Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 19:09:24 »
Pourquoi pourrait-elle être jugée louche ? Après tout, elle ne faisait que suivre son devoir. Blum était une femme d’église, et elle considérait comme essentiel d’aider son prochain, surtout lorsqu’il se trouvait dans le besoin. Et cet homme semblait en avoir bien besoin : il devait s’immerger dans une rivière glacée pour sa toilette et parcourir de longues distances pour aller chercher de l’eau pour son village. C’était une vie de privations qu’elle ne pouvait ignorer. Cependant, avant qu’elle ait eu le temps de lui tendre réellement la main ou d’engager une discussion sincère, le destin en avait décidé autrement. Un instant d’inattention, et elle avait glissé sur les pierres humides, se retrouvant maladroitement projetée dans l’eau froide.

Luttant pour se redresser, Blum faisait de son mieux pour retrouver son équilibre, mais chaque geste la ramenait presque aussitôt au bord de la chute. Et alors que son regard cherchait instinctivement un point d’appui, elle ne pouvait pas échapper à ce sexe dressé, il lui était impossible à ignorer. Son visage s’empourpra d’embarras de plus en plus, et elle sentit son cœur battre plus fort. Ce qu’elle voulait éviter à tout prix, elle en était maintenant témoin. Ce balancement presque hypnotique devant elle la plongeait dans un profond malaise.

- Je vais m’en sortir seule…

Sa voix, à peine plus qu’un murmure, trahissait sa confusion. Pourtant, l’homme, visiblement plus à l’aise dans cette situation, semblait décidé à intervenir. Il observait sa robe trempée, qui collait à sa silhouette, gênant ses mouvements. À ses yeux, cela semblait évident : ces vêtements détrempés la ralentissaient et risquaient de l’exposer davantage au froid mordant et aux chutes. S’il retirait cette entrave, elle pourrait bouger plus librement, du moins c’est ce qu’il semblait penser. Blum tenta à nouveau de protester, assurant que tout irait bien, mais ses mots paraissaient bien faibles face à sa détermination.

L'homme tira sur sa robe, les plis caressaient sa peau et filaient entre les pétales de sa fleur fragile, lui arrachant des hoquets de surprise. Pour avoir une meilleure position, son sexe et ses bourses se collaient contre le visage de la nonne. Blum ne savait plus où se mettre, elle avait si bien cherché à l'éviter que c'était maintenant sous son nez, collé à ses lèvres que ce sexe se trouvait, que le moindre hoquet de sa par lui faisait goûter les effluves de l'homme. Les mains de celui-ci passaient sur le corps de la nonne, lui attrapant parfois ses pis rebondis et avec de la détermination, la robe finit enfin dans la rivière.

Et Blum apparut dans toute sa simplicité, semblable à une œuvre d’art échappée d’un atelier divin. Sa peau, d’une blancheur nacrée, semblait capturer la lumière diffuse des lieux, la renvoyant avec une douceur presque irréelle. Chaque courbe de son corps était une ode à l’harmonie, un équilibre parfait entre délicatesse, vigueur et lubricité.

Ses épaules frêles mais droites témoignaient d’une force intérieure insoupçonnée, tandis que son dos, légèrement cambré, dessinait une ligne gracieuse qui plongeait vers une taille fine. Ses seins, à la fois fermes et pleins, semblaient avoir été sculptés pour incarner l’idéal féminin, leur galbe parfait rehaussé par la fraîcheur ambiante. Ses hanches, douces et subtilement marquées, promettaient une féminité épanouie, et ses longues jambes, fuselées comme celles d’une statue antique, complétaient ce tableau de pureté et de sensualité.

Mais au-delà de son apparence physique, ce qui frappait était l’expression de son visage : un mélange troublant d’innocence et de pudeur. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, trahissaient une respiration hachée par la confusion, et ses joues rosées ajoutaient une touche de vie à cette vision presque céleste.

Vulnérable, elle demeurait immobile dans la rivière, tremblante sous le poids de sa pudeur. Le rouge de la honte marquait ses joues jusqu'à ses oreilles, une chaleur envahissante contrastant avec la fraîcheur de l'eau qui caressait sa peau nue. Elle ne cherchait pas à se couvrir tant sa surprise la paralysait. Elle restait presque offerte à l'homme au-dessus d'elle, elle était tellement sous le choc émotionnellement qu'elle n'avait pas remarqué les oreilles animales.

