Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rencontre au beau milieu d’un rêve.. erreur, d’un cauchemar ~ [ PV Hayao ]

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Rubis Starling

Humain(e)

En entendant les mots d’Hayao, Rubis se sentait presque coupable d’avoir pensé qu’il aurait put la piéger. C’est vrai qu’il avait toujours été clean avec elle, il ne lui avait pas menti une seule fois et avait respecté sa part du marché. La culpabilité pointait un peu le bout de son nez dans le cœur de la jolie albinos qui hocha doucement de la tête pour remercier le mystérieux brun qui lui tenait la porte, lui souriant avec douceur en sortant ensuite de l’appartement en sa compagnie.

Et avant de suivre le manipulateur des songes dans les escaliers pour sortir de son immeuble,  la belle demoiselle haussa un sourcil en l’entendant lui dire qu’elle était bien plus jolie quand elle était comme elle était d’habitude, souriante et enjouée. Se sentant encore plus coupable et craignant de l’avoir blesser, Rubis pencha un peu la tête avec un petit air désolée, avant de la redresser surprise en le voyant sourire d’une manière dont elle ne l’avait pas encore vue, lui arrachant un sourire suivit d’un doux rire.

« Désolée, je… Je ne me moque pas de vous, je… Je trouve juste que ça vous rajeunit ce sourire mais que ça va vous terriblement bien… »

Le tout dit en souriant avec tendresse en le regardant, descendant les étages avec lui, avant d’arriver en bas des escaliers où il lui lui tendit son bras dont elle se saisissa délicatement en souriant toujours, ayant visiblement retrouvé son expression naturelle à présent. Et tandis qu’ils se mirent en marche en sortant de l’immeuble, restant tout deux silencieux pendant un petit moment et les stylos tenant bien sous la jupe de la demoiselle entre ses cuisses et ses fesses, le silence fut interrompu par la voix d’Hayao, venant demander à la belle si elle le détestait et ce qu’elle pensait de tout cela.

« Non, je ne vous déteste pas Monsieur Tachibana. » secouant doucement la tête à la négative tout en resserrant doucement ses petites mains sur son bras « Mais j’avoue que vos jeux sont étranges et me laisse perplexe… Mais je ne vous déteste pas pour autant, je vous l’assure. »

Elle lui offrit un beau sourire emplie de tendresse, restant à son bras en le regardant avec douceur, continuant à marcher avec lui dans les rues tout en lui faisant totalement confiance vers où il l’emmenait.

« Je suis désolée si je vous ai blessé… Je ne le voulais pas… C’est juste que… On m’a déjà piégé et menti à plusieurs reprises… J’ai été bête… Et je ne veux pas que ça recommence c’est tout… »

Serrant doucement son bras contre elle en resserrant un peu plus ses doigts sur celui-ci, sans lui faire de mal bien sûr mais en lui faisant sentir davantage son corps contre ce bras qu’elle tenait avec douceur et un peu plus fermement à la fois, poursuivant sa prise de parole avant de baiser un peu la tête en regardant le sol.

« J’ai été peut-être bête de douter de vous alors que vous avez été toujours correct avec moi et avez tenu votre engagement… C’est juste que… J’ai eu peur sur le moment que tout ça ne soit qu’un jeu pour me piéger… Et je ne veux pas me retrouver piéger encore une fois… Ce n’est pas contre vous, non… C’est moi qui est peut-être mal évaluer la situation de tout ce que cela représentait, c’est tout… Désolée encore si j’ai pu vous blesser… »
« Modifié: mardi 22 octobre 2024, 16:25:45 par Rubis Starling »

Hayao Tachibana

Créature

Son sourire, son rire, je ne le pris pas mal, d’autant qu’elle avait aussitôt tout explicité. Je ne voyais pas de raison de penser que les choses se passeraient mal. Je lui fis un sourire en coin, de nouveau, alors qu’enfin, nous sortions vraiment de l’appartement. L’air frais faisait du bien. Tout simplement.

« Je me doute. »

J’avais souvent du mal à réellement sourire. Sincèrement, comprendre ma vie, comprendre sans doute pourquoi je souriais pleinement si peu… ça pouvait s’entendre. Je me nourrissais de choses qui auraient souvent fait froid dans le dos. je commençais à marcher, pour aller prendre les escaliers. Je lui posais une question qui pouvait paraitre étrange. Me détestait-elle ? je m’en doutais, ces petits jeux, et cette situation avaient tout d’un rapport forcé, ou même d’une série de rapports forcés. C’était tout ce qui pouvait compliquer les choses. Tout simplement.
En tout cas, elle semblait plus douce, plus affable, maintenant, comme si elle pouvait se montrer plus elle-même dans les jeux. C’était une bonne chose. Ça faisait beaucoup de bien, je le reconnaissais bien volontiers.
Ses mots avaient, à mes yeux, valeur d’excuse. Elle se calait contre moi, plus fermement, plus fort. Son sein appuyé contre mon avant-bras, comme pour me montrer qu’elle ne s’échapperait pas, continuant à me parler.

