Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ville-Etat de Nexus / Re : Retrouvaille à la saison des fleurs ~ [PV Otto Schultz]
« Dernier message par Margaliti le jeudi 17 avril 2025, 22:58:05 »
Quand elle l’entendit lui répondre à sa petite plaisanterie en riant à son tour, la petite rosette esquissa un sourire angélique, ravie de revoir cette jovialité sur le visage de celui qu’elle aimait, souhaitant pouvoir le voir aussi heureux chaque jour de son existence. Riant avec lui à ses mots en secouant la tête très amusée par sa surenchère, la demoiselle ne lâchait pas sa douce étreinte de la main du jeune homme, continuant de se caresser mutuellement tandis qu’elle rougissait légèrement, se perdant dans ses pensées ainsi que ses beaux yeux en le contemplant amoureusement.

Puis, elle fut ensuite sortie de sa contemplation ainsi que sa réflexion, entendant le jeune mercenaire appréhender le moment où sa compagnie viendra le questionner sur sa famille à elle, venant donc lui proposer son aide pour l’aider le moment venu. Mais quand elle l’entendit rire, elle se mit à cligner des yeux plusieurs fois dans un premier temps. Ensuite, elle se mit à rougir tandis que son cœur s'emballa de plus belle, sentant la main du beau brun se mouvoir et câliner le dos de la sienne, la faisant avoir une très légère chaire de poule sur la peau, adorant cela. Et sans parler du sourire qu’il avait au visage, la faisant littéralement fondre et tomber encore plus sous le charme, qu’elle en vint à regarder ses lèvres un moment avant d’avoir d’autres pensées, se demandant l’effet que ça devait faire de les embrasser.

Devenant un peu plus rouge à cette nouvelle pensée, Margaliti se mit à rire gênée en faisant mine de rien, essayant de penser à autre chose en venant se concentrer sur la conversation qu’elle avait avec son amoureux.

« Alors… Donc ta compagnie veut d’autres infos plus personnelles… Un peu comme les familles, quand elles veulent savoir si certains de leurs oiseaux peuvent aller parader auprès des autres familles, afin de voir si leurs petits peuvent faire leurs nids avec les leurs ?  »

Elle se mit à rire tendrement en disant cela, plaisantant sans vraiment plaisanter en présentant ainsi les choses, essayant de résumer la situation tout en se demandant curieuse si c’était bien cela ou pas du tout. D’ailleurs, elle avait pris l’exemple des oiseaux, en rebondissant sur ses propres mots, puis surtout, parce qu’elle adorait les oiseaux la petite demoiselle et aimait bien les métaphores autour.

Puis, venant à esquisser un doux sourire, sans retirer sa main de celle d’Otto, le laisant la caresser en rougissant tout en savourant ses caresses, Margaliti reprit ensuite la conversation, venant donc partager quelques infos sur sa fratrie pour aider son bien-aimé.

« Alors… Déjà, nous sommes 10 au total en comptant mes frères et mes sœurs. Ils sont tous plus âgés que moi, je suis donc la petite dernière de la famille comme ils disent… Mmmmh, quoi d'autre ? Tu les as tous rencontré, sauf l'aîné car il ne vit plus avec nous, il est parti s’engager dans les troupes armées il y a 5 ans… »

De son autre main de libre, la petite lapinette vint poser son doigt sur ses lèvres, tapotant son petit doigt contre ses lèvres en réfléchissant tout en hochant la tête, ne quittant pas des yeux le beau brun face à elle.

« Il s’appelle Félix et tout comme moi, il est pas… Humain… On est assez proche, pas seulement parce qu’on est des hybride mais… Parce-que c’est lui qui m’a trouvé quand j’étais petite du coup, il faisait toujours attention à moi… Il y a ensuite Léon, c’est le grand costaud qui fait 2m et qui fait toujours des blagues en se marrant tout le temps. Il y a Brian, qui est le plus petit des hommes de la famille, il a juste quelques centimètres de plus que moi et il est tout mince, il se fait souvent chambrer à cause de ça d’ailleurs… En plus il tire toujours la tronche, il râle tout le temps et n'est jamais content ! Scoot aussi, vous faites la même taille et il est plutôt discret contrairement aux autres, mais… Niveau taquinerie c’est lui le pire dans la famille… »

Faisant une pause pour soupirer en repensant à cela, la petite rosette secoua la tête à la négative rien que de songer à ce grand-frère qui n’était pas si inoffensif qu’il en avait l’air. Puis, soupirant de nouveau, elle reprit en riant en regardant Otto, ses petits doigts se serrant dans sa petite mimine tout en se faisant caresser.

« Tu as aussi les faux jumeaux, Lex et Lou. Ils aiment s’amuser et faire tourner les gens en bourriques, vu qu’ils sont très fins tous les deux, ils aiment bien s’habiller pareil, portant un jour des vêtements de femmes et un autre ceux d’hommes, s’amusant à rendre fou les autres en les faisant se poser des questions. Puis on a Zasriel, Esmeralda et Keresh, qui sont un vrai trio de commères pires que les vieilles femmes du village où on habite ! Elles sont tellement redoutables dans les ragots, que même les anciennes du village en ont les chocottes ! »

Dit-elle en levant un doigt en l’air de sa main de libre, tout en ayant une bouille des plus sérieuse en disant cela. Puis, venant reprendre en hochant la tête, comme se répondant à elle-même tout en réfléchissant.

