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Les alentours de la ville / Re : Vapeurs écarlates [Lucian Kalvenhaar]
« Dernier message par Lucian Kalvenhaar le Aujourd'hui à 11:44:25 »L'ambiance tamisé de la salle donne à la pièce qui se joue un charme certain, seulement, ce qui la rend aussi unique et captivante n'est pas la chorégraphie technique du personnel en coulisse mais bel et bien le jeu d'acteur parfaitement maîtrisée de la jeune femme en son centre. Personne n'ignore le regard qu'on adresse aux individus dont la morphologie ne rentre pas dans un cadre stéréotype et nombreuses sont les personnes qui se sente mal à l'aise de ne pas en être, peu s'affirme. L'amour de soi-même, une question de perspective et d’ego qui se travaille de manière solitaire dans un premier temps puis par la suite, publiquement. Il est plus qu'évident que cette femme toute en chair et en courbe a dépassé ce stade de pensée, qu'elle en est même au point de la révélation, de la révolution. Le charme et l'élégance n'appartient pas qu'un une catégorie de corpulence, bien au contraire, en cet instant, tous ont les yeux posés sur elle et il suffit de prêter l'oreille pour constater que les rires amusés ne sont pas moqueur et critique mais admiratifs. Un regard plus posé et observateur, il en faut peu pour que le démon puisse voir se dessiner sur les pommettes de certains hommes des rougeurs révélatrice de leur culpabilité et pensée inavouée. Cet ensemble de réactions misent à nues ne font que conforter Lucian dans sa prise de décision, bien heureux d'avoir franchi la porte pour assister à cet événement.
Était-ce voulu ou non, peut-être s'était-il montré trop insistant et inquisiteur dans sa manière de la détailler, quoiqu'il en soit, qu'importe ce que peut en être la raison, l'actrice semble avoir jeté son dévolu sur sa personne. Inconnu parmi beaucoup d'autre, étranger aux coutumes et ignorant du scénario établi, il se surprend à s'encrer plus profondément dans son siège lorsqu'elle vint papillonner dans sa direction, se demandant un instant si cela n'est seulement dû aux choix de sa table. Il ne peut empêcher son regard de croiser le siens, rencontrant alors ses iris couleur noisette non sans éprouver un fourmillement parcourir tout son être. Cette sensation qu'il vient de ressentir, il ne s'y confronte que lors de rencontre significative qui ne sont généralement pas sans importance, comme un instinct qui lui dicte que la personne qu'il a en face de lui aura, qu'il le veuille ou non, un impact sur son futur proche ou lointain. Un pressentiment qui ne donne pas d'information sur sa bienveillance ou l'inverse, le laissant seul juge de cette interprétation et de son devenir. En cet instant, ce n'est pas un malaise qu'il ressent ni même une mise en garde mais une sorte de gêne, une bonne gêne. L'expression du visage qui lui fait face et communicatif, contagieux même puisqu’il en vient à échanger avec elle un sourire qui se veut discret mais approbateur, enclin à devenir sa fleur le temps d'un moment.
Le battement de ses ailes, l'envolée de ses gestes qui papillonne autour de lui transporte avec élégance la fragrance de son parfum qui enivre et ajoute plus encore de charme à son personnage. Là encore, il décèle la délicatesse et le soin mit dans chaque détaille, allant de sa tenue à son maquillage, peut être même aux moindre grain de beauté perceptible. Une courte seconde il se mordille la lèvre avant que son derme ne soit effleurer par la volupté de son souffle en son creux qui l'interpelle et le surprend. Elle enjoint la prise de contact et même si cela fait peut-être parti du script ou du fan service, il y accorde une attention particulière, comme une invitation à répondre plus tard lorsque la situation s'y prêtera. Enfin, l'arythmie prend une autre tournure, les lumières se font dansantes et l'atmosphère environnant trouve un nouveau souffle quand intervient l'éphèbe qui l'accompagne. S'il éprouve du regret à la voir s'éloigner de lui, ce n'est qu’éphémère et vite oublier lorsqu'il a le loisir de pouvoir à nouveau poser son regard sur sa silhouette qui virevolte d'une table à l'autre jusqu'à retourner à la scène principale ou se sont concentrés tous les projecteurs.
