51
Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 19:09:24 »Pourquoi pourrait-elle être jugée louche ? Après tout, elle ne faisait que suivre son devoir. Blum était une femme d’église, et elle considérait comme essentiel d’aider son prochain, surtout lorsqu’il se trouvait dans le besoin. Et cet homme semblait en avoir bien besoin : il devait s’immerger dans une rivière glacée pour sa toilette et parcourir de longues distances pour aller chercher de l’eau pour son village. C’était une vie de privations qu’elle ne pouvait ignorer. Cependant, avant qu’elle ait eu le temps de lui tendre réellement la main ou d’engager une discussion sincère, le destin en avait décidé autrement. Un instant d’inattention, et elle avait glissé sur les pierres humides, se retrouvant maladroitement projetée dans l’eau froide.
Luttant pour se redresser, Blum faisait de son mieux pour retrouver son équilibre, mais chaque geste la ramenait presque aussitôt au bord de la chute. Et alors que son regard cherchait instinctivement un point d’appui, elle ne pouvait pas échapper à ce sexe dressé, il lui était impossible à ignorer. Son visage s’empourpra d’embarras de plus en plus, et elle sentit son cœur battre plus fort. Ce qu’elle voulait éviter à tout prix, elle en était maintenant témoin. Ce balancement presque hypnotique devant elle la plongeait dans un profond malaise.
- Je vais m’en sortir seule…
Sa voix, à peine plus qu’un murmure, trahissait sa confusion. Pourtant, l’homme, visiblement plus à l’aise dans cette situation, semblait décidé à intervenir. Il observait sa robe trempée, qui collait à sa silhouette, gênant ses mouvements. À ses yeux, cela semblait évident : ces vêtements détrempés la ralentissaient et risquaient de l’exposer davantage au froid mordant et aux chutes. S’il retirait cette entrave, elle pourrait bouger plus librement, du moins c’est ce qu’il semblait penser. Blum tenta à nouveau de protester, assurant que tout irait bien, mais ses mots paraissaient bien faibles face à sa détermination.
L'homme tira sur sa robe, les plis caressaient sa peau et filaient entre les pétales de sa fleur fragile, lui arrachant des hoquets de surprise. Pour avoir une meilleure position, son sexe et ses bourses se collaient contre le visage de la nonne. Blum ne savait plus où se mettre, elle avait si bien cherché à l'éviter que c'était maintenant sous son nez, collé à ses lèvres que ce sexe se trouvait, que le moindre hoquet de sa par lui faisait goûter les effluves de l'homme. Les mains de celui-ci passaient sur le corps de la nonne, lui attrapant parfois ses pis rebondis et avec de la détermination, la robe finit enfin dans la rivière.
Et Blum apparut dans toute sa simplicité, semblable à une œuvre d’art échappée d’un atelier divin. Sa peau, d’une blancheur nacrée, semblait capturer la lumière diffuse des lieux, la renvoyant avec une douceur presque irréelle. Chaque courbe de son corps était une ode à l’harmonie, un équilibre parfait entre délicatesse, vigueur et lubricité.
Ses épaules frêles mais droites témoignaient d’une force intérieure insoupçonnée, tandis que son dos, légèrement cambré, dessinait une ligne gracieuse qui plongeait vers une taille fine. Ses seins, à la fois fermes et pleins, semblaient avoir été sculptés pour incarner l’idéal féminin, leur galbe parfait rehaussé par la fraîcheur ambiante. Ses hanches, douces et subtilement marquées, promettaient une féminité épanouie, et ses longues jambes, fuselées comme celles d’une statue antique, complétaient ce tableau de pureté et de sensualité.
Mais au-delà de son apparence physique, ce qui frappait était l’expression de son visage : un mélange troublant d’innocence et de pudeur. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, trahissaient une respiration hachée par la confusion, et ses joues rosées ajoutaient une touche de vie à cette vision presque céleste.
Vulnérable, elle demeurait immobile dans la rivière, tremblante sous le poids de sa pudeur. Le rouge de la honte marquait ses joues jusqu'à ses oreilles, une chaleur envahissante contrastant avec la fraîcheur de l'eau qui caressait sa peau nue. Elle ne cherchait pas à se couvrir tant sa surprise la paralysait. Elle restait presque offerte à l'homme au-dessus d'elle, elle était tellement sous le choc émotionnellement qu'elle n'avait pas remarqué les oreilles animales.
