Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Place publique / Re : l'improbable déesse humaine... (PV Laëlia)
« Dernier message par Laëlia le Aujourd'hui à 17:20:09 »
Je remarque que le petit traitement réservé à la poitrine de la chatte ne la laisse pas insensible alors je continue ainsi à la stimuler pendant un bon moment tout en laissant le plaisir grimper à nouveau lorsque nos sexes se frottent et que nos cyprines se mélangent. Néanmoins je ne me contente pas d'aussi peu et je viens finalement agripper fermement ses cuisses pour la repositionner correctement sous moi, me laissant libre accès à l'intégralité de son corps.

Je lui adresse un sourire et confirme cette bonne idée de se voir plus souvent en lui lançant un petit clin d'oeil :

- Ca me plairait beaucoup, je pense d'ailleurs que cela te plairait beaucoup aussi vu l'effet que je te fais.

Et d'ailleurs, en bonne joueuse, je suis bien décidée à lui offrir un orgasme magistral. Alors sans prévenir, je plonge à nouveau ma tête entre ses cuisses pour me mettre à suçoter son clitoris, stimulant celui-ci avec ma langue sans lui laisser de répit, tout en pénétrant trois de mes doigts dans son vagin parfaitement lubrifié et excité pour me mettre à les agiter profondément.

Je me laisse guider par les contractions de ses muscles, signe évident qu'elle prend son pied, et décide de la stimuler là où elle semble le plus apprécier.

2
One Shot / Re : Une découverte imprévue [PV Nyoras Club]
« Dernier message par Laëlia le Aujourd'hui à 17:01:35 »
Le plaisir intense ne cesse de grimper entre les deux colocataires et Melinda prend de plus en plus gout à leur échange charnel. Elle ne parvient plus à s'arrêter d'onduler du bassin et les vas et vient des doigts de la belle entre ses cuisses lui arrache des gémissements de plaisir.

Elle ne se gêne pas non plus, d'ailleurs, de lui soutirer des soupirs de plaisir en bougeant ses propres doigts à l'intérieur de son vagin. Elle sent que ses cuisses s'écartent naturellement et la jeune femme prend ça comme une invitation.

Finissant par mettre fin à leur baiser et un peu haletante, elle ancre son regard dans celui de son amie pour lui susurrer :

- C'est vraiment trop bon...je... je crois que j'ai envie que jamais ça ne s'arrête...

Mais elle a aussi envie d'en découvrir d'avantage et guidée par sa propre curiosité et le plaisir qu'elle a envie de voir déformer le visage de Clara, elle s'éloigne un peu pour venir se mettre doucement à genoux, parcourant la peau de la belle d'innombrables baisers sur son chemin. Elle s'attarde un instant sur sa poitrine pour embrasser ses tétons avant de glisser le long de son ventre jusqu'à son pubis.

Un peu timidement mais avec toujours beaucoup d'envie, elle libère sa langue pour venir la glisser entre ses lèvres intimes, venant titiller son clitoris gorgé de désir ainsi que son orifice tellement trempé d'envie. Ses mains viennent naturellement agripper ses cuisses pour lui permettre d'enfoncer sa tête et la gouter de manière plus intense. Sa langue s'amuse à la découvrir dans les moindres recoins, tandis qu'elle découvre le gout de sa cyprine et que celle-ci lui donne encore plus envie de la dévorer.

- Hmmm t'es trop bonne...
3
Les alentours de la ville / Re : Submergée (Pv. Leona Morimoto)
« Dernier message par Leona Morimoto le Aujourd'hui à 15:03:35 »
Leona était comme à son habitude non loin de la plage, et encore plus précisément, dans cette petite grotte submergée qu'elle s'était trouvée. La jeune hybride y avait élue domicile. C'était certainement le meilleurs endroit qui pouvait l'accueillir, elle y vivait bien et surtout coupé de tout. C'était en quelque sorte son petit havre de paix. Néanmoins, la jeune femme n'avait pas encore fouillée toute les potentiels entrées de cette grotte. Par chance, le soleil et l'eau particulièrement claire venait éclairer quelque peut sa demeure. Leona se trouvait encore dans l'eau, pouvant aisément y voir à travers. Distinguant une jeune femme, à la peau claire qui semblait visiter sa petite grotte. Et au vu de ses paroles, elle disait ne pas vouloir faire du mal à qui que ce soit. Leona ne se sentait pas menacer pour un sous, au contraire, la situation était même très amusante, comme un cadeau de bienvenue.
La jeune hybride vint alors sortir du bassin qui se trouvait au milieu de la grotte et lui servait d'accès à sa grotte depuis la mer. L'eau coula rapidement le long des courbes de Leona, ses cheveux vinrent également sécher rapidement. Contrairement à ces derniers, sa peau resta luisante, comme enduite d'huile, brillante à souhait. Il s'agissait de la sueur épaisse et qui n'avait rien d'humain de la jeune femme, effet de son hybridation afin que sa peau ne sèche jamais. Elle fit face à son invité, lui affichant un timide petit sourire. Leona portait comme à son habitude son petit bikini deux pièces de couleur dorée, son haut semblait peiner à soutenir sa large poitrine, parfaitement ronde avec un galbe assez inhabituel.


