Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rencontre au beau milieu d’un rêve.. erreur, d’un cauchemar ~ [ PV Hayao ]

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Hayao Tachibana

Créature

L’albinos devait être perdue, sans doute en se demandant pourquoi prendre une autre apparence, apparence qui la tourmenterait. Mais non, je ne répondrais pas. J’évacuais d’ailleurs sa question d’un geste de la main. En quoi était-ce important ? Le rêve aurait-il eu la même saveur, le même impact, si je ne m’étais pas changé ainsi ? Je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un petit sourire en coin, amusé, alors que, en position, elle se mettait à mon service comme elle le devait pour aujourd’hui. De toute façon, son regard colérique ne me dérangeait pas plus que ça. Je devais juste faire gaffe au risque de morsure, mais je doutais que nous en arrivions-là. C’eut été un peu stupide sans doute.

Je lui souris et je savourais une fellation douce. Peut-être, ultérieurement lui baisais-je la bouche, mais je comptais d’abord voir ce qu’elle valait, alors je caressais ses cheveux, doucement, soupirant s’ase en sentant son joli petit bout de talent faire la différente. Non, vraiment, elle suçait bien. Et je sentais qu’elle en avait probablement en réserve, encore. Elle savait parfaitement où resserrer les lèvres, où appuyer ou faire glisser la langue pour tirer sur mon jonc avec talent, et avec douceur. Il n’y avait rien de plus simple que ça.
Et de plus agréable…

« Regarde-moi, ma belle… »

Oui, elle avait commencé à fermer les yeux, mais je voyais son regard sanglant sur moi, je voulais percevoir les émotions qui lui passaient au travers de la tête dans ses grands yeux.
Je sentais son corps doucement bouger, ses lèvres venir lentement de plus en plus bas, je sentais même à main sur mes bourses qu’elle massait doucement. Oui, vraiment. Elle avait de l’expérience.
Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. Bougeant à plus vive allure désormais, faisant naitre de nouvelles sensations.

« Doucement… doucement… prends ton temps, tu ne veux pas que je jute trop vite hein ? »

Je glissais une mèche enquiquinante qui lui barrait le regard, avec doucement, la stoppant un moment, et je lui susurrais alors.

« Tu sais faire le massage de la prostate en même temps ? »

Ah bah puisqu’il était question de mon plaisir, je n’allais pas bouder ça non plus hein !

Rubis Starling

Humain(e)

Le manipulateur des songes n’avait pas dédaigné répondre, faisant simplement un geste de la main pour signifier à Rubis de passer à autre chose, ce qui n’avait pas aidé la demoiselle à mieux digérer le fait qu’il lui parle de Viktor et du fait qu’il l’est dressé pour bien s’occuper de la gente masculine. Oui, c’était agaçant, oui, c’était frustrant, oui, ça laissait planer une sorte de doute sur le pourquoi du comment, même si la jolie albinos avait une idée sur la raison qui avait poussé le mystérieux brun à prendre l’apparence de son ordure de défunt fiancé, elle laissa couler, passant à autre chose afin de pouvoir se mettre l’esprit tranquille au travail qui l’attendait si on pouvait dire.

Et tandis qu’elle mettait du cœur à l’ouvrage dans la fellation qu’elle donnait à cet homme des pays oniriques, la mignonne demoiselle put l’entendre lui demandait d’ouvrir les yeux sous la demande de le regarder, faisant ainsi ouvrir doucement les paupières de la jolie poupée aux cheveux de neige qui laissa à découvert son regard écarlates de ses jolis mirettes, regardant donc cet homme qui la surplombait dans sa positon et qui caressait avec douceur ses cheveux, remettant en place ensuite une de ses mèches devant ses yeux tout en lui disant d’y aller doucement pour ne pas envoyer la sauce trop vite.

Rougissant très légèrement à ses mots, Rubis hocha doucement de la tête en continuant de bouger la tête en alternant donc les vitesses, n’allant pas trop vite, jouant de sa langue et ses lèvres le long du membre d’Hayao tout en caressant du bout de ses doigts et parfois de la paume de sa main les bourses du mystérieux brun. Mais peu de secondes après s’être exécutée et ayant donc ralenti, la jeune femme put entendre une requête sous forme de question de l’étrange homme visiteur de ses cauchemars, lui demandant si elle savait faire le massage du point P en même temps qu’une fellation, ce qui fit rougir un peu plus la mignonnette.

Gênée et étonnée à la fois par la question, la jolie albinos regagna doucement sa blancheur habituelle, hochant doucement la tête tout en gardant le sexe du manipulateur des songes dans sa bouche malgré qu’elle ait dû ralentir sur les soins qu’elle prodiguait au brun, venant enlever doucement sa main qui s’occupait de ses bourses pour la relever et lui montrer les ongles longs au bout de ses doigts. En faisant cela, elle voulait lui montrer qu’elle avait pas vraiment la longueur d’ongles adéquates pour la chose, sauf s’il souhaitait prendre le risque de se faire blesser par l’un de ses ongles longs qui risquait de ne pas lui faire que du bien dans ce massage qu’il semblait demander à la demoiselle.

Hayao Tachibana

Créature

Elle mettait du cœur à l’ouvrage. C’était le moins que l’on puisse dire. J n’allais pas dire que c’était une reine de la fellation, bien sûr, mais en même temps… je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un sourire, glissant toujours mes doigts dans ses cheveux, elle qui allait et venait sur mon sexe, à son rythme, et je ne lui imposais aucun rythme. Non, pour une première, c’était mieux ainsi. Je lui fis un sourire et je frissonnais doucement, mes doigts se crispant dans ses cheveux. Elle avait ses grands yeux levés vers moi, et le tableau que formait son corps, dans cette position.

« Parfaite… »

A mon idée quant à mes petits plaisirs, elle me montra ses ongles. Ouais, bon, okay, je n’avais pas capté qu’elle avait de tels ongles. Dommage, ç’aurait pu être sympa. Et je soupirais toujours de plaisir…. Elle ne négligeait rien, pas même le massage des bourses. Non, vraiment, elle maitrisait son art avec une belle forme de maestria.

