« Honnêtement je ne sais pas », finit par avouer la senseï.
Sous cet aveu, un sourire de plaisir et de fierté traversa les lèvres de Mélinda. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait éjaculé avec son appendice masculin, mais chaque éjaculation avait été pour elle une véritable libération, une incroyable jouissance. Oh, qu’est-ce que ça avait été bon ! Et, pourtant, elle avait beau avoir joui trois ou quatre fois, elle se sentait toujours aussi excitée. Fatiguée ? Un peu. Même pour une vampire, Hitomi était difficile à satisfaire. Elle n’avait pas encore épuisé Mélinda, mais cette dernière sentit qu’elle risquait de sécher tous ses cours demain, le temps de dormir au moins dix heures pour que son corps se remette. Elle décida d’y penser à plus tard, frissonnant en sentant les doigts d’Hitomi caresser ses jambes.
« Je comprends tout à fait, ma belle… » confessa Mélinda.
Elle continua à se promener autour de Mélinda. Diantre, ce que cette femme était torride ! Elle excitait follement la vampire, et cette dernière sentait son appétit sexuel revenir en flèche, alors qu’Hitomi tournait autour d’elle, comme une prédatrice. Un petit frisson la parcourut. Inverser le rôle habituel que Mélinda avait l’habitude de jouer, c’était très plaisant ! Elle se sentait dans la peau d’une petite proie face à cette prof qui la caressait, et se tenait face à elle. La vampire était gracieusement allongée sur le dos, son corps offert en tous ses points à Yamagashi, et Hitomi se pencha. Un frisson parcourut Mélinda. Allait-elle embrasser sa fleur ? Non, et un soupir s’échappa des lèvres de Mélinda quand Hitomi choisit d’embrasser le joli ventre de la femme.
« Hum… Oh, Hitomi… soupira Mélinda, de doux soupirs de plaisirs s’évadant de ses lèvres.
- Mais je devrais pouvoir trouver. la rassura Hitomi, reprenant sa précédente phrase.
- Je… Je n’en doute pas, ma belle… N’hésite pas à… A prendre ton temps », poursuit Mélinda en fermant délicatement les yeux.
Sa fleur se mettait à produire son nectar habituel. Sans son membre masculin pour absorber l’essentiel de sa mouille, elle sentit sa cyprine glisser de ses lèvres, remuant faiblement les jambes. Elle sentit les doucereuses mains de cette femme se faufiler sur ses jambes, se posant sur ses cuisses, tirant le corps de la vampire le long du bureau. Elle en gémit, ses pieds basculant dans le vide. Elle les releva pour les enrouler autour de son bassin, et sentit Hitomi embrasser son cou, ses joues, son menton, ses seins, la faisant gémir à chaque fois.
« Tu… Haaa… Tu vas me… Me tuer d’impatience, Hi… Hum… Hitomi…] »
Elle mordilla l’un de ses doigts, tendant l’une de ses mains pour caresser les cheveux trempés d’Hitomi. La senseï semblait aussi épuisée que Mélinda, et ce qu’elle faisait là devait tenir de l’exploit pour une humaine. Mélinda en fut flattée. Elle devait vraiment exciter Hitomi pour la mettre dans un tel état ! En même temps, la petite vampire n’était pas surprise. N’était-elle pas tout simplement magnifique ? Et aussi endurante que belle ? Oh, elle adorait littéralement faire l’amour à Hitomi ; il était logique que ce soit réciproque. Mélinda sentait bien que ce ne serait pas sa dernière fois avec cette prof’, et qu’elle risquait de la voir souvent.
Elle desserra ses jambes en la sentant glisser, à grands coups de succulents baisers, sur son si doux corps, les mains de Mélinda continuant à se glisser dans les cheveux d’Hitomi. Elle retourna entre ses cuisses, ayant complètement électrisé Mélinda. Son intimité continuait tendrement à laisser s’échapper quelques filaments de sa délectable mouille, et, dans sa tête, Mélinda en était presque à supplier Hitomi d’approcher ses lèvres pour y goûter.
