Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort ne vous sépare [ Onyx ]

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Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Le choix fait  de prendre un petit somme pour être en forme pour ce soir, ils sortirent donc du restaurant, marchant tranquillement jusqu'à son appartement, ce qui ne fut pas bien long au vue de la distance entre le dit restaurant et l'appartement. tout deux avaient vérifié la rue en marchant au cas où, mais, toujours rien à l'horizon, ce qu'il l'arrangeait bien, ayant vraiment la flemme d'avoir à se battre, en tout cas pour le moment.

Il se retenu de bailler derrière elle tandis qu'elle déverrouillait la porte de son appartement, venant à jeter un coups d’œil rapide de gauche à droite dans le couloir de l’immeuble au cas où, puis, à refaire de meme à l’intérieur à l'opposé de la où elle regardait, penchant la tête, analysant le placement des objets, des livres, du mobilier, mais, en faisant un tour rapide, rien ne lui semblait avoir changé. Et là, il ne put se retenir de bailler sans le cacher, tournant sa tête vers la fin en entendant la louve lui demander quand est ce qu'il souhaitait qu'elle le réveil. Il souffla un peu du nez d'amusement en venant s'asseoir sur le canapé lui répondant

" Ma première réponse aurait été jamais, mais je crois que je me ferais tirer par la peau du cul si je choisissais ça. Alors, on va partir pour quand il fera bien nuit noir dehors."

Et, à peine eut-il donné sa réponse qu'il put la voir repartir en direction de sa bibliothèque, lui tournant le dos en attrapant un livre. Il souriait d'amusement à cet instant à la voir posé sur cet énorme coussin devant les meubles, lui donnant presque envie de venir lui caresser la tête sous cette vision, mais, il chassa bien vite ses pensées.  Se penchant du canapé, il se mit à retirer ses chaussures, les laissant posé devant,  puis s'allongea tranquillement, jambe détendu et croisé, posé l'une sur l'autre, croisant les bras sur son torse avant de fermer les yeux et  de s'éteindre presque immédiatement .

Onyx Svart

Terranide

En entendant la réponse de son binôme, Onyx souffla d’amusement par le nez en fermant les yeux, secouant la tête amusé par ses paroles qui la faisait sourire, se dirigeant ensuite vers sa bibliothèque tout en lui répondant.

« Excellent second choix ! Bien, réveil à la nuit noire, c’est noté. Bonne sieste ! »

Chantonna-t-elle presque amusée, tandis que ses doigts glissaient sur les dos des livres de sa bibliothèque avant d’en choisir un, l’attraper délicatement puis s’asseoir dans le gros coussin devant l’immobilier. Là, elle se concentra aussitôt sur sa lecture, faisant abstraction de tout, sauf de la luminosité ambiante, histoire de pouvoir surveiller l’heure tout en lissant. La louve avait choisi un livre pour se détendre un peu, histoire d’arrêter de penser au boulot quelques instants.

Enfin, presque ! Car elle lisait un vieux recueil d'anecdotes d’un exorciste écrit il y a 100 ans, qui racontait les pires galères dans lesquels il s’était fait embarquer, notamment celle où il s’est retrouver avec une nonne possédée au cou qui refusait de le lâcher et que ça avait failli lui coûter sa place, car, il savait pas qu’elle était possédé au début, et qu’il avait pêcher quelques fois avec elle. Cela fit souffler d’amusement par le nez la brunette, étouffant un léger rire en secouant la tête en lisant ça. On pouvait dire qu'il n'avait pas le temps de s'ennuyer et que cet exorciste semblait avoir été doué dans sa vie pour enchainer ce genre d’histoires au vu de ce qu’elle avait lu dans les pages précédentes. Dire que l’église a laissé ce genre de bouquin paraître, franchement, c’était fort amusant ! Et cela l’intrigua d’ailleurs, venant à se demander pourquoi. C’est vrai ça, pourquoi ? Est-ce que le Conclave et compagnie voulait donner une image plus détendue et proche du peuple concernant ce métier ? Ou est-ce qu’il s’en servait pour dire que ce n’était pas le comportement à avoir en tant qu’exosrcite et que ce gars racontait là-dedans était une honte à l’église ?