« Oui, on va peut-être éviter… c’est dommage mais bon… »

Nouveau frisson de plaisir en sentant sa langue presser une zone précède, juste en dessous du frein. Bordel que c’était délicieux, et mes doigts se crispèrent dans ses cheveux…

« Tu es une merveilleuse suceuse, on te l’a déjà dit, n’est-ce pas ? »

Je lui caressais la joue avec douceur, avant de doucement lui faire signe de se stopper un instant.

« Tu as été bien dressée, n’est-ce pas ? Tu féliciteras celui qui t’as appris çà sucer, ma toute belle… est-ce que tu es fière de ce que tu es capable de faire, ainsi, avec ta bouche ? »

Une question qui ne se satisferait pas d’un simple signe de tête. Bien sûr. Sinon, ce ne serait pas drôle. J’attendais une éventuelle réponse, venant jouer à soupeser un globe de chair, son sein généreux, lourd dans ma main, je pressais et pinçais même le mamelon.

« Allez, finis-moi vite. Mais tu n’as pas le droit d’avaler, d’accord ? »

Rubis Starling

Humain(e)

Après avoir interrompu ses caresses sur les bourses de Hayao pour montrer sa main qu’elle leva afin de lui montrer la longueur de ses ongles, Rubis put constater qu’il semblait légèrement déçu de voir ses potentielles petites griffes de tigresse en déclarant qu’ils n’allaient pas tenter le massage du point P même si c’était dommage. Mais malgré cela et cette petite déception, le mystérieux brun ne manquait pas d’être toujours aussi câlin en caressant les cheveux de la jolie albinos tout en soupirant de plaisir dans cette fellation qu’elle lui faisait, ne le quittant pas des yeux comme il lui avait demandé.

Ensuite il se mit à caresser sa joue en la complimentant si on pouvait dire, la faisant hausser doucement un sourcil quand il lui demanda si d’autres l’avait déjà complimenter de merveilleuse suceuse, ce à quoi elle n’eut aucunes réactions ou presque, se rappelant oui de certaines choses qu’elle préférait plutôt oublier. Mais le manipulateur des songes ne s’arrêta pas là, câlinant toujours avec douceur sa joue de porcelaine tout en lui faisant signe de s’arrêter, ce qu’elle fit en le regardant tout en clignant des yeux, intriguée de ce qu’il allait demander ou dire encore. Et quand elle entendit la suite de ce que le visiteur de ses songes prononça, la mignonne demoiselle fronça doucement les sourcils, retrouvant ce regard qu’elle avait tout à l’heure quand il lui avait parler de Viktor, ayant visiblement encore toucher un point délicat et vu le sourire qu’il avait, il le savait très bien.

Alors qu’elle s’était stoppé, Rubis ferma lentement les yeux et relâcha doucement le membre d’Hayao d’entre ses jolies lèvres rosées, le faisant glisser doucement et délicatement, redressant doucement sa tête vers lui en rouvrant ses jolies mirettes écarlates tout en fronçant toujours des sourcils avec ce regard emplie de douleur et de colère même, alors qu’il jouait avec l’un de ses seins en le massant, caressant et pinçant entre ses doigts.

« … Merci… Pour les compliments Monsieur Tachibana…  »

Dit-elle dans un premier temps en essayant de rester calme même si intérieurement elle commençait à bouillonner malgré elle alors qu’il la regardait tout sourire, sachant très bien qui était celui qui l’avait dressé, la faisant soupirer doucement par le nez.

« Je suis navrée de vous dire que je ne pourrait point remercier celui qui m’a « dressé », car je ne compte pas aller de si tôt en Suède et jamais je ne mettrais un pied sur sa tombe. »

Balança t-elle d’un coup un peu sèchement tout en restant calme, ses sourcils toujours froncés, ce regard brillant de douleur et colère, sa poitrine se soulevant doucement car elle se contenait et faisait tout pour ne pas se mettre à pleurer en parlant et se remémorant son défunt fiancé qui était tout sauf un prince charmant comme avait pu contacter le manipulateur des mondes oniriques. Puis elle ferma les yeux, soufflant une nouvelle fois par le nez, tentant de se calmer comme tout à l’heure, prenant sur elle pour enlever tout ses sentiments qui l’envahissait.

« Quant à votre question Monsieur Tachibana… Navrée de ne pas vous donner la réponse que vous escompté, mais non, je ne suis pas fière de ça, pas une seule seconde… Mais » poursuit-elle en rouvrant les yeux en regardant sur le côté, relevant ses sourcils alors que la colère avait quitter ses yeux mais pas la douleur « Je me dis au moins que tout ça… Me permettra de peut-être rendre heureux… Celui qui voudra bien de moi un jour… »

Finit-elle par dire en fermant les yeux d’une voix qui se faisait de plus en plus base en soufflant doucement amusée par le nez en esquissant un petit sourire du même registre, se demandant si un homme sensé voudrait d’elle et en se disant que celui face à elle devait la trouver bien idiote voire pitoyable de croire que quelqu’un voudrait d’une petite catin comme elle, car c’était ce qu’elle était en ce moment et ce qu’elle était redevenue depuis quelques temps malgré elle.

Alors qu’elle rouvra les yeux en sentant la main du mystérieux brun qui n’avait pas lâché son sein une seconde et qui continuait de jouer avec, elle reporta son regard vers lui, ses jolis yeux qui avait retrouvés leur douceur habituelle dont la colère et douleur avaient disparus, du moindre pour le moment, elle n’était pas à l’abri que l’homme face à elle continue de jouer avec elle en voyant bien ce qu’il lui faisait.

Toujours à quatre pattes, une main au sol et l’autre sur la hanche d’Hayao, Rubis le regarda, écoutant sa demande sur la fin de la fellation en hochant doucement de la tête, avant de venir s’enquérir de la manière dont il souhaitait finir puisqu’il ne souhaitait pas qu’elle avale, ce qui quelque part l’arrangea car elle n’aimait pas ça et ne voulait faire ça que pour celui qui aurait son cœur.

