Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
« le: mardi 19 janvier 2021, 20:03:15 »
Les caresses sur mes cuisses confirment l'issu inéluctable de cette situation. La pression est maintenant beaucoup trop haute. Si j'veux faire soupape, ca sera en souillant cette petite créature en câlinant ma verge comme un misérable jouet sexuel. Elle ne fait que me soigner pourtant, mais impossible de penser à autre chose.

- Prenez le temps qu'il vous faut...

C'est sans doute les derniers instants où tu seras capable de bouger de toute manière. Du côté de mon sexe, les veines continuent de faire gonfler allégrement mon membre de puissantes pulsations au rythme de mon palpitant. Je ne m'en cache évidemment plus. Mon visage devient indifférent mais mon torse gonfle et dégonfle plus vite. Une odeur de sueur forte et entêtante se dégage de mes pores et remplit la pièce. Seconde après seconde, je laisse prendre ma place un vulgaire et pervers primate qui ne demande qu'une chose, lui voler son corps et la posséder tant que je ne suis pas rassasié. Mes pulsions continuent de tambouriner mon bas-ventre et c'est lorsque ses mains terminent leurs job, que mon grognement devient un râle bruyant.

Une petite proie fuyarde et frileuse elle devient, alors que ses pas la trahissent avant de finalement prendre la parole. Mais sur ses dernières paroles, j'me relève de nouveau en la surplombant de tout mon être, la faisant disparaitre dans une ombre menaçante, alors que mes grognements continuent de vrombir comme un fauve s'approchant à plus petit que lui.

- T'as pas fini. Non, en faite c'est que le début.

Une main puissante la saisit à la gorge avant de la soulever maintenant à deux bon mètres de haut face à moi. Mon bras continue de monter plus haut encore, et c'est son sexe qui finit face à moi alors que je l'entend chercher de l'oxygène. De l'autre main, elle va déchirer le tissu de ses vêtements comme un paquet cadeau sans difficulté pour mieux l'envoyer choir dans le lit. Il restait alors les sous-vêtements. Mon bras vient s'enraciner comme un arbre puissant sur le buste pour mieux l'immobiliser en y mettant légèrement mon poids pour éviter de l'écraser alors que l'autre se débarrasse des derniers obstacles qui l'empêchent d'être complètement nue. Ca y est, t'es à poils.

- Tu comptais t'échapper ? Trop tard.

Son corps frileux sous mes doigts, j'me branle allégrement pour bander un maximum avant de l'approcher contre ses lèvres en frottant ma proéminence contre celles-ci en souillant son ventre d'un filet de pré-sperme bouillant qui s'écrase lourdement dans un clapotement visqueux. Mes genoux s'enfoncent dans le matelas tandis je lui écarte les cuisses pour mieux crocher ses hanches avant de percuter son antre sans prévenir. Mon gland bute sur le bord, dans une friction bruyante et humide. Du bout du gland j'sentais la chaleur de ce trou que j'vais colmater. Mais malgré les lèvres qui s'écartent, j'rappe contre son clitoris et ça m'emmerde.

- Un petit trou qu'il va falloir mouler à ma taille.

Un grognement bourdonne dans ses oreilles alors que j'réitère l'opération. Mon madrier bute de nouveau, et dans un coup de bassin plus fort, j'sens enfin son sexe se distendre, en écartant sa fente dans un bruit inquiétant, baignant dans les giclure de sa mouille. Doucement, mais surement... J'me prépare à chambarder et déformer son casier à spermes dans un empalement qui embroche et déforme ses parois traduisant une bosse dans le bas ventre, déchirant les portes de son utérus. Libération alors qu'un autre filet de pré-foutre bouillonne à l'intérieur, étranglant mon frein par cette étroitesse si serrée...

- Ah putain, enfin, j'y suis.

En position de l'union du tigre, elle est piégée dans un carcan de chair où elle se trouve allongée sur le dos, ses jambes bloquées dans le creux de mes coudes alors que je la surplombe, mes hanches arrivent comme un mur en béton qui s'écrase contre son bassin pour mieux creuser sa chair humide et commencer des vas-et-viens. Un grognement de plaisir s'échappe contre ma volonté alors que j'la sens s'enfoncer comme un vérin hydraulique dans son cylindre. J'impose ma masse à ses muscles intimes qui se soumettent à la seule force de mon bassin.

- Cries, couines, hurle de douleur, personne viendra te sortir de là tant que j'ai pas fini de te ruiner.

Que j'annonce enfin les débuts de festivités avec une voix grave et cruelle.

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: mardi 19 janvier 2021, 01:19:51 »
Sa première réponse sonne comme la dernière sécurité que mon esprit vient de sauter pour le bien de cette jeune fille. Pas de parents, elle, moi, nous, seuls, ici, maintenant. La bavure, j'me retrouver piégé par mes envies avec elle sur un plateau d'argent. Bien évidemment, elle n'a aucune chance... Et je ne peux plus supporter encore son regard qui en dit long, un regard pas si chaste, au contraire. Un regard qui a envie, et le mien transpire cet appétit au centuple.

