Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort ne vous sépare [ Onyx ]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Alors que la demoiselle avait donc la charge de fouiller l'appartement, lui, devait s'occuper de leur cher ami pour s'assurer qu'il ne les emmerde pas en se réveillant et ne fasse contrecarrer tout leur plan. I les mit donc à fouiller rapidement pour trouver de quoi l'attacher. Un drap ? Cela suffira se dit-il, venant à tirer dessus en défaisant son lit sans aucun remord pour ensuite l'attacher avec. Mais bien-sur, il n'allait pas l'attacher de façon simple, non, il avait décidé de passer le draps derrière un des pied du lits, puis d'attacher ses mains et ses pieds ensemble dans une contorsion qui lui sera désagréable quand il tentera de se débattre. Bien-sur aussi, il n'allait pas faire l'erreur de ne pas le bâillonner, venant lui retirer ses chaussettes pour les lui fourrer dans la bouche avant de se servir de sa taie d'oreiller pour l'attacher et l'empecher de les recracher, ce qui ne manqua pas de réveiller la dite personne sous ce désagrément.

Il eut un léger sourire à cela, venant lui tapoter la jouer en se foutant de sa gueule alors qu'il le voyait tenter d'hurler, venant lui dire

" Allez, dors bien ducon."

Puis, il se redressa au dessus de lui, prenant une grande inspiration avant de lever son pied au dessus de sa tête avant de l'abattre violemment, venant faire d'abord cogner son pied contre son crane avant que son crane ne vienne frapper le sol, mettant hors service à nouveau ce cher George. Maintenant qu'il s'était occupé de lui, le voila libre de ses mouvements, soupirant un coup en venant ses masser ses épaules un cours instant, ayant toujours des tensions à cause de l'avoir transporté aussi longtemps. Ensuite, il entendit la voix de la louve se faire entendre dans l'appartement, venant lui demander de l'aide.

Son esprit mal tourné le fit sourire un cours instant sous cette phrase, mais il n'en resta pas bien longtemps sur cette pensée, venant donc à marcher pour la rejoindre et voir ce qu'elle lui voulait. Il ne l'avait pas senti au début, sûrement que la porte du bureau était assez hermétique, mais, maintenant qu'elle l'avait ouverte, oui, l'effluve eceurante le submergeait bien. Contrairement à la jeune femme, lui avait déjà senti cette odeur auparavant et ... non ... une fois qu'on la connaissait, on savait la distinguer de la nourriture pourris très facilement. Fronçant le regard sous l'odeur, il se plaça donc derrière elle, regardant par dessus son épaules pour voir tout ce qui se trouvait dans ce bureau improvisé.

De son calme habituel, il observa l'endroit, puis, entra dans le bureau en frôlant la louve de son corps, voulant voir de plus prêt les papiers sur le bureau, quelques peu souillé par les bocaux mal refermé dont la décomposition et la fermentation en avait fait ressortir un liquide nauséabond. Il se mit à fouiller son manteau pour en sortir une paire de gant en cuir marron foncé, venant à les enfiler avant de prendre en main les dit documents pour les lire.

Ses yeux furetaient, courrait sur le papier, puis, il en leva un au dessus de son épaules comme pour le tendre vers elle

" Tiens, un qui te concerne."

Oui, une lettre de correspondance entre les membre du culte, un réponse pour George qui, apparemment avait repéré le retour d'Onyx en ville depuis quelques jours, et qui avait beaucoup plut au culte à en lire les mots très élogieux qui parlait d'elle. Puis, en continuant de fouiller, il s'exclama de plaisir en tombant sur quelque chose d’intéressant, venant à se retourner en lui disant

" Cela te dit de jouer les faut mouton sacrificiel ? "

Un sourire extrêmement joueur était fiché sur son visage, un peu trop meme, pouvant sûrement faire froid dans le dos à un paquet de gens. Il avait un plan, un plan sûrement stupide, mais efficace.

Onyx Svart

Terranide

C’était franchement pas très beau à voir ce merdier, oh non. Mais de ce qu’elle voyait, toute cette affaire puait encore plus que l’odeur de pourriture infâme qui se dégageait de là. Ouais, on leur avait vraiment donnés une belle mission de merde, ça, elle en était plus que convaincue. Et donc, en découvrant le spectacle qui s‘offrait à elle sous ses yeux, la belle louve appela rapidement son binôme, réclamant donc son aide. Elle était tellement concentrée sur ce qu’elle voyait qu’elle ne l’avait pas entendu arriver, le sentant derrière elle soudainement à l’en faire sursauter très légèrement. Mais elle ne laissa rien paraître, puis, quand il passa près d’elle, venant la frôler, son petit cœur se mit à accélérer à son contact. Mais la brunette n’eut pas le temps de pester après son cœur ou quoique ce soit, voyant son binôme lever un papier au-dessus son épaule en lui disant que cela la concernait.

Onyx entra un peu plus dans le bureau et vint attraper délicatement le papier, posant ses yeux dessus afin d’en commencer la lecture. Une lettre de correspondance ? Mmmmmh… Adresser à Georges, et qui parlait d’elle comme disait Siegfried… Mais c’était quoi ce bordel ? Pour en avoir des éloges, il y en avait, et ça en était effrayant ! Mais pourquoi ? Qu’est-ce qu’ils voulaient faire d’elle ? Elle savait qu’il n’y avait que trois possibilités possibles dans ces cas-là : premièrement, c’était pour renforcer les rangs, mais ça ne semblait pas être le cas ici. Deuxièmement, c’était pour faire des saloperies qui se faisaient durant certains rituels. Et troisièmement, c’était pour la sacrifier. Ouais ouais ouais, apparemment Georges semblait avoir un chouette programme pour elle hein. Enfoiré va !

Et alors qu’elle pesta intérieurement durant quelques secondes, ses oreilles fulminant sur sa tête de rage, elle releva son regard vers son binôme en entendant sa proposition, le tout armé avec un sourire à en effrayer plus d’un. Mais pas elle. Elle connaissait ce sourire, joueur au possible, avec une idée des plus farfelues en tête. Et elle ne lui dirait pas, mais, c’était une des raisons pour lesquelles elle adorait faire équipe avec lui : c’était son côté joueur. Ce que les autres exorcistes avec qui elle avait travaillé n’avaient pas, ils étaient même chiants au possible et encore plus sérieux qu’elle, ce qui n’était vraiment pas drôle.

