Rencontre dans une mauvaise situation (PV)

Alors qu’il l’étendait sur le futon et les couvertures froissées de leur nuit passée, Hirano lui dit à nouveau ces mots qu’elle chérissait tant.

« Je t’aime, Kairi, je t’aime »

Il reprit alors ses lèvres. Elle aussi, elle l’aimait. La jeune femme se laissa aller sous les baisers d’Hirano. Elle avait envie de se faire choyer, aimer par lui. Elle laissa les mains du jeune homme la caresser à travers ses vêtements, ses lèvres se poser sur sa bouche, ses joues, son cou. Elle fermait les yeux, se concentrant sur les sensations qu’il lui prodiguait.

« Je t’aime ! »

Elle lui murmura ses mots tout doucement, avec toute la tendresse qu’elle éprouvait pour lui.

Son corps semblait s’animer sous les caresses du jeune homme comme si chaque partie de son corps avait une existence qui lui était propre. A son tour, elle se mit à embrasser ses joues, son cou, comme il l’avait fait pour elle.

Leurs deux corps se pressaient l’un contre l’autre, voulant encore apprendre à se connaître. Ils voulaient encore goûter l’un à l’autre ainsi que deux assoiffés dans le désert qui pensaient ne jamais pouvoir calmer leur soif.

Kairi attendait le bon vouloir d’Hirano. A lui de choisir ce qu’il voulait faire d’elle. Elle voulait juste être à lui totalement.

aucune attente,rien. Hirano voulait de Kairi ici et maintenant. Il l'aimait et la désirait. Jamais Hirano ne se lassera de son corps et de ses baisers. Jamais il se lassera d'entendre et de lui « je t'aime. ». les caresses que lui faisait Hirano était une des meilleurs manière de lui exprimer combien il la désirait.

Ses caresses fusait sur tous le corps de Kairi tendit que les deux amants s'embrassait passionnément. Hirano adorait sentir la jeune femme contre lui, sentir sa langue contre la sienne. Hirano ne se gênait plus face à celle qu'il aime. Il voulait lui donner tous le plaisir qu'elle voudrait. Doucement, Hirano ouvrit les bouton du tailleur de Kairi dévoilant la belle dans ses sous-vêtement qui la mettait en valeur Hirano était sous le charme de la belle femme et son envi de lui faire du bien ne fut que augmenté. Il passa sa main sur son corps en lui caressant le ventre, les cotes puis enfin son dos.

Tous en douceur, le jeune homme descendit sa main le long de son ventre et s'immisça dans la jupe et la culotte de Kairi. Toujours avec la même attention, Hirano se mit à lui caresser ses lèvres internes. Puis ils quitta enfin la bouche de la jeune femme et descendit jusqu'à son cou pour l'embrasser dans le creux de cette zone.

Hirano pénétra alors, avec deux doigts, le sexe de Kairi et commença à lui faire des va et vient tout en douceur. Le jeune homme adorait la voir se cambrer ainsi sous les actions de sa main. Hirano ne voulait pas arrêter ce supplice que subissait la jeune femme. Et pour rajouter a son plaisir. De son autre main, Hirano défit le soutien-gorge de Kairi et lui ôta. Il commença à jouer avec de sa bouche avec ses seins.

Son corps s’embrasait toujours davantage à chacune des caresses que son amant lui prodiguait. Sa langue jouait avec la sienne alors qu’il faisait courir ses mains sur elle, défaisant ses vêtements. Elle sentit sa main s’insinuer dans sa culotte et commencer à la caresser de l’intérieur. Elle gémit et se cambra. Elle voulait sentir ses doigts encore plus en elle. Hirano préparait son sexe à le recevoir. Cela excitait terriblement la jeune femme.

Lorsqu’elle sentit qu’il lui enlevait son soutien gorge et qu’il prenait ses seins dans sa bouche, elle entoura d’une main la nuque du jeune homme et passa l’autre sous T-shirt et s’agrippa à son dos. Elle le plaqua encore plus contre elle. Lorsqu’il commença à bouger plus vite ses doigts en elle, elle s’accrocha encore plus à lui, enfonçant un peu les ongles dans la peau du jeune homme.

