Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pages: [1] 2 3 ... 10
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Prélude / Re : Celindra, tête de Tigre ? [Seremialidée]
« Dernier message par Randal Dragunov le Aujourd'hui à 01:39:44 »
Ah bah tiens, une mutante à la tête d'une organisation criminelle. Bienvenue de nouveau chez vous, chère consoeur.  8)
2
Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le mardi 11 novembre 2025, 23:40:22 »
"Um… je… Les deux ?"

Je m'attendais peut-être à une autre réponse, mais la façon dont elle prononce ces deux mots m'arrache un sourire; ce n'était pas complètement faux, assurément, mais pas complètement correct non plus. Dans sa voix, je sens un léger trémolo, surtout de la façon dont ses yeux, derrière ses lunettes, avaient déjà commencé à m'observer, et de la façon dont elle m'observe maintenant.

"Pas vraiment d'intimité, non… … Il vous faudra être adepte du voyeurisme si... Um."

Un sourire me monte aux lèvres.

"Si?"

Elle plaque une main sur sa bouche, et un silence s'installe. Je le laisse peser, non pas parce que je suis choqué de son allusion, mais tout simplement parce qu'elle mérite un peu d'être gênée, et aussi parce qu'il y avait un bienfait à l'exposer à un moment de gêne qui n'était pas foncièrement négatif. Comme elle m'a dit; elle n'avait jamais été à l'aise. Pourtant, même gênée, à ce moment-ci, elle ne me semblait pas mal à l'aise. Peut-être sortie de sa zone de confort, assurément, mais pour elle qui avait rejeté tout ce qui se rapprochait de près ou de loin au sexe ou aux relations intimes, c'était probablement la réaction la moins averse qu'elle pouvait y avoir. Et, aussi loin que je me souvienne, c'est le seul moment qu'une femme, un enfant ou un animal m'a sincèrement arraché la pensée du mot "Adorable". Je remarque même le choc de ses ancêtres aux mots de leur descendantes.

Elle relâche la couverture, dénudant ses épaules. Essaie-t-elle de me séduire, maintenant? Non, assurément pas. Se rendait-elle simplement compte de la signification de ce geste? Surtout devant un vampire? Elle a les épaules et la nuque presque à nu, j'aurais juste à fondre dessus et à planter mes crocs dans sa chair, aspirer son s– Non. Vaut mieux ne pas y penser. Hors de ma tête, la Bête.

Ma main quitte alors le dos du canapé, et se pose sur l'épaule nue et chaude de Cypress, puis remonte doucement jusqu'à son cou, du bout des doigts, puis sa mâchoire et sa joue. Je m'approche encore un peu, et avant même qu'elle ne puisse protester, si elle en avait vraiment l'intention, je me penche sur elle, frôlant sa bouche avant de poser un baiser à la commissure de ses lèvres.

"Il me faudrait être adepte du voyeurisme si…?"

Peut-être que c'est puéril de la pousser à suivre ses idées. Honnêtement, je sais exactement ce qu'il lui ait passé en tête, mais il me semble important qu'elle admette, que ce soit à moi ou à elle-même, qu'elle n'est peut-être pas aussi averse à l'approche d'un autre qu'elle le disait plus tôt. Et je me rends compte que, même moi qui comptait quand même, au départ, de conserver un certain professionnalisme envers elle, je ne peux m'empêcher de constater que je suis celui qui lui fait des avances.

Et cela ne faisait même pas encore 48h.

Saloperie de syndrome de Stockholm inversé.
3
Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le mardi 11 novembre 2025, 21:10:50 »
Sans songer un instant à protester, Cypress laisse Hadrian saisir l'une de ses mains, relâchant doucement la tasse qu'elle tenait et la posant à tâtons sur la table basse parce son attention toute entière était dirigé sur l'homme face à elle. Il répéta la même chose avec l'autre, humant sa peau comme si elle avait un parfum intriguant.

Et, effectivement, il trouve une variation d'odeurs entre les deux côtés. Subtile, si bien qu'un être se nourrissant du sang d'autrui ne le remarquerais probablement pas s'il tentait de la vider de son sang. Non pas que l'esprit de la gorgone conjura cette image précise quelques instants après quand le vampire se pencha au-dessus d'elle, l'encadrant de ses bras contre le canapé. Certainement pas.

