Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

[[[

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

[[[

2914 8

Anastasya

Invité

  • Messages:

[[[

samedi 27 mars 2021, 20:42:34

.
« Modifié: lundi 04 décembre 2023, 14:21:46 par Kõya Breathless »

Compte Inactif

Créature

Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]

Réponse 1 dimanche 28 mars 2021, 15:45:34

"Vous cherchez du travail ?
- Nan, à vrai dire, j'suis juste venu boire un verre après ma journée.
- On cherche des videurs, si jamais.
- Euh, ouais. Vous avez une carte ?
- La voilà. Appelez-nous quand vous serez disponible.
- Merci.
- Votre taille ?
- 2 mètres 20.
- Poids ?
- Entre 180 et 190 kilos, à peu près."

Il ravale sa salive.

"Bon eh bien, essayez d'être sage dans notre établissement.
- C'est mon souhait le plus cher, rassurez-vous."

Le videur me souhaite la bonne soirée et me laisse entrer dans l'établissement. Pas tout le temps que j'viens siroter quelque chose dans la zone Sous-Marine, mais faut admettre qu'on y trouve une certaine sérénité et un apaisement qui détend le cerveau de ses tourments de la surface. Il y a du monde, un paquet de bonhomme, des donzelles, de la musique et un barman très occupé. J'me "faufile" dans la smala pour me trouver une place. Une place qui en prend deux du coup, désolé aux copains. Le tenancier des boissons s'approche, prend ma commande, l'échange et bref et rapide et il passe directement à d'autres clients. C'est pas grave, j'ai pas demandé à être le nombril du monde et tant qu'on me remarque pas les choses iront parfaitement bien.

J'balaye des yeux un peu le lieu, pas trop l'habitude fréquenter les boîtes de nuit. Mais faut reconnaître que le climat est attrayant. J'bouge la tête doucement au rythme de la musique et me concentre uniquement sur la bière qui se trouve sur le comptoir, une gorgée, deux gorgées, plus rien.

Mais alors que j'voulais passer une autre commande, ça commence à siffler dans le public général. J'comprends pas de suite, puis ça saute aux yeux comme une évidence. On a rarement vu de bombes sexuelles dans ce genre dans une vie, faut croire que c'est mon tour. J'prends alors sur moi, le regard soudainement transformé par deux pupilles dorées qui la pourfend comme un gros prédateur sexuel. Détaillant ses énormes fesses, rebondit et dodues sous une jupe bien trop courte, à les agiter devant une horde de mâles affamés sans pour autant avoir la possibilité de gouter un morceau. Marchant comme une féline qui surplombe tous ses charognards, mes yeux s'écarquillent de surprise quand elle s'arrête devant moi.

Sa chair rebondit au gré de ses mouvements, s'allongeant, ma tête tangue d'un côté pour apprécier avec avidité ses sous-vêtements. Plié par des lèvres tout aussi alléchantes. Sa bouche pulpeuse accueille l'alcool, et difficile de donner de l'œil entre la manière dont elle boit ça et sa poitrine qui s'étale de chaque côté. J'en perdrai presque la tête. Mon bas-ventre est en feu et mon pantalon gonfle malgré moi. J'me surprends à pas avoir bougé d'un centimètre. Elle se redresse, son immense crinière colorée flotter dans l'air dans son geste, j'me raidis, et ma bouche se retrouve remplie de ce qu'elle a gardé pour un baiser bien vulgaire. Ça commence à râler derrière moi, mais pareil, je m'en bats les steaks. Habillé d'une chemise blanche et légère et d'un jean, elle n'aura aucun mal à sentir toutes mes insertions musculaires vibrer aux contacts de ses mains mutines.

Ma langue imposante s'invite pour commencer un balais grossier et pervers avec la sienne, avant de chercher de ma poche quelques billets, ma main épaisse les tenant entre le majeur et l'index, et s'installent dans le sillon de sa grosse poitrine pour y laisser ce dû, déduisant que rien n'était gratuit ici. Le baiser s'arrête sur un claquement de lèvre bruyant malgré la cacophonie générale et mon sourire carnassier donne le ton sur mes prochaines paroles.

"Il faut quoi pour t'avoir tout entière et maintenant."

Hors de question de laisser toute cette viande sans faire quoi que ce soit.