« Mmmh… Zasriel et Keresh sont plus féminines en termes d’apparence alors qu’Esmeralda, elle est plus masculine niveau vêtement et elle a un certain amour pour les armes blanches aussi… Sinon… Pour les situations stables et financières, baaaah on est tous dans le commerce de notre père, donc ça va. Certains voudraient faire autre chose, comme Félix qui est parti dans l’armée et Scoot qui va bientôt partir pour devenir forgeron, du coup Esmeralda hésite à le rejoindre. Quoi d’autres… Beaux ou belles ? J’ai envie de dire évidemment mais je ne suis peut-être pas objective, ce sont mes frères et soeurs, je les aime et ils sont géniaux à mes yeux…  Célibataires ? Mmmmh… À part Lex et Lou qui ont quelqu’un, je crois que les autres non ils ont personne… Je sais que Léon, Keresh et Zasriel sortent souvent avec des gens, mais rien de sérieux… »

Se tapotant de nouveau la lèvre en levant les yeux au ciel, Margaliti faisait de son mieux pour donner un maximum d’informations sur ses grand-frères et grande-soeurs pour aider son bien-aimé pour son pot au feu interrogatoire. Puis, reportant ses jolies mirettes sur Otto, penchant doucement la tête avec une petite mine interrogative, elle vint demander d’une petite voix.

« Est-ce qu’il y a autre chose que tu veux savoir ? Qu’est-ce que j’aurais pu oublier d’important et qui te sera utile ? Ou que tu veux savoir tout simplement ? »
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One Shot / Re : [ UA - Karl&Rubis ] Un boulot pleins de surprises et d’inattendus ~
« Dernier message par Rubis Starling le jeudi 17 avril 2025, 21:42:18 »
Alors qu’elle faisait mine de bouder et d’être vexé, manifestant son mécontentement sur le peu d’heure de cours restantes à son goût, la jeune serveuse avait également fait part de son interrogation sur les prochains cours. Bien entendu, vu qu’elle zieutait toujours sur le côté, elle n’avait pu qu’entendre le rire du séduisant videur parvenir à ses oreilles, ne le voyant pas ni l’entendant se rapprocher d’elle, venant la faire doucement sautiller contre lui et avoir la chaire de poule en l’entendant lui chuchoter à l’oreille. Oui, elle avait été surprise et ne s’y était pas attendue, mais, elle avait surtout trouver cela des plus agréable comme sensation, ce qui la fit doucement rougir en soupirant d’extase quelques secondes, attrapant une délicieuse chaire de poule autant à cette proximité surprise qu’aux mots du beau brun.

C’est donc timidement qu’elle reporta son regard vers lui dans un premier temps, le temps de subir avec délice l’effet qu’il lui avait fait en faisant cela. Puis, réfléchissant quelques instants à ses mots, elle esquissa un sourire charmeur en le regardant de ses yeux pétillants de malice, le rouge descendant doucement de ses joues alors qu’elle s’amusa à onduler plus lentement sous lui, venant bien frotter son corps contre le sien et faisant glisser de haut en bas sa virilité dans sa féminité, s’amusant à lui jouer avec son corps tout en voulant lui faire que du bien en le torturant un petit peu.

« Mmmmh… Je m'inquiéterais plus pour vous cher professeur… Vu que j’ai cru comprendre que j’étais plus jeune que vous… Et que je suis en plein dans la fleur de l’âge, j’ai beaucoup d’énergie à revendre… Je sais pas si vous allez tenir la cadence avec une petite jeunette comme moi…  »

Est-ce qu’elle venait de le traiter de vieux ? Non, pas vraiment. Elle voulait juste le taquiner en lui disant qu’elle était pleine d’énergie vu qu’elle était toute jeune et que peut-être que lui, qui elle savait plus âgé (mais ne sachant pas exactement son âge), serait peut-être fatigué à cause de l’énergie qu’elle avait à revendre comme elle disait. Oui, elle voulait juste l’embêter un petit peu, voulant lui retourner ses mots au passage aussi, lui disant qu’on ne saurait pas comment il se sentira lui aussi à la fin de la soirée à devoir danser avec une telle chatounette.

Après cela, la conversation reprit, venant aborder le sujet de leur prochaine « salle de cours ». Karl vint énumérer quelque choix à Rubis, ce qui la fit réflexionner intensément avant de lui annoncer son choix. Bien entendu, elle n’avait pas pu s’empêcher de continuer à jouer de son corps sous et contre lui, venant même à pousser le vice en venant mordiller ses délicieuses lèvres dont elle était plus que addict. Mais, elle ne s’attendait pas à ce que Karl contre-attaque, le sentant la faire se cambrer tandis qu’il éloignait son bassin du sien, avant revenir d’un seul coup dans une puissance qui la fit tressaillir de tout son être en poussant la chansonnette en saccadée, des larmes revenant soudainement aux coins de ses yeux sous le plaisir immense et la surprise qu’il venait de lui offrir.