Les battements de son cœur s'étaient considérablement rapprochés, cependant, probablement audibles par Hadrian alors qu'il était si proche. La brune ne savait pas trop si les images qui flottèrent alors dans son esprits étaient issues de sa propre imagination ou envoyées par Kyanessa qui encourageait presque le vampire à continuer à tourmenter ainsi les hormones de sa descendante.

« Um… je… Les deux ? Balbutia-t-elle en réponse à la question posée. »

A vrai dire, il est fort possible qu'elle ressente également une pointe d’excitation alors que ses prunelles, à l'abri derrière les verres teintés, étudiaient les traits d'Hadrian. Mais elle refuse même d'y songer, préférant se réfugier derrière les deux émotions proposées.

« Pas vraiment d'intimité, non… … Il vous faudra être adepte du voyeurisme si... Um. »

Elle plaqua une main sur ses lèvres en écarquillant les yeux alors que sa langue décidait d'être plus audacieuse que son esprit pouvait le concevoir. Elle ne savait pas d’où sortait cette réplique qui ressemblait beaucoup à du flirt. De ses désirs réprimés par sa presque-phobie des relations intimes, peut-être ?

En tout cas, sa sortie eut le mérite de surprendre les serpents sur son crâne. Avant de faire redoubler l'hilarité de Kyanessa. Cypress eut l'impression que ses joues imitaient un feu stop à un carrefour. Aussi rouges et probablement visibles d'aussi loin. Et son cœur qui s'y mettait de plus belle, battant follement dans sa poitrine.

La gêne, et probablement une part de désir caché tout en dessous, donnèrent l'impression à la brune que la chaleur avait monté subitement. Elle relâcha son emprise sur la couverture, qui glissa contre ses épaules. Presque malgré elle, ses prunelles remontaient vers le visage du vampire avant de redescendre vers la peau pâle offerte à son regard. Dans un cas comme dans l'autre, ces visions ne faisaient rien pour apaiser son pouls ou la chaleur de ses joues.
4
Prélude / Re : Celindra, tête de Tigre ?
« Dernier message par Catalina Taylor le mardi 11 novembre 2025, 18:54:33 »
Done ! Et merci ahah (le M, c'est pour rappeler le chat de gouttière :D)
5
Le coin du chalant / Re : Cherchez le point commun ? (Récap' C. T. Team)
« Dernier message par Catalina Taylor le mardi 11 novembre 2025, 18:53:50 »
Merci de ne pas poster à la suite. Si vous êtes intéressés, envoyez-moi un MP sur Catalina Taylor, avec lequel je me connecte le plus souvent.

25. Celindra Teralis

MP Ma Fiche



Mutante Créée en laboratoire A la tête d'une organisation criminelle Ni bonne, ni mauvaise

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Blabla

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Blabla
6
Prélude / Re : Celindra, tête de Tigre ? [Validée]
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le mardi 11 novembre 2025, 18:45:40 »
 ::) la vache, j'crois que y'a pas un truc que je voudrais moins qu'un hymen qui se reconstruit constamment. C'est une saloperie, ça, ma pauvre amie. Avez-vous considéré une insertion permanente?

Bon bah, après lecture, je peux confirmer que tout est en règle, et donc... Valimialidée.

Ne pas oublier de rajouter votre personnage à votre chaland, mam'zelle!

(J'suis le seul à remarquer les cheveux en M ? ::) )
7
Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le mardi 11 novembre 2025, 18:37:25 »
Je dois admettre que j'avais deux théories en tête; soit elle adressait immédiatement mon sous-entendu, quitte à le rejeter, soit elle allait essayer d'éviter le sujet en mentionnant le livre de Noah. Et compte tenu de la rougeur et de l'embarras qui commence à s'établir sur ce visage pâle, je commence à soupçonner que ses intentions à mon égard ne sont pas, ou du moins plus, complètement professionnelle.