S'il lui est déjà arrivé de participer à des soirées explicites si ce n'est dire obscènes lors de ses échanges commerciaux nobliaux en Terra, il peut affirmer son rougir que ce qu'il a sous les yeux en cet instant n'a rien à leur envier. Des femmes nues, mises en avant dans des positions révélatrices, prise même dans un ébats public, il se souvient y avoir toujours ressentit une sorte d'aversion, de dégoût, ce qui est loin d'être le cas lorsque son regard à l'instar d'un insecte pour la lumière est irrémédiablement captivé. Outre l'aspect burlesque octroyé à la scène, l'effeuillage qui se joue est pour lui bien plus prenant et excitant que ce qu'il a déjà pu voir au court de son millénaire. Il manifeste la fausse pudeur, elle apporte l'élégance, elle transporte l’envoûtement et, s'il n'a pas l'occasion de poser son regard ailleurs, il est plus que certains que ce n'est pas le torse parfaitement taillé de son partenaire qu'on dévore mais l'exposition maîtrisée de chaque partie de son corps qui se dévoile jusqu'à la limite voulu, pas trop mais pas assez à la fois, faisant naître l'envie d'en découvrir plus sans pour autant laisser en bouche le regret que ce ne fut pas le cas. Une fin tout bonnement calculée qui laisse en chacun la sensation d'un merveilleux moment passé.
Il faudra plusieurs longues minutes à Lucian pour se remettre de ses émotions mais aussi bien pour analyser ce qu'il venait de voir ainsi que la suite de la marche à suivre. Initialement venu pour en apprendre un peu plus sur les goûts musicaux de cette époque afin d’apporter une nouvelle couleur à la palette artistique qui se joue au sein de son établissement, il se questionne sur comment y parvenir. Pris dans son interrogation, le mouvement de foule autour de lui fini par attirer son attention, les suivant alors du regard jusqu'à ce que ses yeux se posent sur la source de cette agitation. Il se souvient de l'invitation, ou du moins l'avait-il interpréter de cette manière, et se décida alors à y répondre en troquant son siège pour un autre. Ainsi donc, après s'entre faufiler parmi la foule, il parvint à rejoindre le comptoir pour prendre place juste à côté de l'acteur et vedette de la soirée à qui il adresse naturellement un sourire qu'il s'étonne à avoir sans que celui-ci ne soit pensé.
- Je vous ai connu moins habillée, mais je dois avouer que toute vêtu, vous n'en perdez en rien votre charme.
Introduit-il dans un timbre qui se veut amicale, espérant qu'il n'ait pas mal agît, qu'il n'ait pas mal compris, qu'il ne l'importune pas en venant à sa rencontre comme elle avait pu le faire plus tôt. Prenant place à ses côtés, il posa à nouveau son regard sur elle pour mieux la détailler avant de choir sur son faciès non sans percevoir un échauffement.
- Excusez-moi par avance si je me montre trop cavalier, votre prestation m'a grandement impressionné et j'aurai souhaité en voir davantage. Ne se rendant pas compte sur le moment que cela pourrait porter à confusion. - J'ai chez moi, une troupe d'artiste, nous offrons à nos clients des spectacles, mais rien de ce genre. Je veux apporter de la nouveauté, mais pour cela, l'aide d'une experte est recommandé.
Il marque une courte pose, cherchant ses mots , le regard braqué sur le comptoir, sa main masquant ses lèvres le temps de la réflexion avant de se redresser et se tourner à nouveau dans sa direction
- Ce que je veux dire, c'est que j'apprécierai beaucoup que vous acceptiez chez nous pour des cours particulier ! Affirme-t-il dans une forme d'enthousiasme maladroit.
Était-ce voulu ou non, peut-être s'était-il montré trop insistant et inquisiteur dans sa manière de la détailler, quoiqu'il en soit, qu'importe ce que peut en être la raison, l'actrice semble avoir jeté son dévolu sur sa personne. Inconnu parmi beaucoup d'autre, étranger aux coutumes et ignorant du scénario établi, il se surprend à s'encrer plus profondément dans son siège lorsqu'elle vint papillonner dans sa direction, se demandant un instant si cela n'est seulement dû aux choix de sa table. Il ne peut empêcher son regard de croiser le siens, rencontrant alors ses iris couleur noisette non sans éprouver un fourmillement parcourir tout son être. Cette sensation qu'il vient de ressentir, il ne s'y confronte que lors de rencontre significative qui ne sont généralement pas sans importance, comme un instinct qui lui dicte que la personne qu'il a en face de lui aura, qu'il le veuille ou non, un impact sur son futur proche ou lointain. Un pressentiment qui ne donne pas d'information sur sa bienveillance ou l'inverse, le laissant seul juge de cette interprétation et de son devenir. En cet instant, ce n'est pas un malaise qu'il ressent ni même une mise en garde mais une sorte de gêne, une bonne gêne. L'expression du visage qui lui fait face et communicatif, contagieux même puisqu’il en vient à échanger avec elle un sourire qui se veut discret mais approbateur, enclin à devenir sa fleur le temps d'un moment.