"Oh ? Hé bien, vous semblez perdu ! Vous avez trouvé ma demeure ! Alors bienvenue dans la grotte de Leona !"


L'hybride vint alors s'attarder plus longuement sur les courbes de sa nouvelle invité, une large poitrine, bien plus que la sienne, ce qui vint la rendre presque jalouse. Leona possédait néanmoins un fessier plus large et rebondie que la jeune femme, voilà qui venait rééquilibrer les choses. La peau de la jeune femme était si blanche, à croire qu'elle ne prenait jamais le soleil voir qu'elle le fuyait. Cependant, cette pâleur lui donnait un certain charme, comme de quelque chose de fragile et d'inoffensif.
4
Les contrées du Chaos / Re : Liberté ou nouvelle entrave ? (PV)
« Dernier message par Maximilien le Aujourd'hui à 10:05:50 »
S'occuper de son enfant, tout en gérant son entreprise n'est pas chose aisé. Il y a encore peu, j'avais des ressources et petit à petit, celle-ci diminue. Mais le premier coup fut bien celui de me fiancé à cette elfe, Dawayna.
Si je savais que cela allait secouer mes parents et les siens, je n'aurais pas imaginé être renier pour autant. Mes affaires en ont sérieusement pâtis, mes partenaires d'hier tentant de devenir mes créanciers de demain... Quel culot, vouloir me payer moins chère mes produits et en plus vouloir m'aider financièrement avec contrepartie. Autrement dis, m'endettez pour gagner ma part de marché !

Ayant compris leur intention, j'ai bien sûr refuser et les ai perdu. Ma fiancée est ensuite tombée enceinte, j'étais heureux mais ce fut une situation délicate, autant financièrement que pour sa santé. J'étais inquiet pour elle, mais Dawayna refusa de privilégier sa vie à celle de son enfant et... elle en paya le prix. Elle rendit son dernier souffle en mettant au monde notre fille, Arwen.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Ce fut deux ans très douloureux pour moi, ma famille ne voulait plus de moi et ma belle famille elfique... M'en voulait pour avoir "tué" leur fille chérie. Toutefois, leur petite fille les poussa tout de même à me porter main forte et me soutenir. Arwen avait mes yeux, mais c'était le portrait craché de sa mère. C'est elle qui me remotiva, avec ses grands yeux remplis d'amour lorsqu'elle me regardait.

La troisième année de sa vie fut celle de ma reconstruction, j'avais presque fait faillite, mais je remontais lentement la pente. Toutefois, j'étais constamment anxieux et j'avais du mal à profiter du temps avec ma fille qui grandissait et produisait ses premiers mots. Son oncle, mon beau-frère venait lui apprendre l'elfique et j'en profitais aussi pour garder le mien intacte afin de partager avec eux. Ce qui n'était pas de tout repos.

Mais après cinq ans à me donner corps et âme, je commençais à avoir des problèmes de santé. Du surmenage, me prévint le docteur, malgré tout, je continuais. Tenir bon... c'est ce que je disais, mais je m'étais effondré plusieurs fois déjà. Ce fut lorsque je manquais de me faire tuer par accident en tombant d'épuisement, que je me rendis compte qu'il me fallait du repos. Arwen pleura à chaude larme ce jour-là en me voyant tomber raide sur la route.

Il me fallait quelqu'un qui resterai auprès de moi, pour me soutenir et s'occuper de ma fille. Une femme dans ma vie en somme... mais avec une belle-fille elfique, peut était les humains ou elfe qui s'intéressait à moi. Alors une nannie ! ... Mais je n'aurais jamais imaginé que cela coûterai si chère, surtout si celle-ci souhaitait prendre des vacances.
Ne restait alors plus qu'un plan... Qui ne me plaisait pas vraiment, mais je n'avais pas le choix. ... Une esclave !