Compte Inactif

Créature

Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]

Réponse 2 lundi 29 mars 2021, 18:32:00

Le baiser s'arrête et la première remarque saute. J'hausse un sourcil ? Une pute ? Hm, vrai qu'en y réfléchissant cinq secondes...

"Hm, disons qu'on a rien sans rien. J'suppose."

L'impression d'avoir un château de cartes qui venait de s'effondrer pour mieux être frustré. Putain, t'as encore tout foiré, Héra. J'tire une moue un peu gêné puis finalement lorsqu'elle se retire et qu'elle compte le pognon, mon avis devient vite partagé. En détaillant que cette bombe est aussi vénale que délicieuse, j'me disais bien qu'il y avait anguille sous roche. Elle commence à prendre un ton un peu ferme et mes sourcils se rapprochent, quand j'pense que j'avais dis au videur que j'allais être sage, merde, c'est raté. Elle s'éclipse et quelques rires dans l'auditoire se font entendre. J'calcule pas et me concentre alors ailleurs en priant que j'vais vite oublier cette histoire.

Et en faite, nan.

Ca jazz sur le fait qu'on personne peut reluquer son cul avec une demi-molle comme la mienne, j'pousse un soupir en haussant les épaules. Puis elle commence à faire le tour. J'savais pas si elle voulait me maraver ou bien faire un scandale pour mieux me foutre la honte, dans le doute, j'garde un regard assez dur en attendant la potentielle sanction tomber. Premier contact, premier frisson, et ses grosse cuisses commencent à me chevaucher. Cette fois, ouais, je bande très dur. Le pognon se dissimule de nouveau dans son énorme poitrine que j'avise avec le regard d'un affamé avant de m'égarer dans ses yeux magnifiques. Merde, en plus d'être bonne, elle est jolie.

"Bah c'est que..."

Son doigt fini sur mes lèvres, et ses mots doux viennent à mon oreille, avec tout son corps qui câline mon torse et ma queue bien trop raide pour ne pas sentir la chaleur de son entre-jambe. En plus d'être une pute, elle a l'air d'être une sacrée salope. Et finalement, j'adore ça. Un sourire carnassier alors que j'apprécie sa langue humide jouer avec mon oreille, et retiens un semblant de sursaut quand j'sens un bout de tissu dans le creux de ma main. Son string. Putain.

"J'ai une liasse dans mon porte-monnaie."

Bon ça me fait un peu chier, c'est la moitié de ma paye de ce mois-là, va falloir faire des heures supp', j'imagine. Mais, hé, au moins je me serai vidé dans cette délicieuse créature. Je récupère le sous-vêtements correctement avant d'en prendre une bonne bouffée de son odeur enivrante, celle du chatte en chaleur, alors que l'autre main vient pétrir une fesse pour l'encourager à se frictionner davantage sur mon membre, tout en profitant du contact, celui des phalanges malaxant toute cette chair.

"Et si on allait quelque part pour faire tout ce que je veux ?"

J'me redresse, la tenant contre moi pour la faire ensuite faire glisser contre mon corps, tout en payant ma consommation. Le portefeuille sorti, une liasse s'échappe tristement de mon portefeuille pour venir entre ses seins une nouvelle fois, en faisant rebondir sensuellement ces derniers. La dépassant de plusieurs tête, je l'enveloppe de toute ma masse, échappant de ma bouche une voix grave et chaude.

"Je te suis ou tu me suis ? Quoi qu'il arrive, tu m'échapperas pas."

Clair et net.

Compte Inactif

Créature

Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]

Réponse 3 mardi 30 mars 2021, 01:04:15

Elle a quand même bien de la chance. Si j'baisais pas aussi rarement, j'aurai peut-être décliné l'offre, ou bien j'aurai réduit la somme. Mais là, franchement, j'suis beaucoup trop à cran pour refuser une pareille opportunité. Son joli petit minou qui a embrassé ma queue plus tôt m'a laissé une belle trace de mouille tiède sur le froc. En plus de bosser tapin, c'est aussi une grosse chaudasse.

Que des bonnes nouvelles, si c'est pas le paradis ça.

