Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ville-Etat de Nexus / Re : Le Chant de Kardiù (Grayle et Thaïs les pérégrins)
« Dernier message par Grayle le pérégrin le samedi 27 avril 2024, 18:32:49 »
Il le ressentait. Son coeur. Les battements de son cœur s'intensifiaient, et l'immortel devinait qu'il ne s'agissait pas d'une accélération naturelle. Une influence extérieure avait prise sur lui : celle de Thaïs. La pérégrine n'avait pas répondu à sa question, se contentant de plonger son regard dans le sien, et de poser sa main sur ses doigts. Ni elle, ni lui n'avaient besoin de mots. Leurs Nomos en harmonie, ils lisaient non pas dans les pensées de l'autre, mais dans son cœur, qui battaient à l'unisson.

Il reprit une gorgée de son verre, avant de le déposer sur une petite table. Sa langue plein de vin lécha ses propres lèvres, et il se pencha en avant, embrassant le front de l'immortelle. Une main sur son épaule, l'autre contre le bas de son dos, il embrassa son nez, esquiva ses lèvres, se courbant encore pour embrasser sa gorge, léchant son cou, mordant son épaule nue, alors qu'il tirait sur une des bretelles du haut pour le fait glisser le long du bras. Elle sentait bon. Une odeur familière, similaire à la sienne, mais plus douce et sucrée. Les soupirs de la belle l'excitait, enclenchant un cercle vicieux où il lui renvoyait son propre désir.

Les deux flammes devenaient un brasier. Il la serra contre lui, une main enfoncée dans sa croupe. Frustré par leur différence de taille, il la souleva afin qu'elle se retrouve à sa hauteur, et l'embrassa férocement, la plaquant contre la baie vitrée. Sa langue vorace vint chercher celle de Thaïs, ne lui laissant aucun répit, capturant ses lèvres encore et encore. Il ne rompit leur baiser qu'après une longue minute, un filet de salive reliant leurs bouches brillantes. Il respirait avec force, le souffle coupé. Ce n'était qu'un simple baiser, mais il était aussi excité que s'ils étaient en plein milieu d'un coït. En l'admirant, il compris qu'ils étaient incapables de se résister l'un l'autre.

- Et puis merde.

Les deux mains sur les belles petites fesses de l'argentée, il la fit basculer sur son épaule, la transportant comme un sac de patates, comme un barbare saisissant sa captive. Il la transporta jusqu'à la chambre, qu'il trouva sans trop de mal, et la balança sur le lit. A peine avait-elle atterri qu'il était déjà au dessus d'elle, à quatre pattes, la tenant par les poignets. La respiration de l'homme était saccadée, son regard embrasé. Son bassin contre celui de Thaïs, il faisait de lents va-et-vient, les vêtements des deux humains ne pouvant guère cacher sa vigueur surnaturelle ni la chaleur qui s'en dégageait.

- J'ai très envie de te faire l'amour Thaïs... il l'embrassa encore, avant d'échapper à ses lèvres pour lécher sa gorge, mais j'ai une faveur à te rendre...

Sa langue passa lentement sur sa clavicule, descendant jusqu'à embrasse un sein à travers le tissu. Il ne l'avait toujours pas déshabillée. Avec précaution, il descendit peu à peu, soulevant le haut de Thaïs, embrassant son nombril, la fixant de ses yeux bleus à chaque instant, avant de défaire son short.

- Mon seul regret, c'est qu'il n'y ait personne autour de nous pour te forcer à être discrète...

Ses doigts habiles défirent la ceinture du petit short rouge, qu'il fit glisser le long des jambes. Bien vite, Thaïs pu sentir le tissu contre ses cuisses être remplacé par la chair, alors que Grayle glissait son visage entre ces dernières. Il huma l'odeur intime de la belle, sentant son propre pantalon le torturer. Elle était irrésistible, et un frisson parcourut leurs deux corps.