Onyx ne trouvera pas les réponses à ses interrogations, mais elle devait avouer qu’elle trouvait tout cela fort amusant. À ses pensées d’ailleurs, elle reposa son livre à côté de son gros coussin, se leva et alla chercher sans faire de bruit quelque chose à boire. Il était encore tôt, la soirée tombant doucement, la lumière orangée et rougeâtre passant à travers les rideaux, venant projeter sa lumière sur les murs et le sol de son appartement, conférant ainsi une ambiance douce qui la fit sourire en admirant les ombres qui dansaient dans la lumière.

Puis, tandis qu’elle s’apprêta à retourner à sa lecture, elle jeta un regard vers le canapé, pouvant constater que Siegfried dormait à poings fermés. C’était impressionnant la vitesse à laquelle il s’était endormi, ça l'impressionnait toujours d’ailleurs, car elle, elle mettait dix plombes à trouver le sommeil en général. Et alors que son regard s’attarda sur lui, elle le scruta de la tête aux pieds en buvant son verre d’eau, se faisant la réflexion qu’il était vraiment bien bâti et qu’il était franchement pas mal. Puis, il était très séduisant quand il dormait, il avait l’air paisible et étrangement, ça lui donner envie de lui piquer la joue avec son doigt. Cette idée la fit souffler d'amusement par le nez en y pensant, avant de se mettre à secouer la tête en se demandant à quelles sottises elle était en train de penser.

Ni une ni deux, elle alla se rasseoir sur son gros coussin, posant son verre à côté d’elle en reprenant son livre, puis se remit à sa lecture en attendant de le réveiller quand il fera bien sombre dehors, d’ici 2 bonnes heures sûrement. Tandis que la lumière du jour se sauvait et que l’obscurité de la nuit commençait à faire son apparition, la belle louve s’était relevée pour allumer une petite bougie, histoire de continuer à lire mais sans faire trop de lumière pour ne pas déranger son binôme endormi. Puis, après une petite heure, elle éteignit la bougie tout en refermant son livre, se laissant tomber et allonger sur le sol, la tête et une partie de son corps sur son gros coussin, alors que son bassin et ses jambes se retrouvaient sur le sol. Et là, elle leva la tête en l’air tout en la mettant en arrière, admirant le ciel nocturne la tête à l’envers, regardant les étoiles briller et faisant peu à peu leur apparition.

La noirette se laissa happer par la contemplation des cieux un long moment, durant une bonne heure, le temps d’attendre qu’il fasse bien noir dehors. Et pendant qu’elle admirait les constellations et la voie lactée, elle pensait un peu à tout et rien, venant petit à petit à ne plus penser à rien. Mais, ce n’est pas pour autant qu’elle perdit le nord, chuchotant tout bas en regardant le ciel.

« C’est l’heure… »

Ni une ni deux, Onyx se redressa lentement et délicatement en fermant les yeux, venant ramener ses cheveux près d’elle pour les recoiffer avec ses doigts, afin qu’ils ne soient pas emmêlés ou ébouriffés après qu’elle se soit allongée. Et pendant qu’elle faisait ça, elle se mit à chantonner amusée.

« Sir Freeeeeeeed, il est l’heure de vous réveiller mon seigneur ! »

Riant doucement amusée par sa propre bêtise, gardant toujours les yeux fermés en se relevant, un jolie et espiègle sourire aux lèvres, tandis qu’elle marchait doucement vers le canapé sans regarder où elle allait, ses pas connaissant visiblement le chemin. Et, toujours en chantonnant d’une voix très joueuse, elle continua, rouvrant doucement les yeux.

« La sieste a été bonne mesir ? »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

La seule réponse qu'elle eut à sa bonne sieste fut un vieux grognement étouffé alors que ses yeux se fermait. Et oui, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour finir transporter au pays des rêves et du sommeil, s'endormant comme une souche dans le canapé. Chance pour la demoiselle il n'était pas du genre à ronfler, alors, elle put tranquillement s'occuper à lire sans gêne ni distraction de sa part.

La sieste fut agréable, reposante, mais, courte aussi, trop courte à son goût, se retrouvant à ouvrir les paupières, le corps tendu, la main partant directement le long de son manteau, prêt à en décrocher sa masse caché à l’intérieur. Mais non, pas besoin, c'était juste la louve qui l'emmerdait en le réveillant. Tournant sa tête, il pouvait très bien s'apercevoir de son plaisir que de le tirer loin, très loin du meilleure moment de sa journée tout en se foutant de sa gueule, mais malgré ça, dans sa démarche douce et féline, dans sa tenue et sa voix, dans son sourire de chieuse, il la trouvait tout de meme sexy.