« Je n’ai aucun intérêt à te piéger, ma belle. Parce que si je voulais te faire chanter, il me  suffirait de te faire subir l’enfer dans tes rêves à un point tel que tu viennes ici en rampant, pleurant et suppliant de cesser, alors pourquoi est-ce que je voudrai te piéger ici ? »

C’était vrai, et c’était la raison pour laquelle je ne mettais aucune emphase sur les mots. Parce que c’était d’un pragmatisme cruel. Un pragmatisme violent, même. ; Alors forcément, toujours était-il que nous avancions et que nous entamions sa première difficulté : les escaliers et les sensations que cela risquait de procurer.

« Passons, je suppose que tu verras bien, à la fin de la journée, que je n’aurai rien fait pour te piéger. Si nous voulons nouer une relation durable, je ne peux pas me permettre de te mentir ou de me montrer malhonnête envers toi, sans doute… »

Je posais ma main libre sur la sienne, celle qui tenait mon bras, et je la serrais avec douceur.

« Détend un peu les doigts ou je vais finir par avoir une marque. Et puis, tu sais ce qu’on dit : dans les escaliers, s’agripper c’est tricher. »

Trois étages sans toucher la rampe, sans s’accrocher à moi. une jolie petite épreuve.

Rubis Starling

Humain(e)

Marchant dans les escaliers en tenant le bras qu’Hayao lui avait tendu, Rubis regarda le sol quelques instants après s’être excusé d’avoir pu le blesser en doutant de lui tout en lui avouant qu’elle craignait d’être piégé de nouveau par quelqu’un, ce qu’elle ne souhaitait guère et donc justement sa méfiance à son égard à cause de son dernier petit jeu.

Puis redressant doucement sa tête pour regarder le mystérieux brun à ses côtés, la jolie albinos l’écouta avec attention quand il lui répondit qu’il n’avait aucun intérêt de la piéger comme il contrôlait ses rêves de toute manière et pouvait faire en sorte de la faire craquer. Et il rajouta à cela qu’elle se rendrait bien compte à la fin de la journée qu’il n’aura rien fait pour la piéger ni lui mentir car ce n’était pas dans son intérêt de lui jouer ce genre de tours s’il voulait nouer un lien avec elle.

Hochant simplement la tête à ses mots en souriant avec douceur, la demoiselle resta silencieuse en le regardant, serrant doucement ses doigts sur son bras tandis qu’elle s’en voulait presque de devoir lui dire à la fin de la journée qu’elle avait réfléchit à tout ça et qu’elle n’allait pas poursuivre. Cependant ne laissant rien paraître de ce qui lui trottait dans sa jolie petite tête sous le fil de ses pensées, Rubis haussa un sourcil quand Hayao lui demanda de détendre un peu ses doigts sur son bras, relâchant sa prise en se pinçant doucement les lèvres en baisant légèrement sa tête avec une petite mine qui disait « désolée ». Puis elle la redressa ensuite en entendant la suite de ses paroles, clignant plusieurs fois des yeux en riant doucement tout en relâchant délicatement son bras, hochant de nouveau la tête en fermant les yeux.

« Ho veuillez m’excusez, je ne comptais point tricher. J’ignorais par ailleurs cette règle ou ce dicton. »

Répondit-elle en souriant amusé en rouvrant les yeux en regardant le manipulateur des rêves, s’éloignant un peu de lui pour lui laisser de la place pour se mouvoir, mais également pour elle afin de descendre les escaliers aisément un par un, en faisant bien attention à ses pas et à ne pas faire tomber les stylos sous sa jupe.

Marchant et descendant presque au même rythme que le mystérieux brun, la belle demoiselle marchait tranquillement en fredonnant presque, concentrer autant sur ses pas que sur sa mission dans ce drôle de jeu dont elle s’efforçait de prendre avec humour et de bien jouer. Et une fois les 3 étages descendu sans aucuns soucis et sans perte de stylos, la jolie albinos qui était arrivée au rez-de-chaussée la première se retourna pour regarder Hayao, les mains dans son dos et sa tête penchée sur le côté en souriant, fredonnant toujours un peu en le regardant descendre les dernières marches.

« Je pense que la première mission est validée Monsieur Tachibana. Quel est donc la seconde ? »

Demanda t-elle en en fredonnant toujours un petit peu en le regardant amusée, se laissant visiblement prendre au jeu dans ce jeu légèrement tordu mais qu’elle avait décidait de jouer pleinement maintenant qu’elle était rassurée sur la non existence d’un piège potentiel de la part du manipulateurs des mondes oniriques.