« Bien mais de quelle manière voulez-vous que je finisse ? Vous voulez… m’asperger le visage ou la poitrine ? Que je finisse manuellement ? »

Hayao Tachibana

Créature

Je devinais que les « compliments » ne lui convenaient pas vraiment. Mais vous saviez quoi ? Je n’en avais rien à cirer. Je le qualifias de compliment et c’était à elle de le prendre comme telle, ou d’en donner l’illusion. En fait, c’était simple : je ne la forçais pas à ressentir, mais j’espérais sincèrement qu’elle allait avoir au moins la décence d’en donner l’impression. Ce serait un minimum, n’est-ce pas ? Je lui fis un sourire avant de finalement lui  tapoter la joue, comme pour lui faire comprendre que ce n’était rien ?

« Eh bien si tu va un jour, pense à faire un détour pour le remercier en pissant sur sa tombe, d’accord ? »

Elle devait bien comprendre où j’étais sérieux et où je plaisantais, dans cette histoire, quoique… elle faisait un peu de peine, un peu de pitié… seule dont personne ne voulait ? Vraiment ?

« Tu as tort, ma petite chérie. Si personne ne voulait de toi, alors tu ne serais pas là. J’aurai pu en choisir une autre, mais c’est toi que j’ai choisi, et tu vas en tirer bénéfice. Donc j’ai bien voulu de toi. Tu devrais e être vraiment heureuse, tu ne crois pas ? Et puis, tes rêves m’appartiennent, ma petite chérie. Donc tu as déjà trouvé quelqu’un à rendre heureux, tu ne crois pas ? »

Je pouvais rendre ses nuits impossibles, je pouvais la faire devenir folle, et elle était là, venue « payer » une dette qui, au fond, était bien peu de choses. Je lui souris, et doucement, je l’écoutais parler de la suite, où jouir. J’avais envisagé de jouir sur son visage, sur sa poitrine, ou même dans ses cheveux, mais j’avais eu une autre idée… je saisissais mon téléphone.

« Hum… c’est difficile de choisir…. Tu as tellement d’endroit où une trainée de foutre irait bien. Mais j’ai une meilleure idée, aujourd’hui, nous allons nous faire un petit album souvenir, d’accord ? Alors je vais jouir dans ta bouche, mais garde bien tout sur ta langue, qu’on puise faire une ou deux jolies photos de ton minois avec la langue tirée…. Tu seras magnifique… »

Je lui souris, et je lui caressais les cheveux avec tendresse.

« Quant à la manière d’y arriver, je te fais confiance. Fais-moi jouir de la manière dont tu es la plus doué. Et sois fière de tous tes accomplissements. De tous tes talents, même s’ils se semblent dégradants, ma belle, d’accord ? Il faut que ma première prêtresse garde un souvenir mémorable de cette journée, non ? »

Rubis Starling

Humain(e)

Après avoir répondu un peu sèchement à Hayao sur le fait de remercier son « dresseur », Rubis reçut une petite tape sur sa joue de porcelaine et put entendre également la répartie du manipulateur des songes dont elle avait du mal à savoir s’il plaisantait ou s’il était sérieux, mais elle se disait que cela ressemblait plus à une plaisanterie qu’autre chose, quoique l’individu face à elle était pleins de surprise donc elle n’était pas tout à fait sûr que cela en soit une en fait.

Mais dans tous les cas, la jeune femme albinos se contenta de rester silencieuse en fermant les yeux, reprenant doucement son calme avant de reprendre la parole, disant qu’elle n’était pas fière de ce qu’elle savait faire et que la seule chose qui la consolait dans cette affaire, c’est que cela pourra peut être rendre heureux l’homme qui voudra bien d’elle, enfin si quelqu’un voudra bien d’elle un jour. Et à cela, le mystérieux brun vint la rassurer en lui disant qu’elle ne serait pas là si personne ne voulait d’elle, parlant ainsi de lui qui voulait bien d’elle et dont ses rêves lui appartenaient tout en lui disant qu’elle rendait déjà heureux quelqu’un. À ses mots, elle souffla doucement par le nez d’amusement, oubliant sa colère et sa peine, enfin, oublier était un bien grand mot mais en soit, c’était mis de côté pour l’instant.

« Vous savez très bien de quoi je parle Monsieur Tachibana… Mais vous me voyez ravie d’apprendre que vous êtes satisfait de votre choix me concernant… »

Répondit-elle en esquissant un léger sourire amusée presque alors qu’elle répondait de manière ironique à tout cela, trouvant de plus la situation risible au possible la concernant, pensant qu’elle était bien pathétique d’avoir finie ainsi. Mais la jolie albinos comptait bien payer sa dette et faire ce que lui demanderait le visiteur de ses rêves pour aujourd’hui, car elle avait qu’une parole et s’y tiendrait. En revanche, pour la suite, elle n’avait cessait d’y cogiter depuis des jours et encore aujourd’hui en cet instant, elle y pensait, se disant qu’elle ne voulait plus faire toute ces choses, qu’elle voulait stopper tout ça, qu’elle ne voulait plus être une minable petite poupée.

Pour son boulot, ça allait être difficile et elle ne savait pas encore comment échapper à son patron. Mais pour ce qui était de ce potentiel contrat avec le manipulateur des songes, elle n’était pas encore engagée et c’est pour cela qu’elle avait demandé à avoir toute cette semaine pour réfléchir si elle était prête à vraiment tout donner pour dormir sur ses deux oreilles et enfin dire adieu aux cauchemars. Et il se trouve qu’elle avait bien réfléchie à la chose, même si le rêve qu’Hayao lui avait offert était magique, elle n’était pas prête à s’offrir corps et âme juste pour ça. Non, elle préférait continuer à subir ses cauchemars et pouvoir se regarder dans une glace que de devoir s’engager là-dedans.

