Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: mercredi 27 janvier 2021, 23:34:54 »
Voilà que la pression monte dans mon gland, étouffé dans cette petite cavité anale qui m'arrache des soupirs, m'empêchant de fermer la bouche dont le souffle chaud échappe des postillons de baves sur sa colonne, le bassin toujours à vouloir agresser le bas de son tronc en déformant ses entrailles de mes puissants assauts, l'extrémité gonflé à l'intérieur prévenant un nouvel orgasme imminent.

Elle se cambre, toujours aussi docile. Mais j'en veux toujours plus, comme une soif avide impossible à étancher. Une énorme gifle vient matraquer son fessier alors que mon grognement vibre d'une voix grave et menaçante avant de gueuler dans ses oreilles comme un maître en colère.

- Cambre toi plus ! Tu veux vraiment que je te remplisse de mon sperme ? Prouves le moi !

Une autre gifle revient plus fort pour y laisser une marque violette avant de lui bombarder l'anus en accélérant mes coups de pilons. Ma main fini sur sa gorge pour la plier en deux, tout en la tirant vers moi qui la surplombe, mon regard dans le sien, un coulis de bave brulant vient dégouliner sur son visage que je déforme en enfonçant mes doigts pour tirer sa joue, une humiliation bien mérité pour une chatte bien en chaleur.

Dans cette état, à glairer sur sa gueule pendant de longue minutes, je broie l'intérieur de ses fesses. Si pour moi le temps passe vite, le sien, lui est interminable. Mon corps se crispe, mes coups toujours aussi bourrus, ils accélèrent pour chercher l'orgasme venant si haut, qu'il vient m'arracher un hurlement, le frein brulant d'un jet explosif de foutre bouillant venir embraser ses entrailles, la queue rangée comme un énorme coup de poignard douloureux. L'orifice déborde de semence grasse et puante de virilité avant de la ressortir, les fruits de mon excavation brutal dans un orifice plus béant que jamais.

J'relâche son corps comme une poupée gonflable que j'aurai remplit. J'm'avance du côté de la table pour poser ma queue encore veineuse et pulsante devant le nez, englué de sperme, une vision bien sale et grossière pour la personne qui la toise.

- Et si j'te remplissais encore...?

J'lui caresse la tête avant de lui pincer sa joue souillé par mes effluves buccaux pour ensuite reprendre ma place qui m'a permit de la culbuter comme je le voulais.

- Si tu arrives à descendre de la table et me rejoindre, j'recommence en remplissant ta vulve comme un sac à foutre.

J'recule de quelques pas, la main sur la queue que j'branle en la toisant de toute ma hauteur, l'attendant avec un sourire prédateur qui a perdu toute morale, ou d'éthique, le regard encore embué par le simple désir de baiser et déverser ma frustration dans tout ses orifices.

- Allez, viens petite chatte. A quatre pattes, à mes pieds. Me force pas à venir te chercher, tu t'en sortirais pas cette fois.

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La question résonne encore dans ma tête. Depuis que j'suis terré dans ce trou, j'ai fait le film des centaines de fois dans ma tête. Des cris, des supplications, des sanglots sur le corps de femmes tués pendant l'accident. Tout un chaos à cause de moi. J'pouvais presque les entendre, les voir, m'arrachant frisson sur frisson, essayant tout de même de me rassurer que leur technologie puisse faire quelque chose.

Un silence s'allonge alors que j'entends son soupir, le regard un peu paumé. J'm'attendais à la pire mauvaise nouvelle, évidemment. Mais je n'aurais qu'un simple manque d'information. Mais elle va vite y remédier. Mes yeux vont la suivre, glissant vers le bas pour constater ses hanches rouler au pas de ses talons avant de me ressaisir. J'reste vraiment sidéré sur sa capacité à entrer et sortir d'ici comme un moulin. J'ai bien l'impression que nous somme dans un centre de détention hyper sécurisé pourtant.

La porte claque, libérant un son électrique désignant son verrouillage. Blindé, sans doute. Qui devrait pas me résister quand même avec mes pouvoirs. J'suis étonné de pas souffrir de claustrophobie, puisque c'est la première fois que j'me retrouve enfermé dans une pièce. Une gardienne va venir encore une fois m'emmerder, comme pour me rappeler ou étouffer tous mes espoirs d'un claquement de doigts.

- Elle est belle, hein.

Question piège, ne pas répondre. Elle ricane avec un sourire sadique.

- C'est la toute la différence entre nous, méprisable créature. Les femmes sont supérieures dans tout les niveaux. Vous êtes des engeances ratées.

J'baille, daignant paresseusement à l'écouter. Et aussi parce que, ouais, j'suis quand même crevé. Une fatigue que j'connaissais pas avant aujourd'hui. Étrange, l'impression d'avoir mon corps tourner au ralentit, faible. J'ai une douleur dans le crâne, j'ai mal aux yeux quand on allume la lumière de la cellule. Des espèces de courbatures sur tout le corps. Pour en revenir à la donzelle qui crache comme une chatte de gouttière, elle se retourne en grognant, reprenant sa garde. Et finalement, j'suis pris de pitié pour elle. C'est vrai, d'avoir un regard aussi biaisé sur la dignité et l'égalité des sexes. J'me demande ce que les hommes ont pu faire dans leur société pour mériter un tel traitement.

Une histoire qui ne me concerne pas, et qui me concerne quand même par la force des choses.

Pas le temps de réfléchir si cette situation était écrite pour que ça m'arrive que ma sauveuse revient dans la pièce. Et j'ai enfin le topo, mon visage se déforme par l'inquiétude, puis par la colère, ensuite la culpabilité, avant quand même de relâcher les épaules quand j'apprends n'avoir tué personne. Un soupir traduit mon soulagement.  D'autant plus quand je sais que ça va pas me pénaliser dans mon dossier. Parce que ouais, j'ai un dossier.

- Ravi de savoir que personne n'est mort par ma faute. En espérant que les blessés puissent se rétablir au plus vite.

Mon visage finit dans le creux de mes mains pour faire chuter la pression et essayant de garder un minimum de lucidité pour la suite. Mais avant que ma curiosité prenne le dessus, elle me coupe l'herbe sous le pied pour la suite des évènements. Monter ce foutu dossier. Mais alors que dans ses yeux j'y décèle un éclair de génie, elle s'approche de moi, dans un geste silencieux qui m'intime à rester immobile avant qu'elle ne se penche dans ma direction. Mon regard glisse de nouveau, tombant sur un buste charnu qui plonge vertigineusement, m'arrachant une déglutition de gêne. Ses dextres plongent dans ma crinière, glissant dans ma chevelure comme d'une caresse à l'instar des plus douces plumes, avant de m'arracher une grimace quand j'sens une douleur à l'arrière de ma caboche.

Elle s'exclame et allez savoir, j'ai l'impression que ça cache quelque chose. Un prétexte pour se barrer ? Silencieusement j'accepte, parce que, bien sûr que j'veux me tirer de cette cellule, même pour cinq minutes et un bisou magique qui résoudra rien. Le plus étrange c'est qu'elle veuille s'en occuper elle-même. Alors qu'elle a l'air assez importante pour envoyer des larbins à sa place. De toute manière, elle est la seule qui m'inspire confiance. Et elle va encore me prouver l'étendue de ses pouvoirs en remballant vite fait bien fait les gardiennes avec des promesses bien intimidantes pour leur carrière. On me dévisage comme la plus pitoyable des bestioles avant de ravaler leur haine plus tard.

Dehors, enfin, pas vraiment. Mais c'est quand même le pied de sortir d'ici. Mais c'était sans savoir la jungle qui m'attend. Les personnes incarcérées m'accueillent comme il se doit, des voix que j'vais vite oublier pour me concentrer sur mon nouveau guide. On traîne pas longtemps avant de trouver le battant qui me sort de ce boucan rempli de jolis mots rien que pour mes oreilles. Une salle bien plus accueillante, même si les menottes aux poignets commencent doucement à me gonfler. Mais rien à faire, et pourtant j'ai de la réserve dans les bras. Normalement. J'soupir en fermant les yeux. Avant de réaliser que, oui, on est que tous les deux. Dans la pièce, elle, moi, nous. La bavure.

