’ardeur avec laquelle je m’agite ne doit pas lui laisser le moindre doute. Il y a tellement de choses à faire avec une queue et je les adore toutes. Je voudrais ne faire que ça, finir toutes mes journées remplie et recouverte de semence et de sueur.

Mais il me manquerait quelque chose. Une chose que j’adore et qu’aucune verge au monde ne peut comprendre. Je dois sacrifier un peu mes mouvements pour me pencher. Mes lèvres rencontrent finalement le front de Mélinda, puis mon visage part s’enfouir dans ses cheveux trempés de sueur.

« J’adore ta queue, Mélinda... Mais j’ai - Ha !... J’ai à peine eu le temps... De goûter ta chatte... »

Je me redresse pour la chevaucher plus furieusement. Le fauteuil grince tellement que j’ai peur de le casser. Cela dit ce n’est pas mon soucis principal. Après tout ce que nous avons dit et fait, je ne pense pas être la seule sur le point de jouir. Et ensuite, j’espère pouvoir glisser ma langue entre ses cuisses, lui rappeler qu’une femme n’a pas besoin de queue pour en faire vibrer une autre.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 08 février 2012, 08:28:57
Sentir Yamagashi sur elle fit frémir Mélinda. Yamagashi était une belle femme, plus grande que la vampire, et elle se sentait délicieusement écrasée sous elle. Sans hésitation, la senseï alla s’asseoir, et commença par pudiquement rabattre les cheveux en arrière de Mélinda, la faisant frissonner. Elle avait l’impression d’être une espèce de jeune fille recevant de tendres caresses de la part de sa mère, et elle devait avouer que c’était assez agréable, d’autant plus que son membre allait bientôt être emprisonné dans un anneau gluant de chair, l’intimité de sa senseï, qui alla lui offrir un délicieux baiser, auquel Mélinda répondit sans hésitation, gémissant dans la bouche de la femme. Elle répondit à son baiser avec envie, et la senseï finit par obéir.

« Appelle-moi Hitomi », lâcha-t-elle alors.

Hitomi… Mélinda en sourit. Elle connaissait donc le prénom de sa prof’, ce qui était sans doute le signe qu’elle éprouvait énormément d’affection pour elle, suffisamment pour qu’elle demande à l’appeler par son prénom. Un petit sourire se dessina sur les lèvres de Mélinda.

« Très bien, Hitomi. Allez, viens, ma grosse queue n’en peut plus d’attendre ton superbe trou… »

Oh, que ça faisait du bien, d’être vulgaire ! Mélinda se sentait salie, avait l’impression d‘agir comme une vraie dévergondée, et elle devait bien avouer que c’était très excitant. Hitomi alla donc s’empaler sur elle, et Mélinda en poussa des frissons de plaisir, se calant sur la chaise, tendant son dos pour apprécier le contact de ce corps. Elle en ferma les yeux, basculant sa tête en arrière, sentant tout son corps se détendre, alors qu’Hitomi s’empalait avec talent sur elle. Elle tendit l’une de ses mains pour pincer son postérieur, le malaxant tendrement.

« Han!... C’est ça ?... Mélinda !... C’est ça... Que ta queue attend ?... lui demanda-t-elle.
 -  Oh, oh oui, oui, ouiiii, Hitomi ! Han putain, ce que c’est bon, hmmm… »

Hitomi ne se trompait pas sur cette question. Sentir son membre être emprisonné ainsi était quelque chose de tout simplement délectable. Elle ne parvenait pas à s’en lasser, sentant de longs frissons de plaisir la parcourir, remontant dans les profondeurs de son corps. Mélinda en soupirait longuement, folle de plaisir, se sentant transportée au loin. Elle embrassait quand elle le pouvait les seins de la senseï, plaçant ses mains sur le bas de son dos, afin de sentir le corps doux et trempé d’Hitomi. Elle promenait ses griffes, la sentant gémir, la sentant embrasser son front, la sentant ensuite parcourir son cuir chevelu de baisers. Oh, cette femme la rendait folle ! Elle était tellement excitante, tellement attirante, si… Si irrésistible ! Elle sentit Hitomi se faufiler dans ses longs cheveux, et Mélinda frémit, avant qu’elle ne lui parle à nouveau.

« J’adore ta queue, Mélinda... Mais j’ai - Ha !... J’ai à peine eu le temps... De goûter ta chatte... »

Un sourire éclaira les lèvres de Mélinda à cette idée. Elle bascula sa tête en arrière, et la regarda avec un regard emplis de désir.

« Fais… Fais-moi jouir, ma… Ma belle, et… Tu auras le droit de goûter à t-tout… Ma pe… Ma petite chatte, mon j-j-joli cul, t-tout »

Pour l’instant, Mélinda était dans l’impossibilité de satisfaire la requête d’Hitomi, tant sa virilité la faisait souffrir, tant son érection la démangeait. Il fallait au moins qu’elle se débarrasse de ça, et aida un peu Hitomi à remuer sur son bassin, utilisant ses mains, jusqu’à pousser un cri de plaisir, fermant les yeux, se plaquant contre le dossier du fauteuil, sentant tendrement son orgasme venir. Elle en sentit presque même l’air lui manquer, hoquetant à chaque giclée de sperme dans la chaude et humide cavité de la professeur. Elle se dandina sur le fauteuil, éjaculant avec plaisir pendant de longues et de longues secondes, utilisant ses mains pour aider Hitomi à remuer son corps. Elle rouvrit faiblement les yeux, et poussa un autre cri en jouissant une nouvelle fois. Mélinda ferma les yeux, sentant un long frisson parcourir son corps, et s’enfonça contre le dossier de la chaise.

« Oh, si c’est bon… Laisse-moi profiter de ce moment, Hitomi, de ton corps sur moi, en moi… »

Mélinda soupira longuement à nouveau, fermant les yeux, caressant le corps d’Hitomi, puis rouvrit les yeux, et alla embrasser les seins et la peau d’Hitomi, léchant doucement sa belle peau. Elle finit par s’extirper de la chaise, poussant Hitomi sur le bureau, et ferma les yeux, rétractant son membre rapidement. La vampire s’avança ensuite vers la senseï, en profitant pour lui montrer son postérieur en marchant de manière sensuelle, avant de monter sur le bureau, s’allongeant de profil à côté d’Hitomi.

« Je te laisse décider ce qui t’intéresse le plus en premier… Ma belle chatte n’attend que toi pour s’occuper d’elle, et mon petit cul également… Choisis donc, Hitomi… »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le jeudi 09 février 2012, 16:15:06
« Fais… Fais-moi jouir, ma… Ma belle, et… »

Et le reste est sans importance pour l’instant. La faire jouir ? Je ne veux que ça. Cette expérience sexuelle aura été l’une des plus surprenantes et intenses de ma vie. Je n’ai offert ma « petite fleur » qu’à dix-neuf ans, ce n’est pas si loin après tout. Mais je ne pense pas avoir grand-chose à envier à celles qui n’ont pas attendu. J’en connais assez pour savoir que je suis en train de vivre quelque chose d’exceptionnel. Pour savoir qu’elle est exceptionnelle. Et je compte bien lui plaire jusqu’au bout.

