Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort ne vous sépare [ Onyx ]

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Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Bon, elle le faisait exprès en fait se disait-il, il en était convaincue maintenant, la sentant s’agripper à ses hanches, elle voulait le voir réagir à ses gestes. Oh oui il avait envie de réagir, de lui demander ce qu'elle foutait, mais, avant qu'il ne cherche à le faire, il plissa les yeux, un léger sourire en coin. Il avait compris son petit jeu, elle voulait le faire réagir pour ensuite avoir la main, lui faire croire qu'il s'imaginer des choses, le traiter de pervers et pouvoir le foutre dans la merde ou l'emmerder autant qu'elle le voudrait à ce moment là. Non, il ne lui ferait pas ce plaisir, ça, c'était à enterrer.

Alors, il se donna entièrement pour ne pas lui offrir cette satisfaction ce plaisir, se mordant alors constamment l’intérieur de la joue pour éviter toute faiblesse de son corps, pour que rien ne soit visible en dessous de son nombril, non, elle n'aurait pas le dernier mot sur cela. Malheureusement, en la regardant faire, ses pensées cherchaient tout de meme à divaguer, la regardant si sérieuse, si studieuse, un moment parasite venant lui faire se demander quel serait les sensations de ses lèvres sur son ventre, venant à se faire saigner l’intérieur de la bouche en réponse à cela.

Il faillit soupirer lorsqu'elle eut enfin fini de raser son ventre, l'entendant presque fier de cela, venant à la regarder à cet instant avant qu'elle ne l'invite à sa façon de s'asseoir sur la chaise pour finir son torse

" Bien-sur Onyxssss, tout ce que vous voudrez Princesse."


Dit-il sur un ton faussement obéissant avant de s'asseoir comme prévu, le torse bombé pour facilité le passage de la lame et bien droit aussi, attendant qu'elle en finisse avec le rasoir, tout en regardant droit devant lui.

Onyx Svart

Terranide

Après que la belle louve ait invité son binôme à s’asseoir, de façon légèrement cocasse certes, elle fit une petite moue en le regardant en l’entendant répondre. Yeux plissés, bouche en cul de poule, les oreilles penchées à 90 degrés de nouveau… Oui, il venait de l’agacer, et bien comme il faut en plus. Elle détestait ça quand il jouait de cette manière avec son prénom, et en plus, il se foutait royalement de sa gueule en la surnommant de « princesse ». Ha, l’enfoiré !

« … Vous êtes trop aimable, Siiiiiiiir Freeeeeeeeeeed. »

Répondit-elle à son tour, un ton agacée et enjouée à la fois, venant exprés écorcher son prénom, comme à chaque fois quand il l’énervait en jouant ainsi avec elle. Puis, la brunette souffla du nez en regardant le beau brun, ses oreilles s’agitant sur sa tête pas contentes, commençant à doucement se pincer la lèvre en le regardant. Puis, elle souffla de nouveau du nez, fermant ses yeux en même temps, avant de les rouvrir en fronçant un peu les sourcils, son regard concentré sur le torse bombé de son partenaire, essayant de se reprendre pour poursuivre son travail.

Et là, tout comme pour son bas-ventre et son ventre, elle vint poser une de ses mains délicatement sur sa peau, afin de la tirer au possible pour faciliter le rasage, sa petite mimine toute chaude et douce posée juste au-dessus du milieu de ses pectoraux et en-dessous de ses clavicules. En sentant sa peau sous ses doigts et en voyant son torse de plus près, bien entendue, elle ne put s’empêcher de penser à comment il était bien bâti, découvrant donc ce torse contre lequel elle avait posé sa tête tout à l’heure.

Non, elle en était sûre, ou presque, mais là, elle était possédée à autant penser à lui ! Ou elle n’aller pas tarder à être bientôt en chaleur, même si c'était pas encore la période pourtant, mais c'était pas possible autrement ! Il y avait sûrement un truc hein ?! Donc, aller, nouvelle punition, la noirette replia doucement sa langue dans sa bouche, venant l’appuyer ainsi positionnée contre ses dents et hop ! Mordage de langue cette fois, de quoi se faire remettre les idées en place et étre focus à sa tâche !

Bien bien bien ! Et une fois cela fait, son minois bien concentrer et ses yeux fixé sur le torse de Siegfried, Onyx fit glisser de nouveau la lame du rasoir sur la peau de son partenaire, des gestes toujours aussi précis et délicats à la fois, lents mais nets, la peau devenant lisse et les poils disparaissant tous au passage de la lame. Et une fois que tout fut finie, elle offrit un nettoyage à la lame sur le chiffon humide, avant de se mettre à nettoyer délicatement la peau de son partenaire avec, veillant à utiliser le côté propre du chiffon.

« Et voilà, vous avez la peau aussi lisse que des fesses de bébé Siiiiiir Freeeeeeed. »

Dit-elle un sourire en coin sans le regarder, ses oreilles remuant amusées sur sa tête, terminant d'humidifier encore un peu la peau de son torse et l’essuyer pour qu’il n’y ait aucune irritation. Puis, une fois finie, elle releva son regard vers lui, reprenant une mine sérieuse.

« Tu crois que c’est encore bon et a bonne température pour la mixture des tatouages ? »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

S'asseyant, il fit une légère révérence envers Onyx avant d'ajouter, toujours pour la chercher

" Toujours pour une personne aussi PARFAITE que toi princesse Onyxsssss "

La regardant droit dans les yeux de défi. L'avantage de lui chercher des poux ainsi, c'était que au moins, il ne pensait pas à autre chose, venant s'asseoir en attendant qu'elle s'occupe de raser son torse. Il fallu attendre un peu, tandis qu'elle était complètement obnubilé par son travail de le raser correctement, sentant sa petite main poser sur son torse. Elle pouvait sûrement sentir les battement de son cœur contre ses doigts et lui, par contre, sentait de nouveau la douceur et ses doigts fin, venant jurer mentalement contre l'apprentie dont sa voix revenait dans sa tête lorsqu'elle parlait des mains d'Onyx.

Là, il pouvait d'autant plus voir son visage, assis presque à la meme hauteur, son regard complètement concentré sur sa tache, ses yeux écarlate fixé sur le passage de sa lame, ses oreilles droite comme un i qui ne bougeaient pas d'un poil, il y trouvait quelque chose de beau en cette instant, le faisant se taire pendant tout le moment de son rasage. Quand cela fut enfin fini, le dernier coups de linge sur son torse pour nettoyer le reste, il l'entendit le chercher de nouveau. Oh il avait bien comprit qu'elle aimait écorcher son nom, que c'était son seul moyen pour l'atteindre quand lui ne faisait qu'appuyer un peu le sien. Bien-sur, il s'était souvent interrogé de pourquoi elle détestait son prénom. Ce n'était pas moche, cela allait bien avec sa coiffure et son attitude la plupart du temps.

