Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Un renfort Céleste [PV Elemiah]
« le: vendredi 26 février 2021, 16:49:19 »
Aujourd'hui, c'est une journée plus affreuse que les autres. Peut-être, la pire de ma vie.

Adossé au pick-up de p'pa, on prend notre courage à deux mains pour rejoindre l'hôpital dans lequel m'man y séjourne depuis quelques jours déjà. Dans ses yeux larmoyant caché derrière ses sourcils grisâtre, j'ai bien compris que le coup de fil qu'il avait reçu était loin d'être un cadeau du ciel. Pour un rapide historique, m'man avait plusieurs symptômes inquiétant; une toux qui ne disparaissait pas, crachait du sang, s'essoufflait vite. On savait que le diagnostic serait pas bon.

On passe à l'accueil, on nous reconnaît facilement. Seul détail, c'est que j'dépasse de plusieurs têtes mon père, donc difficile de faire comprendre que j'suis de leur famille, leur fils qui plus est. En montant à l'étage, on rejoint donc l'aile affiliée au service d'oncologie. On passe la porte, ma mère est en train de dormir, notre médecin détient des radios dans les mains et l'infirmière note quelque chose sur son bloc note.

La dernière fois que j'suis allé à l'hôpital, c'était pour sauver Moya, une nana qui travaillait avec moi dans un chantier. On a traversé deux étages de béton d'un parking en construction avant d'être aspergé de propane qui a déclenché un incendie. Il a fallut purger mes poumons malgré ma régénération accéléré. Depuis, j'ai toujours un malaise de pénétrer à nouveau dans cet établissement. Peut-être la tristesse de regarder tout ses visages atteint par la maladie, la souffrance, le chagrin. Aujourd'hui je n'ai pas le choix devant ma matrone.

Au côté de mon père face au toubib, on se zyeute silencieusement pendant de longues et interminables secondes. Il va ouvrir la bouche, j'aurais aimé qu'il ne le fasse pas.

- Il n'y a pas de traitement.

La phrase résonne comme un coup de tonnerre. Le médecin nous dit qu'il évidemment désolé, mais moi j'entends rien d'autre que cette négation, martelant mon esprit infatigablement. La fatalité, tout est fini. Il y a plus rien à faire. Mon cœur se fissure, puis explose en mille morceaux, les genoux au sol, et la tête posée contre le ventre de ma mère adoptive, les yeux inondés de larmes. Le doc nous laisse seul, et j'essaie quand même de trouver des solutions. Coute que coute.

- Et... si j'lui donnais un peu de mon sang...?
- Ca l'a tuerai, tu le sais bien.

Il s'adosse au mur, j'pouvais l'entendre sangloté de son côté aussi. C'était la fin d'un monde. Notre monde.

***

J'ferme la porte à double tours de mon appartement. Un studio en faite. Tout est dans une seule pièce à part la salle de bain qui fait aussi chiotte. J'ouvre les fenêtres, parce que ça sens le mâle en rut, on voit même plus le sol à cause du linge sale, des magasines, des canettes, des cartons de nouilles, de pizzas et de burgers. Est-ce que j'avais envie de ranger tout ça ? Non, bien sûr que non. J'ai ni envie de faire le ménage, ni de faire quoi que ce soit.

J'avais envie d'un miracle.

Mon père disait que j'pouvais en accomplir. Pour l'instant ce n'est qu'une grotesque connerie. J'jette mon sac dans mon clic-clac avant de rejoindre le miroir de la salle de bain, crade comme tout le reste. Le blanc des yeux encore rouge depuis mes sanglots récents, j'essaie de trouver un semblant de lumière dans tout ce merdier. Raté. Dans ces moment-là qu'on fait le bilan. Le bilan de sa vie. Un réflexe ? Un message de son inconscient ? Aucune foutue idée.

- Pas de boulots stables, pas d'amis, pas de proches, pas de vie heureuse, ta planète d'origine est détruite et ta mère va canner sans que tu puisses faire quelque chose.

Mes lèvres tremblent, et mon poing part à côté de la glace pour empaler le mur. L'avant-bras et le poing à l'extérieur du bâtiment, je n'ai absolument rien senti. Et c'est bien ça le problème. Impossible d'être bourré, impossible de se piquer, impossible de se détendre. Et mes coucheries sont bien trop rares et violentes pour espérer être détendu. J'suis en dehors du cercle, un individu qu'on ne pas battre, casser et reconstruire pour le ramener à l'intérieur. J'peux même pas finir dans une institution. Pire, on peut que me plaindre.

Qu'est-ce qu'il me reste ? Dieu ? J'suis pas croyant. Je crois aux gens, et en leur capacité d'y arriver. Et pourtant, mes yeux vont chercher le ciel, ramenant mon bras qui fait passer l'air frais nocturne.

- Dieu, ou j'sais pas qui. Je ne sais pas ce que tu veux, et je ne sais pas ce que tu as prévu pour moi. Mais j'ai une mère formidable qui m'a ramassé il y a 20 balais pour me sauver la vie dans les couloirs de la mort. Je dois lui rendre la pareille. Par n'importe quel moyen.

Ma voix résonne dans ma salle de bain, la résonnance de la solitude. J'pousse un soupir et m'en vais m'affaler sur mon lit de fortune, où j'sais déjà que je ne vais pas fermer l'œil de la nuit. L'esprit tourmenté et le cœur en miettes.

Quelle nuit de merde.

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Tekhos Metropolis / Re : Une chute aux cœur d'une cité matriarcale. [PV Lied]
« le: vendredi 26 février 2021, 14:01:49 »
Trois fois rien ? Mouais. Je verrais bien plus tard de toute manière.

Alors que la cuisine frôlait la catastrophe incendiaire, Sylphe se propose pour reprendre le flambeau et dans tous les sens du terme. Le tableau est encore mignon à regarder. Des fois j'me dis que je devrais m'en inspirer. De mon côté, je jette les patates qui ont plus la gueule de charbon carbonisé et repartir sur quelque chose de plus sain. Comme par exemple le fait que Lied arrête de jouer avec la combustion d'un aliment et laisser ça à ceux qui savent. Un soupir soulagé, avant d'étirer un sourire amusé à cette grotesque scène. Mueller est encore plus attachante bizarrement. C'est peut-être sa plus grande force finalement; elle n'est pas infaillible, mais fait son maximum, quoi qu'il arrive.

C'est beau.