Je me déhanche furieusement sur elle. J’ondule comme un serpent charmé par une flûte endiablée. Les mains de Mélinda, crispées sur mes hanches, donnent plus d’amplitude à mes mouvements. Je sens son sexe vibrer en même temps que tout son corps. je joue du bassin, d’un côté puis de l’autre, pour presser son membre en moi chaque fois qu’il s’enfonce ou s’échappe. Et bientôt mes efforts portent leurs fruits. Sa semence chaude se répand en moi, lançant un frisson qui me dresse les cheveux sur la tête et fait trembler tout le reste de mon corps.

« Oh, si c’est bon… Laisse-moi profiter de ce moment, Hitomi, de ton corps sur moi, en moi… »

Je me penche, voûtée comme un bossu, pour l’interrompre d’un baiser. Tait-toi, pauvre idiote. Je suis au septième ciel. Ne gâche pas tout en me laissant imaginer que je t’ai abandonnée en route. Je remue encore mes hanche un petit moment pour inviter les dernière giclées de sperme à venir me réchauffer de l’intérieur. Les derniers frissons s’évanouissent, nous laissant toutes deux tassées sur le fauteuil. Je me redresse pour la laisser jouer avec mon corps. Mes mains accompagnent les siennes qui glissent sur ma peau, montent parfois caresser son visage dont les lèvres flattent ma poitrine.

Finalement nous quittons le fauteuil pour le bureau. Je m’y étale de tout mon long, comblée comme rarement dans ma vie. Je suis repue sous la ceinture, ce qui n’est pas courant. Bien sûr quand il s’agit de sexe j’ai de l’appétit. Je ne suis pas très sophistiquée mais il m’en faut beaucoup. Heureusement la grande majorité de mes partenaires, hommes ou femmes, a su me contenter. Cette fois c’est différent. Je sens que c’est déjà presque trop, qu’en continuant sur cette lancée je risque de trouver la chose moins intense. Mélinda le sait peut-être quand elle contourne le bureau avec grâce et déhancher pour m’y rejoindre. Elle s’allonge à côté de moi.

« Je te laisse décider ce qui t’intéresse le plus en premier… Ma belle chatte n’attend que toi pour s’occuper d’elle, et mon petit cul également… Choisis donc, Hitomi… »

En baladant mon regard sur son corps je remarque que son membre viril a disparu. Elle est redevenue une jeune femme. Je lui sourie en quittant le bureau, que je contourne en laissant une main couler le long de son corps.

« Honnêtement je ne sais pas. »

Est-ce que j’hésite entre l’un et l’autre ? Non : je cherche comment les avoir tous les deux, tout de suite. Un vrai problème de physique, assez compliqué pour une littéraire comme moi. Parvenue au bout du bureau je me penche pour embrasser le ventre de Mélinda. Mes mains passent sous ses cuisses alors que je lui adresse un sourire taquin.

« Mais je devrais pouvoir trouver. »

J’empoigne ses cuisses fermes, encore brûlantes et couvertes de sueur des efforts qu’elles ont fournis. Je tire Mélinda au bord du bureau pour l’embrasser dans le cou, puis sur la poitrine, et ainsi de suite alors que je m’accroupie. Vu de plus près le problème reste entier, mais j’ai plus de mal à me concentrer. L’arôme qui s’échappe de sa petite fente, mêlé ceux du sperme et de transpiration, me fait tourner la tête. je lève les yeux une dernière fois vers son visage, ma langue passe sur mes lèvres avec gourmandise. Puis je plonge.

Mes mains sont toujours sur ses cuisses, les gardant ouvertes. Mes lèvres se posent sur les siennes, les embrassent comme elles le feraient de sa bouche. Je donne quelques coups de langues, mordille, remonte vers son clitoris pour que personne ne soit oublié. Mélinda doit se demander ce que j’attends pour utiliser mes mains. Je ne tarde pas à répondre en poussant ses cuisses vers le haut. Son bassin suit le mouvement sa tendre petite fente m’échappe, remplacée par ses fesses magnifiques. J’y enfouie mon visage pour aller chercher du bout de la langue son petit trou.

Soudain l’idée me vient. Je fait rouler Mélinda sur le flanc, libérant je lance à l’assaut de son intimité. Je masse ses lèvres, titille son petit bouton de plaisir. je guide sa jambe encore levée sur mon épaule pour libérer ma deuxième main, que je glisse entre ses fesses. Je m’accorde le temps d’un regard, toujours aussi excitée.

« Désolée, ma belle, je n’ai jamais su choisir. »

Puis je replonge, courbée comme une clé de sol pour garder toutes mes cibles à portée. Je lèche sa petite fente, lape comme un animal son nectar enivrant. Au creux de son cul parfait, mes doigts pressent tendrement contre son petit trou pour dégager le passage en douceur. Elle frémit, soupire sous mes caresses. Elle est à moi, rien qu’à moi. j’en fait ce que je veux, et je ne veux que lui donner du plaisir.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 09 février 2012, 20:45:07
« Honnêtement je ne sais pas », finit par avouer la senseï.

Sous cet aveu, un sourire de plaisir et de fierté traversa les lèvres de Mélinda. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait éjaculé avec son appendice masculin, mais chaque éjaculation avait été pour elle une véritable libération, une incroyable jouissance. Oh, qu’est-ce que ça avait été bon ! Et, pourtant, elle avait beau avoir joui trois ou quatre fois, elle se sentait toujours aussi excitée. Fatiguée ? Un peu. Même pour une vampire, Hitomi était difficile à satisfaire. Elle n’avait pas encore épuisé Mélinda, mais cette dernière sentit qu’elle risquait de sécher tous ses cours demain, le temps de dormir au moins dix heures pour que son corps se remette. Elle décida d’y penser à plus tard, frissonnant en sentant les doigts d’Hitomi caresser ses jambes.

« Je comprends tout à fait, ma belle… » confessa Mélinda.

Elle continua à se promener autour de Mélinda. Diantre, ce que cette femme était torride ! Elle excitait follement la vampire, et cette dernière sentait son appétit sexuel revenir en flèche, alors qu’Hitomi tournait autour d’elle, comme une prédatrice. Un petit frisson la parcourut. Inverser le rôle habituel que Mélinda avait l’habitude de jouer, c’était très plaisant ! Elle se sentait dans la peau d’une petite proie face à cette prof qui la caressait, et se tenait face à elle. La vampire était gracieusement allongée sur le dos, son corps offert en tous ses points à Yamagashi, et Hitomi se pencha. Un frisson parcourut Mélinda. Allait-elle embrasser sa fleur ? Non, et un soupir s’échappa des lèvres de Mélinda quand Hitomi choisit d’embrasser le joli ventre de la femme.

