Le carnaval de sang [Brimstone]

Brimstone attendit quelques minutes puis la fit basculer sous lui. Il fit en sorte de ne pas appuyer sur sa partenaire afin de ne pas l’écraser. Une fois installée dans cette nouvelle position, il commença à faire des va et vient en elle.

Il variait la cadence et la force de la pénétration. Cela donnait des sensations très agréables pour la jeune femme. Elle n’atteindrait pas tout de suite l’orgasme, ce qui était une bonne chose, tout en lui permettant d’avoir un maximum de plaisir. Elle gémissait un peu plus à chaque coup de rein que le prodiguait Brimstone.

Ce dernier la souleva légèrement et la combattante s’accrocha à son cou. Elle vit la langue du régulateur venir chercher la sienne dans  sa bouche. Le goût sucré lui envahit la bouche. La langue partit ensuite explorer les seins et les tétons durcis de la jeune femme. Les yeux à demi-fermés, elle adorait ce qui se passait.

Au bout de plusieurs minutes de va et vien lent et régulier, Brimstone décida d'accèlerer ses coups de reins, ceux ci devinrent un peu plus brutal et et rapide mais Marine avais son vagin comme anesthésier les coup de boutoir répéter par l'infatigable machine ne donnais plus que du plaisir.

Marine étaient dans un état seccond comme si elle étais droguée. Elle bavais litéralement de plaisir tandis que son vagin expédiais du liquide séminal à chaque coup de boutoir que le régulateur donnais. Elle lachat prise manquant de tomber sur le sol, mais avec une force incroyable dans son membre le régulateur la retins et se remis debout en retenant Marine par la seule force de sa queue.

Il pris à nouveau Marine par les hanche et reprend ses va et viens à la fois doux et fort. Marine les bras ballant ne pus que ce laisser faire jusqu'à a ce moment ou elle attégnis un orgasme atomique à la faire hurler et qu'elle sentis un liquide chaud remonter dans son ventre.

Brimstone retira son engin et Marine en extase et complètement épuisée reçut sur ses seins et son visage et en elle des ectolitre de sperme sucré. La machine et la jeune femme tombèrent tout les deux à genoues Brimstone tennant Marine dans ses grand bras afin qu'elle n'ai pas froid et le temps qu'elle renprend ses esprits.

La combattante sentait que le plaisir montait de plus en plus en elle. Brimstone augmenta la cadence de ses coups de reins. Ils devenaient plus violents mais la jeune femme ne ressentait que du plaisir. Cela devenait tellement intense qu’elle finit par lâcher le cou de l’homme machine et faillit finir au sol mais le régulateur l’a rattrapa et il se mit debout, la jeune femme dans ses bras.

Il continua ses mouvements de va-et-vient. A chaque fois que le membre la pénétrait, Marine sentait la cyprine couler de son intimité. Plusieurs gouttes tombèrent sur la veste de Brimstone posée au sol. Le plaisir était devenu si intense qu’elle n’arrivait même plus à s’accrocher au régulateur. Heureusement pour elle, son compagnon l’avait bien en main.

Ses mouvements continuèrent et devinrent de plus en plus rapides et de plus en plus puissants. Marine gémissait et criait. La jouissance finit par avoir raison d’elle. Elle jouit comme jamais. Son cri atteint un certain nombre de décibels. Son vagin se contracta plusieurs fois sur le membre du régulateur qui jouit à son tour en elle.

Lorsqu’il dégagea son sexe de celui de la jeune femme, le sperme sucré s’écoulait toujours se rependant sur les seins et le visage de la combattante. Brimstone se laissa glisser au sol, Marine contre lui. Avec une certaine tendresse, il l’a tenait dans ses bras.

La jeune femme avait beaucoup plus de mal à revenir à la réalité. L’orgasme violent l’avait totalement déconnecté de la réalité. Elle avait du mal à retrouver son souffle. Elle posa sa tête sur l’épaule du régulateur et appuya son buste contre son torse. Elle avait besoin de son soutien.

Brimstone laissa Marine reprendre ses esprits et cela lui pris énormément de temps pour revenir à la réalité. Une fois que Marine fut quelque peu reconnecté à la réalité, le régulateur la nettoya et l'aida à s'habiller. Une fois cela fait le régulateur s'habilla il pris Perona et la donna à Marine. Il pris ensuite les deux femme dans ses bras et se baissa avec pour se recroviller dans un coin dans la cellule.

" Il est temps ! " Dit il simplement.

Une secconde plus tard une explosion assourdissante retentis. La porte de la cellule fut arracher de ses gond et allas s'écraser au mur justa à coté du trio.

Une massive silhouette se découpa à travers la poussière. Quand le régulateur lachat Marine elle pus voir en détail l'individu qui lui faisait face quand la poussière se discipa.