J'fais un signe de tête à la mise en garde de sa comparse, gardant effectivement un œil sur la Rose avant qu'elle ne se mutile elle-même par inadvertance. Je les laisse entre elles, et me poste alors sur le plan de travail, et avec une main lourde, j'dose ce qu'il faut couper et cuir pour que j'puisse manger à ma convenance et à la leur, bien sûr. Mes yeux glissent de temps en temps sur ses belles créatures, si mes pouvoirs sont revenus, ma libido d'animal aussi. Chiant, très chiant. Alors j'me secoue la tête brièvement avant de leur tourner le dos également.

C'est à ce moment là que je les entends parler. Appeler ? Appeler qui ?

Un coup part sur la table, j'me retourne rapidement, le regard alerte, mais rien à relever de plus. Hormis la contrariété de soldate. Visiblement Lied n'a pas suivi l'entièreté du plan. La question est pourquoi ? J'garde ça dans un coin de ma tête et prend place, une chaise qui couine de douleur au presque 200 kilos qui viennent de se poser dessus pour apprécier la bouche béante la ripaille qui ne va pas faire long feu. C'est ainsi que j'éveille l'ogre en moi en me jetant sur l'assiette, une cacophonie de mastications bruyantes, dont l'aspiration des aliments était inhumaine. Un coup de fil m'arrête dans mon élan, j'hausse à nouveau un sourcil sur le comportement étrange de la Sénatrice, visiblement ça ressemble à une mauvaise nouvelle.

J'sais pas trop quoi dire, dans le doute, la fermer et descendre ce que j'ai avaler avec un verre d'eau frais. Les esgourdes bien attentives à l'échange entre les demoiselles.

« Bonsoir Belphégor.
- Bonsoir Sylphe, pourquoi m'appelles-tu ?
- Sylphe ? C'est Sylphe au téléphone ! Syyyyylphe !!
- Je t'appelle de la part de Lied, qui n'ose pas te demander de l'aider pour une affaire impliquant le colosse tombé du ciel dans le centre-ville de Tekhos. Elle s'est portée garante pour lui et....
- BARBECUE !
- June, silence s'il-te-plaît ! Le... colosse. Est-ce que je peux avoir quelques informations ? »

Qu'est-ce que c'est que ces conneries ? Barbecue ? Mon torse gonfle un peu fort, alors qu'un soupir las et agacé commence à trahir ma contenance. Finalement c'est la concernée qui va prendre son courage à deux mains. A la voir, on peut comprendre que elle aussi, a sa propre "obsidienne" qui lui fait perdre ses moyens. J'connais pas cette Belphy, mais j'lui souhaite de venir avec une brouette d'obsidienne si elle veut essayer d'envisager la possibilité de me faire trembler des genoux.

« Et euh.... il... euh... est terrien...
- Bonjour Lied. Comme c'est agréable de voir que tu n'as pas changé. Pour ton petit problème, je peux éventuellement apporter des solutions. Diverses solutions. Avant toute chose, où vous trouvez-vous ?
- J'ai loué une villa à une centaine de kilomètres de Tekhos, dans un petit coin de campagne.
- Parfait pour le bruit.
- B-Belphy ! Nah ! On le tue pas ! On le ramène vivant ! Et pas de torture non plus !
- C'est plus facile de cacher un cadavre que ramener quelqu'un sur Terre. Du moins pour moi.
- Normal, June les bouffe.... Et Sylphe les cuit...
- Barbecue ! Barbecuuuuuuuuue !! On fait barbecue, Bephy ?
- Tu peux m'aider oui ou non ?
- … Donne-moi tes coordonnées. »

Me torturer ? Me buter ? Me bouffer ? Elles m'ont pris pour qui ? Un agneau ? J'commence à me dire que j'suis en sécurité nulle part, même si j'ai l'impression que Mueller a eu le dernier mot sur cet échange. Peur ? Non. Bien sûr que non. Agacé, las, et profondément frustré de pas avoir la maîtrise sur la situation. Sans doute le prix a payer quand on est étranger. Une condition que j'dois accepter fatalement, puisque mon chez moi n'existe plus. Partout où j'irai, on me collera l'étiquette de l'étranger. Autant faire un travail dessus à partir de maintenant. J'reste donc silencieux, a écouter les exclamations d'une cannibale à la voix euphorique et la froideur d'une voix monotone et antipathique des hommes, impuissant une nouvelle fois face à cette scène. Bonne nouvelle, c'est que malgré tout ce qui est écrit sur mon dossier, Lied n'a pas fait mention de mes origines extra-terrestres. Et c'est rassurant.

Pas besoin de poser des questions, puisque le plan est de me sortir de là. Peut-être que j'en saurai un peu plus demain. L'ambiance si chaleureuse et conviviale avait disparut pour retrouver celle que j'avais trouver en prison. Celle du condamné. Mais un sursaut de mignonnerie supplémentaire dont seule Lied avait le secret vient balayer tout ceci dans un bref geste de la main. D'un geste de cupcake exactement. Avec un discours pour me rassurer, une voix si douce qui pourrait dompter le plus féroce des lions. Même s'il ne gomme pas tous mes doutes et mes appréhensions. La pâtisserie disparait en deux bouchée répond par l'affirmatif en bougeant doucement la tête.

Une autre journée se termine sur Tehkos.

J'commence à monter les escaliers pour suivre mon hôte pour accéder à l'étage. Une autre vue sur sa croupe voluptueuse. Mes sourcils se rapprochent, j'pousse un soupir pour faire un semblant de soupape à mes ardeurs libidineuses. On arrive devant la pièce qui s'avère être ma chambre. Et on en est totalement loin de ma cellule. Un sourire timide me trahit. Grande, spacieuse, une vraie chambre de roi où j'peux enfin profiter d'une bonne et réelle douche. Devant ladite malle, mon torse se réchauffe à ses attentions, sa générosité, sa bienveillance.

- Mille merci, Lied.

Peut-être l'occasion de lui avouer. Parce que nager dans ses yeux, seul dans cette chambre... Mon bas-ventre cogne de toute ses forces et j'profite alors d'un instant de lucidité pour la prévenir. Marchant à ses côtés jusqu'à la sortie, je la laisse rejoindre le couloir, mes pieds s'arrêtant à l'encadrement de la porte.

- Euh, il faut que j'te dise que... Qu'il faudrait éviter qu'on soit seul rien que tout les deux. J'pourrais faire des choses qui dépasseraient ma pensée. Des choses terribles pour une femme comme toi. Et je ne veux pas perdre le dernier espoir qui me permettrait de sortir d'ici. Voilà, ça me semblait nécessaire de le dire.