- L'avantage, c'est que tu n'as pas besoin de retenir tes cris...
dit-il juste avant de lécher goulûment son Mont de Vénus, le couvrant de baiser, pour finalement, embrasser ses lèvres, plus charnues, plus douces, plus sensibles. Il avait envie d'elle, plus que quiconque dans sa vie, mais le jeune homme patient avait surtout envie d'une chose : voir celle qui se cachait sous l'apparence d'une jeune fille se tordre, gémir, couiner, jouet entre ses mains et sa langue, et exposer la sensualité cachée derrière son corps juvénile... entièrement fixé sur elle, Grayle oublia vite le reste du monde, et même de l'univers...
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Tout était une question de rythme. Les effluves retrouvaient petit à petit un état stable. C'était par le souffle et les incantations de contrôle de base que la magicienne parvenait à maintenir une forme qui, bien que pitoyable, avait l'avantage de conserver son corps et son esprit sans séquelles. Assise en tailleur, elle marmonnait entre deux expirations les formules d'apaisements, tout en luttant contre sa migraine et l'inconfort que lui procurait sa cellule miteuse et la saleté qui couvrait sa personne. Pourtant très silencieuse, les paroles intangibles de Dionysia résonnaient dans la prison du château.

« Hé ! Hééééééééé ! Copine ! »

La sollicitation de son voisin de cachot n'avait pas suffi à perturber la médiocre transe de la magicienne. Couvert de crasse, une barbe de plusieurs mois et une tenue dépareillée, il regardait sa comparse avec un fort intérêt. Alors il changea de tactique en lui lança plusieurs petits cailloux.

« Hééééééééééééééé ! Copine ! »

« Grumph... » Abandonna sa partenaire. « Qwaaaaaaaaa ? »

« C'est quoi que tu racontes ? J'entends pas ! »

« Des incantations. » Grogna-t-elle.

« Ha ! Tu vas te téléporter ? Faire exploser les murs ? Je peux v'nir avec toi ? »

Si seulement elle pouvait faire ça...non. Sa méditation servait à remettre sur bon pied son coeur de cristal devenu complètement dysfonctionnel. Heureusement qu'elle avait peaufiné avec son Maitre plusieurs runes pour se mettre en sécurité en cas de force majeur.

« Et t'as fais quoi pour v'nir ici copine ? »

« Des bêtises, je crois. »

Sa mémoire était encore trop amoché pour rationaliser les évènements de la veille. Elle devait alors déduire les déroulements de ces douze dernières heures par des indices extérieurs. Déjà, à la vue de la lumière provenant de sa maigre fenêtre, c'était le matin. Elle était dans une prison, d'un château, il semblerait. Son diagnostic vital indiquait une forte migraine, une intense nausée, un cœur au ralentis et vidé de son énergie. Ses derniers souvenirs remontaient à un début de soirée, et tous ces éléments réunis lui suffisait pour tracer des contours grossiers de la suite de ses aventures.

« Dis, ‘copain', on est où là ? »

« Bah au château de la duchesse Myrella ! »

« Ah. »

Ce nom lui disait vaguement quelque chose. Elle voulut reprendre sa méditation lorsqu'une porte s'ouvrit, et que des humains en tenue de soldat s'approchaient de sa cellule. Trois hommes, dont l'un semblait par sa tenue montrer qu'il était au dessus d'un point de vue hiérarchique. Ce dernier pris la parole en premier.

« La voilà. Amenez là à la salle du trône sur le champ. »

« Alors c'est elle...Elle n'a pas l'air terrible. » Reprit celui à sa gauche.

« Méfiez-vous, elle ne paraît de rien comme ça, mais je vous confirme que c'est elle qui a causé tout ce maelström. »


Cela se précise, se dit-elle. Donc elle avait bien fait des bêtises. Les deux soldats rentrèrent dans sa cellule, et elle eu juste le temps pour saisir un seau vide, qui lui avait été déposé sans doute pour ses besoins naturels. Elle n'avait pas eu l'occasion de s'en servir, mais elle l'aggripait avec ténacité, alors que ses ravisseurs tentèrent de lui faire lâcher l'objet et de la relever.

