Rencontre au beau milieu d’un rêve.. erreur, d’un cauchemar ~ [ PV Hayao ]

La demoiselle était devant la porte de Hayao, diverses pensées traversèrent sa tête durant le peu de temps qu’elle attendait devant, se demandant qu’est-ce qui allait se passer maintenant, qu’est-ce qu’il voudrait d’elle, qu’est-ce qu’elle devait faire pour la suite car elle était toujours autant mitigée par ça, est-ce qu’il était trop tôt ou trop tard ?

Puis elle releva doucement la tête quand la porte s’ouvrît, voyant le mystérieux brun déjà habillé donc elle ne l’avait pas réveillé, il n’était donc pas trop tôt alors. Mais elle haussa doucement un sourcil en le voyant bailler, se demandant s’il était fatigué, et oui, c’est qu’elle s’inquiétait quand même pour le manipulateur de rêves la gentille demoiselle.

Rubis hocha doucement la tête pour le saluer avant d’entrer chez lui et le salua bien entendu.

« Bonjour Monsieur Tachibana. »

Une fois pénétré dans son appartement, elle ne remarqua pas qu’il la détaillé du regard et même si sa remarque la surpris légèrement, ça ne lui vint pas à l’esprit qu’il avait peut être scanner la demoiselle de la tête aux pieds.

« Ho ? Je… Ça vous déplaît ? »

Elle savait pas si elle devait lui dire merci mais elle se demanda vu sa remarque si sa façon de s’habiller lui déplaisait ou au contraire, car oui, elle s’était habillé comme à son habitude mais elle ne savait pas vraiment le programme qui lui avait réservé donc peut être qu’elle n’avait pas la tenue adéquate ? C’était une petite interrogation mais elle aura sûrement la réponse bien assez vite et puis ce n’était pas bien important non plus, si ?

La jeune femme s’installa après l’invitation de Hayao et fut un peu surprise que le brun s’installa à côté d’elle, surprise de cette proximité surtout mais ça ne la dérangeait pas. Et entendant la question du manipulateur de rêve, Rubis pencha doucement de la tête et posa un doigt sur ses lèvres en regardant sur le côté.

« Je… Je dirais que c’était agréable, reposant, réconfortant… magique ? Oui, magique c’est le mot… »

Avoua la jeune femme en fermant les yeux quelques instants avant de les rouvrir, toujours son doigt sur ses lèvres tandis qu’elle reportait son regard sur Hayao.

« Merci beaucoup pour ce rêve… Ça faisait des années que je n’avais pas rêvé une seule fois… Merci… »

Elle sembla surprise par mes propos sur sa tenue. Avait-elle espéré un compliment sur sa tenue ? Quelque hose me disait qu’elle était sans doute venue sans cette tenue non sans raison.  Espérait-elle créer une forme de distance avec son allure de secrétaire ? Possible. ou alors essayait-elle de me charmer avec une tenue que d’aucun aurait estimé notoirement sexy pour essayer d’éviter un « pire » potentiel ? C’était une possibilité aussi. Je lui fis un sourire et je la regardais avec un petit air amusé.

« Je n’ai pas dit ça. J’essaye de comprendre le message derrière… »

Parce qu’il devait en avoir un. On ne s’habillait pas ainsi « comme ça ». c’était l’évidence même, n’est-ce pas ?
Installé à côté d’elle, j’attendais un peu le retour sur le rêve qu’elle avait fait. Je reconnaissais que créer un rêve de A à Z était un peu délicate. Plus on en imposait, plus le fond devenait flou, plus les détails pouvaient sauter aux yeux comme autant d’erreurs… alors certes, peut être que je ne pouvais pas faire un rêve qui soit complètement la réalité, mais je pouvais faire es rêves qui étaient assez réalistes pour paraitre réels.
Les détails, c’était toute la difficulté.
Mais pour elle, le bilan était très positif semblait-il. Puisque non seulement c’était magique, mais en plus elle m’en remerciait. J’agitais la main comme pour dire que ce n’était rien pour moi. ce n’était pas rien, non. ?

« Allons, ce n’est rien pour moi, inutile de me remercier. Nous avions un pacte. Tu paieras ce rêve et après, tu auras le reste de la semaine pour réfléchir à notre accord. C’est ce que nous avons convenu, n’est-ce pas ? »

Oui, nous étions presque dans un cadre contractuel. Même si le contrat était oral.

« Le paiement est cette journée où tu t’offriras. Mais je suis généreux, je vais te donner la possibilité de nommer cinq choses, cinq activités, cinq actes, que tu ne veux pas avoir à faire aujourd’hui. Passé cela, j’estimerai n’avoir aucune restriction quant à mon paiement qui s’étalera sur toute ta journée. »

La demoiselle regarda le mystérieux brun à ses côtés qui lui disait n’avoir jamais dit que sa tenue lui déplaisait mais qu’il essayait de comprendre le message derrière, faisant hausser un sourcil à la demoiselle qui esquissa un sourire amusé en l’entendant elle aussi.

« Il n’y a aucuns messages derrière Monsieur Tachibana, je porte ce genre de tenue quotidiennement car j’aime bien ce genre de vêtements, ça me plait, je trouve ça simple, sobre et élégant. »

Répondit-elle en posant un doigt sur ses lèvres en regardant sur le côté quelques instants avant de reporter son regard sur lui en souriant, laissant retomber sa main le long de son corps, son doigts quittant ses lèvres, visiblement une drôle de manie qu’elle avait là.

Puis la demoiselle s’installa ensuite après l’invitation de Hayao qui s’était assis à côté d’elle, l’écoutant lui dire ce qu’elle avait pensé du rêve qu’il lui avait fait, reprennant sa Mimic de poser son doigt sur ses lèvres en lui avouant avoir trouver ça agréable mais aussi magique, le remerciant ensuite pour ce qu’il avait fait pour elle cette nuit en lui permettant enfin de rêver un peu depuis des années. Très humblement, le manipulateur de rêve à ses côtés lui fit signe de la main en lui disant que ce n’était rien pour lui et qu’ils avaient conclu un marché après tout, lui demandant confirmation de cela, ce à quoi elle répondit à l’affirmative en hochant de la tête.