Elle se mit à bouger son bassin au rythme des doigts d’Hirano en elle. Elle écarta ses cuisses de manière quelque peu indécente, mais elle ne voulait pas s’entraver avec des tabous. Elle voulait juste obéir aux envies de son corps et se donner à Hirano totalement, sans fausse pudeur.

Son sexe trempé le voulait à présent. Elle glissa ses mains jusqu’au jean d’Hirano et le défit. Elle envie de lui, là, tout de suite. Elle se moquait bien des vêtements, elle le voulait en elle. Son envie de lui était plus forte que tout.

Hirano prenait un grand plaisir à voir Kairi dans cette état. Elle semblait vraiment apprécier ces caresse et le jeune homme en était ravi. Quand Hirano se mit à jouer avec les seins de la jeune femme, cette dernière l'enlaça et Hirano senti les ongle de son amante se planter dans son dos. Une sensations vraiment étrange que Hirano adorait. Il sentait que Kairi bougeait au rythmes de ses doigts.

Le sexe de Kairi s'humidifiait tendit que Hirano accélérait le mouvements de sa mains. La jeune femme se mit à écarter les jambes comme pour inviter le jeune homme. Et Hirano voulait la prendre la comme sa. le faite que la jeune femme lui déboutonna son pantalon donna encore plus envi à Hirano. Bon tant pis.


Le jeune arrêta ces caresses interne et retira sa main. Il retira du même coup la culotte de Kairi il la posa juste à coter du lit. Il abaissa la sienne de culotte sortant son membre tendu. Il souleva les jambes de Kairi et s'approcha de son corps. Hirano enfonça son sexe dans le vagin de Kairi. Ce coup-ci s'était moins doux et plus intense. Les deux amants ce voulait l'un l'autre et rien n'y personne ne pourrais les empêcher de s'unir à nouveau.

Hirano se lançait dans une séries de va et vient plus endiablé que la dernière fois. Sa respiration s'accélérait. Le jeune homme passa un de ses bras sous une jambe de Kairi et la souleva le plus loin possible. Hirano voulait que Kairi prenne autant de plaisir qu'il en prenait lui-même.

Kairi comprit vite qu’Hirano avait autant envie d’elle, qu’elle de lui. Lorsqu’il la pénétra, elle poussa un léger. Pas un cri de douleur ou de surprise, mais un cri de plaisir. Il était plus empressé, plus fougueux que la nuit dernière. L’amour qu’ils avaient l’un pour l’autre avait fait tomber toutes les barrières qui auraient pu les entraver.

Elle se mit à crier et gémir de plaisir lorsqu’il lui attrapa la jambe. Il allait tellement loin en elle, excitant son sexe à des endroits insoupçonnés de la jeune femme. Elle lui griffait le dos sans s’en rendre compte toute au prise avec la passion qui la prenait. Elle ne se contrôlait plus. Son corps s’accordait parfaitement à celui d’Hirano.

A chaque mouvement, Kairi s’approchait dangereusement de l’orgasme. Elle savait qu’elle ne tiendrait plus très longtemps. L’excitation était trop forte, l’envie de lui trop importante.

« Je… Je vais jouir - Elle le dit à voix haute sans retenue, sans honte – Je t’aime tant. Je t’aime, je t’aime »

Encore un peu et elle perdrait totalement pieds dans la réalité.

Les deux jeune gens faisait intensément l'amour. C'était comme si il avait été fait l'un pour l'autre. Kairi se laissait aller et criait et gémissait. Hirano sentait qu'il allait temps tôt jouir lui aussi. Ces mouvements ne ralentirent pas pour autant, le jeun homme sentait les ongle le traverser la peau tant la pression était élevé. Kairi était au bord de l'orgasme et se mit hurler

-Je… Je vais jouir Je t’aime tant. Je t’aime, je t’aime

Hirano ne pouvais plus rien dire tant la force de ses mouvements devenait intense. C'est poussant un râle de plaisir accompagné des cris de Kairi provoqué par un puissant orgasme, que Hirano éjacula avec une force qui le laissa complètement fatigué.