Finalement, j'suis très content de les avoir, ces menottes.

- Ouais, on est tranquille. Merci beaucoup. Que j'termine en gardant mes images tordues pour moi.

J'suis ses directives en allant vers le lit pour m'y assoir avant de croiser un miroir au mur. Au pied, une balance. Mais dans ce reflet, j'me suis presque pas reconnu. Recouvert de poussière, de crasses, ma veste de travail remplit de poches en lambeau, mon pantalon de travail déchiré et parsemé de trous. Mes lèvres sont gercées, j'ai des cernes, j'ai vraiment une sale gueule. J'comprends maintenant quand on vient me dire que j'suis laid. J'essaie d'oublier ça et profiter de ce matelas qui me fait enfin un bel accueil. Elle revient, aussi solaire que l'été pour venir me... Soigner ?

Le flou s'estompe, j'comprends enfin qu'elle n'est pas la moitié d'un gland, pire, elle est même décisionnaire de pas mal de chose dans cette société. Appuyant encore plus l'incroyable chance que j'ai de l'avoir à mes "côtés". Un sourcil intrigué quand elle témoigne implicitement de problèmes de santé, j'reste silencieux pour éviter d'être trop envahissant. La tête baissée, j'grogne à ce traitement si singulier pour moi. La besogne terminée elle se met en face m'indiquant que ce petit traitement si attachant était terminé pour quelque chose de bien plus grave.

Mon putain d'avenir ici.

D'abord silencieusement, j'admets de provenir de la terre. Ensuite j'comprends que Tekhos n'est pas au courant de son existence et pour conclure, effectivement si elles sont aussi avide de vouloir les hommes disparaître, autant bien fermer sa mouille comme il faut. Et cette nana, est définitivement mon dernier bouclier si j'en crois ce qu'elle a fait. C'est noble. Admirable. D'être seule contre cette éthique macabre, et se battre quand même. Restant discret, j'me rapproche dans sa direction pour chuchoter ma vérité , j'pourrais presque l'embrasser.

- Terre, Japon. Seikusu. Sinon...

Cette révélation pourrait peut-être me sortir de là.

- Vous avez remarquez que mes capacités sont pas vraiment ... Humaines. J'suis arrivé sur... Vous savez, à l'âge d'un an. Mais j'viens d'une autre planète. Elle a explosé il y a maintenant 20 ans. Galaxie andromède, un vieux système solaire, les débris tournent encore en orbite. Je suis finalement... Une créature errante, sans aucun de mes semblables de vivant. Seul.

J'baisse la tête, légèrement mélancolique. Mais au moins c'était clair, j'suis issue d'une civilisation disparue; sans armée, sans politique, sans volonté de conquête. Rien qui pourrait me rendre dangereux diplomatiquement.

Espérons que ça change la donne.

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Centre-ville de Seikusu / Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]
« le: lundi 25 janvier 2021, 19:21:28 »
On me conduit à une chambre, le menton dans le coude, qui subit mes toux ensanglantés, s'aggravant au fil du temps sous mon regard impuissant.

- Tenez bon, monsieur.
- Ouais *kof* *kof*, je gère... *kof*

La chambre est assez grande, le lit aussi, un modèle grand format, on pourrait accueillir le plus gros des obèses là-dessus. On m'dit d'appuyer sur un bouton rouge si ça va pas. Sans doute pour la première fois de ma vie. J'suis déjà allé à l'hôpital. Mais c'était jamais pour moi. Des collègues, mes parents adoptifs, mais là... C'est pour ma gueule. Je suis en danger. J'arrive pas à concevoir cette idée.

Mes respirations deviennent douloureuses, l'impression qu'on dévore ma trachée d'une acidité que je n'avais jamais mesurée jusqu'auparavant. La main sur le torse, j'essaie de respirer doucement par le nez, mais l'effet reste le même, ça brule, ca irrite et le gout du sang dans la bouche prend le monopole sur mes sens. Le goût du fer, la texture épaisse et fluide en même temps. En résulte du coup une sale grimace, dévoré par l'incompréhension.

L'attente est longue, là, allongé à rien pouvoir faire. Mais ce supplice s'arrête quand le battant va s'ouvrir. Une infirmière rentre dans la précipitation, mes yeux s'écarquillent en la détaillant ; un teint clair d'une peau de porcelaine, une longue crinière brune coiffée d'une queue de cheval flottant dans l'air et des traits fins serties de prunelles de la couleur des émeraudes. Son poste d'infirmière se voit sur sa tenue, non sans cacher des formes voluptueuses. Encore une délicieuse créature façonnée amoureusement par Dame Nature.

Mais c'est pas le moment de jouer au docteur, Héra. Me prendre deux étages de béton, et des litres de propanes dans le pif, ça refroidis un peu, v'voyez.

- Héraclès. *kof*

J'm'installe comme on me l'intime de faire, couinant le métal se plier sous mon poids mais tout va bien. Un masque se pose sur mes lèvres et envoie une vague d'apaisement, fraîche, atténuer les brûlures de mes voies respiratoires. Mes épaules se relâchent alors que j'ferme les yeux, savourant ce moment que j'pensais pas retrouver de si tôt. Répondant silencieusement d'un pouce levé pour lui dire que j'ai quand même écouté ses instructions. Son interrogation va suivre et doucement j'retire le masque légèrement de ma bouche pour lui répondre.

- Je ... *kof* suis allergique à rien du tout... *kof* Je me régénère de mes ... Blessures... *kof*

Essuyant les dépôts carbonisés sur les zones brulées, je lui dévoile ainsi la disparition casi instantanée pour économiser tout un blabla sur la régénérescence de mes tissus.

- *Kof* D'habitude...Ca suffit... *kof* kof*

J'retire à moitié mon t-shirt alors que son stéthoscope arrive comme une pièce givrée sur mon torse puissant et brulant dévoilant également mes anciennes plaies, refermées, laissant uniquement une trainée de sang qui sèche à l'air libre. Bordel, pourquoi mon corps galère à s'occuper de tout ce gaz aspiré ? Y'en a trop ? Mes pensées vont vers Moya, espérant qu'elle n'a pas respiré autant de propane, qui sait ce qui pourrait lui arriver...

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: lundi 25 janvier 2021, 16:44:40 »
J'commence à apprécier cette domination. "Maître" ? Hm, ça me va bien, ça me plaît. Même si j'ai perdu toute rationalité pendant que je la pistonne sans me soucier des dommages que j'cause, que ça soit avec les rougeurs écarlates de son sexe comme les marques sur son petit fessier. Ma douce petite femelle et complètement à ma merci, répondant par l'affirmatif à toutes mes exigences, s'en est presque facile.

Mais quand on a faim comme moi, c'est parfait.

Mon gland continu de gonfler alors qu'il fait bouillir son antre dans des flux interrompu de pré-semences, quand j'entends encore les jolis mots de cette soumise m'arrachant un sourire, accentuant mon plaisir sadique de la perforer. D'une voix profonde et grave, j'cogne le fond de son orifice en lui attrapant les cheveux pour mieux creuser son dos pour m'offrir une meilleure vue de ce pilon bestial.

- T'es déjà à moi, et je reviendrais, régulièrement pour me soulager dans tes orifices chaque fois que l'envie me prend.

Un pouce énorme vient lui dilater son anus englué de fluide, rendant la pénétration presque facile tandis que je reprends mes violences. Sa peau moite contre la vitre de la table, les odeurs s'intensifient, mon torse ruisselle de sueur dégoulinant et s'éclaboussant sur sa colonne. Perlant dans chaque sillon de mes muscles, se contractant aux mouvements féroces qui s'acharnent sans fatigue.