« Hum… Oh, Hitomi… soupira Mélinda, de doux soupirs de plaisirs s’évadant de ses lèvres.
 -  Mais je devrais pouvoir trouver. la rassura Hitomi, reprenant sa précédente phrase.
 -  Je… Je n’en doute pas, ma belle… N’hésite pas à… A prendre ton temps », poursuit Mélinda en fermant délicatement les yeux.

Sa fleur se mettait à produire son nectar habituel. Sans son membre masculin pour absorber l’essentiel de sa mouille, elle sentit sa cyprine glisser de ses lèvres, remuant faiblement les jambes. Elle sentit les doucereuses mains de cette femme se faufiler sur ses jambes, se posant sur ses cuisses, tirant le corps de la vampire le long du bureau. Elle en gémit, ses pieds basculant dans le vide. Elle les releva pour les enrouler autour de son bassin, et sentit Hitomi embrasser son cou, ses joues, son menton, ses seins, la faisant gémir à chaque fois.

« Tu… Haaa… Tu vas me… Me tuer d’impatience, Hi… Hum… Hitomi…] »

Elle mordilla l’un de ses doigts, tendant l’une de ses mains pour caresser les cheveux trempés d’Hitomi. La senseï semblait aussi épuisée que Mélinda, et ce qu’elle faisait là devait tenir de l’exploit pour une humaine. Mélinda en fut flattée. Elle devait vraiment exciter Hitomi pour la mettre dans un tel état ! En même temps, la petite vampire n’était pas surprise. N’était-elle pas tout simplement magnifique ? Et aussi endurante que belle ? Oh, elle adorait littéralement faire l’amour à Hitomi ; il était logique que ce soit réciproque. Mélinda sentait bien que ce ne serait pas sa dernière fois avec cette prof’, et qu’elle risquait de la voir souvent.

Elle desserra ses jambes en la sentant glisser, à grands coups de succulents baisers, sur son si doux corps, les mains de Mélinda continuant à se glisser dans les cheveux d’Hitomi. Elle retourna entre ses cuisses, ayant complètement électrisé Mélinda. Son intimité continuait tendrement à laisser s’échapper quelques filaments de sa délectable mouille, et, dans sa tête, Mélinda en était presque à supplier Hitomi d’approcher ses lèvres pour y goûter.

*Allez, allez, misérable humaine ! Ne vois-tu donc pas dans quel état tu me mets ? Putain, de quel droit oses-tu me mettre dans cet état, MOI, Mélinda Warren ! Moi, qui t’offre ma fleur ! De quel droit oses-tu me faire patienter ainsi ? Raaaah, je ne sais si je veux la tuer ou la baiser jusqu’à en crever !*

Mélinda se contentait de délicatement gémir d’impatience, devant cet affreux supplice, qui n’était pas volontaire. Hitomi ne savait juste par quel bout commencer, et Mélinda pouvait aisément comprendre. A choisir entre son délicieux petit cul qui ne demandait qu’à être caressé et embrassé, et sa fleur humide, le choix était relativement difficile. Caressant l’un de ses seins avec l’une de ses mains, la vampire regarda la masse de cheveux d’Hitomi, écartant ses jambes autant qu’elle le pouvait. Hitomi releva la tête, et Mélinda ne dit rien, n’ayant pas besoin de parler. La prof alla enfin plaquer ses lèvres sur son intimité, et le corps de Mélinda se tendit d’un coup. Ses yeux se fermèrent, et un soupir de plaisir s’échappa de ses lèvres.

« Hoooooooooooooooooooo ! »

Elle sentit Hitomi l’embrasser l’aidant à écarter ses cuisses. Mélinda ne faisait pas encore un grand écart, mais s’en rapprochait, posant le plat de ses pieds sur les rebords du bureau, remuant lentement son petit corps excité. Sa tête baignait sur la masse de ses cheveux, et elle abreuva Hitomi d’un étrange mélange entre sa cyprine et son sperme qui était resté, serrant ses cheveux, les caressant, fourrant ses ongles pointus dans cette longue crinière de feu pour gratter sa peau. Le plaisir qui monta ne suffit toutefois pas à combler l’insatisfaction de la vampire. Hitomi ne voyait-elle donc pas qu’elle n’avait pas besoin de veiller à écarter ses jambes pour que Mélinda le fasse instinctivement ? Au même moment, elle sentit les mains d’Hitomi agir, et Mélinda poussa un petit cri en sentant son bassin se soulevant. La bouche avide de la senseï alla se promener sur une autre partie de son anatomie, son joli cul. Le nez d’Hitomi se glissa dans sa fente, et Mélinda en frémit, tendant rapidement une main pour se toucher, ne pouvant retenir le plaisir qui explosa en elle quand elle sentit la langue d’Hitomi se promener sur son petit trou.

Devenue une espèce de poupée de chiffon, Mélinda fut ensuite allongée de côté, et Hitomi passa alors aux choses sérieuses. Elle souleva l’une des jambes de Mélinda, qui la posa au-dessus de l’épaule d’Hitomi,s’papuyant dessus, sentant ses lèvres revenir vers son intimité.

« Désolée, ma belle, je n’ai jamais su choisir, expliqua-t-elle, arrachant un gémissement de plaisir des lèvres de Mélinda.
 -  Gour… Gour-mande, hum… J’aime ça ! »

Mélinda se retrouva ainsi avec ses deux parties intimes satisfaites, tant son intimité, par la bouche d’Hitomi, que son postérieur, par ses mains. Elle sentait les doigts d’Hitomi titiller son anus, afin de s’y glisser, et elle en trembla de désir à cette idée. Des doigts, c’était toujours différent d’un bon gros sexe masculin, mais ça ne serait pas pour lui déplair,e loin de là. Hitomi n’avait même pas encore commencé la sodomie que Mélinda mouillait sans retenue, sans pouvoir réussir à se contrôler. Cette femme la rendait tout simplement folle ! Elle devint un simple objet de désir entre ses lèvres et ses doigts, glissant à nouveau l’une de ses mains pour caresser ses cheveux, les empoignant, les tirant dessus, tremblant et gémissant. Ce n’était désormais plus elle qui menait la danse. Elle ne pénétrait plus Hitomi en se délectant de l’impatience que cette dernière manifestait, elle ne se faufilait plus dans son petit cul, elle lui avait laissé prendre le contrôle. Jamais elle n’aurait pu penser que ça s’avérait excitant, aussi excitant. Elle en poussa de nouveaux soupirs, jouant avec les cheveux d’Hitomi, poussant des soupirs. Dominatrice à outrance, Mélinda pouvait aussi s’avérer, dans certaines situations, une petite soumise. On n’était pas un bon maître, après tout, si on ne savait pas se mettre dans la peau d’un esclave.