Le silence revint enfin dans le studio. Le seul bruit perceptible était les deux amants qui reprenait leur souffle. Les murs de ces lieux avait était, pour la deuxième journée consécutif, témoin de leur ébats. Il était plus que certain, à présent, que ces deux jeune gens était lié pour la vie.

À demi-nu, Hirano se mit sur le dos et se mit à réfléchir. Il tourna la tête et vit Kairi qui le souriait. En répondant a son sourire, Hirano la prend dans ses bras et la sert tous contre lui.

-je t'aime Kairi, je t'aimerais pour la vie, mon amour.

Bien que Hirano se montrait doux et attentionné, il y avait un truc qui le pesait, le manuscrit. Cette artefact lui avait causé beaucoup de tort et il avait peur pour Kairi. « Et si il lui arrivait quelque chose? Et si elle était blessé par ma faute » Hirano se posait des tas de questions.

Son orgasme fut violent et intense. Kairi se raccrocha à Hirano qui jouie en même temps qu’elle. Leurs cris se mêlèrent au même instant.

Le jeune homme s’écroula sur elle, épuisé par l’effort et le plaisir qui les avaient terrassés tous deux. Leurs souffles, comme leurs cris, se mêlaient à présent. Ils cherchaient à reprendre leurs respirations et leurs esprits. Comment pouvaient-ils être en si parfait accord ? Kairi n’avait qu’une seule réponse à cette question : c’était son âme sœur. La personne parfaite faites pour elle, son alter ego masculin, son reflet dans le miroir, l’homme de sa vie.

Il roula sur le côté. La jeune femme était toujours à moitié habillée ou déshabillée tout comme lui. Elle pencha la tête sur le côté et sourit à Hirano. Ce dernier l’attira à lui et la prit dans ses bras, tout contre lui.

« Je t'aime Kairi, je t'aimerais pour la vie, mon amour »

Elle soupira de plaisir et de bonheur dans ses bras. Ses bras étaient toujours aussi tendre et ces paroles toujours aussi vrai mais curieusement Kairi sentit qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas. Elle se recula et le regarda dans les yeux.

« Qu’y a-t-il Hirano ? Quelque chose ne va pas ? »

Son tos était doux mais inquiet tout comme son regard. Elle avait peur que quelque chose cloche.

Hirano était perdu dans ses pensés, quelque chose le tracassait. Kairi l'avait compris et après s'être un peu retiré pour le regarder droit dans les yeux, elle lui demanda avec un aire inquiet.

-Qu’y a-t-il Hirano ? Quelque chose ne va pas ?

Cela ramena le jeune homme dans la réalité. Il se mit à lui sourire et feint comme si de rien n'était.

-non, non, tous va très bien.

« menteur! » se dit t-il aussitôt. Pourtant, il ne semblait pas avoir laisser percevoir un moindre signe de malaise. Comment sa se fait qu'elle lui pose une telle question? A telle ressentit que quelque chose n'allait pas? Était ce le moment de lui avouer ce qu'il fait? Mais c'est que c'est pas si facile que sa. il faut pouvoir trouver le courage de le faire. Mais aussi, faut qu'elle croit a son histoire. Ce n'est vraiment pas facile.

Hirano connaissait à présent Kairi depuis deux trois jours. Il semblait tous connaître d'elle mais la jeune femme ne connaissait pas toute son histoire à lui. Hirano pris son courage à deux mains et se tourna sur le coter pour pouvoir voir Kairi en face de lui. Il posa le dos de sa main sur la joue de la jeune femme et la caressa avec une douceur.

-il faut que je t'avoue quelque chose.

Il avait pris un aire sérieux, son cœur battait la chamade sous l'effet du stresse et la peur de la perdre ce fit plus forte. Il continua ce qu'il voulait dire.

-voila... sa fait un bon moment que j'ai trouvé un objet. Je peu pas te dire se que c'est exactement ni comment sa marche, tu me croirait pas. D'ailleurs j'ai eu du mal à y croire moi aussi. Enfin, le fait est que cette objet me pousse dans des situations pas commode.

Hirano pris un air inquiet et rapprocha son visage près de celui de la jeune femme.

