[FINI] Gorge profonde [Theorem]

Océan était une femme assez autoritaire. Les Sahuagins souffraient d’une forte perte de femmes dans leur société, ce qui les conduisait de plus en plus à devoir sortir des profondeurs de leurs grottes pour capturer des femmes dans les villages côtiers ou dans des navires pour les enfanter. Partant de là, les femmes sahuagins étaient profondément respectées, et disposaient d’un statut supérieur, statut qui avait marqué leurs gènes. Océan ne faisait nullement exception, comme elle le prouvait en dirigeant autoritairement le petit Inu. Ce dernier couinait faiblement, fidèle à un petit chiot. Avec l’une de ses puissantes pattes, Océan l’avait plaqué contre l’intimité d’Ayumi qui se mit à gémir. Cette dernière venait tout juste de se faire greffer un pénis masculin, ayant avoué qu’il s’agissait de son plus grand désir. Une Terrienne qui devait encore apprendre à utiliser ce memre. Océan, personnellement, n’était pas membrée, préférant qu’on s’enfonce en elle plutôt que de s’enfoncer dans d’autres.

« Haaan... Haaaa, haaaannn, ohhhh ! soupirait Ayumi.
 -  C’est bon, hein ? Vas-y, Ayumi... Laisse le plaisir monter, laisse ta mouille venir, avant de le faire sortir, fsssss... »

Elle sifflait, sous le signe de l’excitation. Ayumi était, de son côté, nerveuse, très chaude, et Océan écarta sa tenue de combinaison, l’aidant à l’ôter. Ayumi se retrouva ainsi nue, ce qui en temps normal, l’aurait sûrement gênée. La Sirène avait néanmoins un côté assez schizophrène, dans la mesure où le sexe faisait rapidement sortir toutes ses inhibitions. Voilà pourquoi, sur sa fiche personnelle, Mélinda avait indiqué qu’elle était « nymphomane », ce qui avait surpris les jeunes esclaves, dans la mesure où la Sirène avait été très discrète, très craintive, nerveuse... Jusqu’à ce que le plaisir sexuel monte en elle, que sa langue pende hors de sa bouche comme une chienne, et que son sexe ne jaillisse.

Ayumi fit ainsi sortir son sexe, poussant des petits crics, et finit par bourrer la gorge de l’Inu sans ménagement, posant ses mains sur sa tête, avançant en lui, remuant furieusement son bassin, l’avançant rapidement. Le brave était ainsi pris entre la Sirène de Mishima et la Shemale, qui lui défonçait également le postérieur. Le pauvre Inu devait bien comprendre que, même dans le harem de Mélinda, le bizutage était une réalité. C’était son bizutage à lui, être pris entre des femmes énormes.

« Haaaaan, haaaaan, haaaa !!! PUTAIN !!! Hmmm... Ce que c’est bon, haaa... J’adore, j’adore ! Suce-moi, suce-moi ! Allez, allez, allez, aaaallleeeeezzz !! »

La Shemale ne tarda pas à jouir, et une autre femme vint rapidement la remplacer, plongeant le petit Inu dans une espèce de tournante de plus en plus enflammée. Plusieurs esclaves les entouraient, le cercle grossissant, mais, encore une fois, une bonne partie des esclaves n’assistaient pas à cette scène.

Theorem subissait ce viol de plusieurs heures... Il se déconnectait lentement de la réalité. Autant de sexe, en si grande quantité, aussi souvent, par des monster girl toutes plus différentes, toutes plus ou moins membrées, dans l'indifférence générale de certaines et l'excitation des autres, il fut finalement laissé, la croupe relevée, débordant de mouille et du sperme plein la bouche. Il n'osait pas imaginer le nombre de MST qu'il pouvait attraper en faisant du sexe non protégé en aussi grande quantité. Le jeune Inu se roula finalement en boule dans son lit, confus, et fit un sommeil réparateur sans rêve... Il fut réveillé par un garde qui l'amena à la salle de bain. Après avoir été obligé de se dévêtir, de se faire récurer à la brosse douce sous l'eau et se faire recouvrir de savon apaisant, le garde sortit un étrange outil de nettoyage. Le mettant à quatre pattes, il enfonça un tube à bout mou en lui et lui injecta de l'eau. Forcé de se vider par la suite aux toilettes, il se sentit vide, humilié... Le garde se paya en nature du nettoyage de Theo par une gorge profonde. Theorem n'avait pas dit un mot depuis le début du viol. Il se contenta de regarder le garde qui pilonnait sa bouche avant de le sentir jouir dans sa gorge. A ce rythme là, le sperme allait devenir sa nouvelle source d'alimentation. Etant immortel, il était exclu qu'il meurt de faim. Et a part du sperme ou de la cyprine, rien d'autre n'avait remplit son estomac.

"Voila, ton uniforme pour aujourd'hui, enfile-le."

Il lui donna sa robe de maid en latex. Machinalement, Theorem l'enfila. Une fois moulé dans le latex, il se regarda un moment dans le miroir avant de se tourner vers le garde. Ce dernier vérifia son état général, que sa ceinture de chasteté était toujours en place avant de mettre la cagoule en latex sur la tête de Theorem qui eut le temps de couiner... Il en venait à désirer que l'image qu'il verrait avant ses journées de boulot soit Melinda et pas un garde anonyme... Oui, il en venait là. Il verrouilla le cadena à l'ouverture puis mit le collier de chien à Theorem, s'assurant que sa queue de cheval rouge pendait bien dans son dos. Finalement, il tira la laisse pour l'amener dans une nouvelle pièce... Il ne pouvait bien sûr pas voir.

"Ouvre la bouche, soumis."

Il le fit avant de sentir un anneau de métal se glisser entre ses mâchoires. Une lanière de cuir se serra derrière sa nuque et sa bouche gardé ouverte était bien verrouillée en place. Le bâillon avait aussi une sorte de bouchon, similaire à une bonde de baignoire, fermant sa bouche pour éviter qu'elle se dessèche. Enfin, on se plaça dans une sorte de carcan en plastique. Une fois installé, il était comme dans un présentoir, à genoux, les bras attachés en l'air. Le carcan le maintenait dans cette position. Plusieurs personnes étaient dans son état... Pas mal de femmes enceintes ou de travestit. Theorem était de ceux encagoulés, mais le traitement de Theorem, plus violent, imposait la cagoule pour lui faire tout oublier, tel un lavage de cerveau. Le service fut ouvert, les clients approchèrent... Theorem frémissait en sentant des mains se poser sur lui et finalement, son bouchon se faire retirer...

"Je vais me faire ce trou là... Il a l'air accueillant."

-HJ- Image plus ou moins ressemblante -HJ-

Le bizutage de Theorem fut à l’image de tous les bizutages. Il le laissa sur le carreau, complètement épuisé, mais il était après tout important que l’Inu comprenne que le sexe était le moteur du harem. On le laissa dormir en paix pour la nuit, tandis que le harem, lui, continuait à s’agiter. Il y avait dans le salon commun un planning à consulter. Il indiquait les jours de repos, qui travaillait, les horaires, et était modifié chaque Dimanche, où le harem était fermé. Le Dimanche permettait de faire des tournées d’inspection, de nettoyer à fond les locaux, et de permettre aux esclaves de se reposer un peu. Mélinda ne cherchait pas non plus à les tuer à la tâche.

