Identité : Maeilera de la Forêt du Printemps Éternel. Appellez la Mae' et perdez une jambe.
Âge : Quelques centaines d'années, entre 7 et 9.
Sexe : Femelle
Race : Licorne
Sexualité : Pansexuelle
Physique De manière étonnante - ou pas - Maeilera peut vous proposer la vision de trois physiques différents : un totalement humain, une forme centaurique et une totalement licorne.
HumaineSous sa forme humaine, Maeilera n'a rien à envier à la plus plantureuse des créatures. Dotée d'une forte poitrine et d'une croupe tout aussi engageante, elle a tout pour séduire. Ceci dit, son jeu de jambe est tout aussi mortel que sous sa forme équine. Doté d'une longue chevelure couleur de blé au soleil, elle est toutefois distinguable des humains par la grande corne qui lui orne le front, transperçant son visage à la peau claire. Mesurant prêt d'un mètre quatre-vingt-dix, les pieds à plat sur le sol, le plus souvent elle n'a pas besoin de lever les yeux pour regarder quelqu'un, ses iris d'une couleur aquatique ayant plutôt tendance à se baisser.
Si on doit parler de sa garde-robe, même si elle possède une forme "humaine", elle n'est pas de cette espèce ; aussi le moins elle porte, le mieux elle se porte. La plupart des tissus ont tendance à la gratter, ce qui la met alors d'une humeur massacrante.
CentaureComme la plupart des centaures, Maeilera possède le bas d'un équidé et le buste d'un humanoïde. Ainsi dotée de quatre pattes et d'une queue de cheval du même blond que ses cheveux, elle sera la détentrice d'une robe aussi blanche que la Neige. Deux mètres au garrot - sous buste humain - et une musculature de dominante, sous cette forme plus que guerrière Maeilera aura de quoi faire fuir ses ennemis.
LicorneSous sa forme première - car oui, c'est sa forme originelle - Maeilera est une grande licorne de deux mètres au garrot, le port altier et l'œil fier. Une robe blanche immaculée, une crinière d'or étincelant et une corne assez longue pour empaler un lion sur toute la longueur sans sourciller. Sa robe scintillera légèrement sous la lumière de la lune et prendra un reflet doré sous celle du soleil - ses yeux, d'un bleu céruléens, sont alors capables de voir la pureté des âmes qu'elle croise.
CaractèreFamiliale - faisant partie d’une Harde et en étant la Reine, elle est très proche des siens. Elle prendra bien plus souvent parti en leur faveur face à des étrangers, même si sa harde a tort.
Vénérable - ayant un certain âge et la responsabilité de son peuple, Maeilera aura tendance à adopter une apparence sage et sûre d’elle-même. Même si c’est un masque qu’elle porte, il est important pour le bien-être de son peuple.
Gourmande - si elle n’est pas vénale, elle est gourmande et la soudoyer à coup de sucrerie sera en général une réussite, si la demande n’est pas impossible à remplir.
Maternelle - douée avec les enfants, elle a le don de les mettre à l’aise. Elle adore voir ces petits êtres courir autour d’elle en riant et saura plus facilement tolérer les autres peuplades à ce stade-là.
Guerrière - qu’il s’agisse de sa forme humaine ou non, Maeilera n’hésitera pas à se battre, armée ou avec ses poings et ses pieds uniquement. Dotée de la force d’une créature magique et de l’endurance d’un équidé dominant, il en faudra beaucoup pour la mettre à bas.
Civilisée - si elle n’est pas particulièrement friante des autres peuples, elle sait se montrer aimable quand cela peu l’aider dans une démarche qu’elle désire entreprendre ou que cela peu lui apporter quelque chose.
Histoire Dans la verte prairie qui lise la forêt du Printemps éternel, voisin de la grande cour de la Reine du Printemps, une harde se déplace lentement, mais surement de la démarche de ceux qui connaissent leur dû. La harde du printemps éternel, composée de nombreux équidés tous plus hétéroclites les uns que les autres, est dirigée par la reine Maeilera - une licorne centenaire ayant une relation somme toute cordiale avec la cour elfique de la forêt.