Je suis un vampire. Dans la conceptualisation moderne, je suis l'incarnation même du danger érotique et, dans les conceptualisations moins modernes, celle du viol de l'innocence par le démon. Et dans les deux cas, il y a un fond de vérité. Je suis simplement, au bas mot, un prédateur, et le prédateur en moi est presque motivé par la vulnérabilité de Cypress, au point que, malgré moi, mon regard commence à glisser sur elle à mon tour. Sur ses yeux, ses lèvres, son cou, et j'entends presque le battement nerveux de son cœur dans sa poitrine.

Je dois donc admettre quelque chose, autant à moi-même qu'à tout ce qui peut percevoir mes pensées; l'idée m'a, effectivement, à ce moment précis, traversé l'esprit. J'ai beau me parader comme un maître de la Bête, capable de résister aux pulsions les plus grandes grâce à mon sang-froid et à ma volonté de faire. Mais voilà, pour le meilleur ou pour le pire, une de mes failles se trouve dans la proximité émotive. Quelque chose en moi veut détruire cette confiance, cette intimité.

Je me contiens. À peine. En grande partie grâce à mes précautions; ma résidence au complet est non seulement mon antre, mais mon sanctuaire; la Bête ne peut y surgir ici.

"Une fois traduit, je comptais plutôt le détruire, grand dommage que ce serait, ne serait-ce que pour éviter qu'il ne tombe dans des mains que je préfèrerais ne jamais voir tenir cet ouvrage, mais je suppose que je pourrais le conserver et le dissimuler dans une de mes cachettes, et vous y donner accès," dis-je avec un haussement d'épaule. "Croyez-moi, Cypress, posséder cet ouvrage ne ferait que s'assurer que vous et vos proches ne deveniez des cibles pour des êtres déterminés à mettre la main dessus."

Elle m'explique alors le fonctionnement de son corps, m'expliquant la différence entre le côté droit et le côté gauche. Logiquement parlant, je me dis qu'il n'y a aucune raison pour laquelle son sang pourrait changer de propriété, puis elle m'explique que sa volonté a également un effet sur la récolte. Encore une fois, je me plonge dans une réflexion, et j'ignore presque complètement sa référence à mes hommes pétrifiés; d'un côté parce que je n'avais pas grand-chose à faire de mes laquais, la plupart méritant un sort bien pire que ce que Cypress leur avait accordé, et d'un autre parce que je venais de trouver un sujet beaucoup plus intéressant pour mes attentions.

Je lève un bras pour prendre sa main dans la mienne. J'examine sa paume, et j'approche de mon nez. Je renifle sa paume droite, puis je fais de même avec la paume gauche.

"Intéressant… Très intéressant…" murmure-je. "Effectivement, l'odeur est différente…"

Et alors, une idée m'effleure l'esprit.

"Pardonnez-moi, j'ai une curiosité que je dois simplement satisfaire."

Je m'approche alors d'elle, davantage, posant le genou sur le canapé pour me redresser sur une jambe, posant les mains de chaque côté d'elle pour m'appuyer contre l'angle du canapé, et je continue mon examen olfactif; je n'ai pas besoin de m'approcher plus que de raison, donc je conserve une distance respectable. J'ignore le serpent qui m'adresse un sifflement chargé de ce que je ne peux que croire être un avertissement, et j'inspire le cou de la jeune femme, avant de me tourner vers l'un de ses serpents et lui accorder le même traitement.

Fascinant.

Évidemment, je ne peux pas avancer mes théories; soit son sang change de propriétés en raison d'un organe qui est stimulé par un muscle qu'elle contrôle elle-même, ou alors c'est un changement purement surnaturel influencé par sa malédiction. Honnêtement, parler d'organes et de glandes et autres, en dehors d'un traité scientifique… pas nécessairement un sujet approprié, à moins de vouloir effectivement passer pour Hannibal Lecter inspectant son prochain repas.

Après cet examen, je ne peux m'empêcher de remarquer la proximité que j'ai légèrement imposé.

Une autre curiosité s'impose alors.

"Dites-moi, Cypress; quelles pensées traversent votre esprit, en ce moment ? Le danger ? L'anxiété ?"

Je remarque un des serpents faire une tête fort peur reptilienne; plus du genre un ricanement de cartoon.