" Très biens Onyxsssss "

Dit-il en réponse, laissant bien la fin de son prénom serpenter en la défiant du regard, voyant bien qu'elle s'en amusé de se foutre de sa gueule, ses oreilles et son fichu sourire qui donnait envie de l'embrasser le prouvant. Peut être qu'il devrait faire cela se dit il un instant, l'embrasser par surprise pour lui rabattre son caqué, soi elle serait bloqué un instant, soi elle en vomirait, ce qui pour lui était tout bénef. Mais en y réfléchissant, c'était aussi un coup à ce qu'il est de plus grosse emmerde avec le clergé, donc, à éviter au final.

Mais sa prochaine question n'était pas bête, venant lui demander si la peinture était toujours bonne, le faisant alors se tourner vers le bureau pour vérifier. Il prit le pinceau qui trempé dedans et, quand il put voir que la mixture s'étirait un peu comme de la purée, il soupira bruyamment en le faisant retomber, se penchant sur le coté pour reprendre des ingrédient

" Non elle est foutu, il faut que je recommence. "

Sans perdre plus de temps que cela n'avait déjà été fait, il se mit à commencer la nouvelle préparation, venant lui dire en meme temps

" Prend le grimoire et étudie les sigil qui ont un marque page, ce sont ceux que tu va devoir me tatouer. "

C'était comme d’habitude sur un ton clair et brut, absorbé dans le grammage de ses ingrédient dans son mortier, mais c'était vrai, il valait mieux qu'elle les regarde un peu à l'avance plutôt que de ne rien faire en attendant et se retrouver comme une poule devant un couteau.

Onyx Svart

Terranide

Il avait de la chance qu’elle devait le raser, vraiment, car sinon… Raaaaaaaah, elle aurait surenchérit et l’aurait pas laissé gagner la manche ! Oh ça non ! Elle mourrait d’envie de lui dire qu’il était parfaitement insupportable pour une personne comme elle, et qu’il ressemblait plus à un prince casse-pied qu’autre chose, mais, voilà, elle n’en dit rien. Pourquoi ? Baaaaaah… La belle louve se disait que si elle joue à ce petit jeu avec lui, ils risqueraient d’y passer un moment les connaissant. Et si il y passait trop de temps, la mousse à raser dégoulinerait et sécherait en plus, ça serait pas le top pour le rasage, donc, y aurait fallu tout enlever pour en remettre et le rasée ensuite. Et ça leur ferait perdre du temps, il se mettrait à grincher, et elle n’avait pas envie de l’entendre râler. Donc, elle se taissa et se contenta de souffler exaspérer par le nez, le regardant avec un regard qui en disait long, avant de reporter son regard sur son torse et se mettre à le raser.

Quand Onyx eut fini, elle vint donc l’annoncer à Siegfried, en l’emmerdant un petit peu évidement. Vu qu’elle avait fini et fait du bon travail, elle avait droit à une petite récompense, et l’emmerder faisait partie des récompenses qu’elle appréciait au plus haut point. Et le beau brun lui rendit bien, venant la chercher avec son prénom encore, ce qui lui fit perdre son petit sourire en coin en venant froncer les yeux d’agacement, ses oreilles recommençant à s’agiter d’énervement, alors qu’elle souffla longuement par le nez en fermant les yeux. Aller aller aller, calme toi, lui répond pas, le travail est pas encore finie, t’as juste finie la première étape… Mais oui, la première étape : le rasage ! mais il restait encore les tatouages ! Saperlipopette, la mixture ! Est-ce qu'elle était encore bonne ?!? Ni une ni deux, la belle louve retrouva son sérieux et releva son regard vers son binôme, venant donc lui demander avec sérieux si c’était ok. Et quand elle l’entendit soupirer, elle compris que c’était foutu avant même qu’il ne lui confirme.

« … Je… Désolée… »

Lâcha-t-elle d’une petite voix en détournant le regard, ses oreilles se baissant sur sa tête comme un pauvre petit chiot, en venant présenter ses excuses. Elle n’aimait pas ça, non, vraiment pas du tout, ça lui donnait l’impression d’être faible et d’être inutile, sans intérêt, ayant l’impression de devoir s’excuser pour son existence-même comme autrefois. Non, elle détestait vraiment ça, mais, elle savait aussi qu’il fallait savoir reconnaître ses erreurs, aussi difficiles qu’elles soient à accepter ou non. Et là, c’était clairement de sa faute. Si elle n’avait pas mis autant de temps à le raser, à être si délicate, et surtout à se perdre dans des pensées totalement futiles, ils n’auraient pas perdu autant de temps et la mixture serait encore bonne.

Bon, une fois ses excuses présentées, elle reporta lentement son regard vers lui en l’entendant reprendre la parole, lui demandant de se rendre utile en prenant connaissance des tatouages qu’elle allait devoir lui faire. 

« D’accord. »

Répondit-elle simplement, une petite voix encore un peu présente, mais plus proche de son timbre de voix habituel. Puis Onyx se saisissat ensuite délicatement du grimoire, venant donc regarder les pages avec un marque-page, les analysant avec sérieux, lisant chaque détails, chaque incantations liées aux tatouages, essayant de les mémoriser, tout comme les motifs et particularités des tatouages, visualisant dans sa tête l’angle du pinceau qu’il faudra avoir selon les traits et leurs épaisseurs, essayant au possible de tout scanner et analyser comme à son habitude, histoire d’être le plus prête pour le grand moment. Et tout en étudiants les sigils qu’elle allait devoir faire, elle reporta parfois son regard sur elle, regardant attentivement les tatouages que Siegfried lui avait faits, comparant les particularités spécifiques entre le livre et ce qu’elle avait sur sa peau, pour mieux visualiser et comprendre certaines choses. Puis elle continua ainsi à étudier, sagement, sans bruit, parfaitement concentrée à son habitude, en attendant sagement que son partenaire finisse la préparation pour les tatouages et vienne la sortir de son étude.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Alors qu'il commençait à doser à nouveau les ingrédients pour re préparer  la mixture afin de refaire de la peinture, il entendit quelque chose qu'il détestait. Désolée. Il détestait le prononcer, mais il détestait aussi l'entendre. Oui, la savoir s'excuser pour une de ses conneries ou parce qu'elle avait fait la maline et que cela s'était retourné contre elle pouvait être satisfaisant à ses oreilles, mais le mot désolé, il n'arrivait pas à le supporter. A chaque fois qu'il l'avait prononcé, un châtiment lui était  tombé dessus, la douleur l'avait envahi et les punitions le suivaient,, donc, l’entendre s’excusait le tendait plus qu’autre chose.

" Passe à autre chose, ça  aurait tourné dans tout les cas, pas le temps de s'en occuper correctement avec tout ce qu'il y a à faire."

Dit-il en agitant la main sur un ton aigri, tandis qu'il continuait de broyer certains ingrédient avec  son pilon. Non, il n'avait  pas envie de l'entendre s'excuser malgré tout, malgré qu'elle lui cassait les pieds et malgré qu'elle  fasse toujours la petite  demoiselle parfaite  et bien sous tout rapport. Alors, histoire qu'elle ne lui ressasse pas les pieds avec son excuse et sans vouloir l'avouer, qu'elle ne s'en fasse pas plus que ça, il lui donna à lire le grimoire pour commencer à apprendre comment elle devrait tracer les sigil et les prières de bénédiction qu'elle devrait prononcer en meme temps.

