Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Zone Sous-Marine / Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]
« le: samedi 03 avril 2021, 15:32:51 »
Râle après râle, ma queue vibre dans sa bouche dans un massage buccal indécent. Les bruit de succions et d'aspirations se mêlent aux sensations qui me transit de désir pour elle. La peau sucée, tété dans ses joues creuses qui boit mon pré-foutre gras et odorant. Complètement disparu derrière sa poitrine, elle brule sous la chaleur corporelle de celle qui lui fait vivre ses milliers de plaisirs.

De mon côté, j'pouvais l'entendre et l'apprécier avec un sourire avide, couiner à mes attention, alors que ses cuisses sont maintenant maculées de sa mouille abondante. Mes mouvements de bassins varient leurs vitesse et dans un claquement de lèvres bruyant, elle me branle avec sa poitrine, et m'extirpe des expirations qui devenaient maintenant des gémissements. Bave, sueur et sécrétions fusionnent entre elles dans le sillon de sa poitrine, pour un glissement mouillé encore plus jouissif.

"Putain, continues..."

Et pour sûr qu'elle continue. Même si je paye ce service, il est difficile de pas supposer qu'elle adore ça. Et c'est bien flatteur. Sa langue court sur le long de mon sexe, rappant sa peau humide avant de gober mes burnes. Nouveau sursaut de plaisir, le souffle court. Ce même pétale humide qu'elle maîtrise parfaitement fais rouler mes couilles dans sa bouche dans un balais à tordre le bas-ventre de plaisir. Si au début j'pensais que mes odeurs piquantes de testo' seraient une corvée pour notre grosse perverse, j'me suis clairement trompé sur toute la ligne. Pourtant, pas mal de nanas trouveraient ça repoussant, puant, bien trop odorant pour des narines raffinées.

Sauf si on est une grosse cochonne dans son genre.

Mes doigts continuent de frotter énergiquement une chatte moite et coulant de cyrpine pour mieux presser son bouton de chair, que je malmène avec la délicatesse d'un barbare. Son massage enserrant mon frein contre sa langue accélère la course de mon sperme brulant vers son urètre. Le regard embrumé par le plaisir sur la route, j'peux pas anticiper tout ce qui m'arrive et alors qu'on arrive à un feu rouge, j'entend une déglutition qui fait résonner sa glotte tandis qu'un rugissement me prends.

"Raaaaaaah !"

Une gorge profonde insoupçonnable, câlinant tout mon pénis dans son casier qui lui sert de bouche. J'retire ma main trempée désormais pour imposé une presse plus importante à l'arrière du crâne alors qu'un long râle m'égosille. Toute sa poitrine s'étale sur mon bassin, soufflant un soupir appréciateur encore ce lait qui coule le long de mes cuisses. Ma respiration s'emballe, perlant de sueur j'arrive enfin au parking de l'hôtel. Mais j'avais d'abord envie de jouir.

Lui attrapant la crinière d'une main, les fesse de l'autre, j'impose mon rythme de succion, en agitant sa tête de haut en bas. Rapide, autoritaire, violent, indécent, en expirant au rythme de ses vas et viens. Des fois, de grandes claques lui agitent son postérieur comme de la gelée. D'autres fois, mon majeur, cherche son antre, avant de lui ramoner la chatte comme si un pénis venait lui perforer l'utérus. Ecartant ses viandes au gré du ravage que mon doigt cause à l'intérieur.

"Elle est gourmande pour tout avaler ?"

Question rhétorique, elle avalera quoi qu'il se passe. 

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Zone Sous-Marine / Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]
« le: mardi 30 mars 2021, 22:00:11 »
Enfin bien installé, mes yeux vont la dévorer, sur chaque partie d'elle comme une bénédiction. Un petit sourire à la boutade aussi mignonne qu'elle.

"J'me montrerai solide."

Aussi dur que mon engin. J'en ai des palpitations, mon gland vibre et gonfle à la seule présence d'elle ici. La détaillant toujours d'un regard appréciateur, j'écarte un peu plus les cuisses pour lui laisser toute la place nécessaire pour ce massage qui s'annonçait orgasmique. Aucun doute, aucune appréhension, seulement le désir de ressentir sa langue et la texture moelleuse de sa poitrine. De gros obus de chair qui font frémir à sa simple vision. Elle défait ses vêtements, j'me permets même de la renifler depuis ma position, un cocktail olfactif au parfum d'œstrogène aussi jouissif qu'enivrant.

Un autre boutade à laquelle j'peux toute de suite répondre.

"Nos vitres sont teintées. Tu vas pouvoir avaler mon sabre sans crainte."

Puis ses lèvres viennent butiner mon gland dégoulinant de pré-foutre. Ca me coupe la respiration, sa salive tiède et sa respiration brulante enveloppant le sommet de ma verge m'arrache un frisson dans toute la colonne. 

"Han, putain..."

La douce torture du plaisir s'amorce sur les chapeaux de roue et sa poitrine vient s'inviter à la fête. Elle s'approche davantage, le cul bien tendu et attrape l'entièreté de ma queue en l'étouffant entre ses mamelons chauds et moelleux dans un câlin qui m'extirpe un autre grognement. Me concentrant sur la route, toutes les sensations viennent frapper mon cerveau dans une tempête d'émotions et de ressentis. Ma bouche s'ouvre, se ferme, j'expire longuement et bruyamment. Et sur une ligne de droite, j'profite de regarder sa tête bouger de haut en bas et sa poitrine s'agiter dans le même mouvement. Ma main droite vient descendre comme sur un toboggan la cambrure de son dos, puis le bas de sa colonne avant d'attraper une fesse grasse et dodue en me mordillant les lèvres, la paume de la main jouissant du contact de sa chair.

Malaxé, pétrit, comme du bon pain. Une fessée cinglante pour apprécier voir tout ceci bouger alors que mon entre-jambe commence à bruler dans sa bouche, de plus en plus dur, de plus enserré à l'intérieur de sa paroi buccale. Mon majeur va commencer à titiller son anus serré, puis descendre pour écarter ses lèvres et y plonger entre elles pour commencer une valse odieuse et indécente dans un mouvement circulaire. Les bruits de succions couplées à celle de la viscosité de sa mouille donnent une fulgurante excitation supplémentaire qui me fait pousser des râles de plaisir. En plus, elle mouille beaucoup. Je retire mon doigt doucement dans ce filet de cyprine et commence à goûter cette sécrétion tiède, amère, et abondante. 

"Hmpf... Qu'est-ce que t'es bonne...J'ai hâte de bouffer tout ça."

Un nouveau regard sur sa turlute de l'enfer, j'en bouge mon bassin nerveusement pour chercher la profondeur de gorge et remonte ma cuisse pour écraser sa douce et grosse poitrine pour mieux étrangler ma bite. Et ce qui en écoule me fait hausser un sourcil curieux, puis me fait fendre un sourire carnassier devant ce lait couler sur mon bas ventre et mes cuisseaux.

"Alors, en plus d'être une grosse chienne en chaleur, t'es aussi une vache à lait. L'hybridation me plait beaucoup. Ca tombe bien, j'ai très faim en plus."

Le décor défile et le trajet progresse, tout comme la course de mon orgasme qui s'approche doucement.

"Tu fais ça magiquement bien...Han..."

