Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / De l'autre côté de l'écran (PV Tenshi Kazama)
« Dernier message par Camille l'ambigu(e) le lundi 22 avril 2024, 23:32:37 »
Instant hors du temps. Instant de douceur. Instant d’amour.
Presque insolite dans cette chambre où, depuis la première seconde, les deux amants n’ont pensé qu’à baiser.
Instant de répit, mais pas instant de fin.
Tenshi se love contre Camille, et il savoure cette magnifique poitrine pesant contre son torse. Il se souvient de ces vidéos où elle réalisait branlette espagnole ou cravate de notaire, et se délectait quand le foutre lui giclait ensuite sur le visage. Mais Camille a envie d’autre chose ; quoi, il ne le sait, mais Tenshi pense pour deux.

se détendre un peu dans le bassin de l’autre pièce… j’ai envie de me rafraîchir un peu”, elle a deviné ses pensées, elle sait qu’elle est maîtresse de la soirée.
Si elle joint aussitôt le geste à la parole, ne lui laissant pas le choix, c’est néanmoins un geste empli d’amour, comme l’est cet instant. Amour certes pas conjugal, amour du sexe certainement, mais aussi tendre complicité entre deux amants en osmose.

En fait de bassin, c’est plutôt une pièce orientée, autour d’un jacuzzi central, vers une incitation aux jeux amoureux. L’eau à température idéale fait un bien fou à Camille ; c’est comme si son corps se revigorait de l’intensité passée, une détente savoureuse vite interrompue par Tenshi qui vient s’asseoir à califourchon sur lui, écartant les jambes pour se rapprocher au plus près, écrasant sa volumineuse poitrine sur le torse de Camille, frôlant de son bas-ventre la queue de Camille qui se dresse aussitôt.

Excités, il suffirait qu’elle vienne s’empaler dessus, tant sa chatte est ouverte, et ne demande que ça. Mais Camille a envie de faire durer un peu ce moment suspendu ; il ne sait pas si des caméras sont disposées dans la pièce, mais tant pis si les abonnés sont déçus de cet intermède.
Saisissant la coupe de Champagne que lui tend Tenshi, il veut trinquer “à la plus merveilleuse des femmes, à celle avec laquelle je veux encore baiser jusqu’à l’épuiser”, ces mots qu’il lui dit les yeux dans les yeux, tandis que tintent les verres dans le fond sonore des bulles du jacuzzi.

Camille est heureux, comblé, gourmand. De temps en temps, il ondule du bassin, pour que son gland rappelle à Tenshi, en la frôlant, qu’il est prêt pour une nouvelle charge.
Entre deux baisers au Champagne, à jouer avec la langue de Tenshi, Camille fait aussi courir sa langue sur ses seins superbes, ces globes énormes, ces tétons toujours dressés.
Tu es une véritable bombe sexuelle, tu as une imagination sans limites, et je te suivrai volontiers dans tous tes délires, même ceux que je n’aurais jamais imaginés”.
Oui, une bombe, c’est cela ; la moindre étincelle déclenche une nouvelle explosion. Et si, pour le moment, le calme semble là, ça ne durera pas.
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Centre-ville de Seikusu / Quand Camille rencontre Camille
« Dernier message par Camille l'ambigu(e) le lundi 22 avril 2024, 23:08:27 »
Camille ne reste pas longtemps au Starbucks. Le souvenir de cette adorable jeune femme le tenaille, et il n’est pas concentré. Se contenter de choisir certaines photos de classe, pour les recadrer sur une seule personne, n’est pas productif !
Il rentre donc chez lui avant la fin de l’après-midi, mais ce n’est pas cela qui va le concentrer dans son travail. Les murs de son studio sont remplis de tirages de son travail certes, mais les thèmes sont assez orientés ; pas de street photo alors qu’il adore saisir toute la richesse des rues de Seikushu, mais plutôt les portraits parfois très peu vêtus de celles qu’il a photographiées, souvent sur contrat, avec une très nette prédominance pour les 18-20 ans, au milieu desquelles figurent néanmoins des femmes à la cinquantaine avérée se libérant soudain devant l’objectif, et l’étrange absence de ses amants dont il aime pourtant garder un souvenir de la virilité dressée en sus du souvenir que son cul en gardera. En principe, il doit photographier, post-traiter, fournir les clichés, archiver, mais pas imprimer pour le plaisir exclusif de ses yeux.
Si certains collectionnent les conquêtes, Camille collectionne les photos dénudées ! Mais même cela ne parvient pas à chasser de ses pensées cette jolie jeune femme à la peau ambrée, et il finit par s’endormir pour s”égarer dans des rêves bien loin de la sage réserve de cette demoiselle.