 Cela lui reprit un temps fou de préparer de nouveau la peinture, de nettoyer celle qui avait figé et aussi de refaire cuir la nouvelle, la pièce ayant été dans un silence que seul le bruit du pilon et du mortier ou celui du papier que l'on tournait avait put briser. Mais voila, c'était fait, venant se tourner de nouveau vers elle pour la regarder avec le bol et le pinceau, toujours assis

" Allez, au boulot."

Il se tourna donc correctement vers elle, bombant de nouveau le torse pour se preparer et lui offrir un champ de travail plus libre.
« Modifié: dimanche 22 juin 2025, 20:14:24 par Siegfried Rosenfeld »

Onyx Svart

Terranide

Les mots de Siegfried, même s’ils avaient été prononcés d’une voix aigrie, lui avaient étrangement fait un peu de bien. Oui, ça l’avait rassurée un petit peu, même si elle sentait encore un peu idiote, mais plus autant mal à l’aise d’exister comme à chaque fois qu’elle s'excusait. Et tout comme il lui avait demandé, Onyx passa à autre chose, prenant le grimoire qu’il lui donna qu’elle devait étudier, et se jetant à corps perdu dans sa lecture avec une assiduité sans faille.

La belle louve mémoriser, scanner et retenait tout au possible : les formes des sigils, l’épaisseur de chaque trait, les courbes et traits spécifiques de chaque tatouage, les paroles de chaque prière de bénédiction selon le tatouage auquel il était lié, venant regarder et comparer ceux qu’elle avait sur le corps avec ceux du grimoire, voyant mieux certaines spécificités ainsi qui lui seront forts utiles le moment venu.

Et ce moment arriva enfin ! Les grandes oreilles de la brunette se mirent à frémir en entendant la voix de son binôme, la faisant relever son minois concentré du grimoire, venant poser ensuite son regard sur son partenaire. Là, elle le regarda, ses yeux passant de son visage à ce qu’il lui tendait, hochant la tête en regardant le tout.

« Soit, c’est parti. »

Puis, elle reporta son regard sur le grimoire, allant à la page pour le tatouage de la destruction. Puis, elle posa ensuite le grimoire sur sa jambe, tout comme il l’avait fait un peu plus tôt. Et une fois les deux mains de libre, Onyx prit délicatement le pinceau et le bol que lui tendit Siegfried, puis elle fixa attentivement son torse, regardant l’emplacement du chakra du cœur et visualisant tout ce qu’elle allait devoir dessiner sur sa peau. Chaque traits, chaque symboles, chaque lettres, tous sans exception se dessinaient dans sa tête, prenant même en compte les inclinaisons du pinceau ainsi que le poids à exercer sur la pointe pour certains tracés. Oui, tout était calculés et réviser à une vitesse folle, pour ne se permettre aucunes erreurs possibles.

La louve remua délicatement le pinceau dans le bol de peinture, venant bien l’imprégner de la mixture, prenant soin à retirer le surplus sur le rebord du bol, avant de lever l'ustensile et venir poser délicatement la pointe de vison sur la peau du beau brun. La peinture tout comme pour elle était chaude, mais pas trop, elle le sentait bien à travers le bol dans sa main, ce qui la rassura sur le fait de ne pas risquer de le brûler. Puis, une fois le pinceau posé sur le centre du chakra, elle laissa courir délicatement et avec douceur les poils de la pointe sur la peau lisse de son collègue, traçant avec dextérité et précisions chaque traits du sigil, le regard concentré comme jamais.

En cet instant, aucunes pensées parasites ne vint l'interrompre, car elle était beaucoup trop concentrée à réaliser les tracés du tatouage avec perfection, tout en résistant avec la même perfection à voix basse chaque incantation de la prière de bénédiction. Tout comme lui, elle y prend le temps qu’il fallait, surtout que, vu que c’était un homme, et qu’il était bien bâti en prime, bah, il y avait plus de surface à tatouer contrairement à son buste de fine demoiselle. Et une fois qu’elle eut finit la première partie du tatouage, elle retira délicatement son pinceau de sa peau, venant retremper la pointe de celui-ci dans le bol, la faisant tournoyer dans le liquide coloré pour l’en imbiber, tout en relevant son regard sérieux vers lui.

« On passe à la seconde partie, et je vais avoir besoin que tu sois debout pour ça. »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Son torse se soûla quand il senti la pointe du pinceau venir se poser sur son torse, déposant la peinture chaude sur sa peau. C'était chaud, très chaud, presque trop, une chair de poule se faisant d'ailleurs à cause de cela sur son torse. Petit à petit il s'y habitua, ne disant trop rien la dessus, la laissant travailler proprement, la regardant faire. Encore une fois, il se mit à l'observer, à observer ses mimiques, sa façon de se tenir, son regard alors qu'elle était complètement absorbé par son travail.

Elle était d'un sérieux monumental, habituel, venant à se demander si elle savait se détendre à part lorsqu'elle se foutait de sa gueule, puis, le moment où elle avait regardé les oiseau dans le ciel lui revenu en mémoire. Là, son regard passa ensuite sur ses yeux, ses iris d'une rouge brillant, solaire, ses yeux qu'il trouvait magnifique, meme si elle était la plus grande emmerdeuse qu'il connaisse. Il se disait qu'elle devait avoir eut bien des conquête, belle comme elle était et futé au point d'en être casse bonbon, ou peut être que non, peut être que son caractère arrivait à faire fuir qui que ce soit s'approchait d'elle, cette pensée le faisant sourire d'ailleurs.

Mais, une question lui revenait toujours en tête, depuis presque le début où il la connaissait, qu'est ce qu'elle foutait chez les exorciste ? Ses pensées furent alors arrêté lorsqu'elle s’exclama de nouveau, venant lui dire qu'elle était prête à passer à la suite, le faisant cligner très légèrement des yeux en revenant au moment présent. Il hocha donc la tête, tout simplement, alors que son regards était toujours dans le sien, oui, elle avait du voir qu'il l'avait fixé du regard, mais il s'en fichait, même s'il sentait qu'elle allait lui casser les pieds avec cela. Puis, il se releva de la chaise, venant ajouter

" Vérifie que la peinture est assez liquide, sinon fait la chauffer au dessus de la bougie pendant trente_sept temps, pas plus, pas moins."

Onyx Svart

Terranide

Quand elle releva son regard pour lui annoncer qu’ils allaient devoir passer à la suite, elle se retrouva à croiser le sien, constatant qu’il la regardait. Depuis quand ? Depuis quand il me zieute lui, se demandait-elle. Et pourquoi surtout. C'était louche, très louche.

