Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Compte Inactif

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Même en boudant, elle garde cette candeur enfantine toujours aussi attachante et adorable. Je ne pouvais m'empêcher de ricaner nerveusement. A cette légèreté. Rendant mon séjour si léger justement, que j'avais presque du mal à réaliser que j'étais le Mâle ennemi n°1 actuel. J'hausse toutefois un sourcil un peu inquiet lorsqu'elle se décide soudainement sur un chemin après un regard bien trop rapide sur son guide. Je me dis que quoi qu'il arrive nous risquons pas grand chose vu la désertion du coin, et que je suis tout de même accompagné d'une Sénatrice connue de tous, enfin, toutes, plutôt.

Mais quand aux potentielles autres menaces, mieux vaut rester vigilant.

Si elle me posait la question, oui, je lui dirais directement que sans elle, je suis perdu. C'est dire à quel point je lui fais une confiance aveugle. Cette confiance qui me fait apprécier justement le coin, même si j'ai l'impression que le relief est bien plat et désert, non que j'aime pas les plaines, mais qu'il manquait de formes. Et puis elle avait quand même parlé d'une crevasse, c'est donc que l'environnement a l'air assez varié pour y apprécier ses richesses. Mais les prunelles de ma guide de fortune balaye sa carte plusieurs fois, et je ressens comme une hésitation bien présente.

Aussitôt effacé par la certitude de ce que nos yeux voient enfin : ladite crevasse.

Elle ressemblait à une bouche obscure qui crachait son sable par des bourrasques incessantes et dérangeantes, autant pour elle que pour moi. Derrière mes bras en croix pour me protéger la vue, je pouvais “admirer” la désolation du lieu. Dépourvu de verdure, de vies organiques, les couleurs du désert se mélangent à l'argile grise des profondeurs, dont ses parois ont l'air abrasives et parfaitement lisse à la fois. Une terreur naturelle et fascinante. Curieuse dichotomie. Entre les sifflements du vent, j'entends alors l'agacement de Lied, et pour le coup, moi aussi je la comprends.

- Aucune idée... Mais je pense qu'il va falloir faire attention.

Curieuse promenade. Elle avait désormais des allures d'aventures à l'improviste. Je dis pas que je n'aime pas ça, mon soucis était surtout la survie de Mueller. Parce que si elle lui arrive quelque chose, je serai fatidiquement le responsable. Et aussi, que je ne me pardonnerai jamais qui lui arrive quelque chose seulement pour me faire plaisir. Mais, elle avait raison. L'endroit avait son lot de mystère mais dégageait une immensité si envoûtante, un cadre magnifique pour un dépaysement total.

Mais le temps se gâte.

Finalement en s'engouffrant, c'est la crevasse qui va nous servir d'abris dans un spot qui m'a l'air prévu pour. Elle avait l'air de connaître finalement le chemin et si en apercevant que la potentielle sortie était devenue également une impasse et qui la faisait rire, moi, c'était plutôt l'inverse : l'inquiétude grimpe encore d'un cran. De son côté, elle avait l'air d'apprécier ce danger ambiant comme un espèce de sursaut dans sa vie entourée de la plus entière des sécurités. Je comprends le sentiment, on se sent vivre, pour de vrai, l'impression que les choses comptent vraiment. Et c'est presque un honneur qu'elle puisse vivre ce genre de sentiment en ma compagnie. Sans la terreur de se faire brutaliser ou malmener. Un exploit. Clairement. Maintenant, à l'abri...

- Sacrée aventure, oui. Euh, là, dans l'immédiat...

Je regarde alors la tempête nous passer devant, cette membrane d'air emportant la poussière dans une vitesse et une violence conséquentes. Rien d'autre à faire. Ma voix s'éteint doucement tandis que je l'observe balancer la pierre dans une expérience aussi innocente qu'infantile. Mais ça donne une idée de la profondeur abyssale du trou. Finalement une pierre arrive dans le creux de ma main, je pouvais observer les phalanges fines et douces caresser ma paume, y laisser le projectile sur ma peau calleuse. Un sourire timide fend mes lèvres, le regard attendri par tant de pureté qui s'en émane. La culpabilité grandit en moi. M'imaginant étrangler tout ceci, impitoyable, sauvage, juste pour assouvir mes désirs les plus obscurs. Quel horrible scénario... Je rassasie alors aussi la curiosité sur cette profondeur en observant la pierre disparaissant dans les ténèbres rocheuses...

Durant l'ellipse qui précède la fin de la tempête, je m'amuse comme un enfant en la suivant dans tous ses jeux avec une curiosité nouvelle que je découvrais au fur et à mesure. Une bulle, amusante, légère et sans se poser de question. Malheureusement, on perd le guide plus tard. Et je ne lui en veux pas de ne pas avoir fait attention. Maintenant la question se pose, maintenant que nous sommes au milieu de nulle part. Et d'un coup, j'ai une idée.

- J'espère que tu n'as pas le vertige.

Je pris quand même le soin de prendre un autre cacheton avant de porter Lied dans le creux de mes bras sans m'annoncer, et décoller dans les airs pour avoir une vue panoramique et totale du paysage. L'air est plus fort, maintenant que nous sommes à une cinquantaine de mètres de haut. Le monde au sol rapetisse, une déconnexion terrestre toujours aussi agréable à vivre, qu'importe la planète. Mais peut-être pas pour ma nouvelle comparse.

- Ca sera plus simple de repérer la maison. Tu seras mon copilote.

Sur ses mots, je me propulse vers l'avant, m'assurant que son corps soit bien blotti contre moi pour éviter les accidents malheureux. En espérant que sa mémoire lui revienne...

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Centre-ville de Seikusu / Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]
« le: dimanche 06 juin 2021, 00:05:06 »
D'abord un silence alors que le jet rythme sa valse aqueuse contre le syphon de la salle d'eau. L'épaisseur de mon torse gonflait et dégonflait doucement au gré d'une respiration calme et tranquille. Remerciant silencieusement mon infirmière de m'avoir sorti de là.

Mais je doute qu'elle compte me remercier après ce que je m'apprête à lui faire.

- Mon sous-vêtement aussi ? Très bien.

Un sourire narquois, un regard sombre, des gestes lents, je fait rouler doucement les plis de mon bas sur mes cuisseaux avant de le faire tomber au sol. Ma queue dans une érection paresseuse en sort après un odieux rebond alors que mes bourses bringuebalent entre mes cuisses, nonchalantes. A ce moment-là, l'odeur de sexe testostéronée emplit la pièce, amplifiée par l'humidité et les vapeurs de l'eau chaude qui embaume le cadre. Ma queue dans une proportionnalité qui me rendait honneur, la question sera de savoir si elle m'encaissera. Quelque part, rien à carrer, ça passera, peu importe comment et peu importe dans quel état.

Un dernier sourire alors qu'elle tient le pommeau. Je m'approche alors que mon ombre l'enveloppe de toute ma masse. Avant de rire doucement. Jubilant déjà à ma prochaine idée.

- Je vais récupérer le pommeau. Et vous aussi par la même occasion.