En un certain point il ressemblais au régulateur ci ce n'est que son bras droit étais entièrement métalique et qu'un enorme cannon remplaçait son bras et qu'une armure recouvrais son torse. Il étais bardé d'armes en tout genre. Pourtant malgré son aspect effrayant il se montra doux et tendis la main vers Marine.

" N'ai pas peur ! " Dit il avec la même voie que le régulateur.

Marine revint tout doucement à la réalité. Elle frissonna, prenant conscience du froid qui l’entourait. Le régulateur l’aida à se remettre debout et, avec une grande prévenance, il l’aida à se débarrasser du sperme qui la recouvrait.

La jeune femme ne parlait pas. Peut-être parce qu’elle ne savait pas trop quoi dire. Elle avait terriblement aimé faire l’amour avec le régulateur. Cela avait été violent mais pas dans le sens agressif plutôt dans le sens d’intense et passionné. Elle remit sa tenue et ses bottes. Brimstone en fit autant.

Il attrapa le corps de Perona avant de le confier à la jeune combattante. Il les conduisit vers le fond de la cellule et les plaqua contre lui pour les protéger. Marine se colla tout contre lui. Un moyen comme un autre de lui faire comprendre qu’elle aimait sa présence et avait aimé ce qui c’était passé entre eux. C’était des choses qu’elle ne savait pas dire. Beaucoup de gens lui avaient fait du mal de bien des manières mais cet homme c’était bien comporté avec la jeune femme mais ça elle ne pouvait pas l’exprimer oralement.

« Il est temps ! »

Ces paroles précédèrent une énorme explosion qui envoya valser la porte de leur cellule. Marine se plaqua un peu plus contre l’homme machine. Au bout de quelques secondes, le régulateur se releva. La jeune femme ouvrit les yeux et aperçut une silhouette massive pénétrer la cellule. Il était totalement armé et un de ses bras était une arme en totalité. Il ressemblait au régulateur qui était avec elle.

Le nouveau venu vint vers elle et lui tendit sa main.

« N’ai pas peur ! »

Marine fut surprise de l’entendre parler avec une voix totalement identique à celle de Brimstone pourtant cela semblait logique étant donné qu’ils étaient tous issus de la même entité. Elle lui prit alors la main. Il semblait se montrer aussi doux avec elle que l’autre régulateur. Durant un instant, la jeune femme se rappela les paroles de Brimstone. Il avait dit qu’ils étaient tous connectés. Elle se demanda s’ils savaient alors tous ce qui s’était passé entre eux. Ses joues se teintèrent en rouge alors qu’elle se relevait.

Le Tueur aida marine à sortir tandis que le Régulateur porta Perona et sortis à son tour. Quand la fumée fut presque discipé Marine se rendis compte que l'autre machine n'étais pas vennus seule. Une trentaine de machines l'accompagnaient et beaucoup d'entre elle étaient le clône parfait de son amant si ce n'est que certains d'entre eux avaient des différences significative.

Une des machine tennais un gros sac il s'approcha de Marine et le tendis.

" J'ai trouver ceci pour toi en farfouillant la salle du trésort apparament les esclavagiste étaient assez brouillons quand ils piquent les affaire au gens Perona en retrouvant son ours m'as permis en observant bien et mesurant les coube de ton corps de trouver tes affaires. " Dit il.

Effectivement Marine eu la surprise de retrouver ses affaires et ses armes dans le sac.

" J'ai permis d'établir une carte mais il va faloir aussi trouver un moyen de liberer les autres prisoniers avant que nous démolissions cet endroit. " Dit une autre Machine à coté de Marine.

Marine suivit le tueur et se retrouva face à plusieurs hommes machines. Ils avaient tous des points communs avec son compagnon. La jeune femme se demanda combien ils pouvaient être au total. Une question qu’elle laissa en suspend quand l’un d’entre eux lui tendit un sac contenant, selon ses dires, ses affaires.

Elle tiqua lorsqu’il lui parla de ses mensurations. Cela ne faisait que renforcer l’idée qu’ils devaient tous savoir ce qui s’était passé. Son teint devint un peu plus rouge encore.

« J'ai permis d'établir une carte mais il va falloir aussi trouver un moyen de libérer les autres prisonniers avant que nous démolissions cet endroit »

C’était l’un des régulateurs prêt d’elle qui avait parlé. La combattante jeta un coup d’œil dans son sac. Elle passa une ceinture à sa taille qui portait un katana d’un côté et un énorme couteau de combat. Sur chacune de ses cuisses, elle lassa les étuis contenant des pistolets magnum semi-automatiques. Pour finir, elle mit deux poignards dans chacune de ses bottes. Ainsi équipée, elle se sentait mieux.