« Hum… Oh oui, oui, oh, vas-y, vas-y, Hitomi, hummmm… N’aie pas peur de me faire mal, défonce-moi mon vilain petit cul avec tes doigts ! »

Elle remuait sur place, excitée, nerveuse, impatiente, continuant à serrer entre ses doigts les cheveux d’Hitomi, avant de les relâcher, griffant le bureau, avant de pincer l’un de ses seins, gémissant et soupirant de plaisir.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le vendredi 10 février 2012, 16:16:44
« À tes ordres. »

Je force un doigt dans son petit cul déjà offert, puis plonge ma langue entre ses lèvres intimes. J’ai déjà goûté au nectar d’une autre femme mêlée à la semence d’un homme. Est-ce parce que je le sais ? En tous cas quand les deux viennent de la même personne, la goût est indéfinissable. Tout comme l’effet. Ma langue plonge en elle avec une avidité qui me surprend moi-même. Les gémissements plaintifs de Mélinda ne sont pas pour me calmer.

Malheureusement je dois abandonner sa petite fente pour reprendre ma respiration. Ma main libre vient combler le vide. Deux de mes doigts s'enfoncent tendrement en elle. Mais la tendresse ne lui suffit pas, elle l'a dit elle-même. J'appuie ma tête contre sa cuisse, ne manquant pas de baiser et mordiller sa peau douce. Je fait vriller mes doigts dans ses orifices, je les agite frénétiquement pour compenser leurs faiblesses. Il ne sont pas aussi gros qu'une verge, et ne peuvent aller aussi loin.

En revanche ils peuvent écarter, fouiller, explorer les parois douillettes mieux qu'aucune queue ne pourrait le faire. En les sentant bouger au travers de sa chair je réalise enfin que je suis en elle. Je force un autre doigt dans l'anus de Mélinda pour la malmener de plus belle. Mes mains bougent tellement vite qu'on pourrait croire que je la frappe. Comme si je voulais me venger de son interminable sodomie dont la douleur se fait encore sentir. Mes assauts de plus en plus acharnés ne semblent pas lui déplaire, mais ils la font glisser sur le bureau.

« Où tu vas comme ça ? »

Je l’allonge à nouveau sur le dos pour la suivre. Ma main droite fouille toujours son irrésistible petit cul, alors que je lance la gauche vers l’un de ses seins. j’empoigne sa chair ferme, écrase son tétons durci par le plaisir. Ma langue replonge vers ses délicieuses lèvres dégoulinantes. Je n’ai pas assez de mains. Je voudrais être partout en elle, et sur elle, pour la rendre aussi folle que moi.

« À ton tour, Mélinda ! Dit-moi que tu adores ça ! »

Je mets plus de force à chaque retour de mes doigts dans son petit trou. Finalement je n’avait pas besoin de toutes ces acrobaties. Nous avons toutes deux tant mouillé sur ce bureau que c’est une vraie patinoire. Mon bras glisse et prend chaque fois un peu plus d’élan.

« Crie-le pour moi ! »

Puis je reviens à son intimité. Le baiser que je lui donne rendrait jalouse la bouche de Mélinda si elle pouvait le voir. Mes lèvres se pressent sur les siennes, ma langue les franchit pour caresse les parois chaudes et humides. Je ne m’éloigne que pour mordiller ses lèvres intimes et son clitoris, que je ne peux que frôler du bout du nez. Ma main s’échappe de sa poitrine, puis descend s’occuper de son petit bouton d’or.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 10 février 2012, 22:17:11
« À tes ordres » acquiesça Yamagashi.

Mélinda sourit, et poussa un soupir en sentant un doigt se glisser entre ses fesses pour la perforer. Chacune de ses intimités étaient désormais occupées par les doigts experts d’Hitomi, et Mélinda se laissait délicieusement aller, continuant à mouiller, remuant légèrement sn corps. Elle retira ses doigts des cheveux d’Hitomi, sentant une poussée d’hormones si forte qu’elle dut en faire jaillir ses griffes, éraflant à nouveau le bureau, soupirant longuement. Mélinda glissa ses doigts sur le bureau, sentant sa cyprine et celle d’Hitomi, avec un mélange de sueur et de sperme. Son corps remuait longuement et rapidement.

« Ah… Ah… Haaan… » s’extasiait Mélinda.

Elle sentait les doigts d’Hitomi se glisser en elle, farfouillant dans les profondeurs de son corps. Diantre, si c’était bon ! Elle ne parvenait pas à s’en lasser, et subissait une telle vague de plaisir qu’elle ne pouvait que bredouiller, peinant à reprendre ses esprits. Le plaisir sexuel était toujours aussi fort, mais son vagin, lui, était quelque chose de totalement naturel. Inversement, son pénis avait été une création génétique et magique, et, psychologiquement, Mélinda avait toujours été plus sensible aux plaisirs sur son vagin, que ceux sur son pénis. Elle subissait donc avec un plaisir non feint ce qu’Hitomi lui faisait, cette dernière parvenant à contenter tant son joli cul, que son intimité. Ses lèvres n’étaient pas en reste, embrassant et mordillant son aine, continuant à la rendre folle. Oh oui, c’était bien ce qui se passait ; cette Terrienne la rendait complètement folle !

Le corps de Mélinda glissa sur cette flaque. Hitomi y allait si fort, avec une telle passion, que le corps de la vampire bougeait presque tout seul. Sa tête rebondissait contre le bureau, et elle se sentit chavirer. Hitomi la retint, la repositionnant sur le bureau.

« Où tu vas comme ça ? lui demanda Hitomi.
 -  Là où tu veux que j’aille… » souffla Mélinda entre ses lèvres.

Hitomi retourna à l’assaut, une main toujours posée dans les fesses de Mélinda, mais l’autre alla désormais s’attaquer à l’un des seins de la vampire. Ses doigts imprégnés de sa cyprine tachèrent sa poitrine, et Mélinda sentit un frisson de plaisir la traverser. Mélinda poussa un cri, et frappa sur le bureau, se sentant au bord du vertige. Elle se sentait tellement bien ! La vampire était tellement heureuse, tellement éloignée, se sentant voguer au loin. Elle devenait une petite poupée de plaisir entre les mains et les lèvres d’une femme experte, sentant sa langue se glisser dans son intimité, faisant remuer les jambes de Warren. Mélinda mouillait abondamment, soupirant.

« À ton tour, Mélinda ! Dit-moi que tu adores ça ! » ordonna Hitomi.

Plus facile à dire qu’à faire… Yeux clos, Mélinda se dandinait sur le bureau, et attrapa la main d’Hitomi, suçotant ses doigts, les absorbant entre ses lèvres, passant sa langue dessus, mordillant ses doigts.

« Oh putain, Hitomi… Tu… Oh, bon sang, oh oui, oui, j’adore ça ! J’ADORE ! Si c’est bon, si tu savais à quel point j’adore ça !
 -  Crie-le pour moi ! » insista Hitomi.

Relâchant sa main, Mélinda continuait à mouiller, et se mit donc à crier, retournant placer une main sur les cheveux de Yamagashi, les caressant.