Ses yeux, écarquillés, ne suivirent même pas la robe qui dérivait doucement plus loin dans le courant, elle fixait encore ce dard épais et long qui dansait au-dessus de son visage. Elle ouvrit la bouche pour parler, pour protester, mais aucun mot ne lui vint, comme si elle avait envie de regarder encore ce sexe qu'elle se mit à désirer laissant ses hormones s'affoler.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Hayao Tachibana le dimanche 15 décembre 2024, 18:19:13 »
Toute la situation était le fruit d’un magnifique paradoxe. Et ce paradoxe était simple : cette bible sexuelle était clairement un fantasme, son respect aussi, et en même temps, il y avait une forme de timidité chez elle, comme si elle ne pensait pas pouvoir – ou devoir ? – y céder… et en même temps, si elle était là, comme ça, elle devait bien vouloir. Et j’imaginais fort bien le débat intérieur, entre l’angelotte qui s’outrait et la succube qui se léchait les babines… et elle, à genoux face à moi, elle se laissait aller un peu, elle semblait prête à faire, disant qu’elle n’avait pas honte.

« Et pourtant…. Vous semblez avoir du mal à suivre les préceptes de votre Seigneur, est-ce que je me trompe ? »

Je lui souris, doux, alors que mes mains jouaient avec sa lourde poitrine, avec ses pis délicieux. J’aimais le regard qu’elle avait pour mon vit, le chibre sous ses yeux semblait occulter toute autre chose, même moi j’avais presque l’impression de ne plus exister. Même si elle gémissait quand je m’occupais de sa poitrine, elle me fit rire, sursautant au bruit, comme si elle se surprenait elle-même de gémir de la sorte ; moi, cela m’encourageait alors je redoublais d’attention, attendant qu’elle se décide à passer outre cette honte, ou cette gêne, pour prendre – enfin- en bouche.
Enfin, la lubrique angélique ouvrit la bouche, pour donner son nom, d’abord, avant de finalement accepter de saisir entre ses lèvres le gland, maintenant de ses doigts fins le sexe pour en faire son affaire ; elle avait les doigts moites et ce n’était pas la meilleure sensation du monde. Autant être honnête là-dessus – et froids aussi, mais elle allait se réchauffer, je n’en doutais pas.

« Blum ? Quel joli prénom. Merci Sœur Blum, de votre dévotion… »

Contrairement à celle de ses doigts, la moiteur de sa bouche était délicieuse. Je la laissais faire comme elle pensait devoir, déformant d’abord sa joue à plusieurs reprises, tenant toujours deux bons tiers hors de sa bouche. Enfin, elle dépassa la moitié pour commencer de lents vas et viens, pendant que je continuais à masser sa poitrine. J’y mettais cependant un peu plus de vigueur, quand elle commençait à aspirer mon sexe et aller et venir dessus.

« Hooo, c’est bon ma sœur…. Vous sucez bien… »

Mais ça, elle le savait. En avait-elle l’habitude ? Ce serait surprenant et en même temps pas du tout…
Je laissais tranquilles ses pis, je la laissais juste
Je venais cependant doucement lâcher un sein pour saisir une de ses mains, avec douceur, et la décaler, lui empoignant les cheveux, mais je ne la forçais pas à prendre en entier. Elle savait apparemment faire, mais je doutais de sa capacité à endurer un chibre jusqu’au fond de la gorge. Chaque chose en son temps. D’ailleurs, j’exerçais une légère traction, pour en douceur, la faire cesser, laissant ses lèvres pulpeuses reliées par un filet de salive à mon sexe que je venais doucement glisser le long de son nez, mes bourses contre son menton, un instant. Comme pour lui offrir toute la mesure de ce qu’elle prenait en bouche.

« Alors, sœur Blum, que pensez-vous de cela ? Etes vous défaites de votre gêne ? »

Je cessais pour lui tapoter la joue avec, nonchalamment, dans ce qui était une biflais assez douce, en lui demandant.

« Etes-vous une pratiquante assidue ? En tout cas il est vrai, la bouche est gracieuse et les pis son délicieux. Et « pis » vous va mieux que « seins » ou « poitrine », n’est-ce pas ? Dans ce cas, gueule vaut peut-être mieux que bouche… »

Le ton était clairement celui de la réflexion. Je l’avais lâchée pour qu’elle fasse à son aise, mais je doutais de la laisser reprendre sereinement sa fellation sans avoir eu de réponse sur le sujet.