Ses petites mains se veulent affectives en se glissant dans le bas de ma colonne non sans m'arracher un frisson alors qu'elle m'expose le menu de la soirée : bouffe à volonté. Et ce, dans la plus grande des perversions. Ça donne aussi une idée dans quel cadre elle aime faire ça, et j'vois qu'à ce niveau c'est open bar. Autant de jolis mots qui me font encore plus bandé que j'le suis déjà, mon pantalon est salement déformé et j'peux même voir que des gens de la boîte l'ont reluqué avec une grimace un peu gênée. J'm'en tape.

Ses phalanges palpent mon postérieur de buffle, et moi je juge bon d'enlacer ses épaules d'un énorme bras protecteur alors que nous sortons de la boîte pour aller au Parking. Le videur me toise un peu étonné pensant que j'allais rester plus longtemps, puis me lâche un sourire taquin quand il reluque le gros cul de madame. J'hausse simplement les épaules en lâchant un clin d'œil. Étant dans la zone sous-marine, j'ai pris une chambre d'hôtel à quelques bornes d'ici, le dôme sous-marin nous donne son plus joli panorama alors que j'déverrouille mon pickup et lui ouvre la porte avant de la rejoindre.

Une grande inspiration, surexcité et en rut alors que j'défais mon pantalon pour sortir un mandrin plus grand et plus large que son avant-bras, libérant une chaleur odorante d'un musc viril et entêtant, maculé d'un pré-sperme épais et gluant déjà, alors qu'il pulse vers le haut au rythme de mes battements de cœur par de larges veines.

Décalotté déjà, je lui laisse le soin de la regarder, avant d'étirer un sourire espiègle.

"On va faire de la route, alors, est-ce que tu suces aussi bien que tu sais parler ? J'veux bien avoir une petite démonstration. Si j'pouvais apprécier ton derrière en le tendant bien vers le haut ça serait merveilleux. Et peut-être que ta poitrine voudrait prendre ma queue en sandwich aussi ? Fais toi plaisir, ma queue n'attend que toi. On a tout le trajet, attention, j'ai de gros doigts..."

Il y avait un certain plaisir à pouvoir tout commander. Comme si, j'me retrouvais dans un rêve pervers qui assouvissait tous mes désirs. Et j'ai bien prévu des les assouvir un par un, et abuser de chaque particule de cette coquine. J'recule légèrement mon siège et attends que cette dépravée s'installe correctement avant de démarrer et passer la première vitesse. Le levier positionné derrière le volant, elle n'aura aucun mal à s'affaler pour me tendre cette croupe grasse que j'compte torpiller dans tous ses trous plus tard.

En route, et bonne pipe, Héra.

Compte Inactif

Créature

Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]

Réponse 4 mardi 30 mars 2021, 22:00:11

Enfin bien installé, mes yeux vont la dévorer, sur chaque partie d'elle comme une bénédiction. Un petit sourire à la boutade aussi mignonne qu'elle.

"J'me montrerai solide."

Aussi dur que mon engin. J'en ai des palpitations, mon gland vibre et gonfle à la seule présence d'elle ici. La détaillant toujours d'un regard appréciateur, j'écarte un peu plus les cuisses pour lui laisser toute la place nécessaire pour ce massage qui s'annonçait orgasmique. Aucun doute, aucune appréhension, seulement le désir de ressentir sa langue et la texture moelleuse de sa poitrine. De gros obus de chair qui font frémir à sa simple vision. Elle défait ses vêtements, j'me permets même de la renifler depuis ma position, un cocktail olfactif au parfum d'œstrogène aussi jouissif qu'enivrant.

Un autre boutade à laquelle j'peux toute de suite répondre.

"Nos vitres sont teintées. Tu vas pouvoir avaler mon sabre sans crainte."

Puis ses lèvres viennent butiner mon gland dégoulinant de pré-foutre. Ca me coupe la respiration, sa salive tiède et sa respiration brulante enveloppant le sommet de ma verge m'arrache un frisson dans toute la colonne. 

"Han, putain..."

La douce torture du plaisir s'amorce sur les chapeaux de roue et sa poitrine vient s'inviter à la fête. Elle s'approche davantage, le cul bien tendu et attrape l'entièreté de ma queue en l'étouffant entre ses mamelons chauds et moelleux dans un câlin qui m'extirpe un autre grognement. Me concentrant sur la route, toutes les sensations viennent frapper mon cerveau dans une tempête d'émotions et de ressentis. Ma bouche s'ouvre, se ferme, j'expire longuement et bruyamment. Et sur une ligne de droite, j'profite de regarder sa tête bouger de haut en bas et sa poitrine s'agiter dans le même mouvement. Ma main droite vient descendre comme sur un toboggan la cambrure de son dos, puis le bas de sa colonne avant d'attraper une fesse grasse et dodue en me mordillant les lèvres, la paume de la main jouissant du contact de sa chair.