Theorem commençait ainsi dès le lendemain. C’était assez tôt, mais Mélinda voulait voir de quoi il était capable. De 09h à 12h, il serait ainsi « en galerie », un terme officieux pour désigner le fait qu’il ne serait pas dans une chambre, mais offert presque gratuitement aux clients, afin de les échauffer. Ce ne serait donc pas trop éprouvant pour lui. Il fallait savoir commencer en douceur, après tout. Les gardes se chargèrent de réveiller Theorem, de le nourrir, puis de le nettoyer proprement, utilisant des parfums pour le rendre plus attirant. Loin de là, Mélinda poursuivait sa journée, n’ayant pas dormi. L’avantage indéniable d’être un vampire était que le sommeil ne venait que rarement, ce qui permettait ainsi de pouvoir continuellement travailler, sans perdre des heures à dormir. Theorem n’était après tout pas le seul sujet de préoccupation de la vampire, et elle signala malgré tout à son assistante de penser à lui rappeler d’aller le voir ce soir, quand il aurait fini sa première journée.

La journée de Theorem commença ainsi par une série de fellations dans ce qui faisait office de salle d’attente. L’Inu n’était pas le seul ainsi, et d’autres femmes étaient également dans d’autres positions. Elles étaient « en vitrine », autre terme officieux pour désigner ces femmes qu’on attachait contre les murs, dans des tenues en cuir, avec des bandeaux sur les yeux, un gag ball sur la bouche, et deux godes dans les parties intimes. Elles pouvaient rester ainsi pendant des heures, à subir les regards et les assauts lubriques des clients. Toucher était naturellement autorisé, et le système, pervers, indiquait également, à l’aide de capteurs, la quantité de cyprine que le corps émettait, se fiant à cette quantité pour indiquer approximativement le nombre d’orgasmes. La position de la vitrine était indéniablement l’une des plus belles idées du harem.

« Hum... Quelle délicieuse petite bouche, aaaah... »

Un client venait de se décharger dans la bouche de Theorem, lui caressant les cheveux dépassant de son bandeau, et retira son sexe. Theorem était le plus chanceux, car un écriteau précisait à côté de lui de ne « uriner dans sa bouche », sous peine de le voir tout recraché, l’Inu n’ayant pas encore été totalement formé. D’autres prostituées mises en galerie n’avaient pas cette chance. Il existait bien sûr des toilettes, mais, généralement, les clients aimaient bien ça : uriner dans la bouche des femmes présentes, ou jouir pour faire passer l’envie d’uriner. Il fallait parfois attendre une bonne heure avant qu’une chambre ne se libère, surtout si on venait tôt. Des études avaient démontré que l’attente était souvent le point négatif de la plupart des établissements, d’où le souhait de Mélinda de fidéliser la clientèle en travaillant cet aspect.

Les magazines proposés étaient tous des revues pornographiques plus ou moins hard. Il y en avait pour tous les goûts, et certaines revues auraient, sur Terre, été littéralement censurées. Cependant, à Asnard, si les libertés publiques étaient extrêmement faibles, les libertés individuelles, en revanche, notamment le droit de disposer de son propre corps, étaient fortes. Partant de ce principe, la plupart des magazines ne se contentaient pas de simplement montrer des femmes dans des tenues aguicheuses. Il y en avait pour tous les goûts, ce qui incluait ainsi la pédophilie et la zoophilie. Le harem de Mélinda, cependant, ne permettait aux clients de coucher qu’avec des filles ayant eu leurs premières floraisons. La zoophilie, en revanche, était un sujet à controverse. Il fallait en effet voir si on considérait les Terranides comme des animaux ou non, mais, là encore, le harem n’allait pas jusque-là. Cette politique modérée par rapport à des maisons de charme très extrêmes était parfois critiquée, mais la ligne de conduite du harem n’avait pas changé. Mélinda n’était pas monstrueuse au point de laisser des filles de cinq ans être sauvagement violées par des individus assoiffés de sexe.

Ce matin, Theorem suça donc bien des queues, dont une qui était très poilue. A force, il finirait par comprendre comment faire une bonne fellation, comment faire durer le plaisir, quelle partie de la verge il fallait précisément lécher, combien de temps s’y attarder... Des choses qu’on ne pouvait apprendre qu’en pratique, car il fallait aussi tenir compte de l’individu en face, de son expérience sexuelle, ou de sa race... Les queues se succédaient ainsi.

Le jeune Inu, transformé en distributeur à fellation, resta à sa place docilement. Son ventre se remplissait de semence à force du passage des clients. C'était devenu sa source d'alimentation si on pouvait dire. Il continua à accepter différentes queues. Parfois c'était des humains fort bien membrés, leur queue pénétrant sa gorge très profondément. Certains étaient des gros, dont la bedaine graisseuse s'écrasait contre son facies recouvert de latex. Des fois des non-humains et là le goût changeait. Passé le dégoût et l'humiliation, il se mit à apprécier certaines queues. Les larges et d'une taille convenable. Elles occupaient sa cavité buccale parfaitement et leur gland tapait juste le fond, derrière la luette... C'était ça qu'il aimait le plus et qui lui donnait des orgasmes délicieux. Certains s'amusèrent à tirer sur ses tétons... C'était un plus délicieux. Il se demandait si Melinda appliquerait un jour de cette substance érogénisante sur ses tétons.

Midi vint et Theorem devait certainement avoir quelque chose de changé, se disait-il... Mais en fait, un service passa pour verser via un entonnoir le repas de Theorem. Chaque filles présentent allaient recevoir ça. La soupe, tiède pour ne pas les brûler, était surtout de l'eau, quelques légumes coupées très fins, des protéines et un aphrodisiaque pour les faire passer le temps. Voila pourquoi sa cagoule avait un anneau au sommet. Le garde leur donnant à manger prit doucement l'anneau et l'attacha à un crochet derrière Theo, gardant sa bouche parfaitement à niveau. L'entonnoir en métal fut placé et le garde versa lentement une louche de soupe. La seconde... puis la troisième. C'était un peu du gavage, mais les clients attendaient. Theorem fut replacé convenablement, le faisant tousser... Puis l'écriteau interdisant de s'en servir comme toilette fut retirée...

Il allait donc passé à l'étape supérieur... Au moins jusqu'à ce soir. Les clients revinrent à la charge se servir des filles et de Theo. Il savait que son double pénis était en sursit ici... Melinda voulait faire de lui la suceuse ultime... Certain que très bientôt, il ne tirerait de plaisir sexuel que part cette dernière... sa bouche !

Le début de la journée se déroula, fort heureusement, sans aucun incident. Aucune plainte de la part de clients ou de la part de ses filles. Il arrivait toujours qu’on tombe sur des fous furieux qui choisissaient des filles douces pour défouler leurs pulsions sexuelles. Mélinda prenait toujours soin de préparer ses protégées avant de les mettre en piste. Avec Theorem, tout avait été très accéléré, car il s’agissait d’un transfert, mais, généralement, elle essayait de vérifier ce qu’une protégée aimait, ou, au contraire, détestait, en faisant ensuite des fiches qui permettaient de guider les clients. Il arrivait toutefois parfois qu’un client cherche une fille ne supportant que des relations soft pour la ficeler à coups de martinets. Dans ce cas, la protégée appelait au secours, et les gardes débarquaient rapidement pour sortir l’excité, que Mélinda poursuivait ensuite en justice, mais il fallait surtout consoler ensuite la protégée, et éviter que la situation ne dégénère. Fort heureusement, aucun accident de ce type ne survint ce matin.