Hayao Tachibana

Créature

HAYAO
& RUBIS
Je souris en l’entendant parler de ne pas tricher…. Et elle ignorait ce dicton… je ne pouvais pas m’empêcher de me marrer un peu sur le sujet. Ce n’était pas vraiment un dicton réel, bien sûr, c’était une sorte de jeu, dans les escaliers très longs, de ne pas toucher la rampe, et essayer d’être le premier en haut. J’avais un peu faké, certes, mais bon, ce n’tait pas trop grave. Je lui fis un sourire entendu avant de finalement hausser les épaules et la regarder descendre, presque à son niveau. Aucune difficulté. Je n’étais pas si j’étais déçu ou si j’étais ravi qu’elle y arrive sans mal. Peut être un peu des deux, en fait. C’était sans doute ainsi que ça se passait. Je lui fis un sourire et je la regardais un peu en coin, et je croisais les doigts à chaque fois que nous franchissions un pallier.
Le plancher des vaches fut là beaucoup trop vite, et je ne pu m’empêcher de lui trouver un petit côté triomphal.

« C’est vrai, bien joué… »

Elle avait fredonné sur tout le trajet et je me demandais ce qu’elle chantait. Ce n’était pas une sorcière quand même ? J’espérais cela parce que ce serait bien dommage, sinon… parce que je savais qu’elle me jouerait un sale tour avant la fin. Elle pourrait même me faire un mauvais sort dans mon domaine onirique… c’était un risque que je n’avais pas forcément envie de courir.

« C’est quoi cette mélodie que tu fredonnes ?  On croirait presque tu joues à la magicienne pour empêcher les stylos de glisser… »

Je savais que c’était ridicule mais en même temps.
En même temps merde ! J’avais un doute !

« Maintenant on va marcher jusqu’à trouver un magasin de vêtements qui pourrait aller pour trouver de quoi combler tes lacunes vestimentaires. »

Je passais mon bras à sa taille, lui palpant les fesses au passage, pinçant même doucement, par jeu.

« C’est à croire que ce jeu est trop facile pour toi… »

J’aperçus une série de trois gros plots en béton.

« Oh, tiens, et si tu montais sur les plots, sur notre chemin ? »

Ça allait la déstabiliser un peu quand même, non ?
Et puis, c’était quand même plus sympa de sortir et se promener en jouant de manière perverse que de simplement rester enfermés chez moi à baiser, non ?

Rubis Starling

Humain(e)

Toujours les mains dans le dos et sa petite tête penchée, Rubis regarda avec un doux sourire Hayao finir de descendre les escalier, continuant de fredonner en affichant un petit air amusé et joyeux, dodelinant même légèrement de la tête gaiement. Esquissant un beau sourire en entendant le mystérieux brun la féliciter, la jolie albinos redressa sa tête tout en continuant à la bouger toujours très légèrement en chantonnant doucement encore à tue-tête.

Mais quand elle entendit le manipulateur des songes lui demandait ce qu’elle chantonnait, avant de lui partager ses pensées sur le fait qu’elle soit magicienne, la belle demoiselle cligna plusieurs fois des yeux avant de rire doucement avec douceur, amusée par les propos de l’homme qui avait fini par la rejoindre en descendant le dernier escalier.

« Je suis flattée que vous puisez penser une telle chose à mon propos Monsieur Tachibana. Mais je suis au regret de devoir vous avouer que je ne suis pas une magicienne ou même une sorcière. » secouant doucement la tête à la négative en fermant les yeux, reprenant ensuite « Quant à ce que je fredonne, ça va vous paraître idiot mais… J’ignore quelle mélodie ou chanson c’est, je… La seule chose que je sais, c’est que j’ai cet air en tête depuis mon enfance et je l’ai toujours chantonner en fait… »

Rouvrant ensuite ses yeux en regardant de nouveau Hayao, Rubis esquissa un petit sourire un peu gênée, venant repasser ses bras en avant de son corps et soulevant une de ses mains pour caresser sa nuque, en riant doucement de son aveu et de sa drôle d’histoire. Il fallait avouer que cela était en effet étrange, surtout qu’elle n’avait aucune explication sur l’origine de cette chanson qu’elle aimait chantait visiblement depuis longtemps. Cela pouvait faire penser, pour ceux qui le savait et s’intéresser à ce genre de chose, à une sorte d’incantation magique en effet que certains êtres magiques lèguent à leur descendance ou à leurs protégés aussi. Ou peut être que cela était tout simplement une berceuse que ses parents lui chantaient aussi et dont son cerveau avait retenu l’air dans un coin de sa tête aussi. Allez savoir quel était le mystère qui se cachait derrière tout ça…

En attendant de le découvrir et d’élucider cette histoire, le mystérieux brun faiseur de rêves se rapprocha de la jolie albinos et vint la saisir à la taille tout en venant palper ses voluptueuses fesses, faisant rougir la demoiselle au passage qui écouta attentivement chaque parole d’Hayao concernant la suite des événements. Mais quand Rubis l’entendit parler d’un nouveau jeu et défi, elle haussa doucement un sourcil et reporta son regard vers les plots de bétons dont il lui parlait qu’elle allait donc devoir escalader.