Que je susurre en recommençant à la doigter en surface, cherchant son bouton de chair alors que mes autres doigt continuent de s'agripper contre son postérieur dont sa peau douce et charnue me tend encore plus, le gland dégueulant au compte-goutte un pré-sperme gras et gluant. A lui polluer la bouche malgré moi. 

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Zone Sous-Marine / Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]
« le: mardi 30 mars 2021, 01:04:15 »
Elle a quand même bien de la chance. Si j'baisais pas aussi rarement, j'aurai peut-être décliné l'offre, ou bien j'aurai réduit la somme. Mais là, franchement, j'suis beaucoup trop à cran pour refuser une pareille opportunité. Son joli petit minou qui a embrassé ma queue plus tôt m'a laissé une belle trace de mouille tiède sur le froc. En plus de bosser tapin, c'est aussi une grosse chaudasse.

Que des bonnes nouvelles, si c'est pas le paradis ça.

Ses petites mains se veulent affectives en se glissant dans le bas de ma colonne non sans m'arracher un frisson alors qu'elle m'expose le menu de la soirée : bouffe à volonté. Et ce, dans la plus grande des perversions. Ça donne aussi une idée dans quel cadre elle aime faire ça, et j'vois qu'à ce niveau c'est open bar. Autant de jolis mots qui me font encore plus bandé que j'le suis déjà, mon pantalon est salement déformé et j'peux même voir que des gens de la boîte l'ont reluqué avec une grimace un peu gênée. J'm'en tape.

Ses phalanges palpent mon postérieur de buffle, et moi je juge bon d'enlacer ses épaules d'un énorme bras protecteur alors que nous sortons de la boîte pour aller au Parking. Le videur me toise un peu étonné pensant que j'allais rester plus longtemps, puis me lâche un sourire taquin quand il reluque le gros cul de madame. J'hausse simplement les épaules en lâchant un clin d'œil. Étant dans la zone sous-marine, j'ai pris une chambre d'hôtel à quelques bornes d'ici, le dôme sous-marin nous donne son plus joli panorama alors que j'déverrouille mon pickup et lui ouvre la porte avant de la rejoindre.

Une grande inspiration, surexcité et en rut alors que j'défais mon pantalon pour sortir un mandrin plus grand et plus large que son avant-bras, libérant une chaleur odorante d'un musc viril et entêtant, maculé d'un pré-sperme épais et gluant déjà, alors qu'il pulse vers le haut au rythme de mes battements de cœur par de larges veines.

Décalotté déjà, je lui laisse le soin de la regarder, avant d'étirer un sourire espiègle.

"On va faire de la route, alors, est-ce que tu suces aussi bien que tu sais parler ? J'veux bien avoir une petite démonstration. Si j'pouvais apprécier ton derrière en le tendant bien vers le haut ça serait merveilleux. Et peut-être que ta poitrine voudrait prendre ma queue en sandwich aussi ? Fais toi plaisir, ma queue n'attend que toi. On a tout le trajet, attention, j'ai de gros doigts..."

Il y avait un certain plaisir à pouvoir tout commander. Comme si, j'me retrouvais dans un rêve pervers qui assouvissait tous mes désirs. Et j'ai bien prévu des les assouvir un par un, et abuser de chaque particule de cette coquine. J'recule légèrement mon siège et attends que cette dépravée s'installe correctement avant de démarrer et passer la première vitesse. Le levier positionné derrière le volant, elle n'aura aucun mal à s'affaler pour me tendre cette croupe grasse que j'compte torpiller dans tous ses trous plus tard.

En route, et bonne pipe, Héra.

34
Zone Sous-Marine / Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]
« le: lundi 29 mars 2021, 18:32:00 »
Le baiser s'arrête et la première remarque saute. J'hausse un sourcil ? Une pute ? Hm, vrai qu'en y réfléchissant cinq secondes...

"Hm, disons qu'on a rien sans rien. J'suppose."

L'impression d'avoir un château de cartes qui venait de s'effondrer pour mieux être frustré. Putain, t'as encore tout foiré, Héra. J'tire une moue un peu gêné puis finalement lorsqu'elle se retire et qu'elle compte le pognon, mon avis devient vite partagé. En détaillant que cette bombe est aussi vénale que délicieuse, j'me disais bien qu'il y avait anguille sous roche. Elle commence à prendre un ton un peu ferme et mes sourcils se rapprochent, quand j'pense que j'avais dis au videur que j'allais être sage, merde, c'est raté. Elle s'éclipse et quelques rires dans l'auditoire se font entendre. J'calcule pas et me concentre alors ailleurs en priant que j'vais vite oublier cette histoire.

Et en faite, nan.

Ca jazz sur le fait qu'on personne peut reluquer son cul avec une demi-molle comme la mienne, j'pousse un soupir en haussant les épaules. Puis elle commence à faire le tour. J'savais pas si elle voulait me maraver ou bien faire un scandale pour mieux me foutre la honte, dans le doute, j'garde un regard assez dur en attendant la potentielle sanction tomber. Premier contact, premier frisson, et ses grosse cuisses commencent à me chevaucher. Cette fois, ouais, je bande très dur. Le pognon se dissimule de nouveau dans son énorme poitrine que j'avise avec le regard d'un affamé avant de m'égarer dans ses yeux magnifiques. Merde, en plus d'être bonne, elle est jolie.

"Bah c'est que..."

Son doigt fini sur mes lèvres, et ses mots doux viennent à mon oreille, avec tout son corps qui câline mon torse et ma queue bien trop raide pour ne pas sentir la chaleur de son entre-jambe. En plus d'être une pute, elle a l'air d'être une sacrée salope. Et finalement, j'adore ça. Un sourire carnassier alors que j'apprécie sa langue humide jouer avec mon oreille, et retiens un semblant de sursaut quand j'sens un bout de tissu dans le creux de ma main. Son string. Putain.

"J'ai une liasse dans mon porte-monnaie."

Bon ça me fait un peu chier, c'est la moitié de ma paye de ce mois-là, va falloir faire des heures supp', j'imagine. Mais, hé, au moins je me serai vidé dans cette délicieuse créature. Je récupère le sous-vêtements correctement avant d'en prendre une bonne bouffée de son odeur enivrante, celle du chatte en chaleur, alors que l'autre main vient pétrir une fesse pour l'encourager à se frictionner davantage sur mon membre, tout en profitant du contact, celui des phalanges malaxant toute cette chair.

"Et si on allait quelque part pour faire tout ce que je veux ?"

J'me redresse, la tenant contre moi pour la faire ensuite faire glisser contre mon corps, tout en payant ma consommation. Le portefeuille sorti, une liasse s'échappe tristement de mon portefeuille pour venir entre ses seins une nouvelle fois, en faisant rebondir sensuellement ces derniers. La dépassant de plusieurs tête, je l'enveloppe de toute ma masse, échappant de ma bouche une voix grave et chaude.

"Je te suis ou tu me suis ? Quoi qu'il arrive, tu m'échapperas pas."

Clair et net.

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Zone Sous-Marine / Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]
« le: dimanche 28 mars 2021, 15:45:34 »
"Vous cherchez du travail ?
- Nan, à vrai dire, j'suis juste venu boire un verre après ma journée.
- On cherche des videurs, si jamais.
- Euh, ouais. Vous avez une carte ?
- La voilà. Appelez-nous quand vous serez disponible.
- Merci.
- Votre taille ?
- 2 mètres 20.
- Poids ?
- Entre 180 et 190 kilos, à peu près."