A son réveil, ses draps témoignent de la nuit troublée, mais pas le temps de s’en occuper. deux contrats ce matin, un cet après-midi, le boulot reprend le dessus sur la rêverie. Photos de classe en début de matinée, photos d’entreprise ensuite, du strict boulot alimentaire, pas de quoi s’extasier comme la veille l’après-midi. Photos d’une starlette de la K-pop coréenne l’après-midi, en vue d’une série de concerts au Japon, pour l’album d’une pseudo célébrité ultra fardée, dont le corollaire est de faire repenser Camille à la jeune femme de la veille.
Travail expédié au plus vite, promesse de vite livrer les résultats ; direction son QG, Starbucks et Iced cappuccino, histoire de traiter cette commande au plus vite, sans se laisser distraire par les nus qui ornent son studio.

Camille ! Commande 77, Iced cappuccino prêt”... Camille L s’extrait instantanément de son travail, regarde sa table où son Iced cappuccino est à peine entamé, regarde son ticket portant le numéro 53.
Elle me joue quoi ? Je n’en ai pas commandé deux !”, songe-t-il, cherchant à voir d’où vient la voix.
Camille ! Iced cappuccino, deuxième appel.”, Camille L repère d’où vient la voix ; il n’a pas le ticket 77, alors à quoi bon y aller.
Une Camille hier, un ou une Camille aujourd’hui, on va monter un club !”, sourit-il, guettant quel Camille différent va arriver.
Mais… sa bouche en reste ouverte, ses yeux en restent éberlués, son visage se tend incrédule ; ce n’est pas un troisième Camille, mais celle dont il a le souvenir d’hier, qui avance pour prendre sa commande.

Camille L reste figé sur cette apparition. 2 jours, 2 fois, pas un hasard. Elle est toujours aussi rayonnante, toujours aussi souriante, toujours aussi élégante. Rien d’ostentatoire, mais une harmonie à nulle autre pareille.
Camille L se dit que ce doit être un de ses fanatsmes nocturnes qui lui retourne le cerveau, et pourtant la barista remet réellement la commande à l’intéressée.
L’esprit de Camille L tourne plus vite que les roues d’un vélo descendant l’Himalaya, mais il n’arrive pas à se concentrer, à apporter la moindre réponse. “Que fait-elle là ? M’a-t-elle reconnu ? Que dois-je faire ?
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Le Musée / Re : Entre les nus & les aquarelles [PV ASTRAL BOND - HEI]
« Dernier message par Astral Bonds le lundi 22 avril 2024, 23:00:26 »

Hei & Tenshi

Dans la douce quiétude de la galerie d'art, les murmures des œuvres endormies s'entrelacent avec les battements précipités de mon cœur, une symphonie silencieuse de désir et d'attente. Les lueurs tamisées des lampes caressent les contours des tableaux, révélant des histoires oubliées, des passions figées dans le temps. Mon esprit vagabonde dans les méandres de l'anticipation, évoquant des images de Tenshi vêtue de noir, sa silhouette éthérée glissant entre les ombres de la galerie. Je sens le frisson de l'excitation monter en moi, comme une brise nocturne qui caresse ma peau nue. Chaque pas qui résonne dans le hall vide résonne dans les recoins de mon esprit, amplifiant le désir qui brûle en moi. Je m'imagine tendant la main pour effleurer sa peau, pour sentir le frisson de son désir sous mes doigts. Les pensées lascives dansent dans mon esprit, s'enroulant autour de moi comme des serpents de feu, me consumant de l'intérieur. Je me perds dans un tourbillon de désir, de luxure et de passion, chaque pensée me poussant plus près du bord de l'abîme.

Les tableaux qui m'entourent semblent prendre vie, leurs formes se tordant et se contorsionnant dans un ballet sensuel. Je me laisse emporter par la danse enivrante de l'imagination, plongeant plus profondément dans les profondeurs de mon désir. Je sens le poids de l'attente peser sur mes épaules, chaque seconde qui s'écoule semblant durer une éternité. Mais je suis prêt à attendre, à patienter jusqu'à ce que Tenshi entre dans cette pièce et que nos destins se croisent enfin. Mes pensées deviennent des caresses, des baisers brûlants qui embrasent ma peau et embrasent mon âme. Je suis consumé par le feu de la passion, prêt à me laisser emporter par le tourbillon de l'amour et du désir. Et lorsque Tenshi franchira enfin le seuil de cette galerie, je serai là, prêt à l'accueillir dans mes bras, prêt à lui offrir tout ce que mon cœur et mon corps désirent. Car dans cette nuit éternelle de désir et de passion, nous ne serons que deux âmes en quête d'extase, perdus dans les délices du plaisir et de l'amour.

