Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« Dernier message par Manea Haruka le vendredi 19 avril 2024, 10:48:07 »
Je sens que mon plaisir grimpe de manière vertigineuse et toute cette excitation accumulée va bientôt me faire jouir à outrance. Mon orgasme s'annonce ravageur mais je suis bien loin du compte lorsqu'il se déclare finalement. Ses coups de bite me font perdre la tête, je le sens taper contre mon utérus à plusieurs reprises et ses coups de reins m'électrisent, m'agrippant comme je le peux à lui, imprimant même la marque de mes ongles dans sa peau, mon corps est secoué de toute part et mes seins remuent au rythme de ses coups de butoir.

Je souris même à sa petite réflexion puisque je suis la première surprise à être capable d'encaisser un engin pareil, ce que je n'aurai pas cru possible.

Et tout d'un coup, j'atteins le point de non retour, les parois de mon vagin se contractent à intervalles régulières autour de sa bite et je me mets à jouir comme jamais, hurlant mon plaisir sans aucune retenue, je sens même qu'un flot de cyprine vient maculer sa queue et éclabousse nos cuisses respectives puisqu'il continue de me baiser comme un forcené.

Je n'ai même pas le temps de redescendre puisqu'il ne cesse d'aller et venir en moi, ce qui rend ma jouissance encore plus incroyable. Je n'avais jamais ressenti pareille sensation auparavant, mon corps tremble presque sous l'effet du plaisir et je peine à reprendre mon souffle, le flot de mes gémissements ne semblant pas vouloir se tarir.

Je ne me préoccupe même pas un seul instant qu'on puisse m'entendre jouir de la sorte et j'ai même envie que tout le monde sache à quel point je prends mon pied à me faire enfiler de cette manière.

Lorsqu'il se retire presque entièrement, je me sens tout à coup vide et béante mais la sensation est de courte durée puisqu'il me soulève avant de venir s'enfoncer à nouveau, m'arrachant un cri de stupeur.

- Aaaah... mon dieu j'adore ça...

Mon souffle est court et je suis tellement dégoulinante que de la mouille s'échappe de ma chatte à chacun de ses accoups. Je sens son souffle chaud venir se perdre dans mon cou, puis tout à coup je me sens inondée de son sperme lorsqu'il fini par jouir à son tour, m'emplissant d'une quantité de foutre tellement importante que du liquide s'écoule de mon trou labouré, le mélange de nos fluides empli la pièce d'une forte odeur de sexe et je suis entièrement grisée par le plaisir intense que je viens de ressentir et qui continue d'affluer par les coups de reins qu'il continue de me mettre.

- Vas y remplis moi bien...

Les effets de mon orgasme se dissipent peu à peu mais sa queue qui continue d'aller et venir en moi me donne envie de me faire baiser encore et encore, je me mets alors à agiter mon bassin également, signe évident que j'en veux encore, tandis que je dégouline de sperme.

Il n'y aucun doute au fait que je risque de rappeler Souta pour me faire sauter plus souvent, des idées de plus en plus salaces envahissent d'ailleurs mon esprit embrumé alors qu'il me donne envie de me comporter comme une vrai petite salope.
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« La mer a ses humeurs, ma petite dame. Parfois elle est gentille, joyeuse, heureuse de sentir votre gros bateau caresser son petit minois flottant. Des fois elle est boudeuse. Elle ne veux pas de vous, et souffle d’un vent contraire. Et parfois, elle est encore plus foudroyante que ma grosse quand elle a ses ragougnasses. Ouais, c’est une bonne...comment on dit, déjà...paraphrase ? »

« Périphrase » Soupira Dionysia en levant un sourcil, les bras croisés. « Et dans ce cas là, on dit métaphore. »

« Ouais c’est ça ! Une putain de métaphore ! Nan parce que vous savez, vous les pisseuses, parfois vous... »

« Allons au vif. Pouvez vous m’amener sur l’ile de Tricail ? »

« Patience madame ! Avec le vieux Hug, toute aventure commence par une bonne histoire ! »


Mais son interlocutrice n’avait pas envie d’écouter une histoire, là. Encore moins dans cette taverne portuaire qui sentait le poisson pas frais. Elle était en quête d’explorer les ruines de la tour d’ivoire d’un archimage elfe des mers, au sein d’un île perdue et réputée inatteignable. On disait que par moment, elle « disparaissait ». Sans doute le magicien qui avait posé ses bagages sur ce lieu voulait assurer sa tranquillité, même après sa mort. Mais le vieux marin avec qui elle conversait prétendait avoir trouvé un moyen d’atteindre l’ile. Sauf que pour l’instant, a part siroter son rhum et raconter des fadaises teintées de blagues salaces, il ne montrait pas vraiment ses capacités à savoir comment atteindre l’objectif de la magicienne.