Il ravale sa salive.

"Bon eh bien, essayez d'être sage dans notre établissement.
- C'est mon souhait le plus cher, rassurez-vous."

Le videur me souhaite la bonne soirée et me laisse entrer dans l'établissement. Pas tout le temps que j'viens siroter quelque chose dans la zone Sous-Marine, mais faut admettre qu'on y trouve une certaine sérénité et un apaisement qui détend le cerveau de ses tourments de la surface. Il y a du monde, un paquet de bonhomme, des donzelles, de la musique et un barman très occupé. J'me "faufile" dans la smala pour me trouver une place. Une place qui en prend deux du coup, désolé aux copains. Le tenancier des boissons s'approche, prend ma commande, l'échange et bref et rapide et il passe directement à d'autres clients. C'est pas grave, j'ai pas demandé à être le nombril du monde et tant qu'on me remarque pas les choses iront parfaitement bien.

J'balaye des yeux un peu le lieu, pas trop l'habitude fréquenter les boîtes de nuit. Mais faut reconnaître que le climat est attrayant. J'bouge la tête doucement au rythme de la musique et me concentre uniquement sur la bière qui se trouve sur le comptoir, une gorgée, deux gorgées, plus rien.

Mais alors que j'voulais passer une autre commande, ça commence à siffler dans le public général. J'comprends pas de suite, puis ça saute aux yeux comme une évidence. On a rarement vu de bombes sexuelles dans ce genre dans une vie, faut croire que c'est mon tour. J'prends alors sur moi, le regard soudainement transformé par deux pupilles dorées qui la pourfend comme un gros prédateur sexuel. Détaillant ses énormes fesses, rebondit et dodues sous une jupe bien trop courte, à les agiter devant une horde de mâles affamés sans pour autant avoir la possibilité de gouter un morceau. Marchant comme une féline qui surplombe tous ses charognards, mes yeux s'écarquillent de surprise quand elle s'arrête devant moi.

Sa chair rebondit au gré de ses mouvements, s'allongeant, ma tête tangue d'un côté pour apprécier avec avidité ses sous-vêtements. Plié par des lèvres tout aussi alléchantes. Sa bouche pulpeuse accueille l'alcool, et difficile de donner de l'œil entre la manière dont elle boit ça et sa poitrine qui s'étale de chaque côté. J'en perdrai presque la tête. Mon bas-ventre est en feu et mon pantalon gonfle malgré moi. J'me surprends à pas avoir bougé d'un centimètre. Elle se redresse, son immense crinière colorée flotter dans l'air dans son geste, j'me raidis, et ma bouche se retrouve remplie de ce qu'elle a gardé pour un baiser bien vulgaire. Ça commence à râler derrière moi, mais pareil, je m'en bats les steaks. Habillé d'une chemise blanche et légère et d'un jean, elle n'aura aucun mal à sentir toutes mes insertions musculaires vibrer aux contacts de ses mains mutines.

Ma langue imposante s'invite pour commencer un balais grossier et pervers avec la sienne, avant de chercher de ma poche quelques billets, ma main épaisse les tenant entre le majeur et l'index, et s'installent dans le sillon de sa grosse poitrine pour y laisser ce dû, déduisant que rien n'était gratuit ici. Le baiser s'arrête sur un claquement de lèvre bruyant malgré la cacophonie générale et mon sourire carnassier donne le ton sur mes prochaines paroles.

"Il faut quoi pour t'avoir tout entière et maintenant."

Hors de question de laisser toute cette viande sans faire quoi que ce soit.

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Centre-ville de Seikusu / Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]
« le: dimanche 28 mars 2021, 14:17:37 »
Ca continue de brûler dans mes poumons, ça ronge, ça déchire, l'impression que mes tissus se font incinérer par le souffle d'un volcan. Avec le désespoir et la fatalité d'accepter que pour la première fois de ma vie, je vais séjourner dans un hôpital en tant que patient. L'idée même me donnait des appréhensions. L'expérience, inédite, certes, mais avec le doute d'imaginer que rien ne pourra être comme avant. C'est marrant, parce que, j'suis le premier à râler à ne rien sentir de douloureux quand il m'arrive des accidents, et j'suis le premier à rouspéter quand cette invincibilité me file entre les doigts.

Une nuit en observation, j'suppose que la donzelle sera la référente de mon cas. Et... Elle a l'air très agréable. Pétillante, énergique, j'imagine des qualités nécessaires dans ce corps de métier. J'lambine pas, ni ne rechigne et me laisse faire docilement. Surtout que, c'est pas désagréable quand c'est une femme aussi délicieuse pour les yeux. Même si ses vêtements sont amples, on peut deviner des formes opulentes qui donnent envie de les découvrir.

La piqure se plante dans ma peau, les effets sont difficiles à cerner, mais effectivement, il y a comme une atténuation dans mes ressentis. Les instructions sont données, avec la promesse d'avoir des nouvelles de Moya. Je veux tout savoir, même les pires nouvelles s'il le faut. J'peux pas m'empêcher de me sentir responsable. Si j'avais pris mon envol une seconde plus tôt, peut-être que j'en serai pas là et elle non plus.

- Très bien, j'essaierai d'être sage, faudra venir vérifier également.

Une taquinerie qu'on pouvait interpréter par des tonnes de façons, je lui laisse le choix du quel. Une autre toux vient entre couper ma respiration, et j'essaie alors de me détendre en fermant les yeux, m'allongeant correctement, les bras le long du corps. Mais je n'avais que cette odeur dans le pif, vrai qu'elle sent aussi très bon.

Eh merde, ça y est, même là, j'suis entrain de perdre possession de mes moyens. Mes yeux s'ouvrent alors, glissant mes yeux sur elle de haut en bas, l'étincelle dans les mirettes qui traduisaient la pure prédation, et voilà commence un combat que je perds très régulièrement: la tentation bestiale contre ma conscience. Et c'est là que j'commence à faire d'énormes bêtises...

J'bois silencieusement ses médicaments. Le gout est dégueulasse, j'tire une grimace, mais faut avouer que la texture apaise directement mes irritations, et ma gorge s'ouvre pour laisser passer plus d'air. Putain, libération.

- Merci pour votre bienveillance. Je vais me reposer maintenant. Que j'finis par susurrer.

Cours, beauté, cours et laisse moi.

37
Prélude / Re : Une commande chez Uber Yum ? [Vanéalidée !]
« le: vendredi 26 mars 2021, 03:06:57 »
*compose le numéro de toute urgence  ::)*

Ahah, bienvenue !

38
Centre-ville de Seikusu / Re : Un renfort Céleste [PV Elemiah]
« le: jeudi 25 mars 2021, 14:16:15 »
Malgré ça, il fallait vivre.

J'ai bossé ce matin. Yashida n'a certainement pas vu une tronche aussi démontée de sa vie. Les poutres en métal de 10 tonnes étaient lourdes cette fois. Voyant que j'étais pas aussi productif, le patron me donne ma semaine, pour essayer de reprendre du poil de la bête, passer à l'hôpital le plus possible. À cette heure, les visites sont fermées, et j'ai pas de nouvelles de p'pa. Certainement qu'il est parti se souler au fin fond d'une colline avec un fusil de chasse sur le capot de sa bagnole à tirer sur des tuiles de pullshot.