« Ho, je sens que j’adorerais ça mon cher. »

Elle esquissa un sourire très amusé en le regardant, ses oreilles trépignant de joie sur sa tête à l'idée de faire des conneries. Bah quoi ? Même les premiers de la classe ça aime être embarquer dans des conneries, faut bien s’amuser un peu hein. C’est donc toute attentive qu’elle pencha sa tête, haussant un sourcil en attendant qu’il lui explique ce qu’il cache dans sa jolie caboche et ses yeux bleus qui brillaient d’une lueur qui lui plaisait beaucoup malgré le danger que cette suggestion pourrait être.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Son sourire s’agrandit sous les mots que la louve lui confia, ravis de les entendre. Elle avait beau être une grande emmerdeuse, bizarrement, quand il lui proposait des plan foireux, elle lui paraissait toujours ravis de l'écouter. Alors, il commença à récupérer tout les papiers important qu'il pouvait, toute les preuves possible qu'il pourrait donner à l'église sur cette secte. Il savait qu'il regretterait cela plus tard, parce que, cela allait faire beaucoup à écrire dans le rapport de fin de mission qu'ils auraient à faire et il sentait que cela allait lui prendre beaucoup trop de temps, mais bon, pour le moment il n'en était pas là.

" Étape une, on récupéré le plus de tout ceci et on le transfert bien caché chez toi. Étape deux, on fouille dans ton bouquin volé pour en apprendre plus sur cette bande de lécheur de cul goût souffre. Après ça,, tu va devoir jouer les mouton sacrificiel et moi ... je jouerais le rôle de George, planqué dans la cape que voila."

Dit-il en prenant en main la dite cape, venant la plier plus discrètement avant de continuer, attrapant une boite en métal d'où il devinait le contenu

" ça c'est pour toi, enfin, à mon avis c'était destiné à être utilisé sur toi, mais là, tu pourra leur renvoyé l'ascenseur."

C'était le genre de boite en métal qui contenait souvent une seringue ainsi qu'une fiole et au vu d'où elle se trouvait, il se doutait que ce n'était pas un produit pour soigner quel que maladie que ce soit qui se trouvait dedans.

" Tu pourra toujours t'en servir au cas où. Ensuite, on s'occupe de ces connard en les surprenant en plein rituel, on sauve la deuxième personne et on se barre rapidos et sans égratignure."

Oui, il pouvait rêver sur ce dernier point, mais, il fallait bien être un peu optimiste se disait-il. Bien-sur, un point devrait sûrement soulever l'attention d'Onyx dans ses mots, la mention d'une deuxième personne pour être sacrifié, elle était mentionné dans les papiers se trouvant dans tout ce foutoir, mais, aucun nom n'y apparaissait, seulement que c'était une fille de joie.

Onyx Svart

Terranide

Onyx adorait ça. Voir le sourire de son binôme s'agrandir à chaque fois qu’elle acceptait ses plans farfelus, annonçant qu’ils allaient s'amuser et risquer aussi leur vie. Un peu tarée direz-vous ? Dans un sens, elle n'est pas arrivée ici par hasard non plus, ça doit pas toujours tourné rond là-haut. C’est toute attentive qu’elle écouta Siegfried lui expliquant son plan, hochant la tête sans dire un mot durant ses explications, ne l'interrompant pas un seul instant.

Ok, fallait récupérer un max de preuves et le planquer chez elle, pas de problèmes. Ensuite, ils vont regarder son livre volé et… Hey ! Mais il est pas volé ! Raaaah, laissons tomber la neige hein. Bon, donc, consultation du bouquin sur la démonologie et les sectes liées, bien. Après, elle allait devoir jouer les gentils sacrifices, et lui, il jouera cet enfoiré de Georges, parfait. Bien bien bien, tout semblait réfléchi, comme à chaque fois de toute manière avec lui, et ça, elle le connaissait bien : il était doué et vraiment intelligent, un vrai génie dans son domaine. Mais ça, elle n’ira pas trop lui dire, il serait bien trop content et… Ho zou, pas le temps de se chercher les puces, on a d’autres chats à fouetter !

Là, la boîte qu’il lui tendit la fit hausser un sourcil, intriguée, venant s’en saisir délicatement. Elle reconnaissait ce type de boîte, ho oui, elle la reconnaissait même trop bien qu’elle en ait la chair de poule avec un souvenir qu’elle aurait aimé qui reste là où il était, c'est-à-dire enfoui dans sa mémoire bien sagement et lui fichant la paix. Brrrr ! Donc, ils comptaient la droguer ? Enfin, ils… Ce cher Georges par commencer ! Espèce de… Si j’étais pas aussi polie j’irais bien te foutre un ou deux pieds dans le bide enfoiré des montagnes va ! La belle louve en souffla du nez agacée en remuant ses oreilles nerveusement à ces pensées, venant se ressaisir et reporter son regard vers le grand brun, continuant à boire ses paroles.

Donc, la suite du plan, on s’occupe des fous en jupe et en cape pendant qu’ils appellent les démons, on sauve la deuxième personne et on se sauve en sauvant la peau de nos miches. Soit, tout m’a l’air parfait… Attends ?! Une deuxième personne ?!? Ils avaient prévu deux sacrifices ces enflures ? Ha… Bah oui… Deux démons, deux sacrifices, un pour chaque…

« Attends… Je suppose que tu n’as pas trouver de nom sur la seconde personne à sacrifier, mais… Il y a pas d’autres infos ? Genre, son sexe, sa race, son âge, son métier… Ou d’autres informations comme ce à quoi elle ressemble cette personne ? »

Elle se disait que ces questions pouvaient peut-être avoir l’air stupide, mais elle poursuivit, histoire de lui partager le fond de sa pensée.

« Ce que je veux dire, c’est que certaines sectes ont des règles bien précises, peu importe le rite, qu’il soit sacrificiel ou... »

La noirette fit une légère pause, cherchant son mot, pour éviter d’avoir à parler de rituels extravagants où les parties de jambes en l’air, très souvent non-consentantes, étaient monnaies courantes.

« Participationnel on va dire… Et pour ce genre de choses, ils ont souvent des critères précis, comme le plus connu, les personnes vierges, mais ça peut-être aussi des jeunes filles blondes aux yeux bleus comme des personnes ayant 27 ans, ce genre de choses… »

Après ses explications et ses questions partagées, la belle louve attendit la réponse de son partenaire, avant qu’ils se mettent à embarquer le masse de choses et à se sauver chez elle ensuite surement pour planquer tout ça et consulter son livre dérobé comme le disait si bien son charmant binôme.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Bon, comme la majorité du temps se disait-il, La louve avait des choses à redire, des points à éclaircir, ce qui n'était pas plus mal, cela évitait d'oublier des détails important, meme si parfois cela le gavait, voulant juste passer à l'action. Sous sa question sur l'identité de la deuxième personne, il se remit à lire les papiers parsèment le bureau qu'il avait commencé à regrouper en vue de les embarquer, venant à relire bien des papiers à toute vitesse avant de reprendre la parole

" Un fille de joie ça c'est sure,, de ce que j'en lis, elle viens d'un des bordel les plus minable de la ville, une fille facile et qui apparemment n'est pas du genre à se défendre quand on la bat."

Cela ne lui plaisait pas du tout de lire ça, sa mâchoire se resserrait, énervé, ayant juste envie de leur casser la gueule. C'était dans ces rare moment qu'il était content d’être exorciste, pouvoir aider des gens, pouvoir se débarrasser de raclure comme celle-ci. Mais là, il lâcha un nouveau jurons avant de reprendre

" Merde .... ces foutu bocaux ont fait baver l'encre là où il y avait un prénom. Apparemment ça fait un moment qu'ils ont un œil dessus."