" Ouai ouai, ça va, j'ai entendu "

Se mit il donc à râler en réponse, se redressant sur le canapé qui, lui, lui donnait l'impression de l'entourer de bras invisible, ne pouvant pas le lâcher, voulant rester ainsi encore quelques heures, mais non, c'était un amour impossible qu'ils avaient là. Assis dessus, il se frotta le visage pour sortir du brouillard de sommeil,  entendant toujours la chieuse au grandes oreilles se foutre de lui avec sa douce voix joueuse.

" Ça aurait été mieux avec quelques heures en plus."

Dit-il dans un premier temps, se relevant par la suite du canapé sans vraiment chercher à savoir si ses vêtements était bien en place ou peu froisser, ses cheveux décoiffé, mais, pareil, il s’en ficait, la marque de l'oreiller encore imprimé sur son visage lui offrait des cicatrice éphémère supplémentaire. Clignant un instant du regard en observant autour de lui, pouvant bien voir que, au moins elle avait respecté sa demande, la pièce se retrouvant complètement envahi par les ténèbres de la nuit, seulement repoussé par une simple bougie posé près de la bibliothèque, il dit alors en la regardant de nouveau

" Bon en il est temps de se préparer alors. "

Poussant alors le canapé, se baissant derrière pour venir y faire sauter les couture afin de récupérer la cape de culte, ainsi que la boite de seringue. La cape posé sur son avoir bras, plié sur sa moitié dessus, il tendis ensuite la boite de seringue vers elle en lui disant

" Vaux mieux que tu l'es sur toi au cas où, planque la bien."

Après ça, ils était autant près qu'il le pouvait pour retourner au joaillier et, pour enfin affronter leur mission suicide.


Onyx Svart

Terranide

Elle ne put que rire avec légèreté amusée en l’entendant râler au réveil, trouvant cela fort drôle de l’entendre ronchonner à peine les yeux ouverts, le voyant se frotter le visage tout en maugréant. Autant la louve trouvait son binôme agaçant quand il râlait, autant dans certains moments, comme celui-là, elle trouvait cela très amusant, voire même mignon en cet instant. Et tandis qu’il se redressait et reprenait ses esprits en lui répondant, elle le zieuta discrètement, venant à se perdre dans ses pensées pour ne pas changer ces dernières heures.

La petite brunette le trouvait vraiment très beau avec ses cheveux décoiffés et ses vêtements froissés, les traces de l’oreiller au visage. Ça lui donner un côté négligé qu’elle aimait bien, ça le rendait terriblement sexy et lui conférait un petit côté sauvage même, qu’elle venait à s’en poser des questions s’il était autant décoiffé pendant… Heu… Non mais c’est pas vrai, elle déraillait encore ! Elle aurait mieux fait de dormir aussi au-lieu de lire et admirer les étoiles, ça lui éviterait de laisser son cerveau aller dans tous les sens là-haut. Décidément aujourd’hui, c’était la grève dans sa caboche hein !

Bon, tandis qu’Onyx se mettait une belle claque mentale pour arrêter de gamberger à ses sottises concernant son partenaire, elle se reprit en le voyant la regarder tout en l’écoutant lui dire qu’ils allaient devoir se préparer. C’est d’un hochement de tête que la noirette répondit à Siegfried, le regardant s’affairer à récupérer les affaires planqués dans la doublure du canapé. Et pendant ce temps, évidemment qu’elle le matait, ne pouvant s’empêcher de divaguer de nouveau à son sujet en se disant qu’il était vraiment pas mal, venant se sermonner cette fois mentalement d’arrêter de penser à des bêtises. Et tout comme un peu plus tôt, c’est sa voix et son regard qui la sortit de tout cela, la faisant hocher la tête tout en récupérant la petite boîte qu’il lui tendait, avant de regarder son corps de la tête aux pieds en se demandant où cacher ceci.

« J’imagine que je risque de me retrouver à moitié habillé ou en petite culotte avec toute cette histoire, surtout pour jouer le jeu… Mmmh… Mais, je risque sûrement de garder mes bottines… Tu crois que ça ira comme cachette pour ça ? »

Demanda-t-elle d’une petite voix intriguée en reportant son regard vers lui, penchant un peu la tête tandis qu’une de ses oreilles sur sa tête pencha du même côté, démontrant bien ainsi son interrogation avec ses micmics oreillenesques qui la trahissait bien, enfin, pour ceux qui en avaient l’habitude. Après cela, la demoiselle reporta son regard vers le bas du canapé, relevant sa tête tout en clignant plusieurs fois des yeux.