Mon pouce continue de légers vas-et-viens, et estimant avoir bien préparé le terrain, j'sors ma hampe dans un appel d'air grossier, laissant un trou béant entre les cuisses. Assistant aux premières contractions de ses parois qui essaient de refermer l'orifice à sa taille naturelle, déclenchant des spasmes qui dégueulent par intermittence nos sales et poisseux essences dans un déversement odieux.

Lui tirant les cheveux de nouveau d'une main pour la maintenir cambrée, l'autre viendra se plaquer contre ses lèvres pour l'empêcher d'hurler sur ma prochaine pénétration. Mon gland rentre plus vite dans un "pop" bruyant, l'écartèlement de son rectum devient en revanche de plus en plus difficile. Les centimètres gagné durement, ma course va s'arrêter à la moitié de mon pilier de chair, strangulant quand même mon frein d'un bien-être m'arrachant de nouveaux râles de plaisir.

Tenant ses longues mèches comme des rennes, ainsi commence cette cavalcade vulgaire, en lui broyant le couloir de son rectum, son autre orifice qu'elle m'a gentiment intimé à ruiner comme le reste.

Avec déjà le plaisir à jongler avec tout ses trous qui n'attendent que mon violent passage.

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Le temps défile. Enfin, j'crois. Impossible de savoir, la pièce est dépourvu de fenêtres. Pas de rayon, pas de lumière de cet astre qui me manque horriblement. J'me perds dans le temps, sans savoir si j'dois dormir, bouffer. Pas de télé, mon téléphone est en mille morceaux depuis la collision avec le building. J'ai envie de rire, j'ai envie d'hurler, j'ai envie de sangloter. Mais non, ca sera une tête complètement impassible à toute émotion que j'dégage un maximum pour éviter de satisfaire les deux nanas armées jusqu'aux ovaires et qui gardent le battant.

L'une d'elle s'avance avec un sourire narquois.

- T'es laid.

L'autre se fend la poire. J'reste silencieux, j'ai bien compris qu'on essaie de m'énerver le plus possible. Mais avec ces menottes qui bloquent mes pouvoirs, impossible de renvoyer la pareille, et j'arrangerai pas mon cas.

- T'as perdu ta langue le mâle ?
- J'veux pas de problème.

Deuxième marrade, c'est même plus vexant à force. Juste ridicule. J'pousse seulement un soupir en guise de réponse.

- Tu vas moisir ici. Et on sera aux premières loges.

Elles se retournent toutes les deux, bras au fusil, puis se tcheck avant de reprendre leur poste. Et j'attends encore. J'me lève, tourne en rond, pose ma tête contre les murs, m'allonge, en essayant de dormir. Une gamelle, se glisse sous la porte. J'présume que si elles ont la même routine journalière ici que nous sur terre, nous sommes potentiellement en début de soirée. La bouffe a une sale gueule, presque impossible de bouffer avec ces menottes. Dans ma tête c'est les montagnes russes, essayant de chercher une alternative à tout ça. Ma parole n'a pas de valeur, on vient de me mettre en cage comme un cabot, alors comment me faire entendre ? 

J'essaie quand même de manger ce merdier. C'est infâme, mais ça remplit laborieusement le ventre, il m'en faudrait beaucoup beaucoup plus pour me rassasier. L'inconvénient du gabarit. Mon organisme tape déjà dans mes réserves, j'ai un creux dans le bide.

Et l'envie de pisser me prend. Alors j'me dis que c'est peut-être le moment d'aller les consulter. J'me relève et marche doucement dans leur direction, sans me risquer à toucher la porte qui m'enverrai une autre châtaigne.

- Excusez-moi.
- Ta gueule.
- J'ai... Envie de pisser.

Troisième marrade.

- Eh ! Les filles, z'avez entendu ? Monsieur doit faire pipi !

J'grogne. Mais pendant ce temps, trois autres gardes viennent avec un sceau, toutes armées de fusils d'assaut.

- Recules connard !

La porte s'ouvre alors qu'elles remplissent la pièce en cercle, me gardant dans leur ligne de mire. Le sceau finit devant moi alors qu'on retire mon pantalon. Un énième fou rire général, sous le regard écœuré de celle qui me déshabille. J'essaie de pas écouter ; mais j'comprends juste que visiblement le paquet trois pièces d'un homme est considéré comme la pire chose qui existe, j'me rends pas service en libérant une chaleur dont l'odeur est assez entêtante alors que j'pisse sous leurs yeux. J'ai un peu honte, mais j'garde la tête haute. j'ai peur d'aucune d'elle, et sans leurs armes et leurs technologies, j'veux bien voir ce que j'vaux entre douze cordes contre l'une d'elles. Mais ça sert à rien d'imaginer tout ça, ça n'arrivera jamais. Le sceau remplit, on remonte mon pantalon, sans bien sûr ranger mon engin pendant paresseusement alors que j'fuite le regard de côté pour m'éviter d'assister à un tel supplice aussi honteux.

Un coup de crosse dans le crâne pour me dire aurevoir sur des rires humiliant et la porte se referme. J'essaie alors de m'accrocher à quelque chose d'important dans ma vie. Mon boulot ? Non, il est pathétique.  Une fille ? Non, et les rares fois où j'en croise une soit j'm'emporte et elle finit dans un sale état, ou alors j'prends un énorme râteau.

Ma famille, alors. Mes parents adoptifs. P'pa, j'veux bien que tu m'expliques pourquoi l'équipe de football américain des Jets ont perdu le Superball cette saison. Me bassinant pendant des heures sur le mauvais lancé du quaterback lors du dernier quart temps. M'man, j'veux manger ton pain de viande dégueulasse, te dire qu'il est délicieux en me forçant à le bouffer, te servir un thé pendant que tu bouquines dans le salon avant que je regarde les étoiles et parler de constellation. Parler de mes origines.

Parler avec toi tout simplement de tout et rien.

Mes yeux se ferment là-dessus, et pour la première fois dans cette putain de cellule... Je souris.

***

Le lendemain, on tambourine à la porte avant de glisser une autre gamelle que j'bouffe sans savoir ce que c'est. Comme un animal vorace. On ouvre le vasistas, une paire d'yeux - féminine évidemment - me toise, les pommettes tirées vers le haut cachant un sourire narquois.

- C'est ça mange, gentil molosse, fais toi tout beau, t'as de la visite. Tiens toi tranquille ou on vide nos chargeurs sur toi
- Hein ?
- Tiens toi tranquille ou on vide nos chargeurs sur toi. Qu'elle insiste une nouvelle fois.
 
Comment ça j'ai de la visite ? Putain, c'est peut-être ma carte de sortie. J'm'adosse au mur, assis au sol, car le banc a couiné pas mal de fois en essayant d'y poser mes grosses cuisses dessus. J'entends du monde s'approcher du battant, et j'me dis que cette fois je vais encore déguster. Mais mon regard va devenir intrigué quant à la personne concernée venant faire cette visite.

Une jolie créature, ses cheveux me rappellent les cerisiers de Tokyo à une journée ensoleillée, en pleine saison printanière. Des prunelles azurés, presque glaciales, son corps est sculpté dans des courbes fatales pour n'importe quel mâle hétéro dans le périmètre. Moi autrement dit. J'déglutis légèrement, mais l'envie va passer en me rappelant ma situation. Merdique. D'abord avec de l'appréhension, mes traits vont s'adoucir suite au discours totalement différent de cette personne par rapport à ses semblables.

J'retrouve une douceur dans sa voix. Une voix qui donne envie de faire confiance. Polie et courtoise. J'prends alors une voix assez faible, dont le roulement dans mon torse était tout de même nettement plus bruyant que mon vis-à-vis. 

- Enchanté, Héraclès. Oui bien sûr, entrez.

Elle envoie chier l'une des gardes et j'me dis qu'enfin le karma existe. Et aussi, qu'elles ne sont pas toutes pareilles dans le coin. Rassurant. J'garde un regard dur, mais assez épuisé dans sa direction alors qu'elle s'approche, des fragrances s'émanent d'elle, et j'dois avouer que ça détonne sur ce miasme odorant qui règne ici depuis mon incarcération. Et comme si elle savait déjà tout sur moi, j'suis touché par son empathie. J'étire un petit silence pour trouver mes mots avant d'étirer un sourire timide pour l'assurer de la volonté que j'ai à vouloir coopérer.