Sans m'annoncer, j'attrape ses deux mains dans le creux de la mienne. Une projection au sol aussi rapide que violente l'écrase au sol dans une éclaboussure d'eau. Menotté dans ma pogne scellé comme un carcan d'acier, mes énormes cuisseaux écartent les siennes avant d'envoyer le jet partout sur son corps dans un premier temps. Apprécier le tissu devenir transparent, voir ses sous-vêtements, puis ses formes voluptueuses. Une grosse poitrine, des cuisses galbées, des hanches parfaites pour se faire attraper...

- Ouaw, tu es peut-être très conne, mais tu es diablement sexy...

L'autre main tenant le jet d'eau va descendre dangereusement, cherchant d'abord l'intérieur de ses cuisses, puis l'agitant de haut en bas, fouettant sa fente par la flotte qui l'embrasse par salve constante d'eau chaude. Elle bouge, s'agite dans tous les sens, mais ma poigne vient enserrer ses mains dangereusement pour mieux la faire couiner. Puis en relâchant l'étreinte c'est une gifle ferme et punitive qui vient lui dévisser la tête vers la gauche pour faire disparaître le dernier sursaut d'espoir qui mijotait en elle. Profitant qu'elle soit sonné, ma main empoigne sa gorge, la plaquant davantage au sol. Pour ensuite poser mes règles.

- Tu viens de t'enfermer avec un quelqu'un qui va se faire du bien, beaucoup de bien. Tu n'es plus infirmière ce soir... Juste ma petite chienne durant le temps que je décide.

J'approche le pommeau, puis continue de le bouger délicatement pour que la pression roule sur son clitoris puis sur ses lèvres extérieures, le tout à travers un tissu dorénavant détrempée. Jubilant comme le plus parfait des dépravés, ma bite se dresse rapidement pour montrer toute sa colonne derrière ses veines épaisses sur sa peau fine, des lourdes burnes duveteuses, perlant de gouttes d'eaux sur tous les sillons de mes muscles congestionnés par l'excitation, l'appétit, le désir.

- Une question de temps avant que ton corps ne réagisse... On a tout le temps devant nous...

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Centre-ville de Seikusu / Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]
« le: mercredi 26 mai 2021, 20:08:32 »
Comme si le destin se jouait de moi, comme si il écoutait mes plus sombres instincts, la situation se recroqueville pour mon plus grand malheur. Et par conséquent son plus grand malheur par ricochet. Elle est solaire, souriante, drôle, candide, altruiste et bienveillante. Plus le temps passait, plus la culpabilité grandissait dans mon torse. J'essayais alors de sourire, j'essayais de me mentir à moi-même.

Tandis qu'à l'intérieur ce combat devenait une torture. Une correction que mon esprit connait systématiquement. Mon corps tremble, je crève de chaud. Une voix tremblante dans un moment de lucidité, alors que je vois bien que n'importe quel client serait aux anges à l'idée d'avoir une infirmière aussi aimable.

- Mon pire cauchemar ? Aha...

J'aimerai tellement la croire, vraiment. Je ferme les yeux, pousse un long soupir pour prendre contenance. Mais rien y fait. En les ouvrant de nouveau je la vois alors qu'elle essaie d'accéder à une hauteur. J'aurai aimé que la blouse soit plus longue, j'aurai aimé que son pantalon soit plus large. Mais rien à faire encore une fois. Le regard d'un énorme prédateur sexuel affamé prend place dans mes yeux qui glisse doucement pour profiter de chaque parcelle de peau qui sont dévoilé à la lumière de la pièce. Le creux de ses reins, je l'imagine tellement bien se cambrer. Je l'imagine imposer mon poids pour mieux la plier en deux dans un coït bestial.

Le textile de son sous-vêtement, rose, léger, un bout de tissu dont j'aimerai deviner l'odeur. Des fragrances féminines au saisissant parfum de femme à m'en tordre le bas-ventre. Ca y est, je succombe. Je vais perdre. Oubliant l'accident, Moya, l'hôpital, la situation, les gens qui peuvent nous entendre. Tout. Des œillères me poussant à me concentrer sur une unique et seule problématique : Comment avoir un moment pour me soulager.

Encore une fois, l'impression que les astres s'alignent pour m'assurer que c'est possible. Sauf que cette frustration devient un bonheur, espiègle, pervers, malicieux et cruel. Mais incroyablement jouissif. L'heure de la douche, certainement pour respecter une procédure après ce qui m'est arrivé. Un regard sur la salle d'eau à côté alors qu'elle pose sa question. Un sourire vicieux tandis que les rideaux nous enferme de tout témoin potentiel, la notification à la porte qui nous indique que nous devons pas être dérangé. Parfait.

- Sous la douche, je me sens suffisamment robuste pour y aller.

Je me redresse en faisant couiner le lit, et poser lourdement mes jambes au sol. Puis, levé de toute ma masse, je commence à retirer mon haut, dévoilant son torse râblé et épais. Réveillant sa musculature rouler sous ma peau brûlante d'excitation, avant de faire tomber mon pantalon et mes chaussures. Mon coup de chaud laisse planer une odeur de rut assez présente, le boxer comprimant un membre gonflant paresseusement. Encore en sous-vêtement du coup, le reste va finir dans le sac alors que je marche vers la salle de bain. Lâchant un regard faussement inquiet avec une pensée qui en disait long.

- Euh, vous pourriez m'aider ? Surtout le dos en faite...

Encombrant, large, un bloc de marbre jamais amusant à laver sans un grattoir qui va avec. Je tangue la tête de côté, toujours avec ses yeux qui se veut en demande d'aide alors que je fais couler l'eau. Le pommeau de douche débite son jet agréable et une idée me vient en tête.

Il restait juste à savoir sa réponse. Mais j'attendrais pas longtemps.

Parce que je serai son pire cauchemar. Comme elle le dit si bien.

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J'affiche un simple sourire timide. A vrai dire, c'était surtout pour cacher ma peine. J'ai l'habitude maintenant. Evidemment, ce n'est pas facile tous les jours. En faite, c'est jamais facile. Partout. Un quotidien affreux. J'ai fait du mal à beaucoup de gens. Et je dors avec ça, je mange avec ça, je travaille avec ça, je pleure avec ça. Bien longtemps maintenant que mes yeux ont arrêté de vomir leurs larmes. Une carapace s'est forgée depuis le temps.

Accepter, faire avec. Endurer.

Je lève une main pour balayer cette pensée négative, tout comme la mauvaise ambiance qui naissait pour accorder mon attention au dessert qui arrive. Le sourire qui suit sera plus franc. Lied est une femme très généreuse, mais j'ai cru comprendre que les pâtisseries étaient un terrain qu'elle seule pouvait en abuser. Exclusivement seule, aha. Alors, même si les cupcakes ont l'air délicieux, je me contente des yaourts que j'descends en les écrasant dans ma main, en orientant le pot dans le gosier pour l'avaler d'une traite, les uns après les autres. Nos visages étaient curieusement comiques, la commissure de mes lèvres blanches par mon dessert et les miettes de ma comparse trahissant sa grande gourmandise. Le cadre devenait étrangement enfantin, et pour le coup... Ouais, c'est génial.