J'avais envie de rien, absolument rien. Même manger devenait une corvée.

J'ai les yeux qui piquent, un mal de tête si présent que j'ai l'impression qu'on enfonce une foreuse dans les tempes. Mon cœur bat fort dans mon torse pourtant réputé puissant. Alors, c'est ça, d'être anéanti . La descente aux enfers ? Le début d'un cauchemar que j'vais pas quitter de sitôt. Comme le ventre ne voulait pas se remplir, j'erre dans les rues de Seikusu sans but, sans envie également, ignorant mon environnement et mon entourage. J'ai des écouteurs sans fil dans les oreilles, pourtant j'écoute rien du tout. Comme une espèce de reflexe bidon qu'on fait machinalement.

Qui aurait cru que ça allait me servir cette fois ?

J'entends gueuler un peu plus loin. Voleur de sac. Larcin. Lâche. La donzelle a l'air d'être dans une mauvaise posture. Depuis mon retour de Tehkos mon regard sur les femmes a bien changé, maintenant que j'ai vu des donzelles mettre des KO à des loubards comme moi sans sourciller. Malheureusement, ce n'est pas son cas. J'regarde de gauche à droite, personne n'ose faire quelque chose ou bien trop surpris par la singularité de la situation. Personne ne s'improvise super-héros. Personne ne répond à ses appels et l'homme commence à filer à l'anglaise.

J'suis en face.

Un bras se lève, j'fais mine de le laisser passer mais il va ramasser une pichenette dans le dos. Il décolle du sol pour s'écraser contre le mur, rebondir sur le trottoir et tomber dans les vapes. J'me baisse pour récupérer le sac, visiblement il a l'air de couter une blinde en plus. Enfin, si on regarde mon budget, beaucoup de choses coutent cher pour moi. J'avance alors modestement vers la "victime" si j'peux l'appeler comme ça et tendre son dû.

- Ennuyant de perdre son sac, il y a en général toute notre vie dedans.

Même si mon esprit n'était pas à la dragounette, il faut relever que cette créature devant moi est... Sculptée par les anges. Une chevelure d'or tombe en cascade sur ses épaules, son visage sertie de piécettes dorées dans les mirettes, un teint opalescent qui renvoie la lumière du soleil au zénith. Une robe volatile et obscure qui marque sa taille et ses formes. J'dois faire bien peur à côté, avec mon sweat moulant dégueulasse, mon pantalon cargo et mes boots de marche. Pas de commentaires sur ma crinière hirsute et indomptable.

- Voilà pour vous.

Et sans plus tarder, j'commence à prendre de la distance après un signe de tête. Y'avais pas grand chose à faire de toute manière. Lui demander ce qu'il s'est passé ? Pas besoin d'avoir dix ans dans une carrière de flic.

Mettons ça sur le compte de la bonne action de l'année.

39
Pfiouh. Le pied. Qu'est-ce que fait du bien.

La sensation d'être vide, libéré des chaînes de la frustration. Comme si une part de moi-même venait de s'endormir pour un moment. Comme si, un volcan avait cessé d'expulsé le surplus de magma pour mieux s'endormir pour une autre éternité. L'accès à toute ma lucidité revient aussi vite qu'il ait pu disparaître. Et me voilà dans une pièce. Des marres de foutres au sol, autant de substances douteuses dispatché aux alentours. Hiyori se met à parler, et j'peux voir que finalement elle n'a pas l'air d'avoir passé un si mauvais moment.

Quelque part, ouais, ça me rassure.

Bien sûr, elle finit au sol sur sa demande, et son corps fébrile de mes violences s'échappent pour un brin de toilette bien nécessaire. De mon côté, j'range mes affaires, nous sommes assez d'accord que l'idée d'aider cette petite est compromise. Ca serait débile de lui demander une chose pareille alors que je lui ai torpillé le derrière y'a tout juste deux minutes. Mais au fond de moi, j'espérais quand même la revoir. Ce bien-être enivrant est si addictif. Alors, pendant qu'elle se lave, j'fouille dans ses affaires et prend son carnet de son établissement. Y'a l'adresse. Parfait. Peut-être qu'une invitation reverra le jour. J'remets mes vêtements, mon corps en sueur colle contre le tissu, c'est pas très agréable et en même temps j'me vois pas abuser de la salle de bain après tout ça.

Quoi que, j'suis pas à ça près.

La main dans une poche, j'pose le carnet sur la table lorsqu'elle commence à éponger nos bêtises.

- J'connais ton lycée. On se reverra certainement.

D'une voix sombre, alors que je m'approche d'elle. Une main lui relève le menton dans ma direction, un sombre regard qui en disait long, comme le vestige d'une tempête après son accalmie.

- A bientôt, petite chatte.

Une caresse dans ses cheveux et j'retrouve la porte dans l'optique de passer une merveilleuse nuit sans mes pulsions, le sourire détendu...

...Malheureusement jusqu'aux prochaines.

40
La table tient le coup, je m'arrange pour que mes cuisses ne percutent pas le bord pour la garder près de moi. Même si, je pourrais très bien la porter et l'utiliser comme une petite vaginette pour défourailler sa chatte qui ne peut pas refuser mon intrusion, ma violente pénétration. Un labourage extrême qui s'impose fatidiquement et sans négociation. Mon regard n'en reste pas moins très sombre. Elle m'insultait, et maintenant elle me supplie, mais j'ignore tout simplement pour me concentrer sur une seule chose.

Purger ce qui m'anime.

La pistonnant avec force, j'ai pu voir l'étincelle dans ses yeux qui préviennent de quelque chose, et le vomit revient de nouveau. Une grimace un peu écœurée une nouvelle fois, je suis bien content d'être difficile pour débander, et bien trop excité pour m'arrêter de suite. L'odeur est vraiment horrible, piquante pour le nez, concentrée, fermentée, et ruisselant vers l'extérieur pour choir odieusement au sol dans un clapotement immonde.

Mais encore une fois, je vais l'ignorer. Mieux que ça, je vais continuer. Mieux que ça, je vais jouir sur elle pour la punir de cette attitude. Une logique ? Qui a dit qu'il y avait une logique ? Je fixe les règles ici. L'agitant horizontalement pour donner de la force à mes à-coups, je lâche ses jambes flottantes pour mieux m'accrocher à ses hanches et accentuer la pénétration, traduit par des claquements assourdissants qui marque sa peau d'un rouge vif. Malgré ce ramonage en puissante, les parois de son vagin restent bien serrées et l'étreinte toujours aussi agréable. Ma présemence pollue ses ovaires, ses entrailles, éclabousse entre ses cuisses et gicle dans un rythme d'horloge sur son bas-ventre.

- Raaah, putain c'est bon. Encore, encore...

Le regard embué par le plaisir, je me cantonne à observer avec perversité la course de mon sexe chambarder son antre, le voir grossir encore, les veines plus qu'apparentes. Ma bouche s'ouvre, mes mouvements se font plus pressés alors que l'orgasme toque à la porte.

- Comme...tu...as...été vilaine, je...