Le murmure de la galerie est brisé par une voix autoritaire, un gardien contestant l'entrée d'une femme que je reconnais immédiatement comme étant Tenshi. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine, un mélange d'angoisse et d'excitation m'envahissant alors que je me prépare à intervenir. Les mots du gardien résonnent dans l'air, emplis de désapprobation et de retenue, mais je ne peux m'empêcher de ressentir une pointe de frustration face à cette interruption inattendue. Tenshi, ma muse, ma source d'inspiration, bloquée à l'entrée de ce lieu sacré, comme une héroïne tragique dans un tableau figé dans le temps. Je m'approche silencieusement de la scène, observant Tenshi alors qu'elle tente de convaincre le gardien de la laisser passer. Son aura est palpable, une énergie brûlante qui émane d'elle et qui me pénètre jusqu'au plus profond de mon être. Dans un mouvement fluide, je me glisse derrière le gardien, ma main se posant fermement sur son épaule. Je sens la tension dans ses muscles alors que je serre avec une force surhumaine, le déplaçant sans effort sur le côté. Le gardien, surpris par ma soudaine intervention, recule instinctivement, me laissant un passage clair vers Tenshi.

« Il y a un passe droit pour elle, c'est moi qui organise cet instant, ne l'oubliez pas. »

D'un geste assuré, je saisis la main de Tenshi, sentant sa peau douce sous mes doigts alors que je l'attire doucement vers moi. Je sens le frisson de son contact électriser ma peau, une sensation délicieusement enivrante qui me fait battre le cœur plus fort. Passant ma main libre autour de sa taille, je la serre contre moi, sentant sa chaleur se mêler à la mienne dans une fusion passionnée. Son corps répond au mien, se pressant contre moi dans une étreinte intime et possessive qui enflamme mes sens. « Voilà donc la célèbre Tenshi Kazama dont Gentaro m'a tant parlé. Il m'a parlé de votre soirée, de vraies bêtes... » Ma main continue son exploration audacieuse, glissant plus bas, jusqu'à ce qu'elle rencontre le tissu soyeux de sa robe. Mes doigts s'enfoncent légèrement dans le tissu, épousant les courbes de ses fesses rebondies avec une fermeté délicieuse. « Je suis Hei Aonuma. Le producteur du groupe Astral Bonds. » Ses hanches ondulent sous mes caresses, cherchant instinctivement un contact plus intime alors que nous nous abandonnons à la passion qui brûle entre nous.

« Je suis donc la seconde personne que tu rencontres. Il te manquera Han, Yôkai, Yamato et le leader du groupe... Roy. Mais pour l'heure, je vais devoir m'assurer que tu as bien enregistré la promesse que tu as faite... »

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One Shot / Re : Re : Une tasse de thé entre le chapelier fou et le lapin blanc [PV A
« Dernier message par Tenshi Kazama le lundi 22 avril 2024, 19:12:36 »


   
Lorsqu’il y signifie qu’il mettrait tout en œuvre pour la traquer ou qu’elle soit et la attiré par les choses. S’il faut pour la coller contre sa bite, elle pouvait sentir son corps se glacer des froids à cette déclaration. Elle se mordit la lèvre quand elle n’avait pas la grosse bite dans sa mouche, mais très vite elle revient à la Provost par obligation à cause de la main du chapelier, qui, apparemment, ne tolère pas la moindre rebellions de sa part, elle continue de couiner à chaque fois que le globe vient au fond de sa gorge. Elle était obligé de faire quelques apnées pour pouvoir encaisser la taille monstrueuse qui fait de lui le plus grand prédateur sexuel qu’elle a connu.

Puis très vite, il vient gicler dans sa gorge pour retirer la bite et en mettre sur sa poitrine. Le sperme dégouline du coin de célèbre avant qu’elle ne ferme un œil pour ne pas recevoir dedans les bras en dessous ses gros seins pour bien lui montrer la surface à repeindre avec sa semence, elle avait la langue pendante et un œil qui le regarde bien cambré vers l’arrière. Elle essaye de retrouver sa respiration après s’être fait baiser la gorge. Comme ça elle pose l’une de ses mains sur son cou. Pour masser un peu, elle pensait pouvoir s’échapper à ce moment-là et rentrer dans sa petite vie tranquille, mais il en avait pas encore fini avec elle.