Maintenant il fallait réfléchir à notre petite escapade et c'est avec des yeux concentrés que j'toise ledit papelard qui nous donne une petite description du coin. Je remarque alors là tout le problème de Lied. Même si elle risque plus vraiment grand chose aujourd'hui, elle a dû déployer un sacré dispositif pour pas choper une connerie à l'extérieur. Et j'avoue, ça m'inquiète un peu sur le coup. Qu'est-ce qui m'arriverai si elle tombe malade par ma faute ? Hein ? La Sénatrice en plus.

A tous les coups j'me fais refroidir propre et net.

Surtout que j'ai aussi la responsabilité de la guider cette fois. Mais j'ai pas peur. On va pas s'empêcher de vivre, pas même devant l'apocalypse.

- Très bien, j'espère être un bon guide. Que je finis par lui sourire, tout en essuyant mes lèvres.

Je n'attends pas très longtemps, avant qu'elle n'arrive avec sa nouvelle tenue. C'est qu'elle prend la situation bien au sérieux dis dont ? En tout cas, j'apprécie. Pour ma part je reste tel quel, et sort pour gouter à nouveau le doux climat qui nous attends. J'connais pas trop la météo de la planète, d'ailleurs.

- Est-ce que la météo peut changer brutalement, il y a des phénomènes dangereux ?

Même si elle ressemble étrangement à ma planète d'adoption, les choses sont peut-être drastiquement différentes. Alors même si j'me sens assez débile en posant la question, la réponse me permettra d'anticiper s'il nous arrive quelque chose. J'apprends alors sur la route le paysage partiellement artificiel, notamment sur les arbres que j'ai rencontré plus tôt, et qui clarifie certains points. Surtout le paysage relativement sec et rocheux. M'est avis que ça ne que peux que ajouter une nuance de plus dans une nature complexe. Un peu comme moi finalement, hé ? Non, je suis pas aussi prétentieux. Alors qu'elle continue de me faire ce radieux documentaire sur l'environnement qui m'entoure, je l'écoute studieusement sans lui couper la parole, à imprégner les siens dans mon crâne alors que mes mirettes absorbent chaque particules de ce qu'elles balayent. Des souvenirs que j'emporterai avec moi. Quoi qu'il arrive, et quoi qu'il m'arrive.

Puis, finalement, c'est à mon tour d'expliquer. Elle a visiblement réussi à faire le lien entre le caillou et moi et m'arrache un rire franc, aussitôt par le sien, et c'est complètement fou comment mon esprit est d'un coup... Plus léger. Du coup j'improvise l'activité de lui apprendre à faire des ricochets. J'prends un galet un peu plus petit que je glisse dans sa main alors que j'en saisis un autre un peu plus imposant dans la mienne.

- Bien. Le plus important, c'est le geste. Il suffit pas de caillasser la flotte pour faire des ricochets. Il doit frôler la surface de l'eau dans un geste fouetté. Comme ça.

Je pivote le bassin en bougeant le bras dans un geste vif et fouetté alors que la pierre siffle dans l'air pour rebondir sur le lac par quelques rebonds avant de disparaître dans l'eau.

- Tu vois ?

Je la laisse se concentrer en m'écartant. Les bras croisés sous mon torse qui gonfle à la compression, en coach improvisé. Mais surtout pour capturer ce moment  à tout jamais dans mon esprit. Ce moment où pour la première fois, j'me suis jamais senti aussi vivant. Et bien. Pourtant, je suis un clandestin masculin qui n'a rien à faire ici. Une dichotomie très bizarre. Elle se débrouille plutôt bien, il faudra quelques tentatives pour avoir deux rebonds très distincts, qui sera applaudit par mes grandes mains et un sourire attendri, avant de reprendre notre route.

- Je suis passé par là, en suite, il y a une jolie clairière pour se poser. Sinon On peut faire demi-tour, à moins de remonter par-là, peut-être... Que je souffle, frottant mon menton de deux doigts pensifs.

Nous verrons bien, on avancera là ou le vent nous porte. De toute manière... Ca peut pas être pire que traverser un building depuis le ciel.

Si ?

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Les contrées du Chaos / Re : Le silence de l'agent.
« le: vendredi 14 mai 2021, 17:39:03 »
Elle ne bouge pas.

Elle ne bouge plus.

Elle est morte ? Nan, ça meurt pas, ça. J'suis même pas sûr qu'elle ressente quoi que ce soit. En tout cas, elle est sur cette table, et bien sage, elle encaisse. A vrai dire, c'est un peu le problème avec tous mes adversaires. Très... "étoiles de mer". Tapis dans l'ombre, j'attends. Pas une expiration, pas un seul murmure, pas un mot. Alors une floppée d'interrogation commence à coloniser ma caboche. D'abord, la possibilité qu'elle ait un programme lui permettant de garder la bouche fermée, comme une espèce de sécurité auto-destructrice qui lui empêcherai de moufter.

Deux, l'entraînement. Rien ne me dit qu'elle n'est pas conditionné pour ce genre de situation. Ce qui rendrait ma questionnette perdu d'avance. Et qui m'amène à la troisième théorie. Elle n'a rien à perdre. Elle est prête à mourir certainement pour ça. J'espère que ça vaut le coup, ça serait dommage de canner pour un simple code, ou une lettre ou des photos à la con.

Je grogne, un peu impatient. Mais toujours calme.

J'étire mon plus beau sourire, et m'approche de la table.

"Alors, la pêche ? Tu veux peut-être un verre d'eau ? Ou un mécano peut-être ? Ah... Oui, c'est vrai, tu veux jamais l'ouvrir. Par contre tu peux ouvrir la bouche autrement je suppose ?"

J'attrape ses cuisses pour la glisser brutalement contre mon bassin. Le roulement grave qui roule dans ma poitrine sonnait comme un gorille qui vibrait d'excitation à une proie plus petite que lui. Un pouce indélicat vient chercher ses lèvres intimes, alors que - tout comme elle - je reste silencieux, roulant sur son clitoris avec une pression nonchalante pour mieux écarter les plis de son vagin. De l'autre main je défait mon bas qui tombe à mes pieds, libérant un miasme odorant d'un rut puant, tandis que mon membre dépasse de ma toison pubienne, et pend paresseusement entre mes cuisses.

Je l'ignore totalement pour me concentrer essentiellement sur son sexe que je masse avec ferveur. Jouant avec un doigt permissif et indécent les bords de son vagin qui commence bruiter d'étranges sons assez visqueux et fluidiques. Vraiment bien fait ce truc n'empêche. J'approche encore son corps d'avantage contre moi. Les jambes dorénavant écartées, que je maintient avec mes deux bras cette fois. Elle peut commencer un bras de fer en essayant de les refermer c'est impossible. Comme deux vérins puissants, mes mains sont crochés à l'intérieur de ses genoux tandis qu'un mouvement habile des hanches, ma queue se pose odieusement sur ce petit minou.

Prit par l'excitation de ce premier contact, je commence à bander progressivement, décalottant un gland poisseux qui dégueule une pré-semence grasse et gluante. Badigeonnant son bas-ventre pour mieux le souiller. Des vas et viens commencent ce frotti de sexes qui tend mon frein progressivement, grossissant ses veines pour pomper le sang qui débite à plein régime, pulsé par des râles bruyants.