La pause-déjeuner vint pour la plupart des filles. Elle était toutefois très courte pour celles qui étaient en vitrine ou en galerie, puisqu’ils n’avaient pas grand-chose à faire, somme toute, dans leurs activités. Celles qui étaient en vitrine étaient nourries par intraveineuses, de manière à ne pas devoir retirer tout l’équipement et tout remettre (c’était long et ça cassait le rythme). Quant à Theorem, les gardes informèrent Mélidna qu’il n’avait jamais vomi, et qu’il avait semblé, vers la fin, assez excité. Difficile de le dire, quand on avait une cagoule sur la tête, mais les gardes, après tout, avaient quand même un certain talent d’observation.

Mélinda avait donc décidé d’autoriser les clients à uriner dans sa bouche, afin de voir jusqu’où son endurance pouvait aller. Il s’agissait de le tester, tandis qu’elle attendait les résultats du devis pour l’extraction de ses deux sexes. Le résultat ne viendrait pas aujourd’hui, mais dans au moins plusieurs semaines. Il fallait que le courrier de Mélinda arrive à l’ambassade d’Ashnard à Tekhos, puis, de là, que les agents diplomatiques traitent la demande (en tant qu’esclavagiste ashnardienne liée par contrat à l’Empire, Mélinda était traitée en priorité, mais il y avait beaucoup de demandes), et la renvoient. Peu importe les mondes, les administrations étatiques étaient toujours affreusement lentes.

Theorem, de son côté, retourna donc sucer des queues, et ce fut après avoir goûté à une verge tentaculaire (des tentacules noirâtres glissaient autour de cette verge, qui appartenait à une femme) qu’il goûta à de l’urine. L’homme qui remplaça la femme, quelques minutes après son passage, était l’un de ses esclaves. La femme en question refusait d’aller aux toilettes, et le tenait par une chaîne en argent autour du cou.

« Si tu as tant envie que ça, tu n’as qu’à te décharger dans les ‘‘récipients’’ qui sont à côté... Comme celui que je viens juste d’utiliser pour prendre mon mal en patience. »

L’homme ne dit rien, conscient que parler reviendrait à se recevoir des coups de fouet, et enfonça son sexe dans la bouche de Theorem. C’était un Terranide poilu, et, si sa verge était propre, il avait de nombreux poils pubiens, qui vinrent chatouiller les lèvres de l’Inu, formant comme une espèce de confortable fourrure. Fermant les yeux, le Terranide posa ses mains griffues et poilues sur la tête de l’homme, et commença à uriner en lui.

Theorem eut à peine le temps de se remettre de son repas expédié aussi rapidement qu'il devait sucer encore. Pas mal de pénis se succédèrent dans la bouche de Theo. Il y en avait pour tout les goutes, de toutes les races, de toutes les formes. Il eut des pénis humains, parfois circoncis, parfois non. Des pénis sales et propres venaient aléatoirement. Des fois c'était des sexe non-humains. Theorem arrivait déjà à en différencier certains. Il y avait des pénis tout doux et roses de furry qui glissaient sur sa langue, au gland très fin et pointus comparé au pénis humain. Des fois c'était des sexes pourvus de sorte de reliefs ronds, donnant une surface irrégulière pour des femmes. Des fois, il s'agissait de longs pénis fin et longs, entrant profondément dans sa gorge. Des clients consciencieux refermait le bouchon après une fellation pour éviter que la bouche se dessèche et ne soit plus agréable. Theorem perdait lentement pied... Il perdait le compte du temps, il perdait conscience de son statut d'être vivant. Il s'imaginait déjà estampillé "urinoire" dans une salle carrelée, ne servant qu'à ça.

Le temps s'écoula et il eut plusieurs fois l'expérience de l'urine. Un client s'approchait de lui, plongeait son sexe dans sa bouche et se vidait. Ce furry esclave fit de même. Son sexe tout doux et sans peau se glissa sur sa langue. Theorem chouina faiblement, prouvant qu'il était vivant au furry avant de recevoir le jet doré. Le goût de l'urine aurait repoussé énormément de monde. La langue hyper stimulé de Theorem en analysait jusqu'aux composants de l'urine du furry. Elle lui donnait surtout de l'eau à boire et du thé, vu son goût. Theorem gémissait et après le départ de ce client, lui aussi eut besoin d'uriner après cette journée à se retenir. En réalité, comme énormément d'esclaves ici, un tube était connecté à son double pénis. Il se laissait aller  et les clients ne pouvaient pas le voir à cause de la jupe et du tablier de Theorem. Sa condition d'immortel et du fait qu'il n'avait rien avalé de solide lui interdisait de déféquer. Finalement, il attendit ainsi, utiliser régulièrement, ne cherchant plus à communiquer. Dans la noirceur de la cagoule, il se focalisait sur les seuls sensations qu'il ressentait. Des fois les fellations lui donnaient un orgasme, des fois le dégoût ne faisait que le sentir plus humilié et looser.

Lors de certains clients, il tremblotait. Dur de dire si c'était par l'extrême frustration qu'il ressentait, de ses orgasmes buccaux si puissants, ou de son état mental qui lui rappelait qu'il était un ancien chevalier et que sa vie était détruite. Il gémissait des fois lorsqu'un pénis se glissait dans sa bouche, surtout les immondes bien poilus, avant que sa face ne s'écrase contre le gros ventre de ces hommes repoussant, n'ayant que la chance de le faire avec des putes. Que dirais ses proches de Gora Moroz, son pays natal ? Son esprit déraillant complètement le faisait voir au pilori, recevant les choux pourris, se faisant violer par les peu courageux la nuit et battu... Là il se voyait tel un masturbateur dans une salle d'attente. Un Ona-hole. Tant pis pour sa vie passée...

La soir vint... on entendit pas de bruit de craquement d'usure pourtant...
Mais Theorem... était brisé psychologiquement...

Pour Theorem, ce fut une longue journée. Sa première journée en tant qu’objet sexuel au sein du harem. Il ne pouvait même pas se prétendre prostituée, car il n’en était pas une. Aucun des clients ne se doutait avoir affaire à un homme, et c’était une bonne chose. Il n’était rien de plus qu’un objet sexuel, mis là, en attente. C’était particulièrement frustrant, mais indispensable. Il fallait que le sujet comprenne qu’il n’était rien, et que Mélinda était tout. Qu’elle était la seule à pouvoir décider de sa vie, qu’elle contrôlait tout de la vie de ses sujets. C’était une étape indispensable quand on était un esclave, celui où la volonté était brisée. Mélinda s’estimait assez tranquille sur ce point. Généralement, la plupart des esclavagistes faisaient cela en torturant leurs esclaves. Elle, elle le faisait en faisant d’eux des objets sexuels. Theorem passa donc une longue journée, et, lorsque le soir vint, il resta abandonné dans la salle d’attente, tandis que les gardes venaient pour détacher les filles. L’étape naturelle qui suivait était les thermes du harem. Après avoir passé une journée sans bouger ou presque, les membres étaient ankylosés, et il fallait donc se détendre, mais aussi se laver. Il se dégageait des corps une odeur guère attirante, que ce soit en raison du fait qu’ils faisaient leurs besoins naturels sur eux (ou presque, car des tuyaux permettaient d’aspirer les déjections du corps), ou qu’ils étaient utilisés pour goûter du sperme toute la journée. Ça laissait de vilaines traces sur la langue et dans la gorge, et un bain n’était pas de trop.

On ôta à Theorem sa cagoule et son bouchon. Il était abattu, et ceci n’échappa pas aux gardes, qui haussèrent toutefois les épaules, et tirèrent sur sa laisse.