La jeune femme avait réfléchit sérieusement à la chose et elle ne voulait pas de ça, non. Même si elle était habitué à être qu’un simple jouet avec les clients de son patron et les hommes auxquels Viktor la jeter, elle détestait ça profondément et elle se détestait d’être aussi minable de laisser tout ça continuer. Elle désirait plus que tout arrêter tout ça même si elle ne savait pas encore comment, elle voulait que ça cesse pour enfin vivre normalement et qui sait, peut-être enfin avoir la chance de pouvoir rencontrer quelqu’un et cesser de tomber dans les bras de quelqu’un pour une nuit ou deux, même si cela était arrivée très rarement en réalité. Donc, si elle voulait vraiment s’en sortir de tout ça, elle allait devoir trouver une solution autre que de refuser infiniment ce que son patron lui demandait, et donc bien entendu également ne pas se laisser piéger dans ce contrat-ci dans lequel elle comptait donc ne pas s’engager.

Mais voilà, tandis que la mignonne demoiselle repensait à tout ça, elle dû sortir de ses pensées pour continuer sa mission et s’enquérir de ce que désirait le mystérieux brun assis face à elle, lui demandant ce qu’il préférait pour finir donc cette fellation, faisant partie des choses qu’elle devra faire aujourd’hui pour payer sa dette. Et quand elle le vit prendre son téléphone portable, elle haussa doucement un sourcil, se demandant s’il cherchait des inspirations tout en lui répondant sur ses hésitations visiblement. Puis quand elle entendit qu’il comptait se faire un joli album souvenir de cette journée, elle ouvrit de grands yeux sur le moment avant de plisser doucement ses paupières.

Maudits téléphones portables… C’était ce qu’elle pensait en ce moment, ou du moindre quelque chose du genre. Elle n’était pas forcément très friande de la technologie, elle trouvait que cela n’avait pas que du bon malheureusement, entraînant certaines déviances même. Comme là justement, où ce cher manipulateur des songes comptait se faire quelques petites photos de la demoiselle, la faisant déglutir rien que d’y penser en fermant les yeux, espérant qu’il n’allait pas se servir de ça pour la faire chanter ensuite ou poster ça sur internet même.

Alors qu’elle rouvra les yeux, continuant d’écouter sans piper mouche ce que lui disait Hayao, Rubis hocha faiblement de la tête quand il lui disait de finir de la manière dont elle était la plus douée tout en lui rappelant d’être fière de son travail, ce dont elle n’était clairement pas, mais elle ne comptait pas rentrer de nouveau dans le débat qui ne servait à rien de tout façon. Elle déglutit en l’entendant l’appeler « ma première prêtresse », se disant qu’il n’avait pas envisagé une seule seconde qu’elle refuse le contrat et se demandant donc comment il allait réagir à cela quand elle allait lui annoncer en fin de journée qu’elle avait bien réfléchis mais que finalement, elle préférerait les cauchemars insupportables aux rêves payés de sa personne. De toute façon, elle comptait pas changer d’avis et elle verrait bien comment annoncer la chose en fin de journée, car après tout c’était aussi le deal qu’elle n’accepte pas tout cela.

S’apprêtant à fermer les yeux, elle se souvint qu’il lui avait demandé de les garder ouvert, interrompant donc cette fermeture de paupières pour garder ses jolies mirettes ouvertes. Elle ne savait pas vraiment la manière dont elle était la plus douée pour terminer tout cela, mais elle avait pas envie de reprendre son membre en bouche pour le moment, donc, elle se redressa très légèrement pour se retrouver presque à genoux mais pas tout à fait, collant sa poitrine contre ses propre jambes et passa une de ses mains sur la verge de l’étrange brun, l’enlaçant délicatement entre ses doigts.

Et doucement, tandis qu’il caressait sa chevelure tendrement, elle vint poser son autre main sur ses bourses, les caressant lentement avant de se mettre à le masturber de sa petite main, son visage près de son basin pour être prête à tout moment à prendre en bouche son sexe qui pourrait cracher à tout moment, pour pouvoir ainsi lui permettre de jouir dans sa bouche comme il avait demandé mais sans avaler et en gardant tout sur sa langue pour ses photos souvenirs, dont elle n’était pas impatiente de se retrouver dessus mais elle n’avait pas vraiment le choix finalement là-dessus.
« Modifié: jeudi 26 septembre 2024, 17:18:56 par Rubis Starling »

Hayao Tachibana

Créature

Elle semblait presque moqueuse sur le sujet ; se moquerait-elle longtemps, ceci dit ? J’en doutais un peu. Je lui fis un sourire moqueur avant de finalement hausser les épaules, l’air de rien, alors que je lui fournissais les explications sur la fin. Je me contentais de ce que j’avais, et nous verrions bien. Mais si elle croyait se débarrasser de moi comme ça, elle avait tort. Elle pouvait être sûre que ça ne se passerait pas comme elle le voudrait. Rien ne serait jamais simple.

Je lui fis un air joueur, alors, avant de la regarder faire ce qu’elle voulait. Comment allait-elle finir ? Je ne savais pas trop. Je l’observais prendre en main mon sexe, à défaut de reprendre en bouche, et venir me branler et me masser les couilles en même temps. Je supposais que j’aurai tout loisir de voir la suite et autre chose à l’avenir. Mais… ouais, non, c’était bien moins agréable que sa bouche. Sa poitrine devrait aussi avoir un côté sympathique, vu comment elle était pourvue de ce côté là…
Ses doigts étaient un peu froids d’ailleurs. Enfin, c’était ce dont j’avais l’impression. Elle me masturbait tant et si bien, sa bouche proche du sexe, comme si elle guettait la première trace d’éjaculation… et quand enfin je joui j’eus le savoureux spectacle de voir sa bouche copieusement remplie, et ses lèvres souillées. Alors je prenais une photo et que je lui envoyais.

« Merci ma chérie, tu peux avaler maintenant. »

Je revoyais la photo et je la lui montrais.

« Regarde quel beau spectacle que tu offres… Quel érotisme… »

La jeune femme, sur la photo, était en effet sublime., si l’on utilisait des critères particulièrement pornographiques. Il fallait le reconnaitre. Mais je ne pouvais m’empêcher de me dire que faire ça ici, dans la réalité, lui donnait des allures de rêve. Et dire que nous avions toute la journée ensemble…. Je regardais encore un peu la jeune femme et je rajoutais.

