Thérapie de la soumission ( PV Pauline Catalino)

Je frissonna sous les soins appliqués de ma subalterne, et commençai à mouvoir mon bassin, pour enfoncer mon pénis jusque dans sa gorge de temps en temps. J'attrapais également ses mains afin qu'elles agrippent mon fessier pour lui donner un meilleur appui. Je la fis au bout de quelques temps, se relever pour qu'elle me tourne le dos et se penche en s'appuyant au lavabo, et commençai à la pénétrer d'un coup pour commencer des mouvements de vas et viens violents dans son intimité à peine défleuré.

En parrallele, je pris une brosse et la glissa dans son anus pour me défouler sur ses deux orifices en même temps, afin de voir si elle allait apprécié cette expérience.

- Je veux t'entendre gémir de plaisir, sinon tu n'auras pas ce que je t'ai promis.

Pauline rougit en sentant son maître pénétrer profondément sa bouche et même sa gorge quelques fois. Soudainement il se retira de sa bouche pour la relever et la pencher sur le lavabo. Il pénétra alors violement son vagin tout en enfonçant une brosse dans son anus. C'était douloureux mais c'était les désirs de son Dieu. La jeune esclave se contenta de gémir de douleur tout en pensant à sa récompense.

Être à ce point soumise rappela à la jeune fille sa captivité durant son adolescence. C'est quand elle était soumise de cette façon qu'elle se sentait le plus en sécurité. C'était un sentiment étrange mais elle ne pouvait pas le combattre. Son vagin subissait de violentes pénétration tout comme son anus qui était pénétré par une brosse.

- Haaaan Kuja-sama ! C'est si bon ! cria la jeune fille.


Pauline était plié en deux de douleur, mais si c'était pour son maître, elle ne pouvait que s'en réjouir. Elle se demanda rapidement ce que serait l'étape suivante. Elle l'attendait presque avec impatience.

Ses cris et gémissement alors que j'étais brutal, me motivèrent à continuer à jouer avec cette jeune femme qui prenait du plaisir sous la torture. Je lui ordonnai d'aller mettre une robe courte et de me rejoindre à la porte d'entrée car nous allions nous balader. Je l'imaginais déçu par l'interruption de nos ébats, mais confirma qu'elle aura ce qu'elle espére tant, du moment qu'elle m'obéisse.

Tandis qu'elle se préparait, je matérialisa un gode ainsi qu'un œuf vibrant. A son retour je lui commandai de baisser sa culotte et y glissa le premier dans son vagin, et le second fut attacher au niveau de son clitoris. Elle eut ensuite l'autorisation de remonter son sous vêtement, pendant que je lui expliquais les règles de ce jeu.

- Nous allons nous ballader pendant une heure, en sortant du batiment je déclencherai les jouets que je t'ai donné selon ma guise. Si tu gémis, ou montre un autre signe d’excitation en dehors de ton liquide féminin durant cette sortie, tu seras séverement punie. Est ce que tu as bien compris ?

Son maître semblait vouloir jouer avec elle car il lui ordonna d'aller mettre une robe courte et de le rejoindre. Elle dû retirer sa culotte et Kuja-sama enfonça un god dans son vagin, puis plaça un oeuf vibrant sur son clitoris. La jeune fille remonta sa culotte pour que tout reste bien en place.
Il lui expliqua les règles de son nouveau jeu pervers. Ils allaient se promener pendant une heure et elle devrait résister et ne jamais gémir sous peine d'être sévèrement puni.

- J'ai bien compris maître. Je vais essayer de résister, déclara Pauline en sachant qu'elle n'y arriverait sûrement pas.

Elle se mit donc à réfléchir à cette sévère punition. Qu'est ce que ça pouvait être. Elle allait soit être humilié, soit torturé. Voir peut-être même les deux. Malgré tous ses efforts elle n'avait pas la moindre idée de la punition qu'elle allait subir...

Je récupérai mes clés et nous sortîmes de l'immeuble, où le soleil régnait et les passants étaient spécialement nombreux, ce qui tombait bien pour mettre mon jouet dans l'embarras, et que si elle craquais, bien plus de gens que prévu assisterai au spectacle. Je pris la télécommande du gode et commençai à l'allumer, d'abord lentement. Puis nous commençâmes à marcher dans le quartier, je la voyais tenter de serrer les points pour résister. Nous fîmes alors un peu de lèche vitrines, et je l'invitai à boire un verre. Une fois installé, j'augmentai brusquement la vitesse de son jouet, et mis en route le second, tandis que nous prenions la commande, et que le serveur était juste à coté.