Sans un mot, Rubis esquissa un sourire amusée en les regardant avant de regarder Hayao rapidement en gardant son sourire, reprenant le fredonnage de sa chansonnette. Et alors qu’ils se mirent en marche tout deux, la demoiselle déposa un doux baiser sur la joue de l’homme à ses côtés avant de quitter la douce étreinte de son bras qui enlaçait sa taille. Ni une ni deux, marchant tranquillement en continuant de fredonner tout en sautillant même très légèrement à chacun de ses pas, ne perdant toujours aucuns stylos pour le moment, la mignonnette escalada donc les plots et sautilla sur chacun d’eux, les sautant donc un à un, le tout sans toujours faire tomber aucun des deux stylos sous sa jupe.

« Et seconde mission accomplie Monsieur Tachinbana. »

Le regardant avec un beau sourire tout en continuant de fredonner, Rubis reprit sa place aux côtés du manipulateur des songes, reprenant donc leur route vers le magasin de vêtements. La demoiselle semblait amusée des petits jeux d’Hayao dont elle semblait attendre presque impatiemment la suite de ces défis farfelus, s’amusant visiblement à ces drôles de petits jeux dans lesquels elle réussissait sans aucuns mals tout en gardant les stylos bien au chaud sous sa jupe entre ses cuisses, qui pour l’instant, restaient bien logés là où ils étaient. Finalement, elle se débrouillait pas trop mal et arrivait à les garder en place pour le moment la petite dame !

Hayao Tachibana

Créature

Je regardais la jeune femme qui rit doucement. Elle se demandait sans doute pourquoi je lui parlais d’une telle chose. Mais en soi, elle avait devant elle quelqu’un qui était capable de s’introduire dans les songes, et elle ne semblait pas plus choquée ou autre que cela, alors la possibilité d’une forme de sorcellerie n’avait rien de bien surprenant, à côté de cela, n’est-ce pas ? elle semblait amusée, pas moqueuse alors qu’elle m’expliquait la raison de son « chant ». une sorte d’air qu’elle gardait en tête depuis son enfance/ c’était vrai qu’il était assez entêtant.

« Et tu aimerais savoir d’où il vient ? »

Je pouvais essayer au fil de ses ^rêves d’en trouver précisément la source. Je savais que ce ne serait pas facile, probablement impossible, mais je pouvais essayer, ça pouvait être un défi intéressant.
Toujours était-il que les missions que je lui donnais semblaient trop faciles pour elle, et elle s’en amusait ; je ne savais pas si j’étais ravi ou bien déçu… la belle albinos semblait prendre son parti de faire ça. Et je ne me privais pas de savourer la vue de la jeune femme montrer soupelment sur le plot qui était assez haut. C’était presque à hauteur du genou quand même. Mais bon, elle était à) l’aise, m’offrant même un baiser sur la joue, l’air de rien.
Le défi était si facilement réussi.

« Je vois ça. Je devrais peut-être te faire faire quelque chose de plus difficile ? Parce que tu as l’air de presque trop t’amuser pour que le jeu en vaille la chandelle pour moi… »

Je réfléchissais un peu. Je reconnaissais que je me prêtais un peu au jeu avec elle, on passait un bon moment, ou du moins, cela m’en donnait l’illusion. Je lui souris, revenais la saisir par la taille avant de laisser ma main errer sur ses fesses et venir donner de petites tap du bout du doigt sur le stylo qui sortait de son anus, bien plus facile à venir titiller ainsi que l’autre.

« C’est trop fin pour que tu peines, pas vrai ? »

Une idée stupide me vint alors. Et sans prévenir, je venais lui chatouiller doucement les côtes pour la titiller, pour lui faire perdre le contrôle sur ce qu’elle retenait et sur sa chanson. Elle se tenait mieux ainsi ? J’en doutais fortement. Parce que si ce n’était pas de la magie, c’était tout du moins un  genre de mantra qui aidait à se concentrer.

Rubis Starling

Humain(e)

Alors qu’ils étaient enfin en bas de l’immeuble du faiseur de songes, commençant à se mettre en route doucement vers l’une des destinations prévues par Hayao, Rubis lui avouée amusée mais aussi gênée qu’elle ignorait quel était l’air qu’elle avait fredonnait pendant leur descente dans les escaliers, mais qu’elle le chantonner depuis toujours en fait. Mais en lui confessant cela, la belle albinos ne s’attendait pas à ce que le mystérieux brun lui propose d’essayer d’en trouver l’origine, la faisant donc cligner des yeux plusieurs fois surprise et étonnée de cette proposition.