Un grognement déforme mes traits, plissant mes narines, alors que ma pupille se dilate aux rythme de mes pulsations, le moment de fermer la porte rapidement avant de faire une énorme connerie. Cachant mon visage dans le creux de mes mains j'essaie de penser à autre chose, l'entre-jambe moite et déformant mon tissu, j'me déshabille aussitôt pour rejoindre la salle d'eau et me foutre de l'eau froide pour réguler ce rut qui m'anime. Il faudra attendre de longues minutes pour que cela fasse effet.

- Chiasserie. Tu l'as échappée belle, mon grand.

Plaquant ma crinière hirsute vers l'arrière, j'attrape une serviette pour me sécher et chercher un sous-vêtement. Stylisé, mais qui me va à merveille, non sans mouler cette bosse indécente et encombrante, j'rejoins le matelas qui m'accueille avec sa texture douce, son épaisseur moelleuse, oubliant un petit peu ma condition de clandestin.

Les bras croisés derrière la tête, j'réfléchis. Mais j'crois que c'est un peu trop le bordel dans ma tête pour trier tout ça.

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: jeudi 25 février 2021, 23:59:55 »
La recherche de libération s'amorce, même pas besoin de venir la chercher d'avantage qu'elle se jette comme une mort de faim sur mon mandrin avec l'appétit d'une dépravée. Peut-être tout simplement que s'en est une ... ?

- Je le savais que tu étais une vicieuse...

Une perverse, une obsédée, les yeux embués et hypnotisés par une seule chose : ma queue. Ma bouche s'ouvre, pour mieux m'arracher des râles de plaisir, des feules qui vibrent dans les tempes de ma partenaire comme la mélodie d'un délice, viril et musculeux. Mes doigts s'enfoncent dans mon cuir chevelu, j'pourrai m'arracher les cheveux tellement je suis transcendé d'un plaisir infini, toujours plus haut, enserré entre ses lèvres qui ventousent ce membre au bord de l'explosion, pas assez grande pour tout prendre, mais suffisamment débrouillarde pour me branler et flatter mes bourses avec des mains expertes. Mes respirations suivent le rythme de ses va et viens grossiers, les bruits de succions toujours plus bruyant, détruisant le plafond de l'excitation pour me faire perdre la tête.

- Ah... Ah....RAAAH ! Oui, suces, suces en-core...Je vais...

Un hurlement. Un rugissement. Un coup de tonnerre qui remplit le salon. Ma verge se met à pulser dans de grands mouvements, tandis que ses veines énormes déformant sa peau fine viennent pomper mes bourses qui se retractent progressivement, le battement de mon cœur donnant le rythme sur ce bruit de remplissage de foutre. Débordant de tout les côtés, giclant aussi sur le visage, et ses cheveux, et même engluer le reste de son corps alors que son estomac gonfle de nouveau odieusement. Même si elle s'étouffe, ma main emprisonne son crâne pour continuer de faire couler cette lave de sperme, et embraser tout sur son passage.

Les salves s'arrêtent après de longues secondes, le sexe rangé au fond de son gosier. Il va ressortir doucement dans un sale claquement de lèvres. Un pouce viendra essuyer sa bouche. Mes respirations sont encore bruyantes, mon torse gonfle et dégonfle dans un rythme irrégulier.  Le silence s'étire, et ma lucidité revient comme le soleil après une tempête apocalyptique, mettant en lumière la scène sous un autre angle. Je lui caresse alors la tête de nouveau, mais une caresse plus affectueuse et tendre. Mais le sourire, lui, il était espiègle.

- C'était parfait, Hiyori. Tu caches bien ton jeu, vicieuse.

Puis d'un bras je la soulève pour la tenir comme une princesse, le trou béant de son antre labouré par mes soins continue de faire couler les effluves de nos ébats le long de mon torse.

- On a foutu un sacré bordel. Combien de temps avant que tes vieux n'arrivent ?

Peut-être le moment de ranger ce bazar. Pourquoi ? Parce que si c'est nickel, les parents n'en sauront rien. Et si les parents n'en sauront rien...

... J'pourrais recommencer. Encore, et encore et encore.

49
Prélude / Re : Elemiah, une ange au service de votre succés
« le: lundi 22 février 2021, 22:27:24 »
Et coucou ! vraiment très beau personnage !

Ca fais une demi-année que je m'essaye à cette écriture et j'appuie le fait que c'est assez libérateur.

Etant nouveau dans ce merveilleux forum j'te souhaite la bienvenue, en espérant que tu puisses également t'épanouir !

A bientôt au paradis, ou ailleurs, qui sait !

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Le coin du chalant / Re : Le Chalant d'Hercule.
« le: lundi 22 février 2021, 22:09:27 »
Rps en cours : Statut : A jour.

Terre

A Seikusu :

- "Soirée endiablée" Avec Kathelyne

- "On a besoin d'un médecin !" Avec Teruna

- "Un Renfort Céleste" Avec Elemiah [Stand-By]

- "Quand la lumière baisse" Avec Anastasya

Terra

A Tekhos :

- "Une chute au cœur d'une cité matriarcale" Avec Lied

- "Prier le chapelet" Avec Sœur Mary

Rps finis :

A Seikusu :

- "Un service tendu pour une violence rendue" Avec Etyhs

- "Une autre fournée, une autre Kitsune" Avec Setyhs

- "Soutien scolaire à domicile" Avec Hiyori

Aux contrées du Chaos

- "Le silence de l'agent" Avec Veronika

Rps abandonnés :
//

Disponibilité Rp : complètement disponible !



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Le coin du chalant / Re : Esper en ville.
« le: dimanche 21 février 2021, 23:10:28 »
Bonsoir ! J'ai pas de préférence particulière, mais j'veux bien qu'on en discute en mp si tu le désires o/

En espérant que mon personnage te conviennes !

Dispo en mp et sur discord !

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: vendredi 19 février 2021, 19:19:29 »
- Oui, je vais te montrer.

Le pistonnage continue, l'agitant de haut en bas pour mieux cogner le creux de son antre, chaque coup sonne comme la confirmation d'une puissance qu'elle n'a pas peut-être pas croisée jusqu'alors. Souriant, jubilant, imaginant comme l'éjaculation risque d'être délicieux, je cherche cet orgasme avec la voracité d'un étalon en rut.

Dans le miroir, son corps, sans force, souple, ballotant au gré des pillons, mes mots viendront à ses oreilles quelques fois durant cette chevauchée interminable. Des questions coquines comme savoir si ma queue lui convenait, si elle adore ça et si, bien sûr, elle en redemande. Autant de supplications arrachées que de vacheries indécentes qui donnent une excitation supplémentaire à ce coït bestial.