- D'accord, je vois...

J'retourne sur mon PC et une dégringolade de papiers m'extirpe de ma besogne pour finalement tomber nez à nez devant cette petite croupe penché vers moi. Un grognement bestial m'envahis, mes pupilles se dilatent, mon nez veut renifler cette chair fraîche. Et vient balayer d'un revers de la main toute bonne conscience. Vraiment dommage pour elle.

Je me relève de toute ma masse alors que mon ombre engloutis ton corps encore occupé à ranger.

- Tes parents t'ont jamais dis de pas faire entrer d'inconnus à la maison...?

Un grognement prévient une prise violente à ta taille pour te garder à l'envers et enfoncer mon nez dans ton shorty dans une inspiration de féminité vulgaire. Qu'est-ce que tes orifices sentent bon... Ton corps beaucoup plus petit; une énorme et dangereuse bosse se dévoile devant tes yeux, déformant mon pantalon. Te tenant d'un bras, j'ouvre le froc pour laisser échapper un miasme chaleureux d'une odeur entêtante qui agresse tes narines alors que j'déchire ce short sans le moindre soucis, puis ta culotte pour dévoiler ce sexe poisseux que j'respire encore à plein nez...

- Rah, depuis le temps que j'en rêve...

Mon pantalon ouvert, mon mandrin bringuebale encore paresseusement sous ton nez, à moitié décalotté, dont les veines pompent mon sang au rythme des battement de mon cœur qui tambourine ton torse blotti contre le mien, le sang te montant à la tête, les cheveux suspendu et chatouillant mon sexe, réagissant dans des pulsations vulgaire qui dégueulent négligemment du pré-sperme. Une vraie libération.

Mon bras te maintient en cage, dans une compression musclée qui plie ta colonne dans un désir simple mais évident.

Te briser.   

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: lundi 18 janvier 2021, 21:31:35 »
J'pose lourdement mes coudes sur la table alors qu'elle commence à me regarder. Encore, et en détail. De jolis yeux. Une jolie bouille. Le genre de joli truc qui faut pas tenir longtemps en face de moi. Visiblement elle revient sur terre et de mon côté j'plisse les yeux pour rester concentré.

Actuellement, une tension vient raidir ma colonne. Pourquoi ? Parce que ça fais longtemps que je n'ai pas toucher une femelle. Nous sommes que tout les deux, et mes sens vont s'arrêter sur des détails à la con mais qui m'envoient des signaux dans le cerveau. Son haleine dégage des fragrances, elle sent bon, ses mèches volatiles viennent s'enfuir par-dessus l'épaule. J'peux entendre la friction de ses chaussettes et de son short contre sa chaise. Mes poils s'hérissent.

Stop, on arrête le tir.

J'déglutis et me concentre sur ses lèvres. Non, ça aussi c'est une connerie. Alors j'ouvre le PC pendant que mes oreilles écoutent sa voix. Mielleuse et douce. Merde, ça aussi c'est pas bon.

Pourquoi diable on agite une petite sucrerie sous mes yeux ? J'veux juste de l'argent, merde.

- D'accord. On va essayer de regarder ça.

Les cours, pas elle. Hein. Les papelards finissent sur la table et j'essaie de lire ses exam'. Des maladresses finalement, des choses facilement corrigibles. J'reste silencieux quelques minutes pour lire clairement en détails ses réponses et essayer évidemment de créer en tête une méthodologie d'apprentissage pour aujourd'hui afin de lui donner un coup de main. Mais son corps penché dans ma direction ne m'aide pas. La cinquième pulsion que j'envoie chier en moins de 3 minutes. Allez, Héra, t'es solide, bon sang.

J'tousse.

- Bien. On va reprendre point par point tes fautes. Tes parents ne sont pas là?

La question me trahis. Allez, dis moi oui, que j'fasse pas de bêtises.

- On peut partir sur une autre dictée en appuyant tes lacunes et comme ça tu pourras intégrer correctement tes connaissance sur le sujet. J'vais taper un truc sur l'ordi, ça te laisse le temps de te relire.

Et ainsi j'm'échappe de nouveau derrière l'écran loin de ces phéromones enivrantes.

Pour l'instant.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
« le: lundi 18 janvier 2021, 21:21:33 »
J'me suis visiblement emballé pour rien, apparemment, ça va. J'sais pas qui était le plus soulagé de nous deux, mais c'est plus agréable que l'ambiance plus ou moins gênante au début. Alors qu'elle m'arrive presque au nombril quand j'suis debout, elle me demande de m'assoir de nouveau pour voir un peu l'état du chantier crânien. Dans cette position il est clair que c'est compliqué pour elle.