Malaxé, pétrit, comme du bon pain. Une fessée cinglante pour apprécier voir tout ceci bouger alors que mon entre-jambe commence à bruler dans sa bouche, de plus en plus dur, de plus enserré à l'intérieur de sa paroi buccale. Mon majeur va commencer à titiller son anus serré, puis descendre pour écarter ses lèvres et y plonger entre elles pour commencer une valse odieuse et indécente dans un mouvement circulaire. Les bruits de succions couplées à celle de la viscosité de sa mouille donnent une fulgurante excitation supplémentaire qui me fait pousser des râles de plaisir. En plus, elle mouille beaucoup. Je retire mon doigt doucement dans ce filet de cyprine et commence à goûter cette sécrétion tiède, amère, et abondante. 

"Hmpf... Qu'est-ce que t'es bonne...J'ai hâte de bouffer tout ça."

Un nouveau regard sur sa turlute de l'enfer, j'en bouge mon bassin nerveusement pour chercher la profondeur de gorge et remonte ma cuisse pour écraser sa douce et grosse poitrine pour mieux étrangler ma bite. Et ce qui en écoule me fait hausser un sourcil curieux, puis me fait fendre un sourire carnassier devant ce lait couler sur mon bas ventre et mes cuisseaux.

"Alors, en plus d'être une grosse chienne en chaleur, t'es aussi une vache à lait. L'hybridation me plait beaucoup. Ca tombe bien, j'ai très faim en plus."

Le décor défile et le trajet progresse, tout comme la course de mon orgasme qui s'approche doucement.

"Tu fais ça magiquement bien...Han..."

Que je susurre en recommençant à la doigter en surface, cherchant son bouton de chair alors que mes autres doigt continuent de s'agripper contre son postérieur dont sa peau douce et charnue me tend encore plus, le gland dégueulant au compte-goutte un pré-sperme gras et gluant. A lui polluer la bouche malgré moi. 

Compte Inactif

Créature

Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]

Réponse 5 samedi 03 avril 2021, 15:32:51

Râle après râle, ma queue vibre dans sa bouche dans un massage buccal indécent. Les bruit de succions et d'aspirations se mêlent aux sensations qui me transit de désir pour elle. La peau sucée, tété dans ses joues creuses qui boit mon pré-foutre gras et odorant. Complètement disparu derrière sa poitrine, elle brule sous la chaleur corporelle de celle qui lui fait vivre ses milliers de plaisirs.

De mon côté, j'pouvais l'entendre et l'apprécier avec un sourire avide, couiner à mes attention, alors que ses cuisses sont maintenant maculées de sa mouille abondante. Mes mouvements de bassins varient leurs vitesse et dans un claquement de lèvres bruyant, elle me branle avec sa poitrine, et m'extirpe des expirations qui devenaient maintenant des gémissements. Bave, sueur et sécrétions fusionnent entre elles dans le sillon de sa poitrine, pour un glissement mouillé encore plus jouissif.

"Putain, continues..."

Et pour sûr qu'elle continue. Même si je paye ce service, il est difficile de pas supposer qu'elle adore ça. Et c'est bien flatteur. Sa langue court sur le long de mon sexe, rappant sa peau humide avant de gober mes burnes. Nouveau sursaut de plaisir, le souffle court. Ce même pétale humide qu'elle maîtrise parfaitement fais rouler mes couilles dans sa bouche dans un balais à tordre le bas-ventre de plaisir. Si au début j'pensais que mes odeurs piquantes de testo' seraient une corvée pour notre grosse perverse, j'me suis clairement trompé sur toute la ligne. Pourtant, pas mal de nanas trouveraient ça repoussant, puant, bien trop odorant pour des narines raffinées.

Sauf si on est une grosse cochonne dans son genre.