"… Vous n'avez jamais vraiment beaucoup d'intimité, je suppose?"
8
Prélude / Celindra, tête de Tigre ? [Seremialidée]
« Dernier message par Celindra Teralis le mardi 11 novembre 2025, 16:33:09 »
Identité : Celindra Teralis.
Âge : 28 ans.
Sexe, orientation et expérience : Féminin. Vierge à répétition, malgré une expérience certaine. Uniquement intéressée par la gent masculine.
Race : Créature – Mutante ?
Pouvoirs : Une faculté de régénération importante (à tel point qu’elle reste vierge malgré des expériences répétées). Il semblerait d'ailleurs que ses facultés de régénérations empêchent le vieillissement de ses cellules. Cela fait maintenant plusieurs années que son vieillissement physique s'est arrêté. Elle peut être considérée comme immortelle tant qu'elle n'est pas si sérieusement blessée que sa régénération ne suffit pas à la guérir. Résistance à la douleur presque surnaturelle (à tel point qu’elle pourrait continuer à courir après s’être fait écraser la jambe sous un bus, quitte à s’évanouir sans prévenir quand son cerveau devient saturé des hormones qui gère ça). Grace féline et souplesse inhérente à sa création. Force trois fois supérieure à la force d’une femme humaine normale.
Particularité : Des oreilles de chat à la place d’oreilles humaines. Des pupilles félines. Et ses canines sont super acérées.
 
Mental :
 
La première chose à savoir, c'est que Celindra n’a qu'une vague notion du bien et du mal. Cette notion a été glanée dans les rues et non pas dans son éducation. Il serait plus juste de dire qu'elle a son propre code de conduite. Elle a clairement ses limites à ne pas franchir, l'esclavage sous toutes ses formes étant l'une d'elle. Elle méprise ceux qui prennent avantage de la faiblesse d'autrui pour les exploiter sans vergogne. Les putes ? Elle n'a rien contre, en soi. Ce qu'elle abhorre, c'est ceux qui les mettent au travail, qui les obligent à subir toutes sortes de dégradations pour une pitance minable. Le meurtre ? Elle s'en fiche du moment que des innocents n'en paient pas le prix. S'il s'agit de buter un truand, aucun problème. S'il s'agit de buter un gosse, ou un monsieur-tout-le-monde dont le seul crime a été de refuser de vendre sa maison à un magnat de l'immobilier ? Là, elle refuse. S'il s'agit d'éliminer un témoin gênant pour ses affaires ? Alors elle s'arrange pour que ce soit clean et sans douleurs. Et, s'il a de la famille, elle leur fait parvenir de quoi vivre tranquille pour se remettre sur pieds pendant quelques années. Elle n'est pas contre menacer de tuer un proche pour obtenir la collaboration de quelqu’un, mais si elle est forcée d'aller au bout de sa menace, encore une fois, elle fera ça de manière propre et sans douleur. La drogue ? A part si on l'administre de force ou à l'insu de la personne, elle n'en prend pas offense. Les vols et autre cambriolage ? Du moment que les cibles peuvent s'en remettre, elle pratique autant que possible.
 
En dehors de ça, il est rare que la Celindra agisse avec impulsivité. Rare ne veut pas dire que ça n'arrive jamais, toutefois. En règle générale elle est plutôt réfléchie et pèse soigneusement ses décisions comme ses actes. Si elle savait jouer aux échecs, on pourrait la comparer à une fine stratège. Elle ne parle pas non plus pour ne rien dire la plupart du temps, sauf peut-être si elle a un coup dans le nez.
 
Enfin, on peut dire de Celindra qu'elle est plutôt rancunière. Elle n'a qu'une parole et, si elle jure de se venger, elle le fera. Peut-être pas immédiatement, peut-être seulement dans cinquante ans, mais elle le fera. Et qu'on ne s'inquiète pas pour sa mémoire, elle en a une excellente. Presque eidétique. Et quand il s'agit de vengeance, il se peut qu'elle dépasse ses limites selon la gravité de l'offense.
 
Oh, et elle n'a aucune notion de pudeur. Elle s'habille juste pour ne pas se faire arrêter ou violer tous les trois pas. Et pour ne pas choquer les plus influençables. Mais elle n'a aucun scrupule à se retrouver nue.
 