C’était tellement bon, ho oui, elle avait adoré ça et en aurait bien quémander encore, mais, la demoiselle écouta plutôt attentivement et sagement le bellâtre au-dessus d’elle, reprenant lentement et lourdement sa respiration après cette gourmandise qu’elle avait savourée. Puis, s’apprêtant à hocher de la tête, faute de pouvoir reprendre la parole alors qu’elle essayait de reprendre son souffle, Rubis se mit à écarquiller les yeux en sentant Karl la plaquait contre lui, le sentant se mouvoir très rapidement en basculant en arrière, les faisant revenir tous les deux sur le canapé. D’ailleurs, avec la vitesse et le choc, elle sentit son bas-ventre légèrement se mouvoir et atterrir avec force contre le sien quand ils tombèrent dans le canapé, la faisant lâcher un petit cri de plaisir de le sentir cogner au fond d’elle alors qu’elle avait bien sentie sa lame retrouvait toute sa virilité en elle, manquant de lui faire lever les yeux au ciel sous le bonheur que cela lui avait prodiguait. 

« Haaa… Haaa… O-o-oui… En… En effet, il… Il y a tant de po-positions de dan-danses possibles sur le canapé… »

Lâcha-t-elle d’une petite voix tremblante de plaisir et saccadée en respirant, ayant pris beaucoup de plaisir d’un coup à cause de lui deux fois d'affilée. Puis, déglutissant doucement, ses mains caressant tendrement son visage tout en le contemplant de ses prunelles écarlates, continuant de faire onduler son corps contre le sien qu’elle sentait roulait doucement contre et en elle, elle se mit à trembler d’appréhension. Ses tremblements s'intensifièrent en sentant la main de son professeur dans sa nuque, pouvant avoir le bonheur immense de le sentir l’attirer à lui pour l’embrasser avec passion, la faisant soupirer soulagée de retrouver ses lèvres en gémissant de bonheur. 

Puis, savourant ce délicieux merveilleux baiser des plus passionnés, tout en continuant d’onduler lentement son corps contre le sien, savourant les mouvements de sa peau contre la sienne mais aussi son membre caressant ses parois en elle, la jolie albinos se mit à accélérer un peu le mouvement, gourmande et envieuse. Et, tout en augmentant la cadence, venant frotter avec insistance son bas-ventre contre le sien, le réclamant encore et encore dans ses mouvements de danses que dans les sons plaintifs qui s’échappaient entre ses lèvres durant leur baiser, la demoiselle vint lui faire part d’une requête des plus délicieuses.

« Pro-professeur… Vous… Vous allez me mon-montrer toutes les façons de fai-faire sur le canapé, mmmh ? »
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Ville-Etat de Nexus / Re : Retrouvaille à la saison des fleurs ~ [PV Otto Schultz]
« Dernier message par Otto Schultz le jeudi 17 avril 2025, 21:17:13 »
Il aimait son rire, ce son qui sortait d'entre ses fines et magnifique levres, tel le chant d'un oiseau au petit matin, un son qu'il aimerait pouvoir entendre chaque jours qui lui est donné de vivre. La regardant toujours, le regard attendrit par sa présence, il l'entendit plaisanter, ce qui lee ffit legerement rire un instant avant de se frotter le visage pour lui offrir une réponse digne de sa phrase

" Oh, cuisiné au petits oignons, au persil, à l'ail et meme à la carotte, je pense que ce sera un vrai pot au feu d'interrogatoire."

Plaisanta t-il en continuant de caresser sa main délicatement. Elle lui paraissait si petite, si fine, mais, terrriblement douce, se demande lui aussi à cet instant quel sensation elle pouvait avoir sur sa peau, ce qui faisait encore une autre question qui lui donnait chaud, entre celle -ci et ses interrogation sur la douceur et le gout de ses levres, il ne risquait pas d'attraper froid en cet instant, prenant meme une grande bouffée d'air, tandis qu'il l'écoutait attentivement.

Elle se mit à vouloir lui proposer de l'aide pour faire passer facilement cette interrogatoire, venant lui poser les questions possible qu'ils pourraient lui poser. Elle en avait un bon lot déja, et il ne put que rire de cela, mais il en manquait beaucoup aussi, venant lui dire, sa main passant sur la sienne en caressant le dos de la sienne

" Ohh oui, tout ça et puis aussi s'ils ou elles sont célibataire, si ils ont beaucoup d'argent, une situation stable, s'ils ou elles sont belle etc."