« Est-ce que tu embarques les papiers avec toi ? Ou on les laisse cacher ici ? »

C’était pas une question pour le faire râler, non, la louve demandait cela car elle souhaitait savoir s'il fallait recoudre rapidement la doublure du canapé ou pas, tout simplement. Une fois ce mystère élucidé, Onyx vint encore interroger son collègue.

« Tu veux boire quelque chose avant qu’on y aille ? »

Et non, c’était pas pour le plaisir de l’entendre râler, même si elle devait reconnaître qu’elle aimait bien sa voix. Non, elle voulait juste savoir s’il avait soif après sa sieste et s’il voulait se désaltérer avant qu’ils aillent chez le joaillier. Car une fois qu’ils seraient là-bas, s’ils s’avéraient que les alliances étaient prête pour ce soir, ils allaient sûrement aller aussitôt à leur mission suicide. Et une fois lancer pour ca, ils n’auraient plus vraiment le temps de penser à boire ou manger, donc, tant qu’à faire, autant en profiter tant qu’ils le pouvaient encore ou si le besoin s’en faisait ressentir.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Oui, sa remarque et question était plutot pertinente, il devait bien l'avouer. Oui, cacher cette seringue alors qu'elle risquait de finir carrément à poil se disait-il. il y reflechit un instant en se frottant la barbe au niveau du menton, son regard se portant sur les dites bottine de la demoiselle. Elle devra surement les enlever à un moment où à un autre, mais, avec un peu de chance, ils arriveront à trouver un instant de faiblesse, une faille dans ce rituel pour les arreter avant d'en arriver là.

" Ca ira jusqu'à unn certains moment, mais bon, si on en arrive à la, on sera déja bien dans la merde."

 dit-il franchement avant de jouer de sa mâchoire, sentant sa bouche trop pâteuse à son gout à cause de la sieste, lâchant la boite une fois qu'elle l'avait bien en main. Sous sa seconde question, la réflexion ne dura même pas une seconde,venant à lui répondre tout naturellement

" Non, on les laisse encore ici, ça va juste nous gener pour travailler."

Se déplacer avec un gros tas de document, voir se battre, ça n'allait que leur rajouter des problèmes et des chances de finir mort avant le levé du matin, voir pire, alors, il valait mieux les laisser la se disait-il, tant qu'ils le pouvaient. Il laissa donc à la louve le temps de recoudre de nouveau son canapé, la voyant ressortir de derrière en se mettant à lui demander s'il souhaitait boire quelques chose.

" Non, j'ai tout ce qu'il faut sure moi."

Puis, sans perdre de temps, il marcha jusqu'à la porte de l'appartement ,venant à coller son oreille contre, juste au cas où, mais rien, pas un bruit, alors, il ouvrit la porte en première avant d'attendre qu'elle ne le suive. Porte fermé à clef, pieds en dehors de l'immeuble, pas besoin de parler, ils savaient déjà où aller, alors, les pas s’emboîtèrent les uns après les autres pour retourner au quartier des joaillier. Mais contrairement à tout à l'heure, cette marche se fit plus tendu, que ce soit sous les danger de la nuit, que sur la possibilité d’être attrapé par ceux qu'ils devaient surprendre si l'autre idiot avait réussi à se sauver et à les prévenir. Donc le regard de Siegfried furetait de gauche à droite dans les rues et ruelles sombre, dans les alcôves et les recoins plongé dans les ténèbres, gardant son bras droit caché à l’intérieur de son manteau, la cape posé sur son avant bras, caché par son vêtement, mais surtout prêt à sortir son arme au cas où.

Sous ce silence assourdissant de la nuit et sous la tension de l'instant, il avait fini par enfin arriver jusqu'à la bijouterie. Comme prévu, tout était éteint, aucune trace de vie aux alentours, aucune lumière meme dans les bâtiments adjacent ou aux étages supérieur. Siegfried se rapprocha donc de la porte, mais, au moment de la pousser, il put voir qu'un mot traîné, coincé entre le bois et la vitre de la porte. Le prenant un main et l'ouvrant d'un mouvement de ses doigts de la dite main, ce qui s'y trouvait dedans ne le surpris guère, meme si, bien-sur, il ne put se retenir de râler, sinon ce n'était pas drôle.