« Vous êtes si belle, si angélique…. J’imagine votre visage d’ange, oint par la sainte semence... »
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 17:31:38 »
Madame Blum restait en position de prière, ses mains jointes, son regard fixé sur ce dard qui déformait le pantalon de l'homme. À travers le tissu, elle le voyait clairement, gonflé, prêt à jaillir, menaçant, presque vibrant de désir. Son visage, toujours rouge de honte, trahissait néanmoins un malaise profond, malgré ce que son corps semblait crier. Des tétines gonflées, dures, comme figées dans une attente silencieuse. Ses cuisses se frottaient contre le sol avec une insistance nouvelle, comme animées d'une urgence que même le silence ne pouvait contenir.

Je... je n'ai pas honte... je n'ai pas honte des saintes écritures… murmura-t-elle, la voix tremblante, mais affirmée, une lutte invisible dans ses mots, entre conviction et désir.

Mais elle avait honte, une honte qui la paralysait. Comme lorsque, plus tôt, elle avait fermé précipitamment le livre, incapable de lire les prochains versets. Son corps tout entier tremblait sous le poids de cette honte, elle ne sentait presque plus certaines parties d'elle-même, comme si elles s'étaient évaporées. Elle se surprit pourtant à lever les yeux, juste à temps pour voir l'homme penché au-dessus d'elle, ses mains s'attardant sur l'un de ses seins. Il le malaxait, amusé, jouant avec comme s'il n'y avait aucune frontière à franchir. À chaque pression, un petit gémissement résonnait dans le silence, et elle sursautait, haletant, un souffle entrecoupé, difficile à maîtriser.

Avec détermination, l'homme ouvrit le bouton de son pantalon d'une main agile pour dévoiler son sexe, dans le but de lui faire respecter les versets qu'elle avait prononcés. Libre, tel un ressort bien trop compresé surgit au visage de la nonne, la lubricité marquait son visage angélique d'une claque sur le nez et les lèvres. Une danse envoûtante était exécutée par le serpent à un œil devant le nez de la honteuse. Elle louchait en le fixant, hypnotisée par ce dard qui se mouvait sous la pression que le sang exerçait. Elle se raclait la gorge, elle était incapable d'avaler sa salive.

Je… je suis... sœur Blum...
 
Elle parla d'une voix à peine audible, tant sa gorge était compressée par le stress. La situation la dépassait : ses mains étaient moites, et chaque battement de son cœur résonnait dans sa poitrine comme un tambour affolé. Elle sentait une boule d'angoisse se former dans son ventre, une appréhension croissante face à ce qui allait suivre. Les pensées se bousculaient dans sa tête, mais aucune n'arrivait à se poser avec clarté. Elle avait l'impression que chaque mot prononcé pourrait la condamner davantage, mais pourtant, elle ne pouvait reculer.

Son visage de poupée était à quelques centimètres du sexe tendu, c'était sa bouche accueillante qui allait s'en occuper en premier car ses pis étaient déjà pris par les mains de l'homme. Ses tétines étaient raides et ses mamelons bien gonflés entre les doigts provocateurs de l'homme.  Elle ferma les yeux un moment, espérant échapper à cette pression. Mais chaque souffle semblait lui coûter plus cher que le précédent, chaque inspiration plus difficile. Elle se sentait à la fois fragile et perdue, avec ce poids étrange sur ses épaules, comme si le monde entier pesait sur elle. Et malgré tous ses efforts, rien n’apaisait ce tumulte.

Au pied du mur, ou plutôt de l'homme, elle se décida à ouvrir sa petite bouche, ses lèvres se décollaient pour faire entrer le gland brûlant de l'homme. Elle le déposa sur sa langue avant de refermer sa bouche autour, ses lèvres pinçant ce gros dard qu'elle faisait glisser plus profondément à l'aide de ses mains. Des petits doigts fins seraient la base de ce pilier s'appuyant sur ses bourses gonflées. Le gland vient buter contre sa joue plusieurs fois, la déformant pour créer une bosse sur le côté de son visage, avant de trouver le passage pour aller plus loin afin de pouvoir commencer des mouvements de pompe.