Arrivé à un tel stade que mes jambes réputés pour être solides comme deux chaînes massifs, commencent à légèrement trembler. Mon bassin lui en revanche, continue de lui fracasser la colonne pour plonger avec force ce mandrin strié de veines, tirant vers le rouge, surtout son nœud qui a déjà tellement enflé depuis le temps. Ma bouche s'ouvre nerveusement, les muscles crispés et perlant de sueur qui traduisent l'arrivée d'un orage de jouissance, un futur déluge de spermes que j'vais pouvoir offrir à ma nouvelle amie sexuelle. Extirpant ma verge dans un nouvel appel d'air bruyant, je reviens vers le bord de la table avant de la pivoter comme une simple figurine, le pas pressé, poussé par l'impatience, essayant de garder ce liquide bouillant qui pousse en pression les portes de mon urètre.

- Je vais jouir, fais ton office... Fais moi jouir !

Les bras croisés derrière la tête pour me retenir de réutiliser sa tête comme un simple orifice pour me branler, j'avance simplement mon sexe, vibrant au possible, dessinés de grosses veines colorées, un gland écarlate qui dissimule son horrible nectar.

Et si elle ne bouge pas, je n'aurai qu'à faire comme d'habitude...

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Le coin du chalant / Re : Soumettez Miho à la tentation.
« le: mardi 09 février 2021, 14:13:32 »
Eh bonjour ! La trame 6 me botte pas mal o/

En espérant être un candidat à ta convenance.

54
- Ouais, j'imagine.

Plus de 48h que j'suis là, et j'ai déjà une vie tracée dans cet endroit. Première fois que j'suis autant dépassé par les évènements. Pour l'instant, on me traîne de gauche à droite, on me me maltraite, baignant dans l'impuissance la plus totale. Si un jour sur terre j'me demandais qu'est-ce que cela faisait d'être vulnérable, aujourd'hui j'ai une réponse tangible. Une réponse dont je ne me serais bien passé finalement. J'fais un signe de tête, lui accordant mon attention à sa tablette et reste silencieusement docile à ses instructions.

J'essaie de garder en mémoire cette map du pays, localiser les points clés de mes déplacements et visualiser un maximum notre destination. Et j'entends Ashnard pour la deuxième fois. Mais bonne nouvelle, personne viendra vérifier. Un bien grand défaut pour une population qui déteste les mâles. "Connaître son ennemi pour mieux le vaincre", là en l'occurrence, j'suis tellement vomitif et méprisable qu'il ne s'arrête même pas pour ma pomme, paradoxale quand on voit tout le matos déployé pour mes beaux yeux.

Enfin, mon torse se réchauffe, rassuré à l'idée de me dire que j'serai qu'avec Lied. On m'a assez refroidis pour rencontrer d'autres personne, même Sylphe, on dirait qu'elle m'a déjà buté plusieurs fois dans sa tête. Si j'avais pas les faveurs de Mueller qui sait ce qui m'arriverait. Mais c'était avant que son sarcasme vienne entacher cette bonne nouvelle ? Qu'est-ce qui va m'encore arriver...? J'hausse un sourcil perplexe, mais vu sa manière de glousser, j'le saurais bientôt. La flotte est accueilli avec plaisir, sa fraîcheur traversant ma trachée dans un bien-être incroyable. Dans ces moments qu'on adore les choses simples. Après un soupir d'aise, j'attends pas une seconde avant d'aller chercher la bectance sous mes miches. La baguette est petite pour moi, mais ça sera suffisant. Il disparait en quelques bouchées, en me disant que j'vais devoir faire la bouffe si Lied était aussi mauvaise que Sylphe prétend le dire.

Du mouvement avec le véhicule, mon bras gonfle quand il va s'accrocher à une poignée de maintient, avisant ma nouvelle comparse d'un nouvel œil, elle a pas l'air de tant me haïr que ça... Mais peut-être parce que pour l'instant j'suis un gentil toutou, et que tant que les menottes sont dans la même pièce que moi, retrouver ma forme titanesque c'est pas pour tout de suite. Ouais...

Les secousses régulières du véhicule me bercent plus qu'autre chose; d'abord, par manque de confiance, j'vais me battre contre mes paupières lourdes par peur d'imaginer Sylphe me faire une dinguerie. Et ensuite, mon corps s'endort malgré moi. Des heures et des heures de fatigue accumulées.

***

Les freins grincent et me réveille. J'sais pas combien de temps j'ai roupillé, mais j'me sens mieux. L'heure de sortir, la donzelle emboite le pas, lentement talonné par moi qui continue d'émerger de cette sieste réparatrice. L'air frais emplit mon torse qui continue de craqueler doucement les mailles de ma combinaison de taulard. L'endroit est magnifique, on se croirait à la ferme de mes parents; j'y retrouve la même tranquillité, le même calme, le même paysage. L'odeur du barbac de p'pa me monte à la tête, avec les salades composées de m'man. Mais un trousseau de clé va m'extirper de mes sensations nostalgiques. Rien de mieux qu'une clé à l'ancienne pour être tranquille, par rapport à tout les pad, claviers digitales et autres conneries.

Plus on s'éloigne du véhicule, plus mon dos se redresse, mes muscles se solidifient, mon regard devient moins fatigué et mon teint flambant.

- Aaah, putain. Ca y est, j'suis re-moi.

Serrant le poing, je sens mon pouvoir intérieur circuler dans mes veines, teintant mes yeux le temps d'un clin d'oeil en vert. Je peux enfin soulever les montagnes. Fendant un p'tit sourire satisfait, j'entre enfin dans ce petit coin de paradis. L'aspect est convivial, chaleureux, genre de maison secondaire où j'y passerais bien les vacances. J'reste au milieu du salon, détaillant de loin les autres pièces alors que Sylphe retourne vers le battant, comme si elle avait téléphoné et anticipé le truc. Forte ? Organisé ? Les deux ? Aucune idée, mais Lied ne verra rien venir et ça m'fait agréablement sourire. Mes traits s'adoucissent, en les voyant toutes les deux, avant de ressentir ma profonde solitude. Une solitude que j'traîne sur terre depuis un paquet d'années, Tekhos n'y est pour rien cette fois. Une énorme main timide se lève doucement, avant de zyeuter Sylphe, curieux.

Ouh, toi, t'en pince pour elle. Hm, pas besoin d'être devin pour voir que sa protégée n'est pas du tout au courant. Une candeur attachante. Elle s'approche enfin alors qu'on emmène ses affaires plus haut, une enivrante odeur de pâtisserie me scie l'estomac dans un gargouillement bruyant. Les sourcils approchés, j'essaie d'imaginer pourquoi Sylphe voudrait me couper en morceaux, pis finalement la réponse se trouve sous mes yeux... Mes épaules se relâchent à l'idée que mon cauchemar se termine bientôt, mais... Mais quoi ?!

