La soirée de la veille avait été éprouvante, et j'avais passé une longue nuit de sommeil. Cependant j'eûs la surprise de me retrouver seul dans le lit, remarquant l'absence de Pauline. Je décidai alors de me lever pour voir si elle préparais le petit déjeuner. Quel ne fut pas ma surprise en la voyant sortir de la pièce que je lui avait interdit, et tenter de revenir comme une voleuse dans la chambre. Sans attendre la moindre explication je la pris par la gorge et serrai de toutes mes forces.
- Tu comptais aller où comme ça, traitresse ? Je t'avais expressément demandé de ne pas entrer là dedans.
Hurlais je de fureur, la laissant suffoquer. Puis je retournai dans la dite pièce et ouvrit une autre porte qui s'y trouvais, dans laquelle j'avais préparé quelque chose de bien particulier dans le cas où elle choisirai de me fausser compagnie. Elle fut attacher à la table métallique qui s'y trouvais par des lanières en cuir, les yeux bandés.
- Tu as pris ton dieu pour un imbécile ? Crois moi après cela non seulement tu regretteras d'avoir tenté cette idiotie, mais en plus tu vas resubir ce que tu craignais tant.
Le scientifique que j'avais fait prisonnier avait été chargé sous peine de se faire écorché vif, de reproduire un début de laboratoire avec le même système d'expérience qu'il avait mis en place, tout en le chargeant de retravailler la formule, remplaçant le sperme d'animal au mien, afin d'en augmenter les effets ainsi que son assujettissement au donneur. Il se chargea alors de mettre un tuyau en verre dans la bouche de ma prisonnière et commença à faire circuler le produit qu'elle commençait à avaler.