« Si tu ne veux pas avaler, tu peux aller crasser aux chiottes. »

Je lui en indiquais la porte.

« Mais si j’étais toi, je me ferais au gout, tu n’auras pas toujours cette chance, peut-être. »

Et quoi faire ensuite, après une petite pipe avait finition à la main ? Hum… bonne question… je pensais avoir établi un programme, mais en fait, il volait doucement en éclat. Nous allions sortir, oui, mais pour faire quoi et pour aller où, c’était un peu plus flou, par contre… hum… le parc pour jouer avec l’exhibe ? Oui, peut-être. Nous passerions aussi très certainement par un sex-shop, avant pour l’équiper un peu. Sans doute là-bas lui ferions-nous d’autres souvenirs.

« Qu’est-ce que tu es belle… »

Rubis Starling

Humain(e)

Après que la jeune femme albinos eut finit la masturbation du mystérieux brun qui visitait ses songes ces derniers jours, prenant en bouche son membre quand il se mit a jouir et garda tout sur sa langue comme il lui avait demandé, le temps d’immortaliser le moment même si l’idée ne l’enchantait pas du tout, elle écouta attentivement ce qu’il disait, l’invitant une première fois à avaler avant de lui montrer fièrement le résultat de sa photo pour ensuite lui dire que si elle voulait pas avaler elle pouvait recracher en lui indiquant la porte des sanitaires.

Alors qu’elle ne réagissait pas, la demoiselle aux yeux prunelles écarlates haussa doucement un sourcil en l’entendant lui dire qu’elle devrait quand même s’habituer au goût de la chose, ce qui la fit fermer la bouche en esquissant un sourire amusé voire presque insolent avant de se relever doucement en fermant les yeux, se dirigeant vers la porte qu’il lui avait indiqué pour recracher ce qu’elle avait en bouche. Rubis se rinça la bouche et revint ensuite dans la salle, marchant comme à son habitude avec douceur et élégance en revenant vers Hayao.

« Si j’ai bonne mémoire, votre première demande tout à l’heure était de ne pas avaler. Il me paraissait donc logique de respecter cette « interdiction » de votre part sur votre première demande Monsieur Tachibana. »

Déclara la demoiselle en s’avançant vers lui, son sourire toujours amusé à la limite de l’insolence au visage. Tout cela ne l’amusait pas vraiment en réalité mais elle n’avait pas envie d’être juste un gentil jouet sage puis bon, elle n’avait rien fait de mal puisqu’il lui avait demander cela au début après tout et qu’il lui avait donner le choix juste quelques minutes plus tôt.

Et avant qu’elle n’arrive devant lui totalement, elle se stoppa en rougissant légèrement en entendant les doux mots qui lui adressa en lui disant qu’elle était belle. Rubis était habituée à entendre ce genre de chose, même si c’était plus souvent crûment et moins gentil si on pouvait dire, mais là, la façon dont il lui avait dit et la façon dont il la regardait rendait la chose douce et touchante, ce qui la déstabilisa légèrement, étonnée et touchée par ses paroles à son encontre.

« Je… Heu… Merci beaucoup Monsieur Tachibana… C’est… C’est gentil… »

Finit-elle par dire en le regardant, rougissant légèrement alors qu’elle passa une main dans son cou, restant debout là au milieu de la pièce, ayant été stopper dans sa course si on pouvait dire par la réaction du manipulateur des songes.

Hayao Tachibana

Créature

Elle ne se fit pas prier pour aller tout cracher aux chiottes. Je m’y attendais un peu ; elle n’avait pas l’air d’avoir le sorbet au foutre comme glace préférée… l’idée me fit un peu rire, je le reconnaissais. Même si je comprenais que pour elle, toute la situation avait largement de quoi être sordide. Je lui fis un sourire avant de finalement la voir revenir et… ; et rougir un peu de mes propos. Était-ce faux ? Elle était belle, et elle était mienne, d’une manière plus intime que n’importe quel petit ami, copain, compagnon, ou que savait-je encore. Parce que tant que j’avais ses rêves à portée de main, alors je saurai tout ce qui lui passait au travers de la caboche, n’est-ce pas ?
En tout cas, mes compliments la gênaient. Et parce que mes compliments la gênaient, je fis comme si c’était sans importance. Un geste de la main qui laissait entendre que «, bah, ce n’était rien, pas la peine de rougir comme une pucelle à ses noces.
Elle restait plantée là, debout, toute nue, sans doute se demandant ce que je comptais faire. Et elle ‘n’avait pas tort.

Je me redressais, et je rangeais mon sexe, avant de venir doucement et de glisser ma main à ses reins, attirant son corps de neige contre moi. Quel beau brin de fille, elle était. Il fallait le reconnaitre. Mon désir revenait en force, et je l’embrassais, avec ardeur, avec envie.

« Tu es une véritable ode aux perversions, je te jure que je vais faire de cette journée un moment inoubliable pour toi. Allez, tu peux te rhabiller… on va sortir. »

Toutefois, je ne la laisserai pas remettre ses sous-vêtements. Un truc assez logique, dans le fond, n’est-ce pas ? Et une fois qu’elle était prête, et que moi aussi, je venais doucement lui présenter deux petits objets somme toute assez banals : deux stylos bille simples et sans capuchon.

« Tu les installes sous ta jupe ou est-ce que je le fais ? C’est histoire de te garder occupée un peu pendant le trajet. »

Non que ce soit très long comme trajet. En fait, nous allions commencer par une étape simple : puisqu’elle comprenait l’hypocrisie de trouver que les porte jarretelles ça faisait catin, alors autant finir le travail, n’est-ce pas ?

Rubis Starling

Humain(e)

Elle était là, debout au milieu de la pièce, une main dans la nuque à se la caresser, prise d’une soudaine timidité et gêne en entendant les compliments du mystérieux brun dans la pièce. Rubis était pourtant habituée à ce qu’on l’a complimente, qu’on lui dise qu’elle est belle etc. C’était ce qui faisait aussi son malheur quelque part, ce qui lui avait sûrement attirer des ennuies bien des années auparavant et ce qui continuait de lui en attirer en devant parfois accepter les extras que son patron lui demandait.