Il se mit à soupirer d’exaspération, ne trouvant pas de description, rien sur son physique, seulement que sa mentalité était parfaite pour le rite, une phrase qu'il avait aussi trouvé dans la lettre parlant d'Onyx.

" Pas plus d'info à part de quel bordel elle viens et je doute qu'on la trouvera avant eux, les lettres sont beaucoup plus vieille que les tiennes et c'est un certain frère Sabiel qui est sensé la récupérer."

Il laissa ensuite retomber le papier dans la pile avant de la regarder à nouveau pour finir par ajouter

" Bref, on a encore moins de temps de prévu en somme. Youpi "

Disant cela sur un ton des plus ironique et fatigué, commençant à embarquer les papiers.

Onyx Svart

Terranide

Sa tête n’arrêtait pas de hocher en l’écoutant, écoutant attentivement chaque détail de ce qu’il lui disait. Et quand il annonça que les liquides bocaux avaient coulés sur la lettre et effacèrent le nom de la demoiselle, tout comme lui elle se mit à soupirer. Et merde, la seule info qui auraient pu être la plus utile quoi. Bon c’est pas grave, ils allaient devoir faire avec ce qu’ils avaient déjà, et c’était déjà pas mal ! Donc, ils avaient choisi une pauvre mais facile donzelle, sans défense visiblement puisqu’elle se laissait battre sans broncher, qui travaillait dans un bordel. Et cela faisait sûrement un moment que le frère Sabiel l’avait récupéré donc.

Mais c’était quoi ce merdier bon sang de bonsoir ? La belle louve avait grande hâte de découvrir tout ça, et elle espérait qu’ils trouveraient vraiment quelque chose dans le bouquin qu’elle avait chez elle. Tandis qu’elle songeait à tout cela, elle haussa doucement un sourcil en regardant Siegfried, l’entendant dire qu’ils avaient moins de temps que prévu, poussant le vice à s’en réjouir. Quel idiot ! Il avait réussi à la faire souffler du nez, amusée par son ironie, venant la faire sourire amusée en laissant échapper un très faible rire une seconde, avant de se reprendre et redevenir sérieuse.

« Ce que je te propose, si tu as fini de récupérer ce qu’il nous faut, on vérifie que ce cher Georgie sieste bien, puis, on file chez moi direct. Ça te va ? »

La tête penchée doucement sur le côté en le regardant, attendant une réponse ou un signe de sa part, avant qu’ils ne filent le plus rapidement chez elle vérifier ce satané livre, en priant d’y trouver quelque chose qui pourra les aider.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Il aimait bien voir son sourire, ce sourire qui trahissait ses pensées, lisant très bien dans son regard qu'elle voulait dire une seule chose à son égard, " crétin" et cela l'amusait beaucoup. Après cela, la demoiselle se mit à lui poser une dernière question sur quoi faire avant de filer, surtout pour leur cher ami George. Là, son sourire s’agrandit pour quelque chose de plus sadique, venant à la regarder en coin alors qu'il planquait tout ce qu'il pouvait sous son manteau, ayant enroulé les document dans la cape de la secte au passage pour ne pas se prendre la tête à en perdre sur la route. Puis, il lui répondit sur un ton joueur

" Oh ... Je pense qu'il ne se réveillera pas de si tôt, mais, si tu a envie de t'en assurer et de lui déposer un baiser de bonne nuit sur son front, ne te gêne pas. "

Après cela, il sorti du cabinet, refermant son manteau pour mieux retenir ce qu'il y avait en dessous. Ensuite, il laissa le temps à la demoiselle de faire ce qu'elle voulait, soi le suivre directement pour partir, soi s'occuper de s'assurer du bon sommeil de son ami de jeunesse. Dans tout les cas, quand ils sortir de l'appartement, Siegfried s'assura de fermer la porte à clef pour être sure que personne ne lui ouvrirait et que lui, aurait beaucoup de mal à s'enfuir, meme s'il avait réussi à se défaire, chose qu'il doutait, en tout cas sur le temps qu'ils se laissaient pour la mission.

" Après toi .... Chérie."

Dit-il en faisant une fausse révérence presque réussi une fois en dehors de l'immeuble. Chose maintenant réglé, il se mit donc à suivre la demoiselle jusqu'à son appartement, un peu curieux de découvrir de nouveau point sur elle pour mieux la cerner et démasquer certaines choses dont il était sur qu'elle mentait.


Onyx Svart

Terranide

Tandis qu’elle le regardait continué à récupérer des preuves, elle l’écouta en haussant un sourcil tout en plissant des yeux, voyant bien son large sourire qui la guettait du coin de l’oeil avec le timbre joueur qu’il avait dans sa voix. Puis elle ouvrit de grands yeux en entendant la fin de sa phrase, venant à poser ses deux mains sur ses hanches en le regardant en fronçant les sourcils, ses oreilles s’agitant sur sa tête.

« Et tu veux pas que je lui fasse un câlin de bonne nuit tant qu’on y est hein ? Tout en lui souhaitant de faire de beaux rêves ? Pfff ! »

Souffla-t-elle agacée en fermant les yeux, secouant sa tête négativement avant de se pivoter sur elle-même sortant du cagibi en le laissant finir. Une fois dans le salon, elle jeta un regard en direction de la chambre, là où était attaché ce cher Georges. La noirette fronça les yeux en regardant là-bas, repensant à tout ce qui s’était passé, la faisant serrer légèrement la mâchoire tant elle était en colère, ses oreilles s’agitant sur sa tête sans s’arrêter. Puis, ni une ni deux, elle fit claquer ses talons au sol agacée, se dirigeant vers la chambrine pour aller jeter un coup d'œil rapide, vérifiant bien que cette enflure dormait, sinon elle comptait lui casser une chaise sur la tête pour l’aider à dormir tiens ! Par chance, il dormait, enfin, il était bien inconscient, pouvant entendre par ses oreilles qu’il ne faisait pas semblant et que son rythme cardiaque était bien celui de quelqu’un endormi. Parfait ! Continue de dormir saleté d’enfoiré va !

Donc, tournant les talons, la belle louve rejoignit son binôme qui avait fini et qui l’attendait. Finissant donc par enfin sortir de l’appartement de ce cher Georgie, la belle louve regarda le grand brun fermer à clé la porte derrière eux, avant qu’ils ne prennent la direction des escaliers pour quitter l'immeuble. Et là, une fois en dehors de l’immeuble, Onyx put voir Siegfried endosser de nouveau son rôle de petit ami, la faisant sourire en secouant la tête amusée. Puis, la louve vint lui faire une révérence de tête, tout en lui souriant tendrement. Et, histoire d’en rajouter à leur petit spectacle, comme une gentille petite amie, elle vint se saisir avec sa main de libre d’un des bras de son binôme, tandis qu’elle tenait le sac de leurs emplettes de l’autre tout en ayant son sac sur son épaule

« Merci chéri. »

Et un regard accompagné d’un doux sourire envers son partenaire, la belle louve se mit en marche avec lui, lui tenant toujours le bras le temps de traverser cette partie-là du quartier. Une fois sortie de là et ayant quitté la grande place des hortensias, elle relâcha son bras, histoire de le laisser tranquille et d’arrêter de l’embêter aussi. Puis, une fois cela fait, elle souleva le sac dans sa main puis vint le saisir avec ses deux bras, l'enlaçant de nouveau comme quand ils étaient sortis de la boutique d’alchimie.