Il froissa dans sa main la feuille de papier avant de la laisser tomber par terre, se retournant vers Onyx avec un ton des plus fatigué

" Bon .... comme prévu, ce n'est pas près avant demain. Donc on va devoir faire sans."

Et sans en dire plus, il se remit à marcher en direction des quartiers où était sensé se trouver la petite fête, la mâchoire serré, grommelant dans sa tête en pensant au chance de réussite supplémentaire qui s'envolait à l'instant.


Onyx Svart

Terranide

À la réponse que lui donna son binôme sur le choix de sa cachette, elle hocha la tête en baissant ses deux oreilles tout en faisant une petite mine. Oui, s’il s’avérait qu’ils en arriveraient là, ils seraient dans de beaux draps tous les deux, et pas forcément de la manière dont l’un ou l’autre aimerait y être d’ailleurs. Mais, la louve savait bien que cela pouvait être un risque.

Après cela, c’est une autre interrogation qui avait donc immergé dans la jolie caboche de la brunette. Et quand Siegfried vint élucider son questionnement, venant lui dire donc qu’ils laissaient les papiers ici, elle hocha la tête et s’allongea aussitôt près du canapé, sortant le nécessaire pour recoudre le tout de sa pochette sur sa jarretière, venant faire cela très rapidement et proprement avant de se relever.

Une fois cela finit, Onyx eut une nouvelle interrogation pour son partenaire, voulant savoir s’il voulait boire quelque chose avant d’y aller. Une fois cela réglé, ils purent donc passer à la suite des événements, mais avant cela, le grand brun bien réveillé à présent se montra prudent avant de sortir de l’appartement de la demoiselle qui ne manqua de verrouiller celui-ci une fois en dehors de ces murs. La prudence était de mise également dehors, tout comme son binôme, la noirette était sur ses gardes, ses sens en alerte, sa vision semi-nocturne comme ses oreilles ou son odorat, tout était sur le qui-vive.

Le chemin jusqu’au joaillier se passa dans un silence presque religieux, mais au vu du merdier dans lequel ils étaient, les deux exorcistes étaient plus préoccupés par leurs environnements qu’autres choses. Puis, bon, c’est pas comme si c’était des grands bavards d’habitude non plus, à part elle qui essayait de temps en temps de faire la conversation ou l’embêter pour passer le temps. Mais là, pas le temps pour tout ça !

Revenons-en à nos moutons ! Une fois arrivée à bon port, notre petit duo trouva la boutique fermée, un petit papier planqué dans la porte, dont Siegfried se saisit avant d’annoncer à la louve qu’ils allaient devoir se débrouiller sans les alliances.

« Ouch… Bah, on a pas le choix… On va tout faire pour survivre alors, ça serait dommage de pas faire ses épousailles quand même ! »

Une blaguounette pour essayer de relativiser les choses, c’était pas grand chose et débile à souhait, mais Onyx n’avait pas trouvé mieux à dire afin de ne pas rester muette comme une carpe. Puis, elle voulait essayer aussi de rassurer son binôme, sans que cela se voit aussi hein, donc une plaisanterie, même des plus nulles avait été son choix pour cela.

Une fois cela fait, la marche reprenant son cours, la demoiselle marcha sagement sans un mot de plus. Enfin, durant une bonne vingtaine de minutes avant de venir de rapprocher du grand brun et lui donnait un petit coup d’épaule pour attirer son attention, tout en chuchotant tout bas.

« Tu penses pas qu’il faudrait peut-être se mettre dans un coin un instant avant qu’on arrive ? Histoire que tu puisses mettre ta tenue de bal mmmh ? »

Quand elle eut fini de faire part de son interrogation et suggestion à la fois à Siegfried, Onyx s’écarte de lui, histoire de pas trop le coller et l’emmerder, tout en continuant à marcher. Puis, un peu avant d'arriver au lieu de rendez-vous et de pouvoir se préparer à la suite, elle recommença le même manège en se rapprochant de lui lui tout en chuchotant.