haaaan…chapelier …pitié…haaaan…

Elle rougit violemment et l’intonation du chapelier qui lui avait donné l’ordre était bien formel et c’est comme si son corps devait réagir. Du tac au tac. La soumission lapine prend le dessus, alors qu’elle vient contre lui en serrant les dents et vient frotter ses gros seins, plein de sperme contre son torse, elle pose ses mains sur ses épaules et n’arrive même pas à le regarder droit dans les yeux, tellement qu’il est magnifique et qu’elle risque de sombrer dans son regard, alors que sa chatte était en train de se frotter contre sa grosse bite, elle se mordit la lèvre et continue à se frictionner. En espérant que cela à détourner son attention.

haaan…chapelier… Tu sais que nous sommes sur mon lieu de travail, et que le temps que tu me réserve est bientôt écoulé dans quelques minutes, le propriétaire est plutôt un cheval sur les horaires que l’on passe avec les CLIENTs

Elle sait pertinemment que ce discours n’aura aucun effet sur lui, car si il le désire, il l’a fait démissionner pour lui mettre une laisse qu’il attacherai avec plaisir à sa ceinture


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Le parc et son sous-bois / Re : Une tournure inattendue [PV Astral Bonds]
« Dernier message par Astral Bonds le lundi 22 avril 2024, 19:09:08 »

Han & Manea & Yõkai

Alors qu'elle se présente comme Manea, je lui adresse un sourire chaleureux, saluant sa présence avec une politesse sincère. Son nom résonne dans mon esprit alors que je l'associe à son visage charmant. Je me demande quelle histoire se cache derrière cette rencontre imprévue, et si elle aura un impact sur notre journée déjà bien remplie. Pour l'instant, je suis simplement reconnaissant pour ce moment de calme et de connexion humaine, même au milieu de l'agitation d'un concert mouvementé. « Enchanté ! Moi c'est Yõkai, et ce rustre c'est Han. » En prononçant ces mots, je ne peux m'empêcher de sourire légèrement, mon regard se tournant vers Han avec une lueur taquine dans les yeux. L'appeler "ce rustre" est une sorte de plaisanterie entre nous, un jeu de mots qui reflète notre relation amicale teintée d'une pointe d'ironie. Han et moi avons un lien fort, forgé au fil des années passées à travailler ensemble dans le groupe. Malgré nos différences de personnalité, nous formons un duo complémentaire, et nos taquineries font partie intégrante de notre dynamique.

Cependant, alors que nous continuons à discuter avec Manea, je ne peux m'empêcher de la regarder avec un certain désir. Son charme naturel et sa silhouette séduisante attirent mon attention, et mes yeux parcourent son corps avec une lueur prédatrice. Je me surprends à tourner autour d'elle, souriant de manière taquine en admirant son petit cul rebondi, que je trouve véritablement alléchant. Dans ma tête, je me laisse aller à mes pensées les plus audacieuses, imaginant des scénarios qui vont bien au-delà de la simple conversation que nous avons. Son aura attire mon attention, et je ne peux m'empêcher de me laisser emporter par mes instincts les plus primaires. Malgré ma nature réservée, je suis captivé par elle d'une manière que je n'aurais jamais cru possible. « J'aime bien les rencontres par pur hasard... » Intérieurement, je me délecte de chaque instant passé en sa compagnie, savourant chaque regard furtif et chaque sourire échangé. Elle est une énigme à mes yeux, une tentation irrésistible qui me pousse à sortir de ma coquille et à explorer des territoires inconnus.

« Arrête Han, tu vas nous attirer des problèmes, encore. »

Alors que nous discutons avec Manea, je remarque le regard insistant de Han sur elle. Je comprends parfaitement ses pulsions et ses désirs, même si je trouve cela un peu déplacé. Han a toujours été impulsif et passionné, et il est difficile pour lui de résister à ses impulsions lorsque quelque chose l'attire. Et même moi, je sens une pulsion sourde en moi, une tentation insidieuse qui me pousse à agir autrement. Les désirs de Han résonnent en moi, amplifiant mes propres pulsions, et je me sens presque capable de céder à la tentation de les exploiter pour mon propre bénéfice. Bien que je puisse aisément exploiter les faiblesses des autres pour mon propre bénéfice, je suis capable de comprendre ses désirs les plus profonds. Et je préfère les faire naître pour en profiter ensuite... « Est-ce qu'à tout hasard, nous pourrions te remercier pour nous avoir rendu cet objet ? Ce serait la moindre des choses. » Alors que la tentation atteint son paroxysme, mes yeux se teintent d'un jaune félin, révélant ma nature de démon. Pendant ce temps, Han se retrouve derrière Manea, son désir palpable dans l'air. Il est sur le point de franchir la ligne. D'un geste rapide, je lève ma main, caressant doucement le visage de Manea d'un revers de la main.