« Aaaah ! C’est… C’est BON ! Encore, Hitomi, encore ! Ooooh, continue, oui, là, là, hannnn… Dans mon cul, OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! »

Ce cri venait du fond de sa gorge. Mélinda sentait qu’Hitomi insistait beaucoup sur cette sodomie, probablement pour essayer de faire ressentir à la vampire ce qu’elle avait elle-même ressenti quand Mélinda s’était placée dans son derrière. Mélinda se sentait ainsi comme une espèce de volcan en éruption. Allait-elle avoir un nouvel orgasme ? Tout indiquait que ce dernier serait imminent. Ses cris jaillissaient avec fureur, Qu’on ne soit pas encore venus voir ce qui se passait tenait réellement de l’exploit.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le dimanche 12 février 2012, 13:45:20
Je sens que demain matin mes bras se feront sentir. Mais elle crie, elle hurle même pour en avoir plus, plus vite et plus fort. Moi qui me vante d'épuiser mes partenaires, je suis tombée sur plus insatiable que moi. Mes doigts sont à présent plus à l'aise dans son anus. Je martyrise ce magnifique petit cul avec toute l'énergie qu'il me reste. Est-ce que ça suffira ? Je commence à avoir peur de ne pas la satisfaire. Chaque fois que j'ai forcé le rythme elle en a redemandé. J'ai l'impression de courir un marathon dont la ligne d'arrivée recule devant moi.

Elle n'oserait quand même pas me faire un coup pareil ? Je déteste décevoir, et avec tout le plaisir qu'elle m'a donné j'aurais l'impression de la trahir. Mais je fatigues de plus en plus. J'ai beau redoubler d'ardeur je me sens faiblir. Et si j'avais vraiment eu les yeux plus gros que le ventre cette fois ? Si je n'étais pas à la hauteur ? Mon bras commence à me faire mal, à trembler sous le poids de l'effort. Sa petite fente ruisselle comme une fontaine. Je sens les filets de liquide chaud courir jusque sous mon menton. Elle aime ce que je lui fait.

Mais ça ne suffit pas à me rassurer. Je dévore sa délicieuse petite chatte avec l'avidité d'un animal affamé. Je harcèle sont clitoris du bout des doigts, et l'abandonne parfois pour les joindre à ma langue. Je suis à bout de souffle pourtant je refuse de m'arrêter une seconde pour respirer. Est-ce que c'est ce que les hommes ressentent quand ils ont une "panne" ? Je les plains, je crois même que je les comprends un peu. Cette impression d'avancer à reculons est l'une des pires choses que j'ai ressenties. Et si mes craintes se confirment rien ne pourra me consoler ou me rassurer. Ça aura été le meilleur coup de ma vie, et j'aurais irrémédiablement foiré en bout de course.

C'est quoi ce défaitisme ?! Ressaisit-toi, Hitomi ! Pour une fois que ma raison est déraisonnable il faut bien que je l'écoute. Si Mélinda croit me faire peur... C'est un peu réussi, je dois dire. Son expérience, et surtout son endurance, me donnent le vertige. La dernière fois que j'ai fini dans cet état il y avait au moins... Je sais plus, mais on était nombreux. Mélinda est toute seule, et prête à exploser. Je ne vais pas laisser tomber si près du but !

Je ne serais sans doute pas capable de lever mon bras gauche pendant une semaine. Si je ne passe pas cette semaine à dormir pour me remettre. Je ralentis quelques secondes, le temps de reprendre un peu de souffle et de faire l'état des lieux. Pas brillant. Je me lance dans un dernier tour de piste. Un troisième doigt se glisse dans son anus, et j'accompagne ma langue de deux autres. Le temps de me frayer un passage dans sa petite fente humide ma langue remonte vers son clitoris.

Je le lèche, le suçote et le mordille tour à tour. Mes doigts explorent les parois de son vagin à la recherche du frisson qui lui fera enfin lâcher prise. Heureusement que ma bouche est occupée, sinon je crois que je l'engueulerais copieusement. C'est qu'elle est en train de me détruire moralement ! Elle crie, elle frémie, mais bordel est-ce qu'elle va finir par jouir ? Ou est-ce que je dois rappeler tous mes élèves en renfort ?
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 12 février 2012, 14:49:20
Hitomi avait l’air de vider ses tripes. Tant mieux. Mélinda n’en demandait pas moins. Elle voulait l’épuiser, l’éreinter, lui montrer que faire l’amour avec elle n’était pas quelque chose d’anodin. Follement excitée, Mélinda la sentait se forcer, la sentait amplifier ses mouvements. Hitomi ne parlait pas, mais son corps suppliait. Ses doigts l’appelaient à avoir son orgasme, le plaisir se mélangeant désormais à une certaine forme de frustration, d’impatience, et de souffrance. L’humaine était-elle à bout de forces ? Force était toutefois d’admettre que Mélinda n’y avait pas été de main morte avec elle. Elle avait labouré son corps, mais la jeune vampire avait tellement joui que l’orgasme n’allait tout de même pas venir facilement. Même une vampire pouvait s’épuiser, et la petite Mélinda était couverte de sueur, rouge un peu partout. Epuisée, elle l’était également. Comment une simple petite Terrienne avait pu la mettre dans cet état ? Mélinda n’arrivait presque plus à bouger, laissant Hitomi la bercer, au fur et à mesure que le temps passait.

« Hu… Aaaaahhh… » gémissait Mélinda.

Elle sentit Yamagashi s’arrêter légèrement, soufflant longuement, avant de reprendre, violemment et douloureusement. En sentant trois doigts se glisser dans son cul, la vampire poussa un cri strident de douleur, sentant une larme glisser sur sa joue, alors qu’elle continuait à mouiller, enserrant entre ses doigts la tête d’Hitomi, serrant ses cheveux. Elle utilisa son autre main pour s’enfoncer dans l’intimité de Warren, les enfonçant rageusement, rapidement, la martelant, la faisant souffrir de plaisir. Oh oui, c’était aussi insoutenable que délicieux ! Mélinda se sentit fondre, gémissant, soupirant, et finit, tant bien que mal pour Hitomi, par s’abandonner au plaisir.

Un ultime cri, presque une forme de glapissement, Tout son corps se tendit d’un coup, la faisant fondre, la faisant disparaître. Son esprit se dilua dans son corps, et elle soupira, crachant sa semence, sentant tout son corps partir. Le plaisir s’évanouit en grande partie, s’atténuant énormément, ne laissant plus qu’une vague sensation de soulagement, de détachement. Des frissons traversaient tout le corps de Mélinda, qui relâcha la tête d’Hitomi, sentant une vague de fatigue la saisir. Heureuse, oh, qu’elle se sentait heureuse ! Ça n’avait décidément rien à voir avec ce qu’elle ressentait en éjaculant. C’était… C’était bien plus intense, bien plus profond, et elle se sentit divaguer, allongée sur ce bureau, incapable de dire quoi que ce soit, de formuler le moindre remerciement à l’intention d’Hitomi.