Un de mes clients m'avait informé qu'il avait une connaissance qui vendait une hybride de très bonne qualité. Jusqu'à la, je n'avais même pas pensé à quel espèce et n'y prêta guère attention. Par contre... je fus sidérer que l'achat se passe en auberge. Pour mettre en avant un "produit" ce n'était pas le mieux. Après il y avait du passage... mais ce n'était pas la haute société. Elle ne pouvait plus y être vendue ? Bon... l'avantage c'est que je n'aurais pas à débourser un prix phénoménal pour cet... "achat". Je ne voulais pas instruire ainsi ma fille, mais je faisais au mieux.

Je découvris ainsi, dans cet environnement, l'hybride du nom de Snowly. Une belle panthère des neiges, et après avoir entendu des rumeurs, je compris mieux pourquoi elle aurait eut du mal à être revendu à la haute société. Elle aurait tenté de séduire un noble déjà marié pour avoir du pouvoir. Du moins, voilà la rumeur... Autant dire que tous les hommes fiancés se serait fait taper dessus par leur épouse s'ils avaient lorgné sur elle.

Le vendeur venait passer de table en table présenter son esclave, donner des informations et le prix. Un coût trop haut pour les curieux, mais pas les marchands ou la base noblesse présente. Dont j'étais moi-même déchu. L'hybride était attirante et bien qu'embarrasser, j'avais moi-même des pulsions intimes à m'occuper. Les histoires d'amours c'est bien jolie, mais faudrait pas oublier le désir... autant masculin que féminin.
Après un soupire, je me levais pour aller directement voir l'hybride.

- Bonjour, comment tu te nommes ? Tu peux me dire quelles sont tes compétences ? Ce qu'on t'a apprit ? Lui demandais-je d'une voix douce avec un sourire amicale.
5
Ville-Etat de Nexus / Re : Dans le plan astral, la Passion règne [Seryana]
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le lundi 04 décembre 2023, 17:23:08 »
L’air sembla s’électriser et la température du lieu augmenta significativement, au point que le Roi se sentit un peu trop habillé avec ses vêtements de voyage.

La divinité apparut rapidement. À son œil, il décela une note de curiosité et peut-être de surprise, comme s’il avait mis le pied sur un nid de frelons.

Après avoir reconnu son étiquette, elle exigea qu’il se présente à elle. Bien qu’il n’eut plus l’habitude qu’on s’adresse à lui sur un tel ton de commandement, il ravala son orgueil pour ne pas risquer d’irriter le puissant esprit et leva une main, la posant sur son torse, avant de s’incliner poliment.

« Je suis Serenos, votre Magnificence. On me connait en tant que souverain des Trois Royaumes d’Ayshanra. Je prie votre Sublimité de pardonner mon arrogance d’avoir ainsi envahi votre domaine sans y avoir été invité, mais je viens intercéder auprès de vous en faveur du village d’Osid. Le chef de village clame à qui veut l’entendre que de mauvais esprits s’en prennent aux habitants, mais selon mes observations, aucun mauvais esprit n’habite les environs. J’en déduis qu’un villageois, ou plusieurs, vous ont peut-être commis outrage. »

Il remarqua son observation sur sa personne, mais il n’attribua pas ce regard à un intérêt personnel. De ses expériences antérieures avec des avatars des esprits primaires, la plupart s’étant soldé avec une altercation plutôt éprouvante, son premier réflexe fut de se tendre légèrement. Seryana, à sa connaissance, n’était pas un être de violence, mais il ne pouvait que supposer le niveau d’outrage requis pour qu’elle soit encline à tourmenter des villageois, et les faits surnaturels que ces êtres étaient capables lorsqu’agacé suffisaient à le mettre sur ses gardes.