Ses petits doigts, fins et doux se glissent dans ma crinière et à part une sensation agréable de bien-être, pas de douleur. Elle pourrait presque m'endormir à ce stade. Son regard satisfait ainsi que ses épaules qui se relâchent, indiquent bien la bonne nouvelle. T'façon, c'est pas comme si j'risquais ma vie, mais c'est le genre de blessure qu'on aime pas trop trainer. Silencieusement, j'reste attentif à l'évolution de mes soins et c'est en gardant la même posture disciplinée que j'laisse mon corps à ses mains curatives.

Le crâne propre, elle marque une petite pause comme pour me détailler correctement ou avoir un aperçu de ce qui reste à faire, c'est troublant, mais j'pense que c'est pas contre moi, du moins j'l'espère. Ses pognes se dirigent sur mon torse râblé. Un soupir de soulagement me trahi, parce que oui, c'est très...très bon... Le soupir souffle comme une brise d'air chaud et décolle certaines mèches de mon vis-à-vis.

Mais dans toute cette lumière, mes yeux se baissent pour constater que... Que ces mains délicates et expertes éveillent en moi de sombres pulsions. Ma bouche s'ouvre inconsciemment et mon boxer déjà trop serré commençait à tirer un peu trop sur les mailles du tissu. J'sais reconnaître une femelle qui profite d'une situation quand j'en vois une. C'est surprenant que ça soit son cas, pour moi. Un sourire sournois me trahit. La partie du haut était terminée, et maintenant faut s'occuper du bas.

J'commence maintenant à remettre en question son diagnostic, même si mes cuisses sont aussi touchées. Et la question tombe. En temps normal, j'suis pas quelqu'un de très pudique, me lavant tous les jours dans les douches mixtes, j'sais suffisamment me contrôler pour ne pas importuner qui que ce soit. Mais j'suis pas convaincu à 100% que c'est ce qu'elle recherche et pour l'instant elle joue les infirmières, rien à voir avec une femelle en rut.

- Très bien.

J'me relève, retire le dernier tissu que j'portais alors que ma virilité bringuebale entre mes cuisses mais aussi devant le nez de ma petite soigneuse alors que je la surplombe de toute ma masse, malheureusement impuissant à la scène. Ca redevient gênant. Un silence s'étire, avant de me rassoir poliment, tandis que mon sexe dort paresseusement à moitié enflé sur ma cuisse. Evidemment j'essaie de faire comme si de rien était. Mais...J'suis suffisamment gêné pour le laisser transparaître. 

- Désolé, c'est peut-être un réflexe de mon corps.

Mensonge.

Comme si la renarde devenait de plus en plus désirable à mes yeux. Ca suffit, j'suis trop en appétit. J'avance mon bassin d'une nonchalance bien visible, en écartant les cuisses pour laisser mon membre se poser contre le canapé et lui laisser le champ libre à sa vision qui n'a pas l'air aussi chaste. Le musque viril de mes bourses donnaient le ton à l'avidité qui m'anime.

Ma lucidité disparait dans une frénésie bestiale, alors qu'un grognement vibre dans le torse et que ma queue décalotte doucement, tendant son frein dans sa direction.

Renard, chair fraîche, lit.

Le tableau est limpide désormais.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
« le: lundi 18 janvier 2021, 21:17:24 »
On se prépare.

On se concentre.

On y va.

Inspiration, expiration.

Son regard habité par des prunelles aux couleurs d'azur montre sa volonté de commencer par un diagnostic de ce qui m'arrive, avant de commencer le pansement. J'reste silencieux, immobile, le regard droit devant moi pour ne pas perturber son analyse. En faite, la médecine, j'pige un peu que dalle parce que, j'me remets toujours de mes blessures. Mais dans mon cas, la blessure au crâne va sans doute traîner encore un peu.

Elle se penche en avant pour avoir un oeil plus précis sur ce qu'elle voit, dévoilant des formes. Ces formes qui me font rappeler qu'elle est aussi une femme. Mes respirations sont amples et longues. J'pouvais donc la sentir, et elle sentait bon. De toute façon, le peu de nanas que j'côtoie sentent la cocotte. J'ignore pour moi. Le "mâle"? Hm, pas rassurant, j'devrais peut-être commencer à creuser la question.

Ses yeux continuent de glisser sur mon torse alors qu'elle pense à voix haute. On sait jamais si les mots nous sont destinés ou pas. Faute de pas savoir plus, j'préfère garder la mâchoire fermée. Une mèche immaculée un peu rebelle vient d'être rattrapée par sa propriétaire, ajoutant une délicatesse qui l'a défini bien. J'me demande si le renard du pensionnat c'est la même galette... Nan. Qu'il me cherche pas des noises, d'ailleurs, aux douches du dortoir, ou il ira faire un tour dans la boutique de maman pour le rafistoler, j'espère qu'il y a assez de cristaux. Mais pas de raisons, hein? Grr.