« Je… J’avoue que je suis curieuse en effet… Je… Je me demande si cela n’est pas l’air d’une berceuse que mes parents me chantaient peut-être ? Ou peut-être une musique qu’ils écoutaient quand j’étais petite ? »

La tête en l’air en ayant l’air pensive, un doigt sur ses lèvres, la mignonnette regardait le ciel quelques instants avant de reporter son regard sur le manipulateur de rêves, clignant toujours des yeux avant de hausser un sourcil, demandant d’une voix intriguée et curieuse.

« Mais… Vous pensez que cela est possible à découvrir ? Je veux dire… Vous pensez pouvoir trouver la réponse à cela en rêves ? »

Après cette questionnette, le temps de poursuivre leur chemin et recommencer à jouer  reprit, avec un nouveau jeu qui consistait à monter sur des plots pour la demoiselle, ce qui semblait l’avoir amusée en plus de réussir cette nouvelle mission avec brio, le tout toujours en chansonnette voyons ! Et cela semblait légèrement contrarié le maître de jeu qui se demandait s’il ne devait pas pimenter les choses, car la demoiselle semblait beaucoup trop s’amuser dans tout cela, ce qui fit rire amusée Rubis qui trouva cela vraiment amusant en effet, en oubliant presque le côté étrange de certains des jeux proposés par le brun.

Tandis qu’Hayao vint la saisir à la taille, faisant rougir doucement la belle albinos, elle put sentir une de ses mains venir se balader sur ses fesses, avant de venir jouer à tapoter discrètement le stylo qui était logé entre ses fesses. Cela surpris la jeune femme sur le moment qui devint rouge pivoine, ne sachant quoi faire sur le moment. Mais l’homme du pays onirique ne lui laissa pas le temps de réagir à cela car d’un seul coup, il se mit à la chatouiller avec légèreté au niveau des côtes, la faisant rire aux éclats en se laissant tomber contre lui, venant se rattraper à lui même en riant aux larmes presque.

« Pitié pitié pitié ! A-a-a-arretez Mon-mon-mon-monsieur Ta-ta-ta-ta-chiba-ba-ba-banaaaaaa ! »

Collée au faiseur de rêves, Rubis riait aux éclats et avait des larmes aux coins des yeux, venant s’agripper à lui en posant ses mains sur son torse et ses épaules, tirant sur le tissus de sa chemise. Tout son corps tremblait, mais les stylos tenaient bien en place, ne bougeant pas un seul instant, contrairement à elle qui n’arrêtait pas de trembler et ne chantait plus, essayant d’implorer la pitié de Hayao afin qu’il arrête de la chatouiller, car visiblement, il semblerait que la demoiselle soit très très très chatouilleuse vu sa réaction à s’en laisser tomber littéralement dans les bras du mystérieux brun qui avait réussie à avoir ce qu’il voulait en faisant taire la mignonnette chantante.

Hayao Tachibana

Créature

Elle-même ne semblait pas spécialement savoir d’où venait cet air. Bah, c’était sans importance. Tout au plus était-ce une manière de rester concentrer à la manière d’un mantra, sans doute, non ? Sincèrement, je n’avais pas envie de la voir gagner. Après, je reconnaissais que j’avais joué et que je pouvais très bien perdre, au fond. Par contre découvrir l’origine avec les rêves….

« Hum… c’est possible en effet. Je ne garantis pas qu’on aurait le fin mot de l’histoire, mais on peut essayer. Les rêves sont un univers étrange. Là-bas, le fantasme a parfois plus de poids que la vérité et devient une vérité. Prenons un exemple : si l’idée qui s’impose est que tu es un rongeur, et bien tu seras un rongeur et ce sera la vérité de ce rêve. Quand bien même tu sais que tu es humaine. Tu vois ce que je veux dire ? »

Je lui fis un sourire en coin, et je la laissais méditer cette idée. Si elle voulait quand même essayer, alors nous pourrions, à l’occasion. Et les jeux reprenaient, dont elle s’en sortait avec brio ; avec trop de brio, presque, me disais-je…
Enfin, l’idée miraculeuse vint avec les chatouilles. Et elle eut son, petit effet, c’était le moins que l’on puisse dire. Car elle en riait à perdre haleine, elle se pressait contre moi, en pleurant de rire, appuyée contre moi, comme si elle n’en tenait plus debout ; merde alors… elle était vraiment chatouilleuse. Et quand je sentis qu’elle manquait vraiment de souffle, je m’arrêtais, sourire aux oreilles.