Donc oui, elle aurait dû être habitué à ce qu’on lui dise qu’elle est belle mais… Elle ne s’y habituait jamais, doutant sûrement de la sincérité des compliments à son encontre qu’on lui faisait à chaque fois et surtout d’un manque de confiance en elle couplée à une sorte de honte de cette beauté qu’elle avait, honte de faire ce qu’elle devait faire et ce qu’elle avait laisser se faire aussi.

Alors qu’elle se reprenait doucement après le geste de la main d’Hayao, Rubis laissa glisser sa main de sa nuque sur son côté pour longer son bras le long de son corps, regardant le manipulateur des songes se redressait tout en rangeant son engin dans son étui, avant de le dégainer au prochain tir. Puis il s’avança ensuite vers elle et vint la saisir en passant sa main dans son dos pour la poser au creux de ses reins et l’attirer contre lui avant de l’embrasser langoureusement, la faisant légèrement gémir sous ce ardent baiser.

Une sorte de compliment encore pour la jolie albinos qui sortit d’entre les lèvres du visiteur onirique qui y ajouta la promesse de faire de cette journée un moment inoubliable pour elle avant de lui demander de se rhabiller, ce à quoi elle répondit simplement d’un hochement de tête.

Quand il la lâcha afin de la laisser se rhabiller, la belle demoiselle aux cheveux de neige se dirigea vers ses vêtements, avant de hausser un sourcil en se demandant pourquoi il ne voulait pas qu’elle remette ses sous-vêtements, percutant ensuite toute seule que c’était sûrement pour faire ses petites affaires sans avoir à être embêter par ceux-ci. Alors qu’elle renfila sa chemise et ensuite sa jupe, la jeune femme put voir le mystérieux brun s’approchait d’elle avec deux stylos billes tout en lui demandant si elle les installait elle-même sous sa jupe ou s’il le faisait lui, ce qui la fit cligner plusieurs fois des yeux en les ouvrant en grand.

« Pardon ? Vous voulez que je fasse quoi avec ça exactement Monsieur Tachibana ? Je ne comprend pas ce que vous me demandez là… »

Avoua la demoiselle aux prunelle grandes ouvertes avec une expression surprise, se demandant bien ce qu’était sa demande exactement et ayant peur au fond d’elle d’une demande des plus étranges avec ses stylos… Décidément les surprises ne faisaient que commencer et les émotions aussi pour cette journée des plus étranges. Mais dans quoi est-ce qu’elle s’était encore mise ? Elle se le demandait bien en cet instant et elle avait bien peur d’avoir mis encore le pied dans un truc des plus tordus malgré elle…

Hayao Tachibana

Créature

L’albinos semblait se reprendre un peu. C’était presque dommage, ses joues rosies était un joli spectacle, surtout pour une peau, un corps, aussi blême. Ça lui allait bien. Enfin bref, je lui fis un sourire en coin, et je lui parlais de la suite se rhabiller, ça, pas de soucis, elle s’écarta pour aller remettre chemise et jupe uniquement. Au moins, elle ne protestait pas. C’était une bonne chose. Je lui souris et je la regardais se rhabiller. Puis, je lui parlais de l’idée des deux stylos, et cette idée sembla la perturber, un peu, puisqu’elle resta interdite avant de directement demander ce que je comptais faire avec ça… je levais les yeux au ciel, la prenant potentiellement pour une idiote, un peu, avec ce geste, mais qu’importait.

« Soit, si tu ne vois pas. Hé bien penchez toi en avant et soulève ta jupe. »

Ce serait plus simple que de jouer à lui expliquer les choses qui me semblaient si évidentes. J’attendais <qu’elle le fasse et je regardais… je retirais les capuchons pour les rendre les plus faciles possibles à insérer. Et une fois qu’elle eut obéi, je venais doucement lui insérer le premier entre les cuisses. Il dépassait, et le but était qu’il dépasse. Parce que le but était de compliquer un peu les choses pour elle, d’une certaine manière. Pour le deuxième, je n’eus pas trop de mal, à e faire entrer, pointe en avant, au cœur de son étoile fripée, une fois que j’eus joliment craché dessus.

« On va aller trouver de quoi nous amuser. Si un des deux tombent, tu as perdu. Et si… disons que si aucun des deux ne tombent avant la fin du déjeuner, alors tu pourras estimer que nous en avons fini pour la journée, tu en dis quoi ? »

Aucune chance que les deux ne tiennent en place comme ça jusqu’à la fin du déjeuner, songeais-je ; et en même temps, elle devait être persuadée de pouvoir tenir. Après, le risque de perdre, nous ne l’avions pas détaillé, ais était-ce vraiment nécessaire ? Elle se doutait que, d’une manière ou d’une autre, elle serait punie, non ? La vraie question était surtout le genre de punition qui serait adéquate…. Et ça, je refuserai de la lui révéler avant que cela n’arrive. Ce serait moins fun sinon.

Rapidement, je me changeais pour avoir un jean et une chemise propre, et nous pouvions y aller.

« Alors, et si nous commencions par te trouver le porte jarretelle qui fait défaut à ta tenue, d’abord ? »

Et il ne restait plus qu’à trouver le bon magasin, en marchant bien sûr.

Rubis Starling

Humain(e)

Rubis avait bien peur du genre d’idées farfelues qui pouvait passer dans la tête d’Hayao, ce pourquoi elle avait besoin de l’entendre dire ce qu’il voulait exactement ce qu’elle fasse avec ces deux stylos qu’il lui demandait de mettre sous sa jupe. Une petite voix au fond d’elle lui souffla ce qui allait suivre sur le quoi faire avec ces objets, mais, ne voulant pas tout de suite se faire de fausses idées ni jeter la pierre au manipulateur de songes, elle attendit sagement sa réponse, qui ne tarda pas à arriver.