« Raah, mais lâchez ça ! »

« Naaaaaaaaaaaaaan ! Z'en ai b'soooooooooooin ! » Rouspéta leur détenue.

« Nous n'avons pas le temps pour ces enfantillages ! Soulevez là et ramenez là avec ce seau. »

Mal à l'aise sur la manière de traiter avec cette étrange prisonnière crasseuse, ils la soulevèrent et la forcèrent à les suivre, alors qu'elle tenait fermement son seau sur son buste. Dionysia luttait toujours intérieurement pour ne pas sombrer dans le coma, ou pire. Ces brutes ne la ménageaient pas, et la tractaient comme si c'était un sac d'ordure. Trop concentré sur son subconscient, elle fit peu d'effort pour apprécier l'architecture intérieure du domaine où elle se trouvait. Une énorme porte s'ouvrit et voilà qu'ils étaient dans une grande salle. La lumière du jour, bien plus forte que dans sa prison, la dérangea et l'empêcha d'ouvrir les yeux pleinement. On continua à la trainer, et cette fois ci, à travers le son de leurs pas, Dionysia distinguait quelqu'un entrain de parler avec beaucoup de vivacité.

« ...granges incendiés, dont l'un contenant une partie des récoltes de la dernière moisson, provoqué une tornade saccageant un champ récemment ensemencé. Les premiers soldats l'ayant poursuivis ont été transformé en poule et en cochon ! »

Cela s'annonçait mal. Du genre vraiment très mal. On le jeta par terre et des mains la saisirent sur les épaules pour la bloquer à genoux avec douleur. On essaya de lui mettre les mains dans le dos, mais elle gardait son seau dans ses bras avec fermeté.

« Elle gela même une partie du ruisseau de la ferme du vieux Hugh, ce qui cassa certaines pales de son moulin ! Cela s'ajoute la panique qu'elle a générée auprès de ses bêtes ! Il est clair, ma duchesse, que nous avons affaire ici à une dangereuse sorcière, sans doute envoyé par Ashnard.»

« Méh ! Faut pas abuser non plus ! »

« Silence sorcière ! » Les restrictions sur ces épaules se firent plus intenses, ce qui la fit sortir un petit cri de douleur.

Dionysia avait encore du mal à ouvrir complètement les yeux, mais elle comprit qu'elle était dans ce qui semblerait une salle du trône. Il y avait une silhouette féminine assise en face d'elle, et un homme, un conseiller ou de ce genre là, à coté d'elle. C'était lui qui parlait depuis tout ce temps.

« Les coûts des réparations sont encore en chiffrage, ma duchesse. Par chance, et grâce au courage de nos soldats, nous ne comptons aucune victime. Ils purent neutraliser cette sorcière durant un de ses moments de faiblesse. Parle dorénavant, sorcière ! Qui es-tu ? Quel maléfice as-tu tramé chez la duchesse Myrella Cyrelle Talle Aeslingr ? »

Elle qui pensait que sa famille avait des noms pompeux...Bon, ça lui disait quelque chose, cette énumération de syllabe de bourgeois. Le soleil continuait à l'obliger à garder ses yeux mi-clos alors qu'une montée nauséeuse fit son apparition.

« Hem...B'jour m'dame la dudesse...Euh...Je sais que...-Burps- tout porte à croire que je suis une vilaine sorcière. Mais sachez que j'ai une bonne excuse de ce que quoi que qu'on m'accuse... »

Elle se stoppa, ressentant une mauvaise nouvelle. Dans une déglution résonnant dans toutes les pièces, elle régurgita ses remontées acides dans le seau qu'elle tenait avec férocité. Reprenant sa respiration, dans cette situation humiliante et indigne d'une salle du trône, elle ressuya des restes de ses excrétions sur ses lèvres avant de reprendre la parole.