La marche reprit son cours, en silence, même si la demoiselle gardait ses oreilles à l'affût, autant pour vérifier qu’ils n’étaient pas suivi que pour entendre son binôme s’il souhaitait par hasard ouvrir la bouche, sait-on jamais avec lui. Après une bonne vingtaine de minutes de marche, ils quittèrent le quartier de Siegfried, pour arriver dans celui de la demoiselle. Un quartier en soit tout aussi animé que le sien, un coin plutôt populaire et absolument pas bourgeois, ce qui devait être surprenant au vu des manières et tout ce qui faisait la demoiselle. Elle longea quelques rues avec lui, le faisant ensuite passer par une petite allée, avant d'atterrir dans une petite ruelle qui payait pas de mine, avec des immeubles et petits commerces dans des états… Corrects. Mais dont un coup de peinture ne leur ferait pas de mal !

Onyx marcha quelques instants avec lui, avant de s’arrêter devant un immeuble tout aussi « correct » que les autres, avec quelques fissures sur la façade et des lianes de lierres qui passaient par-ci et là. La demoiselle aux grandes oreilles s’avança, venant à pivoter un peu sur le côté, avant de pousser la porte de l’entrée avec son épaule, tenant leur sac de courses toujours dans les bras. Visiblement, elle devait avoir l’habitude de rentrer les bras pris. La brunette jeta un regard à Siegfried, attendant qu’il rentre à son tour dans l’immeuble. Une fois cela fait, elle poursuit son chemin au rez-de-chaussée, longeant le couloir d’entrée avant d'arriver sur un autre couloir plus grand, qui donna sur deux portes. Elle se dirigea vers l’une d’elle puis sortit rapidement une clé de la poche de sa capeline, venant enfoncer celle-ci dans une serrure puis poussant la porte de la même manière qu’elle l’avait fait pour la porte d’entrée.

Une fois rentrée, elle laissa la porte ouverte, laissant ainsi son binôme pénétrer dans son appartement tranquillement sans le presser ou quoique ce soit. L’appartement ne payait pas de mine, plutôt modeste, en tout cas pour la pièce d’entrée, contrastant totalement avec la belle louve. Il n’y avait pas de fioritures, mais les peintures avaient été refaites contrairement à l’extérieur. Aucune décoration superflue n’encombraient l’espace : un bureau bien rangé dans un coin près de la fenêtre, une table et des chaise de l’autre, deux grandes bibliothèques remplie de livres et classés avec soin, un gros coussin au sol près des bibliothèques et un peu plus loin contre un mur un canapé qui datait pas d’hier mais qui étaient bien entretenus et qui semblaient bien moelleux.

« Fait comme chez toi, je suis à toi dans un instant. »

Dit-elle tout en allant déposer leur sac de courses sur le bureau, se débarrassant ensuite de son sac à côté de celui-ci, avant de retirer sa capeline et la poser sur la chaise juste à côté. Une fois cela fait, elle se dirigea vers les bibliothèques et regarda rapidement l’ensemble, avant d’attraper délicatement un livre, dont la couverture ainsi que les pages semblaient un peu usées ainsi que jaunis par le temps, mais dont les reliures d’argents et d’or étaient intacts sur la couverture en cuir noir.

« Et voilà le bébé ! »

Une voix presque chantante en disant cela, alors qu’elle se retourna tout sourire vers son binôme, tout en marchant vers lui. Arrivé devant lui, Onyx lui tendit le livre, le laissant lire le titre de la couverture, pouvant constater qu’en effet c’était un livre de l’église, enfin, un très vieux livre vu l’état, sur lequel on pouvait même voir des marques de griffures à certains endroits. Il avait bien vécu ce grimoire qui sentait le vieux papier et l’encens à plein nez ! Les pages, épaisses et jaunies, craquaient à chaque mouvement, comme si le livre protestait d’être lu. Certaines pages étaient très abimées, cornées à certains endroits, d’autres tachées de sang ou de cire brûlée, d’autres étaient annotées de différents styles d’écritures, témoignant de la consultation de ce grimoire par d’autres personnes bien avant eux. Pourtant, malgré son état peu sexy, il renfermait un contenu riche et effrayant : des classifications détaillées de démons, des rituels oubliés, des schémas de cercles complexes, des noms interdits, des glyphes rares et anciens, ainsi que des descriptions de cultes obscurs. C’était un livre dangereux, pas un truc pour débutant ou qui étaient destinées à être dans toutes les mains, c’était un précieux guide pour qui savait l’utiliser et il allait peut-être leur être utile.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Son visage se crispa en se retenant de rire lorsqu'il l'entendit s'emporter  sous sa réponse, pouvant voir qu'elle était assez remonté pour  ne pas comprendre qu'il se foutait de sa gueule et que en meme temps, il avait cherché à lui faire comprendre qu'il avait fait en sorte qu'il ne puisse pas se réveiller  tout de  suite. Il lui avait donc laissé le temps de s'occuper de ses affaires avant de repartir, pouvant enfin s'éloigner de l'odeur de mort et reprendre leur travail dont l'heure tournait inexorablement.

Il la suivit donc après qu'elle eut répondu à son petit jeu de nouveau, venant à être surpris quand elle se mit à lui attraper le bras pour le traîner dans les rues en direction de chez elle. Sur le chemin, il se demandait bien à quoi pouvait ressembler son lieux de vie, et, il hésitait entre deux ou trois possibilité. La première, un endroit froid, rigide et strict, la deuxième, un endroit luxueux comme pas possible et la troisième, un lieux bourré de couleur. Il hésitait beaucoup, car au final, il se rendait bien compte que la demoiselle qui tenait son bras était plus complexe que prévu.

D'ailleurs, en parlant de bras, ce n'était pas désagréable d’être ainsi osa t-il se dire un instant avant de chasser au plus vite cette pensée. Le quartier où elle l'avait mené était un peu plus calme, l'état des lieux lui paraissait des plus normal, mais en dessous de ce qu'il imaginait pour Mademoiselle parfaite-en-tout-point. Puis, il la suivit de nouveau dans un immeuble, se demandant s'il allait de nouveau devoir monter des escaliers, mais, à son grand plaisir, ce ne fut pas le cas.