Le voyant lever les yeux au ciel, elle comprit bien qu’il se fichait d’elle, l’entendant ensuite lui demander de se pencher en soulevant sa jupe, ce à quoi elle déglutit légèrement en le regardant, comprenant bien malheureusement où il voulait en venir. Finalement son instinct ne s’était pas trompé, il lui demandait bien de placer cela en elle, chose qui fut confirmait quand elle s’exécuta bien gentiment car elle se devait lui obéir bien sagement tout le long de la journée.

Sentant les stylos glisser dans ses deux chemins secrets, la jolie albinos ferma les yeux en déglutissant, n’appréciant vraiment pas cette idée farfelue et n’aimant pas cela non plus. Tandis qu’elle se releva tout en rabaissant sa jupe, elle écouta attentivement les explications que lui donna le mystérieux brun à propos de ce qu’ils allaient faire mais surtout à propos du petit jeu qu’il lui proposa avec les deux stylos sous sa jupe avant de finir par lui proposer d’aller chercher un porte-jarretelles pour compléter sa tenue.

Silencieuse durant quelques secondes et ne bougeant pas d’un pouce, la jeune femme ferma les yeux en pensant à mille choses à la fois. Puis, soudain, elle rouvrit les yeux avec un regard sérieux,les sourcils légèrement froncés et les poings légèrement serrés, regardant l’homme face à elle.

« Monsieur Tachibana… Je sais que j’ai l’air terriblement naïve mais je ne suis pas si idiote que ça… Nous savons tous deux que votre jeu est perdant par avance, qu’il n’y a aucunes chances pour que ça tienne autant de temps… »

Lâcha-t-elle en haussant un sourcil avant de pencher la tête, venant croiser ses bras en ne le quittant pas des yeux, son regard doux et son sourire tendre ayant disparus de son visage pour laisser place à une expression plus sombre, quelque chose de nouveau pour le brun dont il n’avait pas encore eu le loisir d’admirer.

  « Je refuse d’accepter ce jeu et de sortir d’ici tant que vous n’aurez pas dit quelles sont les conséquences en cas de perte Monsieur Tachibana… » poursuit-elle très sérieusement en redressant la tête, s’approchant doucement de lui « Il est dangereux d’accepter de jouer un jeu sans en connaître les risques, je l’ai bien assez appris à mes dépends Monsieur… Donc, si vous voulez que la journée se poursuive il va falloir m’en dire plus.  »

Termina t-elle par dire en arrivant devant lui, se postant toujours les bras croisés et les stylos sous sa jupe qui n’avaient pas bouger d’un pouce pour le moment, étant bien droite face à lui en attendant sa réponse. Car sans elle, elle ne bougerait pas, elle l’avait bien fait comprendre. Qui aurait cru que sous cet air de poupée innocente et naïve se cacher aussi une demoiselle rebelle en fin de compte ? Ça pour être une surprise, ça devait en être une pour le manipulateur des songes qui allait devoir se délier la langue s’il voulait la faire bouger la petite dame.

Hayao Tachibana

Créature

L’idée des stylos était farfelue, c’était le moins que l’on puisse dire. Mais bon, c’était amusant. Il al regarda et attendit alors de voir sa réaction sur le sujet. Elle s’était laissée faire. Et avait accepté les deux stylos sans la moindre  difficulté. Elle s’était penchée en avant et s’était laissée faire sans gémissement, sans plainte. En bref, elle avait obéi de la manière la plus entière possible. j’étais content de voir que j’avais sa collaboration. Celle-ci commençait maintenant en réalité. Bien sûr. Mais les garder. C’était en effet une autre paire de manche. Je regardais la jeune femme attendant de voir ce qu’elle aurait à dire du petit jeu que nous avions commencé.
Elle ferma les yeux un moment en entendant ce que je voulais comme petit jeu. Une chose amusante pour moi, délicate pour elle, et qui l’aiderait, peut-être à voir le côté jeu de la situation. Je regardais avec un petit sourire en coin avant de finalement lui faire un petit air amusé quand elle répliqua, sourcils froncés. Ah, apparemment, elle ne voyait pas comment elle allait s’amuser comme ça.
Elle avait perdu la douceur de ses traits, elle s’était durcie, ou contractée, et avait l’air, d’un coup, beaucoup moins avenantes, donnant un côté même malaisant à ses yeux rouge sang.

Mon jeu était perdant pas avance, disait-on ? Oui, peut-être. En fait, elle avait juste compris qu’elle aurait du mal, et elle ne voulait pas se donner du mal. Tout simplement. Je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un air plus sérieux hochant doucement la tête. Elle allait même plus loin, elle refusait de jouer le jeu si elle ne connaissait pas tous les tenants et les aboutissants de ce « jeu » … tout simplement.

« Donc, tu mettrais fin à notre accord parce que tu ne sais pas dans quoi tu t’engages ? Je croyais que tu savais que tu serais mon jouet pendant la journée, et à) ce que je sache, on n’explique pas les règles au jouet avant de jouer avec, n’est-ce pas ? »

Je soupirais un peu. Elle se montrait, d’un coup, rebelle et rétive... c’était très dommage. Mais soit.

« Très bien. Si tu gagnes, je te l’ai dit, la journée se termine et tu peux filer. C’est une récompense très intéressante, à la hauteur de la tâche, n’est-ce pas ? »

Je m’approchais d’elle et défaisais quelques boutons du chemiser. Pas de quoi la dénuder, juste de quoi lui faire un généreux décolleté. Rien d’exagéré ceci dit, mais assez pour que je puisse passer la main à loisir pour peloter le lourd sein que le tissu dissimulait.