Mes doigts continuent de frotter énergiquement une chatte moite et coulant de cyrpine pour mieux presser son bouton de chair, que je malmène avec la délicatesse d'un barbare. Son massage enserrant mon frein contre sa langue accélère la course de mon sperme brulant vers son urètre. Le regard embrumé par le plaisir sur la route, j'peux pas anticiper tout ce qui m'arrive et alors qu'on arrive à un feu rouge, j'entend une déglutition qui fait résonner sa glotte tandis qu'un rugissement me prends.

"Raaaaaaah !"

Une gorge profonde insoupçonnable, câlinant tout mon pénis dans son casier qui lui sert de bouche. J'retire ma main trempée désormais pour imposé une presse plus importante à l'arrière du crâne alors qu'un long râle m'égosille. Toute sa poitrine s'étale sur mon bassin, soufflant un soupir appréciateur encore ce lait qui coule le long de mes cuisses. Ma respiration s'emballe, perlant de sueur j'arrive enfin au parking de l'hôtel. Mais j'avais d'abord envie de jouir.

Lui attrapant la crinière d'une main, les fesse de l'autre, j'impose mon rythme de succion, en agitant sa tête de haut en bas. Rapide, autoritaire, violent, indécent, en expirant au rythme de ses vas et viens. Des fois, de grandes claques lui agitent son postérieur comme de la gelée. D'autres fois, mon majeur, cherche son antre, avant de lui ramoner la chatte comme si un pénis venait lui perforer l'utérus. Ecartant ses viandes au gré du ravage que mon doigt cause à l'intérieur.

"Elle est gourmande pour tout avaler ?"

Question rhétorique, elle avalera quoi qu'il se passe. 
« Modifié: samedi 03 avril 2021, 17:35:42 par Héraclès »

Compte Inactif

Créature

Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]

Réponse 6 samedi 28 août 2021, 22:48:57

 Il y avait une question en suspens, et je vais vite trouver une réponse. Dans ses yeux. Un regard mêlant la dépravation, l'appétit insatiable, la luxure à son paroxysme. Bientôt, j'y lâche même mon emprise lorsque son élan trahit l'envie débauchée de me limer la queue avec sa gorge, sa langue, ses lèvres pulpeuses et évidemment sa lourde poitrine grasse et opulente. Les bras maintenant croisés derrière la tête après avoir léché mes doigts de sa mouille abondante, je gronde mes gémissements dans une voix grave et satisfaite, des souffles d'aises bruyants à chaque expiration.

- Salope... Tu es parfaite. Délicieuse, au passage.

Des petites mimines tenant difficile ses monts de chairs, à la fois grotesque et incroyablement excitant, elle se fracasse avec une vitesse grandissante en étau autour de ma queue, le réchauffant toujours plus, l'engluant toujours plus, glissant toujours plus, me crispant bientôt tout le corps à l'approche imminente de mon orgasme. Ma respiration s'emballe, mes oreilles entendent toujours les bruits de succions et claquement de poitrine et son coulissement dans son sillon.

- Grrr...GRRR...RAAAH !

Le premier jet de sperme explose les portes de mon urètre pour ébouillanter le couloir buccal qui massait mon sexe. Les salves se poursuit dans un bruit de remplissage odieux, compact et gras, le liquide s'en va s'obstruer dans son œsophage alors que je continue de rugir ma jouissance, mes lourdes burnes se rétracter pour continuer de vomir sa semence épaisse. Débordant de ses lèvres alors que ses joues gonflent, pour sécher sur son visage et sa poitrine, j'enroule mon poing dans sa chevelure pour retirer ma bite de ses lèvres comme un sabre qu'on sort de son fourreau, le souffle haletant. Laissant sous yeux de désir une verge veineuse, souillée de baves et de fluides, mais toujours pulsante.

- On a pas fini, il faut que cette queue te baise maintenant. On va reprendre tranquillement dans la chambre... 

Je quitte le pick-up après m'être rhabillé pour faire le tour, saisis une veste large pour mes épaules sur la banquette arrière, et en faisant le tour côté passager, je lui prête derrière un clin d'œil taquin pour éviter de se faire virer par le gérant parce que j'amène une pute à moitié à poils dans mon plumard.

- Je te garde encore chaude, ça serait dommage que tu chopes froid. Que je gronde presque attendrissant.