« Oui c’est vrai mais… Je voulais remercier quand même, c’était… Vraiment magique donc merci beaucoup. »

Répondit-elle en lui souriant avec douceur, toujours son doigts ses ses lèvres en le regardant à côté d’elle. Puis Rubis haussa un sourcil quand Hayao lui parla du payement de son rêve, la laissant lui signaler les limites des choses qu’elle ne voudrait surtout pas à avoir à faire dans le cadre de ce payement qui durera toute la journée.

Comprenant bien les consignes, la jolie albinos hocha doucement la tête, son doigt sur sa bouche et regarda quelques instants sur le côté en réfléchissant à ce qu’elle ne voudrait absolument pas faire, en ayant conscience bien entendu qu’elle devait quand même être flexible sur le payement qui pourrait inclure son corps puisque il l’avait mentionné dans les contreparties lors de leur précédente rencontre chez lui, où elle devra se donner à lui une fois par mois. Elle se doutait que c’était une étape inévitable mais c’était pas la pire non plus, vu ce qu’elle était contrainte de faire à son second job parfois et ce qu’elle avait été contrainte de faire aussi à cause de son ancien fiancé. Mais là à la limite, ça ne lui faisait pas totalement le même effet, elle était pas répugnée ou terrifié à l’idée, c’était plus le même effet qu’une aventure d’un soir ou plus que ça lui faisait.

Elle reporta son regard sur lui, son doigt toujours ses lèvres en se les tapotant légèrement avant de répondre en hochant la tête.

« Je vous remercie de votre générosité en m’offrant cette possibilité. Donc… »

Penchant doucement sa tête, elle leva sa seconde main, et au fur à mesure qu’elle énumérer les 5 choses, elle levait un de ses doigts pour faire le numéro correspondant tout en gardant son doigts sur ses jolies lèvres rosées.

« Un : pas de trucs à plusieurs, de partouzes comme on dit, non. Rien de tout ça, il en est pas question…

Deux : pas de choses étranges comme… Les liquides ou matières corporelles, fécales, enfin toutes ces choses là… Que ce soit sur le corps, à avaler, lécher, à subir en punition et dieu seul sait quoi, non merci, je peux pas faire ça désolée.

Trois : pas d’objets de tortures ou jouets étranges, que ce soit soft ou hard comme on dit, non… les pinces à tétons, les boules dans la bouche, les écarteurs de lèvres… Non… Non… Et non…

Quatre : je ne ferais rien avec quelqu’un d’autres que vous, donc ne pensez même pas à me demander de faire ça avec quelqu’un d’autres homme comme femme, pas question non plus… Les animaux sont exclus aussi bien entendu…

Et cinq : je ne ferais pas de mal à qui que ce soit, que ce soit une autre personne ou un animal, il n’est pas question que je nuise à autrui… »

Elle reposa sa main sur ses genoux tout en gardant son doigt ses lèvres, le regardant un peu gênée avant de détourner le regard.

« Je suis désolée de devoir préciser certaines choses étranges mais… J’ai déjà rencontré des gens avec des demandes de ce genre donc je préfère prendre les devants en évitant ce genre de choses… »

Puis elle reporta ensuite son regard sur lui, son doigt sur ses lèvres mais elle se mit a rougir car il était vachement plus proche d’elle tout d’un coup. Est-ce qu’il allait se moquer de ses choix ? Est-ce qu’il allait être contrarié ? Ou est-ce qu’il s’en doutait déjà et allait être amusé de ce qu’il allait pouvoir lui demander ? Mystère mystère…

« D'accord, je comprends. »

Donc le message était bien là, elle savait ce qu’elle valait dans ce genre de tenue, donc elle s’habillait ainsi. Je comprenais. Ça m’allait. Je lui fis un sourire avant de finalement ne rien ajouter, faisant un signe de tête positif, comme si sa réponse me suffisait. Enfin bref… en tout cas, elle avait aimé le rêve, et semblait avoir une manière, en ayant ce doigt qui jouait ave ses lèvres. C’était bizarre. Mais bon, je supposais que j’avais, moi-même, quelques tics. Je ne savais pas si j’aimais le sien, ceci dit. et cela portait à réflexion, très justement… enfin, je supposais que je ne pouvais pas non plus lui reprocher quoique ce soit du genre. Je comprenais qu’elle ne pouvait pas trop savoir comment réagir avec ça.

Elle avait vraiment apprécié ce rêve. Elle avait l’air particulièrement heureuse de ce que je faisais passer pour une bagatelle, et qui n’en était clairement pas une. Enfin, ça, c’était fait, et comme on disait, après l’effort, le réconfort.
Et pour ce réconfort, il fallait cadrer les choses. Et pas qu’un peu., alors je guettais le mouvement de ses lèvres, un peu cachés par son doigt. Comme si elle jouait les timides.
Eviter de jouer à plusieurs, éviter les trucs trop dégueu, les animaux, pas de torture sexuelle, pas d’autre personne que moi pour la toucher… et pas lui faire faire de mal à qui que ce soit.
Elle s’excusa même de ses choix sur les cinq points.

« Non, tu as raison, cela ne va jamais sans dire. »

Elle était de plus en plus rouge.

« Mais c’est dommage, j’aurai bien vu tes jolis seins blêmes remuer au gré des poids pendants au bout de chaînettes pincées à tes mamelons… enfin, je t’ai fait une offre et je m’y tiendrai. Je te promets que rien de ce que tu as dit ne te sera fait. Est-ce que nous avons un accord pour ce jour et cette réalité ? »

Je souris et je lui disais alors, venant caresser sa joue du revers de mes doigts, chassant sa main qui me gênait.

« Debout et montre moi un peu comment tue sans cette jupe et ce chemisier…. Histoire que je voie comment tu t’es préparée à venir ici, ma belle. »

Avant de payer l’addition de son rêve, Hayao offrit à la demoiselle la chance de lui citer 5 limites en guise de consignes des choses dont elle ne souhaitait absolument pas faire. Après avoir énumérer ses 5 conditions, Rubis s’excusa d’avoir du préciser les détails de certaines choses, car elle avait eut la malchance de tomber sur des personnes avec des demandes plutôt étranges donc elle préférait éviter ces choses là en venant les préciser. Et avec une compréhension digne d’un prêtre, le mystérieux brun lui disait qu’elle avait raison en plus, faisant sourire doucement la demoiselle.