« Y a banc de thon et banc de thon. Vous voyez ce que je veux dire ? Y a ceux qu’on des comportement normaux. Ils bouffent dans les eaux froides, et après file baiser pour faire des petiots dans les eaux chaudes. Normal quoi. Et y en a des étranges. Ils font des petits tours, des rondes et des mouvements pas normal, pas de saison. Avec le vieux Hug, y a pas besoin de carte ou de boussole pour voir des trucs qui fonctionne pas rond. Donc il a enquêté ! Et ouaip, a travers la brume et les tempêtes de la mer septentrional, et bah il peut retrouver l’ile ! Enfin...il peut s’approcher de l’ile. Car après, bobo ! »

« Comment ça ? »

« Y a pas que le fait que la mer s’agite plus que d’habitude autour de l’île. Y a une sorte de...je sais pas. Une sorte de mur invisible. »

« C’est une protection magique. Je saurais la percer. »


En vérité, elle n’en savait rien. Mais elle devait essayer. Si elle pouvait atteindre cette tour et les travaux de l’archimage, elle deviendrait la magicienne la plus crainte de la région !  Le fixant droit dans les yeux, frissonnante, elle lui dit avec ferveur.

« Emmenez moi là bas. »

Sans doute amusez par sa nouvelle partenaire, il souria, descendant une bonne rasade avant de lui répondre.

« Demain, à 4 heure, la marée sera clémente. Je vous attends au port. »

Entre gens déraisonnables, le courant avait bien passé entre eux. Cette incongrue mésalliance leur avait permis de se retrouver ensemble, au petit matin, à braver les eaux de la mer du nord. Le vent frais et les effluves salés ravivaient les sens de Dionysia. Leur bateau ne payait pas de mine. Hug entretenait une sloop avec à bord, en plus de eux deux, trois matelots. Brod, son « counsin germain par alliance », Barek à trois doigts, et celui qui grogne tout le temps, « on l’appelle juste Grognard ». Ils étaient parti depuis au moins 6 heures, et ils purent au moins profiter d’une mer plutôt calme. Mais sur le pont, leur invité semblait perdre patience.

« Dites, j’y connais peu, en navigation. Mais j’ai un compas. Et il m’indique que l’on tourne en rond depuis aux moins deux heures ! »

Son interlocuteur, à la barre, ricana en ouvrant sa gourde.

« Patience, ma p’tite dame ! Je vous l’ai dis, les poissons ne mentent jamais ! »

Elle jeta un œil plus bas, et il y avait effectivement un banc de poisson. C’était ça qu’il suivait depuis tout à l’heure ?

« Vous les pisseuses, toujours pressées, hein ? Je vous ai déjà raconté la blague de la ménagère qui a plus de dents ? »

« Au moins quinze fois ! »

« C’est moins que trente ! Alors c’est une ménagère, et elle a plus de dents. Et là... »


Un coup de tonnerre retentit. Étrange, car il n’y avait pas de nuage. Mais en observant le ciel, elle put sentir qu’il s’assombrissait. Littéralement. La lumière semblait se ternir d’une manière non naturelle. Le vieux Hug et ses gars commencèrent à être aux aguets.

« Coup de foudre. C’est le premier avertissement. »

Il sortit une bourse ou se trouvait des sortes de petites éponges de mer, taillé en forme de dés. Tous s’en enfilèrent dans les oreilles, et Hug en tendit à sa nouvelle partenaire, qui fit la moue en les observant.

« C’est pour les sirènes ! » Lui répondit-il. « Y en a dans le coin ! Cela vous protégeras de leur chant ! »

« Des sirènes ? Pourquoi vous ne m’en avez pas parlé plus tôt ? »

« Quoi ? »


Visiblement, la communication allait être un peu plus difficile. Forcément, leur échanges allait être ralentit. Elle soupira en saisissant les morceaux d’éponge alors que le vent se mit à se faire plus intense, et que des vagues de plus en plus hautes les menaçaient de chavirer.