« Eh bien quel fou rire… désormais à chaque fois que je t’entendrai fredonner cette berceuse – on va dire en attendant de savoir si c’est une berceuse – je te chatouillerai comme ça. Tu finiras bien par perdre, soit la manie, soit un stylo. Non ? En tout cas, bravo pour le contrôle malgré les chatouilles… »

Je lui fis un sourire moqueur.

« Enfin, on est arrivés à la première boutique. Allons donc trouver ces fameuses jarretelles qui te semblaient tant problématiques… il y a des chances que je te propose des cochonneries dans la cabine d’essayage, alors attention… »

Je lui donnais une petite claque sur les fesses avec amusement. Sous le choc, le stylo s’enfonça un chouia davantage.

Rubis Starling

Humain(e)

Des yeux clignotants et un doigt sur les lèvres, Rubis était à l’écoute des paroles du manipulateur des songes, l’écoutant avec la plus grande attention tout en penchant légèrement la tête sur le côté à mesure qu’il lui expliquait que le monde des rêves avait un fonctionnement des plus étrange car le fantasme avait souvent plus de poids que la vérité, se servant de l’exemple de croire qu’on est un rongeur pure et dure dans ses rêves que ça en devient la réalité en cet instant. À la question qui suivit les explications de Hayao, la demoiselle redressa doucement sa tête afin de la hocher doucement pour lui signifier qu’elle voyait très bien l’idée qu’il essayait de lui faire imager.

Après avoir reprit les jeux et gagner le nouveau qui consistait à sauter sur les plots sans perdre les stylos sous sa jupe, la demoiselle eut en guise de contre-attaque de la part du mystérieux brun des chatouille qu’elle en tomba à la renverse dans ses bras, le suppliant d’arrêter cela car elle en pouvait plus tant elle riait aux éclats et aux larmes même ! Et quand le visiteur du monde onirique arrêta enfin de chatouiller la jolie albinos, celle-ci reprit doucement son souffle en se redressant doucement tout en l’écoutant, avant de hocher la tête faiblement en guise de remerciements à ses félicitations.

« Merci pour… Pour vos félicitations Monsieur… Ta-ta-tachibana… » récupérant doucement son souffle en mettant une main sur sa poitrine qui se soulevait et descendait de plus en plus lentement, secouant la tête à la négative ensuite « En revanche, je… Je ne veux pas perdre cette vi-vilaine manie comme vous dite… Je… J’aime fredonner cet air, ça… Ça me fait beaucoup de bien, ça… Ça me rend heureuse et je… Je n’ai pas envie d’arrêter de le fredonner, il… Il est important pour moi, même si j’ignore son origine… Il fait par-partie de moi… »

Continuant de récupérer doucement son souffle en esquissant un beau sourire après cette déclaration, Rubis reprit sa marche aux côtés de Hayao pendant quelques instants, avant d’arriver devant une devanture d’une boutique de lingerie, la faisant doucement rougir car elle n’était pas seule devant ce genre de commerce, n’ayant pas l’habitude de ce genre de chose.

Tournant timidement son visage vers le manipulateur des rêves dès qu’il reprit la parole, la demoiselle devint encore plus rouge quand elle l’entendît parler faire des choses dans les cabines d’essayage, ne s’étant pas imaginer un seul instant faire ce genre de chose. Et avant de pouvoir rétorquer quoique ce soit, elle reçue une belle tape sur les fesses et sentit un des stylos glissait plus loin sous sa jupe, la faisant lâcher un petit crie aiguë et surprise, la faisant rougir encore plus en venant poser une main devant sa bouche en plissant des yeux en regardant le brun à ses côtés.

« Je… Monsieur Tachibana… Je… Vous ne risquez pas de gagner si vous les faites remonter ainsi… »

Dit-elle timidement en enlevant la main de devant sa bouche, les joues rouges pivoines et le regard toujours plissé en regardant l’homme près d’elle, essayant de lui faire comprendre que sa claque avait enfoncer un des stylos plus loins sous sa jupe. Le regard ensuite de la jeune femme se posa sur la porte d’entrée du commerce, soupirant doucement par le nez avant d’avancer et se saisir doucement de la poignet de la porte de la boutique, jetant un dernier regard vers Hayao avant d’ouvrir la porte d’entrée et rentrer dans le magasin où l’attendait une drôle d’aventure, en espérant que cela ne sera pas trop embarrassant ni bizarre, mais vu le zigoto avec qui elle était c’était pas gagné tout ça.

Hayao Tachibana

Créature

Elle semblait bien plus s’amuser maintenant que quand elle tapait sa meilleure pipe chez moi. Et les deux stylos ne semblaient pas beaucoup la déranger. Sincèrement ça partait mal pour que je gagne, je le savais, et si ni les chatouilles ni le reste n’aidait à faire tomber, je partais du principe qu’elle allait gagner, et du coup, que nous nous séparerions plus rapidement que je ne l’espérais. Je pourrais, ceci dit toujours hanter ses rêves.  Oui, ça sentait quand même un peu le pâté cette histoire. Tant pis, c’était le jeu. Je n’étais juste pas un monstre, et je n’avais pas envie de la revoir ne train de limite tirer la gueule juste pour me faire dégorger le poireau à loisir.
Et si je voulais être mesquin elle n’aurait qu’à subir des cauchemars.