Et c'est là que le moment un peu gênant arrive. Mes cuisses se crispent toutes seules quand ses yeux arrivent dessus. J'sais pas si elle regarde mes jambes ou bien, ce qui moule entre mes jambes. Elle secoue sa tête comme pour reprendre pied. Elle trouve ça moche? Hm, certainement. L'analyse passe ensuite à l'investigation, et j'peux comprendre, pas tout le monde qui vit une histoire pareille. À moins d'être fou, mythomane ou les deux.

- Eh bien... J'étais en train de commander à bouffer quand j'ai vu ce gosse courir au milieu du chantier récupérer une peluche, sous les cris de sa mère. Un boulet de démolition mettait en ruine un bâtiment, et dans le retour du balancé, le projectile fonçait droit sur le gosse. C'était moi ou lui. Le choix était facile.

J'suis prêt à m'ouvrir autant de fois le crâne que nécessaire. Une responsabilité que j'ai choisis de prendre. Elle poursuit sur l'urgence des blessures, et j'ai pas le temps de lever la main pour la rassurer qu'elle est partie de quoi nettoyer le sang.

- Rassurez-vous, j'me régénère de mes blessures, ça peut prendre quelques minutes, ou heures selon la gravité. Et si ça peut vous rassurer également, ce genre d'incident est encore petit par rapport à ce qui m'est arrivé. Croyez-moi, aussi tenace qu'un cafard.

Percuté par un poids lourd, tombé d'un ravin de plusieurs centaines de mètres et la liste est longue. Maintenant, il fallait la fermer de nouveau et laisser les professionnels travailler. J'redresse mon dos, droit et inébranlable comme un arbre enraciné. Sa douceur est presque imperceptible tant ses attentions sont minutieuses et délicates. Ceci fait, elle expose une ultime solution.

A croire que j'les attirent toutes, ces ultimes solutions. C'est comme ça, j'présume, quand on est pas normal. Magie, main, blessure, encaisser. D'accord.

Attends, mains? Elle va me toucher. Euh....

- Très bien...

D'accord, allez le taureau, reste sage. Elle s'écarte, m'envoie un sourire réconfortant, que j'réponds d'un franc signe de la tête avec un regard déterminé. Puis, la magie commence à opérer, étant spectateur de tout ça, j'avoue être assez admiratif. C'est fou que la nature nous offre autant de pouvoirs et de possibilités. Une lumière s'en émane et j'plisse les yeux sous cette lumière aveuglante alors que les consignes sont énoncées. Ça va piquer, et c'est pas grave. Secouant la tête vivement, j'accepte par l'affirmatif ses prochaines actions, douloureuses, pas douloureuses, peu importe.

Le décompte est lancé, mes yeux sont fermé et la décharge est lancé.

Rugissement, le mien, vibrant dans la pièce comme un tigre qu'on a amputé. Le souffle fait flotter quelques mèches de la blanche  alors que la lumière s'atténue. La douleur m'a traversé comme la foudre, mais devient de plus en plus un vague souvenir quand j'sens l'absence de cette migraine ne plus marteler mes tempes. C'est fini, enfin, j'crois. Une main sur ma tête, plus rien. J'ose même pas imaginer la puissance qu'il faut pour envoyer un truc pareil alors, j'me redresse pour voir l'état de la renarde. C'est important, qu'elle aille bien, sinon ça sert à rien de me réparer.

- Tout va bien? J'ai plus mal au crâne. Merci.

Comme l'impression d'être un peu perché au cerveau, le reste, c'est plutôt agréable...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
« le: lundi 18 janvier 2021, 20:59:12 »
D'accord, j'ai compris, on arrête le massacre.

L'impression de marcher sur des œufs, des œufs qui ont l'air de couter très cher. Ce que j'ressentais maintenant? De la gêne, ouais. Imaginant déjà tous les arguments qui font que j'connais pas trop de monde dans mon entourage. Mei oublie que j'suis un colosse qui pourrait jeter une voiture par accident. J'me bats tous les jours pour éviter de tomber dans ce genre de situation.

Fracasser tant de boulot sur un seul geste.

Et pourtant, j'vois pas tant de colère que ça. Tout le contraire même. Ses prunelles dégagent de la bienveillance, alors que mon regard en marbre essaie de dissocier une quelconque chose sous-jacente. Mais rien. Elle avance la manière d'utiliser le cristal, en temps normal j'aurai peut-être pouffé du nez, mais j'étais pas d'humeur là. Résigné, j'accepte mes conneries et docilement récupère l'objet avant de la briser sans contrainte dans le creux de ma main.