________________

« Han »
« Yôkai »
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One Shot / Prince & Princesse. [ft. Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le lundi 22 avril 2024, 18:54:18 »





Il n’avait pas usurpé sa réputation, loin de là, et il voit clairement que c’était un danger, mais ça elle le savait déjà, mais le fait de s’en apercevoir de ses propres yeux étaient assez effrayant. Elle ne devait pas céder. Il ne fallait pas qu’elle donne les clés à cet homme pour pouvoir mettre à mal. Son futur royaume car le roi était peut-être en place mais elle était sa fille et lorsqu’il passera la main ce sera elle de prendre place, au-delà des cieux, car oui Elle dissimula en ai la clé qui ouvre les portes vers le palais, mais la manière de l’obtenir n’a jamais été révélé à qui que ce soit même pas à elle pour ne pas être victime de manipulation

Elle sent l’énergie spirituelle du traître, il ne pouvait rien faire et se retrouve contre le sol en essayant de respirer alors qu’elle avait la bouche ouverte, essayant d’encaisser comme elle pouvait cette lourdeur, alors que ses mains était un plat au sol, les coups de pli comme pour essayer de se relever, malgré tout ce qui était tout bon impossible car à l’heure actuelle la différence de puissance était bien là mais elle sait pertinemment qu’avec son pouvoir, elle pourrait très bien le surpasser un jour, mais ça il était bien trop tôt

Elle vient lâcher un cri plaintif, lorsqu’il pose son pied sur son dos, pour accentuer la pression qu’il exerce déjà par son bras. Elle serre les dents et réussit tout de même à tourner la tête vers lui pour le fusil du regard avant écarquille les yeux, lorsqu’il mentionne qu’il pourrait faire largement du mal à son entourage, et notamment à son futur époux, car même si c’est un mariage arrangé, elle n’était pas contre surtout avec lui elle vient serrer le point avec difficulté et essaye de gi culer avant d’être pris de nombreuses douleurs à cause de la résistance

…haaa…enfoiré…haaa…tu ne vaincra jamais la soûl…byakuya…est puissant…aussi…tu te surestime …traitre… libère-moi, détour d’énergie que je puisse…te cracher au visage… lorsque je vois les poules que tu t’es construit…reste faire mumuse avec elles…haaaa… car je te donnerai jamais ce que tu veux…et mon futur mari… n’hésiterai pas une seconde sur le choix que je dois faire…

Parce qu’il vient lui claquer le cul, elle commence à respirer fortement, puis elle le voit s’accroupi devant elle lève les yeux pour soutenir son regard et essayer de dominer sa peur. Puis elle écarquille de nouveau lLeses yeux il voulait la déshabiller mais pourquoi dans quel but la violer non c’est impossible il aspirait de plus grandes choses que ce genre de coup bas. Et puis il avait de quoi se divertir en terme de figure féminine dans ce palais à deux balles.

me déshabiller, mais qu’est-ce que tu crois ?… que je vais me soumettre pour ne pas poser nuit devant toi…… décidément, t’es carrément à côté de la plaque…haaaa… tu te sens obligé de libérer ton énergie spirituelle… pour combler ton impuissance… si tu ne l’utilises pas ? … rien que pour ça tu ne gagneras jamais.…

[/quote]
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Le Musée / Entre les nus & les aquarelles [PV ASTRAL BOND - HEI]
« Dernier message par Tenshi Kazama le lundi 22 avril 2024, 18:35:00 »

Après avoir passé sa nuit de folie avec Gentaro, Tenshi avait donc fait un pacte avec le diable pour devenir of officiellement la pute du groupe, ce qui inclut tous les membres sans exception. Pour s’être fait prise en délit dans sa luxure, elle venait de gagner six hommes.. le démon lui avait bien dit qu’elle devait attendre les nouvelles des autres, et que d’ici là, elle avait interdiction de se faire baiser par un autre homme. Elle savait qu’il devait se plier à ce premier ordre. Elle avait dû mettre en suspens son activité pornographique avec sa chaîne car il lui avait aussi interdit d’utiliser les accessoires pour se soulager. Le seul objectif était de rendre la femme infidèle dans tous ces états pour rencontrer les autres membres du groupe

Et ça n’avait pas loupé, elle s’était tenu à la règle complètement folle, de pas pouvoir se masturber ou prendre une bonne bite dans la chatte et dans le cul c’était une véritable torture pour elle jusqu’au jour où elle reçoit un SMS d’un numéro inconnu. Il s’agissait du manager du groupe qui lui donne rendez-vous au musée, car il devait y aller pour repérer les lieux, car il avait prévu de faire la pochette du nouvel album parmi les tableaux