- Ouais, ça va merci. Bien content d'avoir quitté cette prison pour un coin nettement plus confortable. Aucun soucis pour le tutoiement, un honneur de tailler le bout de gras avec la sénatrice comme une simple collègue, hé.

Mais j'ai pas fini...

- Il y a quelque chose que j'dois savoir ...?

Bon, j'lui fais quand même confiance. J'espère juste ne pas être sorti d'un pétrin pour finir dans un autre. Qui plus est, toutes ces galères ont bien endormi ma libido titanesque. Qui se déclenche souvent quand j'suis tout seul avec une dame. De toute façon, c'est pas comme si j'avais une chance de faire quoi que ce soit ici. Et j'ai pas envie de gouter une machette en obsidienne.

Tout doux le gros chat, on va manger personne, hein ?

- Merci encore pour cet hospitalité.

Je la laisse me doubler alors qu'elle va à la cuisine se chercher une petite douceur avec une paille, et bordel. J'ai vraiment les crocs.

- Je suis plus salé que sucré. Essayant de la rassurer pour éviter une guerre que je perdrai facilement. J'ai terriblement faim, je mangerai un cheval en salade.

Non, c'est pas une exagération. Mais bon, va falloir faire avec ce qu'il y a.

55
C'est ça, dégages.

Enfin correctement installé dans cette levrette qui enserre ma queue contre son gré, j'y relève pourtant une amoureuse étreinte, dont mon gland prend un plaisir immense à se sentir étranglé de la sorte. Ces insultes me font juste rire, me concentrant uniquement sur mon plaisir, à savoir, le long et délicieux sentier de l'orgasme. Un sentier que je vais prendre amoureusement en prenant mon temps. Oui, ça sera extrêmement long. Les supplications s'arrêtent alors que j'entends des retours dans sa gorge, comme l'arrivée de vomis et ça va pas louper.

- Mais t'es vraiment une crade. Tu cherches à me dégouter, c'est ça ? Raté.

Mais il fallait bien la sanctionner. Alors commence une série de fessées bien violentes qui bousculent sont p'tit cul dans des secousses cinglantes, les vagues traversant son corps comme une tempête au milieu d'un océan. Laissant sa peau changer de couleur alors que j'continue de la sanctionner en poursuivant ma levrette qui la poignarde constamment de l'intérieur. Ses traits déchirés par la douleur, il est maintenant temps de parler.

- Tu es la fille d'une pute, petite renarde. Alors il faut te baiser comme telle. Je vais te remplir comme une outre et tu vas couiner pour ça.

Ainsi reprend mon rodéo vulgaire et obscène, assiégeant le bas de sa colonne avec la délicatesse d'un éléphant. Attrapant sa crinière, je tire son visage vers le mien, yeux dans les yeux, alors que son corps fait un "U"  et creuse son dos un maximum, pour pouvoir lui cracher dessus au visage comme n'importe qu'elle pute qui mérite se traitement. L'autre main continuera d'empoigner son postérieur ecchymosé baignant dans les giclures de mon liquide-séminal coulant en abondance, dans des filets gras et visqueux contre sa petite raie.

Pendant un long moment.

Un rythme d'horloge fracasse ses hanches, mon gland gonflant à l'intérieur progressivement, mes râles et mes soupirs sonnent la jouissance et le plaisir profitant de cette position inlassablement. Mais peut-être que changer me fera plus de bien ? Alors sans prévenir je range ma queue bien au fond en elle, avant de passer un bras sous son ventre déformer par membre, littéralement empalé, que je quitte le lit avec elle pour rejoindre la table. Extirpant ma queue dans un déluge de fluides au sol je la balance comme une mal-propre contre la table avant de saisir ses deux jambes pour éviter qu'elle s'échappe, et ainsi la retourner dans un missionnaire mes beaux yeux d'obsédé.

- J'vais bien voir ma queue te bourriner comme ça.

Et la pénétration ne prévient pas non plus. Commençant a faire couiner la table, j'avise avec un œil spectateur, son abdomen se bosseler à chacun de mes passages, mon phallus toujours pris en étau par les limites physiques de la petite créature, malheureusement beaucoup trop bon, mon sperme frappe au porte de mon urètre comme un volcan qui entre en éruption.

Alors mes accélérations deviennent plus barbares et primitifs, grognant comme un animal à la recherche de cette explosion de sperme imminente. La première salve d'une longue série.

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- Ah, ça y est, tu l'as ferme bien ta bouche maintenant. Hm, j'sens bien ta langue en plus.

Un chibre puant et pourtant le plus heureux du monde à ramoner sa gorge vulgairement pour le simple plaisir d'engluer sa gueule d'un pre-foutre collant au palais de son saisissant parfum acre et piquant, voyant bien ses larmes de dégouts perler sur ses joues. Mais qu'importe, moi mon plaisir il est entier, voyant son gosier se déformer sous mes ardeurs. Mes énormes burnes continuant de coller et se décoller contre sa petite poitrine maintenant moite et sale par leurs passages.

Profitant de son visage étourdie par mes coups de reins, j'profite alors de cette fenêtre pour quitter à contre cœur sa bouche dans un claquement de lèvres vulgaire pour cause son diamètre démesuré pour ses mâchoires afin de retrouver le trou béant que j'ai laissé dans sa vulve. Déformant le lit de mes lourds genoux s'enfoncer dans le matelas, mon bassin arrive encore avec fracas comme un étalon souffrant d'une longue abstinence pour l'embrocher de nouveau, son corps entre mes mains, l'agitant de haut en bas pour la pistonner plus fort. Ses parois câlinent ma queue d'un bien-être si intense que j'en soupir d'aise, en voulant toujours plus.

Sa petite poitrine secouant contre mes violences, l'idée me prend de vouloir la faire pointé et de la meilleure manière. Les pinçant avec force, je les étirent par les extrémité de ses bourgeons, en faisant le yoyo, tandis que mes à-coups donnent de l'élan pour agrandir l'écartèlement, durant de longue secondes. Rougit, mais bien dressés, j'prend un malin plaisir à les titiller de l'index pour augmenter leur sensibilité.

Elle mouille malgré elle, et un sourire moqueur déforme de nouveau mes traits.

- Qu'est-ce tu mouilles, finalement, t'adores ça hein...? HEIN ?