Une vague d'apaisement traverse mon corps, agréable et douce, j'commence à sentir des picotements sur mes plaies. J'ai comme l'impression que ce truc commence à marcher. Ouaw. Selon son expertise, ça suffirait pas. Bon, j'imagine que peu de gens viennent la consulter pour lui demander de soigner une blessure provoquée par une boule de démolition de plusieurs tonnes. Elle me propose de la suivre dans une pièce adjacente, alors que j'essaie de comprendre pourquoi elle aide l'agresseur de sa boutique. L'altruisme? La bonne volonté ? Quelque part, ça me réconforte à l'idée que le bien existe en chacun d'entre nous, et que les moments comme celui-ci est une bonne piqure de rappel.

J'accepte docilement d'un signe de tête, voulant bien faire et parce que l'écouter reste la moindre des choses après mes actes et donc la suit dans cette pièce. Mes blessures commencent à se régénérer mais mon crâne tambourine une douleur difficilement supportable. J'reste quand même assez conscient pour détailler la boutique. Chaleureuse, conviviale, les étagères sont mis en valeur et le dressage et l'installation des cristaux donnent une certaine féerie tangible. Le climat est apaisant, reposant j'dirai.

M'approchant du battant, j'baisse la tête et pivote légèrement les épaules pour y pénétrer et voir que c'est une pièce meublée. Un peu comme une chambre. D'une inclinaison de la tête lorsqu'elle revient vers moi, j'salut la déco. C'est son arrière-boutique? Ou alors peut-être que le lit c'est pour...Rah, pas de conclusions hâtives.

- C'est joli, ici. Z'avez une belle boutique.

Et j'm'en veux encore plus d'avoir foutu le merdier. Elle poursuit ses consignes pour le diagnostic et comme une infirmière me demande de me déshabiller. J'dois avouer ne pas avoir trop regardé ce que j'embarquais comme saloperies sur moi, pensant que les cristaux  et mon pouvoir de régénération allaient suffire. J'accepte silencieusement, et me déshabille correctement en retirant mes vêtements amples, troués en haut avant dévoiler mon torse qui gonfle et dégonfle en fonction de mes mouvements. De même pour le bas, et c'est le regard surpris que j'constate de grosses ecchymoses sur mes deux cuisses robustes et bombées. Un peu honteux, mon boxer est beaucoup trop court, on pourrait presque le confondre avec un slip tellement mes quadriceps empêche le tissu d'aller plus loin.

Toujours en silence que j'm'approche de la chaise, mais elle couinera très vite. D'un sursaut j'arrête le massacre et rejoins le canapé. J'y retire mes chaussures et mes chaussettes, parce que, c'est ringard d'être comme ça. Le meuble m'accueille dans un grand couinement de tissu, mais ça va. Ca tient.

Un regard concentré vers cette dame. J'avance mon bassin vers le bord du canapé, les bras verrouillés sur celui-ci, imaginant que le traitement sera pas agréable.

Mais j'préfère me dire ça que le contraire.

- J'suis prêt. Allez-y franchement, j'encaisserai.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
« le: lundi 18 janvier 2021, 20:51:39 »
Une voix fluette dans mon angle mort.

J'suis pas tout seul.

J'me retourne. Elle me pose une question, je la détaille brièvement. Une petite créature, svelte, aux cheveux d'argent et des yeux azurés. J'me redresse, alors qu'elle disparaît sous mon ombre, la surplombant avec les débris dans les mains. Le regard dur, hésitant et coupable. Avant d'ouvrir la bouche, elle me tend quand même un cristal, une main fébrile, pas rassurée. Pis j'réalise qu'enfaite c'est de moi qu'elle a peur. J'pousse un soupir, j'réalise que j'y suis un peu pour quelque chose et on m'a pas éduqué pour foutre le bazar sans en payer le prix.

J'approche mon imposance dans sa direction, dans la perspective d'assumer mes responsabilités.

- J'sais pas quoi dire, je ... J'vous rembourserai.

J'tends le tas de cristaux, même s'il reste quelques éclats au sol, nécessitant d'un balai pour terminer le travail. Ma migraine tambourine mon crâne alors qu'un filet de sang coule le long de mon visage. Elle est toujours pas sereine, alors j'me dis que le mieux c'est de miser sur la transparence.

- J'vous veux aucun mal. J'ai pris un boulet de démolition dans la tronche, et il me faut du temps pour me régénérer d'un truc pareil. Et j'ai vu cette boutique.

D'un pas vers l'avant, mon pied résonne dans la pièce alors que j'ai réduit la distance, constatant de plus près que la renarde était également mignonne, mais profondément déstabilisée par mon arrivée. Une main tenant les débris, j'utilise l'autre pour redresser l'étagère et les déposer délicatement comme j'le peux, plusieurs fragments tombent quand même malgré mes tentatives de les rattraper au vol. La galère.

Le regard désormais vers ce cristal blanc, intrigué.

- Comment on l'utilise? Que j'dis d'une voix déterminée.