« Dépêche-toi, l’Inu, tu as un bain à prendre. La dame veut ensuite te voir. »

La dame était l’un des surnoms de Mélinda, que les gardes utilisaient. N’étant pas vraiment ses esclaves, ils pouvaient l’appeler ainsi. Ils durent un peu traîner l’Inu, abattu, dans les thermes. L’homme était vraisemblablement morose, mais cette ambiance n’était pas partagée. Plusieurs filles parlaient entre elles.

« Beurk ! Se faire pisser dessus, c’est vraiment dégueu ! commentait une femme.
 -  Ça t’apprendra à gifler les clients ! la sermonna une amie. Putain, je t’ai dit de faire gaffe ! Dans certains harems, on tue les filles rien que pour ça !
 -  Ouais... Ben, c’est pas ça qui rend moins insupportable la pisse... Beurk ! »

Elle reçut un baiser.

« Et comme ça ? Comment va le goût ?
 -  Hum... Je crois que j’aurais besoin de soins approfondis, docteur... » minauda la jeune fille.

Après le bain, Theorem se retrouva dans un petit salon. Les gardes avaient du l’aider à se nettoyer, ce dernier étant à côté de ses pompes. Il se retrouva dans une petite pièce assez agréable, où Mélinda était allongée sur un canapé, sa longue robe glissant sur le sol, révélant ses superbes jambes nues. Elle lisait quelque chose, et n’était pas seule. Dans son dos, une servante glissait ses doigts dans les longs cheveux de Mélinda, les caressant avec dextérité, sachant très bien que lui arracher un seul cheveu était pour la vampire un crime. Il y avait également une table ronde, petite, où du chocolat chaud attendait, dans deux tasses. En entendant les gardes approcher, Mélinda se redressa en souriant légèrement.

« Ah, mon brave Theorem ! Je t’ai fait mander. Messieurs, vous pouvez nous laisser. »

Les deux gardes obtempérèrent et sortirent. Mélinda fit signe à sa servante, qui alla lui chercher sa tasse, tout en récupérant le cahier que la femme lisait. Mélinda resta allongée, et se mit à boire.

« Allons, rentre. J’ai fait préparer du chocolat chaud, si tu en veux... »

La vampire se tut légèrement, buvant un peu. Il était brûlant, mais elle l’aimait mieux ainsi. Elle entreprit de se redresser, et fit signe à la servante de retourner dans son dos, afin de continuer à masser ses cheveux et ses joues. La vampire ferma les yeux en savourant les doucereuses mains de la femme, puis les rouvrit, contemplant à nouveau le petit Inu, avant de lentement sourire :

« Dis-moi... Sur une échelle de 0 à 10, où situerais-tu la qualité de cette journée ? Plus proche de 0 ou de 1 ? »

Mélinda n’était pas dupe. Il suffisait de lire le regard de Theorem pour voir qu’il était au bord de la crise de larmes.

Theorem passa donc toute la journée à pomper des hommes et des futanari en tout genre, de tout acabit, de toutes les races. Sa gorge érogène l'y aida... Quelque part certaines femmes n'avaient pas la chance d'aimer ça. Theorem se nettoya distraitement dans le bain par la suite. Une fois décagoulé, c'est un visage en sueur qui apparu aux gardes, éblouit par l'éclairage. Il resta un moment dans l'eau, à regarder son reflet dans l'eau. Doucement il caressa son torse, voyant le tatouage hérité de sa condition de chevalier... Son ancienne condition. Le jeune travestit avait fait inscrire le code de la chevalerie ici et maintenant il n'avait plus vraiment besoin d'y obéir... Il n'était plus grand chose. Abattu, brisé, il regarda ensuite autour et vit les filles qui elles, avaient acceptées leur condition.

"Vient là Theorem, la Dame veut te voir !"

Le jeune Inu leva ses yeux vers eux et sortit de l'eau tel un robot. Il alla s'habiller dans son uniforme de maid en latex, nettoyé très facilement par les servants et alla voir la maîtresse de maison. Doucement, il attendit qu'elle note sa présence et lui demande alors de s'installer et de prendre du chocolat chaud. Theorem ne se laissa pas prier mais c'est presque par automatisme qu'il le fit, la tête ailleurs sans pour autant le laisser voir ouvertement. Il en but calmement et la vampire lui demanda de noter sur 10 la qualité de cette journée. Il répondit avec automatisme.

"La qualité de cette journée est un 10/10, Maîtresse Melinda."

Il prit une nouvelle gorgée du chocolat chaud, noyant le goût passé de la semence par de la saveur bien différente. Theo avait sentit cette question comme un piège. Hors de question de dire qu'il se sentait looser, écrasé, nul... Il n'était plus rien... Au lieu de le dire, bien que peut être cela allait tirer du plaisir sa Maîtresse de l'entendre, il préféra dire qu'il avait adoré. Comme ça, il espérait avoir un peu de tranquillité.

« La qualité de cette journée est un 10/10, Maîtresse Melinda. »

Une moue réprobatrice traversa les lèvres de Mélinda, dont le regard insistant se porta sur Theorem. Un silence de plomb s’abattit entre les deux, comme si chacun d’entre eux s’évaluait. La vampire ne disait rien, mais ce n’était pas nécessaire. Ce mensonge était trop gros pour être honnête. Il venait bien trop rapidement, était bien trop exagéré, et, surtout... L’indice par excellence des menteurs... Il fuyait le regard de Mélinda, et cette dernière se sentait, du coup, légèrement agacée. Fronçant les sourcils, elle ne tarda pas à parler :

« Ainsi donc, mon brave Inu, tout va bien dans le meilleur des mondes, hum ? Tu serais donc le premier de tous les esclaves de cette planète à réussir, en une journée, à t’adapter à une vie de luxure et de sexe ? A devenir un objet sexuel que les autres utilisent sans se poser de questions ? Voilà qui est fascinant ! »

Le ton était ironique. Prendre Mélinda pour une idiote était une grave erreur, et elle tenait à le lui faire savoir :

« Je ne tolère pas qu’on me mente, Theorem. Mentir, c’est me prendre pour une idiote. Commets encore l’erreur de me mentir, et je serais beaucoup plus sévère à ton égard. »

Le ton était dur, les propos sérieux. Il y avait des choses que Mélinda n’acceptait pas. Elle cherchait à instaurer avec ses esclaves un lien de confiance, à faire en sorte qu’elle soit perçue, non pas comme une Maîtresse tyrannique, mais comme une protectrice, une gardienne, une guide à qui ses protégées pouvaient se confier. Theorem, visiblement, avait peur d’elle, peur de la décevoir, et voulait donc lui assurer que tout allait bien. Mais Mélinda n’était pas dupe. Des esclaves, elle en dressait depuis plusieurs siècles, et savait donc parfaitement comment ces derniers réagissaient.

« Tu es à moi, Theorem. Et ton bonheur m’importe, même si tu dois penser le contraire. C’est bien pour ça que j’attends de toi une parfaite honnêteté à mon égard... Tu crois donc qu’on ne l’a pas vu, hum ? Pourquoi crois-tu qu’Océan s’est acharnée sur toi hier ? »

Mélinda était loin d’être idiote, et enchaîna donc, après avoir bu un peu de chocolat chaud :

« Ça se lit dans ton regard, mon petit chien... Tu n’es pas comme elles. C’est pour ça qu’Océan t’a attaqué. Tu es d’origine noble, Theorem. C’est quelque chose qui se voit instinctivement, surtout pour celles qui n’en appartiennent pas. Vois-tu, mon brave chien, tu as beau être mon esclave, et donc être l’égale des autres, la majeure partie de mes protégées sont issues du milieu des serfs, des roturiers. Elles ont été humiliées, battues, voire même violées ou torturées par des nobles qui agissent en toute impunité. Même le droit ashnardien est très inéquitable envers eux. »

Il fallait que le petit Inu comprenne que sa situation était difficile. Généralement, le soutien des autres esclaves était indispensable pour permettre aux esclaves récents de survivre. Ici, Theorem ne pouvait compter que sur le soutien de sa Maîtresse. Elle lui fit signe d’approcher.