"J'vais te détendre maintenant, c'est ta pause. Profite."

Sourire carnassier.

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Les contrées du Chaos / Re : Le silence de l'agent.
« le: mardi 04 mai 2021, 12:29:47 »
"J'vais me gêner."

La molette remonte plus haute dans l'ampérage, et les arcs électriques commencent à apparaître, déchirant les pièces visibles dans un torrent de mèches bleues et blanches pour y voir son corps convulser de nouveau. Puis, j'coupe l'alim'. Sa peau échappe une fumée blanche et opaque, comme un moteur qui aurait surchauffé. L'air électrostatique encore présent me faisait hérisser le poil, alors que le vrombissement des câbles continue de se faire entendre au bout des pinces, laissant deux marques noirs carbonisées sur son postérieurs. Pas de cloques.

"Un cul en plastique. Evidemment." Que j'soupir, déçu.

Un grésillement dans le micro retenti dans le coin de la pièce. Nyx.

"Alors ? Du nouveau ?
- Que dalle. Elle n'est pas encore consciente qu'il n'y a que vous pour la sauver.
- Effectivement, on t'arrêteras que si elle parle. Tu le sais.
- Et donc ?
- Tu peux continuer.
- Trop aimable. Je suis quelqu'un de très patient, je peux vivre une éternité."

Son petit cul débranché, mes doigts vont entourer son cou pour l'écraser contre la table en métal, dans un geste fouetté, comme si je l'a martelais contre sa surface pour apprécier la voir rebondir. La table résonne dans un fracas d'acier. Des fixations, des vis, des morceaux de plaquages en métal s'envolent à la volée. Puis, je m'écarte. Il fallait réfléchir. Elle n'a pas essayé une seule fois de se défendre. Son corps encore fumant, je tourne autour d'elle, comme pour lui laisser une chance de bouger, malgré ses deux jambes hors service, son bassin carbonisé, son avant bras droit percé. N'importe quelle personne aurait craché le morceau. Et puis malheureusement, à force de la saccager, elle devient moins...Bandante.

Je devrais en profiter maintenant avant qu'elle ne devienne vraiment plus abordable ?

Alors je recule, dans un coin de la pièce, et je reste silencieux. Durant d'éternelles secondes. La laissant seule, face à elle-même, tapis dans l'ombre en regardant cette petite figurine réagir. Comme pour lui faire croire qu'elle a une petite seconde de répit, une bouffée d'oxygène factice avant la reprise des hostilités. Et prendre certainement les bonnes dispositions.

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La cavalcade suit un rythme effréné alors que le temps s'égrène, lui remuant les entrailles avec la vigueur d'un Minotaure sous stimulant. Savourant chaque câlin que ses petites fesses font sur ma queue maculée de son liquide gluant. Les martèlements violents contre son derrière, infatigables, laissent maintenant des rougeurs écarlates sur sa peau, ses cuisses, tout comme son téton en qui en plus de pointer devient également fatigué d'être malmené sans répit. Pour une torture orgasmique.

A l'intérieur, je peux sentir la chaleur de son rectum soumettre sa compression autour de ma verge pour mieux l'étrangler, le tenir en étau pour lui extirper plus vite sa semence. Je lève mon genou contre l'intérieur du sien pour relever sa jambe, afin d'ouvrir davantage son vagin qui subit des claques cinglantes, les doigts raclant ses parois, ajoutant même le pouce pour rouler sur son clitoris durci par l'excitation, ils la baise comme si deux autres hommes venaient insérer leur pénis en elle avec la percussion d'un bélier puissant. Son corps n'est qu'une grosse balle de chair tambourinée de chaque côté, un tennis odieusement pervers et violent.

Mes bras l'entourent toujours, la prise d'un ours viril qui peut la briser en mille morceaux, respirant toujours plus fort à son rythme, mon torse vibre contre son dos pour faire rouler mes grognements, qui prennent des décibels à mesure que je m'approche de la jouissance, imminente.

Elle est devenue complètement folle. De moi, de ma queue, de mes violences. Un viol qui se transforme en coït animal. Hurlant sa soumission au moindres de mes gestes, comme si elle n'était qu'un instrument docile à tous mes plaisirs. Et je compte bien en profiter aussi. Un jeu de rôles vraiment pervers, mais amusant. Comment ne pas jubiler de plaisir quand sa soumise hurle le sien pour me demander de recommencer ?

- Mais oui pétasse, je vais continuer à te rabaisser. Même si tu es déjà plus bas que terre. Tout le monde va voir que tu n'es juste qu'une traînée qu'on peut froisser indéfiniment, une salope complètement timbrée folle de la bite de son agresseur.

Grondant comme un fauve, mes coups de reins s'accélèrent alors que je sens l'orgasme monter, encore, une ultime fois, m'empêchant de parler davantage, simplement poussé par la seule action singulière et primitive et lui défoncer le cul, afin d'assouvir le désir brûlant de jouir de nouveau.

- Han, han...GRAAH, putain, OUI ! Tu le veux mon sperme ? Supplies-moi, catin !

Quatre coups de reins féroces et bien plus violents lui matraquent les hanches et déforment son fessier avant d'y rester au fond pour lui hurler mon dernier orgasme. Mon corps entier se rétracte alors qu'elle est contre moi, le dos, le visage ruisselant de sueur contre sa crinière où ses grandes oreilles subissent une douche de salive à l'expiration de mon feule bestial. Après plusieurs bruits qui trahissent les jets de spermes brulants dans le couloir de son postérieur pour y incinérer tout sur son passage, le surplus va très vite dégueuler pour souiller nos jambes et mes bourses, collées contre le dos de ma main qui enfonce ses doigts dans le fond de sa chatte depuis le début de l'orgasme. Perforé ainsi de part en part.

Mon frein continue de bruler et cracher son fluide épais, et après un énième coup de rein qui résonne dans un clapotement visqueux et outrageusement abondant, je me retire, une longue lame saturée par mon sperme dans une éclaboussure odieuse tout comme mes doigts noyés de cyprine, pour m'allonger sur le dos. Ca y est, je suis vide.

- Bon sang... C'est incroyable de te baiser.

Le torse gonfle et dégonfle irrégulièrement, alors qu'elle est laissée lamentablement sur le côté, le corps relâché par mon étreinte musclée, comme une poupée de chiffon que j'aurai froissé. J'entends le téléphone vibrer, annonçant que la batterie arrive dans ses réserves. Je me redresse doucement, pour la surplomber de toute ma masse, et lui tapoter d'un geste humiliant le crâne, avec ma queue toute molle, crachant ponctuellement son venin sur son visage.

- Gentil chien-chien, j'ai fini. Que je finis par dire, magnanime.

Tirant ses queux vers moi, je lui assène une gifle douloureuse pour remercier à ma façon ce cul tendu amoureusement, qui continue de vomir et essayer de contracter son anus comme il peut. Avant de ricaner dans ma barbe pendant que je remet mes vêtements, et m'assurer que la vidéo est bien enregistré.

- Héhé, c'est dans la boite. Fais très attention, ma petite pute, je risque de repasser... C'est même certain.

