Elle mettait du cœur à l’ouvrage. C’était le moins que l’on puisse dire. J n’allais pas dire que c’était une reine de la fellation, bien sûr, mais en même temps… je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un sourire, glissant toujours mes doigts dans ses cheveux, elle qui allait et venait sur mon sexe, à son rythme, et je ne lui imposais aucun rythme. Non, pour une première, c’était mieux ainsi. Je lui fis un sourire et je frissonnais doucement, mes doigts se crispant dans ses cheveux. Elle avait ses grands yeux levés vers moi, et le tableau que formait son corps, dans cette position.
« Parfaite… »
A mon idée quant à mes petits plaisirs, elle me montra ses ongles. Ouais, bon, okay, je n’avais pas capté qu’elle avait de tels ongles. Dommage, ç’aurait pu être sympa. Et je soupirais toujours de plaisir…. Elle ne négligeait rien, pas même le massage des bourses. Non, vraiment, elle maitrisait son art avec une belle forme de maestria.
« Oui, on va peut-être éviter… c’est dommage mais bon… »
Nouveau frisson de plaisir en sentant sa langue presser une zone précède, juste en dessous du frein. Bordel que c’était délicieux, et mes doigts se crispèrent dans ses cheveux…
« Tu es une merveilleuse suceuse, on te l’a déjà dit, n’est-ce pas ? »
Je lui caressais la joue avec douceur, avant de doucement lui faire signe de se stopper un instant.
« Tu as été bien dressée, n’est-ce pas ? Tu féliciteras celui qui t’as appris çà sucer, ma toute belle… est-ce que tu es fière de ce que tu es capable de faire, ainsi, avec ta bouche ? »
Une question qui ne se satisferait pas d’un simple signe de tête. Bien sûr. Sinon, ce ne serait pas drôle. J’attendais une éventuelle réponse, venant jouer à soupeser un globe de chair, son sein généreux, lourd dans ma main, je pressais et pinçais même le mamelon.
« Allez, finis-moi vite. Mais tu n’as pas le droit d’avaler, d’accord ? »