Physique :
 
Petit gabarit d'un mètre cinquante, avec une taille si menue qu'on aurait peur de la casser en la serrant trop fort, Celindra possède néanmoins des courbes à se damner. Sa poitrine généreuse est souvent gainée dans la veste en cuir corsetée qu'elle porte la plupart du temps. C'est une veste ajustée à sa morphologie mais dont les épaules sont rehaussées et presque bouffantes pour le style, avant de revenir coller à sa morphologie le long de ses bras.
 
La veste, descendant dans son dos comme un imper particulièrement stylé, couvre ses hanches fertiles et son cul rebondi. Elle descend jusqu’à ses mollets, arrivant à la limite des bottes à talons noires soulignant le galbe de ceux-ci. Les talons, souvent, frôlent la vingtaine de centimètres, la faisant paraître plus grande qu'elle ne l'est. Ils allongent ses jambes sveltes et agiles, et donnent l'impression que la courte jupe noire qui couvrent son intimité. Sous cette jupe, elle porte en général une simple culotte en coton qui ne la gêne pas et qui lui permet de bouger sans risquer d’être physiquement mal à l'aise.
 
En dehors de sa tenue fétiche, souvent utilisée autant pour se balader que pour commettre des méfaits, il est possible de l'apercevoir dans des tenues civiles plus passe-partout quand elle n’est pas tout simplement nue.
 
Sa peau pâle, à peine hâlée par le soleil l'été, tranche avec le noir dont elle s'habille le plus souvent, ainsi que sa chevelure d'encre. Elle possède en effet une crinière de boucles sombre qui lui arrive jusqu'au creux des reins quand elle n'est pas réunie en un chignon serré sur le haut de son crâne. Pour être honnête, c'est ainsi qu'elle porte ses cheveux le plus souvent. C'est plus pratique pour travailler. Et paraître professionnelle. Mais il est possible de l'apercevoir les cheveux détachés parfois ou, plus rarement, tressés dans son dos.
 
Un petit nez droit et mutin surmonte une bouche aux lèvres gourmandes et d'une naturelle teinte d'un rouge sombre qui recouvrent deux rangées de perles blanches -dont les canines sont étrangement acérées et un poil plus proéminentes que la norme. On en arrive ensuite à ses yeux. Deux orbes dorées dotés d'une pupille féline, lui permettant de voir dans le noir aussi bien qu'en plein jour. Et, pour terminer ce portrait, une paire d'oreille de chat parent son crâne, remplaçant les oreilles humaines qu'on pourrait s'attendre à y voir. Un fin duvet noir les recouvrent et elles sont aussi sensibles que celles d'un félin. En terme d'ouïe mais également en terme de caresses.
 
Histoire :
 
Aesthetics corporation, un labo pharmaceutique axé vers les soins de la peau, était une couverture pour un labo de recherches scientifique clandestin aux pratiques illégales. Ici, on se fichait de l'éthique tant que le résultat était là. De nombreuses organisations mafieuses faisaient appel à leurs services ou leurs fournissaient des cobayes. Le labo était divisé en plusieurs équipes qui bossaient toutes sur des projets différents
 
L'une de ces équipes, appelée « The Echidna Project », travaillait sur la créations d'êtres surnaturels, dotés de pouvoirs paranormaux. Des mutants créés de A à Z en laboratoire. Des êtres sans volonté aucune sinon de suivre les ordres. Bon, cette dernière partie était toujours en quête d'améliorations. Bien souvent, les sujets créés finissaient par se rebeller et étaient mis au rebut. Tués et utilisés pour améliorer d'autres sujets.
 
Nous allons nous intéresser à un sujet en particulier. Nommée Sujet 66b, l'individu qui était créé était censé devenir un atout hors pair pour l'assassinat, les cambriolages ou d'autres activités clandestines nécessitant discrétion et agilité. Mélangeant plusieurs pièces d'ADN, dont quelques cellules provenant d'un terranide chat offert par un groupe de Yakuza, l'être ainsi créé ne tarda pas à évoluer jusqu’à devenir une petite fille d'apparence innocente et adorable pourvue d'une paire d'oreilles félines à la place d'oreilles humaines.
 