Le battement de ses ailes, l'envolée de ses gestes qui papillonne autour de lui transporte avec élégance la fragrance de son parfum qui enivre et ajoute plus encore de charme à son personnage. Là encore, il décèle la délicatesse et le soin mit dans chaque détaille, allant de sa tenue à son maquillage, peut être même aux moindre grain de beauté perceptible. Une courte seconde il se mordille la lèvre avant que son derme ne soit effleurer par la volupté de son souffle en son creux qui l'interpelle et le surprend. Elle enjoint la prise de contact et même si cela fait peut-être parti du script ou du fan service, il y accorde une attention particulière, comme une invitation à répondre plus tard lorsque la situation s'y prêtera. Enfin, l'arythmie prend une autre tournure, les lumières se font dansantes et l'atmosphère environnant trouve un nouveau souffle quand intervient l'éphèbe qui l'accompagne. S'il éprouve du regret à la voir s'éloigner de lui, ce n'est qu’éphémère et vite oublier lorsqu'il a le loisir de pouvoir à nouveau poser son regard sur sa silhouette qui virevolte d'une table à l'autre jusqu'à retourner à la scène principale ou se sont concentrés tous les projecteurs.
S'il lui est déjà arrivé de participer à des soirées explicites si ce n'est dire obscènes lors de ses échanges commerciaux nobliaux en Terra, il peut affirmer son rougir que ce qu'il a sous les yeux en cet instant n'a rien à leur envier. Des femmes nues, mises en avant dans des positions révélatrices, prise même dans un ébats public, il se souvient y avoir toujours ressentit une sorte d'aversion, de dégoût, ce qui est loin d'être le cas lorsque son regard à l'instar d'un insecte pour la lumière est irrémédiablement captivé. Outre l'aspect burlesque octroyé à la scène, l'effeuillage qui se joue est pour lui bien plus prenant et excitant que ce qu'il a déjà pu voir au court de son millénaire. Il manifeste la fausse pudeur, elle apporte l'élégance, elle transporte l’envoûtement et, s'il n'a pas l'occasion de poser son regard ailleurs, il est plus que certains que ce n'est pas le torse parfaitement taillé de son partenaire qu'on dévore mais l'exposition maîtrisée de chaque partie de son corps qui se dévoile jusqu'à la limite voulu, pas trop mais pas assez à la fois, faisant naître l'envie d'en découvrir plus sans pour autant laisser en bouche le regret que ce ne fut pas le cas. Une fin tout bonnement calculée qui laisse en chacun la sensation d'un merveilleux moment passé.
Il faudra plusieurs longues minutes à Lucian pour se remettre de ses émotions mais aussi bien pour analyser ce qu'il venait de voir ainsi que la suite de la marche à suivre. Initialement venu pour en apprendre un peu plus sur les goûts musicaux de cette époque afin d’apporter une nouvelle couleur à la palette artistique qui se joue au sein de son établissement, il se questionne sur comment y parvenir. Pris dans son interrogation, le mouvement de foule autour de lui fini par attirer son attention, les suivant alors du regard jusqu'à ce que ses yeux se posent sur la source de cette agitation. Il se souvient de l'invitation, ou du moins l'avait-il interpréter de cette manière, et se décida alors à y répondre en troquant son siège pour un autre. Ainsi donc, après s'entre faufiler parmi la foule, il parvint à rejoindre le comptoir pour prendre place juste à côté de l'acteur et vedette de la soirée à qui il adresse naturellement un sourire qu'il s'étonne à avoir sans que celui-ci ne soit pensé.
- Je vous ai connu moins habillée, mais je dois avouer que toute vêtu, vous n'en perdez en rien votre charme.
Introduit-il dans un timbre qui se veut amicale, espérant qu'il n'ait pas mal agît, qu'il n'ait pas mal compris, qu'il ne l'importune pas en venant à sa rencontre comme elle avait pu le faire plus tôt. Prenant place à ses côtés, il posa à nouveau son regard sur elle pour mieux la détailler avant de choir sur son faciès non sans percevoir un échauffement.
- Excusez-moi par avance si je me montre trop cavalier, votre prestation m'a grandement impressionné et j'aurai souhaité en voir davantage. Ne se rendant pas compte sur le moment que cela pourrait porter à confusion. - J'ai chez moi, une troupe d'artiste, nous offrons à nos clients des spectacles, mais rien de ce genre. Je veux apporter de la nouveauté, mais pour cela, l'aide d'une experte est recommandé.
Il marque une courte pose, cherchant ses mots , le regard braqué sur le comptoir, sa main masquant ses lèvres le temps de la réflexion avant de se redresser et se tourner à nouveau dans sa direction
- Ce que je veux dire, c'est que j'apprécierai beaucoup que vous acceptiez chez nous pour des cours particulier ! Affirme-t-il dans une forme d'enthousiasme maladroit.









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