Mon corps vient s'écraser contre le sien, mes canines se plantant contre son épaule tandis que mes hanches prennent une plus grande amplitude pour la clouer au lit dans des ondes de chocs fracassant. Le lit couine dangereusement, entendant le bois craquer au fur et à mesure, mais il tiendra le coup. Ma morsure lui arrache un cri de douleur aussitôt coupé par une autre gifle, la sonnant toujours un peu plus. Finalement ma bouche libère son souffle chaud à son oreille animale, en y traînant une langue vicieuse et perverse pour prendre la parole.

- Prépares-toi, parce que j'vais te baiser longuement. Peut-être filmer pour me rappeler de ce moment.

Arrivant proche de l'orgasme, l'idée commence à se dessiner concrètement dans ma tête...

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Tekhos Metropolis / Re : Une chute aux cœur d'une cité matriarcale. [PV Lied]
« le: vendredi 05 février 2021, 21:06:00 »
J'cligne des yeux.

Bêtement.

Pendant quelques secondes.

Juste pour intégrer la seule éventualité qui sonne comme une évidence maintenant. "Qu'est-ce qu'il se passe ?" Ouais, on va me découper pour comprendre ce qu'il m'arrive. Quelque chose qui me faisait pas vraiment peur avant que je ne découvre l'obsidienne et ses capacités à me rendre totalement mortel.

- Bordel... J'suis désolé. Mais au moins vous savez désormais.

Une façon de dire que j'ai été au moins totalement transparent avec elle et qui prouverait peut-être ma totale confiance en elle. Finalement elle dégaine sa tablette pour me montrer grosso modo ce qu'il faut remplir pour tenter une manœuvre. Mon silence était entier, mais mes sens étaient en ébullitions. Attentive à la douce voix de ses explications comme concentrer sur l'interface d'affichage pour imbriquer le truc correctement. Une couverture me permettant de pouvoir séjourner sans finir en morceaux entre quelques coups de scalpel. Seul problème...

- J'connais pas Ashnard, j'vais devoir être crédible.

Ou alors fermer sa gueule en disant simplement oui de la tête à tout ce qu'on peut me dire sur le sujet. On peut vite me prendre pour un débile qui y'en a juste dans les bras alors que j'suis sorti de mon cursus scolaire avec une mention. Une mention qui ne m'aide pas plus à avoir un job sur la durée toutefois... A la fin de ses communications, la poignée grince et j'fis semblant de baisser les yeux comme un condamnée alors qu'elle se redresse, essayant de rendre ça illusoire au possible. Ca a l'air de marcher, appuyé par la fin des soins de ma comparse qui m'arrache un grognement sur son traitement à distance.

Il fallait maintenant se casser, ces gardiennes vont me coller au cul comme une crotte sous la godasse d'un chasseur. Non sans les plaintes de la Sénatrice qui même elle a l'air de trouver leur attitude comme exagérée. De mon côté, faut dire que ses soins sont efficaces, j'ai presque plus mal au crâne, ou alors quelques vestiges de ce coup de crosse bien placé.

Voilà que j'me retrouve dans ce trou. Eh, ouais, bien sûr que cet endroit pas manqué. Me retournant dans sa direction, j'opine du chef face à la suite du plan. Ils vont mettre un sale dispositif, écrasant n'importe quel once d'espoir. Mais, avec Mueller en baby-sitter, j'devrais pouvoir être tranquille. Presque triste de la voir partir, je lui offre tout de même mon regard reconnaissant pour tout ses efforts. Un pauvre inconnu qu'elle aurait pu très bien laisser crever.

- Vous aussi madame la sénatrice, merci encore.

Ainsi se fixe les limites de son pouvoir, l'heure était maintenant de partir, me retrouvant seul face à moi-même, du moins, pas complètement. Je la regarde quitter la cellule, et le verrou sonne son départ dans un fracas de métal qui m'en arrache un long soupir de lassitude. M'affalant contre le mur, une gardienne revient à la charge en tapant le battant métallique avec un objet contondant, sans doute une matraque.

- Vous avez fais quoi à l'intérieur ? A cause de toi la salle pue le fauve ahahaha !

Ca y est elle m'énerve.

- Je l'ai pris.

Silence.

- ... Répètes ça, connard ?
- Grrr, ouais, comme t'es pas foutue de croire qu'elle m'a soigné à cause de vos conneries, t'as qu'à penser que je l'ai baisé si fort, que dans 9 mois elle attendra une portée de huit mômes.

La porte s'ouvre. J'me lève, craquant ma nuque, avant de feuler comme un lion en cage, les canines en avant et le torse gonflé. Mais c'est trois fusils qui seront pointés sur moi visiblement pas assez apeurés pour les intimider. La suite ? Et bah vous la connaissez. Des charges électriques m'illuminent la vue et ensuite... Plus rien.

***

Le lendemain matin, j'ai pas bougé du milieu de la pièce. J'ai mal de partout. Bah, ouais se faire taser c'est pas la meilleure chose à vivre, et si celui qui dit que choper le coup de foudre est une belle émotion, j'invite cordialement à cette personne d'aller se faire mettre. Me relavant péniblement en étirant une grimace, j'vois qu'un plateau est plateau est au sol juste à côté. Une tartine de pain sec et un verre d'eau. Ouaw, génial. Le premier "repas" de la journée faite, les gardiennes m'interpellent pour me demander de les suivre. Appréhension depuis l'altercation la veille, mais leurs rires jubilatoires n'ont pas l'air de cacher une torture quelconque.

Mais évidemment une humiliation supplémentaire. Arrivant dans les douches, pas un rat lorsqu'on balaye la pièce du regard. On me déshabille, les vêtements finissent dans un sac et mon pousse contre un mur. Sauf qu'au lieu d'utilisé la paume de douche, c'est un karcher tenu par l'une d'elle qui me fouette la peau pour retire toute la crasse. Mes grosses jambes solides me maintiennent encore debout, mais pas longtemps, la mousse mélangé à l'eau souillée me fait glisser pour choir lourdement au sol, désormais en position fœtale tandis que le débit de flotte continue de me lyncher. Grognement après grognement, j'leur laisse pas le luxe de voir un visage intimidé.

Mon châtiment terminé, faut reconnaître que j'suis définitivement propre. J'me relève, toisant cette équipe de lourdasses ricanant comme des routiers qui taille le bout de gras sur comment ils baisent leurs putes. Rien de bien différent finalement. L'une d'elles va s'approcher, le regard écœuré sur mon paquet trois pièces duveteux, avant d'assener un crochet au visage. Ma tête ne bouge pas d'un centimètre alors que j'entends une phalanges sauter à l'impact, la mâchoire serrée.