Elle leva les yeux, regardant l'homme pendant qu'elle avait son sexe dans la bouche, se sentant soudainement si petite, si fragile. Une vague de vulnérabilité la submergea, comme si elle était démunie face à la force tranquille qu'il dégageait. Chaque fibre de son être semblait vibrer, incapable de lutter contre la tension croissante qui pesait entre ses cuisses.
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Ahro le dimanche 15 décembre 2024, 15:22:22 »
Elle voulait décidement garder ses vêtements. Elle semblait un peu tétue au vu de la situation. Mais elle refusait d’ouvrir les yeux pour constater les dégâts sur ses vêtements qui ne cachaient plus rien et qui excitait inévitablement le renard.

-Vous êtes pas mouillé … mais trempé !

Il fallait bien le lui faire comprendre non ? Elle essayait de sortir de l’eau pour peut-être se mettre à l’aise ? Du moins il espérait ! Car elle ne semblait pas du tout s’en sortir. Les vêtements devaient coller de façon à ne plus pouvoir se mouver correctement. Mais elle devait regarder ou elle allait, ce serait plus pratique !

-Vous avez droit de me regarder … car vous montrez tout aussi ! Alors ouvrez les yeux.

Mais elle continuait de parler d’eau courante. Il avait aucune idée de ce que c’était. Il ne venait pas de ce monde et pour lui, la nature était de qu’il y avait de plus sain. Les humains avaient parfois une drole de façon de s’exprimer.

-Je ne vois pas de quoi vous parlez avec…votre eau courante.

Mais voila qu’elle l’invitait alors pour un bain chaud. Il laissait ses oreilles de renard bouger sur sa tête tout en s’imaginant la chose. Les sources chaudes étaient agréables, c’est vrai. Mais l’eau chauffée par du bois pouvait aussi avoir ses bienfaits ! Il penchait la tête alors, curieux, et il sourit doucement. Elle voulait aussi lui offrir le couchette et d’autres choses … tellement que ça devenait quand même un peu bizarre … était-ce un piège ?

-C’est agréable, mais c’est aussi une question d’habitude. Mais … pourquoi me proposer tout ça ? … Ca me parait louche quand même … On dirait un piège pour me revendre ensuite.

Elle revint alors mais trébuchait à nouveau. Cette fois, elle se retrouvait dans une situation plutôt délicate. Elle avait sa verge et ses bourses en gros plan ! Il clignait des yeux en baissant le regard vers elle. Comment pouvait-on être si maladroit ? Il soupirait un peu avant de se baisser. Pas pour l’aider ! Mais pour commencer à tirer sur les vêtements de la demoiselle afin de la dévêtir, qu’elle puisse déjà se sentir un peu plus à l’aise dans cette eau ! Il n’y avait rien de plus désagréable que le tissu qui collait.

-Allez … laissez vous faire … Vous tomberez moins après je suis sur !

La faute des galets ? Il ne prenait pas ce détail en compte. Alors qu’il arrivait lentement à remonter le tissu pour le retirer, ses bourses et sa verge se plaquaient parfois sur le visage de la jeune femme … en tirant la robe, il faisait parfois remonter sa poitrine … et il avait peut-être fait frotter le tissu contre ses lèvres intimes …
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Centre-ville de Seikusu / Re : How to submit a queen ? [ft. Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le dimanche 15 décembre 2024, 15:22:12 »
Elle ne se laisse pas de le regarder de loin en large, c’était vraiment excitant de savoir qu’elle fera peut-être partie des privilégiés qui pourront se retrouver avec sa grosse bite dans chacun de ses trous, elle le regarde faire, il est très calculateur, il sait ce qu’il fait et surtout, il joue deux concerts avec ses nerfs. Tenshi Ce mordit la lèvre quand il la voit tourner autour d’elle, comme un loup affamé devant une brebis bien trop. Gucci. Bien évidemment, il frémit quand il passe sa main sur son gros cul, et qu’il lui met une claque monumentale pour faire vibrer cette courbe délicieuse, elle peut s’empêcher de se cambrer et de lâcher un gémissement suave avant de poser ses mains devant la barre de développer couché pour se pencher plus Jambes tendues

- haaaan… je suis ici à votre entière disposition et accéder aux moindres de vos caprices…