« Je connais les histoires qui vous entoure, j’ai beaucoup visité le continent au cours des années, et ces récits ne vous décrivent pas comme aisément courroucée. Puis-je m’enquérir sur la cause de votre déplaisir ? »
6
Les contrées du Chaos / Liberté ou nouvelle entrave ? (PV)
« Dernier message par Snowly le lundi 04 décembre 2023, 15:54:19 »
Son regard ne daigna même pas se relever vers moi avant que je ne franchisse le seuil de la porte. Et pourtant, je suis persuadée... Ou du moins ne serais-ce qu'une douce illusion, qu'elle se soit égarée derrière les rideaux de satin pour me regarder une dernière fois disparaître au détour d'une rue. Nous y sommes. Mise à la porte de mon premier foyer, celui où je serais née, choyée, éduquée - même si j'ai encore de nombreuses lacunes, disons que pour une terranide esclave, je possède des bases -, nourrie, et aimée... Du moins, je le croyais. Là aussi, cela n'aurait été qu'une simple illusion ? En tous les cas, à ce jour la douce enfant que j'étais aux yeux de ma maîtresse, est à présent à l'image d'une voleuse d'époux. Jamais ô grand jamais, je n'ai pourtant posé le moindre dévolu sur cet être que je ne considérait que bien peu. Lui en revanche, a vu sous un tout autre regard cette enfant Terranide, devenir une jeune femme. Je suis alors devenue un obstacle, une rivale pour ma maîtresse qui décida alors, de me faire quitter les lieux au plus vite. J'eus à peine le temps d'emporter quelques affaires avec moi, en réalité, hormis ce que je porte actuellement, je n'avais droit à rien d'autre. Mes affaires seront certainement remises à celle qui prendra ma relève. Quant à moi, je ne sais qu'elle sera ma prochaine destination. Me contentant simplement de talonner cet homme, missionné de me revendre au premier venu.

Je le suivais sans une once de rebellions, sûrement trop conditionnée à ma cause. Nul besoin de me soustraire à une laisse, ou une quelconque chaîne. En revanche, surement pour pour ne pas me faire oublier ma place et ma conditions, l'on vient à me nouer les mains sur le devant, par une petite cordelette qui me lacère quelque peu la chaire. Docile, je ne cherchais pas à m'évader. Pour quoi faire ? Mon statut ne me permettrait pas de vivre normalement, je serais rattrapée, punie... au meilleur des cas. Étant nulle libre de droit, je suppose que les autorités viendront rapidement de mettre la main sur moi, mais ce sort serait-il plus doux si une personne malveillante venait à me posséder. A dire vrai, aucune pensée ne me fit frémir. Loin de dire que je n'éprouvais pas de peur, mais je laissais les choses venir telles qu'elles sont. Je me laisse guider par cet inconnu, jusqu'à quitté Ashnard et nous trouver après une longue route, sur une terre que je ne connaissais pas.   

Nous entrons dans ce qui semble être une auberge, un lieu plutôt distrayant et assez bruyant. Beaucoup de monde s'y trouvait, au moins, je passais un minimum inaperçu. L'homme m'intima de me poser contre le mur, dans un coin. Ce que je fis sans chercher à comprendre, pendant qu'il traversa les lieux à la recherche d'un potentiel acheteur. Surement, ne voulait-il pas m'avoir dans les pattes pour négocier mon prix. Ô, connaissant ma maîtresse, elle voulut certainement en tirer le meilleur. Une Terranide docile, élevée pour servir, et vierge qui plus est, devait bien se revendre au plus offrant. Je balaye du regard quelques échanges curieux qui se tournent vers moi, tandis que d'autres m'ignorent. Les Terranides sont pour certaines des objets convoités, d'autres nous voient plus comme des bêtes curieuses, et nous avons ceux qui semblent dérangés par notre présence. Oui, je les vois ces regards provocateurs, pervers, mais aussi de dégoûts. C'est à se demander lesquels sont les plus dérangeants. Mon air impassible les omit tous, restant contre ce mur, mains jointes, jouant nerveusement de mes doigts, tandis que mes oreilles s'agitèrent en paraboles sur mon crâne.   

7
Ville-Etat de Nexus / Re : Dans le plan astral, la Passion règne [Seryana]
« Dernier message par Seryana le lundi 04 décembre 2023, 14:48:31 »
Il n’était pourtant pas si compliqué de contenter la belle déesse, quelques offrandes, du vin, des fruits, des viandes, de bijoux. Tout cela, même en petites quantités lui suffisait en fonction de son humeur, certes parfois, ses attentes étaient… plus élevées. Cependant, certains individus d’un village récalcitrant s'étaient montrés, à la base, peu coopératifs. Si jusqu’à présent, la déesse avait su faire preuve de patience, à présent c’étaient des outrages et blasphèmes qui lui étaient adressés, de son point de vue. La vérité était que deux individus s’étaient portés comme porteurs de la pensée de tous.