Et sur ces mots, je la laisse sans lui laisser un geste de gratitude et enfin quitter son établissement. Je m'envole, pendant de longues minutes alors que mes yeux reprennent leur couleur d'origine. Mon sourire carnassier disparait, et mon corps se relâche. Arrivant en haut d'un building, il faisait déjà nuit... Mon corps tremble, il me remercie d'être aussi apaisé. Mais mon esprit... Mon esprit est bouffé par la culpabilité.

- Qu'est-ce que j'ai fait...

C'est horrible. Et c'est tout le temps ce calvaire qui m'anime. A force, j'ai construit un espèce de déni qui me sert lamentablement d'armure quand ces moments arrivent. Il n'y a rien qui m'empêche de continuer, même pas ma morale, même pas ma motivation, je perds le contrôle et c'est un trou noir jusqu'à ce que le mal soit fait. C'est terriblement, mais incroyablement bon. Comme un espèce de contrat, mon âme que j'aurai vendu au diable simplement pour savourer ce moment.

Un odieux moment de répit avant de recommencer, malgré moi.


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Le coin du chalant / Re : Bagarre ! (Sur le ring comme au lit)
« le: samedi 24 avril 2021, 17:49:09 »
Coucou ! J'me lance !

Etre son adversaire me botte beaucoup, le soucis, c'est qu'il frappe un peu fort. A la limite user d'une technologie pour brider ses pouvoirs et rendre le combat d'égale à égale, sinon j'suis partant si t'as d'autres idées !

Bon courage sinon ! J'suis dispo en mp :)

PS : Si mon personnage t'intéresse, hein, si tu veux pas j'comprendrai o/

24
Quelques secondes. Le temps de profiter de l'orgasme qui m'électrocute encore un peu, soulagé du poids de la frustration comme un toxico qui savoure sa dose. L'impression d'être dans un nuage. Cette sensation n'avait aucun prix. Quitte à bousiller encore cette Kitsune pour mieux l'apprécier.

Et on dirait bien qu'elle n'a pas dit son dernier mot.

Je sens ses dents me pincer la main sous mon regard perplexe. Ca chatouille, un frisson parcourt mon corps mais évidemment pas de sang. Je suis venue ici en prenant un boulet de démolition, elle pensait à quoi au juste, me faire mal ?! C'est pathétique. Les narines pliées, le regard dur et les traits déformés par la colère je commence à fermer le poing dans sa direction.

- T'as essayé de faire quoi au juste ?! Tu vas voir que... *KOF* *KOF* *KOF*

Merde qu'est-ce qui m'arrive, mon corps s'affaiblit, les genoux touchent le sol alors que je tiens ma gorge qui est privée d'air. Ma force vitale s'échappe, j'vois trouble...Un pouvoir ? C'est elle ? Avant de commencer à agoniser, je concentre le mien au maximum avant de libérer une aura verte qui me dégage de cette prison illusoire. Avant de me redresser en grondant comme un fauve enragé.

- Toi... Que je grogne.

Je marche lourdement dans sa direction alors qu'elle rampe comme un misérable insecte à l'agonie, puis j'enfonce le talon de mon pied dans sa colonne pour mieux faire rouler ses vertèbres fragiles. Que je peux briser en mille morceaux d'une simple pression. Je la laisse hurler, s'étouffer également alors qu'elle se trouve prise en sandwich entre le sol et mon talon qui la piétine sans ménagement.

- T'es plus coriace que ta mère, je te l'avoues.

Ma main vient entourer son crâne, en écrasant ses oreilles pour la soulever à mon niveau, deux orbes verts illuminent mon regard qui la pourfend de part en part comme la dernière chose qu'elle verra. La colère coulait dans mes veines. De l'autre main viendra lui asséner une gifle à lui ecchymoser la joue, le revers reviendra aussitôt bleuter l'autre. Celle qui tenait son crâne va simplement glisser sur ses cheveux et la suspendre comme du gibier chassé. C'est tout ce qu'elle est.

- Donc, je serais encore plus méchant. Tu mérites une humiliation exemplaire.

Je lâche l'étreinte pour la laisser s'échouer lamentablement dos au sol. Directement en califourchon sur elle, mes genoux s'effondrent sur l'intérieur de ses coudes pour laisser choir ma queue veineuse, dégoulinant de filet épais de foutre puante sur tout son visage et commencer par mes doigts calleux et râblés d'écarter sa bouche, d'une main, avant de saisir mon membre de l'autre en pointant l'orifice dessus.

- Les moins que rien, les misérables, les serpillères, les filles de putes, les sacs à foutre, je leur pisse dessus...

Sans prévenir, le jet chaud et jaunâtre, presque acide, échappant sa fumée et son odeur irritante et piquante fait une courbe à haute pression dans son gosier que j'écarte avec une poigne en marbre.

- Haaan... Que je souffle, apaisé de sentir ma vessie se vider dans sa bouche. 

Le regard embué par le bien-être je constate doucement qu'elle perd connaissance à presque se noyer dans ma pisse abondante qui dégouline partout sur sa gueule et presque jaunir sa chevelure. Son corps inerte, mais sa respiration encore régulière en toussant mon urine bouillante qui laisse échapper sa vapeur dans la pièce, je me relève pour la retourner comme une crêpe, et la tenir comme une simple poupée gonflable.

- J'ai pas encore fini, crois moi...

Je m'approche du lit et cherche son anus que je prends même pas la peine de lubrifier pour y poser mon nœud énorme sur les bords et écarter son rectum dans un passage en force barbare. Ma main enroule ses deux queues de renard autour de son poing alors que je lui tire les cheveux de l'autre pour garder la cambrure comme un marionnettiste qui s'amuse à garder une posture à sa figurine. Je me range à l'intérieur dans un coup de bassin sec et rapide pour commencer à l'enculer dans cet étau de chair et brulant qui fait tendre mon frein pour des salves gluant de pre-sperme.

- Tiens, prends ça, je vais te briser et te jeter comme une capote usagée. Han...Han... HAN !

Le temps défile, et dans la pièce on peut encore m'entendre lui défoncer sauvagement le cul sans ménagement dans un clapotement visqueux, la chair claquée par mes violences, mais seulement mes gémissements font vibrer les murs. Dans ce corps inconscient. Bientôt, l'éjaculation fulgurante vient remplir son rectum tout en la badigeonnant de ce fluide toujours aussi gras et fumant. Rythmé par des gifles incessantes sur son postérieur, en étirant ses queues comme de simples élastiques, tout en tirant ses cheveux comme un acharné. L'esprit aveuglé par la soif et l'addiction de me vider toujours plus en elle.

Le visage transcendé par la folie.

Lui retournant le corps, dans un ultime élan j'écarte ses cuisses pour l'écraser de ma masse et la clouer dans un missionnaire, toujours aussi infatigable et lui assener des coups de reins qui vient transpercer son utérus comme une joute lancée à pleine vitesse. Et dans un dernier rugissement et une éternité plus tard, j'incinère ses ovaires dans une déferlante de semence brulante qui vient balayer tout son antre comme un raz-de-marée de lave après l'éruption final d'un volcan apocalyptique.