« On fonce sur l’île ! Les courants marins ne sont pas naturels, mais j’ai remarqué que l’un forme une allée ! Si on l’emprunte, on pourra s’y diriger ! » Cria la marin à la barre.

« Quoi ? » Lui répondit Dio, des éponges dans les oreilles.


Déjà, des vagues cognèrent fortement contre leur petit navire, et Hug pointa son index en direction de la proue. Dio se tourna, et vit ce qui semblait dessiner le contour de immense tour. Et plus important, dans l’air se formait les signes avant coureur d’une protection magique. Il y avait bel et bien un dome de magie qui entourait l’ile. C’était là qu’elle intervenait. Peinant à garder son équilibre dans cette mer en furie, elle avança et leva son bâton, lançant son incantation. Un rayon d’énergie fut propulser et toucha les fameuses parois qui allait bientôt bloquer leurs avancées. Car le navire s’approchait progressivement de l’île. La magicienne dut intensifier ses pouvoirs, sentant que l’effort que demandait cette protection allait être intense. Déja, elle sentait son coeur artificielle chauffer, du à la quantité d’énergie que cela lui demandait.

Mais ses efforts furent récompensé, car une ouverture autour du rayon de mana commença à se former. Elle était entrain de percer la protection magique. Souriant, elle lança une nouvelle charge, ses yeux se mirent à briller et ses veines furent parcourue d’un étrange fluide violacé, changeant la teinte de ses rivières de sang. Sa concentration fut telle qu’elle se mit à ignorer l’environnement menaçant. Grave erreur, car le danger n’était pas vraiment devant eux, mais autour d’eux. Une énorme vague se forma, et sembla comme muée par une conscience propre. Car elle prit de l’ampleur pour se positionner en direction de la magicienne, puis déversa tout son flot sur elle, la faisant perdre pied. Surprise, elle ne put trouver le temps de se protéger, et fut emporter par dessus bord, dans cette mer en furie. Son bâton encore en main, elle tenta de crier à l’aide, mais ne réussit qu’à faire échapper des bulles d’air si précieux lorsque l’on est immergé.

Dionysia Laodice Sergotim savait-elle nager ? La réponse était bloup.

Agitant ses bras dans tous les sens, espérant ainsi déchiffrer l’art de la natation, elle ne put que constater son échec alors que son corps s’enfonçait dans les ténèbres glaçantes de la mer du nord. Seul une lueur d’intelligence lui était parvenu, l’incitant à tenter de lancer un sort. Mais son esprit, bien trop en panique, ne lui faisait que générer une aura de magie à la fois destructice et nécrotique, diffusant des ondes électriques et des flots d’énergie verdâtre. Un infime moment de clarté lui permit de se concentrer pour générer avec son bâton, encore en main, une lumière bleutée intense, qu’elle propulsa sous la forme de sonar dans l’océan. Espérant permettre au vieux Hug de la retrouver pour la récupérer. Mas déjà, sa conscience commença à lâcher et elle ne tarda pas à s’évanouir, la laissant ainsi continuer sa route vers les tréfonds des eaux agitées.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« Dernier message par Souta et Janus le vendredi 19 avril 2024, 06:15:54 »
Ses réactions vont dans le même sens que ses paroles vu qu'elle fait en sorte de me pousser à y aller encore plus fort avec elle. Un long et sauvage soupir de plaisir s'échappe de mes lèvres pour revenir s'écraser sur la peau de son visage lorsque Manea décide d'utiliser ses jambes pour m'empêcher de reculer. Écarteler les parois de sa petite chatte pour y imprimer les dimensions de mon propre membre est une sensation dont je ne me lasserai jamais quand la fille en face est assez réceptive.

- Faut être une sacrée salope pour pouvoir se prendre ma bite aussi profondément dès le premier essai.

Et là, sans forme de procès, je grogne en serrant les dents tout en poussant alors que je cogne contre son utérus pour forcer un baiser entre mon gland et la partie la plus intime de son corps. Nos deux corps semblent se crisper autant l'un que l'autre sans que cela ne m'arrête. Mon bassin enchaîne les coups de rein car j'ai vu l'instant d'avant qu'elle était sur le point de rompre.