La vampire ignorait l’heure qu’il était, mais elle était sûre d’une chose : elle ne s’amusera pas avec ses esclaves ce soir. Mélinda commença faiblement à se redresser, mais ses mains glissèrent sur le bureau trempé, la faisant choir sur Hitomi. Elle s’écrasa dans un soupir sur elle, renversant la brave senseï sur le sol, avec Mélinda restant sur elle, sa tête à hauteur de son épaule. Un soupir profond traversa les lèvres d’Hitomi, qui posa une main sur son ventre, caressant tendrement sa belle peau.

« Qu’est-ce que tu es chaude et douce, belle Hitomi… finit par soupirer, au bout de plusieurs minutes, Mélinda, l’embrassant lentement dans le cou et sur l’épaule. Tu es ma prof’ adorée… »

Mélinda Warren soupira, fermant les yeux. Son petit derrière lui faisait mal, mais elle se sentait si sereine et apaisée qu’elle s’en souciait peu, et continua à embrasser sa joue, caressant lentement et tendrement le corps d’Hitomi. Là encore, Mélinda laissa un certain temps s’écouler, avant de finir par relever la tête, reprenant, décidée à offrir une offre à Hitomi.

« Je suis tellement heureuse, Hitomi, que je vais te laisser décider comment tu veux que je sois dans tes prochains cours… Une vilaine élève que tu devras punir, ou une bonne et sage élève qui méritera d’être récompensée ? Quelle facette de ma personnalité t’attire le plus, Hitomi ? »

Pour Mélinda, il allait naturellement de soi qu’elle s’occuperait encore du corps d’Hitomi, et que cette dernière s’occuperait encore du sien. Hitomi venait de confirmer pourquoi Mélinda venait se reposer et se divertir sur Terre. Les Terriens étaient si fascinants !
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mardi 14 février 2012, 00:49:57
Enfin ! Elle se cambre, elle crie, tout son corps se tend. Elle jouie. Je ne sais pas qui de nous deux est la plus heureuse. J'accompagne son orgasme de quelques va et vient, de quelques passages de ma langue sur son clitoris pour faire durer le frisson. Encore un baiser à ses lèvres intimes enfin repues et je me laisse tomber assise par terre. Je suis au bout du rouleau. Épuisée, assoiffée, affamée, et en plus le carrelage est froid. Mais c'est étrangement plaisant de se sentir vidée de ses forces. La douleur lancinante de mon bras, et celle presque apaisée de anus, le dispute au plaisir qui frémit encore en moi, et à la satisfaction d'avoir mené Mélinda à l'extase.

Ma tendre, belle, perverse et fougueuse Mélinda. Sa sueur est mêlée à la mienne sur mon corps. Sa semence macule encore l'intérieur de mes cuisses, comme son doux nectar mon visage. Au début je trouvais ce genre de choses répugnantes, mais j'ai très vite adoré ça. Sentir sur ma peau les fluides de mes partenaires. Rester quelques instants apparemment nue, seulement habillée des preuves de leur plaisir. Je n'en ai pas honte, bien au contraire. Parfois, comme maintenant, j'ai envie de sortir pour exhiber au monde ces trophées que les autres appellent des "souillures".

Mais bon ! Il va bien falloir dire au revoir à mon envoûtante compagne, et me rhabiller pour rentrer chez. Alors que je me redresse Mélinda dégringole soudain du bureau pour me tomber dessus. Je me retrouve allongée, le carrelage froid me donne un frisson. Le corps brûlant, moite de sueur de Mélinda m'en donne bien d'autre. Elle se blottit contre moi. Sa main me caresse encore, par flatterie et non par appétit. Je glisser le bout de mes doigts le long de son bras, de haut en bas puis de bas en haut, lentement, tendrement.

Nous restons ainsi un moment, trop fatiguer pour faire plus. Le carrelage sous mon se fait moins froid, mais toujours aussi dur. Je m’en moque, j’ai bien assez de douceur pressée contre moi. Finalement Mélinda bouge. Heureusement elle ne me quitte pas, bien au contraire elle me couvre de tendres petits baiser.

« Qu’est-ce que tu es chaude et douce, belle Hitomi…  Tu es ma prof’ adorée… »

Malgré tout ce que nous avons fait j’arrive encore à rougir. C’était si intense, si profond que ça ne s’est pas arrêté au physique. Je l’ai menacée, méprisée, je lui en ai voulu et je l’ai pardonnée, je l’ai guidée et suivie, je lui ai résisté, je l’invitée, je l’ai conquise, je lui ai cédé. Je l’ai haïe jusqu’à la démence, jusqu’à l’aimer à la folie, puis la détester encore. J’ose à peine me l’avouer à moi-même tant j’ai peur de faire voler le rêve en éclat.

« Je sais. »

Quoi de mieux qu’un sourire nonchalant et un peu de provocation pour éluder un sujet ?  Et je dois avouer qu’il est plaisant de l’asticoter encore un peu. Elle n’en remonte pas moins vers mon visage. Ses lèvres se pressent sur ma joue, puis reparte. je tourne la tête pour les intercepter, lui donner un baiser qui vaut tous les compliments du monde. Mes doigts effleurent son épaule pour aller courir dans son dos. Elle se redresse pour me sourire.

« Je suis tellement heureuse, Hitomi, que je vais te laisser décider comment tu veux que je sois dans tes prochains cours… Une vilaine élève que tu devras punir, ou une bonne et sage élève qui méritera d’être récompensée ? Quelle facette de ma personnalité t’attire le plus, Hitomi ? »

Quelle cruauté de me soumettre à un nouveau dilemme. Quelle Mélinda ai-je préférée ? Celle qui possédait ? Celle qui m’appartenait ? Non : celle qui se faisait tour à tour l’une et l’autre. Au fond qu’est-ce que je préfère ? Recevoir ou m’offrir ? Je prends un petit moment pour peser le pour et le contre. Finalement ma main remonte un dernière fois son dos pour se poser sur sa nuque. Je la guide pour une nouveau baiser tendre et langoureux.

« Je préfère la gentille Mélinda... Celle à qui je ne pourrais rien refuser... »

Mon sourire s’élargit.

« ... Et qui ne cassera pas les bras de ses petits camarades pour attirer mon attention. »
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 14 février 2012, 11:56:55
Tandis qu’Hitomi réfléchissait, Mélinda profitait de son corps chaud, doux, et humide. Elle continuait à l’embrasser, à se frotter délicatement contre elle, frissonnant en sentant les mains de cette dernière caresser doucement son dos. C’était un agréable petit câlin, surtout après le gros câlin qu’elles venaient de faire. Mélinda parvenait progressivement à contrôler ses soupirs de fatigue, frottant les hanches de la prof’, s’appuyant confortablement sur elle pour se détendre. Il fallait bien reconnaître que cette petite humaine avait un corps merveilleux. S’y blottir était un véritable délice pour Mélinda. Elle se lovait contre Hitomi, qui était légèrement plus grande qu’elle, avide de caresses supplémentaires. Force était de reconnaître qu’elle n’avait pas eu droit à énormément de câlins dans son enfance ; partant de là, elle y était particulièrement sensible.