Elle me le fit remarquer, d’ailleurs, que ce n’était pas en enfonçant que ça allait mieux tomber. Je me contentais de hausser les épaules. Alors ouais, a avait apparemment provoqué des sensations. Et son cri avait sans doute attiré des regards. Mais bon, c’était sans importance.

« C’est possible. Mais entre nous, tu as un excellent contrôle de tes sphincters, non ? »

J’aurai bien dit la force de l’habitude, mais est-ce que ça n’aurait pas été un peu abusif. Dans tous les cas nous arrivâmes devant la boutique prévue. Galamment, je lui tenais la porte, en haut des eux marches. En fait, j’étais sûr que j’allais perdre. Boarf, au pire, j’aurai bien une dernière baise et on se séparerait « bons amis », non ? Je lui fis un petit sourire.

« Après toi. »

Nous entrâmes dans ce qui était purement et simplement un magasin de lingerie. Une jeune femme vint vers nous, elle avait une démarche féline à deux doigts du catwalk telle Lisa sur le podium du défilé victorias secret.

Quoi ? Oui, j’aimais beaucoup Lisa, mais qui ne pourrait pas aimer Lisa ?
Bref.

« Bonjour, que puis-je pour vous ? »

Je poussais légèrement Rubis au niveau des reins, pour l’inviter à prendre le lead sur le sujet.

« Vas-y je te laisse gérer. »

Rubis Starling

Humain(e)

Tandis que Rubis regardait Hayao en plissant des yeux tout en ayant le visage tout rouge de ce qui venait de se passer, elle haussa doucement un sourcil quand il commença à parler, avant de devenir encore plus rouge en entendant ses remarques sur son contrôle des sphincters. Toute timide et regardant le sol instinctivement en détournant le regard, la jolie albinos se contenta de hocher timidement de la tête, venant faire glisser sa main de ses lèvres à son cou pour le caresser, gêner des mots du mystérieux brun.

Mais après cela, ils étaient enfin prêt à pénétrer dans la boutique de lingerie devant laquelle ils attendaient, la demoiselle jetant un regard au manipulateur de rêves avant de se diriger vers la porte. Mais alors qu’elle avait ouvert la porte, elle fut agréablement surprise de voir Hayao venir s’en saisir pour la lui tenir en l’invitant à rentrer, faisant doucement rougir la mignonnette qui était touchée par la galanterie du manipulateur des songes. C’est donc d’un timide hochement de tête qu’elle accepta son invitation, tout en lui adressant un joli sourire pendant que le rouge quittait ses joues en pénétrant dans la boutique.

« M-Merci… »

Chuchota-t-elle timidement en arrivant à son niveau. Et une fois qu’ils furent tout deux dans le magasin, Rubis jeta un regard discret autour d’elle, rougissant un peu de se retrouver dans ce type de boutique avec un homme, sans parler de certaines lingeries exposées sur les mannequins qui étaient plus qu’équivoques à certaines situations, faisant rougir de plus belle la douce demoiselle. 

Mais la jolie albinos fut sortie de ses songes lorsqu’une vendeuse s’approcha d’eux, venant s’enquérir de comment elle pouvait leur apporter son aide. Et c’est là que Rubis senti Hayao la poussait doucement en avant, l’invitant autant dans son geste que ses mots à prendre les rennes dans cette histoire, mettant ainsi la jolie albinos face à la charmante vendeuse à la démarche féline qui la zieutait tout sourire.

« Heu… Bon-bonjour, je… Je… J’aurais besoin de porte-jarretelles ainsi que des bas, s’il vous plaît. »

« Mais bien sûr ! J’ai quelques modèles à vous présenter de notre nouvelle collection, suivez-moi ! »

Et c’est ainsi que Rubis se fit embarquer par la vendeuse qui lui présenta tout un tas de modèle, très colorés et fantaisistes, parfois même un peu trop coquins aux goûts de la naïve albinos qui rougissait rien qu’en les regardant.

« Ho… Je… Excusez-moi de vous importuner mais… C’est… C’est très… Joli… Mais, je… Heu… Ce n’est vraiment dans mes goûts sans vouloir vous offenser… Je… Auriez-vous quelques choses de plus… Basique et classique ? Pour aller avec le genre de tenue que je porte voyez-vous… »

La vendeuse haussa un sourcil en regardant Rubis de la tête aux pieds, ne perdant pas un instant son beau sourire charmeur de vendeuse, hochant la tête en se tenant le menton. Puis la vendeuse invita la jolie albinos à la suivre, lui présentant donc des articles plus basiques et classiques comme elle avait demandés, des choses qui se marierait parfaitement avec son style vestimentaire classique mais très élégant et classe.