J'entends mon téléphone sonner, disant qu'il restait très peu de batterie. Le soleil vient de se coucher, et le regard sombre je récupère mes affaires et laisse le corps inerte dans ce lit imbibé de flaques et fluides tous aussi odieux et sales les uns que les autres. Un soupir d'aise, le regard absent, je quitte la pièce, sans regarder le champ de bataille que j'ai laissé derrière moi.

Le corps engourdi, mais surtout...

...Libéré. Mais à quel prix ?

Une question que j'ai horreur de me poser, en tout cas...

A bientôt, mes vide-couilles.

25
Prélude / Re : So sad, so true ♪ [Vanéalidée !]
« le: lundi 19 avril 2021, 10:25:47 »
Le vava est subliiiiiiime **

(Re?)Bienvenue ! o/

26
Les contrées du Chaos / Re : Le silence de l'agent.
« le: lundi 19 avril 2021, 10:16:50 »
Ca m'rappelle ces films d'il y a quelques siècles sur des jouets vivants. Sauf que là, c'est la version non censuré. Hé. Sa position à quatre pattes et quand même carrément suggestive. C'est un coup à bander malgré moi, mais c'est pas encore le moment. Puisque madame a encore le cran nécessaire pour tenir le coup. Mais je suis patient. 

"Nulle part ? Arrête de rêver le tas de ferrailles."

Je me redresse. Mon talon arrive comme un arbre qui s'enracine au milieu du dos dans un fracas cinglant, pour mieux l'écraser au sol et lui faire sentir le poids et la force colossale qui m'anime. J'pouvais même sentir ses vertèbres métalliques rouler sous mon pied. Ca pourrait se terminer là, l'écraser comme un gamin qui en a marre de sa figurine. Mais, c'est pas drôle, non ? Alors j'continue de la piétiner en bougeant le pied et sentir ses connectiques hurler sous la pression. Continuer à la bousiller, encore et encore. J'me sens bien con avec mon marteau quand j'me dis que je peux passer par la case rapide.

Mon bras se contracte. Jetant le burin comme une fléchette, elle va se loger dans sa cuisse et lui clouer la jambe au sol, tandis que mon pied se retire comme un rocher massif qu'on décolle de son cratère, lui redonnant son "souffle", si son organisme a besoin de respirer du moins. Je tourne alors comme un prédateur et avise son corps frêle et svelte, j'me demande si elle pourra accueillir mon mandrin, ou... Carrément si elle a un vagin pour faire se faire baiser. Mais si c'est une zone sensible...

"Ton petit minou et ton cul serré, c'est de la taule aussi ? Ne dit rien, j'vais y jeter un œil, ou un doigt..." Que je prononce d'une voix cruelle en me saisissant d'un énorme tournevis. 

Une main sur sa nuque verrouillée pour la coller sur le parterre sale et poussiéreux, j'arrache le burin dans une volée de pièces, et le plante dans sa cheville qui va de creuser le sol, avant de reproduire la même chose avec le tournevis sur l'autre jambe. Ramper n'est plus possible, s'enfuir n'était même pas envisageable. Seulement l'impuissance de voir sa croupe se faire relever pour apprécier l'odeur de sexe enivrer mes sens. Cambré comme le plus pitoyable des cabots.

"Mhhhh, jolie. Ca, c'est pas de la camelote..."

J'me mets à siffler, comme le premier des dépravés qui regarde une jolie donzelle marcher sur le trottoir et récupérer la batterie, laissant ses pinces traîner au sol avant de m'agenouiller devant ce petit cul délicieux.

"Tu crois que tu seras tranquille ? Je t'avais dis que j'en avais rien à cirer de tes réponses. Je te conseille de supprimer ces fameuses informations dans le disque dur pathétique qui te sert de cerveau. Parce que tu n'es plus ce que tu étais. Espion, coursière, salope, individu, peu importe. T'es juste mon jouet, qui finira suffisamment en morceau pour terminer dans une caisse à outils."

Les pinces froides et rouillées vont mordre son fessier, et je jubile en approchant ma main sur le molette d'ampérage, une nouvelle fois...

On dit que nous sommes tous ici pour une bonne raison. La mienne est très simple : Dégommer tous les salauds, et les salopes, s'il le faut.

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Prélude / Re : Fight me. [Keira]
« le: samedi 17 avril 2021, 00:27:37 »
Appétissant tout ça...  ::)

Rebienvenue  :D

28
Les contrées du Chaos / Re : Le silence de l'agent.
« le: jeudi 15 avril 2021, 17:30:58 »
Silence.

Il sonne comme le feu vert de tous mes vices. Une à une, mes chaînes se cassent pour laisser parler l'animal qui tabasse la cage que j'lui ait construit dans mon esprit. Un ronronnement de fauve vibre dans ma poitrine alors que mes mirettes prennent une teinte dorée. Le sourire carnassier qui me trahit donne le ton pour la suite des festivités.

"Tu préfère fermer ta gueule ? D'accord. Ferme-là."

Un regard sur les outils qui trônent un peu partout. Passant mon regard d'un côté à l'autre, je laisse étirer de longues secondes en silence, l'ignorant comme si elle était déjà morte à mes yeux. M'enfin, le but est pas de la crever. Mais de la briser. Mais comme elle est à moitié tas de ferraille, les choses seront plus délicates. P'tete l'occasion de regarder plus en détails. Derrière un sourire espiègle, j'arrache ses vêtements comme un paquet cadeau qu'on veut découvrir à la hâte. Le haut, le bas, puis arrive les sous-vêtements. Un joli petit corps de femme aux formes aguicheuses.

"Oh... C'est mignon tout ça, un petit gibier..."

On peut donc deviner les jointures qui s'arrêtent aux genoux et au épaules. Je passe derrière, son crâne finit en cage entre mes phalanges, tout en écrasant ses oreilles, pour le passer en avant et voir d'autre détails mécanique qui seraient dans le dos. Seulement des orifices. Mon nez s'approche pour la renifler, tandis que mes doigts compriment sa boîte crânienne. Un peu plus, et elle peut finir en miette dans une compote de cervelle électronique . Elle sent terriblement bon, des fragrances féminines en m'en tordre le bas-ventre.

"Donc, t'es une machine. Juste une boite de conserve. Un simple jouet recyclable. Rien, en somme."

Un regard sur un objet en particulier, puis un grognement de satisfaction quand j'saisis une batterie et des pinces crocodiles. Soulevé comme de rien, j'place le boitier devant elle.

"Tu dois être épuisé, non ? Un coup de jus ? Si ce jus te plaît pas, j'ai le mien. Oh, puis tu goutteras les deux. Hm, on va dire la masse dans la jambe gauche, et... Le + au bras droit. Tiens ? Une molette qui permet de régler l'ampérage. Ils ont pensé à tout, t'as vu ?"

Sans prévenir j'fais rouler la molette à quelques ampères, et observe silencieusement la scène alors que j'commence à retirer mon haut, laissant mes muscles rouler sous ma peau en sueur en craquant doucement ma nuque, puis en roulant les épaules. Si les pièces en métal risquent pas grand chose, la chaire qui est au milieu se trouve dans le chemin électrique. Voir son corps convulser, les cordes vocales contractées, aucun son ne sort de sa bouche hormis des bruits étouffés par son châtiment. J'retire la masse de la main gauche alors que mon poing droit se dévisse pour s'écraser comme une pierre en marbre dans son estomac pour mieux la catapulter au fond de la salle avec sa chaise.