- Ca va ? Demandais je de façon taquine, en sachant qu'elle se débattais

Il avait été assez facile de résister au début tout en marchant. Elle serrait les poings et le plaisir était supportable. Cependant tout devint compliqué ine fois installé à la terrasse. Il avait certainement prévu ça depuis le début car avec sa robe courte qui remontait sur ses cuisses il était facile de voir la culotte de la jeune fille. Et surtout que cette culotte débordait de jouets qui vibraient et faisaient un peu de bruit. Pauline avait du mal à résister et remuait constamment ses fesses. Son corps tout entier était crispé quand elle sentit tout d'un coup un filet de cyprine s'échapper de sa culotte et glisser le long de sa cuisse.

- O... Oui ça... ca va, bredouilla la jeune fille avant de pousser un petit gémissement.

Son maître avait attendu l'instant où elle parlerait pour actionner une nouvelle fois les jouets. Il l'avait piégé et elle s'était faite avoir tellement facilement...

Alors que le serveur prenait la commande de Pauline, il s'aperçut que quelque chose clochait, il la dévisagea bizarrement puis s'en alla. J'avais entendu le léger gémissement, mais le jeu était trop amusant pour rentrer tout de suite, j'arrétai les jouets durant la consommation, afin de frustrer ses pulsions, et de faire baisser ses défenses. Puis nous nous levèrent et reprîmes notre route, en enclanchant de nouveaux ses instruments de torture.

En passant dans une petite ruelle je lui ordonnai de s'arréter, et de se mettre à genoux pour me sucer en pleine rue, avec le risque que certaines personnes nous surprennent. Ce qui fut le cas lorsqu'un groupe passa à coté de nous. Je les invitais à la regarder faire, la transformant en attraction, avec interdiction de la toucher.

Pauline eut un peu de répis durant la consommation mais son maître relança la torture sexuelle dès qu'ils se levèrent. Une fois dans une petite ruelle, Kuja-sama réclama une fellation à son esclave. Cette dernière ne pouvait absolument rien lui refuser. Elle se mit donc à genoux devant lui et ouvrit sa braguette. Elle retira don imposante verge et commença à sucer timidement son gland. Malheureusement des gens remarquèrent ce qu'elle faisait et s'approchèrent.
Pauline se sentit humilié mais elle continua de sucer le délicieux gland de son maître. Rien ne l'empêcherait d'obéir aux ordres. Elle remarqua même un des hommes entrain de se masturber pendant qu'il la regardait. Elle décida de se focaliser sur son maitre et sa merveilleuse verge pour ne plus penser à son humiliation publique.

Alors que je sentais l'extase arrivée, je lui ordonnai d'arréter, il était temps de reprendre notre route, ses tremblements étant de moins en moins discret, je devinais qu'elle allait craquer d'un instant à l'autre. Je finis par l'achever en mettant les deux objets à la puissance maximum, cela couplé au fait qu'elle avait du sentir son cadeau arrivé sans pour autant l'avoir, avait du la mettre dans un état incontrolable.

Suite à cela nous rentrâmes, après que j'ai tout désactivé. Une fois à l'intérieur je la pris et la gorge et la soulevai pour l'emmener dans une piece qu'elle n'avait encore jamais vu. Une lumière tamisé éclairait le tout, et je la plaqua contre un mur, lui attachant les pieds et les mains. Je lui expliquai qu'elle n'avait pas été sage, et qu'elle avait céder à sa faiblesse. Je pris alors le fouet qu'elle m'avait acheté, et commençai à la frapper avec une première fois, puis une seconde. Enfin je lui arrachai sa robe, afin de me glisser en elle.

- Pour la peine, je me viderai, mais pas là où tu l'esperes, et si tu en veux, il te faudra lécher le sol.

Pauline était extrêmement frustrée de ne pas avoir pu boire le sperme de son maître, mais elle était aussi heureuse de ne plus avoir à le sucer devant des gens. Pauline craqua alors que les jouets étaient à leur puissance maximum. Ses jambes étaient recouverte de mouille.
Une fois rentrés, son maître l'attrapa à la gorge et l'amena dans une pièce qu'elle ne connaissait pas. Elle fut attaché au mur et fouetté pour la punir d'avoir cédé. C'était injuste et cruel mais c'était ce que son Dieu avait décidé.
Kuja-sama déchira la robe et la pénétra sans retenue. Pour la punir elle devrait lécher son sperme sur le sol. Elle regarda instinctivement par terre et vit avec soulagement que le sol était plutôt propre. Elle était dans un tel état de manque, qu'elle lècherai le sperme peu importe où il serait...