Est-ce qu’il était en train de la mater ? Noooooooooooon, impossible ! Il ne pouvait pas la voir, et elle non plus d’ailleurs ! Bon, si, elle, elle arrivait parfois à l’encadrer, ça dépendait des jours, de ses humeurs, s’il l’avait emmerder, s’il râlait comme du poisson pourri ou pas, s’il était aussi aimable qu’une porte de prison ou non, tout ça ! Aujourd’hui, elle se trouvait à un peu trop pouvoir l’encadrer d’ailleurs, venant à ne pas arreter à avoir des tas de pensées le concernant. Bah tiens ! Encore là ! Elle était en train de se dire qu’il avait vraiment de magnifique yeux bleus. Avec de telles mirettes, puis séduisant comme il était,  il avait dû en faire tourner les têtes de quelques demoiselles se disait-elle. Enfin, jusqu’à surement qu’il ouvre la bouche et se mette à râler comme un chihuahua.

Cette pensée l’amusa fortement, manquant de la faire sourire amusée, mais, la voix de son binôme la coupa dans son amusement, la faisant hausser doucement un sourcil. Ni une ni deux, elle reporta son regard sur le bol de peinture, venant relever le pinceau pour vérifier la consistance du liquide coloré. Elle plissa doucement des yeux en constatant qu’en effet, ce n’était plus assez liquide, la faisant avoir une bouche en cul de poule en regardant le spectacle.

« Je reviens le temps de la réchauffer.  »

Ni une ni deux, Onyx se releva et contourna légèrement Siegfried, se dirigeant à pas assuré vers son bureau. Une fois devant, elle retira le surplus de peinture sur le pinceau, tout en se perdant dans ses pensées, qui ne cesser de tourner autour de son binôme aujourd’hui. Elle se demandait d’ailleurs s’il avait eu beaucoup de conquêtes tiens, vu son caractère mais son joli minois, puis, elle se demanda quel genre de femme lui plaisait aussi, essayant de se rappeler potentiellement des regards ou flirts qu’il aurait pu avoir avec des demosielle lors de leurs précédentes missions quand ils devaient travaillaient ensemble.

Puis, la belle louve chassa très vite ses pensées de sa tête, venant se reconcentrer sur son travail présent. Et là, aprés avoir débarrasser sur le rebord du bol tout le surplus de peinture du pinceau, elle vint réchauffer le bol de peinture au-dessus la bougie, une expression des plus sérieuses au visage, en comptant bien le temps dans sa petite tête. Trente sept temps, ni plus ni moins, voilà, c'était fait ! Une fois cela fini, elle mélangea de nouveau le tout avec le pinceau, tout en reculant du bureau. Puis, elle pivota sur elle-même et revint vers son binôme, lui jetant un regard avant de lui dire.

« prêt pour la seconde danse du pinceau ? »

Drôle de façon de formuler les choses, mais ça lui arrivait parfois, on ne sait trop pourquoi. Ça la rendait peut-être plus sympathique, moins mademoiselle sans défauts, faisant toujours attention à tous ces gestes et mots. Une fois cela dit, la brunette se rapprocha de son binôme, venant reprendre place face à lui, assise sur la chaise, et sa tête face à la naissance de ses abdos, plutôt bien installer à bonne hauteur pour s’occuper de son ventre au niveau du chakra du divin. Et là, comme un peu plus tôt, elle vint sortir le pinceau du bol, retirant le surplus sur le rebord, puis, posa la pointe du pinceau sur son ventre, laissant ensuite glisser celui-ci sur sa peau.

Des gestes lents et précis, toujours, délicats et minutieux, encore plus à cause de l’endroit où le tatouage devait se faire en comprenant le nombril. C’était une zone des plus délicate, il fallait faire preuve d’une extrême patience mais aussi d’une précision digne d’un faussaire, afin que tout soit impeccable, qu’aucuns traits ne soit déformés et que rien ne coule. En bref, l’une des zones à tatouer la plus compliquée du corps, qui demandait une patience inébranlable. En plus, rajouter à cela qu’il faut réciter des incantations d’une prière de bénédiction, sans se tromper, tout en restant concentrer autant sur le tatouage que sur les paroles des psaumes, c’était pas une mince affaire ! Mais, mademoiselle la parfaite élève bien concentrée à sa tâche, dont rien n’arrivait à la déconcentrer, en tout cas pour le moment, réalisa tout ça sans aucuns soucis. Et à force de patience et de gestes doux ainsi que des plus parfaits, la belle louve termina le tatouage sans encombre en une quinzaine de minutes, mettant un peu plus de temps que son partenaire pour cette tâche. Et, quand ce fut fini, tout en retirant délicatement le pinceau de sa peau, le regard de la demoiselle venant se reporter sur le bol pour vérifier la texture de la peinture, elle vint annoncer au beau brun la suite.

« La peinture est toujours liquide, toujours tempérée… Prêt pour une troisième danse Sir ? »

« Modifié: dimanche 22 juin 2025, 22:16:08 par Onyx Svart »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Pourquoi est ce qu'elle se sentait obligé de préciser des choses logique ? Il n'en savait rien, mais bon, ça ne faisait pas vraiment de mal, alors pourquoi râler dessus. Il attendu donc patiemment que Mademoiselle ne s'occupe de réchauffer la peinture, puis, quand elle fut revenu devant lui en lui demandant s'il était prêt, il se contenta de hocher la tête plutôt que de lui dire " A ton avis ? Tu crois que l'on a du temps à perdre sur ce genre de question " qu'il aurait put lui offrir, mais, il ne savait pas pourquoi, il était plutôt d'humeur gentille en cet instant.

Il se retrouva à regarder droit devant lui pendant qu'elle commençait à le tatouer au niveau du ventre, réflechissant ensuite à ce qu'ils allaient faire. Les rituels se faisait très tard le soir, si les idiots respectaient les codes d'invocation, donc, ils allaient sûrement devoir faire de la filature dans le secteur où ont leur avait indiqué que cela allait se passer. Combien de temps ? Ça il n'en savait rien et il espérait que ce ne serait pas long, ne voulant pas vraiment risquer de péter un câble avec miss je sais tout et se criper le chignon tout les jours jusqu'à ce qu'ils puissent enfin travailler. Mais bref, il se mit ensuit à penser au reste, au chance qu'ils avaient face à une groupe de fanatique et possiblement à deux démon, pas des plus simple à gérer. On pouvait lire sur son visage toute ses réflexions et que tout cela ne lui plaisait pas.

Mais voila, à faire des plan sur la comète, le temps passait vite et, il fut tiré de ses pensées quand il entendu la voix d’Onyx lui parler,lui demandant s'il était prêt pour le troisième. Baissant donc son regard vers elle, il hocha de nouveau la tête avant de regarder encore droit devant lui. Pour s'assurer qu'il n'y ait pas de soucis pour la place du tatouage, il vint placer ses deux mains sur le bord de son caleçon, venant le tenir assez bas pour lui laisser la place de travailler, mais, ne regardant pas vraiment, il ne se rendit pas compte qu'elle pouvait très bien voir la toute naissance de sa virilité à cet instant.