Elle se mordit de nouveau la lèvre et met bien en évidence de nouveau son cul et sa chatte qui commence à s’humidifier à cause de la claque, qui montre qu’elle avait la sensibilité bien plus exacerbée qu’une actrice porno. Elle se dérange doucement comme pour remuer une friandise, et elle vient légèrement tirer sur son legging pour faire rentrer le tissu entre les lèvres de sa chatte, qu’il puisse bien admirer à quel point elle était moulée

- vous n’avez qu’à exiger et je m’exécuter jamais comme bon vous semble

Dans cette position, sa grosse poitrine était sur le point de s’échapper de son haut de SPORT. Elle vient finalement s’asseoir à califourchon sur la banquette de l’équipement sportif, en écartant bien ses jambes et en appuyant ses mains dessus pour comprimer ses gros seins, et continuer à se cambrer, en se frottant doucement dessus, les lèvres pulpeuses entrouvertes en tournant la tête pour le regarder par-dessus son épaule
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Hayao Tachibana le dimanche 15 décembre 2024, 14:51:57 »
Elle était clairement gênée par la situation. Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait, et elle ne pouvait pas dire qu’elle ne le faisait pas par choix. Soyons clairs : elle pouvait nier tant qu’elle voulait. C’était son rêve, le livre qu’elle avait rêvé. Et si je pouvais pousser le vice, je ne pouvais pas le créer de nulle part. donc elle ressentait et elle voulait ça. Forcément ; et moi je ne faisais qu’entrer dans son jeu. Un jeu dont je percevais les règles à peu près. Je connaissais ce genre de jeu si commun.
Et maintient qu’elle avait parlé, il était temps de passer au degré de jeu supérieur. Au niveau suivant. C’était une partie du rêve où je devais avoir une part active.
Elle remarqua enfin les vitraux, et je ne sus dire si elle en blêmissait ou en rougissait. Elle en soupirait ; des soupirs lourds et voluptueux. Elle en avait envie, n’est-ce pas ? De mettre en application, d’imiter les vitraux….
 Vitraux qui représentaient, aurai-je parié, tous les fantasmes qu’elle avait eus, personne par personne. Cela en faisait une jolie quantité. ? mais toujours était-elle, dans ces représentations, au cœur de l’attention, d’une manière provocante. D’une manière obscène pour la morale commune.
Je ne compris pas exactement ce qu’elle voulait dire, concernant ses seins. Ils disaient. Qui étaient ces « ils », je ne savais pas, et entre nous, dans l’immédiat je m’en fichais, même si je m’en fis une petite idée avec la danse des vitraux, les actes qui prenaient vie.
Il n’y avait aucun acte sage, mais la majeure partie des vitraux ne la montraient pas dans des actes trop rudes, ou trop violent. Méconnaissance de sa part, c’était à peu près sûr. Qu’à cela ne tienne…
Toujours était-il qu’elle avait un verset à expliquer, et ce faisant, elle tant d’esquiver, mais qu’avait-elle esquivé jusque-là ? Elle était désormais seins nus, face à moi, et je pariais que j’aurai pu empoigner sa poitrine à pleine main qu’elle n’aurait pas cherché à se débattre j’aurai pu lui donner l’impression qu’elle arrivait à s’en sortir. Avec une telle excuse, mais pour le reste, eh bien apparemment son propre rêve la poussait en avant : le livre s’échappa, révélant le texte, et la gravure à côté….

« Une image en effet… »

Je me moquais un peu d’elle, mais elle sembla prendre ça plus quez sérieusement parce qu’elle tombait à genoux devant moi, en prière, mais une position de prière dont, les seins exposés, les fesses mises en avant par une posture bien moins innocente qu’on aurait pu le croire, je la regardais, et je fis un signe de tête, ramassant le livre, alors qu’elle restait en position de prière. Je relisais les versets et je ri doucement. Le dernier verset était « amusant ». Plus que les autres. Elle n’avait pas voulu le finir et je comprenais pourquoi. J’avais un peu pitié d’elle, et je décidais d’en faire abstraction pour le moment.
Il y avait plus important ; elle était venue baiser mon entrejambe presque pieusement au travers du pantalon. Je venais doucement glisser mes doigts dans ses cheveux sombres, pour les écarter sur le côté.

« Ma sœur, avez-vous honte de suivre les saintes écritures ? »

Cheveux écartés, je me penchais un peu pour saisir son sein, frottant doucement le mamelon durci entre le pouce et l’index. Puis je lui donnais une petite tape, un peu joueur., pas de quoi faire mal.