- Non pas du tout. Je n'ai aucune foutue idée de où est-ce que j'suis. Vous pouvez me dire ? Je vous assure, c'est un effroyable malentendu.

Son sourire attendrit naturellement mon visage. Mais pas ma prudence, j'suis pas à l'abri d'un vicieux piège. Une chaise arrive pour qu'elle puisse s'installer et reprend notre conversation là où elle l'a laissé. J'pousse un soupir presque soulagé, maintenant que j'sais que quelqu'un veut enfin écouter ce qui m'arrive plutôt que de rigoler stupidement en me balançant des coups de crosse juste pour le plaisir. Mes épaules se relâchent, comme un pseudo délivrance, maintenant que j'sais qu'on peut me sortir de là. Va falloir tout miser sur elle. J'incline la tête alors, répondant par l'affirmatif à sa proposition.

- Je... J'venais de terminer mon boulot. J'suis dans une équipe de maçonnerie, on construit des immeubles. Sur le chemin du retour pour aller chez moi, un énorme flash lumineux m'aveugle. Puis le noir total. Avant que je me réveille à plusieurs centaines de mètres de haut, dans le ciel, à foncer droit dans votre ville et ce... Building.

Mon visage devient légèrement inquiet.

- Dites moi que je n'ai tué personne lors de mon crash... J'veux faire de mal à personne. Je vous promets qu'en aucun cas j'ai cherché à vouloir venir ici. Je veux juste rentrer chez moi.

Ma mâchoire ce serre alors que mes pupilles vacillent dans cet océan dans lequel je me noie, cherchant une once d'espoir, tout en appuyant ce regard pour lui faire comprendre par mes traits que c'est la triste et pure vérité.

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Territoire de Tekhos / Re : Prier le chapelet -- PV
« le: dimanche 24 janvier 2021, 19:25:11 »
 
Je dois savoir. Je dois savoir comment tout ceci fonctionne. Bordel, c'est ironique. J'suis un alien, et pas foutu de piger comment fonctionne ces conneries de portails. Alors, ouais, j'ai eu la chance de rencontrer Lied dans la pire situation de ma vie et eu un bref topo de comment tout ceci se trame.

Ce qu'on doit savoir ? Ah. Très simple. Tout est au pif.

Ou bien un algorithme d'apparition encore inconnu aujourd'hui. Pour moi cette rumeur qui parlait de failles inter-dimensionnelles qui capturent les terriens malgré eux étaient pour moi un espèce de charabia pour triper dans un bar. Puis, j'ai traversé un immeuble en plein cœur de Tekhos, pensant aller chez moi. Aujourd'hui, j'ai pris un sac, et utilise une journée de congé pour survoler la ville. Tester ? Vouloir connaître davantage ? Bien des interrogations qui pourraient me faire passer pour un suicidaire. Mais techniquement, loin des obsidiennes, j'devrais pouvoir rester invincible.

J'ai envie de découvrir Terra, la première chose qui sort enfin de ma triste et ennuyeuse vie. Quand j'me suis fais arrêté par les soldates, j'ai eu... Comment dire, l'impression de vivre, vraiment. On se sent vivant, putain. M'enfin, ça fait déjà 50 bornes que j'traverse le ciel et pour l'instant, j'ai autant de chance de plumer des oiseaux qu'autre chose. Mais j'y crois, j'ai encore espoir.

Quittant la ville, j'm'arrête sur la combe d'une montagne, pour boire dans mon bidon de quelques litre d'eau dans cet énorme sac de 100 litres et prendre une pause. Encombrant, jamais lourd pour moi et j'peux y foutre de quoi survivre quelques temps si un de ces trucs jugent bon de m'aspirer. J'prends quelques minutes, pour apprécier ce silence, ce paysage, les caresses du vent. Un joli concerto par rapport au boucan perpétuel de la ville.

Et comme si on répondait à mon appel, une énorme faille s'ouvre dans une lumière aveuglante, expirant un souffle qui tord les arbres devant moi. Mon coeur s'emballe, mêlant crainte et excitation. Peur ? Non, au contraire, j'suis tout excité. Dans des foulées très lourdes, j'me propulse comme un boulet de canon à l'intérieur, les yeux fermés et les bras croisés devant.

Des fois que j'traverse un autre building, hein.

J'me sens encore une fois flotter, mais, comme si la résistance de l'air, le sol, les bruits, n'existaient pas. J'm'agite dans tous les sens en hurlant mais même les sons de ma voix sont étouffé dans un vide sonore inquiétant. Et dans une lumière au bout d'un tunnel, un deuxième flash me conduis dans un ciel, m'engouffrant de tout mes sens, entendant cette fois ma respiration et la friction du vent faisant danser mes vêtements.

- Eh merde ! J'suis encore à des kilomètres de haut !

Mais on m'aura pas cette fois-ci. J'pique tête baissée comme un harpon vers le sol qui s'agrandit, constatant que c'est une vaste forêt, où les éventuelles structures ne sont pas encore visibles. J'me redresse, plane, et m'envole dans un louping qui m'arrache un sourire amusé.

- J'ai quitté la terre bordel.

J'pousse un hurlement d'hystérie avant de rechercher le sol dans un fracas assourdissant, genou et poing au sol, libérant des fissures qui s'échappent vers l'extérieur autour de moi. J'renifle, parce que... J'sais pas, autant les odeurs sont différentes de chez nous. Mais non. C'est pareil, comme en forêt quoi. Après une grande inspiration, j'prends une direction... Au pif ? Par là, non, par là. Ouais par là, ça me semble pas mal.

Et j'entends une voix. Petite, voix. Un genre de mantra constant...

- Y'a quelqu'un ?

J'me rapproche de sa destination et d'autres voix hurlent plus fort. Approchant d'un ruisseau, c'est le regard surpris que j'constate une donzelle. Les deux poings serrés d'abord, pensant peut-être à l'une de ses tarées sur Tekhos que je catapulterai bien sur terre par la voie des airs. Mais non, elle est aveugle, une crinière d'or tombe en cascade dans un corps sculpté par les anges, une tunique aux couleurs lactées colle son corps voluptueux, blanche et maculée de sangs. Elle a l'air blessée.

J'me rapproche doucement en levant les mains dans sa direction, sans les toucher toutefois. Maintenant plus près, j'peux tout voir à travers son haillon déchiré par les branches. Éveillant mes pulsions de manière volcanique.

C'est pas le moment, Héra. J'me fous une tarte. Elle parle, demandant quelqu'un de l'aide. On dirait qu'elle ... Fuit ? Ces femmes sont ses poursuivants ?

- Madame, ça va ? J'peux vous aider ? Que j'demande d'un ton assez doux malgré une voix rauque et puissante.

Mes énormes mains calleuses se posent contre les siennes, paume contre paume, essayant d'être le plus rassurant possible. Elle est... Douce, et délicate.

- Il faut vous sortir de là.

Oh misère. Allez, Héra. J’avais dis d’arrêter d'agresser chaque nana que j'croise quand l'envie me prend. Cette fois, on se calme.

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Centre-ville de Seikusu / On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]
« le: dimanche 24 janvier 2021, 00:21:28 »
 
- Allez allez les gars !
- Bien compris chef ! Qu'on chantonne en cœur.

Dans le chantier, les collègues travaillent avec la banane depuis que nous arrivons à la fin de la construction. Un parking de plusieurs étages qui a eu beaucoup de complications. Yashida me garde à l'œil et me sourit voyant que j'ai cette fois mon casque sur la tête comme les copains même si mon crâne est "presque" invincible. Mais il avait raison, l'uniformité d'une équipe est une force pour travailler. J'mets même des gants alors que ça me sert également à rien. On a une nouvelle intérimaire qui vient d'arriver dans l'équipe, une nana qui s'occupe de la peinture des murs et des flèches de circulation. Autant dire qu'un paquet s'est mis à loucher sur elle.