« Installe-toi à côté de moi, petit chien. »

Elle attendit qu’il le fasse, et continua à boire son chocolat chaud.

« Maintenant, dis-moi... En fonction de ce qui s’est passé aujourd’hui, veux-tu que ton programme de demain soit allégé ? Sache que je ne te punirais nullement si tu dis la vérité. »

Mélinda voulait former Theorem, en faire un bon esclave, pas le briser pour en faire une loque humaine qui ne lui rapporterait rien. Elle avait toutefois l’impression que, quoi qu’il se passe, le petit chien serait brisé. C’était nécessaire, car il avait encore lui la fougue des nobles, leur impression d’avoir un destin exceptionnel... Elle n’avait pas encore obtenu les informations qu’elle cherchait à l’égard du passé de l’Inu, mais elle n’avait encore rien obtenu.

Le jeune Inu ne savait plus quoi penser. Melinda voulait visiblement lui apporter du réconfort, ou du moins le tester à fond. Il ne savait pas quoi dire ni à quoi penser. Oui, il lui avait mentit, et certainement qu'il subirait une punition pour cela. Mais maintenant, il était offert à elle. Une journée de servitude forcée ici l'avait rendu bien plus résigné et offert. Malgré ce que pensait Melinda, elle avait tout de même réussit à mater le jeune Inu. Une fois placé à côté de la vampire, lui ayant demandé de le faire, elle lui reposa la question, cette fois en étant honnête. Elle lui promettait de ne pas le punir s'il disait la vérité. La pauvre Inu devint silencieux quelques secondes.

"... Et bien..."

En pesant le pour et le contre, Melinda avait tout de même fait des choses positives. Theorem n'avait jamais eut le sens du goût aussi développé. Il pouvait reconnaître jusqu'aux compositions chimiques de ce qu'il avalait. La sensation de plaisir qu'il tirait à l'invasion de quelque chose dans sa gorge ou de sentir sa langue engoncée dans un vagin était de loin supérieure à ce qu'il avait connu de son ancienne vie avec ses deux sexes. On peut donc dire que cela était un plus. D'ailleurs, il avait connu aujourd'hui plus d'orgasmes qu'il n'en avait jamais connus en plusieurs mois. Au final, sucer des queues était un plaisir qu'il avait découvert dans le bordel où Alice l'avait fait travailler.

De plus, il avait couché avec des bombes sexuelles. Peu de monde pouvait se vanter d'avoir fait ça. Le nombre de race qu'il avait connus aujourd'hui était affolant. Alors... que lui réservait encore la vampire qui était sa maîtresse ? La curiosité innée de Theorem le menait donc à ne pas vouloir se rebeller. Il voulait quelque part un peu plus... Il n'était pas à plaindre dans ce cas. Calmement, il se résolu donc à passer aux points négatifs... Melinda avait brisé son avenir. Il devait grandir auprès de son père, avoir une chance de monter les échelons et de devenir le porte bannière de la Reine. Désormais, il n'aurait peut être même plus la chance de revenir sur ses terres natales. Sur ce lourd point négatif... il ne put que réprimer un frisson.

"... Je ferais sûrement votre fierté en apprenant encore... en restant à servir de masturbateur... Mais... J'était fils de chevalier... l'élu de ma civilisation... Mon dieu m'a offert la jeunesse éternelle... l'immortalité... et voila ce que j'en fais... J'ai gâcher mon potentiel, entaché le nom de ma famille... Je ne suis plus qu'une pute... Ma journée... Je lui donne tout juste un trois sur dix... Mais je mérite de ne servir que de masturbateur... Je dois faire amende honorable pour avoir bafoué mes promesses au nom du code de la chevalerie... Soyez plus dure encore, ... Maîtresse."

Cette fois-ci, Theorem réfléchit sérieusement. Mélinda ne dit rien, attendant qu’il parle, se contentant de boire de temps en temps du chocolat chaud. L’Inu semblait réfléchir, peser le pour et le contre. La vampire attendait donc, croisant les jambes, incarnation du désir et de la beauté féminine. Comment dire non à une telle créature ? Dans son harem, elle était au sommet de sa puissance, de son art. Chaque pièce de ce bâtiment témoignait d’un charme sensoriel et enivrant, d’une luxure certaine dans laquelle on ne demandait qu’à se plonger. Theorem n’y était pas insensible, et ce fut ce que ce dernier dit, en filigrane. Il voulait rester son masturbateur, mais pensait à son ancienne vie, à ses serments brisés, aux espoirs que ses parents, et même un Dieu, avaient sur lui. Mélinda connaissait suffisamment les nobles pour savoir qu’ils se montaient la tête depuis leur plus tendre enfance avec ces histoires ridicules de destinée exceptionnelle.

*Ton passé sera toujours un obstacle à ta nouvelle destinée, petit chien : me servir fidèlement, sans te poser la moindre question.*

Mélinda ne dit rien pendant quelques secondes, puis remua l’une de ses jambes, découvrant l’un de ses pieds nus. Elle avait croisé ses jambes, et c’était celle qui se tenait au-dessus qui tendait.

« Viens me lécher le pied, mon petit chien, pendant que je réfléchis à ton avenir... »

L’avenir de Theorem, toutefois, semblait tout tracé. Et, tandis que le chien s’exécutait, la vampire envisageait de contacter Maëlka pour faire de Theorem un parfait esclave. Maëlka était une Dridder qui officiait à Ashnard, et dont les services n’étaient pas gratuits, loin de là. Elle participait à une société de Drow, et proposait ses services pour le lavage de cerveaux. Une arme ultime pour la formation des esclaves, qui brisait les plus résistants, mais, vu le coût très onéreux de ce qu’elle proposait, on ne la contactait que pour quelques précieux esclaves. Mélinda la voyait peu, mais elle avait le sentiment que les services de Maëlka seraient indispensables.

*Je ne pourrais pas lui ôter de la tête ses espoirs brisés... Il faudra les effacer...*

De vieilles théories disaient qu’on ne pouvait pas supprimer des souvenirs. C’était partiellement exact. Les Drow étaient capables, grâce à leurs puissantes drogues et leurs toxines, de les enfouir, de les dissimuler si loin qu’ils ne revenaient même plus lors des rêves, car ils incorporaient à la place de faux souvenirs, des souvenirs factices qui, pour l’utilisateur, étaient réels. Quand on avait comme Déesse une femme-araignée, Lloth, il fallait bien s’attendre à ce que les Drow soient doués dans tout ce qui concerne l’empoisonnement et la manipulation. Maëlka, pour sa part, était une puissante Drow, si puissante que, pour certains, elle descendait directement de Lloth. Mélinda, personnellement, n’y croyait pas ; une Dridder si puissante ne travaillerait pas pour Ceux-d’En-Haut, mais ce n’était pas pour autant qu’elle était mauvaise. Les Dridder proposant ce genre de services étaient rarissimes, même à Ashnard ; on payait cher les services de Maëlka, si cher que certains préféraient lui offrir des reliques magiques importantes, plutôt que dépenser des dizaines de milliers de pièces d’ors pour ses soins si particuliers.