Les femmes au bord de l'explosion j'en ai déjà vu un bon paquet et je suis bien décidé à l'entendre hurler son plaisir en jouissant aussi vite que possible. Chaque mouvement de mon corps est accompagné d'un "Urrgh" pour lui faire comprendre à quel point je suis concentré sur ma tâche. Et lorsque le moment fatidique arrive pour elle, je ne m'arrête pas. Je veux que son orgasme soit long et puissant. Son corps a beau se tendre je m'en moque totalement et je continue de la pilonner comme un vulgaire objet.

- Vas-y ! Jouis pour moi, Manea !

De mon côté l'éjaculation ne sera pas pour tout de suite alors que je pensais pourtant que mon corps serait autant sur le point de tout lâcher que le sien. Ma bite reste aussi dure et gonflée pour pouvoir maintenir sa petite chatte étroite bien ouverte et dégoulinante de cyprine.

- On dirait que t'as aimé ça.

Elle n'aura même pas le temps de reprendre son souffle que je repars de plus belle en me retirant presque entièrement en ne laissant que la pointe de mon gland entre ses lèvres intimes. Et là, d'un coup sec, je soulève son corps avec la puissance de mon bassin et le poids de ma bite pour lui arracher une réaction de force. Puis je recommence une seconde et une troisième fois.

- Tu ferais mieux de t'y habituer car plus aucun autre mec pourra passer derrière moi.

Si elle voulait que la baise fort avant de jouir pour la première fois, elle va être servie. Ma tête vient se loger dans son cou frêle et délicat tel un cycliste qui se penche en avant pour affronter le vent quand je me mets à enchaîner les coups de rein rapides et puissants sur son petit corps. J'y vais fort et sans aucune retenue. Mon gland me fait presque mal quand il se cogne à répétition sur son utérus.

Les seules réactions que je peux détecter dans cette position sont celles de son corps vu que ma vision est bloquée. Le mien, lui, est en transe car je veux forcer mon éjaculation. En avoir été privé il y a quelques minutes me frustre terriblement.
C'est pourquoi je persiste à la baiser de cette façon même si elle doit finir par fusionner avec ce fauteuil.

De multiples coups pleuvent sur son corps durant facilement cinq bonnes minutes. Les seules pauses auxquelles à droit sont des moments où je viens la faire se redresser pour mieux pouvoir lui refaire comprendre qu'elle n'ira nulle part tant que je n'aurais pas obtenu satisfaction. Pas un mot, pas un commentaire ne quitte ma bouche. Seulement des grognements. C'est alors que le moment fatidique arrive.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Une explosion de sensations vient inonder chaque fibre de mon corps qui se saisit du sien. Mon éjaculation est largement plus puissante que tout à l'heure car elle me fait me figer plusieurs secondes. Ma bite se fait écraser par sa chatte... Non, on dirait plutôt que ma bite se met à gonfler plus qu'avant pour que le sperme puisse en sortir. Ca ne m'étais encore jamais arrivé avant et je ne sais pas quoi faire. D'un côté je veux sortir et de l'autre rester logé en elle pour la remplir.

C'est alors que mes hanches reprennent le mouvement pour la pénétrer de nouveau afin de laisser les premiers jets sortir et l'inonder de l'intérieur. Du sperme se met à jaillir de son trou à chaque coup de bite car je sens ma propre jouissance éclabousser mes couilles et l'intérieur de mes cuisses quand je lui remets un coup.

- Puuuuutaaaiiiin ! Cette chatte...

Impossible pour moi de formuler une phrase ou même des mots de plus de deux syllabes vu mon état d'excitation qui a du mal à retomber.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« Dernier message par Manea Haruka le vendredi 19 avril 2024, 00:19:49 »
Je sens que mon corps s'habitue peu à peu au sien et ma chatte s'ouvre littéralement sur le passage de cette énorme queue qui n'est même pas encore entièrement enfoncée en moi. Si je craignais une sensation d'inconfort, il faut croire que mon excitation est telle que ça rentre tout seul, les mouvements qu'il commence d'ailleurs à donner avec son bassin sont tellement délicieux que tout mon corps se cambre sous ses assauts.

Sa bouche vient titillent mes tetons et m'arrache plusieurs soupirs de plaisir tandis que je me crispe sous l'effet du bien etre qui enfle dans tout mon corps, ma main vient se glisser sur sa tête pour presque le forcer à rester plaquer sur ma pointe dressee qui ne demande qu'a être stimulée. Je gémis de plus en plus fort tandis que mon regard vient à nouveau se poser sur ce qu'il se passe entre mes cuisses.