Il se mit à soupirer en imaginant déja la fatigue qu'il allait endurer, mais, il ne perdait pas le sourire que son amoureuse lui faisait avoir en cet instant

" Donc oui, beaucoup d'oiseau de proie vont me tourner autour avant de chercher à en faire de meme sur tes freres et soeurs selon les réponses."
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Les contrées du Chaos / Re : Un guet-apens qui tourne mal [Grayle]
« Dernier message par Sarya le jeudi 17 avril 2025, 21:03:33 »
De la bave commence maintenant à couler de gueule de louve, alors qu'elle se contracte et qu'elle grimace de plaisir. Jamais Sarya n'a ressenti la perte totale de contrôle de son corps et maintenant de son esprit. Jamais elle n'aurait cru qu'un mâle aurait pu lui donner du plaisir. Mais maintenant, petite poilue s'en moquait de ce que l'humain mauvais pouvait penser d'elle, car elle aimait ça! Elle voulait que ça continue et que ça ne s'arrête plus. Le mâle avait triomphé d'elle et femelle soumise devait obéir et accepter son sort. Faire tout ce qu'il voulait, comme une chienne fidèle à son maitre. Pendant qu'elle l'entend râler et rire de plaisir en la voyant aimer être sa chienne, louve se fait encore plus tirer les bras en arrière et pilonner sa chatte toute dilatée.

- Haaaa! Oui! Prends Sarya! Humain... Baise-là comme tu baises les prostituées humaines!

Sarya halète et rit, tout en tremblant. Elle ressentait sa fente brûlante de faire attraper et cogner encore plus fort par le mâle qui ne voulait plus jamais s'arrêter de la baiser et de la faire sienne. Louve apprécie quand il lui agrippe ses petits seins tout durs et tout sensibles avec vigueur. Elle ressentait toute sa chaleur humaine qui la prenait de partout. Même là où l'humain ne la touchait pas, elle était brûlante. Pendant qu'elle se faisait attraper, elle se sentait comme aimée et désirée par l'homme. Oreilles dressées qui entendent encore des commentaires sur elle, bave encore plus fort quand le mâle lui dit être son vide-couilles.

- Oui! Louve rêve de se faire baiser par toi et par tous les siens qui ne l'ont jamais prise comme toi tu fais!

Créature soumise est ravie d'entendre ces mots qui continuent de toujours l'exciter encore plus. Elle était heureuse d'être devenue un vide-couilles pour un humain à l'odeur virile et qui la traitait comme un simple animal sans aucune valeur. En réponse à ce qu'il dit, le sexe de louve se contracte au maximum de ce qu'il pouvait pour lui faire savoir qu'elle aimait vraiment ça et qu'elle voulait encore son gros manche en elle. Pendant que chatte à Sarya aspire le beau gros sexe viril de l'humain qui la viole toujours, il lui pince son petit mamelon. Ça provoque une nouvelle réaction à créature du grand nord qui gémit. Surtout que l'humain lui demande de crier d'aimer être son le vide-couilles.

- Hoooo oui! Louve est le vide-couille du beau gros mâle qui la viole!

Pendant qu'elle lui dit la vérité tout en souriant avec désir, elle sort sa longue langue de sa gueule pointue. Sarya halète en l'entendant dire être satisfait d'elle et qu'elle est le meilleur vide-couilles qu'il n'a jamais baisée. Sarya continue alors d'encourager l'homme à la prendre comme la chienne qu'elle est. Museau de louve s'emballe en sentant les odeurs sexuelles venir sans cesse titiller son odorat très développé. Elle savait que porter son odeur et sa semence, était devenu un vrai honneur et plaisir pour elle. Rien pour Sarya ne comptait plus que de vouloir continuer à se faire baiser comme une chienne et une prostituée en manque de bites.

- Ha oui! Oui ! Ouiiii! Baise-moi! Je te veux humain! Je suis une louve salope! Je suis ton esclave et ta femelle soumise!

Sarya crie pendant qu'elle gémit. Puis elle continue de l'encourager, quand le mâle fini par jouir encore une fois dans son sexe brutalisé et devenu tout sensible à force de se faire prendre aussi fort. Elle ressent pour la troisième fois, toute sa chaleur et l'humidité envahir le fond de ses entrailles. Et puis louve est saisie de surprise, quand il lui prend en plus son clitoris entre les doigts. Sarya qui était déjà à bout, sent une pression qui la fait presque s'évanouir de plaisir.

- Haaaaaaaa!.... Ouiiiiii! Hooooo! Encore! Encore! Je suis une chienne pute à gros mâle humain! Ouiiii!

Sarya relâche encore plus de cyprine et jouit, pendant qu'elle finit d'accueillir toute la semence que l'homme projette dans ses entrailles. C'était incroyable pour elle. Jamais de toute sa vie entière de jeune louve, Sarya  n'avait ressentit ça. Oui, les mâles étaient vraiment les meilleurs pour faire jouir les femelles! Une fois que c'était fini et que louve voyait que son ventre avait triplé de volume, l'humain qui halète de fatigue ressort son bel engin de sa chatte. Sarya sent son sexe convulser tout seul, tellement elle s'est fait encore malmener. Tout son corps brûlait. Jamais elle n'a été baisée comme elle l'a été aujourd'hui.

- C'était tellement bon! Sarya a encore tout pris en elle comme tu le voulais. Hahaha...