-Kairi... depuis que j'ai cette objet, je risque ma vie. sa attire des choses des tas de choses. Et j'ai peur... j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose par ma faute. Je ne veux pas te perdre.

Pris par ses sentiments, Hirano embrassa celle qu'il aime comme c'était pour la dernière fois qu'il le ferais. Quand il eut fini de l'embrasser, Hirano lui.

-c'est trop compliqué à te dire se que c'est, le meilleur moyen, c'est je te le montre.

Hirano ne voulait plus avoir de secrets pour Kairi. Elle devait connaître l'histoire du manuscrit et de la responsabilité que Hirano porte telle un fardeau. Mais le jeune homme est parfaitement conscient que si il veut que Kairi soit en sécurité, il devrait ne plus la voire du tous et sa son cœur ne pourrais le supporter.

« Il faut que je t'avoue quelque chose »

Quand il prononça ces mots, la jeune femme eut très peur. « Lui avouer » ? Que pouvait-il bien lui avouer ? Se serait-elle trompée sur lui ? Non ! Impossible ! Son cœur ne s’était pas trompé. Elle avait confiance en lui. La preuve, il voulait lui en parler. C’était plutôt positif et plaidait en sa faveur.

« Voila... ça fait un bon moment que j'ai trouvé un objet. Je peux pas te dire se que c'est exactement ni comment ça marche, tu me croirais pas. D'ailleurs j'ai eu du mal à y croire moi aussi. Enfin, le fait est que cet objet me pousse dans des situations pas commodes. Kairi... depuis que j'ai cet objet, je risque ma vie. Ça attire des choses des tas de choses. Et j'ai peur... j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose par ma faute. Je ne veux pas te perdre »

Il s’approcha d’elle et l’embrassa. Ce baiser fit peur à la jeune femme. Il l’embrassait comme s’il n’allait plus jamais le faire, comme si ils ne devaient plus jamais être ensemble. Kairi avait peur. Pas de ce qu’il disait mais de la manière dont il se comportait. Elle ne voulait pas le perdre, elle était prête à tout pour lui.

« C’est trop compliqué à te dire ce que c'est, le meilleur moyen, c'est je te le montre »

Elle ne savait pas de quoi il parlait mais cela semblait à la fois important et… dangereux. Hirano était devenu très grave. Elle ne savait pas de quoi il parlait mais elle était prête à le croire.

« Je ne comprend pas très bien à quoi tu fais allusion mais je te fais confiance. Je t’aime et jamais rien ne changera ça. Je veux que tu le saches. Quelque soit ton secret, le simple fait que tu es bien voulu m’en parler me touche beaucoup »

Elle lui sourit et l’embrassa.

« Je t’aime ! Ne doutes jamais de ça ! Si tu veux me montrer de quoi il s’agit, c’est d’accord. Je te suis. Mais ne te sens pas obligé »

La chose qui la tracassait beaucoup plus c’était quand il lui avait dit qu’il risquait sa vie. Ce fait ne lui plaisait pas du tout. Elle ne voulait pas le perdre. Elle l’embrassa à nouveau et se mit debout. Elle se rhabilla.

« Je suis prête à te suivre »

Elle prononça ses mots un grand sourire aux lèvres et pleine de la confiance qu’elle avait pour lui.

-Je ne comprend pas très bien à quoi tu fais allusion mais je te fais confiance. Je t’aime et jamais rien ne changera ça. Je veux que tu le saches. Quelque soit ton secret, le simple fait que tu es bien voulu m’en parler me touche beaucoup

bien que Kairi semblait avoir peur, ces paroles réchauffa le cœur de Hirano. Elle s'avança et embrassa le jeune homme et repris.

- Je t’aime ! Ne doutes jamais de ça ! Si tu veux me montrer de quoi il s’agit, c’est d’accord. Je te suis. Mais ne te sens pas obligé

Hirano se sentait rassuré à l'écoute de ses paroles. C'est incroyable de combien il pouvait l'aimer, Hirano était vraiment sur d'être tombé sur l'amour de sa vie.

-je ne me sens pas du tous obligé. Kairi je t'aime de tous mon cœur et je ne veux rien te cacher.