La vision de cette énorme bite qui s'enfonce à l'intérieur de moi est bien trop excitente et me fait chavirer. Je sens bien qu'un premier orgasme n'est déjà pas si loin et ma voix tremblante trahit mon état.

- Je crois que je pourrais devenir accro à ta bite.... haaan ce qu'elle me fait du bien...!

Mon corps devient peu à peu incontrôlable et le désir de le ressentir encore plus profondément aussi, je tire sur ses épaules et vient entourer son bassin de ms jambes pour l'inviter à me baiser encore plus loin. Chaque centimètre de plus de sa verge qui me penetre me tire un nouveau couinement de plaisir et je m'elargis encore plus sur son passage .

Si la journée avait mal commencer, je ne pouvais que me réjouir de la rencontre faite à cause de ce vulgaire braquage. Je n'aurais jamais cru avoir l'occasion de me faire baiser comme une petite chienne de la sorte et j'étais bien contente que les choses se déroulent de cette manière.
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Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« Dernier message par Marguerite Clairbois le vendredi 19 avril 2024, 00:10:54 »
La nouvelle esclave avait frémi lorsque le maître lui avait caressé les cheveux. Elle avait essayé de retenir ses larmes de son mieux en dépit du désarroi qu'elle ressentait. La menace d'une nouvelle punition avait été suffisament dissuasive pour l'empêcher de laisser libre court à son chagrin. Elle s'était retenue tant qu'elle avait pu, emportant dans son sommeil le desespoir qui l'accablait.

L'aube apporté fort peu de réconfort à la jeune femme qui avait docilement suivi le mouvement imposé par son maître. Attachée par une longe à la selle de son cheval, elle suivit sans se plaindre ni rechigner, faisant de son mieux pour suivre l'allure insupportable. La campagnarde avait beau avoir été habituée à l'effort physique et se montrer d'une grande docilité, vouloir tenir le même rythme qu'un cheval relève tout simplement de l'impossible.
Elle s'effondra plusieurs fois d'épuisement, causant de nouvelles réprimandes et de nouvelles punitions de la part du cavalier.

Trois jours passèrent ainsi. Trois jours au cours desquels l'esclave ne songea à rien d'autre que avancer et s'effondrer ensuite de fatigue sitôt arrêtée. Le désespoir des premiers instants de captivité avait fini par laisser place à une morne résignation quant à sa situation. Marguerite ne comprend pas pourquoi elle avait été arrachée à sa vie paisible mais est d'une nature bien trop docile pour oser s'en offusquer ou tenter de se soutirer à cette situation. Habituée au servage depuis sa naissance, elle a tout simplement troqué un maître pour un autre. Et le moins qu'elle puisse dire, c'est qu'elle a BEAUCOUP perdu au change.

C'est à peine, alors qu'ils arrivent à destination, si elle lève le regard pour observer l'immense propriété qu'on lui promet être "sa nouvelle maison". La jeune femme, autrefois joyeuse, aguicheuse et badine n'est à la fin du voyage que l'ombre d'elle même. Pieds ensanglantés, visage devenu gris de poussière et considérablement amaigrie. Elle entends les consignes de son maître et ne se sent même plus en état de s'en indigner. Entretenir seule une telle propriété relève sans doutes de l'impossible. L'intérieur à lui seul nécessiterait plus qu'une seule servante pour être rutilant. Les extérieurs sont immenses et exigeraient l'intervention d'un forestier compétent. Une Marguerite au mieux de sa forme et de sa motivation n'y arriverait sans doutes pas. Alors que penser de la jeune femme amenée ici contre son gré et épuisée ?  Il est possible que la tentation de se jeter sur la première fourche venue grandisse en elle au point de devenir irrépressible. Une manière de quitter ce monde en beauté et de dire une bonne fois pour toutes merde à ce maître bien trop exigeant qui se verrait bien puni d'être privé d'une ressource précieuse ...

Pourtant, en dépit de son désarroi, elle trouve la force de répondre.

- Oui maître, je comprend.