Quand le mâle repousse Sarya et qu'elle voit son beau liquide reproducteur épais continuer de sortir du vagin de louve, il lui dit qu'il avait encore envie d'elle. Tout de suite, petite bleue remue la queue, car elle savait qu'elle allait encore se faire baiser comme la chienne en chaleur et prostituée qu'elle était devenue pour l'humain. Le mâle attrape alors femelle soumise et dévouée par les cheveux qui le regarde avec joie et désir. Elle se laisse naturellement faire, tout en l'aidant à se mettre comme son nouveau maitre le voulait. Quand elle se trouve sur les genoux, la gueule juste à hauteur de beau gros sexe rouge et gluant de l'humain, Sarya ressent plus que jamais la très forte odeur qui en émane. Cela a pour effet de lui faire remuer encore plus frénétiquement sa belle queue touffue, alors qu'elle sentait que son sexe en voulait encore. Mais elle savait que ce ne serait pas par là qu'il allait encore la prendre. Surtout quand elle entend le mâle lui dire qu'il voulait qu'elle suce son gros engin viril et tout poisseux. Créature des forêts enneigées se met immédiatement au travail quand l'homme le lui ordonne, surtout qu'il a dit que si elle faisait ça il fallait, qu'elle pourrait choisir la prochaine position pour se faire encore baiser et violer. Surtout que louve avait aussi intérêt à faire ça bien, sinon il allait prendre les autres femelles de son visage et ça, Sarya ne le voulait pas. Elle voulait être sa chienne à lui et qu'il n'ait que elle à violer.

- D'accord maitre. Je vais tout faire pour que tu sois content de louve!

Sarya commence donc à tirer bien fort sur l'énorme engin viril du mâle, après l'avoir reçu en plein sur son visage. Après s'être délectée à sentir ce délicieux membre très odorant, louve passe sa langue à la fois douce et rapeuse sur le gland de son nouveau maitre. Elle tourne bien fort plusieurs fois dessus avec force et application, tout en sentant les fluides qui ont surgit du très gros engin de l'humain, continuer de ressortir de sa chatte qui s'est faite prendre trois fois de suite par lui. Puis Sarya, bien trop excitée que pour attendre très sagement, prend la grosse verge humaine en plein dans sa gueule. Elle pompe alors très fortement le bel engin, tout en essayant de faire comme les femmes et les prostituées lui en ont déjà parlées. Sarya voulait tout faire, pour faire encore plaisir à l'humain qui voulait encore baiser et dominer la louve. Même si elle n'avait pas vraiment l'habitude de faire ça, Sarya s'appliquait pour faire aller et venir sa tête, pendant qu'elle tenait l'énorme manche entre ses deux petites mains. Louve ressentait l'énorme essieu qu'elle faisait aller et venir jusqu'au fond de sa gueule. Quand elle pompait, elle entendait régulièrement des bruits qui allaient avec. D'ailleurs elle faisait aussi tout pour y aller le plus fortement possible. Sarya voulait se faire encore récompenser comme elle le méritait. Elle n'avait maintenant plus qu'une seule envie, avaler tout ce foutre en elle quand l'humain craquerait encore pour la belle Sarya devenue la pute et le jouet de l'homme dont elle ne connaissait rien.
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Ville-Etat de Nexus / Re : Retrouvaille à la saison des fleurs ~ [PV Otto Schultz]
« Dernier message par Margaliti le jeudi 17 avril 2025, 20:43:05 »
Ne voulant pas voir celui qu’elle aimait s‘inquiéter, c’est tout naturellement que la lapinette tenta de le rassurer, venant même à franchir le pas en posant de nouveau sa main sur la sienne pour la caresser, adorant en plus sentir sa peau par ce contact. C’est avec soulagement et bonheur qu’elle put admirer son visage qu’elle aimait tant et ce sourire qui lui réchauffait son cœur battant d’émotions pour lui, le contemplant amoureusement tout en souriant, continuant à le rassurer sur ce qui s’était passé avec Hilda.

Puis, comme dans un ultime réconfort, Margaliti vint confier à Otto que lui aussi subira sûrement les taquineries de sa fratrie, accompagnant ses paroles d’un léger rire pour lui faire comprendre que tout cela n'était vraiment rien de grave. Mais, elle ne s’attendait surement pas à ce que ses dernières paroles fassent un tel effet chez celui qui avait kidnappé son coeur. En effet, elle put voir le jeune homme écarquiller les yeux avant de se mettre à soupirer en prenant sa tête dans l’une de ses mains, tandis que l’autre relâcha son emprise de sa chope pour se consacrer seulement à caresser la sienne qui avait cajoler celle-ci.

Alors qu’elle rougissait à ses caresses tandis que son coeur dansait la salsa dans sa poitrine, se faisant la réflexion que sa main était si grande comparer à la sienne, et que sa peau était si douce ainsi que chaude, ses pensées se mirent à bifurquer en se demandant quel effet ça faisait de sentir ses mains sur sa peau. Et à ses songes, elle se mit à devenir un peu plus rouge tandis que son palpitant accélérait, déglutissant doucement en se demandant bien à quoi elle pensait tout en étant gêné de penser à de pareilles choses en ce moment. Puis, comme sauver par le gong, ou plutôt par la belle voix du jeune mercenaire dont la demoiselle aux grandes oreilles était follement amoureuse, elle put l’entendre pester tout en s'interrogeant, ce qui lui arracha un petit rire qui s'échappa d'entre ses lèvres en venant lui répondre avec douceur.