Lui offrant donc mes bras, je la porte en la gardant près de moi. J'ignorais si elle aimait les muscles, mais j'espère pour elle que ça sera confortable. On passe le comptoir, un signe de tête entendu avec le réceptionniste qui doit imaginer une copine, je retrouve l'ascenseur. La veste la couvrant suffisamment, j'en profite avec mon bras tenant ses jambes de glisser de nouveau mes doigts entre ses chairs pour continuer à la faire couiner et mouiller. Roulant sur ses lèvres, puis son bouton de chair, un majeur bien trop taquin finira par s'engouffrer pour élargir ses parois.

- Chaude...Mouillée...

Les portes s'ouvrent. La portant que d'un bras maintenant, je lèche sa mouille sur mon doigt comme si je dégustais un nectar divin. Elle était si bonne. Habilement, je trouve sans mal la carte pour ouvrir le battant et m'approcher de suite du lit avec le pas pressé, encore la béquille dans mon pantalon. Avec une nonchalance qui m'est propre je la balance sur le lit, profitant de toute ses chairs remuer avec la concupiscence dans les yeux. Prédateur. Carnassier.

- Est-ce que tu aimes quand on te bouffe la chatte en retour ? Parce que moi j'adore ça.

Attrapant ses jambes, je pose mes genoux au sol pour que ma bouche soit au niveau de sa vulve quand je la tire d'un geste sec dans ma direction - au bord du lit - simplement pour respirer la chaleur odorante de son vagin moite par le plaisir. J'y palpe l'intérieur de ses cuisses, embrasse ses chevilles puis remonte dans un filet de bave toute ma langue contre sa peau sur sa jambe pour finir jusqu'à l'aine. Puis son pubis légèrement duveteux, le regard embrumé par son saisissant parfum d'œstrogène.

- Alors...?
 
Je retire alors mon t-shirt, des bouffées de chaleur d'excitation tandis que mes muscles roulent sous ma peau au gré de mes mouvements, mon dos massif et encombrant devenant rond pour se pencher devant mon potentiel repas dont je vais prendre un plaisir sans fin à déguster.
« Modifié: dimanche 29 août 2021, 00:03:29 par Héraclès »

Compte Inactif

Créature

Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]

Réponse 7 vendredi 15 octobre 2021, 13:41:48

Une main aventureuse dans ma crinière hirsute qui attise encore plus mon excitation, elle impose un poids plus conséquent faisant plonger ma langue entre ses lèvres intimes pour mieux malmener son clitoris, les bords de son antre avant d'y pénétrer langoureusement, les gorgées abondante de cyprine marquant la mesure chaque fois que je déglutis.

- Hmmm... Hmmm... ~

Un parfum de chatte à m'en tordre le bas-ventre de plaisir, mes yeux affichent la folie d'extase, embué par un plaisir si grand de la voir se contorsionner sur mes coups de langues, mes succions sur son clito enflé, mes baisers grossier roulant sur ses lèvres, un balais d'obsédé pour un cunni' appétissant. Bientôt, ses énormes cuisses, moelleuses et chaudes viennent enserrer mes joues avant d'avancer son bassin, ma posture devient plus confortable, on peut l'entendre à un ronronnement si grave dans mon torse qu'on se demande qui prend le plus son pied dans la chambre.

En levant les yeux, c'est une chaîne de montagnes de chairs qui bringuebalent au gré de ses gestes, voyant un sein bien seul tandis que son jumeau subit des attentions de son propriétaire, une poigne virile et autoritaire vient plonger sur lui, avant de le malaxer, fermement, avant de chercher son bourgeon pour le stimuler. Ma main libre se ferme sauf sur le majeur et l'annulaire, et commencer à écarter ses chairs pour racler ses parois, la paume de la main vers le plafond, toujours en suçant son bouton avec la voracité d'un dalleux en manque, ramonant désormais sa vulve avec ferveur.

Un claquement de lèvres pour lui sourire, savourant son sein dans le creux de ma main, sa chaleur, moelleuse et douce. Sentant le filet de lait ruisseler entre mes phalanges comme pour refroidir la friction brûlante entre nos peaux. La pièce se retrouve embrumé par cette chaleur qui irradie de nos êtres, le mâle, la chatte, nos corps en sueur et ce n'était que le début.

Comme un avertissement coquin et pervers, j'impose un "dilemme" avec un sourire espiègle.