Quoi qu’il en soit, aujourd’hui, une petite région paie le prix de ce que la déesse considère comme une injure à sa grâce et sa beauté et tant qu’elle ne serait pas satisfaite cela ne cesserait pas, de plates excuses, des offrandes dignes d’elle, une preuve que sa passion est respectée et vénérée comme il se doit.

Les jours passent, elle finit par ressentir comme une présence, quelqu’un avait osé s’approcher des lieux alors que la déesse était encore courroucée, que ses serviteurs se pliaient en quatre et couraient pour apaiser son humeur. Cela fut suffisant pour attiser son intérêt. Elle veilla à distance pour voir si elle connaissait potentiellement l'individu. La réponse était non. Probablement, venait-il de l’extérieur, mais il sembla poser des offrandes, au moins il était bien éduqué et savait à qui il avait à faire.

La grande et belle déesse se montra, venant lui apparaître dans le dos pour passer à côté de lui, venait jeter un œil aux offrandes.

-Tu n’es pas des lieux, mais tu sais comment me faire honneur, tu sais donc à qui tu t’adresses. Qui es-tu, jeune mortel et que désires-tu ?

Elle lui jeta un regard observateur, il était plutôt bel homme.
8
Les contrées du Chaos / Comme une lettre à la... Marmelade
« Dernier message par Red King le lundi 04 décembre 2023, 13:02:45 »
Quel magnifique temps nous avons là !
Voler dans le ciel est un des plus grands dons que tout être peut avoir ! Quoi que les êtres marins me dirais que je suis fous. Là ou les spatial me regarderait en mode "c'es tout ?"
Finalement... il y a tant à faire, à voir ! C'est pourquoi j'adore voyagé en planant aux dessus des forêts, montagnes, océans, etc... La vie regorge d'être partout, même si les plus petits ne m'intéresse pas. ... Déjà faudrait pouvoir voir ces microbe à l'œil nue.

Et puis, le choix de mon métier ne fut pas contre ce désire de voir le monde. Postier !
Oui, rien de fou, mais croyez-moi, j'ai certainement rencontrez plus de créature que vous à force d'aller à droite-gauche pour donner une lettre. Mes plus folles excursion furent celles entre chef de guerre. Ahaha, éviter d'être troué en plein vol ! Ce ne fut pas de tout repos !
Même les raccourcis ne sont pas de tout repos... Quand on croise un prédateur du ciel, un dragon, ou un wyvern. Sa m'a couté quelques plumes et sa fait mal ! Mais j'ai bien plus d'agilité qu'eux, alors ça passe.

Aujourd'hui, je suis de retour d'un long voyage et ayant aperçu une forêt qui m'est encore inconnue, j'ai décidé... d'y camper !
Ma vue "d'aigle" m'a permit de trouver un lieu proche d'un point d'eau, auquel me ressourcer et me baigner.
Contrairement à d'autres, pas de tente avec mes ailes, cela serait problématique, un vrai piège même ! Un hamac en hauteur, trois mètres au dessus du sol pour moi. Et le reste suspendus dans mon sac.

Pour le moment, le soleil descend doucement, alors j'en profite pour me baigner, cela fait un grand bien. Et surtout, retire cette fichue odeur de cheval. Ouai, j'ai dû dormir dans lune grange hier soir, il n'y avait plus de place. Certes, les animaux produisent pas mal de chaleur, donc je n'ai pas eu froid. Mais par contre vive les odeurs...
Je me frottais bien fort la peau, la faisant rougir avec un gant de toilette.

Malgré ce qu'on peut imaginer, je restais à l'affut avec... Des plumes plantés un peu partout. Celles-ci restaient connectés à moi et ressentait toute vibration d'air se rapprochant. Ainsi, sauf créature souterrain ou voyageant dans la matière, genre dans les ombres, les arbres, etc... je serais tenue au courant. Et la puissance de mes ailes me permet de m'envoler malgré l'eau présente dessus. Je sifflotais donc tranquille et serein.
9
Centre-ville de Seikusu / Re : Soirée Sugar Rencontre - Feat Areon Kelemen
« Dernier message par Areon Kelemen le samedi 02 décembre 2023, 23:46:40 »
Cet ascenseur n’avait pour œil que la caméra de surveillance. Le vigile qui devait assurer la sécurité dans sa cabine devait s’en donner à cœur joie, bavant devant son écran en jalousant ce qui se passait devant ses yeux. Pourtant, cela ne devait pas être la seule et unique fois ou il avait pu observer ce genre de comportement.