Onyx Svart

Terranide

Il était étrangement calme depuis un moment, oui. Bon, la belle louve mentirait si elle ne reconnaissait pas qu’il savait être calme, qu’il l’était même souvent d’ailleurs en fait, mais… Baaaaaah, ça l’étonnait un petit peu en ce moment. Bon, c’était pas plus mal, ça ne leur laissait pas l'occasion de se chercher des puces, et ça laissait tout le loisir à la demoiselle de travailler dans le calme, l’esprit calme et calmement. Et comme pour le second tatouage, Siegfried répondit donc d’un hochement de tête quand elle lui demanda s’il était prêt pour le troisième à faire, celui pour se protéger contre le démon de la luxure.

Encore un hochement de tête ? Et bah mon mignon, t’es bien calme… Attend quoi ? J’ai pensé quoi là ? Haaaaaa, j’en peux plus de ma personne aujourd’hui, voilà ce qu’elle pensait, elle était fatiguée d’elle-même là. Mais pourquoi diable elle arrêtait pas de penser à lui ? Elle le voyait pas assez là peut-être ? Raaaaaaah ! Bon, c’est pas grave, un petit hochement de tête en retour, petit remuage de peinture avec le pinceau encore un moment et la danse continue !

Mais, la suite ne manqua pas de la déstabiliser, oh non ! Alors qu’Onyx reporta son regard sur le ventre de Siegfried, le regardant apposés ses mains sur son bas-ventre et tirer sur son caleçon pour lui faire de la place pour le tatouage, elle se retrouva à admirer le tout début de sa virilité, que le baissage du caleçon un peu trop bas avait dévoilé. Oh seigneur, qu’est-ce-qu’elle devait faire là ? Lui dire ? Mais, ça risquerait de le gêner, non ? Ne rien dire ? Mais, ça risquerait aussi de le gêner, non ? Puis, il pourrait lui dire que ce n’est qu’une vicieuse si elle ne dit rien pendant tout le tatouage, non ? Ho ho ! C’est comme la fameuse question être ou ne pas être : dire ou ne pas dire ?

La jolie noirette était embêtée là, ses oreilles s’agitaient doucement de gêne sur sa tête, ses joues devenaient doucement rouges sans qu’elle ne s’en rende compte, et pour couronner le tout, ses pensées étaient repartis de plus belle ! Dont sa question de tout à l’heure qui revint à vitesse grand V, venant donc se demander comment il était là-dessous, constatant par la naissance de sa virilité qu’il devait être très bien bâtie là aussi. … Non… S’il-te-plait, maudite caboche des enfers, arrête, pitié ! Pourquoi moi hein ? Pourquoi me faire penser à de pareilles choses hein ? En plus en ce moment quoi ! Je dois me concentrer, je dois travailler, je dois le tatouer et pas faire de couacs ! Pitié, arrête de me faire penser à ça !

Elle aurait bien chouiner si elle ne savait pas se contenir, mais la pauvre ne savait plus où donner de la tête, c’était le cas de le dire. Puis, plus elle essayait de ne pas regarder, et plus elle regardait, bah oui ! Elle était entrain de se demander si elle n’était pas en manque même, à force de tant penser à son cher binôme et à des choses peu catholiques en ce moment. Bon, aux grands mots les grands remèdes hein ! Inspiration discrète des deux joues dans la bouche, tout en continuant de tournoyer le pinceau dans le bol comme si de rien n’était, et hop, clac ! Mordgage des deux joues, guérison garantie et immédiate ! Haaaaaa, Seigneur, merci !

Une fois ce souci plus ou moins réglé, la brunette décida de ne rien dire au beau brun, tant pis ! Il était calme, autant en profiter pour travailler et finir la séance de tatouage hein ! Mais, alors qu’elle termina d’imbiber le pinceau de la peinture, venant à en retirer l’excédent sur le rebond du bol comme à chaque fois, elle se fit la réflexion qu’être assise n’allait pas être très pratique pour lui tatouer le bas-ventre. Mmmh… Bon aller, ni une ni deux, elle recula sa chaise sans un bruit, se laissa tomber à genoux au sol pour être agenouillé et se retrouver la tête face à son bas-ventre de nouveau, pour mieux s’occuper de tatouer son chakra racine. Et là, sans un mot, faisant abstraction de ce qu’elle venait de voir et qui était juste sous ses yeux, malgré ses joues qui restaient légèrement rosées, elle leva le pinceau et vint la déposer délicatement sur le bas-ventre de son binôme. Et, comme pour tous les autres sigils à tracer sur son corps, elle fit preuve d’une grande délicatesse et douceur, faisant attention à y aller doucement, faisant des gestes nets et précis, sans aucunes bavures, veillant à retremper le pinceau dans le bol pour qu’il ne manque pas de peinture, tout en incantant à voix basse sans s’arrêter les psaumes en lien avec les prières de bénédictions. Puis, après une bonne dizaine de minutes, elle termina, venant retirer délicatement le pinceau de sa peau, tout en annonçant la fin de la séance.

« Et voilà, c’est fini pour la séance tatouage. »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Il continuait à réfléchir à ce qu'il allait devoir faire, se demandant si son matériel serait suffisant pour tout cela. Intérieurement, il bouillonnait encore de s’être fait refiler de nouveau une mission pareil, insultant les inquisiteur pas assez nombreux pour faire leur travail  qu'ils se retrouvaient à les remplacer. Il en avait connu plusieurs d'ailleurs, donc un encore plus brut de décoffrage que lui, mais très efficace dans son métier, peut être  trop même. Il se demanda se qu'il aurait fait à ce moment là, dans cette situation. Sauf que, lorsqu'il senti le pinceau passer si prêt de sa virilité,  cette pensée dévia, se demandant comment cela  serait des caresses à cet endroit de la part d'Onyx. A  cette pensée il ferma les yeux à s'en faire mal,  serrant la mâchoire à en avoir une crampe, cherchant à chasser cela, cherchant à éviter au  vu de la  où elle travaillait, que son corps se réveil et ne fasse foirer le tatouage. Mais cet idiot n'arrivait pas à ne pas se demander quel réaction elle aurait si c'était le cas avant de serrer encore plus sa mâchoire à s'en mordre la langue.

Elle s'en fiche de toi, au vu de ses manières ce doit être  une bourge avec beaucoup d'argent et de manière, toi tu n'es qu'un clochard sans avenir à part celui de survivre à ta peine de servitude, elle te rirait juste au nez idiot, se dit-il à cet instant. C'est donc  très sérieux qu'il regardait le plafond. Que ferait l'autre inquisiteur à ce moment là ? Oui, faire exploser le bâtiment où  la réunion se trouvait, plus de problème, pas de  risque pour lui et il pourrait toujours faire passer les victime innocente se trouvant dans le bâtiment comme des complices. Purée il se dit qu'il avait encore du chemin avant d'arriver à être autant un connard que lui. Il s'imaginait alors ensuite plusieurs possibilité, mais toute échouaient, ne sachant pas du tout la pièce dans laquelle  ils allaient se retrouver, comment cela allait se passer et si le nombre de personne serait bien celui de prévu. Quelle mission de merde se dit-il encore une fois.

Mais voila, à force d'y penser, la fin du tatouage arriva enfin, alors, il baissa le regard vers Onyx qui était toujours à genoux devant lui.