Quand la porte de l'appartement fut ouverte, il la suivit donc et, instantanément, il se mit à analyser, observer tout ce qui se trouvait autour de lui et là, il se dit que la première option était donc la bonne. C'était propre, bien rangé, ordonné, mais cela lui paraissait vide, presque froid, s'il n'y avait pas un énorme coussin près de la bibliothèque et un canapé qui l'appelait de son apparence si confortable, venant ajouter un peu de vie dans tout cela.

Et oh qu'elle n'aurait pas dut lui dire de faire comme chez lui, car, son sourire réapparu sur ses lèvres alors qu'elle partait retirer sa capeline avant de se diriger vers sa bibliothèque, car lui, choisi de partir en direction du canapé pour vérifier si l'habit faisait le moine. Et non, il ne mentait pas, soupirant presque d'aise en se posant dessus, se demandant meme depuis combien de temps il ne s'était pas assis sur quelque chose de confortable. Là, après quelques secondes à profité, il se débarrassa ensuite du paquet de document ainsi que de la cape qui les entouré caché sous son manteau, les posant par terre.

Puis, quand il l'entendit, mais surtout la vue revenir avec le livre en question, son visage se crispa d'une réaction qui ne présageait rien de bon, fermant les yeux tout en soupirant lorsqu'il reconnu le livre qu'elle avait entre les mains

" Bordel tu l'a piqué à qui ce truc là ? "

Oui, c'était un vieux livre, mais à son titre, il savait que c'était un vieux livre connu et qui, en temps normal, devrait être enchaîné quelque part dans une bibliothèque poussiéreuse plutôt que chez une demoiselle qui laissait son museau traîner où il ne fallait pas. Il attrapa donc le livre en question, sans quitter ses gant, puis, commença à l'ouvrir. C'était une vrai mine d'or pour tout exorciste ou inquisiteur qui se respectait, mais, c'était une vrai bombe a retardement pour les mauvaises personne où celle qui était trop bête pour ne pas tout réciter ce qu'il lisait à voix haute. Il y avait une raison pour que les informations soit, en tout cas parmi l'église, séparé en plusieurs livre, car, si l'un venait à être volé, il ne pourrait pas être utilisé à son plein potentiel sans d'autre, alors que lui.

" Ne me dit pas que tu a déjà fait des conneries avec ? "

Dit-il alors qu'il feuilletait le livre, ses yeux suivant et passant à toute vitesse sur les gravures, les écrits et autre rite, commençant déjà à fouiller dedans pour trouver le symbole de la secte. Il lui fallut plusieurs bonne minutes bien large pour enfin trouver ce qu'il lui fallait et, il ne put s’empêcher de nouveau de soupirer d’exaspération, relevant son regard vers Onyx pour lui dire

" Bon, la bonne nouvelle c'est que l'on sait à quoi l'on a à faire. La mauvaise, c'est que c'est un culte de cannibale et que ce qui nous attend ce soir va nous valoir beaucoup de confession et de purification après tout cela."

Il tourna donc le livre pour le lui tendre, lui laissant lire le passage sur le culte en question. C'était un culte nommé Sarokk, plutôt ancien, mais, très souvent réduis au silence par l'inquisition. Leur rite de prédilection ? Un rituel ou deux personne sont drogué de substance bien différente afin de révéler ce qui est caché en eux, puis, à les obliger de se livrer à un rite sexuel et .... cannibalistique, afin d'invoquer les démons. Le sceau, la luxure et la destruction, tout correspondait.

Onyx Svart

Terranide

La noirette haussa un sourcil en voyant la mine que faisait son binôme, se demandant pourquoi il faisait cette tête-là, comprenant bien que cela n’était pas de bon augure. Et les mots qu’il prononça ne faisaient qu’amplifier son interrogation, tout en l’agaçant un peu, la faisant plisser des yeux doucement en soufflant doucement par le nez.

« Je regrette mais, je ne l’ai piqué à personne. Je l’ai chiné dans une petite librairie il y a des années, cherchant des ouvrages plus ou moins en lien avec l’exorcisme. »

Lui tendant toujours le livre, elle attendait qu’il s’en saisisse et quand ce fut fait, elle le regarda consulter l’ouvrage sans l'interrompre, afin de ne pas le déconcentrer dans sa tâche. Mais la belle louve haussa de nouveau un sourcil, clignant des yeux plusieurs fois avant de s’exclamer d’une voix fatiguée.

« Tu crois que je suis assez bête pour commettre des imprudences ou quoi ? Évidemment non que j’ai rien fais, je l’ai juste consulté quelques fois, et non, avant que tu ne le demandes, puisque tu semble penser que je suis sotte, je n’ai pas fais la bêtise de lire ce qu’il y a là dedans à voix haute. Je ne m’en suis servi que pour en apprendre plus sur les démons et les sectes à mes débuts, c’est tout. Ce n’est pas moi qui ait écrit dedans ou qui l’ai mis dans cet état, il était comme ça quand je l’ai acheté. »

Elle soupira fatiguée en fermant les yeux, croisant ses bras tout en restant toujours debout. Puis, la demoiselle aux grandes oreilles poilus rouvrit ses jolies mirettes, les reposant sur le grand brun assis dans le canapé, le regardant parcourir rapidement les pages avec une vitesse déconcertante, mais qui la fascinait toujours à observer cela étant dit. Restant toujours sage, elle ne se manifesta pas, à part au moment où il lui parler, comme à l’instant.

Quand elle l’entendit soupirer exaspérer, elle comprit qu’il y avait quelque chose de peu plaisant qu’il allait dire concernant le merdier dans lequel ils se retrouvaient. Mais, au début, il commença par lui annoncer la bonne nouvelle : on savait à quels tarés on avait affaire ! Chouette, ça c’est une bonne chose ! Par-contre la suite, comme il le disait, était plutôt mauvaise, très mauvaise même… Bordel, c’était un joyeux bordel qu’on leur avait refilé.

Onyx attrapa délicatement le bouquin quand il lui tendit, parcourant les deux pages tout aussi vite que lui, lissant à toute rapidité ce qu’il y avait d’écrit là-dedans. Ce qui ne tarda pas à la faire grimacer, la faisant soupirer doucement en fermant les yeux tout en soulevant les sourcils. Bienvenue chez les tarés d’un autre monde hein ! Comment allaient-ils ? C’était délicat, plus que délicat, et ça annonçait rien qui aille.

« Ce n’est pas tant la purification et confession intensive qui m’inquiète… »

Elle rouvra ses yeux, son regard sur les pages du bouquin un instant, avant de relever ses prunelles écarlates vers son binôme.

« Jouer les agneaux sacrificiels ne va pas être si simple que ça ici. Si les drogues utilisées sont différentes sur les deux sacrifices, amenant donc des comportements différents pour chaque personne, comment savoir quel comportement jouer ? J’imagine que les comportements attendus sont plus ou moins liés au démon auxquels ils sont liés, mais… Comment savoir quelle personne est liée à quel démon ? T’as pas quelque chose dans les notes que t’as récupéré là-dessus par hasard ? »

Gardant le livre ouvert entre ses mains, elle fit quelques pas pour s’avancer vers lui, venant s’asseoir à côté de lui sur le canapé en fermant les yeux, poursuivant.