Areon et la charmante Mee-na se lâchaient ! Bien qu’il ne fallût que de pauvres petites minutes pour atteindre l’étage du parking, celles-ci avaient semblé être bien plus longue. Cette passion dans cet échange de baiser faisait perdre la tête et la notion du temps. On pouvait presque décrire ça comme les effets négatifs d’une drogue. Pourtant, c’était surement et simplement les effets des hormones qui s’excitaient dans une dans linguale intense.

-Je vous suit.

Mais il fallait bien y mettre fin pour mieux en profiter plus tard. Les portes ouvertes, il fallait sortir et trouver la voiture. Areon avait bien noter ou il avait laissé la voiture. La jeune femme avait fait les premiers pas hors de cette cage. Il la suivit alors avant de lui passait devant, lui prenant la main au passage pour la guider et garder ce contact corporel. Sa voiture n’était pas une voiture de grand riche, ni celle du modeste civil. C’était un équilibre bien trouvé entre les deux classes, accessible aux deux. Une BMW avec quatre places. Tout comme son apparence ne disait rien sur sa richesse, la voiture non plus. Peut-être que Mee-na allait se poser des questions sur sa véritable fortune ou alors … Allait-elle continuer à le suivre ?

- Vous vivez loin?

-Je dirai à 15 minutes … 30 si nous n’avons pas de chance et que nous prenons feu et bouchon ! Et vous ?

Il ricana un petit peu avant d’arriver à la voiture et d’ouvrir alors la porte du côté passager en bon gentleman. Une fois qu’elle se serait installée, il irait tout simplement prendre le volant pour l’emmener chez lui. Un lieu ou ils parleraient surement bien plus du fameux contrat que dans un parking ? Il ne pensait pas que la jeune femme allait commencer son petit jeu avant d’avoir posé sa signature. Il fermait la porte pour aller côté conducteur, lui laissant le plaisir de constater qu’une partie de la voiture avait les vitres teintées pour plus d’intimité et il sortit sa clé de contact pour démarrer la voiture …

-Je vous laisse choisir la fréquence de la radio ? … Et … dois-je mettre un peu de chauffage ? Il y a aussi le siège chauffant si jamais …


De quoi mettre à l’aise pour le voyage. Areon était prêt à démarrer pour se rendre chez lui.
10
Tekhos Metropolis / Pour quelques grammes de poudre [Pv ~ Marmelade]
« Dernier message par Belphy Mueller le samedi 02 décembre 2023, 17:39:53 »
Le terme vacance est quelque chose d'assez curieux. Pour beaucoup, il rime avec une forme de bonheur attendue, un juste retour pour un travail accompli avec zèle et précision. Il est la conceptualisation d'un besoin évident de l'espèce humaine, celui de pouvoir s'éloigner du labeur et profiter un tant soit peu des siens alors que les jours s'enchaînent normalement sans le permettre. À Tekhos, ces périodes vacancières ne sont pas établies, il s'agit surtout de décisions entrepreneuriales ou personnelles, chacun trouvant la meilleure période de son année pour pouvoir s'offrir ce divin repos. Quand à la mercenaire aux cheveux de sang, il s'agit très souvent dans son cas d'instants indésirés, pour la simple raison que cela rime avec un manque d'activité dans son domaine d'expertise dans le meilleur des cas... Ou alors d'un besoin de l'écarter un peu de la scène le temps que quelques affaires se tassent pour le pire. Depuis deux semaines maintenant, c'était la seconde option qui prévalait, laissant la femme dans son appartement à attendre que les heures défilent, tout en espérant qu'un coup de téléphone l'éloigne enfin de son ennui de plus en plus envahissant.