Elle sentit l’une des divines mains de Yamagashi remonter vers sa nuque, lui faisant pousser un léger soupir. Elle appuya sur sa nuque, et guida Mélinda vers ses lèvres. Les deux femmes s’embrassèrent avec tendresse, Mélinda se sentant comme flottant dans un petit cocon de délice et de douceur. Ce plaisir-là était bien plus apaisé que celui qu’elle avait ressenti il y a plusieurs minutes, bien moins ardent, bien moins vorace. Quand ce tendre baiser se rompit, Hitomi lui répondit.

« Je préfère la gentille Mélinda... Celle à qui je ne pourrais rien refuser... » lâcha-t-elle dans un sourire.

Être sage… Ça allait être une première pour Mélinda, qui n’était justement pas spécialement du genre à être sage et calme en cours, tant c’était barbant. Mais bon, elle avait donné sa parole à Hitomi. Elle ferait figure d’exception, une belle exception.

« ... Et qui ne cassera pas les bras de ses petits camarades pour attirer mon attention », rajouta-elle alors.

Cette petite boutade fit sourire Mélinda à son tour, un petit sourire espiègle et léger. Elle haussa négligemment les épaules, avant de tendre ses mains, les approchant du visage de la senseï, écartant ses quelques mèches de cheveux, les rabattant derrière ses oreilles.

« Je ne les embêterais plus volontairement, promit-elle, mais je ne peux rien te promettre si ce sont eux qui viennent m’asticoter. Je suppose que tu as du comprendre que je n’étais pas une humaine. Pour moi, les humains sont génétiquement inférieurs à la race que je représente, et, sauf quelques exceptions comme toi, je me considère comme naturellement supérieure. Si je peux ne pas venir les embêter, je ne te promets rien si eux viennent me chercher. Quoiqu’il en soit, dans tous les cas de figure, attends-toi à ce que je devienne une élève-modèle, qui fera vivre le cours, qui sera sage, et répondra à tes questions. Je te dois bien ça, non ? »

Elle lui sourit en l’embrassant à nouveau, et retourna se lover contre elle.

« Et puis, je ne lui ai pas cassé le bras… protesta-elle. Je ne t’aurais tout de même pas fait cela… » fit-elle en l’embrassant sur la peau.

Elle retourna poser sa tête sur le creux de son épaule, reprenant ses forces, caressant le corps d’Hitomi. Difficile de dire ce qu’elle ressentait à l’égard cette prof, mais c’était… Assez particulier. A l’égard des humains, elle ne ressentait généralement rien d’autre que du mépris ou de la pitié, mais, pour elle… C’était… Curieux. Mélinda se sentait relativement bien contre elle, bien au chaud, et se sentait surtout emplie d’un bonheur intense. Un sourire de plaisir se posa sur sa bouche. Elle se serait volontiers endormie sur elle.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le mercredi 15 février 2012, 15:58:43
Ce qu'elle me dit me rappelle toutes ces petites étrangetés qui ont parsemé nos ébats. Et bien sûr la grosse étrangeté qui a soudain poussé entre ses jambes. Je réalise que je ne sais quasiment rien d'elle. Je sais qu'elle est belle à tomber à la renverse, terriblement insatiable, et incroyablement douée de tout son corps. Que peut-elle bien être ? Est-elle un ange ? Un démon ? Un monstre ou un alien ? Elle dit que les autres lui sont « naturellement inférieurs ». Mais pas moi. Je baisse les yeux sur l’envoûtante créature blottie contre moi.

Réveille-toi, Hitomi ! Tu lis assez de romans pour savoir ce que ça peut cacher ! Et alors ? Pourquoi est-ce que ça devrait être trop beau ? Pour une fois j’ai bien le droit de prendre le risque, non ? Mélinda en vaut bien la peine, elle qui me promet de bien se tenir en classe. Si elle est moitié moins attentive comme élève que comme amante, elle va illuminer ma vie de prof. Pour le reste...

« Et puis, je ne lui ai pas cassé le bras… Je ne t’aurais tout de même pas fait cela… »

Je la serre dans mes bras avec un sourire.

« Personne ne te cherchera des poux dans ma classe. Sinon c’est la colle, la vrai. Celle où on s’ennuie. »

Une de mes mains repart courir le long de son dos, de plus en plus bas.

« Pendant que Miss Warren aura droit à ses cours particuliers. »

Ça va encore me mettre en retard dans mon travail, ça. Mais je n’imagine même pas être déçue par mon élève surhumaine. En fait je vois d’ici la partie la plus dure : passer une heure de cours à me retenir de lui sauter dessus. Ça me vaudrait au moins le renvoi et quelques poursuites judiciaires. Et ce serait vraiment méchant pour - qu’avions-nous dit, déjà ? - la vingtaine de primates qui ne lui arriveront jamais à la cheville.

Soudain je me demande. Et moi ? Je les vaux, les vingt babouins ? J’espère bien que oui. Et je ne veux pas gâcher ce moment de bonheur avec une question d’amour-propre. D’autant qu’un regard à la fenêtre m’informe que la nuit est tombée. Mélinda m’a vraiment fait perdre la tête. Il va falloir penser à se rhabiller et rentrer à la maison. Rentrer toute seule dans ce grand appartement désespérément vide. je laisse échapper un soupir résigné.

« Il commence à se faire tard. »

Mais je ne veux pas rentrer. Je suis tellement bien ici avec elle, contre elle. Je me fais l’effet d’être une gamine capricieuse. Le genre « j’veux pas me lever, l’école ça sert à rien ». Même si dans mon cas c’est l’école que je ne veux pas quitter. Finalement je me redresse, entraînant Mélinda.

« Désolée, ma douce. Il va falloir y aller. »

C’est trop pas juste. Dommage que j'habite seule, c'est toujours mieux quand il y a quelqu'un pour vous voir bouder.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 15 février 2012, 17:00:06
Sentir Hitomi la serrer contre elle était un petit plaisir qui, si elle avait été une neko, aurait probablement fait ronronner Mélinda. Au lieu de ça, elle se contenta de se blottir contre elle, résistant à l’envie de lui sucer l’un de ses tétons, comme l’aurait fait un bébé. Mélinda pouvait parfois avoir un comportement assez particulier, relativement immature. La vampire fonctionnait ainsi, et elle cala sa tête contre l’épaule d’Hitomi, s’en servant comme d’une espèce de tendre coussin.