« Si on veut que ça marche Siegfried, on a intérêt à avoir le maximum de cartes dans nos manches, sinon… Je ne donne pas chère du résulat de cette mission suicide. »

Malgré tout ça, elle ne voulait pas abandonner de jouer les moutons sacrificiels, non. Mais, elle voulait qu’ils aient le max d’informations possibles, surtout des détails aussi infimes que quel genre de comportement étaient attendus et qui devaient l’avoir. Car, si elle n’avait pas le bon comportement, ils seraient tout de suite grillés et la bande de tarés leur filerait entre les doigts, pour recommencer plus tard leurs festivités. Quant à eux, elle ne sait pas comment ça se terminerait pour eux toute cette histoire.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Elle l'avait " chiné " dans une petite librairie qu'elle disait. Il s'imaginait bien le genre de librairie, un truc planqué au fond d'une ruelle vide, l'endroit remplis de vieux bouquin débordant de partout et prêt à vous ensevelir au moindre faux mouvement, un libraire plus vieux que ses bouquins et au visage flippant. Cette vision le fit bien rire, mais, la suite en fit beaucoup plus, manquant de réellement rire, physiquement sous sa réponse, se disant qu'elle commençait à lire dans ses pensées et que ce n'était vraiment pas bon pour lui. Il continuait de lire, de fouiller pour trouver dans ce livre ce qui les intéressaient en espérant tomber dessus.

" Bon, je  me doute que tu va faire la gueule en me disant que je te prend sûrement pour un idiote, mais évite d'en parler à qui que ce soit que tu te trimballe avec ça, je pense que nos supérieur n'en serait pas très ravis."

Oh non, un livre pareil qui se balade librement, ils n'allaient pas du tout aimer ça,, il en était sure et certains. Mais bref, il continuait sa lecture et, il était tombé sur ce qu'il cherchait, heureusement ou malheureusement, ça, seul le futur pourra le dire pour eux. Il avait donc redonné le grimoire à sa " propriétaire " puis, la regardait se mettre à le lire, trouvant son visage, meme s'il trahissait un peu d'anxiété, très agréable à regarder quand elle lisait. Mais il chasse vite fait bien fait ces pensées, écoutant ce qu'elle avait à dire et qui, comme par hasard, n'était pas stupide. Mais, cela tira un sourire au visage de Siegfried qui la regardait toujours. Qui était réservé pour quoi dans le rituel ? Oooh il en avait sa petit idée, mais, il lui fallait creuser un peu plus, venant lui dire

" Tu était comment quand tu connaissait l'autre crétin ? Enfin, de son point de vue hein, pas du tiens. "


Oui, parce qu'il savait que cela serait biaisé, donc, il fallait qu'elle lui dise en réfléchissant comment les autres la percevait, mais, en ayant lu les quelques documents tout à l'heure, il se faisait déjà sa petite idée et le sourire de sale gosse qu’il avait sur le visage à ce moment en la regardant le trahissait totalement sur ce fait, s’en amusant beaucoup au passage.

Onyx Svart

Terranide

Pour être honnête, elle ne savait pas qu’elle avait trouvé un bouquin « intéressant » le jour où elle tombait dessus. La réaction du libraire âgé, qui oui, avait l’ait totalement taré et aussi vieux que ses bouquins dans sa boutique, où en effet, il fallait faire attention pour passer entre les piles qui montaient parfois jusqu’au plafond afin de ne pas se faire assommer et enterrer vivant sous des livres, avait été des plus étranges. Le vieil homme qui n'arrêtait pas de sourire avait presque courber l’échine à la vue du bouquin, paraissant presque effrayé, avant de se mettre à rire comme un fou en retournant voguer entre ses différentes piles de livres. Ouais, ça avait été une drôle d’aventure cette histoire, mais ça l’avait pas inquiété plus que ça, puisqu'apparemment ce vieillard était connu pour avoir des changements d’humeurs et fous rires imprévisibles, du coup, elle avait mis son changement de réactions sur le dos de ça. Mais, maintenant qu’elle entendait les mots de Siegfried, Onyx se posa quelques questions.

« Bah, j’ai une bonne nouvelle pour toi, car tu vas pouvoir me traiter d’idiote. Alors, non, j’en ai parlé à personne, t’es le seul à qui j’ai parlé de ce livre. Mais, je… Je ne comprends pas tes réactions, je suis un peu… Perdue. Dis, qu’est-ce que c’est que ce livre précisément ? À quel point c’est grave pour que tu me dise tout ça ? »

Oui, elle avait besoin de comprendre, car là, ça la dépassait. Elle se doutait que c’était un ouvrage important au vu de son contenu et de son apparence, mais, elle ne savait pas à quel point il était important et dangereux. Quand la belle louve avait trouvé ce vieux grimoire dans cette vieille librairie, elle pensait juste avoir trouvé un vieux livre sur les démons et les sectes, parmi la pile de vieux bouquins d’exorcismes qu’elle avait aussi trouvés là-bas.

Après tout cela et l’instant lecture, la brunette vint partager à son binôme une série de questions qui lui traversaient l’esprit, se demandant donc qui était pour quel démon et quels effets les drogues étaient censées avoir sur chaque sacrifice. Son regard vers lui, elle pencha doucement la tête en le voyant sourire, haussant de nouveau un sourcil à sa question. Comment elle était quand elle connaissait ce cher Georges ? Et du point de vue du monsieur bien entendu. Mmmmmh… C’était une bonne question, à laquelle la réponse n’allait pas être trop difficile à trouver en soi. Il suffisait juste à la louve de se rappeler de tout ce qu’il disait sur elle, ainsi que leurs autres collègues. Mais… Le sourire de sale gosse collé au visage de Siegfried lui fit plisser doucement les yeux, se disant qu’il s’amusait beaucoup trop de la situation soudainement. Crétin va ! Elle souffla du nez en fermant les yeux, essayant de ne pas penser à son amusement et au fait qu’il était vraiment beau quand il faisait cette tête.

Non, c’est pas le moment, maudit cerveau te dissipe pas ! Donc, reprenons ! Comment elle était perçue quand elle bossait avec Georges ? Aller, souvenirs souvenirs, on se met en marche s’il vous plait. Même les plus récents, ceux d’un peu plus tôt lors de ses retrouvailles au bout de 10 ans, allez, hop hop, j’ai besoin de tout ce beau monde ! Mmmmmh… Ok, je crois que j’ai quelque chose… Non, je suis sûre même.