Mais ce qui résonna dans la pièce, bien loin de son petit compagnon de poche, fut l'interphone de son appartement, l'obligeant alors à se redresser du canapé pour se traîner mollement en direction de la porte d'entrée. Elle étend sa main, touche du bout des doigts le petit bouton permettant d'ouvrir la communication, puis le presse sans grande envie, s'imaginant déjà avoir affaire à une vendeuse à la sauvette ou une démarcheuse de quelques organisations anti-progrès. À la place, le petit écran de son interphone s'illumina pour lui révéler la présence de deux femmes en tenues plutôt emblématiques de leur fonction dans la société tekhane : Des flics. Une vision qui ne manqua pas de définitivement faire perdre l'envie à Belphégor de se comporter courtoisement, ce qu'elle fit comprendre dès ses premiers mots :

" Si vous venez pour la soirée costumée, c'était hier. C'est dommage vous avez la gueule du déguisement, z'auriez fait fureur.
 -  Mademoiselle Mueller, bureau des affaires criminelles. Veuillez nous ouvrir et vous préparez à nous suivre.
 -  Ah, visiblement votre collègue se souvient encore de mon dernier interrogatoire. C'est bon, j'ouvre, cinquième étage, au fond du couloir à droite. Vous montez juste pas le bourrichon, c'est déjà suffisamment compliqué pour moi de ne pas lutter, j'risque d'envoyer l'une de vous par la poste si j'prends un coup."

Un coup d'index et la porte principale de l'immeuble s'ouvrait, tandis que la mercenaire aux cheveux de sang alla simplement se trouver de quoi se vêtir. Les deux dernières membres des forces de l'Ordre l'avait trouvée nue dans son salon, visiblement peu gênée par la situation, ce qui avait bousculé celle aux moeurs les plus délicates. Quand à la fois d'avant, une crétine un brin trop zélée l'avait attrapée par le bras pour la pousser hors de son logis, occasionnant alors le courroux de Belphégor. Un courroux à huit mille sept cents crédits d'amende pour la mercenaire et six mois d'arrêt pour la pauvre agent de police. La tueuse aux tarifs exorbitants s'égayait d'ailleurs de l'idée d'avoir, désormais, une petit fiche à son nom dans les bureaux des forces de l'Ordre tekhane quant à la manière de se comporter avec elle pour ne pas finir dans un cercueil. Au moins, elle leur faisait payer un petit peu pour les multiples dérangements dont elle faisait l'objet depuis de nombreuses années désormais. C'est qu'elle s'était faite des ennemis avec le temps, des ennemis qui, parfois, pensaient pouvoir utiliser leur aplomb sur les membres de la police de Tekhos Metropolis pour la forcer à plier devant l'autorité.

Autant de tentatives qui s'étaient, bien sûr, soldée par d'inénarrables échecs. Belphégor enfila maladroitement une paire de collant, un haut simple qu'elle recouvra d'un épais pull en laine, puis elle attacha ses cheveux en une longue queue de cheval. Même relevée ainsi, sa chevelure virevoltait jusqu'au dessous de ses fesses, mais il paraît que ça reste plus présentable quant elle se retrouve face à une ponte de la sécurité publique que lorsqu'elle décide de laisser l'ensemble voler en tout sens dans un chaos incompréhensible. Un peu de sagesse provenant du fait qu'elle vieillissait, sûrement. Enfin, une paire de souliers au pied, et la voilà devant sa porte quand elle entend la petite sonnerie lui indiquant l'arrivée de ses indésirables invitées. Ouvrant la porte d'un geste las, elle n'a guère le temps de sortir une nouvelle pique qu'on lui présente alors un code holographique permettant de stipuler de l'identité de ses futures gardiennes, tandis que l'une des deux flic se met à lui parler avec un ton grave mais relativement peu intimidant. Pas mal, peut-être qu'elle devrait souligner ce professionnalisme auprès du prochain officier qu'elle croisera, ça lui permettra d'avoir droit à ce même traitement les prochaines fois.

" Belphégor Mueller, vous êtes en état d'arrestation dès maintenant et pour les prochaines vingt-quatre heures.
 -  Allons bon, c'est quoi ce coup-ci ? Manque de respect des protocoles, plainte pour destruction de biens publiques ?
Vol d'équipement militaire de type 4 à une espèce sentiente protégée par les articles 124-7 à 132-12 du code pénal. "

Autrement dit... Le vol de matériel permettant de construire des équipements que l'armée garde sous l'injonction du secret défense tandis qu'il était transporté par une espèce inférieure technologiquement mais protégée par les lois Tekhanes. Cela faisait longtemps que Belphégor n'avait pas revue ses textes de lois, mais elle était quasiment certaine que ce genre d'infraction pouvait sûrement l'envoyer faire un séjour définitif à la prison Eternum. Un constat auquel elle ne sut pas mieux réagir que par un faciès envahit d'une surprise flagrante, mêlé à une incompréhension toute aussi évidente :