La collision fracassante, tant qu'elle rebondit pour choir face contre terre. Je m'approche alors, lentement, prenant un des pieds de la chaise pour la maintenir à l'envers, comme un gorille découvrant son nouveau jouet. Curieux... T'encaisse, et t'encaisse bien...

"Ouaw, tu pètes la forme en plus. J'adore."

Le jouet prit de nouveau, il fera deux tours au-dessus de ma tête pour l'envoyer valser contre le coin de la pièce. La chaise pulvérisée en morceaux. Elle rebondit encore, fait quelques roulés lamentable puis je la redresse aussitôt. Avant de saisir une autre chaise au côté de la table qui proposent assez de matos pour m'amuser longtemps. 

"Je vais t'abord te casser, te recycler en sac à foutre, puis te jeter comme une capote usagée."

Je la redresse sur ses quatre pattes et saisis un marteau et un burin. Rouillés, sales, rayés, usés. On est loin du neuf.

"Avec tout ça, y'a moyen de se faire un paquet de fric."

M'approchant sans m'annoncer vers l'équivalent des supinateurs de l'avant de l'avant-bras, je pose le burin et avec le marteau, il arrive en verticale dans un feule bestial pour frapper avec force dedans, le bruit éclatant comme un coup de fusil. L'outil déchire le métal pour s'empaler entièrement. Le burin arraché avec quelques connectiques qui tombent au sol dans une pluie de pièces, il va survoler son corps avec mon regard hésitant et surtout curieux de découvrir ce corps si synthétique...

"Alors, où est-ce que j'tape..."

29
Je pose alors le téléphone sur la table d'en face, caméra pointée sur nous.

- Je compte tout te prendre, ne t'en fais pas.

Le plaisir jubilatoire gagne encore un cran dans cette débauche malsaine et pourtant si excitante. Ronronnant comme un fauve  satisfait mais encore insatiable, tout en regardant cette pauvre renarde en rut perdre complètement la raison. Comme si j'avais cassé le jouet, et qu'il fonctionnait désormais différemment. Le réseau de veines entourant mon chibre sont encore bien gonflés, dégoulinant l'essence de nos plaisirs respectifs.

Elle a échangé ses plaintes pour des louanges, des cris apeurés par des gémissements en demande, je m'approche pour lui foutre la deuxième fournée dans son p'tit cul avec l'engouement de voir jusqu'où sa cervelle de perverse ira. Rien qu'à la voir écarter ses fesses pour me montrer le chemin, j'me branle nerveusement en passant une langue sur mes lèvres. Me satisfaire de ses étoiles dans les yeux et ce postérieur gracieusement offert. D'un geste autoritaire je retire sa main comme pour lui interdire de toucher ce que j'convoite comme s'il était mien, du moins, pour aujourd'hui. Posant les genoux au sol pour être à niveau, ma langue dérape sur son œillet, en empoignant sa queue dorsale pour mieux l'enrouler autour de mon poing pour le tenir immobile.

- Oh, oui... Une chienne délicieuse...

Puis, dans un vacarme produit par les lattes du lit, toute ma masse se retrouve sur le flanc derrière elle. Mon biceps passe en dessous de sa tête pour lui offrir un coussin musclé, pour mieux attraper sa poitrine que je pince, et malaxe comme une viande bonne qu'à ça. Mon souffle ardent sur son oreille, puis son visage, j'me mets à lécher continuellement sa joue pour la goûter, alors que j'ondule le bassin pour frotter mon sexe contre son cul, le maculant de pré-foutre jusqu'à ce que mon gland bute dessus. Tenant sa hanche fermement d'une main, j'avance comme une presse hydraulique pour commencer cette perforation entre les chairs sur des bruits odieux.  ​

- Ouh, c'est serré...

J'écarte ses chairs, difficilement, et pas trop vite pour éviter un déchirement qui ne ferait que me retirer ce plaisir, cherchant ses entrailles centimètres après centimètres. Ma queue enserré en elle seulement du premier quart, je m'amuse à faire de mini vas et viens pour faire profiter mon gland qui prend son pied à se faire étrangler pour mieux embraser l'intérieur de mon coulis transparent, bouillant et gras tandis que son visage se retrouve noyé dans ma salive que ma langue continue de produire. Mes mouvements deviennent nerveux, emporté de nouveau par un plaisir aveuglant.

- Tiens, prends ma queue, comme tu le souhaitais. Han !

D'un coup plus fort, mon membre se range entier dans ce nouveau casier à spermes que je ravage aussitôt par des coups de reins plus voraces. Augmentant l'amplitude, pour ouvrir comme une énorme bouche béante son cul qui devient mon nouveau jouet. Chaud, aussi ruisselant, le plaisir infini de sentir ses fesses câliner ma queue et rebondir contre mon bassin. L'écraser, la brutaliser si fort pour lui couper le souffle et agiter son corps tout entière.

- Je vais te casser en deux. Que j'gronde d'une voix puissante.

Maintenant bien installé en elle, lubrifié à outrance, je peux lâcher sa hanche pour aller plonger deux doigts massifs dans sa chatte, poignardé ainsi des deux côtés dans une double pénétration violente et impitoyable.

- La brave petite pute aux grandes oreilles, elle aime ça ? Oh oui elle aime ça ! Elle te rends cinglé ma queue, espèce de tarée...

Clapotement visqueux, ma queue veineuse faisait un véritable bruit de marteau contre son postérieur, ramoné férocement sans me soucier des dégâts que j'cause, autant que ma main qui malmène son vagin en y foutant un troisième doigt pour l'écarter davantage et ainsi défoncer tous ses orifices.

Sauf sa bouche, mais j'y viendrais.

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Les contrées du Chaos / Re : Le silence de l'agent.
« le: mercredi 14 avril 2021, 14:17:32 »
 Bien longtemps que je n'étais pas pulsé par cette énergie. On a beau soulever des poids lourds, balancer des bagnoles, plier le métal. Cette énergie n'est pas palpable, ni mesurable, ni tangible. Il anime les corps autour de moi, des corps que j'enviais particulièrement. Cette pulsation qui bat au rythme du cœur.

L'Ambition.

Le goût de partir, le goût de tout quitter, le goût de refaire sa vie. Ça y est, j'y suis putain. Qu'est-ce qui s'est passé ? Un voyage sur Tekhos. Puis, un deuxième, en cherchant sur des dizaines de kilomètres ses portails à la mord-moi-le-nœud qui n'ont pas d'Algorithmes d'apparition du moins, rien que la terre ne connaisse. Ouais, tout est au pif, en tout cas c'est bien fait pour qu'on ait l'impression. Mais d'après mon père biologique, j'ai une très grande longévité. Alors j'utilise ce luxe pour chercher, traquer, pister, attendre, observer. Des longues nuits blanches avec un p'tit sac sur le dos à attendre qu'un truc apparaisse. Des fois en grouillant comme un rat entre les ruelles, en retournant la zone sous-marine. Même en reluquant les quartiers dans plusieurs kilomètres à la ronde.