Kairi l'embrassa de nouveau et se leva avec une certaine motivation. Elle se rhabilla et, toute en affichant un sourire rassureur, elle lui dit qu'elle était prête à le suivre. Hirano sourit lui aussi et se leva pour imiter la jeune femme. Juste avant de quitter le studio, Hirano l'attrapas par derrière au et lui murmura juste avant de lui déposer un tendre baiser dans son cou.

-tu es formidable, je t'aime.

Il devait être entre huit et neuf heures quand le jeune couples se dirigea vers le lycée. Heureusement, il n'y avait pas encore eu le couvre feu et les deux jeune gens se dirigèrent vers la chambre de Hirano. En y franchissant la porte, Hirano prévint Kairi.

-heu j'ai pas eu le temps de ranger, fait pas attention.

Le lit était pas fait et divers livre emprunté à la bibliothèque trainait encore sur son bureau. Hirano et Kairi pénétra dans la chambre sous le regard malsain de Grendel. Hirano ouvrit un tiroir et en sorti un vieux livre dont la couverture de cuire noire était pas mal usé. Il le donna à la jeune femme. Le manuscrit contenais divers informations sur des créatures imaginaire et de nombreuse information indéchiffrable.

-tien c'est sa!


kairi le feuilleta un moment pendant que Hirano se plaça derrière et lui posa ses mains sur les épaule de la jeune femme, lui parlait.

-au début j'ai aussi cru à une blague, on aurait dit un livre pour jeu de rôle. Mais j'ai compris que sa été en rien une plaisanterie quand je vit sa.

doucement Hirano abaissa le livre et dirigea le regard sur le petit démon qui voletait au-dessus du bureau.

-sa y est ! Tu tes enfin décidé de lui montrer notre petit secret.

Le démon se rapprocha de la fille avec son sourire malveillant. Aussitôt Hirano la rassura.

-n'est pas peur... il est pas méchant, c'est Grendel, il est le gardien de ce livre.

Il sera plus la jeune femme dans ses bras.

-c'est là qu'on se rend compte qu'il existe des tas de choses encore inconnu et je peu t'assurer que jusqu'à présent j'ai pas encore tous vu.

Grendel s'exprima à son tour.

-enchanté de faire votre connaissance, mais c'est vrai qu'elle est jolie cette femelle

Kairi fut surprise de voir que l’objet qui causait tant de soucis à Hirano était un vieux livre. Elle s’assit et feuilleta l’objet de tant de problèmes. La plupart des choses qui s’y trouvaient n’avaient pas de sens pour elle. Les signes et l’écriture lui étaient inconnus. Il semblait ancien et authentique.

Elle sentait les mains du jeune homme sur ses épaules. Elle ne savait pas trop si c’était pour la rassurer ou pour se rassurer.

« Au début j'ai aussi cru à une blague, on aurait dit un livre pour jeu de rôle. Mais j'ai compris que ça été en rien une plaisanterie quand je vis ça »

Le regard de Kairi suivit le doigt d’Hirano et se retrouva presque nez à nez avec une petite bête ailée. La jeune femme ne savait pas ce que c’était mais était sur de ne jamais avoir vu une chose pareil de toute sa vie. Elle avait l’impression de rêver. Elle sursauta quand la « chose » se mit à lui parler.

« Ça y est ! Tu t’es enfin décidé de lui montrer notre petit secret »

« N’est pas peur... il est pas méchant, c'est Grendel, il est le gardien de ce livre.
C'est là qu'on se rend compte qu'il existe des tas de choses encore inconnu et je peux t'assurer que jusqu'à présent j'ai pas encore tous vu »

Si Hirano n’avait pas été là, la jeune femme serait partie en courant. Mais elle respira profondément et se rassura avec le contact du jeune homme. Un livre sortit de n’importe où avec une sorte de démon comme gardien. On voit ça tous les jours ! C’était ironique mais elle ne voyait pas comment dédramatiser la situation.

Elle se remémora les paroles de l’homme qu’elle aimait. Il lui avait dit que le démon n’était pas méchant. C’était surement vrai vu qu’elle était toujours de ce monde. Hirano était en contact avec lui depuis un moment, certainement, et il allait bien.