Ma seule défense c'est ma solidité. Ses traits déformés par la douleur et la frustration, elle va rebrousser chemin en balançant des vêtements propres à la figure. Une combi' de taulard orange. Evidemment. Trop moulant au bras, j'déchire les manches, mais le reste risque quand même d'exploser sur un mouvement trop franc de ma part. La suite du séjour va se passer de la même manière, j'vais rester isolé des autres prisonniers, ma propre cours, ma propre toilette, systématiquement gardé et menacé de plusieurs armes comme le plus grand danger public du monde.

Jusqu'à ce que le fameux jour arrive.

Respirant enfin l'air extérieur, non sans caché un regard impressionné par ce dispositif, tout un peloton et des blindés juste pour ma pomme. Pas besoin de tout ça quand j'ai ces menottes mesdames, mais vous en savez rien j'présume... Mais une nana va se distinguer. Impressionnante, mais pas par son physique. Une teigneuse, à tout les coups. Mes yeux se ferment, soulagé à l'idée de me dire que la Sénatrice a gérée le coup. Mes épaules tombent et j'me laisse faire docilement pour rejoindre le blindé, relevant bien que la donzelle n'a pas la même délicatesse que Mueller. Le moteur vrombit aussitôt, et nous nous éloignons de cet endroit de malheur, ma tête déjà posée contre la paroi de l'habitacle.
 
J'hausse un sourcil, visiblement les mecs, c'est aussi pas son truc, et j'suis beaucoup trop crevé pour me défendre. Et j'suis personne pour faire changer d'avis une personne qui a des idées si tranchées sur le sujet. J'note certains mots qu'elle marmonne dans sa barbe, devinant qu'elle est une proche, et un regard reconnaissant vient étirer mes traits quand ces menottes me quittent enfin, remerciant d'un signe de tête alors que j'me frotte les poignets pour les dégourdir.

- Héraclès. J'attends que ça, de me barrer. Tendant mon épaisse main calleuse faire disparaitre sa petite menotte dans une poigne franche. Et elle a de la poigne.

Maintenant, il fallait attendre "la suite", comme mon ange-gardien la si bien dit...


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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: mardi 02 février 2021, 21:22:08 »
Toujours aussi raide, ma poigne glisse sur ma queue qui continue de pulser et hurler son désir avide de s'aventurer dans un trou pour mieux le remplir. J'prends un malin plaisir à observer le corps tremblant de spasmes la petite Hiyori, son anus essayant tant bien que mal à reprendre sa forme d'origine dans des contractions bien vulgaires. Sans l'aider bien sûr, elle commence à descendre, bien apprivoisée par ce pilon, le regard encore embué par l'envie de reprendre une cartouche de titan.

Une chatte féline et sensuelle, non sans laisser derrière elle une trainée de semences au secousses de ses pas sur le sol de la maison. Un grognement jubilatoire a sa demande, sa bouche grande ouverte et attendant encore une autre salve de sperme qui attend encore gentiment dans mes lourdes burnes. Une supplication parfaite, demande une réponse favorable du maître. Mes doigts se posent sous son menton pour bien orienter son visage devant mon pieu que j'utilise pour la bifler négligemment au visage, puis ses lèvres, dans des éclaboussures sales et dégoulinant de fluides sur son petit minois.

- Si docilement demandé, bien sûr que j'vais encore te remplir la bouche. Te faire avaler mon foutre épais, j'vois que tu ne peux plus te passer de son odeur et de son gout aussi fort que moi.

Une main humiliante lui tapote la joue avant de lui caresser la tête de nouveau, un gentil clébard que je récompense une nouvelle fois.

- Mais avant, j'vais encore plonger dans ta vulve.

Comme un prédateur sexuel dépravé, je la contourne avant de la saisir au jambes pour la soulever sans effort, le dos contre moi, ses jambes à l'intérieur de mes coudes qui m'offrent un écartement royal, alors que mes mains se lient entre elles derrière sa nuque, fermant cette clé comme le plus parfait des lutteurs. Enfermer autour de mes bras comme si elle était dans une cage de chair, je la tiens en fullnelson avant de m'avancer et chercher quelque chose qui va vite me faire étirer un sourire carnassier.

Progressant dans le salon, je m'arrête devant un grand miroir au mur, et m'offre la magnifique vue de voir ma hampe déformer son antre dans un déluge de mouille inondant mes burnes, un baptême vulgaire accompagné de nouveaux cris que j'adore entendre. La douleur et le plaisir réunit. Avec ma prise, je l'écrase contre mon gland qui continue de déchirer ses parois et bruler ses entrailles pendant que mes bourses fracassent son bas-ventre comme un clocher d'église dans un rythme d'horloge. Mon souffle chaud à son oreille, il vient décoller quelques cheveux avant de prendre la parole.

- Tu vois j'vais pouvoir te dire des tonnes de vacheries pendant que j'te baise, tout ce que tu veux... Et quand j'aurai fini, tu viendras me boire. J'compte sur toi pour tout avaler, tu veux pas me mettre en colère, n'est-ce pas  ?

Le choc de mes à-coups la fait vibrer du vagin à la tête, jusqu'au extrémités. Ces petites jambes n'encaissant plus rien, sans avoir la force de faire quoi que ce soit, bougeant mollement au gré des violences, comme la plus vulgaire des poupées inarticulée.

Je poursuis ce pilon en l'humiliant devant son reflet, alors que les éclaboussures commencent à souiller et flouter ce magnifique et pourtant odieux tableau.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Une autre fournée, une autre Kitsune [PV Setyhs]
« le: dimanche 31 janvier 2021, 18:38:20 »
Dans cet état, je ne fais absolument pas attention à ce qui m'entoure, je peux facilement détruire la moitié du quartier si j'perds un peu trop le contrôle. Alors, imaginez, essayer de donner de l'attention aux supplications et aux insultes de ma proie est bien la dernière chose qui me travaille l'esprit. Mon focus était droit dans son orifice, jubilant nerveusement à l'idée de pouvoir me soulager en elle.

Mais la mère du terrier vient interrompre mon repas.

Face à moi, tremblant comme une feuille morte, mes yeux ont prit une teinte dorée, la pupille dilatée et les narines pliées alors que ma respiration résonne comme un fauve sauvage, dont le roulement sonore dans le torse sonne comme un gorille en rut. J'étire un sourire lorsqu'elle me rappelle la dernière fois qu'on s'est vu, mon gourdin la transpercé de part en part, j'suis d'ailleurs étonné qu'elle tienne encore debout. Mais ce sourire amusé va disparaître à l'entente de sa menace aussi pathétique qu'elle. Mon grognement devient plus bruyant avant de regarder une nouvelle fois la petite renarde bloquée sous mon bras comme un lapin coincé par un tronc échoué au sol.