" Parfait alors. Tu peux te rhabiller, ça doit être sec pour toi."

Dit-il directement avant de se retourner, commençant à ranger ses affaires, se disant que cette mission avait vraiment intérêt à être rentable, car les ingrédients pour ce genre de rite n'étaient vraiment pas gratuit. Pendant qu'il s'affairait à ranger, il lui dit aussi

" On va devoir attendre jusqu'à  ce soir  pour se mettre en planque dans le secteur que l'on nous a indiqué, tu peux faire ce que tu veux en attendant, on se retrouve devant la bijouterie au moment du couvre feu."

Onyx Svart

Terranide

Après lui avoir annoncé qu’elle avait donc finie, Onyx put entendre Siegfried s'adresser à elle, faisant remuer doucement ses oreilles à sa voix. Puis, quand elle l’entendit pendant sa prise de parole lui dire qu’elle pouvait se rhabiller car ses tatouages devraient être secs, elle hocha doucement de la tête, relevant enfin doucement son regard vers lui. Mais, lorsqu’elle releva ses jolies mirettes écarlates vers lui, elle put le voir aussitôt se retourner, le voyant s’activer à ranger ses affaires.

Ça lui avait fait étrange sur le moment, se disant qu’elle aurait bien voulu voir ses beaux yeux bleus encore une fois. … Bon, elle ne savait décidément pas ce qu’elle avait aujourd’hui avec lui, mais ça commençait à être étrange, même pour elle ! Bon, elle réfléchira à tout ça à plus tard hein, c’était pas le moment de penser à ça. Baaaaaah, c’était peut-être pas le moment, mais… Son cerveau lui n’était pas tout à fait d’accord avec ça, car il se remit à carburer quand elle posa son regard sur son binôme qui rangeait. Il était vraiment beau, oui, même avec toutes ces cicatrices, elle le trouvait beau. Puis, il était vraiment bien foutu en plus, oh oui, il avait une belle musculature, un beau corps, puis il avait des bras… C’était agréable de les sentir autour de soi comme tout à l’heure. Ses mains aussi, ça avait été agréable de les sentir sur sa peau, d’ailleurs, l’apprentie vendeuse avait raison : s’il s’occupait un peu de ses mains, elles seraient sûrement très douces et ça serait sûrement un bonheur de les sentir glisser sur la peau.

Onyx Onyx Onyx, chérie, je crois que tu as un problème, mais un vrai problème. Je ne sais pas si c’est de l’ordre du manque sexuel ou affectif, si c’est à cause de potentielles chaleurs en avance ou si tu as peut-être, mais je dis bien hein, peut-être le béguin pour ce type, mais, dans tous les cas, tu as un souci ma grande ! Les deux premières possibilités étaient fortes possibles, voire très logiques pour la belle louve, cela expliquerait bien des choses. Mais la troisième… Le béguin pour lui, là, le râleur professionnel aussi délicat qu’un éléphant dans une boutique de porcelaines ? Poupée, tu dérailles, mais complètement je crois ! Cela n’est absolument pas logique, allons, redescends sur terre. Vous passez les trois quarts de votre temps à vous chercher, vous chamaillez et à vous crêper le chignon. Comment cela serait-il possible, hein, dis moi ? Tu vois, ce n'est pas possible. Puis, de toute manière, un type comme lui en a rien à faire de toi, tu n’es ni plus ni moins une donzelle qui l’agace et qu’il ne veut pas voir en plus ! Puis, entre nous, tu sais bien que personne ne voudrait d’une anomalie comme toi hein ? Oui, ça fait mal, mais tu le sais que c’est vrai, c’est bien pour ça que tu as cette vie-là aujourd’hui : car tu n’es qu’une erreur, un échec et tu es sans intérêt.

C’est vrai, elle avait failli oublier l’espace d’un instant ce qu’elle était, juste une erreur de la nature, dont son prénom était là pour lui rappeler ce détail. Une parfaite erreur, haha ! Haaaaaa… Merci sa caboche et ses pensées sensées comme insensées, elle avait failli se retrouver à penser à de drôle d’inepties. Mais voilà, une nouvelle fois, elle fut tirée de ses pensées et de son matage par son binôme, l’informant des détails de la suite du programme pour leur mission. Attendre ce soir pour commencer la planque, faire ce qu’elle veut en attendant et ils se retrouvent ce soir à la bijouterie.

« D’accord… »

Fut la réponse que la brunette offra au beau brun qui s’affairait à ranger, une réponse simple, d’une petite voix soudaine, alors qu’elle reporta son regard sur ses affaires sur le dos de la chaise. Puis, elle jeta un regard aux tatouages sur son corps, qui étaient en effet secs, constatant qu’elle allait donc pouvoir s’habiller. Puis, elle se redressa, histoire de ne plus être à genoux au sol, et elle se saisit de sa chemise en premier, qu’elle remettait lentement en reboutonnant chaque bouton jusqu’au col. Une fois cela fait, elle attrapa sa jupe et vint la refiler, faisant passer le bas de sa chemise en dessous de sa jupe, avant de venir refermer les agrafes et boutons de celle-ci. Et pour finir, elle vint remettre rapidement sa cravate en place, puis enfila ses mitaines, se retrouvant enfin habillée et prête.

Une fois cela finit, elle s’abaissa pour ramasser quelques affaires au sol, venant les prendre délicatement dans ses mains. Puis elle se redressa, se dirigeant lentement vers son binôme, attirant son attention en lui disant quelques mots, tout en lui tendant ce qu’elle venait de ramasser.

« Tu as besoin d’aide pour ranger avant que j’y aille ? »

Demanda-t-elle en haussant un sourcil, tout en penchant doucement la tête en le regardant, venant lui proposer son aide pour ranger s'il en avait besoin. Et selon sa réponse, elle l’aiderait s’il le souhaiterait, sinon, elle prendrait ses affaires et sa capeline, et disparaîtrait hors de sa vue jusqu’à ce soir.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Pendant qu'il rangeait, il avait eut cette désagréable sensation habituel de quand il se sentait épié. Ce léger frisson dans le dos, remontant jusqu'à la naissance de sa tête. Qu'est ce qu'elle faisait derrière lui ? Est ce qu'elle allait craquer et le poignarder pendant qu'il avait le dos tourné ? Possible mais peu probable. Est ce qu'elle le regardait juste ranger ses affaires comme une noble en aurait plaisir à regarder les autre travailler ? Plus probable.

Alors, il retourna son regard un instant, voulant la prendre sur le fait et la rembarrer, mais, à ce moment là, elle ne le regardait pas. Non, elle était occupé à se rhabiller, remettant sa chemise et à cet instant, alors qu'il la voyait faire glisser les bouton de son vêtement dans leur fente respective sous ses doigts fin et gracieux, il se dit que oui, elle était sacrément sexy pour une emmerdeuse. Il resta bloqué la dessus comme un idiot avant de retourner de nouveau son regard vers ses affaires, laissant seulement son dos de visible pendant qu'il nettoyait son mortier et son pilons avec soin. La louve elle, pouvait en cet instant, surtout voir un dos meurtris, presque entièrement couverte de longues et droite cicatrices.