Tout ça, pour cette énergie. C'était le seul merdier qui me donnait envie de vivre. Et j'étais prêt à traverser un building de nouveau comme sur Tekhos si nécessaire. Il y avait pas d’ennui, pas de lassitude. Oh, de la frustration, certes. Des sacrés coups de nerfs même. Mais rien qui n'entrave cette envie, cette pulsion, cette obsession. Je voulais partir. Terra avait l'air de cacher des secrets qui sont appelés à être percé. Et j'compte bien les découvrir.

Un mois. Jour pour jour. Que j'étais dehors à vagabonder comme le dernier des clodos.

Ma recherche s'est étalé bien plus loin du Japon. Le problème, c'est que j'prends pas l'avion. J'm'envole moi-même. Pas de visa, pas de passeports. Le Roi des clandestins qui mine de rien a pu parvenir à passer à travers les tours de contrôle aériennes. Survoler la mer de chine pour avoir les miches à Shanghai. Pas encore essoufflé de ma besogne, et j'ai eu raison. Aussi sale qu'un homme des cavernes, les vêtements usés, j'assiste sous mes yeux ébahit, à la lumière aveuglante d'un portail qui vient d'apparaître à 3h47 du mat' alors que j'dormais sur les docks. Ma crinière hirsute flotte dans l'air aux bourrasques de la faille, un bruit strident dans les esgourdes, et le cœur battant dans mon torse comme s'il pulsait pour la première fois. Dans une onde de choc, j'me propulse comme un boulet de canon à l'intérieur.

Le bruit, l'air, le son, les sensations. Tout disparaît dans un moment éphémère et à la fois éternel. Cette fameuse transition qui était bizarre la première fois, et tout aussi bizarre la troisième fois. La lumière s'engouffre et des terres sauvages et sableuses se précisent au loin.

Pour un crash tout aussi violent. 

***

"Hm.
- Alors Héraclès, oui ou non ?
- J'sais pas.
- T'as pas l'air du coin quand on t'écoute. N'importe qui aurait sauté sur l'occasion !
- Euh, si, si j'habite ici.
- Ou ça ?
- J'suis un nomade.
- Nomade, hein... Ecoute, t'es un gros molosse, tu es le profil parfait pour ce boulot. Mais je ne peux pas t'en dire plus tant que tu n'acceptes pas..."

Lied m'avait parlé d'Ashnard. Me disant que je n'avais pas besoin de connaître cet endroit. Faut croire que j'aurai dû lui poser quelques questions avant. Mercenariat, boulot lambda et aventures. Voilà l'emploi du temps des rares cinglés qui traînent dans le coin. Les contrées du Chaos sont sous leurs juridictions, à ne pas prendre au pied de la lettre parce que c'est l'anarchie ici. Même si certains comportements donnent pas envie, j'ai pas non plus l’envie de me foutre dans un sale pétrin si j'me retrouve devant quelqu'un qui maîtrise l'obsidienne pour me foutre KO. Et j'tombe sur ce Nyx. En tout cas il se fait appeler comme ça. Dans les ruelles d'une ville bien moche, sale et chaotique, j'taille la bavette avec ce p'tit mec tatoué partout sur lui. Il fallait survivre, et pour survivre, il faut de l'argent. Et ça commence à faire quelques jours où ça devient compliqué. Après un soupir hésitant, j'opine doucement du chef. Et c'est là qui me demande de le suivre.

On arrive devant un conteneur. Le caisson métallique est rouillé et rien ne donne envie d'entrer. J'grogne.

"Si tu cherches à me coincer, je peux te broyer vivant ici et maintenant.
- Du calme, le colosse. Il faut bien une couverture tranquille, pour travailler tranquillement..." Qu'il me répond d'une voix espiègle.

Il ouvre, c'est vide. D'un habile geste, les jointures d'une porte se disloquent dans le mur du fond. Ca donne sur des escaliers sombres et descendants. J'fais alors apparaître un orbe vert dans le creux de ma main pour y voir quelque chose. Nyx soupir avec un ton sarcastique.

"Un nomade, hein.
- Ouais, un nomade."

Il se met à rire et voilà qu'on arrive dans des couloirs obscurs, ça débouche sur un immense bureau, l'odeur du moisit, d'alcool et de bouffes dans des cartons, occupés par des gens armés jusqu'aux dents. Des écrans sur les tables, certains fonctionnaient, d'autres grésillaient, et un en particulier avait un focus net sur une personne attachée. En vision nocturne. Un p'tit bout de femme. Nyx pointe l'écran en tapotant du doigt.

"Tu vois, elle ? C'est une voleuse. Impitoyable, sans pitié, cruelle et égoïste.
- Qu'est-ce qu'elle a fait...?
- Du mal, à énormément de gens. Je te connais assez pour savoir que tu n'aimes pas ça toi non plus.
- Vous avez pas l'air d'être des anges, non plus.
- Il faut se défendre.
- Ça change quoi avec elle ?
- Elle profite du chaos pour nous conduire à notre perte !"

J'fronce les sourcils.

"Qu'est-ce que tu veux.
- Des réponses. On doit savoir pour qui elle bosse et couper le robinet à la source. On pense que t'es le profil parfait.
- J'ai jamais questionné quelqu'un. Pas dans ce contexte.
- Tu trouveras un moyen. Tu peux... Aussi en profiter.
- En profiter ?
- Regarde bien..."

Il zoom et effectivement...

"D'accord.
- Une liasse t'attends quand tu auras fait le boulot.
- Comme si c'était fait.."

On va voir qui va profiter du Chaos ma grande. Un mec m'accompagne, et les néons s'allument progressivement sur nos tronches, dans une pénombre quand même bien menaçante. Puis on arrive devant une porte blindée. Il sort un badge, le passe sur une borne, une lumière rouge passe au vert sur le boitier et le verrou se retire du flanc massif du battant. Deux spots aveuglent notre captive et sans un mot qu'on m'enferme à l'intérieur. La gueule que j'ai. Des cheveux poussiéreux, des haillons barbares qui me servent de vêtements. J'empeste la sueur, mes mains sont calleuses et le bout des ongles noirci par le travail manuel. Ma voix grave, rauque et puissante résonne dans la pièce quand il faut l'interpeller.

"Apparemment tu veux pas ouvrir ta petite bouche."

En la détaillant rapidement, j'peux voir que c'est une hybride, avec des prothèses cybernétiques tout à fait étonnant. Mais aussi voir que c'est une jolie créature. Tu vas voir, espèce de lâche que j'vais te briser petit bout par petit bout. Plusieurs outils sont dispatchés sur une table. J'ai fait de la mécanique, mais ça m'a l'air bien trop complexe pour essayer de faire un truc bien propre. Mes pas lourds s'approchent d'elle alors que mon ombre l'enveloppe de toute ma masse, dans un ultime élan magnanime.

"Est-ce que tu vas parler ? Cette question ne sera posée qu'une seule fois. Ensuite, j'en aurais rien à cirer."

Oh oui, refuse, s’il te plaît. Elle sent bon, elle est jolie et on est enfermé.

Merci Terra.

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