Elle est pas mal, mais j'trouve qu'il manque un peu de... viande. M'enfin, l'heure était de travailler. D'ailleurs Yashida me parle au talkie.

*Héra ? Tu me reçois ? A toi.*
- J'vous reçois cinq sur cinq, boss. A vous.
*Tu fais quoi ? A toi.*
- J'remets les blocs de béton dans la beine du camion m'sieur, à vous.
*Ok Héra, attention de pas te casser un ongle, rejoins Moya quand tu as finis, elle a besoin qu'on pousse le bidon de peinture. Il est lourd pour nous, simples mortels...* Qu'il ajoute, d'un ton sarcastique.
- Bien reçu, Héraclès, terminé.

J'commence à empiler les blocs, des lests de grue pour être exact, qui peuvent varier de 500 kilos à 25 tonnes, dont les amortisseurs du poids lourd commencent sérieusement à fatiguer. Faudra y jeter un œil en retournant au hangar. Ma besogne terminée, j'm'envole en cherchant l'étage de notre chère nouvelle qui pousse sa chariote péniblement. Le poing et le genou au sol, elle sursaute à mon arrivée bruyant.

- Héra ! J'ai eu si peur !
- J'voulais pas, vraiment.

J'me mets sur le flanc en posant une main derrière le bidon sur un chariot à roulettes afin de l'avancer au rythme de son utilisatrice. L'odeur de la peinture fraîche remplit l'étage, voyant bien toute les indications faites avec une habilité précise et féminine.

- T'as pas chômé, beau boulot.

Elle rougit alors qu'elle dessine une immense flèche sur un pochoir.

- C'est pas bien compliqué tu sais...
- J't'assure que pour moi si. Tu te plais ici ?
- Ouais, ça va, j'ai eu des avances de Taku par contre.
- Tout le monde a des avances de Taku.

On se regarde brièvement avant de rire doucement. Puis son visage derrière son masque devient intrigué.

- Tu mets pas de masques ?
- Euh, bah j'en ai pas vraiment besoin...
- Oh, oui on m'a parlé de toi et de tes capacités... C'est vraiment trop bien.
- Pas tout le temps.
- Pourquoi ?
- Parce qu'on sort d'une norme qui rejette autrui. Sortir du cercle, à moins d'être battu, cassé et reconstruit pour y pénétrer de nouveau, impossible dans mon cas.
- On s'en fiche des normes, crois moi.

On se regarde brièvement, j'l'a remercie silencieusement de la tête. On poursuit notre route et j'entends comme des craquements. J'm'arrête, regarde le plafond, Moya également s'arrête. Juste le temps de la recouvrir de mon dos râblé que le plafond s'effondre sur nous avant de chuter et de traverser les deux derniers étages. Une quantité astronomique d'eau a fragilisé la structure avant d'inonder le bâtiment.

À présent sous les débris, j'me prends des fumées de propane faisant partie du réseau de gaz de ville en pleine poire alors que la poussière retombe. Elle n'est pas avec moi, j'me soulève de toute ma masse pour expulser un bloc de gravats à plusieurs mètres avant de constater que les dégâts sont catastrophiques. J'pousse une quinte de toux. Une grosse quinte, les gaz brulant mes sinus en énorme quantité. Des câbles électriques embrasent le miasme et propagent une déflagration qui m'enfonce dans un tas de débris plus loin. J'en sors évidemment indemne, les vêtements déchirés, mais rien de grave, hormis cette putain de toux...

J'hurle son nom en soulevant à la volée des monceaux et des monceaux de ruines. Une petite main plus loin bouge dans une fissure alors que l'incendie se propage et m'arrache les poumons.

- Moya !
- I...ci...

D'une poigne titanesque j'soulève les quelques tonnes au dessus de ma tête qui faisait barrage sans écraser sa victime toutefois pour l'envoyer valser avec les autres débris. Littéralement blessée de la tête au pieds, aucune idée si elle a des dommages internes.

- Doucement, j'vais te porter.
- Héra...Je...
- Tais-toi, économises toi.

Désormais dans mes bras et blotti contre mon torse, j'décolle comme une fusée en survolant la ville.

Pourvu qu'il ne soit pas trop tard. 

***

Arrivée à l'hôpital, j'me dis qu'effectivement appeler une ambulance aurait pu être une perte de temps, d'un franc coup d'épaule j'passe les urgences en hurlant d'une voix rauque et bestiale, non sans cacher une extrême panique.

- Elle a eu un grave accident, on a besoin d'un médecin !

Une équipe d'infirmières arrivent avec un lit avant de m'intimer à la poser dessus. Une autre quinte m'arrache la gorge et c'est de mes yeux ébahit que j'constate qu'une giclée de sang s'échappe de ma bouche pour finir dans le creux de ma main épaisse et calleuse. L'infirmière me regarde, me toise de haut en bas, j'dois pas être joli à regarder; les vêtements déchirés, carbonisés, en sueur, évidemment sans blessure si on oublie... Le filet de sang qui perle de ma bouche.

- Vous allez devoir nous suivre monsieur...
- Mais qu'est-ce qui m'arrive...

Cette quinte m'inquiète, pourquoi je souffre...? Alors c'est ça, d'être vulnérable ?

Merde.

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: samedi 23 janvier 2021, 22:34:15 »
Elle couine, elle gémit, des sons aussi satisfaisants que cet étau vaginal qui serre ma queue dans une étreinte jouissive. Les frictions deviennent pourtant de moins en moins rappeuses, le sexe inondé de giclures perpétuelles de son casier à foutre fraîchement moulé et déformé. S'expulsant orgasme après orgasme, les éclaboussures noient mes burnes dans le fracas des coups de reins, m'en mordant les lèvres.

- Ma puissance te fais beaucoup mouiller j'ai l'impression. Mouille, petite chatte, mouille, fais moi du bien.

On arrête d'être mignon. Ma poigne se resserre et j'commence à la pistonner sur ma verge brulante. La brisant contre mon bassin dans des gestes brusques en l'agitant d'avant et en arrière, la table servirait presque à rien. Elle couine sur mes percussions et nos fluides s'écoulent grossièrement en masse le long de sa surface pour mieux s'écraser dans des bruits visqueux sur le sol de la maison. Labourant ses muscles intimes de manière impitoyable, une bosse obscène disparait et réapparait régulièrement vers le bas de son estomac, m'indiquant la fin de ma course, ressentant dorénavant toute ma queue rentrer et sortir dans un bien-être indéfinissable.

- Quelle vilaine petite perverse pour me faire autant de bien...

Ainsi enfin complètement prise par son mâle dominant elle peut sentir une pulsation de la bite qui la déchire, un mouvement qui vient libérer encore un peu plus de pré-foutre bouillant, un liquide poisseux qui remonte envahir ses ovaires et les asphyxie de ma virilité, lui donnant l'impression d'avoir deux charbons ardents avides dans son abdomen.

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Tekhos Metropolis / Une chute aux cœur d'une cité matriarcale. [PV Lied]
« le: samedi 23 janvier 2021, 15:17:27 »
Allez, encore une.

J'porte une énième poutre en métal qui finira sur un tas de poutres en métal pour la énième fois cette semaine. La construction d'un nouveau building lancé depuis quelques temps, j'ai été engagé à la maçonnerie pour les manipulations de force. Bizarrement j'assiste les véhicules qui sont censés prendre ma place. Mais ça va plus vite au moins, et puis, j'suis mieux payé qu'un salaire classique.

Seulement, le boulot est très binaire. Porte et pose. Porte et pose. Porte et...Bon, vous avez compris. Rien de transcendant. A ce moment, on est pas vraiment présent, nos gestes son mécaniques malgré les muscles qui travaillent. Le regard flouté, dans une sorte d'hypnose qu'on pourrait avoir quand on est au volant de sa bagnole pour rentrer chez soi. L'avantage d'être presque inépuisable, c'est de pas vivre les tourments physiques des terriens qui dégustent beaucoup, à l'usure du job. Mais comme moi, ils n'ont pas le choix.