« Je...j'étais bourré. Désolé. »
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Complements de script / [Terre] Le Lycée Yūgen
« Dernier message par Alix et Nox le samedi 27 avril 2024, 07:24:53 »
Le lycée Yūgen est un établissement privé de Seikusu.
Ce complément de script est un travail en cours; support de RP pour 5 de mes personnages.
Si vous êtes un de mes partenaires, n'hésitez pas à piocher ce que vous souhaitez dedans, à ajouter du matériel ou a modifier ce qui vous déplaît.

Les Élèves PNJs

Mia:
Amie de Céleste, Mia est timide et discrète ce qui fait d'elle la victime favorite de Brittany avec qui elle traîne souvent malgré tout.


Sachiko:

Un autre élève de la classe de Céleste, Sachiko est doux et gentil, intelligent et drôle. Céleste en pince pour lui mais il la considère comme une amie.

Takeshi:

Le beau gosse de la classe, n'est pas aussi bête que ses copains sportifs. Il aimerait coucher avec Céleste mais attend la bonne occasion, avec ou sans son consentement. C'est un des amis de Brittany.

Fumi:
La meilleure amie de Brittany.


Kujaku:

Boute-en-train en train de service, tour à tour bouc émissaire et spécialiste en moqueries diverses, un personnage pas forcément méchant mais méprisé par beaucoup de ses camarades.

Asami:
Petite sœur de Livie


Yukito:

Ami de Livie et membre de son groupe de j-rock.(lapin des neiges en japonais)

Hiro:

Ami de Livie et membre de son groupe de j-rock

Kenji:

Ami de Livie et membre de son groupe de j-rock

Le corps enseignant

Malfée:


Directeur de l'école, Malfée est en fait un dieu des illusions et de la discorde. Il prend un malin plaisir à placer certains élèves choisis dans des situations plus que gênantes pour ceux-ci.
Il est à l'origine des maledictions de Céleste, Livie et Brittany.

Mademoiselle Fumiko:
Prof d'histoire sur laquelle tous les élèves mâles fantasment. Porte des tailleurs stricts mais sexy. Ses cours sont monotones.

Hélène Howard:
Secrétaire du Lycée, grande amatrice de chaussures.

Miss Seiko:
La prof de sport, ancienne athlète professionnelle, sévère et exigente.

Jered Hops:
Professeur de technologie et administrateur informatique du lycée. Il est sous la coupe de Brittany qui le fait chanter.

Description du Lycée

Le Lycée Yūgen est un établissement privé.
Situé sur les hauteurs de Seikusu en périphérie de la ville, on y retrouve beaucoup d'expatriés.
La réputation du lycée n'est plus à faire et bon nombre d'élites du Japon ont étudié dans cet établissement.
L'uniforme n'y est pas obligatoire, mais beaucoup d'élèves le portent malgré tout.

Les Élèves avec une fiche
Céleste Hendricks:
Livie Morgan:
Camille Sawal
Brittany Swampton:
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Prélude / Re : Brittany Swampton et la Bienheureuse [Anéa]
« Dernier message par Alix et Nox le samedi 27 avril 2024, 05:56:24 »
Bulle jette un coup d’œil à la fiche, regarde Serenos avec un grand air innocent et rentre la tête dans les épaules, toute contrite.

Bah, y'en a un p'tit bout là... et puis là aussi.. oh et là...

Bon ok ok.. c'est vrai que j'ai pas tellement creusé son histoire.

Arrache une plume à un canard qui passe par là, essore un poulpe dans une petite tasse et se remet à écrire sur un vieux parchemin-brouillon
5
Blabla / Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« Dernier message par Balhzanar le vendredi 26 avril 2024, 23:44:18 »
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Prélude / Re : Brittany Swampton et la Bienheureuse [Anéa]
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le vendredi 26 avril 2024, 23:28:13 »
*Gonfle les joues*

Elle est où, l'histoire, hein!? ELLE EST OU!?