« Respectez vos vœux de servir Dieu, ma sœur… »

Il suffisait de cela : j’ouvrais mon pantalon, pour laisser sortir mon sexe. Un sexe déjà durci, qui vint presque lui gifler le nez, tant nous étions proches.

« Ne vous privez pas de montrer votre dévotion la plus entière. Car le salut ne passe que par la dévotion. N’est-ce pas ? »

Je posais ma main sur l’autre sein et je les pelotais doucement, sans rudesse. Je les cajolais, aurait-on pu dire.

« Vous ne m’avez pas dit votre nom, d’ailleurs, quel est-il ? »
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 14:17:05 »
Blum s’approcha lentement du bord de la rivière, déposant avec soin son sac et retirant ses chaussures. Le contact direct avec la terre et l’eau lui procurait un certain apaisement, un lien plus fort avec la nature qu’elle venait chercher en ces lieux. Pourtant, elle restait concentrée sur l’homme dans l’eau, attentive à ses paroles. Elle ne comprenait pas tout à fait pourquoi il lui suggérait de retirer ses vêtements. À ses yeux, être mouillée n’était pas un problème. Elle ignorait encore la transparence que l’eau avait imposée à sa robe, révélant bien plus de sa silhouette que ce qu’elle aurait souhaité. Mais dans son innocence, elle préféra répondre avec légèreté.

- Je vais garder mes vêtements, ne vous inquiétez pas. Ce n’est pas très grave d’être un peu mouillée.

« Un peu mouillée » ? Blum n’avait pas réalisé à quel point sa tenue était devenue compromise. Si elle sentait la fraîcheur sur ses jambes et son ventre, elle n’avait pas pris la peine de baisser les yeux. Les plis du tissu, saturés d’eau, collaient à sa peau, dessinant sans pudeur la courbe de sa poitrine généreuse et de ses hanches. À chaque mouvement, le léger froissement de sa robe soulignait davantage son état, offrant un spectacle sans équivoque à l’homme dans l’eau. Elle, pourtant, demeurait dans son ignorance, concentrée sur sa volonté de ne pas troubler celui qu’elle considérait comme un simple étranger.

- Et puis, je garde ma main pour vous. Je ne voudrais pas vous gêner pendant votre bain.

Blum savait que l’eau dans cette partie de la rivière n’était pas profonde. Si elle le voulait, elle aurait pu deviner à quoi ressemblait cet homme dans son entièreté, ou même satisfaire une certaine curiosité. Mais elle s’efforça de détourner ces pensées. Après tout, n’était-elle pas venue ici pour se reconnecter avec le divin ? Laisser ces instincts terrestres prendre le dessus était la dernière chose qu’elle souhaitait. Alors, elle ferma les yeux un peu plus fort, serrant sa main devant eux, comme pour s’interdire toute tentation.

- Vous n’avez pas l’eau courante ?

Cette simple question éveilla en elle une multitude de pensées. Comment pouvait-on encore vivre sans l’eau courante ? Blum réfléchit à tous les villages voisins. Elle savait que certains d’entre eux vivaient dans des conditions modestes, mais l’idée qu’un homme puisse manquer d’un confort aussi basique la toucha profondément. Elle se figura qu’il devait venir d’un bidonville ou d’une communauté reculée, où l’eau chaude et les douches modernes étaient des luxes inaccessibles. Elle ne pouvait s’empêcher d’éprouver de la compassion, même si elle ne savait pas encore comment lui venir en aide.

- Si vous voulez… je pourrais vous inviter à venir prendre un bain chaud. Cela serait sûrement plus agréable pour vous.

Ses mots avaient un écho sincère et chaleureux. Elle décida de s’approcher davantage, immergeant ses pieds dans l’eau fraîche et se rapprochant du bord où il se trouvait. Elle relâcha un peu sa garde, retirant doucement sa main de ses yeux, bien qu’elle continua à les garder fermés. Elle voulait offrir son aide sans risquer de le mettre mal à l’aise.

- Je peux aussi vous offrir un repas, une couchette, des vêtements si vous en avez besoin… ce que vous désirez.