Parce que, ouais, j'ai entendu parler de ces cailloux, mais leurs fonctionnements, c'est une autre histoire.

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Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: lundi 18 janvier 2021, 17:42:56 »
La porte s'ouvre, j'me raidis et essaie de m'armer d'un sourire convaincant.

Raté.

Apparemment j'suis en retard, mais dans sa phrase j'vois que ça ne la dérange plus, ou pas plus que ça. On se toise pendant quelques secondes. J'peux comprendre que je l'effraie. Et pis... C'est un vrai petit bout de fille. Et toute mignonne en plus; des prunelles améthystes dont ses jolis traits et sa peau porcelaine sont encadré d'une chevelure d'or qui tombe en cascade jusqu'à la chute de ses reins.

Les parents on fait du bon boulot. Elle zyeute à gauche et à droite. J'fais pareil du coup, l'impression d'être avec un indic qui détient des informations secrètes dans une affaire criminelle. A moins que les parents ne sont pas au courant...? Non, pour des devoirs, quand même, forcément que si. Ils devraient en être fier d'ailleurs. Elle annonce ces directives. Amusant d'ailleurs. Mais ouais, techniquement, c'est mon patron.

- B'jour, ça marche. j'suis Héraclès. Tu peux m'appeler Héra.

J'entre dans la piaule et franchement ça donne envie d'avoir la même. J'sifflerais si j'pouvais mais j'me réserve le commentaire pour moi. J'suis la direction indiquée et m'installe à la table du salon. La chaise grince sous mes cuisses robustes, mais ça va, pas de casse. De quoi boire finit sur la table, que j'remercie d'un signe de tête. A l'aise dans ses vêtements, ma mâchoire se serre à la vue de ses chaussettes haute qui dessinent ces petites jambes.

Elle va devenir une très jolie femme, à n'en nulle douter. Bref, au boulot. J'lève une main, paume ouverte, dans sa direction en prenant une voix agréable. Rauque, dans un vrombissement puissant mais dans un ton qui je l'espère sera le plus doux possible.

- Avec plaisir, j'espère pouvoir être utile.

J'pose mon sac en sortant mes affaires, en particulier un grand cahier de brouillon et de quoi écrire avec un petit PC portable pour bosser sur internet si besoin.

- Allez, essayons de faire de notre mieux, tu peux me montrer tes cours et voyons si on peut améliorer tes lacunes, si t'en as bien sûr.

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*lève la main*

J'veux bien, à discuter en mp si tu veux o/

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Prenons, l'air, un peu. Suffisamment.

Pas parce que les boulots m'ont ennuyé. Non. Juste que parfois, j'm'y sens à l'étroit. J'me retrouve bien loin de l'époque où j'trouvais le monde bien trop grand. M'man me disait "alors, rapetisse-le, imagine que c'est une grande île..." et elle avait raison. Des fois, visualiser ce que l'on décide, notre mental joue sur le physique et sur nos sensations.

Quand l'esprit gagne sur le reste, on gagne sur tout le reste. J'veux y croire, en tout cas.

Que faire dehors? J'ai décidé de vadrouiller à pied, me mélangeant à la foule, les dépassant de plusieurs têtes pour certains. D'autres s'écartent, me jugent, me toisent. Mais c'est un regard que j'ai l'habitude de recevoir. Je ne leur en veux pas, juste que c'est bizarre de rester intimidant avec toutes les créatures qui grouillent dans le coin.  Mon visage reste dur, et rien va m'empêcher de respirer l'air libre de la ville. Une bonne odeur envahit mes narines, apparemment on sert à bouffer quelque part.

Des ramens rapides. Ouais, c'est bon ces trucs. J'me rapproche du stand, une demoiselle s'y trouve derrière. Elle reculera de quelques pas quand elle me verra arriver, comme tout le monde, encore.

- B'jour. Pour des ramens s'il vous plait.
- Euh, oui, oui...
- J'vous prendrais sept boites.

Elle écarquille les yeux, j'fronce les sourcils. Bah quoi? J'ai besoin de me nourrir.

- C'est possible?
- O-oui.. ! Je m'y attèle, monsieur.
- Merci beaucoup.

J'essaie d'étirer un sourire amical, mais elle ne le remarque pas. Tant pis.

La commande va être sans doute longue, alors j'pianote sur mon téléphone en lançant Light Desert Online pour commencer mon farming journalier avec mon barbare. Mon épaule contre un lampadaire, il couine légèrement sous mon poids mais rien de dangereux. Ça y est j'ai mes 25K d'xp, plusieurs minutes sont passées, un petit soupir d'ennuie me prends.

Mais pas longtemps quand j'entends un hurlement. Un regard alarmé dans les parages. Un deuxième hurlement précise sa position. Merde. Un enfant, cours dans un chantier industriel alors que sa mère lui hurle de revenir. Le gosse a peut-être, 6 ou 7 ans. Une boule de démolition piloté par une grue automatique frappe contre un ancien building presque en ruine, il frotte le sol à chaque fois qu'il fracasse la vieille pierre.