« Si vous avez un plan, je vous suis mais dans tous les cas ça va être compliqué de se la jouer discret. Les gardes ont déjà du entendre le bruit de votre entrée. On va devoir y aller en force je le crains. Le plus dur sera d’éviter que les prisonniers soient blessés ou pire »

Elle avait bien l’intention de les aider à sauver les autres prisonniers. Il était hors de question pour elle de les abandonner dans cet endroit. Après, elle verrait bien ce qu’elle ferait. En tout cas, une partie d’elle voudrait bien repasser un autre moment avec le régulateur mais dans un endroit peut-être un peu plus adéquat qu’une prison. Elle sourit à cette idée.

Le régulateur qui avais été prisonier avec elle confia Perona à une autre machine qui enleva le haut de son imperméable et noua ses manches à sa ceinture. A la grande surprise de Marine six gros tentacules métalique jaillirent de son corps et se saisirent de Perona pour l'arnacher contre son corps tout en gardant les mains libres libre pour pouvoir se défendre avec une sorte de grosse épée qui en regardant de plus prés étais une tronçonneuse.

" J'avais prévus cette éventualité. " Dit une autre machine à Marine. "C'est pour cela que nous nous somme diviser en plusieurs groupes afin de liberer et evacuer les moin valides. Outre cela beaucoup de ses prisoniers sont certainement des combatants. On as récuperer des armes dans les armurie ici. Avec un peu de chance on aura certainement des renforts. "

" Allons y ! " En dit une autre.

La procession démara dans le dédale et ils avaient l'air de savoir ou aller. Marine remarqua que toute ses machines étaient au moin une vingtaine.

Marine vit son compagnon d’infortune confier la sale gosse à un de ses congénères. Ce dernier se mit torse nu et des tentacules sortirent de son dos. La jeune femme ne s’attendait pas à ça. Elle l’observa discrètement alors qu’il mettait la princesse sur son dos comme un sac. Ses bras restaient libres du coup et il pourrait se défendre si besoin. Pour arme, il avait une épée étrange. La combattante n’en avait jamais vu de semblables. L’arme semblait être un mélange d’arme blanche et d’une sorte de tronçonneuse. Ce n’était certainement pas commun, par contre ça devait être terriblement efficace lors d’un combat.

Un autre régulateur vint lui dire qu’ils s’étaient divisé en plusieurs groupes pour aider les prisonniers à fuir.

« Allons-y ! »

Un nouvel homme machine venait de prononcer ces mots. Marine hocha la tête avant de s’emparer de ses deux magnums pour avancer avec ses compagnons de métal, œil et oreilles aux aguets.

Le groupe de machine arrivèrent face à un monte charge mais fus obliger de se diviser en deux groupe vu que le monte charge étais assez petit. Marine passat la première avec dix régulateur tandis que le reste du groupe attendais.

Le monte charge redescendis en grinçant et au bout de quelques minutes une odeur entétante et écoeurante vinrent titiller les narines de la jeune femme.

Cela sentais à la fois la mort, le sang, l'excrément et la viande fraichement équaris. Sans compter des bruits presque assoudissant ressemblant à celle de machine mais aussi de cris de douleurs, de terreurs et parfois même inhumains. On avais l'impression de dessendre dans un enfer.

Le monte charge stoppa enfin et un régulateur ouvris la grille pour déboucher sur un décors industriel cauchemardesque. C'était sur une sorte de plateforme avec un enchevétrement de passerelle plusieurs cages vide pendaient par des chaines. L'endroit étais énorme mais ce qui frappas aussi c'étais l'odeur omniprésente de sang qui empuétisait l'atmosphère on vis d'ailleur des trace de sang un peu partout sur la plate forme à la fois frais et sêché.

" J'ai déja visité des endroits de cauchemard de toute ma vie mais là on viens d'atteindre des sommet dans l'horreur. " Commenta un régulateur.

La jeune femme progressait, tout ses sens en éveil. Le groupe avançait avec prudence. Bientôt, ils arrivèrent devant ce qui paraissait être une sorte de monte-charge. Marine se rendit compte qu’il était trop petit pour eux tous.

« On va devoir y aller en deux fois »

Un régulateur près d’elle répondit par l’affirmative. Un premier groupe, d’une dizaine d’individus, prit place dans le monte-charge. La guerrière en faisait partie. Ils commencèrent à descendre. Bientôt une odeur détestable parvint aux narines de la jeune femme. Un mélange de sang et de mort. Une odeur qu’elle ne connaissait que trop bien pour avoir vécu avec quasiment toute sa vie. Elle se mit à respirer par la bouche afin d’éviter les nausées que pouvaient provoquer de telles effluves. Les cris qu’ils pouvaient entendre glaçaient le sang de Marine.