On doit bouffer.

Dans mon état, j'regarde pas vraiment l'heure, seulement en train de broyer du noir. Pensant aux paroles de mon père biologique, qui doit être bien déçu de me voir faire ça. N'ayant aucun sens à ce que j'fais, ne compter pour personne, ne pouvoir aider personne. Du moins, pas à grande échelle. Est-ce que j'devrai m'en contenter? Hm, possible.

- Héraclès !

J'devrais pouvoir sourire alors, mais j'y arrive pas.

- Héra, merde !
- Hm ?

J'cligne des yeux à plusieurs reprises, comme pour retrouver un ancrage sur terre. Yashida mon patron de chantier qui me fait un signe de la main pour dire que c'est la fin de journée. Alors que j'suis sur mon tas de métal qui doit maintenant peser une centaine de tonnes. Une bonne journée de faite.

- J'arrive.

J'marche en trainant des pieds vers la sortie du chantier, des tapes amicales entre les collègues pour se féliciter du boulot. Le patron m'interpelle une main sur le torse.

- Héra, t'as encore oublié ton casque.
- Désolé, m'sieur, c'est pas un réflexe.
- Même si ton crâne ne risque rien, les autres c'est pas le cas. Je vais devoir prendre des dispositions sinon, et je sais que tu as besoin de ce travail.

J'le retire de mon harnais pour le foutre sur la tête, étirant un sourire timide.

- Allez, champion, demain même heure, avec ce truc sur la trogne.
- Bien compris patron.

On se dit tous aurevoir, on me propose de boire un café pour conclure cette journée, mais pas envie. J'refuse poliment pour prendre le chemin du retour. En m'envolant? Non pas cette fois, j'aimerai rester sur le plancher des vaches et marcher peinard sans prendre le risque de me prendre un oiseau par manque d'attention. Les mains dans les poches, une tenue de travail souillé par les gravas, le sable, la terre, la rouille et la peinture, sans oublier une sueur de mâle piquante pour le nez traduite par une gueule tout aussi dégueulasse, j'deviens un vrai répulsif pour les gens que j'croise sur mon trottoir. J'ai l'habitude de prendre une venelle qui est un p'tit raccourci pour aller plus vite à mon studio. Pianotant sur mon téléphone, j'fais pas trop attention ou est-ce que j'vais évidemment. De toute façon qu'est-ce qui m'attends...?

Et bien, j'm'attendais à tout, sauf ce flash blanc qui m'aveugle. J'crois même perdre connaissance dans un blackout.

Le bruit du vent me réveille alors que j'suis à ... Des centaines de mètres de haut ?! J'arrive en fendant l'air à une vitesse croissante, filant comme un boulet de canon vers le sol. Un sol qui se précise, on dirait une métropole, futuriste. Bordel, j'suis en train de rêver ?! J'vais trop vite, beaucoup trop vite, mon corps est comme paralysé parce qu'il voit, impossible d'utiliser mon don pour voler, mes yeux s'écarquillent à la vue d'un bâtiment qui grossit bien trop vite devant moi.

Merde, trop tard.

J'vois un mur, puis un sol, puis un mur, un autre sol, un bureau, des papiers, une salle de bain avant de traverser un autre mur que j'me retrouve de l'autre côté avant de voir un parc qui m'annonce le terminus.

Boom.

Dans un fracas, la collision avec le sol sonne comme un coup de tonnerre. Deuxième blackout. J'ouvre difficilement les yeux, essaie de chercher des blessures, mais rien. Juste avec encore plus de terre, de béton, de gravas sur le corps, habillé de vêtement déchiré de haut en bas. Le cratère a une circonférence d'une bonne dizaine de mètres alors que j'vois la lumière des sirènes. Montant difficilement, j'parviens à me hisser jusqu'au replat. Mais plusieurs canons seront pointés sur moi.

- Sortez de ce trou, les mains derrière la tête !

Une voix féminine. J'relève la tête, et c'est une floppée de paires de jambes, aussi sculptées les unes que les autres dans une cacophonie d'ordres qui me sont destiné, j'ai du mal à tout comprendre. En faite, j'comprends que dalle.

- Où est-ce qu'on est...

Une matraque part sur mon crâne, le métal se plie sous les regards ahurit dans cette auditoire dépourvus...D'homme ? Mais visiblement celle qui est en tête de groupe sort une pierre qui m'envoie une vague bizarre dans mon corps avant qu'un coup de cross me dévisse la tête. Les genoux au sol, des menottes dans un archétypes futuristes scellent mes bras en croix contre le torse alors que j'entends des espèces de fusils plasmiques charger devant moi. J'regarde derrière moi... Un énorme trou béant orne le building que j'viens de traverser et autour de moi, c'est un immense public apeuré qui me méprise du regard... Merde, j'ai fais du mal...? Le canon dans le creux de mon dos, on me fout dans un véhicule blindé prenant une direction encore inconnue... Mais qui n'a pas l'air commode.

***

J'essaie encore de m'approcher de la sortie de la cellule, j'reprends une autre décharge qui m'expulse contre un mur. C'est bien la première fois que j'ressens autant de douleur... Ils ont pris...

...Mes pouvoirs?

Deux gardes à l'entrée se tapent une marrade alors que mes traits se durcissent.

- Où suis-je ?
- Bienvenu à Tekhos, misérable mâle.

Tekhos... Je ne suis plus sur terre. Alors je suis seul. Comment j'ai pu finir ici ?

... Comment j'vais sortir de là..?


70
J'tangue la tête délicatement alors que j'écoute ses paroles. Marrant, j'pourrais presque entendre une espèce de condescendance dans sa manière de parler. Une qui n'a pas sa langue dans poche on dirait. Elle me plait bien. Il n'empêche que j'ai quand même une réponse à mes interrogations : c'est sa fille. Et pour le coup, chapeau, rien à redire elle a fait du sacré boulot. Un boulot qui mérite d'être goûter pour voir si c'est aussi bon à l'intérieur qu'à l'extérieur.

Par contre elle est bien différente que sa maternelle. Peut-être l'euphorie de l'adolescence. J'sais pas, ma crise d'adolescence j'l'ai pas trop vécu d'après mes vieux. Ma seule émancipation était de découvrir mes origines, au-delà de ça... J'suis plutôt le mec tranquille. Enfin, ça dépend des moments, et celui-là n'en fera pas partie. J'm'avance légèrement pour sentir son odeur m'enivrer la tête et mon esprit alors qu'un silence s'étire sans que je que lui donne de réponses, gardant le visage impassible à toute forme d'émotions.

Mais un sourire carnassier va vite déformer mes traits. Mon cœur tambourine d'excitation alors que mes respirations sont bruyantes. Confirmant qu'elle m'excite autant que sa mère, avec évidemment le désir de découverte.

- Tu feras l'affaire.

Sans prévenir, mon bras passe par dessus sa crinière pour la saisir par le col avant de l'extirper de son comptoir comme un charognard capturant un bébé animal dans son terrier. J'me remets en mémoire la fameuse pièce ou Etyhs a dégustée avant elle sans problème et dans un coup de talon que j'ouvre la porte pour l'envoyer au sol d'une nonchalance extrême.

- J'vais pas passer par quatre chemin, j'vais te prendre, maintenant.

Ma poigne de fer dans ses cheveux d'argent, j'l'a traîne jusqu'au lit, sans doute le seul support confortable qui lui fera traverser ce moment le plus agréablement possible, quelque part, c'est pas mon objectif. Non, j'veux jouir. J'veux me vider, et c'est ça, le plus important. La manipulant comme une petite poupée de quelques grammes j'l'a retourne en gagnant coup sur coup chaque bras de fer qu'elle tente de faire contre moi. J'enfonce sa tête dans le matelas pour mieux tendre sa petite croupe devant mon bassin avant de lui arracher ses vêtements en y laissant des marques de violences ecchymosées sur sa peau opalescente et fragile.