Cette petite fille a ensuite grandi, enfermée dans ces labos, en étant instruite dès son plus jeune âge dans les disciplines requises. Subtilité, agilité, arts martiaux, utilisation d'armes en tout genre, etc. Utilisée dès qu’elle fut opérationnelle, le sujet 66b a ainsi commis de nombreux cambriolages et assassinats. A chaque retour de mission, quand on constatait qu’un semblant d’indépendance semblait faire son apparition, elle fut soumise à un lavage de cerveau permettant de conserver ses capacités tout en éliminant sa personnalité. Quand elle n’était pas en mission, commandité par divers « mécènes » du labo, elle était sujette à des tests quant à ses aptitudes hors du commun. Sa capacité de régénération fut grandement mise à l’épreuve, de même que sa résistance à la douleur hors normes. Sa souplesse, son agilité, son sens de l’ouïe, tout fut étudié et catalogué.
 
Mais, au fil du temps, les lavages de cerveau devenaient plus fréquents. Sa personnalité avait tendance à s’imposer de plus en plus vite, surtout quand il s’agissait de missions qui rentraient dans les limites que la jeune femme ne voulait pas dépasser. Et, ce qui devait arriver dans ce genre de situation arriva finalement. Le sujet 66b se rebella lors d’une mission d’assassinat et ne rentra jamais à la base. Le traqueur implanté fut retrouvé, sanguinolent et avec des morceaux de chairs encore accrochés dessus, posé sur le toit d’une maison dans une ruelle mal famée de la ville de Seïkusu.
 
Alors âgée de 16 ans, le sujet 66b était débrouillarde et hautement dangereuse. Quand elle a eu un peu de temps pour se faire à l’idée qu’elle était enfin libre, pour enfin développer sa personnalité sans risquer de se faire laver le cerveau, elle décida de se trouver un nom. Elle passa des jours à chercher en vain, peu satisfaite des idées qu’elle trouvait, jusqu’à ce qu’un matin, en se réveillant, un nom flotta sur ses lèvres. Celindra Teralis. Sans doute l’avait-elle rêvé, peut-être avait-elle mis bout à bout des noms différents. Mais elle se sentait enfin complète.
 
A partir de là, l’adolescente fit sa vie dans les bas quartiers, dans les égouts, dans les entrepôts désaffectés. Elle se créa un nom, une réputation et, plus que tout, un chez-elle. Installée dans les souterrains, creusant plus si besoin, elle a commencé à recruter des personnes pour l’aider à gagner de l’argent. Vol à l’étalage, cambriolage, braquages de banques… Il y eut une vague de crimes non-résolus dans la ville. Meurtres parfois, quand les personnes visées étaient vraiment détestables. Au fil des ans, son nom se répandit dans les bas-fonds. Personne n’avait jamais pu apercevoir l’agile Celindra Teralis, pourtant tout le monde connaissait son nom. Les hommes et les femmes qu’elle avait employé pour bosser avec elle était loyaux. Elle les considérait comme sa famille.
 
Finalement, ce noyaux de personnages qui la rejoignirent dès le début devinrent des généraux dans son armée souterraine. Celindra devint la cheffe d’une organisation criminelle sans nom. Si on voulait les employer, on ne les trouvait pas. C’est eux qui vous trouvaient.
 
Et maintenant, la jeune femme vient de fêter ses vingt-huit ans. Elle opère aussi bien sur Terre que sur Terra, mais ses tarifs sont calculés en fonction des risques des missions. Elle écoute votre demande, l’accepte ou la refuse en fonction de ses limites, et calcule le prix. Elle ne demande pas à être payée en avance parce qu’elle sait qu’elle pourra de toute façon venir chercher son dû sans problèmes. Certains ont essayé de la flouter, oui. Mais ils ne sont plus là pour en parler.
 
9
Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le mardi 11 novembre 2025, 16:01:49 »
Un petit rire salua la plaisanterie du vampire. Elle préférait ne pas s’attardé sur la question de si les employés étaient tous des goules comme Vanessa ou pas, et profita juste de son thé et de la présence -aussi incroyable que ça puisse paraître- réconfortante d’Hadrian. Il faut dire qu’avec un thé, tout va toujours mieux. C’était probablement la british en elle qui voulait ça.