« Ils, tu veux dire ta compagnie ? Ils vont te cuisiner aux petits oignons tu veux dire ? »

Plaisanta-t-elle pour l’aider à retrouver son joli sourire, voulant le détendre et l’aider à ne pas s’inquiéter à propos de tout cela. Puis, continuant avec tendresse de caresser sa main en ne le quittant pas des yeux, rougissant toujours certes, surtout à cause de ses dernières pensées qu’elle essayait de chasser de sa mignonne caboche, la jeune rosette poursuivit d’une voix douce.

« Je peux peut-être t’aider à ce propos non ? Qu’est-ce qu’ils voudraient savoir tu penses ? Combien de frères et sœurs que j’ai ? Qui est l'aînée ou le dernier de la famille ? Qu’est-ce qu’ils font dans la vie ? Si tu les as déjà rencontrer ? »

La petite lapinette essaya de donner quelques exemples, voulant vraiment aider celui qu’elle aimait pour pas qu’il se fasse embêter par les siens, car elle voulait pas qu’on l’embête, puis, elle avait tant envie de le revoir sourire et plus être inquiet en ce moment, ne souhaitant que le voir heureux ce soir mais aussi les autres jours aussi.
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Ville-Etat de Nexus / Re : Retrouvaille à la saison des fleurs ~ [PV Otto Schultz]
« Dernier message par Otto Schultz le jeudi 17 avril 2025, 19:26:19 »
Alors qu'il s'en voulait pour elle, se frottant le visage dans ses main avant de vouloir saisir sa choppe, il put l'entendre reprendre la parole, cherchant à le rassurer en lui disant qu'elle n'avait pas été méchante. Méchante non, ça il le savait bien et, de toute façon, si cela avait été le cas, il se serait chargé de son cas assez rapidement, ne voyant pas en quoi elle prenait le droit d’être méchante envers la jeune lapine qui s'était approprié son cœur.

Mais cela n'avait pas lieu d’être, au vu que rien de tout cela n'avait été méchant. Il se mit à sentir, après ses quelques mots, la douceur des doigts de la demoiselle, posé sur sa peau, lui tirant un sourire en remontant son regard vers elle, trouvant ses mains si agréable sur sa peau. Là, il croisait de nouveau son regard dans le sien, ce qui eut l'effet de le faire sourire d'autant plus, totalement fou de ses grands yeux pétillant de vie.

Elle cherchait bien à le rassurer et, cela fonctionnait plutôt bien, venant à se détendre sous ses mots, jusqu'à ce qu'elle lui réelle un point. Oui, sa famille à elle allait elle aussi venir le taquiner, ça, il n'y voyait pas de problème de son coté, mais, une réflexion lui vint alors dans sa tête, le faisant écarquiller un cours instant ses yeux avant de soupirer, venant poser sa tête dans sa main libre, tandis que son autre main lâcha sa choppe pour caresser celle de la lapine.


" Rooh mmmm ...... mercredi .... il vont me cuisiner pour savoir si tu a des frères et sœur, ça je le vois arriver gros comme une maison. "

Oui, il avait faillit laisser échapper un juron, mais il avait réussi à le manger avant qu'il ne puisse sortir entièrement, par chance se dit-il.
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One Shot / Re : Au temps des vers perdus pour un instant d'éternité [Rubis Starling]
« Dernier message par Eva Flynn le jeudi 17 avril 2025, 18:45:34 »
Une fois posée la réponse, je me suis de nouveau remise à réfléchir entre le lien qu'il y avait avec ma situation face au passé d'Eva. De ce qui nous unissait intrinsèquement toutes les deux, en tant qu'une seule et même entité. Étrangement, bien que je pensais que mes système étaient infaillibles et avaient les moyens de me donner facilement les réponses aux questions intérieures que je cherchais, je réalisais que rien de précis n'arrivaient à se former. Où se situait exactement le point de conscience entre ce qui m'avait été greffé en tant qu'intelligence artificielle, avec la logique de tout ce qui appartenait initialement à Eva? Suis-je réellement sa copie parfaite? Et pour ne pas arranger les choses, mes souvenirs sur elle m'indiquaient qu'elle partait naturellement dans ses rêves et surtout ses réflexions diverses. Aussi, pendant que je m'accoudais à la fenêtre à regarder la ville briller de mille feux tout au loin, je me suis mise à lever les yeux pour y observer les étoiles. Plus je les regardais avec attention et plus j'étais convaincue qu'aucune ne pouvait jamais être l'exacte similaire à une autre. Bien sûr par logique tout le monde le savait, mais à l'exception de certaines qui se mettaient plus en lumière, aucun humain sur terre ne pouvait affirmer de simple visu quelle étoile était réellement différente d'une autre. Et pourtant, plus on pourrait s'y rapprocher si nous en avions les moyens, plus nous pourrions être formels sur le fait que chacune d'elle était bel et bien unique et différente des autres. C'était comme les animaux, les arbres, les humain et la vie entière. Rien n'était absolument identique à l'autre. Alors dans ce cas, cette même donnée entre l'originale et moi prendrait-elle aussi ce sens logique, si j'y retirais tout l'aspect purement physique à travers ce corps fait de métal à la texture synthétique en sa surface? Les ordinateurs pourraient-ils ne jamais être totalement fiables non plus dans mon genre de cas?...