*Allez, allez, misérable humaine ! Ne vois-tu donc pas dans quel état tu me mets ? Putain, de quel droit oses-tu me mettre dans cet état, MOI, Mélinda Warren ! Moi, qui t’offre ma fleur ! De quel droit oses-tu me faire patienter ainsi ? Raaaah, je ne sais si je veux la tuer ou la baiser jusqu’à en crever !*
Mélinda se contentait de délicatement gémir d’impatience, devant cet affreux supplice, qui n’était pas volontaire. Hitomi ne savait juste par quel bout commencer, et Mélinda pouvait aisément comprendre. A choisir entre son délicieux petit cul qui ne demandait qu’à être caressé et embrassé, et sa fleur humide, le choix était relativement difficile. Caressant l’un de ses seins avec l’une de ses mains, la vampire regarda la masse de cheveux d’Hitomi, écartant ses jambes autant qu’elle le pouvait. Hitomi releva la tête, et Mélinda ne dit rien, n’ayant pas besoin de parler. La prof alla enfin plaquer ses lèvres sur son intimité, et le corps de Mélinda se tendit d’un coup. Ses yeux se fermèrent, et un soupir de plaisir s’échappa de ses lèvres.
« Hoooooooooooooooooooo ! »
Elle sentit Hitomi l’embrasser l’aidant à écarter ses cuisses. Mélinda ne faisait pas encore un grand écart, mais s’en rapprochait, posant le plat de ses pieds sur les rebords du bureau, remuant lentement son petit corps excité. Sa tête baignait sur la masse de ses cheveux, et elle abreuva Hitomi d’un étrange mélange entre sa cyprine et son sperme qui était resté, serrant ses cheveux, les caressant, fourrant ses ongles pointus dans cette longue crinière de feu pour gratter sa peau. Le plaisir qui monta ne suffit toutefois pas à combler l’insatisfaction de la vampire. Hitomi ne voyait-elle donc pas qu’elle n’avait pas besoin de veiller à écarter ses jambes pour que Mélinda le fasse instinctivement ? Au même moment, elle sentit les mains d’Hitomi agir, et Mélinda poussa un petit cri en sentant son bassin se soulevant. La bouche avide de la senseï alla se promener sur une autre partie de son anatomie, son joli cul. Le nez d’Hitomi se glissa dans sa fente, et Mélinda en frémit, tendant rapidement une main pour se toucher, ne pouvant retenir le plaisir qui explosa en elle quand elle sentit la langue d’Hitomi se promener sur son petit trou.
Devenue une espèce de poupée de chiffon, Mélinda fut ensuite allongée de côté, et Hitomi passa alors aux choses sérieuses. Elle souleva l’une des jambes de Mélinda, qui la posa au-dessus de l’épaule d’Hitomi,s’papuyant dessus, sentant ses lèvres revenir vers son intimité.
« Désolée, ma belle, je n’ai jamais su choisir, expliqua-t-elle, arrachant un gémissement de plaisir des lèvres de Mélinda.
- Gour… Gour-mande, hum… J’aime ça ! »
Mélinda se retrouva ainsi avec ses deux parties intimes satisfaites, tant son intimité, par la bouche d’Hitomi, que son postérieur, par ses mains. Elle sentait les doigts d’Hitomi titiller son anus, afin de s’y glisser, et elle en trembla de désir à cette idée. Des doigts, c’était toujours différent d’un bon gros sexe masculin, mais ça ne serait pas pour lui déplair,e loin de là. Hitomi n’avait même pas encore commencé la sodomie que Mélinda mouillait sans retenue, sans pouvoir réussir à se contrôler. Cette femme la rendait tout simplement folle ! Elle devint un simple objet de désir entre ses lèvres et ses doigts, glissant à nouveau l’une de ses mains pour caresser ses cheveux, les empoignant, les tirant dessus, tremblant et gémissant. Ce n’était désormais plus elle qui menait la danse. Elle ne pénétrait plus Hitomi en se délectant de l’impatience que cette dernière manifestait, elle ne se faufilait plus dans son petit cul, elle lui avait laissé prendre le contrôle. Jamais elle n’aurait pu penser que ça s’avérait excitant, aussi excitant. Elle en poussa de nouveaux soupirs, jouant avec les cheveux d’Hitomi, poussant des soupirs. Dominatrice à outrance, Mélinda pouvait aussi s’avérer, dans certaines situations, une petite soumise. On n’était pas un bon maître, après tout, si on ne savait pas se mettre dans la peau d’un esclave.
« Hum… Oh oui, oui, oh, vas-y, vas-y, Hitomi, hummmm… N’aie pas peur de me faire mal, défonce-moi mon vilain petit cul avec tes doigts ! »
Elle remuait sur place, excitée, nerveuse, impatiente, continuant à serrer entre ses doigts les cheveux d’Hitomi, avant de les relâcher, griffant le bureau, avant de pincer l’un de ses seins, gémissant et soupirant de plaisir.