" ... Hein !? "


*
*   *

Seize heures plus tard, Belphégor commençait enfin à comprendre un peu plus la situation. Les événements avaient été bien moins amusants que la dernière fois, la gravité de l'acte qu'on lui imputait rendant immédiatement son hobby de taquiner les forces de police beaucoup moins intéressant. Emportée sous bonne garde hors de chez elle, on l'amena immédiatement à une voiture qui traversa sans aucune difficulté les grandes avenues bordant les hauts immeubles de la zone d'habitation de Tekhos Metropolis pour alors l'amener au coeur de la cité. Ici, les boulevards et les places ne sont qu'autant de moyens de desservir l'ensemble des entreprises tertiaires et autres administrations bien sûr irréprochables de la ville technologique, l'ombre des bâtiments assurant une ombre quasi-perpétuelle à moins de vivre dans les plus hauts étages de la cité. Quand à ce qui existait en dessous des routes, l'on évitait d'en parler. En tout cas, la mercenaire aux cheveux de sang n'eut pas le temps de voir le poste de police lui passer devant qu'elle comprit qu'elles ne s'y arrêteraient pas : le véhicule continua plus loin, l'amenant quelques minutes plus tard au centre de défense des forces Tekhanes.

Le message était simple, elle ne ressortira pas des lieux tant qu'on ne lui en donnera pas expressément le droit. Encore un constat très peu agréable s'il en était.

Rapidement amenée jusqu'à une salle d'interrogatoire aux murs d'un blanc parfait, elle y fut laissée pour attendre vainement qu'on lui offre le droit à quelques explications supplémentaires de sa présence entre ces murs. Elle n'avait pas besoin de cacher son manque d'enthousiasme, ni même de faire semblant de ne pas comprendre ce qu'il se déroulait, mais elle eut beau se placer à l'endroit exact où devait se trouver la paroi fantôme permettant aux membres du bureau de la garder à l'oeil sans qu'elle ne les voit, ou de leur expliquer en long, en large et en travers qu'elle connaissait le fonctionnement des lieux pour avoir été plusieurs fois de l'autre côté de ces murs, personne ne sembla réagir à ses provocations. Puis après de longues heures, une dame bien apprêtée se glissa dans sa salle par la porte d'entrée, petit dossier sous le bras dont le nombre de documents engouffré dedans semblait vouloir en faire craquer la pliure, pour alors s'installer contre un mur et entamer de lui expliquer la situation.

Pas une seule bonne nouvelle dans sa présentation par ailleurs. Visiblement, quelqu'un lui ressemblant très fortement, si ce n'était à l'identique, aurait agressée un groupe de voyageur d'une ethnie sous la protection des forces de Tekhos Metropolis. Outre cette agression déjà lourde de conséquence, qui d'ailleurs n'étonnerait personne au vu du comportement généralement détonant de Belphégor dès lors que quelque chose semble l'insatisfaire, l'agresseur aurait en sus récupéré l'ensemble de la cargaison de cette populace pour alors s'éloigner avec dans un véhicule volant. Si la membre du bureau ne pouvait clairement pas nommer le matériel dérobé, sa disparition semblait mettre les grandes pontes de l'industrie militaire dans une folie furieuse sans précédent, aussi la demande qu'on trouvât la coupable s'était faite entendre de manière absolument limpide. Voilà ce qui amenait Belphégor dans cette pièce froide, sans meubles et dénuée de la moindre forme d'occupation valable, au beau milieu de ses vacances : une vraisemblance entre elle et la description qui avait été faites par le peuple récemment arrivé à Tekhos Metropolis.

" Rassurez-moi, vous ne pensez tout de même pas que c'est suffisant pour m'inculper ?
 - Oh non, bien sûr Mlle Mueller. C'est pour cela que nous avons organisé, durant cette petite discussion, une reconnaissance faciale avec les membres de l'excursion qui devaient livrer le matériel.
 -  Cette ethnie est mixte ?
 -  Il semble oui, même si je doute que leurs hommes soient au fait de vos habitudes quant à l'extermination masculine."

Elle claqua sa langue dans un signe d'agacement.

" Comme si la parole d'un être masculin pouvait avoir la moindre valeur à Tekhos Metropolis. Vous aimez perdre du temps franchement.
 -  Oh n'ayez crainte mercenaire... La personne dirigeant cette expédition est une femme, la cour l'écoutera volontiers ! "
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