« Enchanté de faire votre connaissance, mais c'est vrai qu'elle est jolie cette femelle »

Elle sursauta à nouveau. Décidément, elle avait du mal à s’habituer à ce que le démon lui parle. Elle essaya de dédramatiser tout ça.

« Moi… moi de même. Merci pour le… compliment »

Elle ne savait plus trop quoi dire ou quoi faire. Elle chercha le regard d’Hirano comme pour reprendre pied dans la réalité.

« C’est… inattendu. J’avoue que je ne m’attendais pas vraiment à ça – mais à quoi s’attendait-elle ? En même temps ! – Visiblement euh … Grendel est pas méchant. Je pense qu’il va me falloir un moment pour… m’habituer à tout ça »

Elle se releva et se blottit dans les bras du jeune homme. Elle avait besoin de lui, de sa présence et de son soutien. Elle était capable de tout pour lui, par amour pour lui. S’il fallait que ça passe par un vieux manuscrit et un démon, et bien, pourquoi pas ?

« Je t’aime. Si… tout ça… c’est tout monde. Alors se sera aussi le mien – elle fit une pause – Par contre, il me faudra un moment pour m’y habituer »

Elle lui souriait. Elle aurait du être terrorisée et s’enfuir. Elle aurait du le quitter et ne plus jamais vouloir le revoir mais elle en était bien incapable. Elle voulait rester avec lui et l’aimer quelqu’en soit les conditions.

Kairi avait été fortement surprise en voyant le petit démon. Hirano sourit quand la jeune femme répondit au compliment de Grendel. Puis elle se retourna et s'adressa à Hirano, toujours sous le coup de la surprise.

-C’est… inattendu. J’avoue que je ne m’attendais pas vraiment à ça Visiblement euh … Grendel est pas méchant. Je pense qu’il va me falloir un moment pour… m’habituer à tout ça

elle se releva et alla contre Hirano qui la prend dans ces bras pour la rassurer. Le jeune homme souriait. Elle le prenait mieux que se qu'il espérait. Mais malheureusement, il n'avait pas fini de tous lui dire. Kair poursuivit.

-Je t’aime. Si… tout ça… c’est ton monde. Alors se sera aussi le mien... Par contre, il me faudra un moment pour m’y habituer

Hirano la tenait dans ses bras et y déposa un léger baiser sur son front.

-je suis heureux...heureux que tu le prenne aussi bien, c'est normal, a moi aussi il m'a fallut du temps pour m'y habituer.

Hirano préféra ne rien lui dire pour ce qui est de Terra et des personne qui voudrait mettre la main sur le manuscrit. Ils étaient loins de ce monde et Hirano ne savait rien d'eux. Il était donc inutile de l'inquiéter encore plus tant qu'il ne savait pas plus sur leur intention.

-moi j'ai faim !!!

la complainte de Grendel cassa le silence qui c'était installé dans la pièce. C'est à ce moment là que Hirano avait compris qu'il avait peut-être fait une erreur en lui présentant Kairi. Le petit démon allait surement devenir insupportable. Hirano sourit et lui répondit.

-c'est bon, tu peu aller au réfectoire, laisse nous un moment sil te plais.

Hirano insista du regard en voyant le refus d'obtempérer du démon. puis Grendel lui accorda son moment d'intimité et disparu. Toujours serrant Kairi dans ses bras, Hirano ce mit à parler.

-je suis si heureux de t'avoir rencontrer. Tu es tous pour moi Kairi et...

Hirano ne savait plus quoi dire, il l'avait jamais aimé quelqu'un autant que quelque fois sa lui faisait peur. Puis quand il l'a voyait, il se sentait aussitôt rassuré.

-je t'aime et je ne ferait rien qui te mettrait en danger, je tien trop à toi.

Les deux amants restèrent enlacé un bon moment. Il eut un moment ou Kairi devait partir. Le jeune homme voulut la raccompagner au moins jusqu'à l'entrée du bâtiment. Quand il furent enfin arrivé, Hirano se mit à l'embrasser sans ce soucier du regard des autres pensionnaire. Et il lui dit.