Blum fouillait dans son esprit, cherchant à deviner ce dont un homme en difficulté pourrait avoir le plus besoin. Un toit ? De la nourriture ? Des vêtements ? Elle était tellement absorbée dans ses pensées qu’elle oublia la situation dans laquelle elle se trouvait. Ce ne fut qu’en ouvrant les yeux, dans un éclair de bonne intention, qu’elle fut frappée par une vision troublante. Devant elle, la silhouette nue de l’homme, et plus précisément la fière érection qui se dressait. Elle rougit violemment, le cœur battant à tout rompre.

- Pardonnez-moi… je n’ai rien vu !

Ses joues en feu, elle plaça immédiatement ses mains sur son visage, comme si cela pouvait effacer ce qu’elle venait de voir. Mais sa maladresse la rattrapa encore une fois. En reculant précipitamment pour retrouver un semblant de contenance, son pied glissa sur une pierre. Elle poussa un petit cri et perdit l’équilibre, tombant en arrière avec éclat dans la rivière.

Le choc de l’eau froide la surprit, mais elle ne tarda pas à réaliser la situation embarrassante dans laquelle elle se trouvait. Étendue de tout son long dans l’eau, sa robe trempée et plaquée contre son corps n’avait plus rien de pudique. Ses cheveux flottaient autour d’elle comme une auréole, encadrant son visage rougi. Mais c’est en levant les yeux qu’elle fut saisie par une vision encore plus directe : les bourses et la verge de l’homme juste au-dessus d’elle. Le hoquet de surprise qu’elle poussa fut involontaire, tout comme l’impossibilité de détourner son regard.

- Tout va bien… rien de cassé…

Sa voix tremblait alors qu’elle cherchait à se redresser. Mais ses mains glissèrent sur les galets lisses sous elle, la laissant toujours dans cette position vulnérable. Regardant toujours cette masculinité qui avait éveillé d'un coup ses instincts.
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Petite pause pour les fêtes
« Dernier message par Sennefer Arsinos le dimanche 15 décembre 2024, 14:12:50 »
Profites bien des fêtes :3
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One Shot / Re : Life Will Change. [ft. Rubis]
« Dernier message par Astral Bonds le dimanche 15 décembre 2024, 14:10:44 »

Rika & Nora

L’espace d’un instant, ses mots résonnèrent en moi plus que je ne voulais l’admettre. Dix ans. Si jeune. Enfermée dans cet engrenage qu’elle semblait regretter tout autant que moi. Je la regardais, cherchant dans son regard un indice, une réponse, peut-être un écho à mes propres doutes. À peine avais-je posé cette question que je m’en voulais presque : pourquoi l’inciter à ressasser tout ça alors que moi-même, je fuyais ce genre de réflexion chaque jour ? Et pourtant, je ne pouvais pas m’empêcher d’écouter, captivé par cette sincérité fragile qu’elle laissait transparaître. Quand elle parla de ses envies d’une vie normale, je sentis une pointe d’amertume me traverser. La normalité... Combien de fois avais-je moi aussi rêvé de tout plaquer, de me fondre dans l’anonymat d’une foule, loin des responsabilités, des attentes, des regards rivés sur moi comme si j’étais une figure intouchable ? Et pourtant, je savais bien que cette échappatoire n’était qu’un fantasme, une illusion à laquelle s’accrochent ceux qui, comme nous, sont enchaînés par leur rôle, leur passé. Son aveu d’incertitude me troubla plus que je ne voulais l’admettre. La voir douter, à voix basse, presque résignée... C’était comme me regarder dans un miroir.

Je me redressai légèrement, passant une main dans mes cheveux, le regard baissé un instant pour rassembler mes pensées. Comment lui répondre ? Pouvais-je vraiment être honnête, moi qui passais mon temps à cacher mes vérités ? Finalement, mes mots sortirent presque malgré moi, plus doux que je ne l’aurais cru. « Je comprends... Ce que tu dis, ce que tu ressens. Ça paraît tellement simple vu de l’extérieur, hein ? Mais on est là, coincés, à jouer des rôles qu’on n’a pas vraiment choisis. Et à se demander s’il existe une sortie de secours. » Je marquai une pause, croisant enfin son regard. Ses yeux, si gris, si profonds, semblaient presque chercher une validation ou peut-être une réponse que je n’étais pas sûr de pouvoir lui donner. J’hésitai un instant avant d’ajouter, plus doucement :

« Mais... parfois, même si tout ça paraît impossible, peut-être qu’on peut s’accorder un moment. Juste un... pour se rappeler qu’on n’est pas que ça. »