« Comment tu proposes qu’on fasse pour notre entrée au bal ? T’as une idée de comment on doit être, tout ça ? Comment veux-tu que je me comporte avec toi, puisque c’est toi qui me ramène Géorgie ? »  

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

La petite touche d'humour de la demoiselle était passé un peu à la trappe, bon, pas que ça n'est pas eut d'impact, mais que, au vu du merdier, pour Siegfried, ça n'avais pas assez de poids pour le faire rire. Soupirant donc un peu, ils avaient reprit leur marche, cette fois, en direction de la petite fête.

La marche fut calme, silencieuse alors qu'ils traversaient les quartier, les pâté d'habitation, revenant à des secteurs moins glorieux, plus coupe gorge dans un silence presque religieux. L'exorciste, lui était plongé dans ses pensées, se répétant différente litanie, rituel, imaginant différente situation afin d'augmenter leur chance de s'en sortir dans toute cette mission suicide. Puis, au bout d'une vingtaine de minute, la louve reprit la parole, se rapprochant de lui en le tirant de ses pensées qui lui jeta un regard noir.

Sa question ? Est ce qu'ils ne devraient pas s’arrêter cinq minutes dans une ruelle avant d'arriver à leur destination pour s'habiller en conséquence. La réponse était d'une logique déconcertante et, il en venait à se demander pourquoi elle avait posé une question aussi évidente, avant de se dire que, peut être elle était trop stressé et avait besoin de sortir quelque chose pour échapper à cela.

" Bien-sur qu'on va faire ça, t'imagine quand même pas que l'on va débarquer devant leur entrée en disant " oh mince, attendait je n'ai pas mis la tenue ? " Surtout que je ne pense pas avoir la tête d'un membre connu de leur culte."

Dit-il simplement, un ton à la limite du froid, essayant de ne pas trop prendre un ton de connard. La marche reprit ensuite, jusqu'à arriver non loin du lieu de rendez-vous. Là, comme prévu, il bifurqua pour aller dans une ruelle plus étroite, laissant moins de visibilité à qui que ce soit pour les voir tandis qu'il enfilait la longue cape sur ses épaules. A ce moment là, il entendait de nouveau la miss lui poser des question, lui demandant comment il pensait qu'ils devaient agir, leur comportement etc. C’était une question simple, mais celle-ci n'étais pas bête, s'accorder leur violon avant d'entrée en scène était important, alors, tandis qu'il attachait correctement la cape,, il lui répondit

" Oh bah, je vais prendre un ton de connard séducteur, tandis que toi, étant donné que tu es sensé avoir été drogué à mon avis, donc tu devra jouer les femmes obéissante à souhait."

Oh oui, ce détail l'amusait bien, savoir que, elle serait obligé de suivre le moindre de ses mots sans pouvoir lui casser les bonbon, pester ou le contredire sans les mettre dans le pétrin, cela lui plaisait bien et un fin sourire sur son visage le trahissait à cet instant. Puis, une fois ce point éclaircit, il attrapa le bord de la capuche pour venir se couvrir la tête et cacher la majorité de son visage

" Si tu n'a plus de question, il est tempes d'entrée en scène. Donc .... les dames d'abord."

Onyx Svart

Terranide

Tandis qu’ils marchaient depuis un petit moment dans le plus grand silence pour se diriger vers leur mission suicide, Onyx osa brisser ce calme religieux un instant, histoire de poser une questionnette à son binôme. Bien sûr, connaissant l’animal, elle ne s’attendait pas à ce qu’il soit des plus joyeux et souriants à lui répondre. Mais, son regard noir durant quelques secondes ainsi que son ton froid firent plisser les yeux de la louve, qui d’ailleurs en inclina légèrement les oreilles en le regardant tout en l’écoutant attentivement.

Elle détestait quand les gens répondaient comme ça, comme si elle était une idiote. Ça l’agaçait à un point terrible ! Bon sang, pas besoin d’être aussi sarcastique hein ! Certes, elle avait peut-être posé une question toute simple, mais dans le doute, elle préférait la poser pour éviter tout oubli et tout ça. Pendant qu’elle pestait intérieurement, tout en écoutant le brun lui répondre avec une froideur qui donnerait envie à n’importe qui de sortir sa petite laine, elle redressa ses oreilles sur sa tête qui s’agitaient, amusée par ses dernières paroles. D’ailleurs celles-ci la firent souffler d’amusement par le nez, retenant un rire dans la même lignée, avant de changer son regard sur lui et le regarder avec grand amusement.