Mélinda réfléchissait donc, appréciant le contact de la langue de Theorem sur son pied. Il ne valait pas le prix qu’elle aille voir Maëlka, c’était... C’était plus personnel, plus intime. Elle voyait en ce petit chien fier de son passé un défi. Elle ne pourrait pas le briser par ses propres moyens, mais l’avoir à son service, le voir faire les plus basses tâches... C’était... C’était particulièrement excitant. Tandis qu’il léchait, elle l’imaginait soumis, en femme... Soumis, il l’était déjà, mais elle voulait que ce soit encore plus prononcé, encore plus fort, encore plus marquant.

« Très bien, petit chien... J’ai pris mes décisions... Cesse de lécher, et écoute attentivement, car je n’aime pas me répéter. »

La vampire attendit que Theorem se calme, et elle se mit à parler :

« J’ai chargé notre ambassade à Tekhos de trouver un médecin qui pourrait apporter quelques modifications anatomiques substantielles sur ton corps. En clair, d’ici quelques semaines, tu voyageras jusqu’à Tekhos, et tu subiras une opération qui te retirera tes deux pénis. Ceci fera de toi une femme accomplie. »

C’était dit. Mélinda enchaîna assez rapidement :

« En attendant, tu travailleras donc plus intensivement que ce qui est normalement recommandé. Ce ne sera pas agréable, tu seras épuisé, brisé, mais ce sera pour ton bien. »

Elle ne lui dit pas qu’elle envisageait de lui laver le cerveau, et de modifier son passé. Ce serait un peu trop à supporter, et elle n’était pas encore sûre d’aller voir Maëlka. C’était assez excessif, et une surcharge de travail pourrait peut-être amener Theorem à se faire à sa condition.

« Il faut que tu comprennes que ton passé, aussi glorieux te semble-t-il, est révolu. Tu ne seras plus jamais un chevalier itinérant, Theorem. Et, si cela peut te faire mal, c’est pour ton bien. La vie chevaleresque est une erreur, et, dans une certaine mesure, un chevalier n’est pas bien différent qu’un esclave. Je te retire ta liberté pour le bonheur, Theorem. Toute ta vie ne sera plus qu’une interminable orgie sexuelle. Pour ça, je vais devoir te noyer sous le sexe, et le plus tôt sera le mieux. Tu ne pourras te reposer que le Dimanche. Tu seras baisé de partout, sans arrêt, sans relâche, et il en sera ainsi, jusqu’à ce que je ne vois plus dans ton regard cette étincelle de noblesse, une étincelle qui n’a rien à faire ici. »

Mélinda se tut, reprenant le fil de sa pensée, et conclut :

« Je te laisse cette nuit pour réfléchir. Nous nous verrons chaque Dimanche, et je verrais s’il faut adoucir le traitement, ou le continuer. Demain, nous serons Jeudi. Dans trois jours, nous nous reverrons. A partir de là, j’aviserai. »

Theorem léchait doucement les pieds de sa maîtresse pendant qu'elle se décida sur le devenir de l'esclave. Il s'installa devant elle, soumis à sa volonté, avant de prendre doucement son pied entre ses mains. Le jeune Inu tira doucement sa langue et lécha le pied tendu et offert. Il faisait ça bien et, à n'en pas douté, il tira du plaisir à le faire. Sa langue hautement érogène lui fit pousser des soupires d'aise alors qu'il fit de son mieux pour faire plaisir à sa vampire de maîtresse. Il suça ses orteils doucement en caressant ses jambes avant de la regarder, voyant qu'elle avait prit sa décision. Elle lui demanda de bien l'écouter et c'est ce qu'il fit, délaissant son pied et restant à genoux devant elle.

"Je vous écoute, maîtresse..."

Il fut mit face à son destin et sa situation. C'est vrais, il n'était plus rien maintenant. L'entendre lui fit mal mais il acceptait un peu plus ce qui l'attendait. Désormais, c'était un jouet, une chose, dont Melinda disposait. Elle voulait encore modifié son corps et quelque part... La perte de son double pénis ne voulait dire que deux choses désormais. La première c'était qu'il perdait définitivement le droit de se reproduire... Condamnant quelque part sa lignée qui ne continuerait à exister que part sa soeur resté au pays. La deuxième c'était qu'il ne pourrait plus éjaculer et être considéré comme homme... C'était ainsi, il devait l'accepter et le prendre pour acquis, car il ne pouvait rien faire d'autre. Il savait le potentiel de sa nouvelle bouche... Oh oui, cette bouche dont lui avait confectionné Melinda. Cette bouche érogène et capable de tout analysé, au goût ultra développé et à la capacité d'engloutir sans pour autant vomir, un truc long. Cette bouche, c'était son nouveau destin... Il se caressa les lèvres doucement, le faisant frémir... Il s'était interdit de se toucher comme ça mais... Juste ça lui faisait l'effet de se toucher les lèvres inférieur s'il avait été une fille.

"O... Oui maîtresse... Je comprend... Je ne vous décevrait plus. Vous m'avez donné cette bouche... Je m'en montrerais digne... Pardonnez-moi..."

Maintenant, sa punition allait débuter. Trois jours de sexe intensif. Je ne peux décrire convenablement ces trois jours. Theorem fut placé dans la galerie, encore, encagoulé avant de se remettre à sucer et servir d'urinoir public. Des fois, il avait des clients et même plusieurs des fois. Faisant de sa bouche son argument de vente, Theo se fit rapidement des fan... des Mouth Addict, comme il aimait les appeler. Il en vint à détester ce qu'il avait entre ses cuisses alors qu'il n'en tirait pas de plaisir, ou un plaisir fade en comparaison. Il en voulait plus... Encore plus. Sa bouche n'était pas encore au point et à force de se faire imprégner de ce liquide rosâtre qui décuplait les sensations dans sa bouche, Theorem devint... vorace de queue. Il suçait avec une telle maestria que au bout de trois semaines, c'était devenu une mascotte dans la galerie. Au retour de son opération (faite avec Heine en ce moment), malgré une période où Theo fut un peu traumatisé, il se remit au boulot. Son nouveau corps changeait à cause de l'ingestion de ce liquide... Ainsi que sa psyché...

Dimanche arriva, deux semaines après l'opération. Theorem vint voir Melinda dans une magnifique robe chinoise verte olive, ses vêtements slime récupérés dessous, formant une lingerie très sexy. Contrairement aux autres jours, Theo venait de plus en plus avec le sourire. En entrant, il essuya un peu de sperme encore dans le coin de sa bouche, utilisant son pouce recouvert de latex noir avant de le lécher en poussant un soupire d'aise. Sa langue était plus longue qu'à l'origine et petit à petit, il avait développé un petit rire digne d'une hyène.

"Pardonnez mon retard, Maîtresse Melinda. J'ai eu un client de dernière... minute, hihihi ! Mais me voila enfin."

Le jeune Inu Haiena s'installa dans le fauteuil face à Melinda. Les lèvres de Theo, toujours brillantes comme s'il mettait du gloss, étaient un peu plus rose aussi. Maintenant, il faisait certainement honneur à sa profession et son regard était bien différent... Finit l'étincelle de regret. Il avait été brisé il y a quelques semaines maintenant et, malgré tout, il s'était fait pas mal d'amis dans le bordel. Le Theo timide ou résigné du début avait laissé place à une ou une Theo bien plus ouverte et ayant visiblement tracé un trait sur son passé... Au fond, Melinda n'avait fait que sortir au grand jour ce qu'était Theorem depuis tout ce temps... Une affamée de bite et de chatte qui adore se soumettre ! La vampire devait certainement fort bien se rappeler de ce jour où elle retira sa cagoule pour voir non pas un regard abattu après une semaine intensive de baise... Mais un regard qui en redemandait !