« Personne ne te cherchera des poux dans ma classe[/color], lança-t-elle alors pour rassurer Mélinda.
 -  C’est dans leur intérêt, glissa la vampire.
 -  Sinon c’est la colle, la vrai. Celle où on s’ennuie.[/b] »

Mélinda n’ajouta rien, mais un léger sourire vicieux traversa légèrement ses lèvres. La colle ? Rien que ça ? Et aussi des visites nocturnes… Voilà qui lui rappelait qu’elle devait justement aller voir la charmante camarade de classe qui l’avait embêté cette nuit. Elle avait envie de prendre à la source, surtout après l’énergie qu’elle avait déployé ce soir pour s’occuper de cette prof’ particulièrement endurante, qui valait bien un régiment à elle entière. Mais il ne valait mieux pas le confier à Hitomi. La senseï n’apprécierait sans doute pas de savoir à quel sport nocturne Mélinda s’amusait. Elle sentit soudain l’une des mains d’Hitomi glisser vers son dos, répandant en elle un léger frisson.

« Pendant que Miss Warren aura droit à ses cours particuliers.
 -  Je crois que je vais adorer les enseignements particuliers de ma si talentueuse professeur » acquiesça-t-elle en embrassant sa peau, remuant légèrement contre elle.

Elle prit alors conscience qu’il commençait à faire froid. La nuit était tombée sur le lycée, les cours étaient finis, et, probablement pour économiser de l’électricité, on avait coupé la chaudière. Le froid commençait à venir, et ce malgré la chaleur réconfortante des langoureux bras d’Hitomi. Mélinda aurait bien voulu dormir contre elle, surtout que, dans ce genre de situation, le sommeil était un couteau planté dans le dos qui frappait sans prévenir, mais qui, une fois installé, se refusait à partir, rendant le sujet complètement amorphe et végétatif. Un soupir s’échappa des lèvres d’Hitomi, exprimant une relative forme de tristesse.

« Il commence à se faire tard.
 -  Tu es la voix de la raison » plaisanta Mélinda.

Cette phrase appelait naturellement à une suite, une suite qu’Hitomi ne semblait pas envisager, mais qu’elle fit malgré tout, étant, dans le fond, la prof’.

« Désolée, ma douce. Il va falloir y aller. »

S’extirpant lentement des bras tendres d’Hitomi, Mélinda se mit à califourchon sur elle, la regardant en souriant.

« Je crois que tu as raison, mon ange. Mais, bien entre nous, je ne pense pas que tous nos cours particuliers auront lieu dans cette salle. Tu vas peut-être me trouver classique, mais je trouve qu’il n’y a rien de mieux, pour nos ébats, que de se reposer ensuite dans un grand et tendre lit. »

C’était une invitation implicite à venir chez elle. Pas ce soir, naturellement, mais Mélinda entendait bien ne pas rester à une relation « prof/élève » avec Hitomi, d’une part parce qu’elle ne se considérait pas vraiment comme une élève, mais aussi, d’autre part, parce qu’elle n’envisageait pas non plus Hitomi comme une prof, mais comme… Comme quoi, au fait ? Une amante ? N’exagérons rien, je vous prie. Mélinda était une vampire narcissique, totalement incapable d’aimer, ou d’admettre aimer quelqu’un d’autre qu’elle-même. Une esclave ? En rien, Hitomi n’était une esclave, non… Une proie ? Si tel était le cas, Mélinda n’aurait pas hésité à prendre son sang. Le seul terme qui vint à l’esprit de Mélinda fut de la considérer comme une amie. C’était exactement ce qu’elle représentait, pour le moment, aussi incroyable que ça puisse paraître.

*Moi, amie d’une humaine, d’une représentante de l’espèce inférieure… Si jamais Ashnard l’apprend, je serais la risée de tout le bas peuple…*

L’une des mains de Mélinda caressait délicatement les joues d’Hitomi, un sourire épanoui, tout simplement heureux, sur les lèvres. Mélinda finit par se redresser, aidant la senseï à se relever, et l’embrassa à nouveau, se blottissant contre elle.

« Si les meilleures choses ont une fin, Hitomi, c’est pour pouvoir les recommencer plus tard… Ne crois pas qu’on se débarrasse aussi facilement de Mélinda Warren. »

Elle entreprit ensuite de se rhabiller, n’ayant tout de même pas envie de sortir nue. Le programme de sa soirée était simple : se reposer un peu, et aller chasser. Elle était une vampire, après tout. Elle renfila son uniforme, et se retourna vers Hitomi, l’embrassant à nouveau.

« Tu m’auras dans ton lit, ne t’en fais pas pour ça. Bien des fois…, promit-elle. Car ce que j’ai vécu avec toi était tout simplement divin. »

Sur ce point, elle ne mentait pas, et s’écarta d’elle en lui souriant à nouveau. Un sourire qui était honnête.
Titre: Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]
Posté par: Yamagashi Hitomi le jeudi 16 février 2012, 18:28:48
« Hummmm... Un bon lit douillet, avec plein d’oreillers, pour me vautrer dans le vice avec toi... »

J’en frissonne d’avance en laissant courir mes doigts les cuisses de Mélinda. Je lui sourie alors qu’elle me caresse le visage. Si je n’étais pas aussi à plat, ou si je ne devais pas être au garde à vous demain à huit heures, je crois que je me laisserais tenter dès cette nuit. Mais le seul lit qui m’attend est le mien, et je sens que je n’aurais pas de mal à m’endormir ce soir. Je suis comblée comme rarement je l’ai été. Et son sourire me fait fondre. Plus que tout ce qu’elle a pu me dire il me fait me sentir spéciale, précieuse.

Elle m’aide à me relever. Après tous ces efforts et toutes ces émotions je tiens à peine debout. La sensation de son corps contre le mien n’en est que plus douce. Je la laisse m’emporter le temps d’un autre baiser.

« Si les meilleures choses ont une fin, Hitomi, c’est pour pouvoir les recommencer plus tard… Ne crois pas qu’on se débarrasse aussi facilement de Mélinda Warren.
- Moi qui avais peur de te faire fuir. »

Malheureusement il faut nous séparer, au moins le temps de nous rhabiller. Je n’ai pas fini de boutonner mon chemisier quand Mélinda vient m’embrasser à nouveau.

«  Tu m’auras dans ton lit, ne t’en fais pas pour ça. Bien des fois... Car ce que j’ai vécu avec toi était tout simplement divin. »

Sur le coup je sais que répondre. Son sourire me fait monter le rose aux joues. J’ai beau être une grande sensible je ne suis pas amoureuse d’elle. Je l’aime d’une autre façon. Elle est mon amante secrète, mon plaisir coupable. Et finalement cela vaut mieux que de me laisser embarquer par des sentiments sans avenir. Je n’ai rien à espérer de plus que ce que je lui promets.

« La prochaine fois sera encore meilleure. »

Le temps de rajuster nos vêtements, et de passer les mains dans nos cheveux encore humides et emmêlés, nous quittons la salle de cours. Je donne un tour de clé mais déjà Mélinda a disparu du couloir. Elle s’est évanouie comme un rêve, un songe torride et enivrant qui surgira à nouveau. Je quitte le lycée pour prendre le chemin de mon appartement. Et chaque fois que je cligne des yeux, j’espère la voir réapparaître.