Délicatement, je lui caresse les joues moites par les larmes, une scène bien plus malaisante qu'agréable évidemment.

- Tu vois, c'était toi que je cherchais. Mais, dès que j'ai vu ta fille, j'ai pas su résister. J'ai tellement envie de baiser en plus...

Mais ce regard presque attendrissant va devenir sinistre lorsqu'il revient sur Etyhs. Attrapant la hanche ma victime pour tenter de la pénétrer, mes coups de bassins défonçant son antre comme une charge de dix hommes qui ne parviennent pas à déformer sa vulve trop petite, pour le moment.

- Si j'entends un simple bruit douteux autour de ta boutique, je lui disloque la tête comme une simple bière qu'on décapsule. Alors, à moins que tu ne possèdes de la vaseline pour mieux baiser ta progéniture... Dégages. Elle sera toujours ta fille après ça, si elle est morte, beaucoup moins. Que je termine d'une voix grave et cruelle.

Dans une ultime tentative, j'écrase doucement mon gland contre ses lèvres qui s'écartent et se déforment en prenant la forme de ce bélier qui défonce son antre, avant de distendre sa fente inhumainement, au seuil du déchirement.

L'extrémité de mon phallus vite écrasée dans cet orifice poisseux, elle va libérer du pré-foutre malgré elle dans une décharge de bien-être exaltant, libérant le premier râle de plaisir. Une pré-semence gluante, épaisse et bouillante comme un coulis de lave qui vient embraser son intimité. Mais ce n'était que le début. Le dos rond, la surplombant d'avantage, l'empalement se poursuit en labourant et fracassant ses parois intimes en cognant le fond de son couloir vaginal sans retenir les hurlements de douleur de la petite renarde. Des supplices qui sonnent comme une douce mélodie pourtant...

Ses muscles intimes chambardés, ma gourmandise avide continue de vouloir aller plus loin, et vient enfin écraser le gland de ma queue contre les parois séparant son vagin de son utérus - perforé aussitôt - formant une bosse obscène au niveau de son bas-ventre. Mes énormes burnes arrivent dans un fracas de viandes pour frapper en unisson ses lèvres rougit et déformées par mes ardeurs. Toujours trop étriqué, je me retire lentement dans un appel d'air bruyant, avant de revenir dans un renfoncement, sur un coup de reins sec pour l'emplir de nouveau de moi, dans un nouveau glapissement de plaisir. Mon corps se raidit toujours autant, en voulant toujours plus dans une frénésie inarrêtable. Creusant sa viande toujours plus, un bestiau qui oublie toute conscience et toute réflexion, obnubilé par la seule envie de s'accoupler. 

Oubliant sa propre mère et ses sanglots.

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Dans mes râles bruyants alors que mon corps pistonne ce nouvel orifice qui câline ma queue dans un concerto obscène de bruits traduisant les effluves de pre-semence embraser son antre, ses plaintes sont à peine perceptibles. En faite, j'en ai rien à cirer, mieux que ça, j'vais même rendre ça plus confortable.

Poignardant d'un nouveau coup de rein sa vulve de manière impitoyable, j'reste bien rangé au fond avant de lui saisir la crinière pour mieux lui envoyer une gifle qui lui désaxe la tête  de côté, éclaboussant ses pathétiques larmes sur le matelas bientôt souillé de mes marques. Marquant la moitié de son visage, avec une force dosée pour éviter de lui dévisser entièrement la tête. Sinon, comment continuer à la remplir de foutre après ça ? Grognant comme un gorille en plein coït bestial, le souffle brulant de mon haleine vient décoller ses cheveux, les traits de mon visage déformés par la rage et l'instinct, tandis que j'approche mon visage du sien.

- Ferme ta gueule. Personne viendra te chercher, t'entends ? Personne.

Mes doigts viennent encore entourer sa gorge, compressant suffisamment pour que l'air passe sans qu'elle puisse parler.

- J'vais pouvoir recommencer sans entendre ta pathétique voix. Sans que tu puisses y faire quelque chose.

Sans prévenir mon bassin revient s'écraser contre le sien, un effondrement de muscles qui vient broyer sa cavité vaginale en déformant son abdomen, l'autre main s'assurant que ses cuisses sont bien écartées pour m'offrir son orifice dans un bombardement incessant de mes ardeurs en elle. 

- Regardes, tu vois que ça rentre. Ca rentre bien même...

Agitant son corps contre mon pilon de chair, j'sens déjà mon gland pulser, montant la pression sur cet étau bien étroit. Ses lèvres agrippent ma queue quand elle ressort, avant de s'écarter déraisonnablement quand elle rentre. Mais ses suffocations continuent de m'emmerder même en l'étranglant.

- Pas moyen de fermer ta gueule, hein.

J'sors mon mandrin dans un appel d'air odieux, laissant un trou béant à l'intérieur avant de chevaucher son tronc pour mettre en cage son crâne entre mes phalanges, pour mieux lui imposer mon gland poisseux écarter ses mâchoires. Sa bouche s'ouvre, encore et encore, dans des couinements étouffés, ses mèches se faufilant entre mes doigts, tout comme ses larmes humidifiant ma peau. Mes lourdes burnes étalent leur sueur sur son buste, patinant sur sa peau mais s'arrêtant à mi-course. Car malgré le fait que je lui cogne déjà le fond de sa gorge dans des déglutitions au seuil du vomissement, je n'entre qu'à moitié à l'intérieur. Tant pis, ça fera l'affaire.

- Allez, parle pendant que j'te baise la bouche. Je t'écoutes.

Impossible. Mes coups de reins reprennent leurs courses, engluant sa cavité buccale presser mon frein de force, m'arrachant des souffles d'extases. Le diamètre bien trop gros pour elle, sa langue est écrasé contre le long de mon membre et m'offre un massage délicieux. Lui tapotant le haut de la tête dans un geste humiliant, je lui gratifie d'un sourire carnassier, regardant son visage se faire attaquer par la chaleur de mon corps, son odeur, et le pal qui lui martèle gorge indéfiniment.

- J'sais reconnaître une suceuse quand j'en vois une. On va voir si t'avales, maintenant.

J'accélère le rythme, maintenant dans la perspective de faire ce que je voulais faire depuis le début. Déverser ma frustration dans un déluge de foutre. Ca va être long, et extrêmement...Agréable.

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