L'accélération monte encore d'un palier, mes phalanges enfoncées dans sa peau pour qu'elle ne me glisse pas des mains, mes mouvements ressemblent à celui d'un gorille en rut, pulsé par ses plus sombres instincts, expirant des râles, des essoufflements saccadés et le coup de tonnerre de la jouissance traverse mon gland. Un rugissement remplit la pièce et j'juge bon de sortir ma queue à ce moment pour l'engluer de la tête aux pieds dans une déferlante de foutre bouillante et puante, visqueuse et épaisse. Les jets de spermes deviennent moins importants sur les dernières pulsations, mes bourses rétractées, mais pas moins pleine. J'me permets même de presser mon gland devant son visage maculé de l'odieux liquide viril et sale.

- T'auras une bonne raison de vomir après ça.

Son vagin montre un trou béant, mais j'me dis qu'il faudrait profiter de tout ses orifices... Parce que, j'ai encore envie de me vider, et elle est encore vivante pour continuer.

Reprenons ?

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L'autoroute du plaisir à fond la caisse, violant toutes les lois conventionnelles, son intimité, son intégrité, sa personne, son esprit. Le martèlement continue et sculpte à ma manière un plaisir immense extirper une jouissance imminente et sans doute explosive. Ignorant d'abord ses supplications, j'me surprends à l'écouter, et maintenant détailler son visage fendre un sourire embué par le plaisir et ses mots qui apportent une nouvelle excitation qui ne va pas m'aider dans la retenue de l'orgasme. Trois doigts entourent son cou délicat avant de ranger profondément ma queue en elle, fermant les yeux et écouter ses gémissements de plaisir...

- Je savais que derrière cette petite renarde se cachait une grosse chienne...

Un viol qui devient un coït consentant, jubilant avec un plaisir malsain les instincts de la renarde les plus bas prendre le contrôle de son corps pour mieux m'accueillir. Le tableau devenait magnifique. Et j'avais envie d'enregistrer ce moment pour un long moment. Mes coups de pillons arrêtent progressivement de ramoner son antre, pour lui accorder un répit pour son utérus et ses entrailles pour prendre un pas de recul et apercevoir que mon pantalon a laissé glisser mon téléphone. Un sourire bien vicieux, tandis que mon gland hurle l'envie de jouir, écarlate, le long du sexe maculé de fluides et strié de veines gonflées, cette frémissante envie qui veut dégueuler tout ce qu'il a pour la remplir comme il se doit.

- Fais un joli sourire à la caméra.

Le flash allume la pièce, la peau opalescente, ses mèches donnent presque des reflets nacrés à l'image, et elle paraît encore plus humiliée à l'écran. Préparant ma bave dans mon palais, la salve du crachat arrive salement entre ses jambes pour être sûr que la prochaine pénétration soit sûre. Le téléphone s'approche, le bras pointé vers elle, un grand angle qui prend tout son corps.

- Allez, écarte les jambes, je vais bientôt jouir. N'oublie pas de parler, des gens vont te regarder après tout.

J'me dis que diffuser ça pourrait être une idée plus qu'alléchante. Alors autant profiter de l'occasion. Ma main libre s'accroche à sa hanche, et mon sexe retrouve la chaleur ruisselante de sa vulve avec ma légendaire indélicatesse qui lui tabasse le bassin, et reprend une barbare cavalcade qui la secoue de haut en bas.

- Est-ce qu'elle aime ça ? Est-ce qu'elle en veut ? Etre baisé, encore ? J'en ai bien l'impression, non ? Qu'est-ce qu'elle en dit, la petite chienne ? Le monde te regarde.

Malgré la maîtrise de la situation, je perds peu à peu le contrôle de mon corps, le téléphone tremble un peu, mes respirations deviennent bruyantes et sens enfin venir la cascade de spermes écarter mon urètre pour se déverser comme une marmite de liquide brûlant.

- RAAAAAH !

Tout mes muscles se crispent, alors que mes bourses se rétractent, pompées en masse par un mandrin pulsant aux rythme de mon cœur battant, les jets de foutre qui assiègent ses ovaires et même enfler le bas-ventre.

- T'es qu'une sale outre qu'il faut remplir. Qu'est-ce que c'est bon.

Je continue quand même de la baiser alors que mon sexe se noie dans toute cette semence. Continuer à bourrer tout ce ceci comme s'il était possible de tout faire entrer alors que ça déborde en permanence. Un trou béant, pourtant. Malgré cette éjaculation abondante, il en demeure que ma hampe est toujours d'attaque. Tant mieux pour moi, tant pis pour elle. Et profiter de ses orifices encore si serrés. Un seul me vient à l'esprit. Glissant de haut en bas la caméra pour avoir tous les éléments en vidéo de ce carnage, je recule pour lui laisser le luxe de bouger à mes attentes.

- Je sens que ton cul est un peu jaloux de pas avoir le même traitement. Montre-moi ce joli petit orifice qui attend mon passage.

Le zoom se fait, un rire gronde dans mon torse, comme un enfant amusé de son nouveau jouet. 

Un délicieux jouet.

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"Le monde est trop grand pour moi, maman.
- Alors rapetisse le ! Imagine que c'est une grande île. Tu l'as vois...?
- Ouais. Je la vois."

J'me réveille alors sur ses paroles.

Je quitte ce rêve pour cette réalité. Je quitte la ferme de mes parents pour cette chambre qui même malgré son confort n'est pas aussi chaleureuse que je le voudrais. Elle me renvoie à ma propre solitude. On aimerait que ça s'arrête, mais on peut pas. Juste, subir. En me relevant doucement, j'pouvais voir à la fenêtre qu'il était encore très tôt; l'émergences des premiers rayons caressent à peine la fenêtre de la pièce. Evidemment, j'pète la forme, même si j'avais pas dormi une seule minute. J'ai appris à dormir par habitude. Plutôt compliqué quand j'étais gosse, mais maintenant, j'en profite pour plonger dans mes songes les plus doux. Mon corps se repose peut-être pas ou ne ressens rien, mais mon esprit, lui, médite et profite de ce créneau pour se requinquer.

Le lit grince, les lattes couinent, et mes deux pieds trouvent le sol avant de prendre la direction de ladite malle pour chercher des fringues potables. J'trouve sans mal, un pantalon bleu marine, l'équivalent d'un t-shirt gris moulant, des chaussettes épaisses et une paire de chaussure de marche à ma pointure. En allant me débarbouiller la gueule à la salle d'eau, je me remets en mémoire la dernière conversation avec Lied. Putain, c'était pas joli. J'essaie de me rassurer, me dire qu'elle a peut-être comprit et que mine de rien ce n'est pas un argument pour me refoutre en taule. Enfin, j'crois. Dans tout les cas, j'oserai jamais faire une chose pareille malgré la difficulté qui m'attends.

La maison est silencieuse. J'entendais mes respirations raisonner dans le couloir mais aussi d'une occupante dans la chambre, j'suppose que c'est Mueller qui doit encore roncher et elle en a bien besoin, elle a donné beaucoup de sa personne ces derniers jours seulement pour moi et elle a droit au plus grand repos. Elle avait parlé d'une console de jeux dans le salon, alors j'me dis que geeker en déjeunant vite fait reste un bon programme. Mais c'était avant de remarquer ce papelard à côté d'une ripaille qui s'étale sur la table. J'pourrais tout descendre tout seul. C'est pour moi ?