« Hoooo, ça, j’en sais rien. Ça se trouve, tu fais partie de leur petit club privé et tu fais des sauteries tous les dimanches, vêtue de ta petite jupette avec tes copains hein ! Ça expliquerait pourquoi tu m’as trouvé au bar tout à l’heure, par le plus grand des hasaaaards. »

Répondit-elle d’une petite voix chantante sur un ton amusé, parlant tout bas. Car la brunette chuchotait, afin de n’être entendue que par Siegfried, tandis qu’elle le regardait avec des yeux pétillants de taquinerie. Pourquoi ? Juste histoire de l’emmerder un petit peu avec ce qu'elle venait de dire, autant pour se venger que pour rire d’ailleurs.

Après cela, il fut temps de reprendre la marche, toujours dans un silence digne d’une église ou d’un cimetière. Plus tard, quand le duo fut dans les environs de la petite sauterie dans laquelle ils devaient s’infiltrer, ils firent une halte dans un coin, afin que le collègue de la demoiselle puisse enfiler sa tenue de bal. Bien sûr, fidèle à elle-même, l’exorciste remis le couvert avec une nouvelle question, mais celle-ci eut un accueil plus chaleureux que la précédente, à sa grande surprise. Et la réponse que le séduisant brun donna à la louve ne manqua pas de l’amuser, la faisant hausser un sourcil tout en le regardant mettre la touche finale à sa tenue en se capuchant la tête.

« Ho ce ton que tu utilises avec tout le monde pendant les missions en jouant ton séducteur, mmmh ? Ce ton-là même que tu as utilisé aujourd’hui à la joaillerie hein ? »

Tout en disant ça, Onyx s’était mise à avancer, marchant lentement mais avec une démarche féline, tout en se rapprochant doucement mais sûrement de Siegfried. Et alors qu’elle s’arrêta devant lui, venant poser une de ses mains sur son torse, jouant doucement de ses doigts pour faire remonter sa main le long de sa cape, de son torse à son visage, elle poursuivit d’une petite voix amusée et chaude.

« Et donc… Je vais devoir être bien sage, t'obéir au doigt et à l’œil, c’est ça ? En somme, il va falloir que je sois une petite femme gentille qui te soit totalelent soumise. »

Au fur à mesure que la louve parlait, elle parlait de plus en bas et lentement, prenant un ton des plus chauds et doux, avant de finir avec une voix basse et mielleuse à souhait. Quant à son regard, il était des plus amusé et séducteur, plongé dans celui de son binôme. Et concernant sa main qui s’amusait sur sa cape à pianoter de ses doigts, elle termina sa route vers le visage de son collègue, venant à ajuster un peu la capuche mine de rien, avant de terminer par lui tapoter la joue comme à un enfant, tournant les talons ensuite très fière d'elle.

« Que le bal commence Géorgie ~ »

Chantonna-t-elle très amusée, ses oreilles s’agitant joyeusement et doucement sur sa tête, fière de son petit coup qu’elle venait de jouer à son binôme, espérant qu’elle avait réussi à bien l’emmerder cette fois. Une fois cela finit, ils quittèrent tous deux la ruelle dans laquelle ils s’étaient réfugiés le temps de finir les derniers préparatifs pour la mission. Puis le tandem reprit sa route, afin de se diriger vers le lieu où tout allait se jouer ce soir. Et à force de marche, ils finirent par arriver à ce fameux endroit et trouver la bâtisse dans laquelle ils allaient devoir pénétrer.

C’était un petit immeuble qui payait pas de mine, il se dressait à l’angle d’une ruelle étroite, silhouette terne dans un quartier étrangement calme pour une zone réputée malfamée d’ailleurs. De ses murs écaillés et jaunis s’échappaient des accords de musique populaire, entraînants et anodins, alors qu’ils étaient sûrement là pour masquer toute activité suspecte à l’intérieur de la bâtisse et rassurer un potentiel voisinage. À l’entrée de l’immeuble se trouvait une porte massive dont le métal était terni par le temps, une petite fente-lucarne avait été découpée dans le métal : un regard pouvait s’y glisser et jauger qui se présentait. Pas de heurtoir, pas de sonnette, seulement ce mince interstice derrière lequel veillait sûrement un guetteur, attendant qu’on souffle le mot de passe qui permettra l’ouverture de cette porte et l’accès à cette petite sauterie.