Devenant plus rouge à cause de la proximité entre-eux et du fait qu’il s’était rapproché plus d’elle, elle haussa un sourcil en l’écoutant dire que c’était dommage qu’il ne puisse pas user de quelques jouets pour torturer ses jolis seins, la faisant un peu plus rougir en se pinçant les lèvres, se disant à elle-même qu’elle a bien fait de préciser ça sinon elle n’ose pas imaginer ce qu’il lui aurait fait avec des jouets et objets étranges.

Toujours son doigt sur ses lèvres et le rouge aux joues, elle hocha de la tête sur la suite de ses paroles pour demander confirmation de leur accord pour aujourd’hui et dans la réalité.

« Oui, nous avons un accord pour ce jour et… cette réalité, oui Monsieur Tachibana. »

Affirma la demoiselle en hochant de nouveau la tête, ses lèvres toujours armé de ce doigt timide, qui se fit enlever délicatement pour laisser place aux doigts de Hayao qui caressa sa joue, faisant rougir de nouveau la demoiselle. Mais le rouge de ses joues n’allaient pas prendre des vacances de si tôt en entendant la demande du manipulateur de rêve qui lui demanda d’ôter ses vêtements pour voir comment elle s’était préparer pour venir le voir.

Timidement, elle hocha la tête et se releva suite à sa demande, s’écartant juste de quelques pas pour être à côté de la table et surtout ne pas le gêner en se déshabillant, sentant son cœur battre doucement par cette action qu’elle s’apprêtait à exécuter.

La jolie albinos déboutonna doucement sa chemise puis baisa la fermeture éclaire de sa jupe, laissant glisser celle-ci le long de ses hanches voluptueuses et de ses longues jambes fines couverte d’un collant, avant de terminer par laisser glissé de ses épaules sa chemise, dévoilant ainsi son corps aux jolies formes bien proportionnées et à la taille de guêpe. Elle passa doucement ses bras derrière son dos, le regardant debout, vêtue seulement d’un soutient-gorge et d’une culotte shorty en dentelle noire ainsi que d’un collant foncé légèrement transparent, attendant la suite d’une réaction ou demande de la part de Hayao qui pouvait profiter du spectacle bien assis.

Le ton était donné, et j’estimais avoir même été particulièrement généreux. Plus qu’il n’aurait été nécessaire. En tout cas, quand je parlai de ma « déception » je voyais chez elle un soulagement. Comme si elle se ravissait d’avoir choisi ça. Je n’irai pas contre ce que j’avais promis, tout simplement, et les termes étaient clairs. Dans cette réalité. En somme, si ce n’était pas un rêve, et que c’était la réalité, rien de tel n’arriverait. Mais en même temps, si c’était la réalité, je pourrai toujours le faire en rêve. Bien évidemment. Je lui fis u sourire et je lui donnais mes premiers ordres. C’était étonnant, d’une certaine manière, de la voir commencer par laisser la jupe fourreau glisser le long de ses cuisses. La plupart des gens se débarrassaient d’abord du haut…
Mais pas elle. Au moins ne faisait-elle pas assaut de pudeur et se déshabillait-elle avec peu de gêne.

« Je suis assez content de voir que tu ne fais pas assaut de fausse pudibonderie… »

C’était déjà plus honnête d’agir de la sorte que comme si je ne l’avais jamais vue nue. De toute façon, étant donné ce que je savais de son passé, elle aurait été bien mauvaise de prétendre à une forme de pudeur, quelque chose me disait qu’elle avait vu suffisamment de choses pour que même être nue en public ne soit qu’une gêne mineure.
Elle portait dessous des choses bien simples. Jolies, mais bien simples. un ensemble noir, avec un peu de dentelle. Rien de bien osé ou autre. Enfin, hormis la question du collant. C’était d’un mesquin, de porter ça. Elle aurait pu faire l’effort de bas. Je ne parlais pas forcément de porte jarretelle, bien sûr, mais juste de bas. Ce qui n’aurait pas été désagréable à voir. Et sous une tenue si proche du tailleur, c’eut été de meilleur gout.

« Je vois. Bien sage dis donc…on va retirer tout ça, dépêches-toi… »

Je la regardais et je ne faisais aucun autre commentaire. Je détaillais sa silhouette. Le sein relativement lourd, les hanches pleines, la taille fine qui laissait entendre qu’elle s’affamait peut-être un peu ou dosait mal ses exercices physiques…

« Tu sais, sous une telle tenue, il est généralement de bon aloi de porter de bas, et pas ces collants trop sages…. Quelle faute de gout… »

Je lui fis néanmoins un sourire entendu avant de finalement lui demander.

« Tu as fait des lavements, avant de venir, au cas où ? Parce que sinon, il va falloir. Je détesterai jouer avec une personne sale… »

En entendant les mots de Hayao alors que Rubis venait d’enlever ses vêtements, elle haussa doucement un sourcil avant de hocher doucement la tête en guise de réponse, pendant qu’un court silence s’installa tandis que le mystérieux brun semblait admirait ce qu’il avait sous les yeux.

Puis quand le manipulateur de rêve reprit la parole en faisant un commentaire sur ce qu’il voyait en qualifiant cela de bien sage avant d’ajouter l’ordre de retirer tout ça, la demoiselle se mit doucement à rougir et hochait la tête, exécutant sa demande en enlevant d’abord son collant puis ensuite sa culotte shorty qu’elle laissa glisser le long de ses courbes en terminant par dégrafer son soutien-gorge pour libérer sa voluptueuse poitrine, la montrant ainsi totalement à nue face à Hayao, dévoilant son corps aux jolies formes et fins d’une peau particulièrement lisse et blanche, laissant deviner la douceur de celle-ci.

Et quand Hayao lui fit la remarque qu’elle devrait plutôt porter des bas que des collants, la demoiselle rougissa un peu en le regardant, venant caresser doucement son cou un peu gênée.