(rebienvenue!)
8
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Quand tu me tiens par ... [Pv.]
« Dernier message par Bando le vendredi 26 avril 2024, 23:17:35 »
Les dents serrées, Taro fronça les sourcils avec force lorsqu’il entendit les quatre pieds de chaise crisser contre les lattes de bois. Lui qui était déjà plus que nerveux s’était soudain plus inquiété encore, surpris qu’il était par le ton qu’employait la jolie coréenne.

C’est comme si son comportement avait soudain changé du tout au tout. Elle qui souriait tout le temps et passait -aux yeux de Taro du moins- pour la plus respectueuse et respectable des dames, venait là de l’interrompre sans la moindre politesse qui soit, pour le taquiner un peu.

Sa jambe nue se colla tout contre la sienne, figeant sur place le garçon qui, aussi bête soit-il, comprit aussitôt qu’elle se jouait de lui. Il ne le dit évidemment pas mais, à cet instant, l’opinion qu’il avait à propos d’Eunyee s’en était trouvée bouleversée. Sans la pression due au regard des autres, elle n’était plus du tout, du tout, la même.

Elle qui avait pour habitude d’aider certains élèves en difficulté à rattraper leur retard passait désormais pour un tout autre type d’élève. Et cela ne lui plut pas.

S’il blêmit un court instant quand Eunyee agita l’enveloppe sous son nez, il ne put pour autant capter son regard pour lui répondre. Non plus par gêne, mais bien parce que ce ton qu’elle prenait avec lui ne lui plaisait pas. Vraiment pas.

Tournant la tête pour regarder dans une autre direction encore, il croisa les bras et se contenta de souffler.

« O-ouais. C’est moi. »

Mais, aussitôt avait-il fait l’effort d’ouvrir la bouche et qu’alors, il se sentait enfin prêt à parler de ces bruits de couloir qu’il n’aimait pas, que la jeune femme en rajouta, en lui adressant une nouvelle pique, qu’elle ponctua d’un rire si intense qu’elle ne put le contenir…

« Tsss… quoi ? P-pas du tout. »

Irrité par cet insupportable air suffisant et moqueur qu’elle affichait en le prenant de haut, Taro voulut prendre sur lui pour résister, pour se protéger de ces nouvelles blagues pas drôles dont il se serait bien passé, mais la toute petite main qu’elle posa au sommet de l’une de ses cuisses le ramena vite à la réalité.

Baissant les yeux, lèvres entrouvertes, il observa une seconde ces cinq longs et fins petits doigts qui s’étaient posés là et lâcha un nouveau souffle, soulagé de porter à droite.
Trop chamboulé par cette bien étrange situation, son corps ne réagit pas comme il aurait pu le faire d’habitude et Taro s’étonna même de ne pas s’être mis à bander. Mais quand bien même il était mou, voir la différence d’échelle entre la main d’Eunyee et l’épaisse et large bosse qui courait là jusqu’au milieu de sa cuisse droite le fit frémir.

Jamais une femme n’avait posé sa main si près de là.

« Y’a que toi que ça fait marrer… »

Les yeux dans le vague, Taro choisit d’accrocher son regard, sans pour autant s’y fixer. Déglutissant discrètement, il fit vite l’impasse sur cet énorme décolleté que lui faisait son haut aujourd’hui, préférant éviter d’essayer encore une fois de deviner son bonnet de soutien-gorge alors qu’elle avait sa main si près de son entrejambe.
Même retenus derrière ces mailles, ces deux énormes machins étaient plus gros que sa tête… c’était quand même quelque chose. Un bonnet G, ou H peut-être. Peut-être même plus ?!

Bref, là n’était pas la question.

Les yeux à hauteur de ceux d’Eunyee, mais regardant derrière elle pour ne pas avoir à soutenir complètement son regard, le jeune homme prit un air grave.

