Olivette fut rangée, et Mélinda décida de remettre ça à plus tard. Il lui fallait obtenir un rendez-vous avec Slotwenna pour une consultation magique, ce qui, mine de rien, n’était pas simple. Entre son emploi du temps comme professeur, ses activités de conseillère magique auprès des conseillers impériaux, ses élèves, ses formations privées, ses recherches théoriques, et ses voyages, Slotwenna était très occupée. De plus, Olivette pouvait attendre, aussi Mélinda commença-t-elle par demander à sa belle secrétaire de lui trouver un rendez-vous auprès d’un expert en armement ashnardien, afin qu’il expertise l’arme, de manière à simplifier le boulot de Slotwenna. Mélinda retourna ensuite à ses nombreuses activités au sein du harem.
Parmi les nombreux clients qui se succédèrent, vint un beau soir une élégante sorcière, qui avait décidé de fêter l’obtention de son récent diplôme dans une académie magique. Ce diplôme la confirmait en tant que magicienne réputée, et elle avait décidé de célébrer ce diplôme sur toute une semaine, et venait maintenant au harem de Mélinda. Cette sorcière s’appelait
Sabrina, et était une belle blonde dont le chapeau de sorcière semblait la ranger dans une catégorie ancestrale de femmes. Il y avait bien longtemps que les sorcières ne portaient plus ce genre de chapeau pointu, qui relevaient du folklore, mais Sabrina avait choisi de le garder, depuis qu’une de ses nombreuses amantes de l’académie lui avait dit que c’était sexy sur sa belle tête. L’académie magique était un lieu de tous les excès, lieu de rigueur excessive, presque compulsive, la magie exigeant du sérieux et du travail acharné, mais aussi lieu de débauche par excellence, où formatrices et élèves s’adonnaient avec joie à de magnifiques orgies magiques. Un vieux dicton affirmait ainsi qu’une magicienne vierge était forcément mauvaise, et, dans le langage courant, dire d’une magicienne qu’elle était vierge revenait à dire qu’elle était incompétente. Sabrina était rentrée à l’académie, petite fille timide, vierge, envoyée ici par sa famille. Elle en était ressortie complètement dépucelée, de la tête aux pieds, avec une assurance qui ferait probablement d’elle une grande sorcière. Elle espérait maintenant devenir professeur, et devrait commencer par faire ses preuves, puis voulait siéger au Conseil des Magiciens... C’était le rêve de toutes les magiciennes apprenties que de vouloir siéger au Conseil.
Elle avait pour l’heure laissé ses ambitions de côté, et laissait sa perversion s’exprimer dans ce harem. Elle était venue avec l’un des bûcherons de l’académie. L’académie avait à son service un véritable domaine comprenant des fermiers, des bûcherons, des pêcheurs, des maçons, et d’autres paysans qui ne se plaignaient jamais d’être dirigés par des magiciennes. Il était fréquent que les magiciennes viennent les ensorceler pour leur faire l’amour, leur offrant en retour des potions accroissant sensiblement leurs libidos. Ce brave bûcheron avait été «
kidnappé » par Sabrina pour l’accompagner. Elle le ramènerait à sa famille après s’être amusée avec lui. Il n’était pas particulièrement beau. A vrai dire, il était relativement laid. Il avait un ventre énorme, une barbe affreuse, mais il était impressionnant, et avait surtout une belle queue. Sabrina ne l’avait pas utilisé sur elle, mis s’en servait comme d’une espèce d’animal de compagnie. Elle faisait l’amour avec des incubes en les invoquant, et se délectait de le voir, impuissant, observer la scène.
Sa cible du moment était une espèce de curieuse goule modifiée, qui n’avait pas de vagin, mais une bouche sensible, et qui suçait avec avidité. Sabrina avait commencé par faire plaisir au brave bûcheron, et ce dernier offrait à la salope une sodomie mémorable. La sorcière avait patiemment attendu, jusqu’à ce que le bûcheron se vide dans le cul de la pute, puis elle avait fait sortir son sexe, un superbe pénis.
«
Viens me sucer, ma chérie ! »
La
chérie obtempéra, et Sabrina frémit devant cette fellation merveilleuse. La goule n’hésitait pas à faire de longues gorges profondes, et devait sûrement adorer la verge magique de Sabrina, qui était propre, tendre, et délicieuse. Se faire pousser une verge faisait partie des quelques indispensables sorts de magie rose que les élèves apprenaient à l’académie magique... Comme celui de déclencher un orgasme, ou manipuler les hormones des hommes. Des sorts indispensables si on voulait devenir une magicienne confirmée, et qui donnaient constamment lieu à des affrontements entre professeurs et élèves, chacun cherchant à corrompre l’autre camp en plein cours.
Sabrina se fit pousser d’autres queues, qui poussèrent de ses testicules. Il y en eut d’abord deux, côte à côté, puis une troisième qui pointa entre les deux, formant une espèce de bouquet surnaturel, et ordonna à Theorem de sucer chacune des queues. Le bûcheron, de son côté, giflait les fesses de Theorem, et Sabrina continua à caresser Theorem, plaquant profondément sa bouche contre une queue, les autres remuant toutes seules sur ses joues, glissant dessus. Les beaux ongles de Sabrina étaient devenues de longues griffes, qu’elle promenait sur sa nuque, sans faire couler son sang. Elle jouait tout simplement avec lui, vicieuse jusqu’au bout des ongles.
«
Suce mieux que ça, salope ! Ne te relâche pas !! Haaa... »
Le bûcheron donnait de grands coups, et Sabrina lui ordonna d’aller prendre un fouet. Servile, le bûcheron obtempéra, et abattit le fouet sur le cul de Theorem. Le claquement du cuir faisait frémir Sabrina, et trois de ses nombreuses verges jouirent en même temps, éclaboussant le visage de Theorem. Le sperme se mit à dégouliner de ses joues, et le fouet le heurta au dos. Sabrina continuait à le maintenir contre son bassin, le faisant bouger, queue après queue. La belle blonde se régalait.