  « Pour être honnête je n’ai jamais porté de bas… Mais j’y ai songé car ce serait plus pratique et sûrement plus jolie aussi… Mais j’ai peur que ça fasse un peu… Catin… »

Avoua t-elle timidement en détournant le regard en se pinçant les lèvres avant de reporter son regard sur le brun assis qui la mattait en souriant avant de lui demander si elle s’était fait des lavements avant de venir car il ne voulais pas jouer sans ça, considérant ça sale.

La jeune femme a ses mots haussa un sourcil, se rappelant que c’était un sujet assez prisé chez les japonais, bien plus que dans les autres cultures d’ailleurs comme chez elle. Mais la demoiselle hocha doucement de la tête pour répondre à sa question, restant debout nue face à lui, attendant ses prochaines demandes ou questions maintenant qu’elle était entièrement nue face à lui et totalement vulnérable en fait.

Son attitude pudique était un peu drôle, non ? Je lui fis un sourire un peu railleur, surtout quand elle précisa son avis sur le fait de porter es bas. Ave sa tenue, c’eut été un incontournable, en soi… je lui fis un air amusé, et je haussais les épaules.

« Et du coup, ça te semble si inapproprié que ça ? »

Si les bas faisaient catin, comment devrait-elle se considérer, en venant ici après son engagement, hein ? Non parce que là, pour le coup… je ne voyais pas vraiment ce qu’elle pouvait objecter à ce genre de choses. Je devinais bien qu’elle était un peu mal à l’aise, avant de finalement lui demander si elle avait pensé aux lavements. Selon moi, c’était important que ce soit fait avant. Histoire de ne pas tremper le biscuit dans une tasse dégueulasse. C’était un peu de respect envers moi-même, quoi….
Ça, c’était fait. Pour le reste, c’était une autre paire de manches. Je me demandais si elle avait des idées plus précises des choses à faire avec ça… hum… je regardais un peu de travers la jeune femme avant de finalement me rapprocher d’elle, pour commencer à profiter un peu de sa nudité. Une bien belle nudité donc t je pelotais, empaumais, sans vergogne, la rondeur mammaire généreuse…

« C’est quand même mieux quand on peut peloter. Tu n’es pas d’accord ? »

 Espérons qu’elle se dévergonde un chouia, sinon, ce serait assez chiant, sans doute. Donc bon… je me contentais de peloter un peu, avant d’arrêter et de tourner autour d’elle pour regarder à quoi elle ressemblait plus en détail. Non mais vraiment, joli morceau, il fallait bien le reconnaitre.

« Alors, ça fait quoi de faire ça hors d’un rêve ? »

Tandis que la demoiselle caressa son cou en rougissant un peu après avoir avouée qu’elle craignait que porter des bas fasse un peu catin, elle pencha légèrement la tête en entendant la remarque du manipulateur de rêves face à elle qui lui fit hausser doucement un sourcil avant d’avoir un très léger sourire… triste voir déçue peut être ?

Mais oui, quelle idiote elle faisait hein ! Qu’est-ce qu’elle croyait hein ? Évidemment qu’a ses yeux elle était une catin… Et évidemment qu’elle en était une malgré elle, entre son passé et son présent, pas grand chose avait changé, si ce n’est qu’elle pouvait au moins tenir tête au gars qui la faisait « tapiner » comme on dit, qui la mettait dans de beaux draps pour être polie même si elle n’accepter pas toujours contrairement à avant où elle n’avait pas le choix que de dire oui si elle ne voulait pas subir la colère de son défunt fiancé, au moins son patron lui se contentait de divers chantages… Mais dans tous les cas la chose restait la même : elle était une catin, de grès ou de force, mais elle l’était… Donc pourquoi elle était étonnée et déçue alors que c’était évident pour lui comme pour d’autres qui verraient ça de l’extérieur hein ?

Surtout que le type face à elle avait visité ses cauchemars à s’en fait péter la panse et il avait pu avoir un aperçu de son joli passé fleuri et emplie de nuits avec des hommes, même si elle ne prenait jamais son pied dans chacune de ses nuits où chacun des rêves-souvenirs qu’il avait pu visiter… Ça n’en restait pas moins qu’une petite catin après tout donc c’était normal que ses propos amusait le mystérieux brun face à elle qui la matait dans sa totale nudité, c’était normal qu’il lui retourne la question en se moquant d’elle.

« … Non… C’était idiot de ma part comme remarque, ça collerait parfaitement… »

Finit-elle par dire en redressant sa tête, un regard un peu vide en fermant les yeux quelques instants dans un sourire amusé de sa propre bêtise et déception avant de rouvrir les yeux et regarder le si mystérieux homme qui visitait ses rêves.

Ensuite après cela, la demoiselle avait répondue à la question d’Hayao sur les lavements en hochant simplement de la tête et attendait une potentielle autre question de sa part, se demandant bien ce qu’il attendait ou allait faire, restant ainsi à se regarder l’un l’autre dans un silence durant quelques instant, remarquant l’homme face à elle qui la regardait de travers un moment avant de finalement se rapprocher d’elle et venir peloter sa poitrine sans vraiment être expressif pour le moment mais tout en lui disant que c’était tout de même mieux quand on pouvait toucher, lui demandant si elle était d’accord avec ça, ce qui la fit hausser un sourcil avant de hocher faiblement la tête.

« Je… Sans doute oui… »

Répondit-elle simplement, d’une voix pas tout à fait sûre de sa réponse ni de la question qu’il lui avait posé mais se laissant faire, un léger rouge aux joues qui descendit doucement à petit feu, le laissant la peloter tandis que sa poitrine réagissait à son toucher avant qu’il n’arrête et fasse le tour de sa personne, admirant la donzelle comme un gars qui tourne autour d’un bovin à la foire agricole de Paris, manquait plus à ce qu’il vérifie le fessard d’une belle tape tiens pour finir le tout !

Rubis ne bougea pas et se laissa zieuter tout en se faisant tourner autour comme si elle était une belle carcasse qu’un charognard avait repéré, le laissant faire son tour avant d’atterrir pour la picorer un peu, hausant de nouveau un sourcil quand Hayao lui demanda ce que cela faisait de le faire hors d’un rêve. La demoiselle se demandait bien de quoi il parlait, clignant plusieurs fois des yeux tout en restant bien droite en le regardant de sa poitrine dont les tétons étaient bien droits à cause de ses massages.