Les haillons au sol, une énorme gifle vient secouer ses petites fesses. Juste pour le plaisir de voir les vagues agiter son fessier qui libère des fragrances au saisissant parfum féminin. Une marque rouge qui tire vers le violet au bout de quelques secondes marque sa chair une fois de plus. Mon t-shirt en sueur finit juste à côté de son visage étouffé contre le matelas alors que j'défais mon pantalon pour caresser ma colonne de chair contre sa petite raie, décalottant paresseusement mon mandrin dans une érection quand même imminente alors qu'il libère un miasme chaleureux et odorant dans la pièce. J'ai pas envie de passer par la procédure classique, j'veux détruire sa vulve, maintenant. Pliant sa colonne pour la cambrer à ma convenance, j'avance ma hampe dans un grand coup de bassin pour poignarder son sexe.

Mais sa petite fente est minuscule. La frustration commence à monter quand j'glisse à plusieurs reprise contre son anus, puis son bas-ventre, des fois de trop qui me font grogner, un roulement sonore qui vibre dans mon torse, sonnant comme une menace casi mortelle aux oreilles de ma proie. Mon gland bute de nouveau couplé à mes agacements bruyants alors que j'entends une voix dans mon dos à la sortie de la pièce... Le bras toujours contre ma proie, Etyhs débarque pour ne pas arranger les choses...

On va pas venir m'emmerder longtemps en tout cas.

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: vendredi 22 janvier 2021, 22:34:02 »
- Tu seras calme bien avant moi.

J'sentais son corps trembler sous mes phalanges toujours crochés à ses hanches, ma queue continue de caresser sa raie alors que mon doigts s'insère comme un pénis "normal" dans son antre. L'autre main va la mettre en position de levrette, la tête contre la table et les fesses bien en l'air, pour encore mieux apprécier le spectacle de la pénétration. Elle mouille énormément et mes oreilles apprécient davantage ses gémissements et ses bruits fluidiques comme une douce musique, vulgaire et excitante.

Elle mouille comme une véritable dépravée, ce qui m'encourage à vouloir la pilonner comment je l'entends, à la durée que je l'entends. Mon mandrin vient buter contre les bords de son orifice alors que mon bassin envoie un premier coup sec mais j'dérape contre son anus avant de finir sur le bas de sa colonne. Une chatte évidemment trop serrée... J'm'avance, en l'a surplombant, une main puissante l'immobilise à la nuque alors que l'autre tient son dos d'une poigne douloureuse et féroce.

Le gland bute encore, écarte les lèvres avant de distendre son orifice dans un bruit inquiétant, chambardant ses parois intimes en les poussant sur leurs retranchements, progressivement sur les premiers centimètres. Son hurlement de douleur est interrompu en y insérant mes doigts dans sa bouche.

- La ferme, on va nous entendre.

La déformation se poursuit dans des giclures de mouille qui éclaboussent mes burnes, et les centimètres continuent de perforer, creusant sa chair pour prendre le moule de ma queue tout en appréciant ce câlin si serré la cajoler. J'arrive en cognant le fond, mais la course n'était pas fini. J'avance encore mon bassin comme une presse hydraulique, avant de déchirer l'antre de son utérus et englouti enfin ma queue alors que mon souffle annonce une vraie libération. Mes burnes arrivent comme un clocher d'église pour gifler ses lèvres.

Mes doigts quittent sa bouche pour que je puisse apprécier sa bave en la goutant, toujours en étant rangé à l'intérieur d'elle. Et sans éveiller le moindre signe pour la prévenir mes premiers coups de reins arrivent comme la charge de plusieurs béliers pour torpiller son sexe qui m'aspire, mon bassin arrivant comme un mur en béton contre le sien dans des claquements cinglants.

Le spectacle m'offre un pénis heureux qui poursuit sa course indéfiniment, agrippé par des lèvres étirées au maximum dans un concerto de bruits assourdissants, tout appréciant ses petites fesses faire d'énormes vagues jusqu'en haut de sa colonne, dans mes ardeurs pulsés par des pulsions titanesques.

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: vendredi 22 janvier 2021, 02:06:51 »
Et ainsi, regardant un visage rougit par l'excitation de se faire empaler la gorge, que ma pipe dure et défile à travers de longue minutes de ramonage. Le sol est enduit d'une flaque visqueuse de nos fluides et ma petite suceuse continue docilement de garder le rythme alors que mon gland gonfle à l'intérieur.

Malgré les limites de la physique, une bonne partie de mon sexe est rangé dedans, une bonne moitié qui se retrouve lubrifié et tété par cette vulgaire bouche qui subit la friction brulante des vas-et-viens. Impossible de savoir si elle est toujours parmi nous, mais j'ressens de plus en plus de cette mouille qui commence à me faire perdre la tête. L'orgasme commence à monter alors que mes mains continuent de faire traverser la gorge d'un empalement coup sur coup, empoignant sa crinière comme une vulgaire esclave sexuelle qui n'est bonne qu'à ça.

Mon corps brûle de plus en plus, m'envoyant des bouffée de chaleur, tremblant sur l'arrivé imminente d'une éjaculation explosive. Voyant que ça arrivait vite, j'me redresse, me pivote avec sa tête entre mes jambes pour la faire bloquer contre le fauteuil, et bourriner sa gorge de grand coup de bassin qui m'en fait ouvrir la bouche. Mon gland se fait stranguler par l'étroitesse du couloir buccale qui a prit quand même le moule de mon engin, alors que mes hanches envoie bestialement des à-coups insupportable pour la laisser respirer.

La pression monte, mon corps se crispe, pis j'bloque le bloque le bassin dans une gorge profonde alors qu'une immense décharge traverse mon frein et déverse des immenses jets de spermes, pompés par les veines et pulsé par mon palpitant dans un feule presque inhumain. Trop de liquide dans le gosier et plus d'air, la compression de tout ceci fait expulser une grande partie à l'extérieur, lui engluant une partie du visage, mon bas ventre et le reste de son corps pour agrandir cette flaque au sol. Saisissant mon pénis d'une main, je la bifle quelque fois pour la récompenser de cette merveilleuse et odieuse pipe avant d'essuyer tout ce foutre gras et puant du visage pour lui pincer et lui tapoter les joues.

- Gentille petite chatte. En parlant de chatte...

Je la soulève bien haut pour avoir sa petite fente sous les yeux et sous le nez.

- Assis-toi sur mes épaules.

J'lui laisse pas vraiment le choix en prenant une jambe que j'pose sur mes larges clavicules. J'inspire toute cette mouille d'une grande bouffée d'air avant d'aller mieux dévorer sa vulve de grand coups de langues écartant ses lèvres et écrasant son clitoris avant de chercher les bords de son orifice en aspirant l'intégralité de son sexe et boire en grand gorgée toute cette mouille qui allait être gaspillé... Dans un claquement de lèvres vulgaire, j'retourne à la table en la laissant chuter à plat ventre sur le meuble, envoyant des giclures de foutre au passage. J'rapproche sa croupe contre mon sexe, qui frotte contre toute sa petite raie la badigeonnant de fluides douteux. 

Mes mains sont verrouillées sur ses hanches et un sourire sadique m'envahit.

- J'ai encore envie de jouir... Tu vas donc me laisser te baiser.

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: vendredi 22 janvier 2021, 00:06:03 »
Soumise, docile, apprivoisée. Des qualificatifs bien dégradants pour une petite gamine qui n'a rien demandé. Mais ma libido, demande ça, il demande plus que ça. Et c'est que le début. Mes violences ont l'air de l'avoir fais changer d'état et j'me surprends à constater que son regard était loin d'une fille apeurée. Certes, fébrile et tremblante, mais qui cache une excitation sous-jacente. Un sourire carnassier déforme mes traits derrière un regard dur et impitoyable. 