Pendant ce temps, une autre vendeuse était partie voir Hayao afin de lui proposer quelque chose à boire et s’installer près des cabines s’il  le souhaitait, en attendant que Rubis finisse sa recherche avec son autre collègue. Et peu de temps d’attente après, Rubis se dirigea vers les cabines, inviter par la vendeuse à essayer le porte-jarretelles qu’elle lui avait trouvé ainsi que les bas qui allaient avec, afin de vérifier si tout cela lui convenait, lui rappelant de ne pas hésiter à l’appeler si besoin pour tout conseil ou autre taille.

« Heu… Je… Très bien, je… Merci beaucoup… »

Et c’est donc timidement mais souriante que Rubis hocha la tête, remercia la vendeuse et se faufila les joues un peu rouge dans l’une des cabines d’essayage. Une fois à l’intérieur, Rubis se déshabilla, ôtant délicatement ses talons aiguilles avant d’enlever sa chemise et ensuite sa jupe, les pliants pour les mettre sur une chaise à côté d’elle dans la cabine, se retrouvant donc nue derrière les rideaux de la petite pièce d’essayage.

Fébrilement, la jolie albinos se saisit du porte-jarretelles noire qu’elle enfila autour de sa taille, avant d’attraper les bas et les faire glisser le long de ses longues jambes, venant les accrocher aux pinces des jarretelle pour finir. Après cela, Rubis regarda la lingerie qu’elle était entrain d’essayer, trouvant cela joli finalement mais quand même très sexy. Et ses pensées furent confirmer quand elle jeta ensuite un regard dans le miroir pour se regarder, voyant son corps nue juste vêtue de cette lingerie délicate, alors que pendant ce temps, ce cher Hayao attendait patiemment en dehors de la cabine d’essayage… Ou plus ?

Hayao Tachibana

Créature

Voilà, on y était ; elle qui disait que porter du porte-jarretelle, c’était pour faire putain. Elle allait avoir le droit à la vision et de se faire un avis. Je ne pouvais pas m’empêcher d’en rire sous cape. Et pas que ce sous cape dans la mesure où mon regard était rieur et mon sourire, clairement railleur. Parce qu’elle allait vite devenir pivoine à ce rythme, et qu’avec une vendeuse dans les pattes elle allait devoir se débrouiller pourque la vue me convienne, n’est-ce pas ? Elle qui faisait si timide. Alors oui, forcément que j’en plaisantais. Mais c’était relativement innocent. N’est-ce pas ? pendant qu’une vendeuse prenait en charge ma comparse, je me contentais de suivre l’aide vendeuse qui me proposa un verre d’eau et un siège, près des cabines, comme pour me dire de la laisser choisir et de ne donner mon avis que porté sur le mannequin, si l’on pouvait dire.
Je la laissais gérer, et je me laissais un peu dragouiller par la vendeuse qui ne flirtait sans doute que par politesse : un bel homme s’attendait à être dragué après tout. Donc forcément. Mais c’était sans grand intérêt, le principal intérêt furent les petites fesses de la jolie albinos qui passèrent sous mes yeux pour se rendre vers la cabine du fond.

Je la laissais tranquille un moment, histoire qu’elle porte le joli morceau de tissu, et je ne venais qu’au bout de quelques minutes, passant la tête dans la cabine sans la moindre gêne. Elle était nue, seins laiteux exposés dans le miroir. Le porte jarretelle était d’une simplicité qui collait avec la demoiselle. Certes, j’aurai bien eu envie d’une guêpière, mais sans doute eusse-t-il été délicat de lui faire accepter ça.

« Ça te va bien ma belle… »

Je taquinais gentiment la jeune femme avant de venir poser mes mains à sa taille nue pour juste le faire glisser pour qu’il soit un peu plus droit ; ça rendait bien, mais elle risquait d’avoir besoin d’une taille en dessous, non ? cela me semblait bien lâche. D’un autre côté, en porterait-elle davantage si je lui en offrais.

« Que penses-tu de ton apparence, là, comme ça ? Est-ce que, comme tu le pensais, ça fait trop fille facile ? »

Avec un amusement fou, je venais prendre le stylo qui dépassait de son fondement, le plus accessible des deux, pour le faire coulisser d’avant en arrière en elle, pendant qu’elle s’admirait ; j’empaumais même un sein, juste le temps de la voir réagir avant de cesser les deux jeux.

« S’il n’y avait pas deux vendeuses qui nous attendaient de l’autre côté du rideau, tu serais passée à la casserole salement contre le miroir, une fois rhabillée… »


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