  « Je… Vous voulez dire… Se voir en dehors d’un rêve ? Je.. Je ne suis pas sûre de comprendre la question… »

Osa t-elle avouer en le regardant en passant les mains dans son dos, se demandant ce qu’il entendait par là, car il n’avait fait que la peloter pour le moment et rien d’autres, donc elle se demandait bien de quoi il parlait à part se voir en dehors des rêves et cauchemars cette fois ? Car ils n’avaient rien fait ensemble dans les rêves et cauchemars que le manipulateur de songes avait concocté à la jolie albinos jusqu’à présent et pour l’instant ils n’avaient rien fait non plus, donc elle cherchait vraiment à comprendre sa question et savoir de quoi il parlait, en espérant ne pas l’agacer avec une question peut être aussi futile et stupide voir trop naïve au goût du mystérieux brun alors qu’elle était totalement à sa merci et qu’elle s’était offerte elle-même sur un plateau dont il n’avait qu’à se pencher pour se servir et goûter ce joli morceau qu’était la jeune femme qui était arrivée jusqu’ici.

Sa réaction, reconnaissant qu’en effet, la question des jarretelles ne se posait du coup pas vraiment, surtout dans cette situation. Mais en même temps, c’était amusant, bien sûr. Je lui fis un sourire et je me contentais d’opiner la tête. Elle avait raison ; elle savait ce qu’elle disait, désormais, et elle comprenait que c’était plus juste. Qu’elle était, en cet instant la digne héritière du plus vieux métier du monde. Elle le faisait pour payer un service. Une nuit sans cauchemar. Une nuit sans le voir, lui… mais en même temps, je comprenais ce qu’elle désirait de cette situation. Je lui souris, et je commençais alors à la peloter. Elle ne comprenait pas ce que je disais des choses qu’elle ne comprenait pas. Elle ne savait probablement pas que certains soirs de cette semaine, j’avais été son ancien amant, histoire de m’amuser aussi un peu, au lieu d’être un simple spectateur.
Ma nature faisait de moi un voyeur dans l’âme. Bien sûr. Mais le voyeurisme ne faisait pas tout, j’en étais sur…

« Non, bien sûr, tu ne peux pas comprendre. C’est normal. »

Je ricanais gentiment avant de finalement lui faire un petit air amusé avant de finalement lui pioncer doucement la pointe de ses seins qui durcissait sous mes doigts. Je ne lui demandais pas davantage si elle pouvait imager. Pas plus que je ne lui donnais des explications. Non qu’elle en ait demandé, ceci dit. Mais disons qu’elle n’était probablement pas en mesure de se projeter assez pour comprendre. Et je pensais sans la moindre once de mépris. Nous étions de nature bien trop différente.
Oh allez, j’allais lui donner un petit indice.

« Crois-tu que je conserve toujours mon apparence dans les rêves ? »

Comprenait-elle avec cette idée, avec cette information ? J’espérais, sinon, elle était bien bête. Ah et oui, là, c’était clairement du mépris !

« Bien, ton corps me plait bien, maintenant et si tu me montrais que tu ne sais pas faire parler, avec cette jolie bouche, pour commencer ? Ce serait sans doute un bon début, tu ne crois pas ? »

Voilà, on cessait la dentelle.

La demoiselle était totalement nue face au manipulateur de rêve qui la peloter dans des mouvements doux tout en souriant alors qu’ils discutaient ensemble naturellement. Enfin, naturellement pour le mystérieux brun et un peu plus timidement voir gênant pour la jolie albinos qui était tout de même entrain de se faire malaxer la poitrine et mater de la tête aux pieds par cet homme étrange à qui elle allait devoir entièrement se donner aujourd’hui sans omettre d’objections comme leur accord l’avait prévu.

Mais certains mots de ce magicien des songes avait intriguée la jeune femme qui n’avait pas manqué de lui demander de quoi il parlait quand il lui disait que c’était mieux de peloter en vrai et de faire ça hors des rêves. Ne comprenant vraiment pas de quoi il parlait, car ils n’avaient jamais rien fait ensemble, ni en rêves/cauchemars ou dans la réalité, hormis là en cet instant où il pouvait jouer de ses mains sur les voluptueux seins de la demoiselle.

Le voyant ricaner à ses interrogations, Rubis haussa doucement un sourcil en penchant légèrement la tête en regardant Hayao, affirmant qu’elle ne pouvait pas comprendre en effet de quoi il parlait. Mais tout en jouant à pincer ses jolis tétons rosés qu’il s’amusa a faire pointer, sûrement pour exciter un peu la jolie albinos, le séduisant brun poursuiva sa prise de parole en venant lui poser une question des plus étrange : pensait-elle qu’il conservait toujours son apparence dans les rêves.

Cette question avait en effet surpris Rubis qui regarda Hayao en clignant plusieurs fois des yeux, tandis qu’il continuait de jouer avec ses seins entre ses mains. Mais en plus de la surprendre, cette question la fit réfléchir, se rappelant qu’il pouvait disparaître dans les songes pour passer inaperçu et qu’il pouvait modifier le contenue des rêves et cauchemars à sa guise sans aucunes difficultés visiblement. Réfléchissant à tout ça, la demoiselle ouvrit de grands yeux d’un coup, ayant peur d’avoir compris de quoi il parlait.

« Vous… Est-ce que… Vous voulez dire que vous pouvez prendre l’apparence de qui vous voulez dans les rêves et cauchemars ? »

Demanda t-elle en redressant sa tête, le regardant avec des yeux intriguées et surpris, se mettant à rougir doucement en ne le quittant pas des yeux.

« Est-ce que vous voulez dire que… Vous avez pris l’apparence de Viktor et que… Vous… Nous… Ensemble ? »

Ajouta t-elle en ayant visiblement compris de quoi il lui parlait, et venant lui demander confirmation pour être sûre qu’elle avait bien compris qu’il s’était amusée avec elle sous l’apparence de son connard de défunt de fiancé, voulant dire ainsi qu’en effet ça faisait autre chose de faire tout ça dans la réalité.