Tenshi n’en pouvait plus, mais elle ne savait pas. Si lui. Il était au fait du contrat qu’elle avait passé avec le démon car il lui avait parlé que des abonnements du groupe sans vraiment préciser que le manager était inclus ou non son mari était à la maison elle lui avait prétexté qu’elle ne se sentait pas bien pour ne pas se faire baiser par lui, ce qui n’avait pas vraiment d’un pacte, car pour compenser, il s’enfermait dans son bureau pour travailler. Elle lui la vie excuse qu’elle avait un bénévolat à faire et qu’elle devait y aller et qu’elle en aurait sûrement sûrement pour l’après-midi. Si ce n’est plus très peu curieux car il ne se sentait pas inquiété et ne se doute pas une seule seconde que sa femme était la plus belle des salopes.

Elle était habillée d’une robe noire, style laine avec des talons aiguilles. Elle avait pris son sac à main mais il n’avait mis aucun sous-vêtements et sa chatte était déjà plus ou moins mouillée à cause de l’excitation depuis quatre jours. Maintenant Seyki était un record pour elle d’abstinence. Le musée avait été plus ou moins réservé suivant la galerie, elle devait quand même payer son entrée pour pouvoir accéder à la partie publique. Elle avait simplement reçu un partage GPS sur la position ou le manager trouve elle suit son téléphone sans regarder les tableaux.

Elle elle doit relever le nez car elle se heurte à un gardien qui vient bloquer l’accès à la section qui indique le lieu-dit.

Bonjour excusez-moi je dois accéder à cette partie-là car j’ai rendez-vous avec un monsieur peut-être que vous êtes au courant

GARDIEN - MA PETITE DAME, CET ENDROIT EST RÉSERVÉ, IL N’Y A PAS DE PASSE-DROIT OU QUOI QUE CE SOIT

Tenshi essaye de lui expliquer la situation sans rentrer dans les détails et lui montre son téléphone sur l’invitation qu’elle avait reçu. Mais apparemment le gardien n’était pas vraiment disposé elle a laissé passer.
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The Mad Hatter & The White Rabbit

Je sentais le contrôle absolu, chaque coup de pénétration renforçant mon emprise sur elle. Son plaisir, son désir, sa soumission, tout cela n'était que le reflet de ma puissance sur son être. La voir succomber à la sensation de ma bite massive en elle, entendre ses cris de plaisir mêlés à la douleur, cela ne faisait que nourrir mon ego démesuré. Chaque ordre que je lui soumettais était une démonstration de ma supériorité, de ma domination totale sur sa volonté. Son corps tremblant, ses yeux remplis de honte et de plaisir, étaient la preuve vivante de ma maîtrise. La manière dont elle offrait sa poitrine à lécher, comment elle se soumettait à mes désirs les plus vils, cela ne faisait que renforcer mon contrôle sur elle. « T'as déjà cédé en me laissant remplir ton cul de mon foutre... » Je savais qu'elle était désormais à moi, corps et âme. Son besoin de moi, son désir de me plaire, étaient autant de preuves de ma domination incontestée. Chaque gémissement, chaque souffle haletant, était une symphonie à ma gloire, une ode à ma toute-puissance. La voir se donner ainsi à moi, dans toute sa vulnérabilité, me remplissait d'un plaisir pervers et indéfinissable. Elle était ma création, ma jouet, et je savourais chaque instant de sa soumission. Je savais que rien ne pouvait briser le lien qui nous unissait désormais, que j'étais son maître absolu, son Chapelier fou de désir et de pouvoir.

« Je saurais où tu trouves. Je te traquerai jusqu'à ce que tu m'avoues m'appartenir, jusqu'à la fin des temps. Tu n'auras aucun répit, tu es ma chose, petite salope... »

Chaque mouvement de ses seins, chaque expression de plaisir sur son visage, ne faisait que confirmer ma domination sur elle. Elle était mienne, pour toujours, et je comptais bien profiter de chaque instant de cette possession. Je ressens une excitation intense qui parcourt tout mon corps lorsque je glisse ma bite entre les seins moelleux de Bunny. La chaleur de sa peau, la douceur de sa poitrine, tout cela amplifie mes sens, faisant monter en moi un désir irrépressible. Chaque mouvement de va-et-vient entre ses seins enflamme mes sens, me procurant une sensation de plaisir à la fois délicieuse et sauvage. Sentir ma bite humide glisser entre ses obus est une expérience divine, chaque centimètre de ma peau en contact avec la sienne m'enivre de plaisir. La pression de ses seins autour de ma verge, la sensation de ses mamelons sous mes doigts, tout cela m'emporte dans un tourbillon de sensation inouïe. Je suis captivé par la vue de ma bite disparaissant et réapparaissant entre ses seins, tandis que je sens la tension monter en moi à chaque mouvement. « Han... PUTAIN ! » Chaque giclée de sperme qui jaillit de ma verge est comme une libération de toute tension accumulée, un déversement de plaisir pur et absolu. Je sens le liquide chaud et visqueux s'étaler sur la peau douce et satinée de Bunny, formant des traînées nacrées sur ses seins généreux. Chaque éclaboussure de sperme est un témoignage de ma jouissance débordante, une offrande à la déesse qui m'a transporté au sommet du plaisir.