-je vais devoir te laisser ici, sa me fait mal mais j'ai pas le choix. Les surveillants vont pas me laisser sortir.

Il l'embrassa un dernière fois.

-demain je ne serai pas tous de suite là, je vais me chercher un petit travail histoire de me faire un peu de sous et je sais pas quand je serai libre. Mais dès que je le serai je passerai chez toi, sa te dérange pas ?

Hirano ne pouvait concevoir de passer une journée sans la voir.

Kairi avait apprécié qu’Hirano demande au petit démon de les laisser. Elle se sentait un peu déstabilisée avec lui. Et puis, elle avait envie d’être seule avec l’homme qu’elle aimait. Elle appréciait d’être dans ses bras. La jeune femme se sentait en sécurité avec lui. A l’abri de tout.

Elle était désolée de devoir le quitter. Elle l’était encore plus quand il lui dit qu’il ne pouvait pas aller avec elle.

« Demain je ne serai pas tout de suite là, je vais me chercher un petit travail histoire de me faire un peu de sous et je sais pas quand je serais libre. Mais dès que je le serais, je passerai chez toi, ça te dérange pas ? »

*Chercher du travail ?*

Elle n’y avait pas pensé mais ça se justifiait vu qu’il n’avait aucune aide de la part de sa famille. Puis elle se rappela de son aide précieuse plus tôt dans l’après-midi. Vu que sa patronne s’absentait souvent, un peu d’aide ne serait pas superflue.

« J’ai une idée ! – Elle lui sourit, si heureuse de son idée de génie – Pourquoi ne pas venir travailler avec moi ? Il faut bien sûr que je demande à Mme Hasuki mais un coup de main ne serait pas inutile. Notamment quand il faut déplacer des cartons ou remonter des vêtements. Je n’aime pas laisser la boutique sans surveillance. Ça te dirait de travailler avec moi ? »

Elle espérait vraiment qu’il dise oui. Ça lui donnerait une occasion de plus d’être avec lui. Elle regarda le visage qu’elle aimait tant.

« J’aurai bien aimé que tu rentres avec moi. J’aurai voulu passer la nuit avec toi, dans tes bras »

Elle se jeta contre lui et le serra fort comme pour s’imprégner de son corps et de son odeur jusqu’au lendemain.

Quand Hirano eut fini sa phrase, il vit l'œil de Kairi briller, le jeune femme avait une idée et avec une certaine enthousiasme, elle s'exprima.

-J’ai une idée ! Pourquoi ne pas venir travailler avec moi ? Il faut bien sûr que je demande à Mme Hasuki mais un coup de main ne serait pas inutile. Notamment quand il faut déplacer des cartons ou remonter des vêtements. Je n’aime pas laisser la boutique sans surveillance. Ça te dirait de travailler avec moi ?

Travailler avec la femme de sa vie !?! Hirano n'osait pas le demander, le jeune homme était tout un coup motivé, il allait pas refuser une telle offre, une nouvelle occase de se retrouver avec celle qu'il aime. Bon Hirano avait peur de faire un mauvais travail, en effet il avait de quoi détourner son attention. Hirano voulait prendre le risque.

-ho oui, sans hésiter je dit oui .

Kairi était heureuse mais exprima une petite déception.

-J’aurai bien aimé que tu rentres avec moi. J’aurai voulu passer la nuit avec toi, dans tes bras

sur ces mots elle se jeta dans les bras de Hirano et l'enlaça avec tous son amour. Hirano fit de même et lui murmura.

-moi aussi j'ai envi de passer la nuit avec toi..., attend moi dehors... d'ici quinze vingt minutes sa sera le couvre-feu. Alors je m'éclipserai en silence et je te rejoindrais.

Hirano l'embrassa une dernière fois et lui fit un clin d'œil avant de s'en aller. Il avait été difficile au deux tourtereaux de se lâcher.Le jeune homme alla dans sa chambre où le petit démon l'attendait.

-alors ce soir on va traquer quoi ?