- Soit tu réclames ma queue, soit je te fais jouir. Rassure-toi, je te baiserais quoi qu'il arrive.

Je m'attaque à ses cuisses en les butinant entre le baiser à la morsure, comme si sentir sa chaire épaisse et galbée pouvait calmer mes envies, mais non, tout le contraire. Deux gros doigts qui la baise comme deux queux qui connaissent leur chemin, ma bouche retrouve ses lèvres et son bouton de chair, avec un gémissement qui trahissait de nouveau la saveur que j'appréciais.

- Hmmm... Tu es délicieusement bonne.

Que je bredouille avec exaltation. 
« Modifié: lundi 18 octobre 2021, 00:53:54 par Héraclès »

Compte Inactif

Créature

Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]

Réponse 8 lundi 03 janvier 2022, 22:28:19

L'entendre couiner comme une grosse chienne qui n'attendait que ça. Lui boire la vulve goulument, lui aspirer ses lèvres intimes, et rouler sur son clitoris avec une langue habile et curieuse. Je la tiens correctement pour la besogner comme il faut, lui faire du bien comme il le faut, la faire jouir comme il le faut. La tête coincée entre ses cuisses pour mon plus grand bonheur. Ses rondeurs moelleuses et grasses dans le creux de mes mains perverses et envieuses de la toucher de toute part. Elle dégage pourtant une certaine sensualité lorsqu'elle se masse le sein tandis que je masse l'autre, mais l'odieux et pourtant si bandant portrait de la giclée de lait venant perler sur sa frimousse, me fait encore plus bander que je le suis déjà.

Attendant sa réponse, elle retentit comme un appel, une demande, un ordre. Que je retire ma langue de son antre fraîchement réveillé et inondé de mouille dans un claquement de bouche, avant de lécher la commissure de mes lèvres pour ne pas en louper une goutte. Chaude, amer, et pourtant je le savoure comme une vraie sucrerie.

- Je vais te la donner en pleine bouche, tout ce que tu voudras.

Grognant de plaisir en sentant ses cuisses que j'adorerais avoir autour de ma queue qui m'enserre le visage, je me lève doucement comme une montagne se dressant devant sa cible. La surplombant de toute ma masse, je la chevauche avant de lui attraper sa chevelure d'une prise ferme et autoritaire et lui dévorer les lèvres d'un baiser grossier et vulgaire.

- Lèche moi la gueule avant de me bouffer la bite.

Alors je laisse son pétale humide et tiède de grosse suceuse me nettoyer le visage de sa mouille abondante. Mes deux mains attrapent en attendant ses deux monts de viandes ronds et rebondis pour les malaxer brutalement afin d'assouvir la simple envie de la tripoter. Je retrouve sa bouche pour une galoche aussi sale qu'obscène, durant de longues secondes à laisser ma langue dégueuler ses effluves de salives avant de nous séparer ; laissant un filet de bave faire le pont entre nous pour finir par clapoter, visqueuse, sur sa poitrine.

- Ouvre grand la bouche. Tire la langue. Montre-moi la salope qui t'habite.

Je lui tourne le dos, mes énormes cuisses striées entoure sa tête, mes burnes suivent la gravité en se posant sur son front, et d'un mouvement souple du bassin je lui poignarde la gorge, m'arrachant un soupir d'aise, mon gland vibrant dans cet étau buccale parfait.

- Han. Ta bouche. Ta grosse bouche... Suce, maintenant. SUCE !

Je lui écarte les jambes, attrape ses cuisses, puis passe un énorme coup de langue de l'aine, puis l'intérieur de sa jambe avant de repartir sur sa chatte que je compte m'occuper, comme elle le dit si bien. Mon bassin commence à bouger, lui ravageant la gorge sans me soucier de comment elle pourrait respirer, simplement en pensant au bien-être de sentir mon pénis courir dans ce couloir serré, sa langue suit les lignes de mes veines, comme le dos de mon frein qui tire des salves de pre-sperme pour lui enrubanner le palais de son liquide gluant et gras. Je garde un rythme d'horloge en lui baisant la bouche, et de mon côté je me remets à la boire de sa mouille si enivrante.

Une nouvelle addiction, je deviens doucement addicte de son corps et tout ce qui l'a constitue


Répondre
Tags :