Elle reprit plutôt sur ses loisirs, n’écoutant que distraitement l’homme les défendre de sa tendance à se dévaloriser, et songea à sa captivité récente mais bien loin de ce qu’elle aurait pu imaginer. Et si elle ne se rendit pas compte d’avoir formulé à haute voix sa pensée à propos du syndrome de Stockholm, elle se rendit vite compte que ses prunelles étaient en train de déshabiller mentalement le vampire. Peut-être que la remarque qu’il avait faite l’avait aiguillée un peu. Peut-être.

En tout cas, elle détourna vite le regard en rougissant de plus belle, maudissant silencieusement sa peau pâle qui dévoilait bien de trop sa gêne. Elle maudit cette propension à rougir visiblement encore plus quand ses ancêtres sifflèrent d’amusement au sous-entendu clair quand il parla de son mauvais œil. Portant la tasse à ses lèvres en baissant un peu la tête, laissant sa crinière masquer la rougeur de ses joues, Cypress prit une longue gorgée après avoir soufflé un peu sur le liquide encore fumant.

Cependant, la question ensuite la prit de court. A vrai dire, elle n’y avait jamais songé. Les hommes pétrifiés lors de son enlèvement n’étaient pas les premiers, certes, mais elle n’en avait pas non plus fait une habitude. Et elle n’avait absolument pas songé à savoir si c’était réversible et comment. Pour se donner le temps de réfléchir, et d’écouter les explications de Medusa qui avait longuement étudié le sujet avec ses sœurs, elle reprit une gorgée de thé. L’offre qu’il fit par la suite manqua de la faire avaler de travers, cela dit. Et rougir encore plus.

Terminant de tousser pour faire passer les quelques gouttes de liquides chaud qui s’étaient engouffrées du mauvais côté, la brune se redressa légèrement sur le canapé.

« De mon choix, vraiment ? Questionna-t-elle avec de grands yeux intrigués. Même si je demandais le Texte de Noah ? Non pas que je compte le faire… Um… Juste pour savoir ! »

Au-dessus de sa tête, le serpent contenant l’âme de Kyanessa s’était mis à rire, ayant parfaitement compris le sous-entendu. Et le fait que l’esprit de la pauvre Cypress avait directement sauté à ce qui la passionnait au lieu de voir ce qui était sous son nez. Mais attendez quelques secondes…

Et voilà qu’elle se mettait à rougir de nouveau alors que son esprit connectait enfin quelques neurones. Ce qui fit rire de plus belle ses ancêtres. Se laissant doucement retomber contre le dossier du canapé, la brune secoua la tête.

« Um… Je ne sais pas, vraiment… Medusa me dit que ça ne coûte rien de vous le dire. Et Echione insiste qu’il est peut-être pour le mieux d’éclaircir le mythe. Peut-être que je me contenterais de votre promesse, si vous avez besoin de quelqu’un pour traduire des langues anciennes, que vous penserez à moi quand je serais diplômée ? Consultante m’irais très bien ! Pas besoin d’être… Um… Directement confrontée au public ou quoi que ce soit. »

Son index vient jouer avec le pourtour de la tasse tandis qu’elle ignore Kyanessa qui lui propose de demander une place pour réchauffer son lit, le pauvre, constamment froid comme la mort ! Ses joues la trahissent en restant enflammées tandis que son regard ne peut s’empêcher d’être attiré par le spectacle qu’il offre avec sa chemise entrouverte.