J'm'envole. Poussant de toutes mes forces les bras en avant. Frictionnant l'air, j'arrive comme un missile devant le gamin, il venait en fait récupérer une peluche ensevelie dans les gravats. Il me regarde tout content alors qu'une sphère d'acier de plusieurs tonnes fonce droit devant.

J'm'interpose, la collision sonne comme un clocher d'église alors que j'suis blottit contre le métal. Mes pieds ont creusé un sentier jusqu'au petit qui n'a pas bougé. Il rigole, pas moi. les gravas restant sur l'acier m’ont ouvert pas mal de plaies sur le torse, et le métal a ouvert mon crâne qui me déchire de douleur et m'arrache un énorme feule, rugissant de toutes mes forces. J'me retourne doucement et saisis le petit qui a failli se faire disloquer injustement. Le choc vibre encore dans mon corps mais j'parviens à rejoindre la mère de ce petit. Mes bras, encore fort, le tend dans sa direction alors qu'elle s'effondre en sanglots m'inondant de remerciements que j'accepte d'un signe de tête, le regard dur, contenant le choc difficilement supportable.

J'reprends ma marche, et sans mes ramens. La bavure. Tenant mes côtes et mon crâne, j'redresse les yeux vers une boutique dont l'enseigne me dit quelque chose. Le Renard Blanc.

Hm, Le Renard Blanc. Des rumeurs disent que l'employée offrent des faveurs... Intéressantes. Mais j'ai surtout retenu sa boutique de cristaux donnant des effets particuliers. Et si j'pouvais me régénérer plus rapidement grâce a ces cailloux ? J'ai pris un boulet de démolition dans la tronche, mon crâne a pris forcément une fracture et les gravats mélangé au métal ont déchiré mon torse et mes vêtements au passage, il faudra du temps avant de me régénérer complètement.

Allons voir.

Le pas pressé, et lourd, j'essaie de m'essuyer le sang du crâne avant d'entrer dans un grand geste de la main qui fait claquer la porte. Trop fort, j'ai pas géré pour le coup, quel idiot. Elle rebondit un peu trop vite sur moi et  en esquivant, mon dos encombrant percute une rangée de cristaux qui se fracasse au sol.

Putain, non, pas ça.

- Oh non...

Un genou a terre, j'essaie de ranger mes bêtises, en regardant de chaque côté si j'suis pas seul...

Bravo Héra, t'es pire qu'un éléphant dans une boutique de porcelaine.

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Il faut travailler.

J'me lève de mon lit de ce petit studio misérable où j'dois tout faire dans la même pièce. C'est le bazar et bien évidemment que j'veux pas tout ranger, ça sera pour une autre fois. Qui sera reporter une autre fois, et ainsi de suite. Les stores sont presque fermés, une lumière tamisée cache évidemment ce ravage pour relativiser sur le bordel que c'est. Un soupir me prend en repensant à ma situation.

Et j'en ai un peu marre. Pourquoi ? Parce que c'est au jour le jour que j'dois survivre. Pas foutu de décrocher un emploi, j'dois me donner un peu partout pour essayer de bouffer quelque chose. Bien sûr, mes besoins sont plus élevés que la norme si j'veux pas mourir ou être sous-alimenté.

Mon corps est peut-être infatigable, mais pas mon esprit. A travers le temps et l'usure, il se ratatine et visionne certaines idées négatives. L'abandon, le lâcher-prise, la reddition.

Des conneries que j'aimeraient balayer d'un revers de la main. J'peux jeter un bus sur plusieurs dizaines de mètres mais ça... Ca nous colle à la peau comme une gangrène qu'on ne peut pas amputer. Mais comme j'disais...

Il faut travailler. J'ai l'intime conviction que ce n'est qu'une épreuve à passer et que la lumière du soleil viendra frapper ma vie terne et ombreuse. Aujourd'hui, j'me suis inscris dans les boulots divers du journal pour proposer mes aides scolaires à domicile. J'sors des études, et j'peux aider les classes inférieures. Ca me changera des boulots physiques, mais aussi surtout parce qu'il y a pas de boulot de libre à ce niveau en ce moment. Alors faut se rabattre sur autre chose. Aurevoir les tenues dégueulasses de chantier pour mes vêtements quand même beaucoup plus confortables, que j'm'envole dans les alentours de la ville suite à un contact d'une famille qui demande mes services pour leur fille. Un pantalon cargo, des boots en cuirs pour tenir mon poids, et un t-shirt gris qui n'est pas censé me mouler autant que ça. Armé de mon sac à dos et des fournitures que j'avais gardé depuis mes études, j'utilise le GPS de mon téléphone pour trouver l'adresse évidemment en vol d'oiseau.