Sitôt détachée, Marguerite baisse les yeux sur les traces cruelles que le chanvre a laisse sur sa chair. Frotter ses mains l'une contre l'autre l'aide à faire circuler de nouveau le sang dans ses extrémités endolories. Regard bas, elle suit le maître et hoche, donnant le sentiment de comprendre ses consignes. Elle se déshabille sans chercher à discuter et c'est une fois nue qu'elle part s'acquitter de ses tâches, recevant au passage une fessée qui la fait glapir un instant et beaucoup moins sursauter que ce à quoi on aurait pu s'attendre. Elle se presse davantage pour aller allumer le foyer ... mais à peine. Il faut croire que l'épuisement finit par émousser ses réactions. Rompue aux travaux ménagers, elle ne tarde pas à allumer un feu et à entamer des allers retours entre le puit de la cour et la fameuse cuve avec laquelle visiblement elle va devoir faire chauffer de l'eau. Préparer un bain chaud est malheureusement une entreprise longue et laborieuse dans ces conditions médiévales. L'asservie fait de son mieux, mais l'œuvre laisse amplement le temps au maître le temps de se poser. De la regarder faire s'il est du genre soupçonneux. Ou de s'occuper du cheval qu'il sera de toutes manières nécessaire de desseller et d'installer dans la dépendance qui lui est réservée.

Malgré les clopinements douloureux causés par les courbatures de la jeune femme et les quelques maladresse qui viennent créer quelques modestes éclaboussures dans la cour, le travail avance avec une régularité satisfaisante. La cuve se remplit, le feu gagne en intensité ... bientôt le bain sera prêt.
 
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One Shot / Re : Loup y es tu? [PV Tenshi]
« Dernier message par Ahro le jeudi 18 avril 2024, 23:45:50 »
Leurs odeurs étaient déjà bien mélangées. Si un mâle d’une autre espèce devait s’approcher un peu trop prêt, il sentirait la marque d’une propriété privée. Les hybrides comment eux avait ce petit avantage pour avoir des informations sur les gens sans poser de questions indiscrètes comme les humains pour savoir s’ils avaient leur chance. La réponse était donc établie rapidement.

-On dirait que ça te fait plaisir qu’on sente que tu es prise … par un male.

Il la taquinait un peu malgré tout. Elle semblait aimer cette idée après tout. Mais elle semblait surtout aimer ce qu’elle ressentait en ce moment et en profitait du mieux qu’elle pouvait. Cela faisait déjà trois fois qu’Ahro répondait au plaisir de la Kitsune. Elle avait un grand appétit ! Peut-être une jeune renarde … Après tout, il ne connaissait pas son âge. Mais si c’était le cas … raison de plus pour répondre à ses attentes pour ne pas la voir décamper ailleurs.

En tout cas, elle disait être heureuse … Mais confuse ? Il ne comprenait pas vraiment pourquoi. C’était pas … un peu contradictoire ? Il fixait la renarde d’un air interrogateur, voulant savoir ce qui la perturbait autant.

-Confuse ? … C’est-à-dire ?

Il voulait s’assurer qu’il faisait les choses bien après tout ! Peut-être qu’il fallait répondre à une attente dont il ignorait la nature ! Elle ne venait pas de son village et pouvait avoir une culture un peu différente que la sienne à ce niveau. Alors il devait s’intéresser à ce qu’elle pouvait ressentir en ce moment.

Puis … démontrant son habilité de renarde pour se défaire de lui, elle vient s’occuper de sa verge avec sa bouche … Il frissonnait jusqu’au bout de ses queues. Il se redressait alors pour la regarder entre ses jambes … Avant de venir poser sa main sur sa tête, entre ses oreilles pour la caliner doucement … Sa verge répondant au coup de langue de Ahri en pulsant de temps en temps … hmmm …

-Tu … es gourmande ..
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One Shot / Re : Une ange de compagnie [PV NUHM]
« Dernier message par Nuhm le jeudi 18 avril 2024, 23:29:35 »
Elle était en train d’expérimenter la joie des plaisirs charnel pour la première fois. C’était dangereux pour les anges … Les rumeurs disaient que certains devenaient plus des succubes ou des incubes après avoir gouté à cet interdit … Mais Nuhm n’y croyait pas. Il serait complétement idiot qu’un seul dérapage de la sorte transforme la vie de l’une des créations de dieu ainsi … non ?