Onyx resta silencieuse face à tout cela, scrutant les environs très rapidement, tandis que son regard s’attarda sur l’habitation. Ça y est, ils y étaient enfin, une fois là-dedans, ça sera quitte ou double pour leurs fraises. La louve échangea un dernier regard avec Siegfried, en tant que « binôme » pour lui rappeler qu’il allait devoir donner le mot de passe, puisque c’était lui qui ramenait l’un des ingrédients du rituel.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Oui, il put bien voir les oreilles d'Onyx jouer d'agacement, et, à son regard, il sentait qu'elle allait lui répondre et surtout lui prendre la tête. Ça ne tarda pas du tout d'ailleurs, la demoiselle venant à retourner tout cela contre lui avant de joueur sur la coïncidence de l'avoir retrouver dans le meme bar, juste à temps pour lui éviter bien des ennuis

" Bah ouiiiii et je t'aurais sauvé les miches de l’autre idiots hein ? Alors que ça m'aurait donné une occasion de ne plus avoir à me prendre la tête avec tes jérémiades si ça avait été le cas ?"

Oui, s'il avait été du culte, pourquoi l'avoir prévenu ? Pourquoi l'avoir sauvé de ce risque, meme si, techniquement, ils allaient se retrouver quand meme à l'affronter, mais là, à deux. Mais sous la suite, il ne pouvait pas se mentir, Onyx avait réellement un certain charme, sous sa voix chantante, son regard de louve et sa démarche féline, elle lui faisait un petit effet, ça c'était sur, malgré le fait qu'elle se foutait de sa gueule. Alors qu'elle laissait ses mains jouer sur sa cape en lui répondant sur ce qu'elle allait devoir faire, ce fut à son tour de ce jouer d'elle et de se venger. Un de ses mains glissa de sous sa cape, venant à passer sur la nuque de la terranide, son pouce frôlant sa mâchoire avant de lui répondre dans un chaud murmure

" Qu'elle rêve que de ne pas avoir a constamment argumenter avec toi et que tu m'écoute ne serait-ce qu'un instant sans chercher la petite bête. hein ? "

Oui, elle pouvait prendre une voix mielleuse, mais lui aussi savait le faire alors que son regard soutenait le sien sans sourciller. Puis, sa main recula, glissant tel un voile de soie sur sa peau avant de soupirer sous ses derniers mots, répondant


" C'est partie pour les emmerdes."

Réajustant sa capuche sur sa tête, il se mit donc à reprendre leur route, marchant silencieusement dans les rues nocturne de la ville, les pas claquant sur les paver, résonnant contre les bâtisses. Une fois devant la porte, Siegfried jouait de sa mâchoire, l'aspect qu'elle avait ne lui donnant aucunement confiance en tout cela, mais, il n'en avait pas vraiment le choix, alors. Il frappa une première fois sur la porte, laissant ses phalanges rencontrer le bois et le métal de cette porte qui, sous son contact, lui laissa bien deviner que ce n'était pas du bois de cagette. la, sous un frottement de bois contre métal, la petite ouverture d la porte laissa apparaître de la lumière, mais, seul un silence en sorti

" Klaatu barada nikto. "

Oui, il s'était bien-sur attendu à devoir sortir un mot de passe, alors, dans tout les documents que Géorgie avait entreposé, Siegfried avait bien fureté pour le trouver. Ce ne fut pas difficile en vrai, car cette idiot avait du mal à le retenir, alors il l'avait noté plusieurs fois, sûrement pour essayer de le mémoriser ainsi. Après quelques secondes, un silence plus pesant prit place, aucun bruit, aucune réponse, aucun mouvement, ce qu'il n'aimait pas du tout, jusqu'à ce que la porte finisse par s'ouvrir, laissant apparaître un escalier a peine éclairé par des torches. Là, il se tourna, regardant Onyx en attrapant son bras, suffisamment ferme pour faire croire qu'il la contrôlait, mais pas suffisamment pour lui faire mal, à part si la demoiselle était douillette ou était une chieuse, ce qui n'était pas gagné de ce coté là, mais, elle ne pourrait pas s'en plaindre maintenant, sinon tout risquait de capoter et de les mettre en grand danger. C'était donc le moment, celui de rentrer dans la gueule du diable, sans savoir comment ils allaient en ressortir, si seulement ils allaient en ressortir.


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