Karl avait réussi à s'endormir à nouveau, mais, dix, vingt minutes ou peut être une heure s'était écoulé que, son sommeil fut interrompu. Il n'avait pas tout de suite était réveillé par les première son plaintif que Rubis avait émis, se fut, quand elle commença à trembler et à se mouvoir avec plus de vigueur qu'il en fut réveillé, mais surtout sous le coups de tête involontaire qu'il avait prit dans le menton. Son premier réflexe par un tel réveil fut le même que chaque fois qu'il se retrouvait à ouvrir les yeux en sursaut, glissant sa main droit sous un oreiller pour y chercher quelque chose, mais, ce soir, il n'était pas chez lui, alors il n'y trouva rien.
Ensuite, se rendant enfin compte de cela, il posa son regard, légèrement redressé pour regarder la demoiselle, l'entendant parler dans une langue inconnue, tremblante et sanglotante. Son premier réflexe fut de la réveiller, mais il hésita, ne voulant pas qu'elle fasse une crise de panique, jusqu'à ce qu'elle se mette à hurler en japonais cette fois ci, lui laissant enfin savoir ce que contenait son cauchemars. A cette instant, il décida alors de l'enserrer dans ses bras, passant autour d'elle pour la tenir contre lui, suffisamment fort pour qu'elle ne se fasse pas mal, mais faisant attention à ne pas amplifier sa peur, sa main droite venant caresser ses cheveux avec délicatesse pour la rassurer
" Rubis, ce n'est rien, ce n'est qu'une cauchemars, ne t'en fais pas Rubis."
Lui murmura t-il d'une voix qui se voulait rassurante avant qu'elle ne finisse par se réveiller en sursaut, en cet instant, l'entendant implorer de la pitié, il avait mal au cœur pour elle, très mal au cœur, la gardant dans ses bras, commençant doucement à la bercer.
" Personne ne va plus jamais te frapper, ce n'était qu'un cauchemars, tout va bien, je suis là, Je suis Karl, je suis là pour toi rappelle toi."
Dit-il, les lèvres posé sur sa tête, l'embrassant doucement entre chaque phrase sur sa chevelure près de son oreille, la bordant dans ses bras. Sous ses mots, il la senti doucement se calmer, ou plutôt arrêter de trembler, mais, il la sentait pleurer contre lui, ce qui le chagrinait beaucoup, continuant de la bercer dans ses bras. Lorsqu'elle commença à prendre conscience qu'elle était bien réveillé, il put l'entendre le couvrir d'excuse à profusion, venant lui demander pardon, ce qui lui tira un sourire désolé contre elle. Sa main continuait de caresser ses cheveux un instant avant cela, puis, redescendit en venant caresser le peu de joue de la demoiselle qui dépassait de ses mains pour ajouter quelque nouveau mot
" Tu n'a pas a t'excuser, ce n'est rien. Tu vois, je suis là, il n'y a que toi et moi, tu n'a rien à craindre."
Ajouta t-il, laissant doucement ses lèvres se poser de nouveau sur sa tête, ses bras la gardant toujours dans le cocon que formait ses bras autour d'elle, tandis que, doucement, la lumière du jours apparaissait par l'ouverture de la fenêtre.