Je me sens comblé, apaisé, alors que les dernières gouttes de sperme quittent ma verge et se mêlent au mélange déjà étalé sur ses seins. Je suis rempli d'une profonde satisfaction, d'un contentement absolu, sachant que j'ai donné à Bunny tout ce qu'elle désirait et plus encore. Je me sens reconnaissant pour cette expérience, reconnaissant d'avoir pu explorer les limites du plaisir avec elle, et je sais que ce moment restera gravé dans ma mémoire pour toujours. Je ressens un frisson de domination parcourir mon être alors que je retire brusquement ma verge de entre ses seins, privant Bunny de cette source de plaisir. Je la vois, là, étendue devant moi, ses seins encore nimbés de mon sperme, attendant mes prochaines directives avec une docilité presque palpable. Sans hésitation, je l'attrape par les cheveux et lui administre quelques claques cinglantes sur les joues, marquant sa peau de ma volonté incontestée. Chaque claque de ma bite est un rappel de ma puissance, un signal de ma domination absolue sur elle. Je vois la marque rouge laissée par mes mains sur sa peau pâle, et cela ne fait qu'attiser davantage le feu de ma luxure.

« Je veux remplir ta chatte alors grimpes sur moi à califourchon, c'est un ORDRE... ! »

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One Shot / Re : Prince & Princesse. [ft. Tenshi]
« Dernier message par Astral Bonds le lundi 22 avril 2024, 18:12:31 »

Aizen & Tenshi

Elle doit oublier qui je suis ! Je suis Aizen. Un être de pouvoir absolu, inébranlable dans ma conviction et ma détermination. Tenshi, princesse cachée, croit pouvoir résister à ma volonté. Elle se trompe. Son potentiel est une source que je ne laisserai pas inexploitée. Je m'approche d'elle avec une assurance qui ne connaissait pas de limite, mes paroles glissaient comme des lames de rasoir dans l'air. Elle était figée devant moi, tentant vainement de dissimuler sa peur derrière une façade de défi. Mais je sentais la vérité dans son regard. Elle savait qu'elle ne pouvait rien contre moi. Son arrogance la perdrait, elle le savait, mais elle persistait dans sa résistance. Pourtant, ses efforts étaient vains. Sa force était insignifiante comparée à la mienne. Elle serait bientôt forcée de plier le genou devant moi. Elle tentait de se libérer du collier de restrictions, en vain. Elle était à ma merci, comme tous les autres avant elle. Son obstination était vaine. Elle n'avait aucune chance contre moi. Elle aurait dû accepter sa destinée et devenir un instrument de ma grandeur. Je savourais l'instant, la sensation de pouvoir absolu qui m'enveloppait. Tenshi était un pion dans mon jeu, un pion que je suis sur le point de déplacer à ma guise. Elle continuait de résister, mais je savais que c'était inutile. Bientôt, elle céderait, comme tous les autres.

Elle était condamnée à me servir. Résister ne ferait que prolonger son agonie. Elle aurait dû accepter son destin et devenir un instrument de ma volonté. Je me détournais d'elle, laissant planer dans l'air le poids de ma domination. Tenshi était entre mes mains maintenant, un jouet que je pouvais manipuler à ma guise. Elle était mienne. Et bientôt, tout le monde le saurait. D'un geste impérieux, je claque des doigts, faisant disparaître mes sous-fifres instantanément. Tenshi et moi nous retrouvons seuls dans la pièce, son regard reflétant à la fois la crainte et la résolution. Je la fixe avec intensité, mon pouvoir enveloppant la pièce dans une aura de domination absolue. « Parce que tu crois un instant que je te demandais ton avis ? J'aurai pu, par principe, mais tu ne me laisse pas le choix... » D'un coup je libère l'infinité de ma pression spirituelle dans la salle, laissant Tenshi submergée par sa puissance écrasante. Son corps s'écrase au sol, plaquant ses gros seins contre le carrelage glacial, sa résistance futile face à ma volonté écrasée sous le poids de mon pouvoir. Je la regarde avec satisfaction, savourant sa soumission forcée. Elle est à ma merci, et elle le sait. Je savoure ce moment, laissant planer le poids de ma suprématie sur elle. Tenshi est entre mes mains maintenant, un pion que je peux manipuler à ma guise. Et bientôt, elle sera pleinement consciente de sa place dans mon grand dessein.