-Et bien jouit … Profites et imprimes tout ce que tu ressens dans ta tête … Tu y auras droit régulièrement …

Elle avait sorti ses petites ailes d’ange qui changeaient à vue d’œil de couleur … Avait-elle fait exprès de les sortir pour qu’il remarque ce détail au fur et a mesure qu’elle déhanchait son bassin sur sa verge pour le faire jouir directement en elle ? En la regardant, non … Elle ne semblait même pas y faire attention ! Elle sera bien surprise de les revoir de retour et d’observer ce changement qu’il voyait en direct … hmmm

Il avait fini par jouir en elle, l’arrosant abondamment alors qu’elle lui masse encore la verge après avoir reçu cette semence qui devait mettre fin à sa superbe transformation. Adieu l’ange, bonjour la déchue. C’était un plaisir de la garder plaquer contre lui, lâchant après s’être bien déchargé en elle ses mains pour capturer ses fesses et les serrer, la forçant à garder son bassin bien coller au sien pour qu’elle savoure cette chaleur qui devait maintenant tournoyer dans son utérus.

-Je ne t’ai jamais autorisé à t’opposer à quoi que ce soit … Hmmm .. Mais oui, je t’offrirai ma semence tous les jours … Tu pourras en faire ce que tu veux chaque jour … hmmm … Je me demande à quel point tu es perverse … et ce que tu en feras …

Il se fait ensuite recouvrir le visage de baiser et il lui tendait son cou pour qu’elle puisse combler ses désirs … Mais il fit soudainement exprès de lui attraper une aile pour la lui tirer devant elle alors que sa poitrine se déformait contre son torse … Elle pouvait désormais observer le changement et se concentrer là-dessus …
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One Shot / Re : Manège à sensation…[PV SOUTA & JANUS]
« Dernier message par Tenshi Kazama le jeudi 18 avril 2024, 15:20:56 »






Tenshi avez-vous essayé de voir ce que ça pouvait donner en bifurque un peu les règles mais elle était très vite appelée à l’ordre par le black qui avait son idée précise sur la manière dont il voulait être satisfait. Et bien entendu elle allait devoir se plier surtout après avoir montré à ce jeune homme à quel point elle pouvait être une bonne salope en puissance.  Elle le regarde faisant oui de la tête et commence à frotter son visage contre ses couilles pour bien sentir l’odeur du mâle en rut. Après avoir laissé son souffle chaud, réchauffer davantage cette partie sensible, elle commence à sortir la langue pour se mettre à aller lécher une par une et dans chaque coin qui pouvait exister autour.

Haaaaa C’est tellement bon, et surtout cette odeur

Elle le regarde même si elle le distingue mal à cause de la pénombre, avant d’ouvrir la bouche et commence à mettre les couilles entre ses lèvres pour se mettre à les sucer, en passant sa langue dessus de manière assez rapide avant d’alterner avec des plus langoureux pour le faire craquer à prendre plus vite ça bave était en train de couler sur ses gros seins, pendant qu’elle trempe entièrement les couilles de manière à indecente. Elle adore complètement le côté autoritaire du black, alors qu’avec sa main, elle continue de le masturber, sa grosse bite, alors que sa bouche tête ses couilles.

Elle faisait des bruits de ventouse et commence à frotter sa chatte un peu plus sur la chaussure de son partenaire pour lui montrer à quel point elle n’avait qu’envie que d’une chose se faire traiter comme la plus belle des chiennes. C’est ce qui d’ailleurs avait séduit l’étranger. Après avoir bien sucé les couilles de manière insolente, elle se permet de le défier de nouveau, en reprenant sa grosse bite dans la bouche. Mais cette fois elle n’oublie pas de prendre les couilles en même temps, écrase son visage contre le bas-ventre en faisant des d’apnées pour que ça langue, puisse passer où elle pouvait et le stimuler; elle bave encore plus et bouge la tête de droite à gauche pour pour qu’il puisse bien sentir ses lèvres, aspirer sa grosse bite et ses couilles en même temps
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One Shot / Re : Re : Loup y es tu? [PV Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le jeudi 18 avril 2024, 15:10:15 »







Ahri était prise par des vagues de plaisir qui continuent encore, et encore de devenir ébranlé chaque partie de son corps, à chaque fois qu’il vient percuter le fond de sa chatte, avec une telle intensité pour bien montrer son excitation et l’effet qu’elle pouvait lui faire avec ce visage innocent, qui se fait corrompre petit à petit que les orgasmes s’enchaînent. Et ne me quitte pas des yeux, et viens poser ses mains sur les siennes pour venir s’accrocher à lui, alors que ses jambes se relèvent un peu plus haut pour les permettre de s’enfoncer avec un meilleur angle au fond de sa chatte.