« Si jamais un stylo tombe ce sera déjà une belle humiliation que de se faire remarquer ainsi, n’est-ce pas ? Alors en plus, je comptais le faire remarquer à haute voix avant de te punir avec, sans doute, la fessée  dans un lieu public, ou alors, peut être en te faisant essayer de jouer dans un lieu public. Non pour le plaisir de t’exhiber, si je voulais t’exhiber je ne m’embêterais pas plus que ça, mais plus pour jouer avec le risque d’être surpris. Ah et j’aurai sans doute le plaisir de te faire  Ou alors porter d’autres e=accessoires un peu plus prenants ou gênants… Qu’est-ce que tu en penses ? On peut y aller, princesse ? »

Rubis Starling

Humain(e)

Bras croisés et bien droite, la demoiselle attendait avec sérieux une réponse de la part de cet étrange homme face à elle, voulant en savoir plus sur les conséquences en cas de perte à ce petit jeu qu’elle trouva des plus malsains mais aussi des plus pervers car il était quasi impossible de le gagner. Ce n’est pas le fait de perdre à un jeu qui l’agaçait, non, mais les revers de la perte qui pouvait être tout et n’importe quoi, comme la piéger dans leur accord, ce dont elle ne voulait pas puisqu’elle prévoyait déjà de ne pas conclure finalement un accord plus long après cette journée de test si on pouvait dire.

Mais elle n’eut pas à attendre bien longtemps avant de voir le manipulateur des songes perdre son sourire en reprenant un air sérieux à son tour pour lui répondre en soupirant parfois même, lui demandant si elle mettrait fin à leur accord sans savoir où elle allait avant de lui rappeler tout de même qu’elle devait être son jouet pour la journée et qu’un jouet n’avait pas à savoir les règles pour jouer, ce qui fit plisser les yeux de la demoiselle. L’argument se tenait soit, mais il ne lui plaisait pas tout simplement. Et ils avaient en effet en accord pour cette journée, ce qu’elle ne manqua pas de confirmer et lui rappeler aussi.

« Je n’ai qu’une parole Monsieur Tachibana, vous avez fait votre part et je ferais la mienne, il va s’en dire. Donc non, je ne mettrais pas fin à notre accord pour cette journée, j’honorai ma part du marché pour aujourd’hui Monsieur, soyez rassuré. Mais votre jouet de la journée veut juste s’assurer de ne pas se faire rouler dans la farine en cas de perte et se faire piéger à son insu, tout simplement voyez-vous, ce n’est pas très difficile à comprendre…  »

Le tout dit sans sourciller, une expression des plus sérieuses et sombre à la fois sur son joli visage si doux de mignonne poupée, rendant presque effrayant ses yeux écarlates qui étaient d’un coup perçant comme si ils vous lisaient votre âme.

Rubis écouta Hayao enchaînait la suite en lui parlant de récompense, essayant de l’appâter avec une récompense promettant la liberté en cas de victoire. Mais cela ne semblait pas l’appâter plus que ça, elle savait que les chances de gagner étaient presque impossible mais elle essaierait quand même, car c’était une question de principe de ne pas partir perdant dès le départ, même si les chances étaient proche du zéro. Puis, pendant qu’il parlait des conséquences en cas de perte tout en lui défaisant quelques boutons de sa chemise pour venir ensuite peloter sa poitrine, elle l’entendît parlait des conséquences qui consistait à être simplement humilier et punit, rajoutant qu’il pourrait être tenter de la prendre dans un lieu public ou lui faire porter d’autres choses plus ou moins gênantes.

On pouvait dire que le comportement de la demoiselle était comme le jour et la nuit en ce moment, gardant cette expression sérieuse mais neutre, du moindre en apparence, car son regard laissant transparaître le soupçon mêlé à une sorte de colère, rendant vraiment ses prunelles sanglantes inquiétantes.

« Bien… Donc en cas de victoire, la journée se termine. Et en cas de perte ,c’est une punition doublée d’une humiliation avec potentiellement une situation gênante comme se faire surprendre dehors en plein ébat ou porter des choses gênantes… Est-ce bien cela Monsieur Tachibana pour les règles de votre petit jeu ? »

Après que le mystérieux brun ait confirmé tout cela à la jolie albinos, elle ferma quelques instants les yeux en soufflant doucement par le nez puis elle décroisa ses bras, venant passer ensuite ses bras dans son dos en rouvrant les yeux. La douceur était revenue sur le visage de la demoiselle, regardant cet homme des plus étranges et inquiétants face à elle, un petit sourire aux lèvres doux comme à son habitude tout en venant hocher doucement la tête.

« Maintenant que tout cela est plus clair, oui, nous pouvons donc y aller Monsieur Tachibana. Je vous suis donc ! »

Hayao Tachibana

Créature

Ses objections, toutes logiques qu’elles soient, n’avaient pas beaucoup de sens, dans l’absolu. Après tout, j’avais toujours été blanc bleu avec elle.

« Je vois… cette méfiance, c’est san doute décevant d’entendre que tu te méfies, mais c’est entendable. Je ne vois pas l’intérêt de te piéger à ton insu ici, alors que pour te faire venir en rampant je pourrai juste te détruire psychiquement en un seul rêve… non que je souhaite en arriver là, ceci dit… »

Je pensais que mon comportement jusque là avait dû lui montrer qu’elle n’avait aucune raison de s’en plaindre, n’est-ce pas  Je lui fis un sourire et je lui tenais alors la porte pour que nous sortions de chez moi. elle le disait non, tout était bon pour elle. Sincèrement, depuis le début de cette journée elle n’avait pas montré une volonté et une envie débordante. Ce que je trouvais un peu désagréable venant d’elle. Je n’avais pas été brusque, ni dur, j’avais commencé à prendre mon dû, tout simplement. Et qu’elle en fasse la tête, je trouvais ça un peu déplacé.

« Tu sais, tu es bien plus jolie quand tu te montres enjouée et souriante. Tu le dois bien ça, non ? »

Je lui fis, en preuve de mon avis, un sourire qui me donnait un air presque juvénile. Je filais vers les escaliers, ne disposant pas d’ascenseur, et quand j’arrivais en bas des marches, je lui proposais mon bras pour continuer à marcher. Une manière agréable de marcher, à n’en pas douter. Je restais silencieux, néanmoins, encore un peu. Et je finissais par lui demander.

« Tu me détestes pour ces petits jeux, n’est-ce pas ? »

La question était stupide, à n’en pas douter.

« Je me demande jusqu’à quel point tu penses que le jeu en vaut la chandelle… »


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