Ses yeux, écarquillés, ne suivirent même pas la robe qui dérivait doucement plus loin dans le courant, elle fixait encore ce dard épais et long qui dansait au-dessus de son visage. Elle ouvrit la bouche pour parler, pour protester, mais aucun mot ne lui vint, comme si elle avait envie de regarder encore ce sexe qu'elle se mit à désirer laissant ses hormones s'affoler.
Luttant pour se redresser, Blum faisait de son mieux pour retrouver son équilibre, mais chaque geste la ramenait presque aussitôt au bord de la chute. Et alors que son regard cherchait instinctivement un point d’appui, elle ne pouvait pas échapper à ce sexe dressé, il lui était impossible à ignorer. Son visage s’empourpra d’embarras de plus en plus, et elle sentit son cœur battre plus fort. Ce qu’elle voulait éviter à tout prix, elle en était maintenant témoin. Ce balancement presque hypnotique devant elle la plongeait dans un profond malaise.
- Je vais m’en sortir seule…
Sa voix, à peine plus qu’un murmure, trahissait sa confusion. Pourtant, l’homme, visiblement plus à l’aise dans cette situation, semblait décidé à intervenir. Il observait sa robe trempée, qui collait à sa silhouette, gênant ses mouvements. À ses yeux, cela semblait évident : ces vêtements détrempés la ralentissaient et risquaient de l’exposer davantage au froid mordant et aux chutes. S’il retirait cette entrave, elle pourrait bouger plus librement, du moins c’est ce qu’il semblait penser. Blum tenta à nouveau de protester, assurant que tout irait bien, mais ses mots paraissaient bien faibles face à sa détermination.
L'homme tira sur sa robe, les plis caressaient sa peau et filaient entre les pétales de sa fleur fragile, lui arrachant des hoquets de surprise. Pour avoir une meilleure position, son sexe et ses bourses se collaient contre le visage de la nonne. Blum ne savait plus où se mettre, elle avait si bien cherché à l'éviter que c'était maintenant sous son nez, collé à ses lèvres que ce sexe se trouvait, que le moindre hoquet de sa par lui faisait goûter les effluves de l'homme. Les mains de celui-ci passaient sur le corps de la nonne, lui attrapant parfois ses pis rebondis et avec de la détermination, la robe finit enfin dans la rivière.
Et Blum apparut dans toute sa simplicité, semblable à une œuvre d’art échappée d’un atelier divin. Sa peau, d’une blancheur nacrée, semblait capturer la lumière diffuse des lieux, la renvoyant avec une douceur presque irréelle. Chaque courbe de son corps était une ode à l’harmonie, un équilibre parfait entre délicatesse, vigueur et lubricité.
Ses épaules frêles mais droites témoignaient d’une force intérieure insoupçonnée, tandis que son dos, légèrement cambré, dessinait une ligne gracieuse qui plongeait vers une taille fine. Ses seins, à la fois fermes et pleins, semblaient avoir été sculptés pour incarner l’idéal féminin, leur galbe parfait rehaussé par la fraîcheur ambiante. Ses hanches, douces et subtilement marquées, promettaient une féminité épanouie, et ses longues jambes, fuselées comme celles d’une statue antique, complétaient ce tableau de pureté et de sensualité.
Mais au-delà de son apparence physique, ce qui frappait était l’expression de son visage : un mélange troublant d’innocence et de pudeur. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, trahissaient une respiration hachée par la confusion, et ses joues rosées ajoutaient une touche de vie à cette vision presque céleste.
Vulnérable, elle demeurait immobile dans la rivière, tremblante sous le poids de sa pudeur. Le rouge de la honte marquait ses joues jusqu'à ses oreilles, une chaleur envahissante contrastant avec la fraîcheur de l'eau qui caressait sa peau nue. Elle ne cherchait pas à se couvrir tant sa surprise la paralysait. Elle restait presque offerte à l'homme au-dessus d'elle, elle était tellement sous le choc émotionnellement qu'elle n'avait pas remarqué les oreilles animales.
Ses yeux, écarquillés, ne suivirent même pas la robe qui dérivait doucement plus loin dans le courant, elle fixait encore ce dard épais et long qui dansait au-dessus de son visage. Elle ouvrit la bouche pour parler, pour protester, mais aucun mot ne lui vint, comme si elle avait envie de regarder encore ce sexe qu'elle se mit à désirer laissant ses hormones s'affoler.