Le plan défile un relief de la ville. Une belle ville. En tout cas j'préfère son côté lumineux. Pas forcément parce que j'suis dans un déni de refuser son obscurité. Mais j'suis convaincu que personne n'est foncièrement mauvais ici. Juste que parfois, les choses nous dépassent.

J'arrive sans mal aux banlieues. J'trouve la boite aux lettres correspondante à la maison et m'approche de la porte. J'déglutis, tousse pour être sûr d'avoir ma voix sans la dérailler et toque avec le dos de l'index délicatement pour éviter de pulvériser le battant...

Allez, c'est juste des devoirs, de l'argent facile.


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Prélude / Re : Un Idéal d'Espoir derrière une Force Brute. [Keiralidé]
« le: lundi 18 janvier 2021, 01:26:23 »
Merci les gens, hâte d'rp parmis vous ^^

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Et coucou ! J'voulais savoir s'il y avait une place pour le dernier contexte, il me plait bien et correspond parfaitement à l'altruisme d'Héraclès !

J'suis dispo en mp !

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Le coin du chalant / Le Chalant d'Hercule.
« le: dimanche 17 janvier 2021, 23:13:35 »
Bonjour Le Grand Jeu.

Je suis à la recherche de Rps pour me lancer dans le Grand Bain.

J'suis évidemment pas regardant sur la taille des posts ou bien d'avoir une orthographe irréprochable.

J'propose ici quelques contextes en espérant que certains puissent vous convenir. Dans le cas contraire, j'suis dispo pour en discuter ensemble. Je cherche du Hentai comme du non Hentai. Dans le cas d'un éventuel Hentai, beaucoup de choses sont possibles, mais Héraclès a une affinité pour les ébats assez brutaux et sauvages, dans des débordements assez violents.

Dans ce cas, il faudrait une femme. Sinon, j'm'en fiche.

Héraclès est un jeune de 21 ans qui sort des études et bosse de gauche à droite afin de subvenir à ses besoins. Des boulots assez manuels. Il vit dans un studio de Kyoto où sa routine est malheureusement ennuyante. Metro-boulot-dodo. Il aime son prochain, mais il peut aussi le nuire selon le contexte. Héraclès est une force tranquille.

Sa particularité ? Il est d'une autre planète. Capable de soulever un poids lourd, s'envoler, utiliser son énergie vitale pour raser son environnement ou une peau casi indestructible, il est très difficile pour notre ami d'avoir le quotidien d'un simple terrien. Et pourtant, il n'a pas le choix...

Ce sont des grandes lignes, on peut personnaliser ça en temps voulu pour que tout le monde soit content, bien sûr.


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Les contextes :

Numéro 1 :

Altercation musclée.

On vous embêtes dans une ruelle et vous voyez Héra charger des meubles dans un camion. Instinctivement, vous avez l'impression qu'il peut vous sortir de là.

Numéro 2 :

Un soucis d'orientation.

Héraclès est perdu en ville, on lui a donné une adresse pour livrer un colis et il vient vous interpeller.

Numéro 3 :

Cul-sec et pied-bouche.

Il vient souffler dans un bar, des bonhommes viennent l'embêter. Une baston avec un nouveau copain?

Numéro 4 :

Alcool, soirée et...?

Une grosse soirée alcoolisée dans le quartier, beaucoup de gens sont invités. Une rencontre est possible? Qu'allez-vous faire?

Numéro 5 :

Oups, mauvais endroit... Ou pas?

Retour d'une séance de sport dans une salle qui ne connait pas, Héraclès se trompe de vestiaires et vous êtes là, en face d'un homme à l'odeur piquante dont le musc viril chatouille vos narines...

Numéro 6 :

"A vôtre service."

Héraclès vient vous voir pour un boulot que vous proposez. C'est aussi l'occasion d'échanger, à vous de voir si vous vous arrêtez qu'au salaire classique ou si une autre récompense vous viens en tête...

Numéro 7:

J'ai comme une envie de te malmener ~

Héraclès a passé une salle journée. Sur les nerfs, il vous croise, et une idée de se défouler lui vient en tête...

Numéro 8:

C'est ma chambre...Aussi.

Vous prenez une chambre d'hôtel, et dans un quiproquo administratif vous vous retrouvez dans la même chambre. Bizarrement, vous vous adressez à un vrai nounours qui ne veut pas causer de problèmes? Et puis, vous vous dites que c'est le moment de le titiller.

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Tout est modulable, et bien sûr si d'autres idées vous viens en tête, hésitez pas.

Dispo sur Discord et MP. Merci si vous avez pris le temps de lire, vous êtes trop cool.

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Prélude / Re : Un Idéal d'Espoir derrière une Force Brute. [Keira]
« le: dimanche 17 janvier 2021, 22:02:57 »
Merci beaucoup :)

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