Un coup de fil à passer. Sylphe ? Elle doit déjà être partie. J'compose alors directement le numéro et pose l'appareil sur la table. Ca attend pas longtemps et voilà qu'une nana se déploie holographiquement. J'ai cru voir Lied pendant une seconde. Mais non, ça n'a pas l'air et c'est après les présentations que j'pige que c'est sa soeur ? Mais pourquoi elle m'a demandé de l'appeler ? J'vais pas tarder à le découvrir, et va m'étirer une tête assez agacée.

« Alors monsieur le colosse, comme ça, on a la trique un peu trop souvent ? Ca doit pas être simple de se trimballer un manche toute la journée, j'comprends j'comprends. Bon, déjà, est-ce que t'as des défauts érectiles, malformation du prépuce, frein trop court ou... ? Hé, tu m'écoutes ? A poils ! »

J'hausse un sourcil. Les nerfs montent, et faute de mieux, faire exploser la maison ne va pas plus me détendre. Oublions la déontologie médicale, les confidences entre amis avec Mueller, tout ça n'existe pas visiblement. J'sais pas si je me sens trahis ou pas, mais une chose est sûre, je sais que j'vais devoir faire gaffe au prochaines confidences qui vont sortir de ma bouche. J'déglutis, échappant une expiration las et commence le déshabillage. Elle ne verra pas grand chose de plus qu'un homme classique si on omet les 2m20 et les 180 kilos qui se promènent un peu partout sur mon corps, muscles roulant sous une peau épaisse et velues à certains endroits.

Une énième fois où j'me fous à poils contre ma volonté, mais y parait qu'elle comprend, hein ? Commence alors l'interrogatoire sur mes antécédents, des réponses négatives qui s'enchaînent; que ça soit sur le gluten, le lactose, les graminées ou bien le béton d'un building traversé de part en part. Son regard intrusif ira plus loin sur l'analyse de mon pénis, j'veux pas assister à se spectacle alors je ferme les yeux, et attends que ça passe. Un œil s'ouvrira quand ça fait du bruit derrière la porte.

« Bon, je pense que tu devrais t'en sortir. Si jamais, tu trouveras quelques cachets qui pourront t'aider à te détendre et ne plus penser à ça. Et quelques anti-douleurs, aussi. C'est essentiel quand on rencontre Belphy et June. Surtout les deux en même temps. Bonnes vacances ! »

Anti-douleur ? Qu'est-ce qu'on va encore me faire ici ? J'réponds d'un signe de tête par dépit et ne patiente pas la fin de la transmission pour me rhabiller. J'avais envie de pulvériser un millier de choses. Mais est-ce que ce n'est pas un mal nécessaire ? Il n’y a pas beaucoup de gens qui savent ce que c’est, d’avoir la rage dans les veines. Enfin, ils comprennent, tout le monde comprend, au départ. Puis ils demandent au p’tit enragé un truc dont il se sent incapable, tourner la page. Personne comprend. Encore moins une nana qui pense être dans ma tête en voulant savoir ce que j'bouffe le midi ou s'il y a une tâche de naissance sur mes testicules, ou bien si ma queue est un peu trop courbé de cinq degrés. 

Belphy et June... Deux donzelles dangereuses y parait. Alors on va rester méfiant. Lied arrive sur mes dernières pensées. J'reste interdit à ses dires, même si sa petite voix douce et adorable proclame le prétexte d'une profonde bienveillance pour me faire gober des cachetons, j'ai quand même du mal à digérer la pilule. Parce que je n'arrive pas à admettre que j'ai un problème ? Possible. Mais surtout que j'aimerai que les choses se fassent convenablement pour une fois. Un flingue sur la tempe tout les jours, sans demander mon avis.

"Bonnes vacances" ? Mon cul.

La sénatrice revient avec une tasse chaude d'un parfum revigorant d'un café qui a l'air de faire beaucoup de bien. Qu'est-ce que j'veux faire ? Hm...

- Eh bien, j'vais commencer ce déjeuner. Et ensuite, pendant tes deux heures j'irai me dégourdir les jambes. En attendant, j'veux bien que tu me parles de ton pays. Je sais que tu es sénatrice, mais encore ? Et qui sont Belphy et June ?

Ma voix était ferme, rauque et ne traduisait pas une quelconque négociation. J'ai le droit d'avoir des réponses. Attendant la sienne, j'ouvre la porte et saisis le colis au sol. Déchirant le carton, plusieurs boites blanches sans noms génériques dessus. Des pilules. Tant qu'à faire, autant gober et tester. Mon organisme éliminera le problème si c'est mortel pour le commun terrien.

Et vous allez pas me croire mais... Mais on dirait que Lied est devenu d'un coup...

... Moins belle ? 

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Centre-ville de Seikusu / Un renfort Céleste [PV Elemiah]
« le: vendredi 26 février 2021, 16:49:19 »
Aujourd'hui, c'est une journée plus affreuse que les autres. Peut-être, la pire de ma vie.

Adossé au pick-up de p'pa, on prend notre courage à deux mains pour rejoindre l'hôpital dans lequel m'man y séjourne depuis quelques jours déjà. Dans ses yeux larmoyant caché derrière ses sourcils grisâtre, j'ai bien compris que le coup de fil qu'il avait reçu était loin d'être un cadeau du ciel. Pour un rapide historique, m'man avait plusieurs symptômes inquiétant; une toux qui ne disparaissait pas, crachait du sang, s'essoufflait vite. On savait que le diagnostic serait pas bon.

On passe à l'accueil, on nous reconnaît facilement. Seul détail, c'est que j'dépasse de plusieurs têtes mon père, donc difficile de faire comprendre que j'suis de leur famille, leur fils qui plus est. En montant à l'étage, on rejoint donc l'aile affiliée au service d'oncologie. On passe la porte, ma mère est en train de dormir, notre médecin détient des radios dans les mains et l'infirmière note quelque chose sur son bloc note.

La dernière fois que j'suis allé à l'hôpital, c'était pour sauver Moya, une nana qui travaillait avec moi dans un chantier. On a traversé deux étages de béton d'un parking en construction avant d'être aspergé de propane qui a déclenché un incendie. Il a fallut purger mes poumons malgré ma régénération accéléré. Depuis, j'ai toujours un malaise de pénétrer à nouveau dans cet établissement. Peut-être la tristesse de regarder tout ses visages atteint par la maladie, la souffrance, le chagrin. Aujourd'hui je n'ai pas le choix devant ma matrone.

Au côté de mon père face au toubib, on se zyeute silencieusement pendant de longues et interminables secondes. Il va ouvrir la bouche, j'aurais aimé qu'il ne le fasse pas.

- Il n'y a pas de traitement.

La phrase résonne comme un coup de tonnerre. Le médecin nous dit qu'il évidemment désolé, mais moi j'entends rien d'autre que cette négation, martelant mon esprit infatigablement. La fatalité, tout est fini. Il y a plus rien à faire. Mon cœur se fissure, puis explose en mille morceaux, les genoux au sol, et la tête posée contre le ventre de ma mère adoptive, les yeux inondés de larmes. Le doc nous laisse seul, et j'essaie quand même de trouver des solutions. Coute que coute.