- Je suis désolée de ne pas avoir été sage, je lècherai le sperme sur le sol si vous le désirez Kuja-sama.

Je continuai mes mouvements sans retenue, ne pensant pas à la douleur que ca pourrait lui occasioner, et vint mordre son cou jusqu'au sang. Je claquai ensuite des doigts et un autre homme vint dans la pièce, je la détachai alors de ses entraves, la mettant à quatre pattes, l'homme se mis sous elle pour la pénétrer violemment, il avait le regard vide car je l'avais nettoyé de toute âme, il n'était qu'un pantin incapable de réfléchir, et que je gardais pour ce genre de jeu. Quant à moi je lui attacha un collier avec une laisse et la pénétra par derrière en lui ordonnant de miauler de plaisir, car elle n'était plus à cet instant qu'une chatte qui attendait son lait.

La voilà prise des deux cotés, perdant le temps de cet acte ce qui faisait d'elle un humain.

- Alors ma chatte, aimes tu ce que ton maître te fait ?

Pauline commençait à avoir mal à son vagin quand son maître la détacha pour ma mettre à 4 pattes. Un homme commença à prendre à nouveau son sexe douloureux. Son maître lui attacha une laisse autour du coup comme à une chienne et pénétra son anus. Pauline perdait de plus en plus le peu d'estime qu'elle avait d'elle. Maintenant elle n'était plus qu'un animal...
La jeune fille tenta de miauler mais n'y arriva pas. Elle gémissait tellement fort et ne maîtrisait plus rien. Elle ne se sentait plus du tout humaine.

- O...Oui j'aime ce que vous me faites, cria Pauline entre deux gémissements.

Elle se sentait humilié par la situation mais comme elle n'était plus qu'un animal ça la gênait de moins en moins. Tout ce qu'elle désirait c'est que son maitre soit heureux et la récompense avec du sperme.

En ne l'entendant pas miauler, je tirai sur la laisse pour l'étrangler et la punir, alors que mes mouvements se firent plus vigoureux, et mon zombie de poche semblait atteindre sa limite. Je relacha mon emprise et la souleva pour mettre mon pénis dans sa bouche de façon violente, et finis par relacher une grande dose de sperme sur le sol après l'avoir retiré

J'ordonna à mon outils de disparaître, et la laissa à terre pour qu'elle déguste sa boisson particulière, tandis que j'allai me laver. J'avais trouvé ce jeu particulièrement amusant, et me dis que l'on pourrai réessayer ce genre de moment. Sortant de la douche je la vis encore attelé à lécher le sol, soudain elle tourna la tête et me vis réapparaitre.

Le traitement que subissait le corps de Pauline était extrêmement dur à supporter. Quand enfin il pénétra violement la bouche de sa jeune esclave, elle pensa qu'elle allait enfin pouvoir boire son sperme. Cependant son maître sadique préféra éjaculer sur le sol.
Kuja-sama et son pantin disparurent. Épuisée et avec le corps douloureux, la jeune fille rampa jusqu'à la flaque de sperme et commença à la lécher pour calmer son état de manque. Après quelques gorgées de sperme elle se sentait déjà mieux.
Pauline ne s'arrêta pas de lécher le sol pour avaler le délicieux sperme de son maître. Ce dernier était de retour dans la pièce et semblait ravis de la voir lécher le sol. Elle termina de lécher le sperme et resta allongé par terre. La violence de son Dieu l'avait totalement épuisée. Elle vit son regard pervers et se demanda à quoi il pensait. Allait-elle encore être humilié ? Le souvenir des gens qui la regardait sucer son maître était gravé dans son esprit. Tout comme le fait de se faire baiser par un pantin. Pauline se demanda si son Dieu était capable de lui faire pire que ça. Elle craignait le pire tout en ne pouvant résister à ses ordres. Elle était son nouvrau pantin, même si tout au fond d'elle subsistait une part humaine.

La voir si affaiblie me fit penser que j'y étais peut etre aller fort sur ce coup là. Pris de pitié je l'aida à se relever et la raccompagna dans sa chambre après lui avoir essuyé le corps. Epuisé par cette longue journée, je m'endormis sans m'en rendre compte à coté d'elle. J'étais pour la premiere fois depuis son arrivé sans défense, et inconsciemment je me demandais comment elle réagirait face à ce genre de situation. Je comptais la ménager le lendemain, elle était au bord du gouffre, et je préférai encore la voir légèrement remonté et la faire retomber à son point de départ, que de la laisser sombre, pour devenir pareil que l'individu que j'avais fait participer tout à l'heure.