Puis Hayao annonça ensuite à Rubis que son joli petit corps de déesse lui plaisait bien et qu’il avait envie qu’elle lui montre qu’elle savait se servir de sa jolie bouche pour autre chose que parler, faisant doucement rougir la demoiselle qui visiblement ne s’attendait pas à ça. Mais elle avait bien compris sa demande, elle se doutait bien dans le fond qu’il finirait par lui demander ça, car tous les hommes en général aiment se faire sucer, donc il aurait été étonnant qu’il échappe à la règle et ne lui demande pas une telle faveur.

Toujours les joues un peu rouges, la mignonne demoiselle hocha faiblement de la tête pour dire qu’elle comprenait bien sa demande et allait s’exécutait bien gentiment selon ses souhaits. Après tout, c’était le deal : il lui avait offert une nuit sans cauchemar avec un magnifique rêve et en échange elle devait être à lui pour toute une journée.

« Vous voulez restez debout ou vous préférez vous asseoir pour ça ? »

Et voilà, le temps pour elle de devenir une jolie poupée pas gonflable était venue et elle allait devoir être une docile poupée bien obéissante pour respecter sa part du marché maintenant, en faisant absolument tout, ou presque, ce que lui demandera son cher client.

Au moins, la nudité n’était plus un problème pour elle. La pudeur eut été bien mal avisée, il fallait bien le reconnaitre. Ses lourds pis étaient d’une jolie rondeur, presque surnaturelle. Je ne pouvais pas m’empêcher de trouver ça agréable. De trouver que le moment était d’une bonne chose. Je lui fis un sourire avant de finalement la voir percuter ce que je pensais, sur le sujet. Je lui fis un sourire, un peu moqueur.

« Oui, exactement. Après tout, je ne suis pas qu’un voyeur et un bâtisseur de rêves, rappelles-toi que je les manipule... si on combine tout ça, rien ne m’est imposible, n’est-ce pas ? Alors pourquoi est-ce qu’il en aurait été autrement ? J’ai bien le droit d’en profiter un peu dans mon domaine, non ? »

Je lui souris et je lui tapotais la joue avec douceur. Non mais vraiment, me croyait-elle si impuissant dans les rêves ? Mais bon, en même temps… forcément… je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un sourire en coin, amusé par cette situation, un peu. Elle avait l’air de trouver ça un peu surprenant.
Encore un peu rosie par la gêne – ou par l’excitation qui savait ? – elle sembla comprendre exactement où je souhaitais la faire venir, à savoir, à une bonne petite fellation des familles. Je trouvais l’idée amusante que de la voir loin de se plaindre de cette situation. Elle semblait y aller de bon cœur, non ? Alors forcément…. J’hésitais et je réfléchissais un court instant quand elle demanda si je préférais debout ou assis.

« Ta question n’a pas vocation à retarder ta fellation, non ? »

Je me moquais d’elle, bien sûr. D’ailleurs, je lui fis un sourire et sans vraiment me déranger je m’installais au sol, sur un petit coussin, à la japonaise. Elle n’avait plus qu’à se mettre au travail, non ? Et la position pour ça serait joliment excitante., à n’en pas douter… je lui fis un sourire avant de finalement lui faire signe de se mettre au travail.

« Je suis sûr que Viktor t’a appris à te donner à fond pour faire plaisir à un homme. N’est-ce pas ? »

C’était cruel de dire ça, non ?
M’en foutais.

Rubis ouvrit de grands yeux en les clignant plusieurs fois en entendant Hayao lui confirmait qu’il avait pris l’apparence de son défunt fiancé qui était tout sauf un ange, à part au tout début quand ils se sont rencontrés pour la séduire avant de se mettre ensemble et jouer les gentils, en tout cas pendant un certain temps avant de laisser place au connard qui maintenant vient hanter ses nuits en quasi permanence. D’ailleurs, elle avait rarement rêvée des moments où ce type avait pu être gentil avec elle, et quand elle en rêvait, ça se terminait toujours en cauchemar, comme pour lui rappeler ce dans quoi elle était tomber, comme si quelque part son subconscient la narguer de sa naïveté et sa bêtise.

Mais passons ! La jolie albinos venait donc avoir confirmation que le mystérieux brun visiteur de ses cauchemars avait donc revêti l’apparence de Viktor pour profiter un peu de son joli petit corps. Une sorte d’avant-goût ? Sûrement. Mais en tout cas, cela se voyait que ça surprenait la demoiselle malgré le rouge de ses joues, gênée par cette révélation et le fait que l’homme face à elle avait donc déjà jouer avec certaines parties de son anatomie.

« Je… Oui, je… Je n’ai aucuns doutes sur le fait que rien ne vous ai impossible dans les rêves et cauchemars… Vous me l’avez bien prouvé mais… Je suis étonné de ça… Je ne comprend pas pourquoi vous… Vous avez fait ça… Quel intérêt ? »

Non, elle n’était pas idiote, loin de là, mais elle cherchait vraiment à comprendre pourquoi il s’était amusé à revêtir l’apparence de son immonde défunt fiancé pour jouer avec elle. C’est vrai qu’il aurait pu prendre l’apparence de n’importe quel homme de ses cauchemars, ça aurait été tout aussi horrible pour elle et douloureux de revivre ces moments en compagnies des hommes à qui Viktor l’avait livré sur un plateau. Alors, pourquoi choisir celui qui l’effrayait et la terroriser par-dessus tout, celui qui avait fait de sa vie ce qu’elle est aujourd’hui ? C’était une question qui trottait dans la jolie caboche de la poupée des neiges qui cherchait visiblement à savoir si le manipulateur des songes face à elle voulait juste prendre son pied ou la torturer aussi au passage, un tant soit peu voire beaucoup sadique sur les bords.

Mais ensuite après cette révélation des plus étonnante aux yeux de la jolie albinos, le beau brun après avoir complimenter celle-ci vint lui faire comprendre qu’il aimerait bien qu’elle lui montre ce qu’elle savait faire avec sa petite bouche, en lui offrant bien sûr une fellation, ce que la demoiselle avait parfaitement compris et acquiescer dans un hochement de tête.