Ils arrivèrent enfin à destination. On se serait cru dans un cauchemar ou dans un film d’horreur.
 
« J'ai déjà visité des endroits de cauchemar de toute ma vie mais là on viens d'atteindre des sommet dans l'horreur »

Marine confirma d’un signe de tête.

« Les sommets ou les plus sombres profondeurs. Inutile de rester à contempler cet enfer. Allons aider les pauvres gens enfermés ici »

Une fois que la deuxième vague de machine descendu. Le groupe ce remis en route mais en prenant la plate forme pour aller vers un passage celle ci ce mis à grincer horriblement.

" Apparament on est un chouilla trop lourd. " Dit une machine.

" C'a m'étonne pas vu l'endroit pourris ou on est ! " En dit un autre.

" Va faloir faire gaffe. " En dit une troisième.

Les machines avancèrent prudamment su la plate forme. Deux en éclaireur Marine ensuite et le reste de la troupe aprés. Au début tout ce passat bien mais les choses se gattèrent à mi chemin quand de l'autre coté du pont plate forme une troupe d'ogre firent leur apparition. Ils ressemblais plus à des gladiateurs qu'à des boucher. Ils portaient des armures grossières et des peinture tribale (fait surement à partir de sang) et étaient armés d'armes grossière tel que des épées et des casse tête en tout genre ou des haches.



Les orgre poussèrent des cris de guerre en voyant les machines et se mirent à les charger en faisant tanguer violament la plate forme.

Le groupe s’engagea sur une passerelle qui semblait instable. Le métal était rongé par la rouille et l’ensemble grinçait dangereusement sous le poids du cortège. Plusieurs hommes machines le firent d’ailleurs remarquer.

Au même moment, une troupe d’ogres arrivèrent à l’autre bout de la passerelle. Au vu de leurs tenues, ils s’agissaient plus de guerriers que de bourreaux. Marine sourit.

« Que la fête commence ! »

Elle n’aimait pas se battre même si cela avait constitué une grande partie de sa vie mais quand elle se retrouvait dans le feu de l’action, elle se sentait bien, dans son élément. Ses yeux s’assombrirent et son corps se mi en position d’attaque. Elle se trouvait, telle une panthère, prête à bondir.

Elle possédait un avantage non négligeable, ses armes à feu. En une fraction de seconde, elle brandit ses armes et commença à faire feu. Elle ne tirait pas à l’aveuglette, loin de là. Chacun de ses tirs étaient d’une précision terrible. Elle tira à trois reprises avec chaque arme et chacune des balles tua un ogre. Elle visait systématiquement la tête. Si les adversaires portaient des casques, elle tirait dans l’œil, sinon c’était en pleine tête.

Marine réussit à descendre trois énormes créatures et les machines disposant d'arme à feu en tuèrent plusieurs autres ce qui n'empèchèrent pas les survivants de ce jeter sur les machines qui dégainèrent leurs armes tronçonneuse pour se jeter à leur tour sur les troll dans un bruit de tonèrre.

Le combat était violent et c'étais transformé en bataille rangée. Marine vis le sang couler à flots et des corps voler pour tomber dans le gouffre en contrebas. Les ogres avaient beau être fort les machines étaient bien mieux armés et les surpassaient en agilité.

Marine quand à elle ses armes à feu vide eu affaire à un ogre équipé d'une grosse armure et armé d'une grosse massue qui tenta de lui écrabouiller le crâne.



Le plus inquiètant c'est qu'elle sentis et vis la plate forme partir en morceau. Elle étais à la limite de lacher menaçant de précipiter tout le monde dans le gouffre.

Marine avait donné le départ et bientôt ce fut la mêlée générale. Les corps s’entrechoquaient et les coups tout comme les corps pleuvaient. Beaucoup de combattants passèrent par-dessus la rambarde de la passerelle.

Les pistolets vides, la jeune femme les rengaina. Un orc immense et lourdement armé et équipé se précipita vers elle, voulant lui écraser le crâne. Elle esquiva le coup, se saisit de son katana et transperça la gorge de son assaillant.

Après s’être débarrassée de lui, la combattante se rendit compte que la passerelle allait s’écrouler sous le poids des hommes et la violence du combat. Ils devaient avancer et rejoindre l’autre côté avant que tout s’effondre.
 
« On doit passer à tout prix ! »

Marine courut vers le bout de la passerelle, tranchant les ennemis à tour de bras. Arrivée au bout, elle réussit à agripper un crochet suspendu au plafond. Elle l’accrocha à une extrémité de la passerelle et bloqua la chaîne qui le tenait avec la poulie. Cela consolidait un peu l’ensemble mais pour peu de temps.

Elle se remit à affronter les ennemis espérant que ses compagnons arrivent à la rejoindre avant que tout s’écroule.