"De quoi voulez-vous parler en premier, Maîtresse ?"

Plusieurs semaines plus tard...

Il peut se passer bien des choses en plusieurs semaines, bien des choses qui peuvent profondément modifier les choses, ou permettre à quelqu’un d’évoluer, le changer radicalement, le modifier en profondeur. C’est ce qui avait eu lie pour plusieurs des personnes côtoyant l’univers restreint de Mélinda Warren. Elle avait pour commencé mis définitivement fin à ses liens avec Hitomi, au détriment d’une pauvre lycéenne, Akira, qu’elle avait violé, séquestré, et finalement tué, lors du point culminant de sa dépression. Depuis lors, Akira était devenue une vampire, et, vu le début de leur relation, les deux femmes étaient à couteaux tirés entre elle, Mélinda essayant tant bien que mal d’amener Akira à l’aimer, Akira essayant tant bien que mal de ne pas agresser sa mère. Une situation handicapante qui, si elle gênait Mélinda, n’empêchait pas les affaires de tourner. Le harem continuait à réaliser des bénéfices substantiels, à tel point que la vampire réfléchissait de plus en plus aux propositions de ses quelques actionnaires visant à élargir le harem, et à ouvrir des succursales un peu partout en ville, voire même dans l’Empire, en rachetant des auberges faisant faillite, ou en écrabouillant des concurrents. Les statistiques du harem, tenant compte du nombre d’esclaves arrivant, et de ceux sortant, indiquaient un risque de surpopulation du harem dans les prochaines années. Le problème est que s’étendre risquait de coûter assez cher, au début, mais les actionnaires étaient confiants Mélinda se renseignait auprès de ses banquiers pour avoir de plus amples avis, mais il était probable qu’elle ferait cela. La perspective de diriger tout un empire du sexe, d’un bout à l’autre d’Ashnard, était particulièrement séduisante, et raviverait un peu la flamme affaiblie des Warren.

Outre Akira, il y avait aussi la femme qu’elle attendait dans un petit salon où elle buvait tranquillement un verre de sang. Theorem... Cela faisait maintenant un ou deux mois qu’il était au harem. Elle s’était depuis renseignée sur cet homme, ses informateurs lui ayant expliqué qu’il venait d’un royaume assez éloigné, Gora Moroz, et que son véritable nom était Theodoric. Elle avait retenu qu’il était un chevalier assez respecté, et qu’il avait été désigné pour accomplir une importante quête divine par une divinité locale. Ceci ne l’avait pas empêché de l’envoyer à Tekhos, où un docteur tekhan lui avait ôté ses deux pénis. Depusi lors, cet organe masculin était conservé dans un bocal rempli de formol dans les profondeurs du harem. Theorem était ainsi devenue une femme, et il y avait eu, progressivement, quelques effets secondaires. Les alchimistes estimaient que ces effets secondaires étaient liés à un mélange détonant et assez inexplicable entre la potion à base de sang de succube que Mélinda utilisait sur le corps de Theorem, et son opération, ainsi que par la nature assez particulière du petit chien. Theorem n’était plus un Inu, mais une Haiena, soit un croisement entre un être humain et une hyène. Un résultat assez inattendu, et qui plongeait Mélinda dans la perplexité, mais qui était sans réelle importance devant le fait que son brave esclave était devenu très performant.

Il fallait croire qu’il s’était fait à sa nouvelle vie, et était en train de produire des résultats très satisfaisants. Mélinda avait reçu plusieurs missives de la part de l’ancienne propriétaire de l’ancien Inu, la Princesse de Sylvandell, et elle avait répondu positivement, sans toutefois trop s’étendre. Theorem était promise à un brillant avenir, et l’était d’autant plus que, visiblement, Akira l’aimait bien. La vampire le savait, car elle avait tenté, il y a environ une semaine, de présenter Theorem à sa fille, afin qu’elles sympathisent. Un pari risqué, mais qui avait produit ses effets. Sa fille rayonnait de bonheur, et c’était réciproque pour Theorem.

*Mes problèmes se résolvent, mais je dois veiller à ce que d’autres problèmes ne surviennent pas...*

C’est ce qui expliquait que Mélinda continuait à envisager de présenter Theorem à Maëlka. Sa fille l’aimait, mais Mélinda était bien placée, depuis l’erreur Hitomi, pour savoir que l’amour était fluctuant. Elle devait veiller à ce que cet amour perdure, afin que sa fille soit heureuse, et devait aussi s’assurer que Theorem resterait un esclave docile, et ne tenterait pas de s’enfuir un jour. Maëlka lui assurerait définitivement tout cela, mais les services d’une Dridder n’étaient pas donnés. Elle y songeait alors que Theorem arrivait, un peu en retard. Il/elle (Mélinda ne savait plus quel sexe lui donner) entra. S’appelant Tasha au sein des prostituées, la jeune protégée commençait à avoir acquis une solide réputation, au point que Mélinda commençait à l’offrir à d’autres harems, et qu’on commençait à lui faire des propositions pour l’acheter. Une technique courante au sein des esclavagistes.

Tasha s’excusa de son retard en s’installant devant Mélinda, qui sortit de ses pensées en retournant croiser ses jambes. Elle portait une délicieuse robe verte, rappelant un peu les robes qu’Akira aimait porter. Peut-être que c’était elle qui la lui avait faite ? Elles étaient devenues très proches, au point que Tasha avait aidé sa fille à surmonter sa peur de la morsure. Un bel exploit.

« Pour commencer..., entama Mélinda en dévoilant un peu l’un de ses pieds. Viens saluer le pied de ta Maîtresse comme tu aimes si bien le faire... »

Mélinda portait une longue robe, fendue au niveau des jambes, dévoilant ainsi en grande partie ces dernières. Tandis que le petit protégé s’exécuta, elle se mit à parler.

« Je voulais te dire que je suis très fière de toi, ma petite chérie. Je reçois de plus en plus de lettres de la part de concurrents qui me demandent de te louer, ce qui est une preuve que tes talents de suceuse commencent à se répandre. »

Mélinda était sincère. Il y avait de quoi être fière ! La concurrence était rude entre les esclavagistes, qui, tout en étant proches, ne se faisaient généralement aucun cadeau, tant le métier était instable et risqué. C’était le monde des affaires, et il était particulièrement sévère à Ashnard, terre de démons. Elle tendit une main pour caresser les cheveux soyeux de Tasha, sa petite pute léchant avec passion et talent son pied, excitant sa propriétaire.

« Je ne regrette pas d’avoir investi en toi, ma chérie. Si les choses continuent ainsi, tu auras sous peu une chambre à ton nom, et les gens afflueront de tout le monde civilisé pour avoir la chance de se faire sucer par toi. Tes capacités d’Immortelle sont d’autant plus pratiques qu’elles me permettent de te faire travailler à plein régime. »

La vampire secoua la tête, faisant remuer ses cheveux, continuant, d’une main, à remuer ses délicieux doigts dans les mèches de sa brave protégée.