 Si elle en avait déjà vu des comme celle-ci, elle devinerait facilement qu'elles ont étaient faite par des coup de fouet, de nombreux coups de fouet. Comme toute cicatrice, cela ne lui faisait pas mal, mais, sa peau était plus sensible et surtout, il ne supportait pas le contact à cet endroit, lui donnant toujours l'impression que c'est pour lui donner de nouveau coup de fouet, lui donnant parfois meme des douleurs selon son état mental du moment. Puis, alors qu'il finissait de nettoyer son matériel, s'occupant avec soin de son pinceau, il entendit lui demander s'il avait besoin d'aide.

Il souffla discrètement du nez en entendant cela, car, comme par hasard, elle le lui demandait quand il avait presque fini, alors, il lui dit, de toute façon.

" Non non, c'est mon merdier c'est à moi de ranger."


Il ne la regarda pas à ce moment là, mais,, tourna sa tête après venant l'observer cette fois

" N'oublie pas l'heure et le lieu."

Onyx Svart

Terranide

Sa proposition de l’aider fut vite évasée, entendant une réponse du moins logique à son refus, même si elle trouvait ça dommage qu’il range tout seul alors qu’elle avait aussi utilisé ses affaires. Bon bah, comme tu veux chéri pensa-t-elle, tandis qu’elle redressa doucement sa tête avant de la hocher, même s’il ne la regardait pas, l’habitude qui voulez-vous. Et alors que la louve tourna les talons, se dirigeant vers son porte manteau pour récupérer sa capeline, son sac et celui des courses qu’ils avaient faits, elle put entendre son binôme lui dire autre chose.

Clignage de yeux quelques secondes en regardant le mur, elle se mit à ouvrir la bouche en grand offusquée, avant de la refermer en fronçant les sourcils, venant à se retourner pour lui jeter un regard.

« J’y serais sans faute, ça ne se reproduira pas ! »

Dit-elle d’une voix agacée en le regardant toute colère, ses oreilles fulminant sur sa tête, alors qu’elle se pinça doucement les lèvres avant de reprendre, venant à poser une de ses mains sur ses hanches, tandis que l’autre tenait les deux sacs.

« T'exagères ! C’est arrivé qu’une seule fois ! Je suis arrivée en retard qu’une fois car je m’étais perdue, je te l’ai déjà dit ! Ça n’arrivera plus ! »

Soufflant ensuite du nez agacée en le regardant en faisant une petite moue, ses oreilles continuant à s’agiter sur sa tête, elle tourna sa tête sur le côté en fermant ses yeux. Et ni une ni deux, elle pivota sur elle même, venant se saisir de la poignet de sa porte, et dit avant de la tourner.

« À plus tard, cher époux ! »

Comme pour lui dire qu’elle se souvenait très bien que le lieu était la joaillerie, et qu’il devait s’y retrouver à l’heure du couvre-feu ce soir, avant d’ouvrir sa porte et la passer tout en la refermant. Malgré sa colère, elle l’avait refermée doucement, ne voulant pas lui casser les oreilles et surtout la porte. Puis hop hop hop, elle passa son chemin, saluant l’aubergiste qui était toujours aussi aimable et qui la regardait avec un regard emplie de jugement comme tout à l’heure. Bah ça tombait bien, elle aussi avec une mine très sympathique, ses oreilles n’arrêtant pas de s’agiter sur sa tête alors qu’elle fronça des sourcils en plissant des yeux agacés, le regardant avec tout autant de sympathie de lui, tant elle était agacée par Siegfried.

Une fois sortie de l’auberge, toujours toute colère, Onyx pesta intérieurement après le beau brun, le traitant de crétin et d’imbécile dans sa petite caboche, tout en regardant de travers devant elle. Puis, doucement, elle vit quelqu’un qui lui fit coucou de la main, ce qui lui fit ouvrir de grands yeux, venant à les faire clignoter aussitôt. C’était qui ? Pour quoi ? Comment ? Plutôt que de répondre, la belle louve pencha la tête intriguée, ses deux sacs à la main, se demandant qui était le zigoto qui lui faisait des grands coucous, alors qu’il accourut presque à sa rencontre.

« Onyx ! Ça faisait longtemps ! »

« … Heu… Navrée, mais… »

« C’est moi ! Georges ! »

« Georges… Haaaaaa oui ! »

Ça y est, ça lui revenait ! C’était un type avec qui elle avait bossé il y a des années de cela, quand elle n’était pas encore exorciste. Ils travaillaient tous les deux au même bar, sauf que lui était barman et elle serveuse. Et bah ça date tout ça dit donc ! Il a changé depuis, tu m’étonnes que je l’ai pas reconnu se disait-elle. Maintenant qu’elle y pense, son odorat étant titillé, elle se disait qu’il sentait toujours la même odeur, et qu’il se parfumait avec toujours la même eau de cologne insupportable à la fleur d’oranger. Ark, beurk, brrrrr ! Quelle idée d’utiliser ça dans des douceurs, alors en parfum… Faut être vraiment taré !

« Je ne te jette pas la pierre, j’ai pas mal changé depuis 10 ans ! Mais toi… T’as pas bougé j’ai l'impression, t’es figé dans le temps. »

« Toujours aussi flatteur à tes heures, à ce je vois Georges. »

« On se refait pas hein, qui veux-tu ! Et toi, toujours aussi noble à ce que je vois ! »

« … Tu sais ce qu’elle te dit la noble ? »

« Pour ça il te faudrait quelques verres si mes souvenirs sont bons… Ça te dit d’aller boire une bière ? En souvenir du bon vieux temps ? »

Mmmmmh… Une bière hein ? La mission c’est ce soir, il est encore tôt. D’ici là, l’alcool de la boisson aura le temps de se dissiper, même si j’en prends deux ou trois. Mmmmh… Tentant cette histoire. Ça pourra me faire passer un peu de temps avant de retourner chez moi, mettre les affaires qu’on a pris dans des contenants appropriés et plus facilement transportables, puis, ensuite le temps de retourner dans le quartier des joailliers. Mmmh mmmh… En plus, avec un peu de chance, si je laisse mes oreilles traîner, je pourrais entendre des choses intéressantes qui pourraient avoir un lien avec notre mission. Et si ça se trouve, ce cher Georges a peut-être entendu parler de choses étranges ces derniers temps. Bon, ça fait d’une pierre deux coups hein !

« D’accord, mais, je te préviens, je n’ai pas toute la journée. »

« T’as du boulot ou ton Jules qui t’attend ? »

« … C’est cela oui, j’ai mon Jules qui m'attend… »

Soufflant de nez amusé en disant cela, elle repensa à tout le petite manège qu’ils avaient joués dans la bijouterie avec Siegfried, puis, elle trouvait cela amusant aussi de l’appeler son Jules, même si le simple fait qu’on lui parle d’un Jules l’ait légèrement agacé, mais, il valait mieux pas le montrer et prendre sur soi. D’ailleurs, en repensant à son binôme, elle se rappella des marques dans son dos, ayant très bien reconnu quelle genre de marque c'etait, se demandant, même si elle était encore en colère contre lui, qui avait bien pu lui faire tout ça, ayant de la peine pour lui. Mais elle sortie vite de ses songes et revient à l’instant présent ! Et c’est donc d’un joli sourire charmeur que la brunette répondit à son ancien collègue, partant avec lui vers un bar, histoire de boire un verre et d’essayer de glaner quelques infos jusqu’à ce soir.


Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Oh il ne put retenir un sourire large et amusé quand elle s'emporta toute seule comme une grande sous sa réponse. Non, il n'avait meme pas voulu faire allusion à la dernière fois où elle était en retard, mais, apparemment mademoiselle n'avait pas la conscience tranquille, alors elle avait sauté dessus au galop, pour son plus grand plaisir. Et oui, en la voyant ainsi il ne put que s'en amuser, ses sourcils froncé, ses oreilles bien droite sur sa tête, sa pose qui la faisait vraiment apparaître comme une noble qui faisait un caprice ou qui grondait son personnelle.

Il faillit en rire d'ailleurs, tellement elle l'amusait à cet instant, finissant par se retourner furieuse pour partir avec ses affaires, lâchant tout de même une petite phrase lui faisant bien comprendre qu'elle n'avait pas oublié où ils devaient se retrouver. Le silence était revenue dans sa chambre, soupirant de bien être à ce moment là, n'ayant plus à l'entendre ramener sa science ou se plaindre, pouvant finir de ranger tranquillement ses affaires. Mais, bizarrement, le plaisir du calme, de la tranquillité n'arriva pas. Non, le goût amère de la solitude, le pincement du silence, ce sont eux qui vinrent lui rendre visite à la place, se retrouvant à s'asseoir sur sa chaise dans cette pièce à peine salubre.

Il se frotta le visage dans ses mains, cherchant à se changer les idées, cherchant à savoir quoi faire pour s'occuper l'esprit, venant à se demander ce qu'Onyx allait faire elle de son coté. Il se mit à se secouer la tête, se demandant bien pourquoi il devrait s'en soucier, pourquoi il pensait à elle, puis décida de s'occuper l'esprit. Il était temps de réveiller un peu son corps, surtout si ils avaient droit à de l'action ce soir, venant à faire quelques exercice physique divers et varié dans sa chambre, se poussant tranquillement. Mais, encore une fois cette casse pied d'Onyx revenait dans ses pensées, se redemandant pourquoi elle le regardait bizarrement tout à l'heure. Non, rien à foutre de ce qu'elle pense de moi se dit-il, de toute façon, elle n'en a rien à foutre de moi et j'en serais peut être bientôt débarrassé quand les vieux schnock en auront fini avec leur lubie.

Alors, comme pour chasser ses pensées, il se donna d'autant plus à fond dans ses exercices musculaire, serrant les dents, poussant ses efforts à l’extrême, mais rien n'y faisait, se laissant s'écrouler contre le parquet sale à s’être poussé à l’échec. Il soupira de nouveau en se relevant et décida que le mieux serait de partir boire un verre, alors, il se rhabilla, maintenant que la peinture était sèche, puis sorti de l'auberge pour se diriger vers une taverne qu'il connaissait.

Connaissant bien les ruelles, il y était arrivé rapidement, surtout en ayant personne à attendre d'ailleurs. Une fois arrivé, il prit sa place habituel, un tabouret contre le comptoir, venant à s'y asseoir sans réfléchir en commandant un pichet de bière. Mais, la journée ne faisait que commencer et les prises de tête aussi, car, quelqu'un se mit à s'asseoir à coté de lui, alors qu'il y avait beaucoup de place autour, ce qui ne manqua pas de l’énerver, alors, il releva son regard, prêt à rentrer dans le gars en personne, mais il s'y arrêta vite.

C'était un homme barbu, au cheveux cours, le regard un peu fou et un sourire qui ne faisait qu'accentuer cela, un long manteau quelque peu sale. Tout deux se regardant avant que Siegfried ne se mette à l'engueuler

" Espèce de sac à merde ! Ces bandes de vieux schnock m'ont dit qu'il n'y avait pas d'inquisiteur de disponible et m'ont refilé votre boulot ! Tu ne va pas me dire que tu te fous juste de notre gueule."

Bon, si, c'était fort possible en le connaissant, mais il fallait que cela sorte de sa bouche. Cela fit s’agrandir le sourire de l'inquisiteur, le voyant se pencher un peu en haussant les épaules, gardant un calme et un son de voix des plus énervant pour Siegfried

" Voyons mon vieux ! Il n'y à pas que tes petites affaire de pyjama partie dans le coin tu sais, j'ai d'autre démon à fouetter. "

Là, Siegfried se mit à soupirer, en se tenant la tête accoudé au bar, oui, cet enfoiré savait le boulot que Siegfried avait à se taper et cela l'amusait.

" Tu me les brises et en plus je suis sure que la paye et ridicule."

Là, L'inquisiteur ne se fit pas prier pour piquer à boire dans la cruche qu'avait commander Siegfried, venant à lui répondre toujours comme si tout allait parfaitement bien

" Bien-sur que tu sera bien payé, mieux que ton job miteux d'exorciste en tout cas. Je vous plaint quand meme, pas de financement, pas de matériel de qualité, la moitié vous vous retrouvez à l'acheter, les gens vous déteste alors que ... avouons le, c'est nous qui faisons le sale boulot pour qu'il puisse se palucher tranquillement sans avoir peur de se faire posséder et de se retrouver avec l'armoire de grand mère démonté et enfoncé dans le fondement."

Non, aux yeux de Siegfried, il n'avait pas tort, il avait un job de merde et ils le savaient, alors, il se servit aussi et sans meme avoir à regarder l'inquisiteur, il vint faire tinter son verre contre le sien. Il le connaissait bien, un peu trop bien, ils se ressemblaient un peu trop tout les deux sur certain point, c'était peut être pour cela qu'il s'entendait bien en fait.

" Mais au fait ..." Commença à dire l'inquisiteur, attirant le regard de Siegfried vers lui. Oh il le voyait ce large sourire de fouteur de merde sur son visage, il savait qu'il allait sortir une connerie et s'y préparait

" J'ai cru comprendre que les tonsure en chef avait décidé de te mettre en binôme."

Voilà, il le savait, il cherchait à l'emmerder, il cherchait à s'amuser sur son malheur, alors, Siegfried, lui lançant un regard assassin, ce mit rapidement à lui dire

"Non non, oublie ça tout de suite, ça m'emmerde déjà assez alors ton petit jeu tu te le garde ou je pense."

Mais la réponse ne fit que rire son interlocuteur, qui, sans perdre de temps, a part une gorgée d'alcool, lui dit

" Roh voyons .... Sieg .... Siegy .... mon ptit Siegy .... j'ai cru comprendre que c'était un vrai canon ton binôme et qu'en plus, elle avait la langue bien pendu, parole de moine ! Alors ? Où est ce que tu me la cache ? "


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