- Et... si j'lui donnais un peu de mon sang...?
- Ca l'a tuerai, tu le sais bien.

Il s'adosse au mur, j'pouvais l'entendre sangloté de son côté aussi. C'était la fin d'un monde. Notre monde.

***

J'ferme la porte à double tours de mon appartement. Un studio en faite. Tout est dans une seule pièce à part la salle de bain qui fait aussi chiotte. J'ouvre les fenêtres, parce que ça sens le mâle en rut, on voit même plus le sol à cause du linge sale, des magasines, des canettes, des cartons de nouilles, de pizzas et de burgers. Est-ce que j'avais envie de ranger tout ça ? Non, bien sûr que non. J'ai ni envie de faire le ménage, ni de faire quoi que ce soit.

J'avais envie d'un miracle.

Mon père disait que j'pouvais en accomplir. Pour l'instant ce n'est qu'une grotesque connerie. J'jette mon sac dans mon clic-clac avant de rejoindre le miroir de la salle de bain, crade comme tout le reste. Le blanc des yeux encore rouge depuis mes sanglots récents, j'essaie de trouver un semblant de lumière dans tout ce merdier. Raté. Dans ces moment-là qu'on fait le bilan. Le bilan de sa vie. Un réflexe ? Un message de son inconscient ? Aucune foutue idée.

- Pas de boulots stables, pas d'amis, pas de proches, pas de vie heureuse, ta planète d'origine est détruite et ta mère va canner sans que tu puisses faire quelque chose.

Mes lèvres tremblent, et mon poing part à côté de la glace pour empaler le mur. L'avant-bras et le poing à l'extérieur du bâtiment, je n'ai absolument rien senti. Et c'est bien ça le problème. Impossible d'être bourré, impossible de se piquer, impossible de se détendre. Et mes coucheries sont bien trop rares et violentes pour espérer être détendu. J'suis en dehors du cercle, un individu qu'on ne pas battre, casser et reconstruire pour le ramener à l'intérieur. J'peux même pas finir dans une institution. Pire, on peut que me plaindre.

Qu'est-ce qu'il me reste ? Dieu ? J'suis pas croyant. Je crois aux gens, et en leur capacité d'y arriver. Et pourtant, mes yeux vont chercher le ciel, ramenant mon bras qui fait passer l'air frais nocturne.

- Dieu, ou j'sais pas qui. Je ne sais pas ce que tu veux, et je ne sais pas ce que tu as prévu pour moi. Mais j'ai une mère formidable qui m'a ramassé il y a 20 balais pour me sauver la vie dans les couloirs de la mort. Je dois lui rendre la pareille. Par n'importe quel moyen.

Ma voix résonne dans ma salle de bain, la résonnance de la solitude. J'pousse un soupir et m'en vais m'affaler sur mon lit de fortune, où j'sais déjà que je ne vais pas fermer l'œil de la nuit. L'esprit tourmenté et le cœur en miettes.

Quelle nuit de merde.

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Tekhos Metropolis / Re : Une chute aux cœur d'une cité matriarcale. [PV Lied]
« le: vendredi 26 février 2021, 14:01:49 »
Trois fois rien ? Mouais. Je verrais bien plus tard de toute manière.

Alors que la cuisine frôlait la catastrophe incendiaire, Sylphe se propose pour reprendre le flambeau et dans tous les sens du terme. Le tableau est encore mignon à regarder. Des fois j'me dis que je devrais m'en inspirer. De mon côté, je jette les patates qui ont plus la gueule de charbon carbonisé et repartir sur quelque chose de plus sain. Comme par exemple le fait que Lied arrête de jouer avec la combustion d'un aliment et laisser ça à ceux qui savent. Un soupir soulagé, avant d'étirer un sourire amusé à cette grotesque scène. Mueller est encore plus attachante bizarrement. C'est peut-être sa plus grande force finalement; elle n'est pas infaillible, mais fait son maximum, quoi qu'il arrive.

C'est beau.

J'fais un signe de tête à la mise en garde de sa comparse, gardant effectivement un œil sur la Rose avant qu'elle ne se mutile elle-même par inadvertance. Je les laisse entre elles, et me poste alors sur le plan de travail, et avec une main lourde, j'dose ce qu'il faut couper et cuir pour que j'puisse manger à ma convenance et à la leur, bien sûr. Mes yeux glissent de temps en temps sur ses belles créatures, si mes pouvoirs sont revenus, ma libido d'animal aussi. Chiant, très chiant. Alors j'me secoue la tête brièvement avant de leur tourner le dos également.

C'est à ce moment là que je les entends parler. Appeler ? Appeler qui ?

Un coup part sur la table, j'me retourne rapidement, le regard alerte, mais rien à relever de plus. Hormis la contrariété de soldate. Visiblement Lied n'a pas suivi l'entièreté du plan. La question est pourquoi ? J'garde ça dans un coin de ma tête et prend place, une chaise qui couine de douleur au presque 200 kilos qui viennent de se poser dessus pour apprécier la bouche béante la ripaille qui ne va pas faire long feu. C'est ainsi que j'éveille l'ogre en moi en me jetant sur l'assiette, une cacophonie de mastications bruyantes, dont l'aspiration des aliments était inhumaine. Un coup de fil m'arrête dans mon élan, j'hausse à nouveau un sourcil sur le comportement étrange de la Sénatrice, visiblement ça ressemble à une mauvaise nouvelle.

J'sais pas trop quoi dire, dans le doute, la fermer et descendre ce que j'ai avaler avec un verre d'eau frais. Les esgourdes bien attentives à l'échange entre les demoiselles.

« Bonsoir Belphégor.
- Bonsoir Sylphe, pourquoi m'appelles-tu ?
- Sylphe ? C'est Sylphe au téléphone ! Syyyyylphe !!
- Je t'appelle de la part de Lied, qui n'ose pas te demander de l'aider pour une affaire impliquant le colosse tombé du ciel dans le centre-ville de Tekhos. Elle s'est portée garante pour lui et....
- BARBECUE !
- June, silence s'il-te-plaît ! Le... colosse. Est-ce que je peux avoir quelques informations ? »

Qu'est-ce que c'est que ces conneries ? Barbecue ? Mon torse gonfle un peu fort, alors qu'un soupir las et agacé commence à trahir ma contenance. Finalement c'est la concernée qui va prendre son courage à deux mains. A la voir, on peut comprendre que elle aussi, a sa propre "obsidienne" qui lui fait perdre ses moyens. J'connais pas cette Belphy, mais j'lui souhaite de venir avec une brouette d'obsidienne si elle veut essayer d'envisager la possibilité de me faire trembler des genoux.