Haaaaa…haaaaaaa…oui … je veux avoir que ton odeur sur mon corps, et que l’on puisse avoir la nôtre à tous les deux pour bien montrer à ceux que l’on peut croiser que je ne suis qu’à toi

Lorsqu’elle était en train de lui répondre, elle était complètement complètement complètement rouge, car jamais jamais elle n’aurait pu s’imaginer sortir de telles phrases. Son corps était en train de répondre positivement à chacun des gestes que le renard pouvait effectuer sur elle, jusqu’au moment où elle crie de plaisir de nouveau, de manière plus forte, lorsqu’il se déverse encore dans sa chatte., elle jouit aussi, à son tour, respire fortement, avant de poser ses mains sur son visage, comme pour le cacher, et dissimulé quelques larmes de plaisir qui viennent couler le long de ses joues

Ahro Je suis tellement heureuse,…haaaaaa… je suis tellement confuse,…haaaaaa

Elle essaye de venir essuyer maladroitement ses larmes, comme une petite renarde déboussolée alors qu’elle avait le sourire aux lèvres et viens ouvrir un petit œil pour le plonger dans le regard du renard, les jambes complètement complètement tremblante. Elle se redresse pour venir mettre ses bras autour du coup de son partenaire.  Elle l’embrasse avec beaucoup beaucoup d’intensité, en jouant avec sa langue et se fera contre lui, tout en gardant sa grosse queue dans sa chatte.. Elle se déhanche sur lui pour bien faire remuer le sperme qui était en train de déborder sur son kimono

Après avoir repris une respiration un peu plus acceptable, elle se défait de lui pour venir à quatre pattes et se penche pour commencer à lui lécher la grosse queue sur toute la longueur avant de se mettre à sucer le gland et laisser tourner sa langue autour de manière frénétique, puis elle vient Descendre ses lèvres autour de la grosse queue pour essayer de l’emmener le plus loin possible, et se délecter de la semence autour de la grosse bite




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One Shot / Re : Loup y es tu? [PV Tenshi]
« Dernier message par Ahro le jeudi 18 avril 2024, 13:04:31 »
-Même si elles sont courtes … Je ne vais pas utiliser l’excuse de tes chaleurs pour te toucher …. Nos odeurs vont … devenir une odeur commune …

A force de vivre ensemble, comme c’est ce qu’elle souhaitait, leurs odeurs allaient se mélanger pour n’en former plus qu’une ! A force de se toucher, de se mélanger dans la couche, ils allaient forcément tout faire pour que ce résultat devienne réel. Bien que les apparences puissent faire croire qu’ils sont frère et sœur avec les traits physiques similaires qu’ils pouvaient montrer, il revint en elle pour marquer un peu plus sa femelle ! Il pouvait désormais l’observer baver dans son plaisir, son visage déformé par le plaisir chaque fois qu’il donnait un coup de bassin …

-Aaaah … Pareil pour moi Aaaa … Je compte sur toi pour … oooh … Jamais me fermer tes cuisses … Aaaa … Je compte m’y infiltrer … AAaaaa la moindre enviiiiiiiieeee …

Il vint alors lécher le petit filer de bave qui coulait sur les lèvres d’Ahri, attrapant alors ses mains à elle pour entremêler ses doigts au sien en tenant celles-ci à côté de sa tête de renarde. Les mouvements de va et vient rester sauvage et profond, laissant les vibrations de cet acte résonner dans la semence qui la gonflait déjà. Cette poigne des mains était plus sensuelle et normal d’un point de vue humain. C’était un peu le mélange de deux cultures, un peu d’humanité dans un acte purement sauvage et instinctif de reproduction. Bien que le plaisir ait envahit ce moment, il laissait un peu place à autre chose de temps en temps. C’était ça ne pas être entièrement une bête.

-Aaaah … C’est laaaaa … Oooh ouiiiiii …

Il s’arretait contre son bassin pour embellir un peu plus ses chaires interne de sperme bien chaud, gémissant en la regardant, voulant l’observer et lui offrir ce qu’elle voulait lui offrir en même temps … elle pouvait le voir jouir dans les yeux. Ses coups de bassin restaient incontrôlés le temps de la jouissance … avant de doucement se laisser couler contre le corps d’Ahri, reprenant son souffle avec le sourire …

-Aaanw … Tu me fais tellement jouir …
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