« Enfin, reprend l’étudiante après s’être raclé la gorge. Le mythe est globalement faux. La mort d’une gorgone n’inverse pas le processus de pétrification. Quant à l’usage de son sang… C’est partiellement vrai. Allez savoir pourquoi, si on me prend du sang du côté gauche, il peut agir comme un poison, un venin mortel. Tandis que du côté droit, une seule goutte pourrait guérir même un cancer incurable. Mais il faut que ce soit donné volontairement. Si c’est pris de force, alors la personne responsable se changera lentement mais irrémédiablement en pierre dans un laps de temps variable, en général entre sept jours et sept mois. Je pense que ça varie autant en fonction de la force de l’intention de celui qui le fait. Si c’est le commanditaire, c’est très long, pour mieux faire souffrir. Plus ça s’éloigne dans la chaîne de commande, plus ça accélère, comme si la magie comprenait qu’ils ne faisaient que suivre des ordres mais punissait quand même. Donc, du sang donné provenant du côté droit de mon corps peut renverser le processus. »

Reprenant une gorgée de thé, appréciant autant la saveur que la chaleur, Cypress fronce les sourcils.

« Oh… Peut-être que vous désirez sauver vos hommes ? Il y en a un, je le crains, qui a été brisé en morceaux, donc qui est définitivement perdu. Mais le reste, je peux vous offrir une goutte de mon sang pour chaque individu affecté… »

Instinctivement, alors qu’elle se détendait un peu plus sur le canapé, la brune commença à étendre ses jambes, les glissant sous celles du vampire sans y faire attention, son esprit toujours en train de contempler la pétrification de son regard et les attributs de son sang.
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le mardi 11 novembre 2025, 16:00:57 »
« Aaah, Sugar, oui ! Répond la sorcière aux prises avec les vagues de plaisir qui ne perdent pas en intensité malgré l’orgasme qu’elle venait d’avoir. Si… Si bon, aaah ! »

Elle ne parvient plus à articuler grand-chose, certes. Si ce n’est des encouragements pour le colosse qui la possède aussi totalement. Qui la ravage sans douceur, juste comme elle aime. L’immortelle peut être plutôt extrême, dans ses goûts, et il semble qu’elle a trouvé le partenaire parfait pour les exploiter.

Les yeux clos, elle ne peut que réagir à chaque coup de butoir qui l’ouvre un peu plus. Elle ne peut que gémir et soupirer, malgré la main qui compresse sa gorge, alors que la sensation de l’air qui se raréfie dans ses poumons la fait mouiller de plus belle. La vendeuse, si elle n’est pas traumatisée, aura des souvenirs intenses de cette journée.

Incapable de dire combien de temps a passé depuis qu’il a investi son cul, Céleste est perdue, noyée, dans les sensations divines qui submerge son corps et son cerveau. Mais, alors qu’elle le sent finalement honorer de plus belle sa promesse de la remplir, c’est l’étincelle qui fait repartir le brasier. Et le corps souple de la sorcière, martyrisé comme il est pour son plus grand bonheur, se contracte une nouvelle fois comme il peut autour de cette trique qui la dévaste. Inutile de dire que la belle aura perdu le compte du nombre d’orgasmes procurés par son amant durant ce séjour qui vient à peine de démarrer. Il lui est impossible de réfléchir clairement et elle se contente de subir -de se délecter de- la façon dont il la ruine encore une fois.

« Aaah, Sugar… Randal… Souffle-t-elle alors qu’il la libère. »

Engourdie, les membres lourds et malhabiles comme toujours après une session de sexe intense, l’indécente brune ne peut tenir debout et se retrouve presque à quatre patte sur le sol, à peine maintenue par ses bras venus s’agripper au banc. La vidéo toujours en cours filme avec perfection son corps luisant de sueur, de foutre et de cyprine. La blonde prend bien soin de viser l’expression d’extase que l’immortelle arbore avant de tourner le téléphone vers le colosse au souffle court. Elle le filme tandis qu’il observe sa partenaire se remettre de ses émotions avant de tourner de nouveau le téléphone vers la rondelle dilatée de la belle qui suinte de sperme poisseux.

« Intense, souffle-t-elle avant de couper la vidéo et de rendre le téléphone au mafieux. Vous feriez fureur sur les sites pornos, tous les deux, complimente-t-elle. »

Elle se relève, son regard allant de la pratiquante vaudou -qui reprends ses esprits- au colosse debout à ses côtés, avant de reculer doucement.

« Je vous laisse vous rhabiller, monsieur, madame ? Et je vais préparer l’encaissement de vos achats ? Est-ce que je met tout dans un seul sac, ou plusieurs »
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