« Alors… On me disait souvent que j’étais « noble » à cause de mon « registre », ma façon de parler l’amusait beaucoup, tout comme nos autres collègues. Mais, il était aussi très amusé car, ils adoraient tous me taquiner avec ça, ce qui me faisait pester. Mais parfois, je les envoyer valser, après quelques verres. Et ça, ça l’amusait beaucoup, car à chaque fois qu’il me cherchait, je finissais par lui demander s’il savait ce que j’avais à lui dire et il me disait qu’il attendait que je boit pour ça. Mmmmh… Même avec les clients lourdingues, je gardais un langage… Soutenu, on va dire, et ça les faisait tous rire, surtout lui. Il était aussi très amusé car je ne payais pas de mine, dans le sens où il ne s'attendait pas à ce que je mette la main à la pâte, alors qu’en fait, je courais de partout quand on bossait et je rechignais pas sur les heures. Ha, et il trouvait ça hilarant que je ne sortais avec personne et du coup, il disait que soit c’était parce-que j’étais difficile ou que c’était à cause de mon caractère. Mais, il savait toujours m’amadouer après m’avoir énerver et fait crisser, en me proposant des choses à boire ou à manger au miel, et quand la nourriture marchait pas, il proposait d’aller s’amuser en allant écouter de la musique quelque part et danser, car il savait que j’aimais ça. D’ailleurs ça l’amusait beaucoup, car… Il n’aurait pas parié que j’étais capable d’aimer ce genre de chose, surtout les musiques et danses populaires, pensant que j’étais trop noble pour ces choses-là… »

Elle rouvra ses yeux doucement, le regard vague entre eux dans le canapé, avant de relever son regard vers Siegfried, s’apprêtant à faire face à sa sale trogne de beau brun, qui était sûrement en train de se marrer comme ses pieds, enfin, c’est ce qu’elle pensait qu’elle allait voir en reportant son regard sur lui.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Oui,  il avait bel et bien envie de la  traiter d'idiote  sur ce coups là, se disant,  comment une fille  aussi futé et  sensé tout savoir ne voyait   pas le  danger de  ce livre. Son regard le  trahissait  sur  ce point, les yeux écarquillé,  la fixant  en prenant un sérieux presque sévère  avant de lui répond  en pointant sa main  sur les  pages 

" Tu te fous de moi j’espère ? La bulle de Vinacci ? L’arrête de Sœur Alia ? Rien de tout cela ne viens te sonner dans les oreilles ? "

Oui, il avait été forcé à étudié beaucoup de chose durant son adolescence, dont des trucs que, d'autre ayant commencé leur apprentissage plus tardivement n'aurait que survolé ou pas du tout étudié. La bulle de Vinacci fut une réunion d'urgence des plus hautes autorité de l'église lors d'une émergence démoniaque majeur qui avait suivi le vol de nombreux livres de l'église et qui, avait causé la mort de millier d'innocent à travers le royaume et même plus loin. L’arrêté de sœur Alia fut la loi de l'église qui obligea tout écrit de démonologie d’être divisé en plusieurs partie. Puis lui reprit en tournant quelques page, toujours sur un ton presque énervé.

" Tu te rend compte qu'un livre avec tant d'information regroupé, donné au moindre crétin sachant lire trois mots peux mener à la catastrophe ? Juste là, il y a tellement d'information sur certains sujet, sur certaine secte que s'en ait autant un manuel pour les combattre que les invoqué. "

Il pointa ensuite son doigts sur une annotation écrit au dessus d'une incantation

" Regarde, l'un des ancien propriétaire s'est meme permis de corriger des fautes  et de faire des améliorations. Ne me dit pas que tu ne vois pas où est le problème ? "

Non, il ne la pensait pas assez stupide pour laisser trop traîner ce livre, meme si, là, juste posé dans une simple bibliothèque à la vue de toute personne pouvant entrer chez elle lui déplaisait, mais au moins, elle n'en avait parlé à personne à part lui. Un soupira ensuite lourdement d’exaspération, essayant de chasser son énervement pour se remettre au travail et trouver la secte qu'ils recherchaient.

Donc, quand ce fut chose faite, il lui donna les informations dont ils avaient besoin avant de lui rendre son livre et, de passer à l'étape de savoir qui était pour quel démon. Lui avait bien une idée, mais il avait envie qu'elle comprenne d'elle même, alors, il lui demanda de répéter ce que pensait ce cher George d'elle lorsqu'il se connaissait avant son retour. Il l'écouta donc très attentivement en la voyant fermer les yeux, ce qui l'amusa beaucoup surtout sur son ton agacé, venant poser son coude sur ses genoux, puis sa tête posé sur la paume de sa main, la regard en souriant toujours. Oui, il était plutôt ravis d'en apprendre plus sur elle et, il savait maintenant quelques points que la demoiselle aimait, la musique, la danse et les mets à base de miel. Ce qui le surpris aussi, c'était le fait qu'elle ne soit jamais sorti avec quelqu'un à l'époque, mais, il se disait que soi elle était trop chiante pour que quiconque ne tente sa chance, soi qu'elle préféré les coups d'un soir ou encore, le plus plausible, qu'elle mente sur ce passage. Puis, quand elle rouvrit les yeux, il put lire qu'elle attendait une réponse de sa part, alors à la place, il lui dit

" Et donc ? A ton avis, pour quel démon ton grand ami George t'avais donc réservé ? "

Onyx Svart

Terranide

Elle ne savait plus vraiment où se mettre en l’entendant et en le voyant ainsi, ses bras croisés autour d’elle en le regardant toujours debout face à lui, déglutissant discrètement en l’écoutant, ses oreilles s’étant légèrement inclinées mais restait tout de même droite pour ne rien laisser paraître. Sans un mot, elle était restée silencieuse en l’écoutant jusqu’au bout, n’osant pas ouvrir la bouche en comprenant la gravité de la chose. Évidemment que non, elle ne se doutait pas de la gravité de la chose, pour elle c’était juste un vieux bouquin qui avait peut-être attéris dans cette librairie car il était trop vieux, ou que c’était un truc plus édité, qu’est-ce qu’elle en savait ? Pour elle, c’était une belle mine d’or toutes ces informations, lui ayant permis d’apprendre des choses qu’elle n’avait pas vue dans d’autres bouquins. Mais, elle ne s’attendait pas à ce que ce soit si dangereux, non.

Après un instant de silence, elle rouvra enfin la bouche, venant répondre d’une petite voix en osant pas le regarder, regardant sur le côté.

« Je… Je ne connais pas la bulle de Vinacci, non… Quant à l’arrêté de Soeur Alia, j’en ai rapidement entendu parler pendant l’apprentissage, par rapport au lien avec la démonologie… Quant au reste, je… J’avais bien compris que c’était un grimoire très complet et que ce n'était pas destiné à tout le monde… Mais, je… Je ne me doutais pas un instant que c’était un ouvrage… Si… Dangereux on va dire… Je… Je comprends mieux le problème… Je… Désolée… »

Voilà, ça c’était fait. Elle avait répondu après avoir fait la muette, venant avouer ce qu’elle ignorait, encore, en finissant par s’excuser de sa bêtise. Oui, elle se sentait bête, très bête là, du coup, elle préféra se taire et regarder ailleurs un moment, le laissant travailler tranquille en espérant qu’elle n’allait pas encore plus l’énerver.