N’ayant pas le choix car elle avait promis d’être à lui pour aujourd’hui en échange de ses services, elle vena s’enquérir en parfaite demoiselle de la position dans laquelle il souhaiterait être pour qu’elle se mette au travail. Ce à quoi Hayao vint demander à Rubis si elle ne cherchait pas à gagner du temps sur ce qu’elle devait faire, faisant rougir un peu plus la demoiselle qui cligna plusieurs fois des yeux avant de secouer la tête à la négative, gênée autant par la remarque que par ce qu’il pensait en se moquant ouvertement d’elle. Peut-être bien qu’elle cherchait à gagner du temps, histoire de se mettre vraiment dans le bain et d’avoir bien à l’esprit de passer à la casserole bientôt.

Le regardant s’asseoir à la japonaise dans une des positons seiza, bien installer sur un petit cousin, elle déglutit légèrement en le voyant lui faire signe de se mettre au travail, tapant doucement sur son genoux en souriant amusée. Mais quand Rubis entendit les paroles que prononça ensuite Hayao, elle fronça doucement des sourcils avec un regard emplie de souffrance qu’il puisse dire de telles choses mais aussi… de la colère ? Ho oui, cela ne lui plaisait pas qu’il lui parle de cet enfoiré et de tous les souvenirs que cela pouvait faire remonter à sa mémoire, de comment Viktor la traitait et la forçait a faire des choses dont elle n’avait pas envie, lui apprenant bien sûr au passage à subir gentiment tout ça pour faire plaisir, déjà à lui et ensuite aux « clients ».

Ce regard dura quelques secondes avant qu’elle ne ferme les yeux en soupirant doucement par le nez, soufflant ensuite entre ses jolies roses fines bien rosées alors qu’elle s’abaissa doucement pour se mettre à genoux devant lui.

« On peut dire ça oui… »

Répondit-elle simplement en rouvrant les yeux, le rouge ayant disparu de ses joues de porcelaine alors qu’elle porta un regard sur lui redevenu doux comme à son habitude mais sans sourire. Non elle tirait pas la tronche mais son doux sourire presque toujours présent sur son visage avait disparu, du moindre pour le moment.

Bien sûr, n’oubliant pas ce pourquoi elle était là et à genoux en se moment, elle vint se relever légèrement pour poser une main au sol afin d’être à quatre pattes, ou presque, plutôt trois, car sa quatrième « patte » qui était donc sa main droite vint se poser sur la ceinture du brun assis devant elle, venant la desserrer doucement avant de venir déboutonner son pantalon et baiser sa braguette. Ensuite, elle écarta les tissus du pantalon pour avoir accès au sous-vêtement sous le pantalon et toucha délicatement du bout de ses doigts fins la verge du manipulateur des songes, afin de provoquer quelques réactions et potentielles pulsations de son membre. Puis ayant l’effet escompté, la demoiselle baissa doucement sa tête pendant qu’elle baissa de sa main le sous-vêtement pour libérer la bête et venir déposer un baiser sur le haut de sa tête, la faisant légèrement réagir au contact de ses lèvres avant de doucement venir déposer ses lèvres dessus et commencer à la fair glisser entre ses lèvres douces tout en bougeant avec sensualité sa petite tête de poupée qui se mit au travail comme on lui avait demandé.

La journée allait être longue mais elle ne faisait que commencer, ignorant ce qui allait passer ensuite et où tout ça allait la mener en fin de journée. Mais une chose est sûre, c’est que Hayao allait pouvoir profiter d’elle à sa guise et sûrement bien comme il faut, ne sachant pas si après Rubis allait accepter de conclure ou non un pacte ensuite avec lui pour qu’il veille advitaerternam sur ses songes chaque nuit après aujourd’hui. Donc, il allait sûrement pas se priver de jouer avec sa poupée privatisée pour la journée.

« Tu aimerais, toi, te contenter de regarder els autres manger sous ton nez alors que tu pourrais manger avec eux ? »

C’était une manière de voir les choses.

« Et puis, de toute façon, ça ne change rien pour toi, si ? »

Ouais, que ce soit moi ou autre, est-ce que ça aurait vraiment été différent pour elle ? La preuve que non, elle n’avait même pas fait la différence. Donc forcément, cela simplifiait grandement les choses. Je regardais la jeune femme avec un air amusé, alors que, dans son plus simple appareil, elle semblait essayer dans un premier temps de garder une forme de contenance avant de renoncer, et se montrer bine moins sage, me cédant, clairement. Avait-elle le choix ? Et toute la colère que je lisais dans ses prunelles sanglantes n’y faisait rien. En fait, je trouvais presque la situation meilleure. Ou l’aurai-je trouvé s’il n’y avait pas eu le risque qu’elle me morde, après, par colère. Devais-je lui faire un rappel sur le sujet ? Non, allons inutile d’exagérer, n’est-ce pas ? Je lui fis un sourire avant de finalement la voir s’agenouiller, et venir s’approcher de moi, se mettant en place comme elle devait pour faire ce qu’elle devait.
Ses seins laiteux aux aréoles aussi pales que le reste de sa peau pendaient doucement sous elle, pointant vers le sol, formant un spectacle d’un rare mélange entre érotisme et obscénité. Il fallait bien le reconnaitre. Je lui fis un sourire entendu et je la laissais alors s’y mettre., appuyée sur une main pour venir doucement toucher de la main un sexe déjà bien érigé sous le pantalon.  Oh, elle n’y découvrirait pas de monstruosité. Pas mon genre. Elle y sentirait un truc normal. Le qualifier de bête aurait été un peu poussif, sauf si elle en avait peur. Mais je ne voyais pas en quoi. Pas petite. Pas grosse. Normale quoi. Sans doute qu’ici, ça ne serait pas celle qu’elle retiendrait le plus, avec le nombre de monstres au mètre carré.
 Ainsi placée elle avait une jolie tête de poupée de porcelaine, il fallait bien le reconnaitre, et je portais mes doigts à ses cheveux pour les lui caresser avec douceur, un geste d’encouragement. Elle comprenait bien sa situation et ne se montra ni bravache, ni rebelle. En fait, elle se contentait de faire ce qu’elle devait, bien sagement, libérant mon sexe de toute entrave de sa fine main.