« Remonte le long de ma jambe, Tasha... Cela fait bien longtemps que ta langue et tes lèvres n’ont pas eu l’occasion de se poser sur mon corps, alors... Profite de la récompense que ta généreuse Maîtresse t’offre. »

La maîtresse vampire de Theorem ne tarda pas à lui proposer de lécher son pied. Le jeune Haiena transsexuel se colla doucement au canapé de sa maîtresse avant de se mettre à genoux devant elle. En douceur, il prit ce pied délica et tira sa souple langue un peu gluante. La bouche de l'Haiena était devenue le point central de Theo. Il salivait pas mal et avait une salive douce avec une saveur légèrement sucrée. Un baiser de Theo était délicieux ! Il/elle caressa le pied avec sa langue avant de sucer doucement ses orteils. Le massage que Theorem appliquait en même temps était des plus délicieux... Il savait y faire ! Doucement, sa maîtresse lui annonça sa fierté d'avoir investit en elle. Theo avait cette réputation de suceur et de lécheur au talent inné, à la capacité de faire jouir supérieur à tout. On voulait l'acheter dans d'autres harem et sa somme montait à une somme colossale. Il savait que Melinda ne le vendrait pas et il désirait rester à ses services.

"Oh merci Maîtresse Melinda... Han... Vous m'honorez... Mais une chambre à moi ne me tente pas plus que ça... J'adore être en galerie, huhuhu... J'ai orgasme sur orgasme !"

Il lécha un peu plus haut sa jambe en suivant sa demande, sentant la main de la maîtresse dans ses cheveux. Il se coiffait à la chinoise, en faisant deux bonnets de cheveux. Tout en continuant, il semblait évidant que sa propriétaire voulait tester la langue magnifique qu'elle lui avait donné. Faisant son numéro pour exciter, Theo tira doucement sur l'élastique de sa culotte tout en caressant ses lèvres brillantes avec sa main libre, ses gants de latex noir la mettant en valeur.

"Je n'ai pas ma cagoule, dommage... Je commence à adorer la porter, huhu... Vous voulez tester ma subarachi kuchi (bouche merveilleuse) ? Regardez... comme elle est confortable..."

L'Haiena ouvrit la bouche, doucement. Elle dévoila ainsi une série de dents avec des petits crocs sût à son origine de terranide, une langue souple et longue sortant doucement de sa bouche et quelques filets de salives la rejoignant à son palais. L'intérieur rose de sa bouche était souple et aussi agréable qu'une parois vaginal. Doucement, il tira sur sa culotte pour la faire descendre en douceur de ses longues jambes. Une fois le sous-vêtement dans sa main, Theorem respira un peu l'intérieur de sa culotte avant de lécher la tâche humide.

"Hmmm... Je sais que votre Neko vous a léché toute la matinée... Qu'un garde chanceux a put vous faire du bien... Il y a deux heures environs... Dommage, vous n'aurez certainement plus de sa semence en vous... Mais ainsi je pourrait me focaliser sur la saveur de votre sexe..."

Il approcha enfin son visage de sa maîtresse avant de sortir sa douce langue humide. Elle caressa de la pointe de sa langue le sexe humide avant de suçoter son clitoris... Puis enfin, Theo fit le tour de l'entrée de son vagin avant de glisser sa langue dans sa petite fente. Doucement, elle s'enfonça en elle. C'était comme un pénis tentaculaire, doux et chaud, caressant les endroits sensibles et semblant se nourrir de sa cyprine... Mais en plus, on avait le faciès de l'Haiena entre ses cuisses, laissant le champs libre à une belle femelle de s'occuper de sa poitrine ou des embrassades... Mais on pouvait aussi parfaitement se satisfaire de cette douce bouche !

En toute circonstance, Mélinda devait veiller à l’épanouissement et au bien-être de ses protégés. En l’occurrence, Theorem lui avoua adoré être mis en galerie. L’idée la fit lentement sourire, mais, d’un autre côté, en chambre, il rapporterait des bénéfices substantiels, bien plus que s’il était simplement e galerie. Mélinda réfléchit donc silencieusement, tout en étant de plus en plus... Excitée. Fétichiste, elle adorait qu’on baise ses pieds, car c’était pour elle la preuve de domination par excellence. Et, dans ce domaine, Theorem excellait. Ses baisers étaient probablement, en raison de la potion de Mélinda, les plus délicieux du monde. Il s’appliquait vraiment, utilisant les moindres parcelles de ses superbes lèvres, embrassant avec une incroyable passion... Ceci se ressentait à chacun des baisers de Theorem, qui avaient tôt fait d’en faire une pute bien appréciée au sein du harem. Les autres adoraient l’embrasser, le harcelant sans arrêt. Même le repos était, pour Theorem, d’autres festivités sexuelles, car il se trouvait en compagnie des autres filles, qui le harcelaient... Et, avec Akira, Mélinda supposait que leur relation ne devait pas être particulièrement chaste, puisqu’elle avait après tout utilisé Theorem pour amener sa fille à se décoincer un peu.

Suivant son ordre, Theorem remonta le long de sa jambe, glissant sur sa belle peau, et, lentement, Mélinda écarta ses jambes, exhibant sa culotte. L’Haiena se glissa entre les jambes de la Maîtresse, observant sa culotte, afin d’ouvrir ses lèvres, exhibant sa délicieuse bouche. Mélinda la regardait lentement, sa poitrine se soulevant et s’abaissant au rythme de son plaisir sexuel. Le brave Theorem était doué et talentueux.

« Hum... Très bien, Theorem... Tu alterneras tes heures de service entre la galerie et une chambre personnelle, dans ce cas. »

Mélinda avait choisi l’option du compromis. Theorem travaillait bien plus que la majorité des filles, en raison de son statut d’Immortelle, statut qui la rendait bien plus endurante. Mélinda, naturellement, en profitait à outrance, et elle laissa la petite hyène ôter sa culotte, la faisant glisser le long de ses merveilleuses jambes fuselées. Il tira sur cette dernière avec ses dents, son nez frottant contre l’estomac et le nombril de la vampire, qui sentit un frisson de plaisir la traverser, alors que sa culotte, lentement, était happée par le bas, comme une espèce de trophée. De manière obscène et délicieuse, l’ancien Inu la renifla, et lécha une petite tâche qui décorait la culotte, et parvint, sans que Mélinda ne sache trop comment, à établir un compte-rendu sexuel de sa journée.

Ce matin, Mélinda avait eu des rendez-vous, et, effectivement, Liana avait été sous le bureau, à la lécher pour l’aider à surmonter les réunions avec ses actionnaires et ses créanciers, généralement barbantes et ennuyeuses. Les conversations avaient été interrompues à plusieurs reprises, quand la vampire avait un orgasme. Et, du reste, elle avait fait l’amour avec deux de ses gardes, mais seulement l’un des deux l’avait pénétré par là. Les deux gardes qui se tenaient devant son bureau. Elle s’était empalée sur l’un des deux, tandis que l’autre lui avait offert une fellation

« Effectivement, ma belle... Tu es très douée... Viens, maintenant... »

Et, suivant cet ordre, Theorem se glissa entre les jambes de Mélinda, qui tendit une main pour frotter ses cheveux, et apprécier la senteur de sa langue sur son intimité. Fermant les yeux, elle soupira lentement. L’Haiena était bel et bien douée, et le lui prouvait une nouvelle fois en léchant avec plaisir son sexe. Mélinda ne tarda pas à mouiller, et caressa les cheveux de son esclave, glissant ses mains dans sa longue chevelure, ses jambes se relevant lentement, enserrant Theorem autour de la taille, en faisant ainsi une espèce de prisonnière.

« Hmmm... Dis-moi, ma belle... Si je te proposais de remplacer de temps en temps ma petite Liana dans mon bureau... Que... Qu’en penserais-tu ? »