Je repensais alors au dernier vers écris par cette inconnue qui me faisait office de correspondante... Bien que j'y ressentais une inspiration sans cesse renouvelée, un nouveau malaise se déclencha en moi. Au final, peut-être devais-je simplement arrêter de réfléchir et d'être ce que ma programmation et mon frère attend de moi? Il est vrai que si je devais parler de mon propre temps de vie en me basant depuis le jour de ma création, que je n'ai seulement que 81 jours, 9 heures, 27 minutes et 43 secondes d'existence à mon actif...

Un petit son que je commençais à connaitre se fit entendre près de moi. Sortie des mes observations et de ma nouvelle introspection assez étrange et inhabituelle, je décide de me rasseoir pour y lire la suite à ce récit à la fois muet, invisible et indomptable qui nous unissait. Encore une fois, j'accrochais beaucoup à ses mots. Malgré que nous n'avions jamais engagé de discussion, cette approche profonde permettait systématiquement de nous rassembler et de communiquer à travers un langage beaucoup moins conventionnel. Aussi j'avais beaucoup aimé lorsqu'elle s'est mise à comparer la vie et beaucoup plus indirectement les émotions humaines dans un sens, associées au rythme de l'existence de chacun à travers le changement des saisons. L'inspiration m'était venue presque comme un éclair. Trop vite... C'était beaucoup trop rapide en vérité. Au point que je n'avais aucun doute que les mots que j'étais sur le point d'écrire, n'auraient pas pu être trouvés et avancés si vite par Eva ou même un quelqu'un qui aurait eu l'idée exacte d'écrire ce que je m'apprête à couche depuis l'écran et le clavier.


"Enfant de printemps qui parsème sa vie de graines de tous les possibles au centre de la terre
Cœur d'été aux amours éphémères qui vogue à travers l'océan des passions
Expression d'automne qui dépeint l'aurore des souvenirs à jamais oubliés
Âme d'hivers abandonné au chant du silence qui danse dans l'infini écarlate"
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One Shot / Re : [ UA - Karl&Rubis ] Un boulot pleins de surprises et d’inattendus ~
« Dernier message par Karl Neumann le mercredi 16 avril 2025, 20:25:42 »
Il ne put s’empêcher de laisser un léger rire se faire entendre sous la demoiselle qui n'en démordait pas sur le fait que quatre heures n'était pas assez, l'écoutant même lui dire que, en plus de cela, elle ne savait pas non plus quand serait la prochaine leçon. Il se rapprocha alors un peu plus d'elle, armé de son sourire joueur en venant lui chuchoter au creux de l'oreille

" Nous verrons déjà à la fin de la soirée comment vous vous sentez."

Oh il était prêt à l'épuiser jusqu'au bout, à la faire crier jusqu'à en perdre la voix et la fatiguer à en tomber de sommeil, dans tout les cas, elle ne repartirait pas de chez lui sans s'en souvenir toute sa vie, il en faisait le serment. Il avait donc, après cela, proposé différent lieu pour prendre leur prochaine danse, donnant un certain nombre des plus intéressant afin que la demoiselle puisse avoir l'embarras du choix tandis que sa virilité reprenait doucement de sa vigueur en elle. Il trouvait d'ailleurs cette sensation des plus délicieuse, se sentir gonfler entre ses confortables et chaleureuse parois, chauffé par leur précédents ébat et par le mélange de leur plaisir mutuel.

Puis, la regardant, il l'entendit finir de choisir. Son sourire était toujours là, surtout sous les mots de la demoiselle qui avait une bonne mémoire, le faisant hocher la tête, finissant par vouloir lui donner une réponse qui fut retarder quand elle vint le taquiner d'un mordillement de lèvres, tout en la sentant se mouvoir sous lui, achevant de faire durcir sa lame en elle.En réponse, ce fut assez simple, Karl vint glisser une main sous la nuque de Rubis, tandis que l'autre passait sous ses reins pour la faire se cambrer sous ses mouvements, venant alors se venger en donnant un seul, mais ample et puissant coups de reins. Il venait reculer ses hanches jusqu'à en laisser seulement la pointe contre les portes de son jardin humide, puis avec une vitesse dévorante, il vint se glisser de nouveau bien au fond d'elle, plaquant son bassin contre le sien, donnant de la force dans ses reins pour appuyer son bas ventre contre le sien, sa lame pressé bien au fond d'elle

" Oh nous auront tout les choix possible pendant ces quatre heures, meme sous une bonne douche qu'en dit tu ? "

Puis, sous ses mots, sans lui laisser le temps d'y penser dans l’immédiat, il se servit de la position de ses bras pour resserrer son étreinte autour d'elle, la plaquant contre son corps avant de basculer en arrière. Il se retrouvait donc à tomber assis dans le canapé, la jeune femme dans ses bras, désormais à califourchon sur lui, comme à leur début

" Et l'avantage du canapé, s'est qu'il y a bien des façon de le faire dessus."