« Tu as les mains froides… »

Je disais cela un sourire aux lèvres. Mais je ne me plaignais pas, non, de toute façon, bien vite, je frissonnais doucement en sentant ses lèvres chaudes, elles, embrasser la turgescence avant de la gober doucement. Suçotant le gland délicatement

« Quelle parfaite petite bouche tu as là… »

Je caressais ses cheveux avec douceur.

« Et si tu t’activais un peu plus fort ? »

J’évitais de pousser trop, trop vite, parce que bon, il fallait bien reconnaitre que si l’était de ses lèvres, la pression de sa langue, étaient une petite merveille, elle avait encore des dents. Et qu’elle pouvait s’en servir par une malheureuse – dirait-elle – coïncidence. N’est-ce pas ?

La métaphore du mystérieux brun sur le fait de regarder les autres manger alors qu’on pourrait également manger avait fait cligner les yeux de la jolie albinos, la surprenant sur le coup, comprenant sans vraiment le comprendre d’une certaine manière. Mais la suite surpris encore plus la demoiselle, quand il lui demanda qu’est-ce que cela changeait pour elle que ce soit lui ou son défunt fiancé qui lui passe dessus en cauchemar. C’est vrai que sa question était légitime dans le fond, qu’est-ce que cela pouvait bien changer pour elle après tout tout ça ? Ce n’était rien n’est-ce pas ?

En fait si… C’était quelque chose car il n’avait pas choisit n’importe qui. Il avait choisit qui l’effrayait le plus, celui qu’elle redoutait par-dessus tout et celui qui l’avait blessé au plus profond d’elle. Pas que les autres types dans ses cauchemars ne lui fassent rien, non, loin de là, ils l’effrayaient et la faisait souffrir tout autant. Mais Viktor avait un poids supplémentaire de par « la relation » qu’ils avaient si on pouvait dire et il était celui qui la terrifiait le plus parmi la flopée d’hommes qui hantaient ses nuits. Donc, choisir son enfoiré de défunt fiancé n’était sûrement pas dû au hasard, le manipulateur des songes était un homme bien intelligent et elle se disait qu’il n’avait donc pas fait ça sans raison. Après peut-être qu’elle le surestimé aussi, non ? Il n’y avait qu’un seul moyen de le savoir dans un sens, non ?

« Il est vrai que dans un sens, cela ne change rien pour moi en effet… Mais dans l’autre si car… Je me dis que vous n’avez pas choisit de prendre son apparence par hasard… Me trompe-je Monsieur Tachibana ? »

Demanda t-elle en le regardant, la tête légèrement penchée avec un sourcil en l’air, attendant une réaction ou un geste à ses mots, désireuse de savoir son pressentiment sur son choix de prendre l’apparence de Viktor n’était que pour la faire souffrir davantage. Mais aussi sûrement pour profiter encore plus d’elle, car il fallait le dire, de tous les hommes dans ses cauchemars, il n’y allait pas de mains mortes le blond suédois aux yeux vairons, ho non. La tendresse n’était pas son point fort dans la baise on pouvait dire.

Ensuite vint le moment pour Rubis de se mettre au travail sagement, même si durant quelques secondes elle avait pu avoir un regard emplie de colère et douleur en regardant Hayao qui avait lancé une petite pic à son encontre et le fait que Viktor avait dû lui apprendre à bien s’occuper des hommes. Cette remarque et ces mots ne lui avait pas plu, absolument pas, ça lui avait fait mal même, mais… Elle devait se contenir et refouler ce sentiment, histoire qu’il ne vienne pas interférer dans ce qu’elle devait faire en ce moment, offrir une jolie fellation pour commencer à ce sombre et bel inconnu - ou presque - à qui elle devait être la gentille et obéissante poupée aujourd’hui.

Perdant pour le moment son joli sourire emplie de douceur qui était toujours affiché sur son visage, elle s’agenouilla sans sourciller et se mit donc au travail, venant délivré le membre bien dressé du mystérieux brun auquel elle offre un baiser sur le bout de son casque avant de le faire glisser délicatement entre ses lèvres tout en bougeant doucement sa tête, commençant doucement à fermer ses jolies mirettes. Puis la demoiselle rougissa doucement en entendant le compliment sur sa bouche fait par l’étrange individu du monde onirique, caressant ses cheveux avec douceur, ce qu’elle apprécia contrairement à d’habitude où les hommes attrapaient sa chevelure avec poigne et la malmènait. La douceur dont pouvait faire part le manipulateur des songes était donc plus que bienvenue pour la mignonnette, lui faisait presque oubliée la colère et douleur qu’elle avait pu avoir un peu plus tôt par ses mots.

Entendant la requête de Hayao, Rubis ouvra doucement les yeux et le regarda alors qu’elle y allait doucement, faisant glisser lentement son sexe entre ses lèvres alors qu’elle faisait de doux vas et viens avec sa tête. L’observant souriant et tout tendre avec elle en continuant de caresser avec douceur ses cheveux, la demoiselle hocha doucement la tête avant de fermer les yeux et faire glisser plus rapidement son membre pulsant dans sa bouche, finissant par le gober entièrement en celle-ci tout en le caressant avec sa petite langue toute chaude.

Puis la jolie albinos s’activa donc comme lui avait le mystérieux brun, bougeant plus rapidement sa tête dans ses mouvements de vas et viens tout en faisant varier les angles de haut en bas, faisant cogner son gland dans son palet, sa langue ou bien non loin de sa gorge, jouant sur les rythmes tout en restant rapide.

Et pour plus de sensations et plaisirs, la jeune femme vint passer ses doigts sur les bourses du marchand de sable, les caressant du bout de ses doigts avant de venir passer doucement sa main autour et les masser doucement alors que sa tête elle, jouait un tempo rapide dans ses mouvements tout comme sa langue caressante son sexe tandis que parfois, elle pinça entre ses lèvres le membre bien dur du brun, non pas pour le mordre car elle n’était pas de ce genre-là et n’avait pas la rancune tenace non plus, mais juste pour lui donner un peu plus de sensation dans cette fellation qu’elle faisait dans les règles de l’art, en espérant que ce cher client en soit satisfait.