Après ça, il était temps de discuter de ce que Siegfried avait trouvé dans le livre, quelques informations qui leur permit donc de pouvoir mieux identifier à qui ils avaient affaire et quel genre de rituel auquel ils allaient devoir assistés. Mais, c’est cette partie-là qui tira quelques interrogations à Onyx, surtout les détails pour savoir quel sacrifice était prévu pour quel démon, histoire de savoir le comportement adéquat à avoir quand elle devra jouer les gentils agneaux sacrificiels. À cela, son cher binôme lui demanda comment elle était à l’époque où elle était avec Georges, enfin, de comment son ancien collègue l’a voyait. Cette question fit réfléchir sérieusement la demoiselle, qui énuméra tout ce qu’il lui passa par la tête, essayant de ne rien omettre. Et quand elle eut finit, elle reporta son regard vers son partenaire, s’attendant à une réponse de sa part après avoir dit tout ça. Mais, à la place, il lui demanda son avis, lui demandant selon elle pour quel démon Georges l’avait choisi.

« Sincèrement ? J’en ai aucune idée… Je ne suis sûre pour aucuns des deux, car je ne sais pas sur quoi me baser… La luxure est autant liée au plaisir de la chair que du fait d’être charmante, d'avoir un caractère trop passionnel que d’être entourée de gens qui sont séduits par soi… Quant à la destruction, c’est autant liée à la cruauté et aux actes destructeurs, autant envers soi que les autres, d’être colérique, d’avoir un caractère trop impulsif ou d’être quelqu’un d’effrayant…  »

Elle haussa un sourcil en le regardant, fermant les yeux ensuite en soupirant, secouant la tête.

« Mais vu l’image que je renvoie, autant à ses yeux qu’à ceux des autres, et en y réfléchissant bien, je dirais la luxure. Quant à la demoiselle, le fait qu’elle soit une fille de joie et que sa vie semble être des plus destructrices pour elle, surtout au vu de ce qu’on sait, je dirais la destruction. Même si j’avais été tenté de penser la luxure pour elle au départ à cause des plaisirs de la chaire, mais je suis pas sûre que cela soit une partie de plaisir pour elle… »

Termina-t-elle par dire tout bas d’une voix compatissante et un peu… Triste ? Oui, c’était ça, ça lui faisait de la peine pour cette pauvre donzelle. Rouvrant doucement les yeux et regardant directement son binôme, la belle louve repris en penchant doucement, ses oreilles remuant doucement sur sa tête d’impatience.

« Et donc, tu veux bien me dire si je me suis trompé ou pas ? Car vu ton sourire sur ton joli minois, je sais depuis tout à l’heure que tu as ta petite idée sur la question. »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

L'envie de se pavaner de savoir quelque chose qui, dans leur situation, était important, fut totalement contrecarré par l'attitude de la demoiselle. Il voyait bien qu'elle assumait des bêtises et comprenait enfin que aujourd'hui, elle avait de la chance de ne pas avoir eut d’ennuis avec un tel objet. Mais ce qui le fit le plus grimacer était son désolé, le regard fuyant qu'elle avait, ses oreilles incliné. Non, il aimait ça quand il pouvait se vanter d'en savoir plus que la parfaire Onyx adoré par le clergé, mais là, en la voyant ainsi il n'en avait pas envie. Il se mit donc à soupirer et, comme à chez le joaillier, préféra lui apprendre quelque chose plutôt que de se moquer stupidement de son manque de savoir.

" Il y a un peu plus de deux siècles, Il y a eut une attaque sur un transport de l'église, se transport renfermait énormément de grimoire, que ce soit des ouvrages confisqué à des hérétique ou ceux écrit par l'église elle meme. A l'époque il ressemblait tous à peu près à ce genre de livre que tu détiens. Juste après, il y a eut une montée d'invocation démoniaque dans tout le royaume et meme plus, ce qui a causé la mort de milliers d'innocent ainsi que  de membre de l'église, tout domaine confondu. Les haut placé de l'époque ont donc participé à une réunion extraordinaire pour régler ce problème au plus vite et, réagir sur ce qui était arrivé et faire en sorte que cela n'arrive plus. "

Il fit une petite pause, puis, se mit à reprendre ses explications

" C'est sœur Alia, ou plutôt Mère supérieur Alia après cela, qui proposa un arrêté obligeant la séparation du savoir parmi l'église et le renforcement des effectif des inquisiteur et exorciste qui avaient grandement diminué à cause de cela. "

Il tapota de la main sur le livre pour attirer son attention, puis il finit sa tirade en lui disant

" Les livres ancien comme celui ci sont comme une arbalète, complètement monté,  prête à tiré sur la moindre personne dans les mauvaise main, mais pouvant protéger du mal dans les bonnes. L’arrêté à fait en sorte de démonter cette arbalète pour faire en sorte que quiconque veux l'utiliser doit d'abord en assembler toute les pièces et donc en avoir l'autorisation."

Un système de sécurité qui a fait ses preuves, mais qui, ralentis énormément leur travail de tout les jours. Mais voila, il avait fini sa tirade et il était temps de passer à autre chose, ils avaient assez perdu de temps se disait-il. Le culte trouvait dans le grimoire, le rituel aussi, il fallait maintenant identifier qui servirait pour qui dans le sacrifice.

Pour Siegfried, c'était une évidence, mais apparemment pour la louve, non, ce qui l'amusa beaucoup, la laissant alors deviner avec quelques indices sur qui chercherait à la posséder. Son sourire s’agrandit ensuite lorsqu'elle vint de nouveau le questionner pour vérifier sa réponse et avoir son avis, sa tête toujours posé sur le creux de sa main

" La luxure pour toi et la destruction pour notre fille de joie inconnue. "

Puis, il se redressa pour ensuite etayer ses propose

" De ce que j'en entend et ce que j'en vois de toi, tu veux a tout pris être parfaite, qu'il n'y ait pas un poil de travail sur tes belles oreilles et pas un pet de travers dans le moindre de tes déplacement. Tu surveille constamment ton langage et tu ne te lâche presque jamais. Notre demoiselle à découvrir elle, la luxure elle connaît, mais savoir se défendre, se venger ou dire non, de ce que j'en ais lu, ce n'est pas dans son registre. "

Puis, la regardant en relevant un peu la tête pour la taquiner, il ajouta

" Tu sais bien que ces petits con de démon prenne leur pieds à sentir les gens qu'ils possèdent craquer, assouvir ce qu'ils n'ose jamais faire, laisser s'échapper ce qui les ronge de l’intérieur. Donc te voir toi craquer pour des beignet au miel, une bouteille d'alcool ou une partie de jambes en l'air, et voir l'autre demoiselle craquer à foutre son poing dans la gueule de quelqu'un, voir à tuer quelqu'un, je pense que l'on a leur petit plaisir de ce soir. Mais si tu a une autre idée hein, n'hésite pas à me la soumettre."


Répondre
Tags :