La regardant droit dans les yeux, un sourire joueur venant taquiner la demoiselle alors que ses hanches roulait doucement sous elle, que sa main caresser ses reins tandis que l'autre, glissant sur sa nuque, vint la tirer vers lui pour lui offrir un baiser passionné.
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Ville-Etat de Nexus / Re : Retrouvaille à la saison des fleurs ~ [PV Otto Schultz]
« Dernier message par Margaliti le mercredi 16 avril 2025, 19:28:26 »
N’osant pas relever son petit minois vers celui qu’elle aimait, la lapinette garda son regard louchant sur sa chope et son nez, continuant donc de siroter timidement son cidre tout en ne cessant de rougir pour autant après sa confession sur la visite de la belle blonde. Le silence s’était quelque peu installé, seulement perturber par les bruits de sirotage des deux tourtereaux, faisant totalement abstraction du brouhaha autour de la vie de l’auberge.

Mais ce dernier fut bien vite brisé par le jeune mercenaire qui reprit la parole, venant s’excuser pour ce qui s’était passé. Relevant timidement son regard vers lui, la demoiselle aux grandes oreilles légèrement plaquées en arrière se mit à les redresser sur le haut de son crâne, secouant la tête à la négative en regardant le beau brun.

« Ne t’ex-t’excuse pas Otto… Tu n’as rien fait de mal… Hi-Hilda non plus… Elle a été gen-gentille avec moi ne t’inquiète p-pas… »

Dit-elle d’une petite voix douce pour le rassurer, en le regardant avec son visage toujours rosée mais un regard tendre. Puis, doucement, Margaliti retira une de ses mains de sa chope et vint la poser sur celle d’Otto qui tenait sa chope, lui adressant un doux sourire.

« Tout v-vas bien ne t’inquiète pas… Puis j’ai l’ha-l’habitude tu sais, mes frères et sœurs m’embêtent souvent aussi… Donc tout v-vas b-bien… »

Toujours penchée au-dessus de la table tout  en caressant tendrement sa main, un mignon petit sourire aux lèvres et un regard pétillant, la petite rosette tentait tant bien que mal de rassurer le jeune mercenaire de son coeur. C’est vrai, Hilda l’avait embêté et posé des questions indiscrètes, elle l’avait mise mal à l’aise mais… Elle savait que c’était pas méchant, du moins elle l’hypothèsait, puisque dans sa famille on lui réservait plus ou moins le même traitement, donc elle se doutait que c’était de la taquinerie mêlée à de la tendresse, étrangement manifesté certes, mais de la tendresse quand même quelque part.

Puis, comme voulant détendre l’atmosphère et revoir le beau sourire d’Otto, la lapinette va rajouter d’une douce voix tout en riant avec légèreté, penchant la tête en haussant un sourcil en le regardant.

« Puis… Tu sais… Vu mes grands frères et mes grandes sœurs, tu es pas à l’abri de subir le même traitement… »
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Ville-Etat de Nexus / Re : Retrouvaille à la saison des fleurs ~ [PV Otto Schultz]
« Dernier message par Otto Schultz le mercredi 16 avril 2025, 18:57:48 »
Il l'écoutait attentivement, gêné et se sentant mal qu'Hilda ait profité de son absence pour jeter ses pattes sur la belle lapine. Elle le rassura dans un premier temps, mais, rapidement cela disparu quand elle lui dit qu'elle lui avait posé plein de question. Il pouvait bien voir que Margaliti était des plus mal à l'aise, la regardant se cacher derrière sa choppe et, manquant de pouffer de rire en la voyant loucher sur le bout de son nez.

Il se demandait bien ce à quoi Hilda avait bien put l'interroger et, il n'eut pas à lui demander pour qu'elle se mette à lui en parler, presque comme une confession. Et là, sur les sujets évoqué, Otto se mit à fermer les yeux en grimaçant avant de venir poser sa main sur son visage pour se le cacher quelque peu. Gêné oui, beaucoup, de plusieurs façon, que ce soit le coté sans gêne de la grande blonde, les questions posé, mais aussi le fait que dans un sens elle avait raison au moins sur la première.

S'il avait su que ses sentiments était partagé, s'il en avait été sure, il n'aurait pas tourné autour du chaudron si longtemps comme elle venait de le dire. Mais ce qui l'avait mis le plus mal à l'aise, c'était surtout le fait qu'elle ait demandé ce qu'ils avaient fait. Il en vint à soupirer un coups avant de prendre lui aussi sa choppe en main pour en boire quelque gorgée, se disant que si il arrivait à attraper cette grande pimbêche, il allait lui faire passer un sale quart d'heure à se mêler de ce qui ne la regarde pas.

" Je suis vraiment désolé si elle t'a importuné, je lui dirais de te laisser tranquille."

Il n'avait pas envie qu'elle l'embête, il n'avait pas envie qu'elle la fasse fuir, pas avant et encore moins maintenant, ne savant plus vraiment où se mettre et maudissant quelques peu sa sœur adoptive.
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