Mes propres mots me surprirent. Était-ce pour elle ou pour moi que je disais ça ? Je n’en savais rien. Mais il y avait quelque chose chez Rika, une étincelle dans sa façon de parler, un mélange d’amertume et d’espoir qui faisait écho à mes propres luttes. Peut-être, pensais-je, que passer un peu de temps avec elle ce soir ne serait pas une erreur. Peut-être que je pourrais baisser un peu ma garde, juste le temps d’une conversation, et oublier, même brièvement, qui nous étions vraiment. Voyant l’ombre de mélancolie flotter dans son regard, je ressentis ce besoin étrange de dissiper un peu cette lourdeur. Sans trop réfléchir, je me redressai et laissai quelques billets sur la table.

« Et si on marchait un peu ? L’air frais aide à réfléchir, et je connais un parc tranquille pas très loin. Qu’est-ce que t’en dis ? »

Je lui lançai un sourire discret en attrapant ma veste, prêt à sortir. Si elle acceptait, cette nuit pourrait devenir autre chose qu’un simple échange de regrets.


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Centre-ville de Seikusu / Re : How to submit a queen ? [ft. Tenshi]
« Dernier message par Astral Bonds le dimanche 15 décembre 2024, 13:53:25 »

Roy & Tenshi

Lorsqu’elle entre dans la salle, je sais que c’est elle. Je ne lève pas immédiatement les yeux, me contentant d’écouter ses pas résonner sur le sol. Il y a une certaine lenteur dans sa démarche, une hésitation calculée. Elle sait ce qu’elle fait, et ça me fascine déjà. Elle dépose son sac, un geste anodin, mais je remarque tout. Ses mouvements sont un spectacle, une performance qu’elle m’offre sans même que je le demande. Chaque seconde nourrit mon anticipation.

Elle s’approche, et je prends enfin le temps de la regarder. Lentement, délibérément. Ses cheveux flamboyants semblent capter toute la lumière de la pièce, ses courbes parfaitement dessinées par ce tissu qu’elle a choisi avec soin. Tout chez elle crie qu’elle est prête à se donner, à prouver qu’elle peut être plus qu’une simple distraction passagère. Elle est magnifique, c’est indéniable, mais ce n’est pas seulement sa beauté qui m’intéresse. C’est la façon dont elle essaie de me plaire, sa soumission silencieuse qui m’intrigue et m’attire. Elle parle, ses mots teintés d’admiration, mais ce n’est pas ce qu’elle dit qui m’importe. Non, c’est ce qu’elle exprime sans mots : la légère cambrure de son dos, la façon dont elle écarte subtilement les jambes. Elle veut que je la remarque, que je la désire, que je la valide. Et je le fais, bien plus que je ne le laisse paraître.

« Tenshi. »

Elle se cambre davantage, son souffle presque audible dans ce silence. Une part de moi admire sa détermination, cette volonté de se montrer à la hauteur. Une autre part, plus sombre, jubile à l’idée de tester ces limites, de voir jusqu’où elle ira pour me plaire. « Tu es venue prête à prouver ta valeur, je vois. » Je tends la main, lentement, mes doigts effleurant la courbe de son menton, avant de reculer, la laissant sur sa faim. Le contrôle est tout. Elle doit comprendre que ce moment, cet espace, m’appartient entièrement. Comme elle m’appartiendra bientôt.

Je me place derrière elle, mon regard dévorant chaque courbe offerte par ce legging si outrageusement tendu qu'il semble supplier de céder, et sans la moindre hésitation, je laisse ma main glisser sur la courbure parfaite de son cul, le caressant d'abord doucement pour savourer la texture de ce tissu humide collé à sa peau, avant de presser mes doigts fermement, explorant chaque contour avec une avidité à peine dissimulée, le plaisir montant en moi alors que je sens son corps frémir sous mon toucher, soumis et vibrant d'une attente que je compte bien faire durer jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une marionnette à ma merci.

« Putain ce cul... »

Sans prévenir, ma main s'abat sur son cul avec une force calculée, le claquement net résonnant dans la pièce vide, tandis que la chair sous le tissu tremble légèrement sous l’impact. Je laisse mes doigts s’attarder, savourant la chaleur qui monte là où j’ai frappé, un sourire satisfait sur les lèvres en voyant son corps réagir instinctivement.
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