Maeilera est née de l’union d’un rayon de lune, d’une rosée matinale et du chant d’un oiseau lyre - véritable créature de magie, elle est la plus puissante de sa harde et celle vers qui ils se tournent pour leurs interrogations hebdomadaire. Si la harde est nomade, se déplaçant tout au long de la prairie et parfois même ailleurs, elle revient toujours à son point de départ au printemps : la lisière avec la forêt des elfes.
“
Grande Reine, pourquoi revient-on toujours ici ?” demande un jour un poulain, sa robe alezane brillant sous le soleil, ses yeux de biche sur un visage poupon ne pouvant qu’évoquer un sourire sur le visage de Maeilera.
“
Parce que même si les elfes occupent cette forêt, elle ne leur appartient pas.” est la réponse qu’elle finit irrévocablement par donner - son regard perdu à travers les arbres, les yeux sombres.
Le temps passe et l’entente cordiale avec la cour du Printemps se fait de moins en moins facile, de moins en moi agréable. Maeilera ne peut s’empêcher d’être cynique, quand elle voit que les elfes s’approprient la forêt, qui est censée être libre à tous. Ses paroles se font de moins en moins joviale, de moins en moins … accommodantes.
Finalement, sous son 349ᵉ anniversaire, la Cour du Printemps ouvre les hostilités. Elle déclare que la forêt appartient aux elfes et qu’il faudra payer une dime pour y mettre les pieds. Les créatures qui s’y aventurent sans payer sont transformées, leurs corps pervertis, leurs âmes malmenée - 50 années pour un humain qui passe trois heures à la cour, des membres qui poussent sur des bipèdes, des écailles qui s’incarnent sur des volants. Finalement, la Reine du Printemps pose son regard sur Maeilera … et son insulte est grande : elle voit en la licorne une monture de choix.
Une guerre s’ouvre - comme il faut s’y attendre, de nombreuses pertes ont lieu et pour éviter la totale annihilation des siens, Maeilera capitule. Elle baisse l'échine et accepte de porter la reine du Printemps … comme un vulgaire cheval. S'ensuivent plusieurs dizaines - centaines ? - d’année de servitude pour la harde. Ils servent de monture aux elfes et ceux-ci se pavanent devant les autres peuple avec cet asservissement qu’ils ont gagné au prix du sang.
Maeilera regarde - elle attend. Elle voit, peu à peu, les elfes se pervertir. Elle voit leur peau prendre une teinte bleuté, le printemps perdre de sa vitalité, leurs cheveux perdre leur couleur… et leur divinité changer.
Les feuilles tombent, la forêt passe à l’Automne … puis l'hiver. Et la reine du Printemps devient la Souveraine de l’Hiver - les elfes deviennent des drows. La forêt perd de son éclat … et Maeilera ferme les yeux encore une fois.
Quand les araignées arrivent, quand la Grande Dévoreuse arrive… Maeilera ne peut plus attendre. Elle rompt son serment, elle se libère de ses chaines et entraine avec elle tout ce qui reste de sa harde. Les mages de son groupe se sacrifient, pour ouvrir un portail … et jeter les plus vivaces et leur reine, hurlante de rage - elle voulait, elle aussi rester ! - à travers.
Pour la harde !
Quand elle rouvre les yeux, c’est pour contempler un monde qui n’est pas le sien, qui n’est pas Faërie. Les fermant un instant, elle les rouvre avec un soupire et réunit les siens autour d’elle.
Ils se reconstruiront… quoi qu’il en coûte. Et quand ils seront assez forts ? Ils iraient libérer les autres, ceux qui étaient restés en arrière … et qui étaient sûr de souffrir sous les mains glacées de la Souveraine de l’Hiver.
Autre Triple forme : peut prendre une forme humaine, centaure ou licorne.
Guérisseuse : sa corne permet de guérir la plupart des blessures - mais ne permet pas la régénération.
Œil Pur : sous sa forme de licorne, elle est capable de voir la pureté des âmes de ceux qu’elle regarde - entre autre leur pureté sexuelle, mais également leur pureté sous sa forme la plus ‘pure’ (à savoir s’ils ont déjà tué quelqu’un ou sont des créatures du mal).
Comment avez-vous connu le forum ? top site
Avez-vous des doublettes ? nope sergent ~ !
Voilà pour moi, j’espère que ce personnage trouvera des âmes généreuses prêtes à l’aider - ou lui mettre des battons dans les pattes ~
