Centre-ville de Seikusu / Re : Rumeurs Cristallines [Pv Ethys]
« le: mardi 19 janvier 2021, 20:03:15 »- Prenez le temps qu'il vous faut...
C'est sans doute les derniers instants où tu seras capable de bouger de toute manière. Du côté de mon sexe, les veines continuent de faire gonfler allégrement mon membre de puissantes pulsations au rythme de mon palpitant. Je ne m'en cache évidemment plus. Mon visage devient indifférent mais mon torse gonfle et dégonfle plus vite. Une odeur de sueur forte et entêtante se dégage de mes pores et remplit la pièce. Seconde après seconde, je laisse prendre ma place un vulgaire et pervers primate qui ne demande qu'une chose, lui voler son corps et la posséder tant que je ne suis pas rassasié. Mes pulsions continuent de tambouriner mon bas-ventre et c'est lorsque ses mains terminent leurs job, que mon grognement devient un râle bruyant.
Une petite proie fuyarde et frileuse elle devient, alors que ses pas la trahissent avant de finalement prendre la parole. Mais sur ses dernières paroles, j'me relève de nouveau en la surplombant de tout mon être, la faisant disparaitre dans une ombre menaçante, alors que mes grognements continuent de vrombir comme un fauve s'approchant à plus petit que lui.
- T'as pas fini. Non, en faite c'est que le début.
Une main puissante la saisit à la gorge avant de la soulever maintenant à deux bon mètres de haut face à moi. Mon bras continue de monter plus haut encore, et c'est son sexe qui finit face à moi alors que je l'entend chercher de l'oxygène. De l'autre main, elle va déchirer le tissu de ses vêtements comme un paquet cadeau sans difficulté pour mieux l'envoyer choir dans le lit. Il restait alors les sous-vêtements. Mon bras vient s'enraciner comme un arbre puissant sur le buste pour mieux l'immobiliser en y mettant légèrement mon poids pour éviter de l'écraser alors que l'autre se débarrasse des derniers obstacles qui l'empêchent d'être complètement nue. Ca y est, t'es à poils.
- Tu comptais t'échapper ? Trop tard.
Son corps frileux sous mes doigts, j'me branle allégrement pour bander un maximum avant de l'approcher contre ses lèvres en frottant ma proéminence contre celles-ci en souillant son ventre d'un filet de pré-sperme bouillant qui s'écrase lourdement dans un clapotement visqueux. Mes genoux s'enfoncent dans le matelas tandis je lui écarte les cuisses pour mieux crocher ses hanches avant de percuter son antre sans prévenir. Mon gland bute sur le bord, dans une friction bruyante et humide. Du bout du gland j'sentais la chaleur de ce trou que j'vais colmater. Mais malgré les lèvres qui s'écartent, j'rappe contre son clitoris et ça m'emmerde.
- Un petit trou qu'il va falloir mouler à ma taille.
Un grognement bourdonne dans ses oreilles alors que j'réitère l'opération. Mon madrier bute de nouveau, et dans un coup de bassin plus fort, j'sens enfin son sexe se distendre, en écartant sa fente dans un bruit inquiétant, baignant dans les giclure de sa mouille. Doucement, mais surement... J'me prépare à chambarder et déformer son casier à spermes dans un empalement qui embroche et déforme ses parois traduisant une bosse dans le bas ventre, déchirant les portes de son utérus. Libération alors qu'un autre filet de pré-foutre bouillonne à l'intérieur, étranglant mon frein par cette étroitesse si serrée...
- Ah putain, enfin, j'y suis.
En position de l'union du tigre, elle est piégée dans un carcan de chair où elle se trouve allongée sur le dos, ses jambes bloquées dans le creux de mes coudes alors que je la surplombe, mes hanches arrivent comme un mur en béton qui s'écrase contre son bassin pour mieux creuser sa chair humide et commencer des vas-et-viens. Un grognement de plaisir s'échappe contre ma volonté alors que j'la sens s'enfoncer comme un vérin hydraulique dans son cylindre. J'impose ma masse à ses muscles intimes qui se soumettent à la seule force de mon bassin.
- Cries, couines, hurle de douleur, personne viendra te sortir de là tant que j'ai pas fini de te ruiner.
Que j'annonce enfin les débuts de festivités avec une voix grave et cruelle.