« En fait… tu… t’es déjà au courant, a priori, mais les autres disent beaucoup de choses sur toi. J’voulais… prouver qu’ils avaient tort. Quand j’suis arrivé, ils disaient plein de trucs sur moi aussi au début alors… j’sais pas. Je m’suis dit que je pouvais faire un truc. »

Penchant la tête en arrière, il se mit à observer longuement le plafond, cherchant dans la poche de sa chemise ce paquet de cigarette qu’il venait tout juste de récupérer, alors qu’il lui avait été confisqué par son entraîneur, après que celui-ci l’ait surpris en train de fumer sur le toit de l’école.

« Alors c’était vrai ? »

Foutu pour foutu… le garçon extirpa une clope du paquet et l’alluma, au beau milieu de la salle de classe.

« Pfffffff… »

Tirant de grandes bouffées, l’air perplexe, le jeune homme, qui ne savait plus quoi penser, repensa aux derniers mots prononcés par la jeune femme.

« Il paraît que tes parents sont pleins aux as alors… pourquoi ? Si c’est pas pour la thune. J’suis con, ça m’regarde pas. »

Jetant un œil dans sa direction, de son air à la fois déçu et si soudainement blasé par la vie, Taro reprit, en cherchant son sac du bout de la main, prêt à repartir.

« Tu sais quoi, garde tout. Toutefois… juste par curiosité. Les filles disent que d’habitude, tu le fais genre… qu’une fois par personne et que… qu’il y a pas de… de supplément, tu vois. Alors tu… tu pensais à quoi ? »
9
One Shot / Re : Loup y es tu? [PV Tenshi]
« Dernier message par Ahro le vendredi 26 avril 2024, 19:23:52 »
Elle affirmait qu’il serait le seul à pouvoir la voir dans cet état, plongé dans le plaisir. Il rougissait un peu, ayant bien compris qu’il devait s’occuper d’une femelle désormais. Il portait maintenant déjà assez son odeur pour que l’on comprenne qu’ils étaient très proche physiquement. Il faudra naturellement renouveler ce genre d’acte pour que cette odeur mélangée perdure.

-Ca va être tout nouveau … J’ai pas vraiment vécu à plusieurs …

Une nouvelle épreuve en soit. Mais le petit ventre de la Kitsune gargouillait. Heureusement qu’il avait une petite bourse de baies proche de ses vêtements soigneusement plié. Il se redressait alors pour qu’elle puisse récupérer son kimono et l’enfiler, mettant ses formes bien en avant … Sa silhouette semblait encore plus alléchante avec des vêtements que sans.

Il la suivait donc pour aller vers ses affaires et s’habiller également. Avec le sport qu’ils avaient fait, ils avaient eu un peu le temps de sécher de l’eau de la rivière. Ils avaient certainement un peu transpiré. Mais en pleine nature, on était rapidement sec ! Après s’être bien rhabiller de son kimono personnel, il attrapait alors la bourse de fruit qu’il ouvrit pour la poser à coter d’elle, sur le rocher et se servit pour gober quelques fruits rouges.

-Hmm … A vrai dire je ne vis pas dans cette forêt et je n’ai pas vraiment de maison … Quand je suis parti de mon village c’était pour voyager. J’évite les grandes villes et les routes que les humains empruntent comme ils ne sont pas très gentil en nous voyant. Parfois je cueille des fruits comme aujourd’hui et d’autres fois, je vais dans un village, j’aide un peu pour avoir soit un peu d’argent ou un peu à manger avant de filer dans la forêt …

Il s’assied sur le même rocher et il laisse ses queues venir enlacer celle de la renarde avant de tourner la tête vers elle et de l’observer.

-Et toi ? Tu as tout laisser derrière toi en fuyant ton village ?
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Prélude / Re : Re : Brittany Swampton et la Bienheureuse
« Dernier message par Alix et Nox le vendredi 26 avril 2024, 17:33:41 »
Et bien, et bien, c'est une demoiselle à dompter, assurément!  :P
Un petit quelque-chose me dit que ça ne saurait tarder  ;D

Merci pour le re-accueil !
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