Descendant de mon trône avec une assurance implacable, je marche d'un pas mesuré jusqu'à Tenshi, dominant chaque pouce de la pièce de ma présence imposante. Arrivant à sa hauteur, je n'hésite pas à écraser mon pied sur son dos, l'obligeant à sentir le poids de ma suprématie. Sa forme soumise sous moi ne fait que renforcer ma conviction de son allégeance inévitable. Penchant ma tête sur le côté, je me prononçais : « Sache une chose, j'utiliserai ton pouvoir, peu importe ce que tu choisis. Sois tu intègres mes rangs, sois j'absorberai ton pouvoir et je me ferai une choix de l'utiliser sur toutes les personnes que tu peux affectionner à la Soul Society. » Tenshi est désormais pleinement consciente de sa place à mes pieds, son destin entre mes mains. Je contemple mon œuvre avec satisfaction, tandis que le monde se plie à ma volonté.

« Je démembrerai ton futur époux et j'exposerai sa dépouille aux yeux de tous... Ce serait regrettable n'est-ce pas ? »

Lorsque je prononce ces mots, c'est avec un calme glaçant, une assurance absolue dans mes capacités et mes intentions. En menaçant de démembrer le futur époux de Tenshi et d'exposer sa dépouille aux yeux de tous, je cherche à instiller la peur et le désespoir dans le cœur de la shinigami. C'est une démonstration de mon pouvoir absolu, de ma capacité à infliger la douleur et la destruction à ceux qui osent me défier. En exprimant cette menace, je veux lui faire comprendre qu'aucun obstacle ne se dressera sur ma route sans en subir les conséquences les plus terribles. Pour moi, ce ne serait qu'une autre étape dans la réalisation de mon grand dessein, une autre démonstration de ma domination absolue sur ceux qui osent s'opposer à moi. Sans hésitation, je m'accroupis près de Tenshi et lui administre une fessée volontaire, comme pour la punir de sa résistance et de son arrogance. C'est un geste de domination, un rappel brutal de sa place inférieure par rapport à moi.

« Si tu ne veux pas que je te déshabille et que je te souille, soumets-toi... »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« Dernier message par Souta et Janus le lundi 22 avril 2024, 17:56:34 »
Heureusement que j'avais décidé de me lever pour m'éloigner d'elle quelques instants parce que la pause est de courte durée. Mon corps n'oppose aucune résistance lorsqu'elle m'attire avec elle sous la grande cabine de douche qui doit facilement faire la taille de ma salle de bain.

Mon attention ne reste pas longtemps focalisée sur la décoration plutôt soignée de l'endroit. Pas quand je peux sentir de délicates petites mains se promener sur mon torse musclé. Entre les séances de sport et les bagarres je ne rate pas une occasion de me dépenser. Sauf que c'est cette fois elle qui ne reste pas concentrée sur un seul et même objectif.

- Si c'est juste une fois ça devrait aller.

Sa façon de rester près de moi pour me chauffer me pousse à répondre. Ma main droite vient donc se coller brutalement sur son petit cul pour lui saisir avec vigueur une fesse. Il faut dire que la nature l'a particulièrement bien lotie de ce côté et qu'il serait stupide de ne pas en profiter un peu pendant que la situation est calme.

L'eau qui s'écoule sur mon corps a un effet reposant qui est terriblement efficace. Tous mes muscles se détendent et je peux un peu plus profiter de cet échange comparé à tout à l'heure où l'on se jetait l'un sur l'autre sans réfléchir.

- Tu comptes t'y prendre comment au juste ?

La position de nos corps fait que l'eau tombe principalement sur nos épaules et notre poitrine. Ma bite reste donc encore sale et couverte d'un mélange de sperme/cyprine qui doit avoir commencer à souiller ses doigts depuis l'instant où elle s'est mise à me branler.

- Et on peut encore essayer un tas d'autres trucs. Rien que ce petit cul... j'en ferais bien mon affaire si t'aimes la sodo. Mais pas aujourd'hui. Je préfère garder ça pour un autre jour.

La main sur son adorable derrière parfaitement rond continue de caresser sa peau de pêche pendant que je m'amuse à lui balancer des saloperies sur mes envies futures. Seul un idiot laisserait passer une occasion pareille en ne programmant pas une suite face à une nympho de ce calibre. En plus rare sont les nanas à pouvoir se prendre ma queue sans hurler à l'aide.
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