Le petit démon était surexciter, Hirano lui répondit qu'il sortirait seul ce soir. Malgré les rouspétances de Grendel, Hirano se prépara et quand le couvre-feu fut annoncé, il sorti de sa chambre sans faire de bruit et sans ce faire remarquer. Il lui fut aisé de passer par le trou dans le mur extérieur et il lui fallut peu de temps pour retrouver Kairi. Il l'attrapa dans ses bras et l'embrassa fougueusement.

-excuse-moi d'avoir mis autant de temps mon amour.

« Moi aussi j'ai envie de passer la nuit avec toi..., attend moi dehors... d'ici quinze-vingt minutes sa sera le couvre-feu. Alors je m'éclipserai en silence et je te rejoindrais »

La jeune femme lui sourit. Elle était aux anges. Elle espérait seulement qu’il n’aurait pas d’ennuis à cause d’elle. Il l’embrassa avant de s’éclipser.

Elle se mit dans un coin en attendant son retour. Ces vingt minutes durèrent une éternité pour la jeune femme. Elle sentait son cœur bondir dans sa poitrine à chaque fois qu’elle entendait du bruit. Finalement, elle le vit arriver et elle respira de soulagement. Une nouvelle fois, ils se retrouvèrent dans les bras l’un de l’autre.

« Excuse-moi d'avoir mis autant de temps mon amour »

Kairi enfoui son visage dans le cou d’Hirano.

« C’est pas grave. L’essentiel c’est que tu sois là ! – elle jeta un coup d’œil autour d’eux – Tu as laissé le petit monstre dans ta chambre »

C’était un constat, non une question. Elle prit la main d’Hirano et ils partirent en direction de son studio. Elle était si heureuse de pouvoir encore passer la nuit avec lui. Une fois rentré, elle rangea le futon dans un coin provisoirement et se dirigea vers la cuisine. L’amour, c’est bien mais manger c’était bien aussi. La jeune femme n’avait pas trop envie de cuisiner mais elle fit un effort ou presque.

« Une pizza, ça te va ? »

Hirano hocha la tête en souriant. Sourire qu’elle lui rendit avant de mettre la pizza au four. Elle s’affaira à poser les assiettes et couverts sur la table. Au bout de cinq minutes, la minuterie retentit indiquant que la pizza était prête. Kairi la mit sur un plat avant de l’apporter sur la petite table.

« J’espère que ça te convient. J’avais pas trop envie de me lancer dans la grande cuisine ce soir »

Ils mangèrent en silence. Le simple fait de se regarder et d’être l’un près de l’autre leur suffisait. Une fois leur repas terminé et la vaisselle faite. Hirano aida Kairi à remettre le futon en place.

La jeune femme enleva ses vêtements avant de se glisser sous les couvertures et attendit qu’Hirano la rejoigne. Elle se lova alors tout contre lui, profitant de sa chaleur.

« Je t’aime mon amour ! »

Elle s’endormit à une vitesse fulgurante, le sourire aux lèvres. Elle était heureuse.
 
Ses rêves furent peuplés d’êtres étranges, de démons ailés, de livres de cuir aux signes étranges. Mais son dernier rêve fut horrible. Elle rêva qu’Hirano combattait un dragon et qu’il mourrait. Elle se réveilla alors en sursaut. Son cœur battait à tout rompre et elle avait le souffle court. Elle avait eu si peur. Elle regarda alors le jeune homme près d’elle. Elle ne supporterait pas de le perdre. Elle se rallongea contre lui mais son sursaut l’avait réveillé. Il la regardait avec étonnement et inquiétude. Elle sentit alors le besoin de le rassurer et de se rassurer. Elle se pencha sur lui et l’embrassa. Elle s’allongea sur lui et commença à le caresser. Hirano répondit bien vite à ses caresses. Une nouvelle fois, ils firent l’amour avec tendresse et passion. Une nouvelle fois, ils jouirent ensemble, preuve de leur accord parfait. Ils se tinrent dans les bras l’un de l’autre en reprenant leur souffle. Le jour se levait.

« Je veux pas te perdre ! Je le supporterai pas ! Je t’aime trop ! »

Elle regarda Hirano. L’angoisse de son rêve revenait. Elle le regardait alors que les larmes coulaient sur ses joues.