Sa langue m'arrache des souffles de plaisir alors qu'elle se balade et réclame chaque millimètre de ma lourde queue qui se dresse et gonfle et enfle en pompant mon sang avec de grosses veine dégueulant régulièrement un pré-foutre gras et brulant. Ses gémissements m'excitent autant que son massage parfait. Ses petites pognes se décident de me branler allègrement avec une poigne franche et même avec entrain.

Sa langue continue sa danse, et d'un geste humiliant, j'tapote sa tête comme si j'le faisais à un clébard qui a bien respecter son maître.

- Et bah tu vois, quand tu veux... Tu te débrouilles comme une vraie perverse en chaleur.

Sa tête cherche encore un réconfort crasseux de mes burnes collantes alors que ma main continue de se balader dans sa crinière, réconfortant mon nouvel animal de compagnie câliner mon membre avec sa langue qui m'arrache des salves de plaisirs dans le bas-ventre. La pression monte, mais pas suffisamment bien sûr. Il faut peut-être remédier ça en m'installant confortablement. J'l'attrape par les cheveux avant de traîner son p'tit corps vers un fauteuil en cuir, sans doute celui de son père. J'm'y affale dessus avant d'écarter mes énormes et puissantes cuisses alors que j'ai toujours mon nouveau jouet entre les doigts que j'empale sa bouche d'une verge raide, noyé d'un coulis de bave. Agitant sa tête de haut en bas, j'utilise sa boite crânienne comme une vaginette sans me soucier de ses respirations ou des déglutissions forcées de ma pré-semence. Mais l'odeur de sa mouille m'arrive enfin au nez...

- On a quelques envies, petite chatte en rut ?

Bien sûr, ma lourde main calleuse la maintient en gorge profonde quand j'pose la question. Mais j'reprends ma besogne vulgaire et grossière en acharnant et déformant sa cavité buccale en malmenant sa tête dans un rythme sauvage, tout en avançant le bassin ponctuellement pour lui broyer davantage la gorge. Les bruits sont particulièrement odieux et infames alors que c'est le nirvana sur mes bourses, un déluge de fluides qui imbibent le fauteuil comme mon pubis alors que les lèvres de cette petite femelle rougissent à mes ardeurs. Et parce que les changement de vitesse sont toujours aussi bandants, j'attrape sa longue tignasse en queue de cheval pour mieux apercevoir son regard embué par l'excitation.

- Fais moi jouir dans ta bouche.

J'm'affale encore plus, laissant ma sueur perler sur le cuir, le regard de côté pour voir mon phallus ventousé par sa petite bouche et profiter égoïstement du spectacle.

74
Une journée de repos aujourd'hui. Une paye vient de tomber, et arrive dans ma vie comme une bouffée d'oxygène. Ca n'empêche pas que j'me sens un peu seul. Sortir avec les collègues du boulot? Nan, pas d'humeur, même si leur compagnie est agréable. Pas envie non plus de regarder la télé, ni de geeker, ni même regarder un film insignifiant ou me perdre sur internet.

J'pourrai me payer un bon resto alors ? Hm, nan, un truc que j'finirais par regretter. Et c'est pas le moment de tout liquider. Alors pendant de longues minutes, j'reste allongé dans le creux de mon lit qui a prit le plie de mon poids pour regarder le plafond. On fait le point, et cette solitude continue de ronger mon être. Faute de pas pouvoir trouver quelqu'un, un peu de compagnie me ferai le plus grand bien.

Et puis, j'repense à cette petite renarde. Ouais. J'ai vraiment pris mon pied la dernière fois. Cette chaleur, pis ses soins ont été très agréables. Même si à la réflexion j'me suis trouvé assez dur, Etyhs a su "encaisser" mes ardeurs et mes pulsions. Et là, ça fais un petit moment que ça traine dans mon calbute. De toute manière, elle sera trop traumatisé pour refuser. Je n'ai qu'à la payer ? J'ai de l'argent maintenant. Et comme ça, elle ne pourra pas refuser également.

Et j'ai besoin d'une bonne dose d'œstrogène pour calmer cette solitude. 

Alors j'm'habille, d'un pantalon cargo marron et d'un t-shirt noir moulant, pis quitte mon studio pour m'envoler vers le Renard Blanc, cette boutique qui m'a sortit d'un sacré pétrin et m'a offert également une vraie consolation. Le meilleur endroit finalement? Aha. Volant entre les bâtiments, j'trouve sans mal le chantier à proximité qui maintenant est terminé depuis ma dernière venue. Un gosse a faillit crever si je n'avais pas fais quelque chose. Genou et poing au sol, j'atterri devant l'entrée dans un fracas sismique qui fait vibrer la porte.

J'repense à la première fois où j'ai tout envoyé valdinguer. Cette fois, on va y aller mollo. Alors j'ouvre délicatement le battant alors que la cloche fait sonner mon entrée. Un regard perdu dans tout ces cailloux tapent à l'œil et qui mine de rien cachent bien leur jeu. Un pas à l'intérieur, je cherche ses petites oreilles qui me démangent de salir. J'préfère me ramener sans m'annoncer, juste pour voir la surprise dans son visage. L'excitation fait tambouriner mon cœur dans mon torse solide et j'sens comme un creux dans le bas-ventre qui m'annonce enfin le moment de passer "a table".

Une autre fournée.

Mon regard se porte sur le comptoir, et se ferme dans des œillères quand j'vois une autre créature. J'pensais que c'était Etyhs pendant une seconde, mais non. Elle lui ressemble traits pour traits... A la différence que les yeux sont d'une autre couleur. J'avance d'un pas lourd dans sa direction, intrigué, mais emballé par de sombres idées. Impossible de lui donner un âge exact, mais elle a l'air d'avoir la candeur d'une adolescente. Ma voix grave résonne dans la pièce quand j'pose lourdement mes coudes sur le comptoir, pour la faire sortir de la lecture de son magazine.

- T'es qui ? Que j'demande directement. Etyhs a de la famille ?

Voyez-vous ça...

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: mardi 19 janvier 2021, 21:24:08 »
Evidemment elle se débat comme elle le peut, sans surprise, rien ne se passe. Mais ses débattements ne me font pas changer d'avis sur l'envie avide de la démonter pour me calmer une bonne fois pour toute en attendant la prochaine fois... Hurlement après hurlement, puis... Plus rien?

- On a perdu sa langue ?

Puis j'me rends compte que mon plan fonctionne à merveille, briser l'esprit avant le corps. Mon bras se relâche avant de détacher un sourire carnassier alors que mon souffle chaud s'échoue sur ses lèvres.

- Tout ce que j'veux? Vraiment?

Finalement, autant faire les choses plus proprement. La retournant à l'endroit comme une peluche face à moi, je la laisse glisser contre mon corps, sa tête finissant à mon nombril. J'saisis ma queue d'une main avant de la poser sur son visage alors qu'elle n'a presque pas besoin de fléchir les jambes. Mon autre main tient en cage son crâne d'une poigne dangereusement ferme. Un crâne que j'pourrais écraser si l'envie me prenais.

- Tu vas lustrer cette queue comme si c'était la meilleure friandise du monde.

Sur ces mots j'envois son visage contre mes burnes duveteuses pour lui faire prendre une inspiration de virilité forcée pour mieux la frotter contre ma toison pubienne de manière humiliante et lui faire entrer dans son crâne que c'est moi qui décide.

- Sinon, tu finiras paraplégique. Toujours pire que de ruiner tes orifices pour mon plaisir, non?

Mes deux pouces écartent ses joues pour enfoncer mon gland poisseux entre ses mâchoires qui s'écartent difficilement avant d'imposer mon rythme en attrapant sa tête qui disparait entre mes mains. Cognant le fond de sa gorge pour d'abord la malmener, j'en profite pour sentir cette langue caresser mon frein si sensible qui fait dégueuler des salves de pré-foutre déglutis de force. Tellement serré, chaud et humide, le pied.

Alors pendant de longues secondes je lui ramone la cavité buccale pendant que mon sexe gonfle à l'intérieur. A ce moment, je desserre l'étreinte avant de lui laisser le champ libre...

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