« Et euh.... il... euh... est terrien...
- Bonjour Lied. Comme c'est agréable de voir que tu n'as pas changé. Pour ton petit problème, je peux éventuellement apporter des solutions. Diverses solutions. Avant toute chose, où vous trouvez-vous ?
- J'ai loué une villa à une centaine de kilomètres de Tekhos, dans un petit coin de campagne.
- Parfait pour le bruit.
- B-Belphy ! Nah ! On le tue pas ! On le ramène vivant ! Et pas de torture non plus !
- C'est plus facile de cacher un cadavre que ramener quelqu'un sur Terre. Du moins pour moi.
- Normal, June les bouffe.... Et Sylphe les cuit...
- Barbecue ! Barbecuuuuuuuuue !! On fait barbecue, Bephy ?
- Tu peux m'aider oui ou non ?
- … Donne-moi tes coordonnées. »

Me torturer ? Me buter ? Me bouffer ? Elles m'ont pris pour qui ? Un agneau ? J'commence à me dire que j'suis en sécurité nulle part, même si j'ai l'impression que Mueller a eu le dernier mot sur cet échange. Peur ? Non. Bien sûr que non. Agacé, las, et profondément frustré de pas avoir la maîtrise sur la situation. Sans doute le prix a payer quand on est étranger. Une condition que j'dois accepter fatalement, puisque mon chez moi n'existe plus. Partout où j'irai, on me collera l'étiquette de l'étranger. Autant faire un travail dessus à partir de maintenant. J'reste donc silencieux, a écouter les exclamations d'une cannibale à la voix euphorique et la froideur d'une voix monotone et antipathique des hommes, impuissant une nouvelle fois face à cette scène. Bonne nouvelle, c'est que malgré tout ce qui est écrit sur mon dossier, Lied n'a pas fait mention de mes origines extra-terrestres. Et c'est rassurant.

Pas besoin de poser des questions, puisque le plan est de me sortir de là. Peut-être que j'en saurai un peu plus demain. L'ambiance si chaleureuse et conviviale avait disparut pour retrouver celle que j'avais trouver en prison. Celle du condamné. Mais un sursaut de mignonnerie supplémentaire dont seule Lied avait le secret vient balayer tout ceci dans un bref geste de la main. D'un geste de cupcake exactement. Avec un discours pour me rassurer, une voix si douce qui pourrait dompter le plus féroce des lions. Même s'il ne gomme pas tous mes doutes et mes appréhensions. La pâtisserie disparait en deux bouchée répond par l'affirmatif en bougeant doucement la tête.

Une autre journée se termine sur Tehkos.

J'commence à monter les escaliers pour suivre mon hôte pour accéder à l'étage. Une autre vue sur sa croupe voluptueuse. Mes sourcils se rapprochent, j'pousse un soupir pour faire un semblant de soupape à mes ardeurs libidineuses. On arrive devant la pièce qui s'avère être ma chambre. Et on en est totalement loin de ma cellule. Un sourire timide me trahit. Grande, spacieuse, une vraie chambre de roi où j'peux enfin profiter d'une bonne et réelle douche. Devant ladite malle, mon torse se réchauffe à ses attentions, sa générosité, sa bienveillance.

- Mille merci, Lied.

Peut-être l'occasion de lui avouer. Parce que nager dans ses yeux, seul dans cette chambre... Mon bas-ventre cogne de toute ses forces et j'profite alors d'un instant de lucidité pour la prévenir. Marchant à ses côtés jusqu'à la sortie, je la laisse rejoindre le couloir, mes pieds s'arrêtant à l'encadrement de la porte.

- Euh, il faut que j'te dise que... Qu'il faudrait éviter qu'on soit seul rien que tout les deux. J'pourrais faire des choses qui dépasseraient ma pensée. Des choses terribles pour une femme comme toi. Et je ne veux pas perdre le dernier espoir qui me permettrait de sortir d'ici. Voilà, ça me semblait nécessaire de le dire.

Un grognement déforme mes traits, plissant mes narines, alors que ma pupille se dilate aux rythme de mes pulsations, le moment de fermer la porte rapidement avant de faire une énorme connerie. Cachant mon visage dans le creux de mes mains j'essaie de penser à autre chose, l'entre-jambe moite et déformant mon tissu, j'me déshabille aussitôt pour rejoindre la salle d'eau et me foutre de l'eau froide pour réguler ce rut qui m'anime. Il faudra attendre de longues minutes pour que cela fasse effet.

- Chiasserie. Tu l'as échappée belle, mon grand.

Plaquant ma crinière hirsute vers l'arrière, j'attrape une serviette pour me sécher et chercher un sous-vêtement. Stylisé, mais qui me va à merveille, non sans mouler cette bosse indécente et encombrante, j'rejoins le matelas qui m'accueille avec sa texture douce, son épaisseur moelleuse, oubliant un petit peu ma condition de clandestin.

Les bras croisés derrière la tête, j'réfléchis. Mais j'crois que c'est un peu trop le bordel dans ma tête pour trier tout ça.

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: jeudi 25 février 2021, 23:59:55 »
La recherche de libération s'amorce, même pas besoin de venir la chercher d'avantage qu'elle se jette comme une mort de faim sur mon mandrin avec l'appétit d'une dépravée. Peut-être tout simplement que s'en est une ... ?

- Je le savais que tu étais une vicieuse...

Une perverse, une obsédée, les yeux embués et hypnotisés par une seule chose : ma queue. Ma bouche s'ouvre, pour mieux m'arracher des râles de plaisir, des feules qui vibrent dans les tempes de ma partenaire comme la mélodie d'un délice, viril et musculeux. Mes doigts s'enfoncent dans mon cuir chevelu, j'pourrai m'arracher les cheveux tellement je suis transcendé d'un plaisir infini, toujours plus haut, enserré entre ses lèvres qui ventousent ce membre au bord de l'explosion, pas assez grande pour tout prendre, mais suffisamment débrouillarde pour me branler et flatter mes bourses avec des mains expertes. Mes respirations suivent le rythme de ses va et viens grossiers, les bruits de succions toujours plus bruyant, détruisant le plafond de l'excitation pour me faire perdre la tête.

- Ah... Ah....RAAAH ! Oui, suces, suces en-core...Je vais...

Un hurlement. Un rugissement. Un coup de tonnerre qui remplit le salon. Ma verge se met à pulser dans de grands mouvements, tandis que ses veines énormes déformant sa peau fine viennent pomper mes bourses qui se retractent progressivement, le battement de mon cœur donnant le rythme sur ce bruit de remplissage de foutre. Débordant de tout les côtés, giclant aussi sur le visage, et ses cheveux, et même engluer le reste de son corps alors que son estomac gonfle de nouveau odieusement. Même si elle s'étouffe, ma main emprisonne son crâne pour continuer de faire couler cette lave de sperme, et embraser tout sur son passage.

Les salves s'arrêtent après de longues secondes, le sexe rangé au fond de son gosier. Il va ressortir doucement dans un sale claquement de lèvres. Un pouce viendra essuyer sa bouche. Mes respirations sont encore bruyantes, mon torse gonfle et dégonfle dans un rythme irrégulier.  Le silence s'étire, et ma lucidité revient comme le soleil après une tempête apocalyptique, mettant en lumière la scène sous un autre angle. Je lui caresse alors la tête de nouveau, mais une caresse plus affectueuse et tendre. Mais le sourire, lui, il était espiègle.

- C'était parfait, Hiyori. Tu caches bien ton jeu, vicieuse.

Puis d'un bras je la soulève pour la tenir comme une princesse, le trou béant de son antre labouré par mes soins continue de faire couler les effluves de nos ébats le long de mon torse.

- On a foutu un sacré bordel. Combien de temps avant que tes vieux n'arrivent ?

Peut-être le moment de ranger ce bazar. Pourquoi ? Parce que si c'est nickel, les parents n'en sauront rien. Et si les parents n'en sauront rien...

... J'pourrais recommencer. Encore, et encore et encore.

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