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Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

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Yazill

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 45 samedi 06 juin 2020, 15:51:01

Etait-elle depuis si peu de temps à sa Maitresse pour ignorer son avis sur pareille chose ? Ou bien… pire encore. Elle y était depuis des années mais la situation ne s’était jamais encore présentée ? Ou si rarement qu’Alecto n’avait pas la réponse à ma question... Je soupire, touché par sa situation si singulière. Elle me confronte à mon impuissance. Mon impuissance à l’en sortir. Sa foi, sa maîtresse et son statut d’esclave, voilà bien les trois têtes de l’hydre qui la retient prisonnière. Je l’embrasse encore, ici et là, sa peau me fascine. En moi-même je me dis « j’aime me délecter d’Alecto » et ce charabia me tire un sourire.

Et puis comme je parle de la fin de mon apparence humaine dans deux heures, elle panique me croyant sur le point de partir. Je relève la tête çà son invite pour plonger dans ses yeux. Han… ses yeux ! J‘en re-veux ! Et avant que j’ai eu le temps de rectifier ce qu’elle a mal interprété, elle s’emballe et s’indigne de mon départ. Je lui souris, amusé, et attendri, soupirant en secouant la tête,

- Si c’est pas d l’amour ça !? hé hé hé…      

Et c’est qu’elle se donne du mal en plus, se… « sacrifiant » pour ma survie. Il faut croire que j’ai su lui plaire. Je me sens flatté qu’elle enfreigne ses dogmes pour me retenir. Je plonge l’embrasser langoureusement dans un soupir ému… lui coupant le sifflet. Je prends tout mon temps, j’adooore ça avec elle. D’ailleurs ça me refait bander hummmpfff… Puis… reculant d’un pouce je lui dis, les yeux dans les yeux,

-M... Mais je ne m’en vais pas dans deux heures, merveille - enfin dans une heure et demi maintenant - je... je reprends seulement mon apparence de chat.

Et cette pensée me noue l’estomac tant je suis bien dans ma peau d'homme contre la sienne. Alors je l’enlace encore et l’embrasse… enfouissant ma figure dans son coup, respirant ses noirs cheveux,

- Oohhoohh Alecto… j’ai pas envie de retourner dans ma peau de chat, si tu savais ! Je veux rester ici avec toi et t’aimer encore. 

A ces mots je ne peux m’empêcher de rouler sur le dos en la tirant sur moi, écartant ses genoux autour de mes hanches, mon membre à nouveau dur pulsant sous son intimité.      
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 46 samedi 06 juin 2020, 18:20:16

Yazill lui expliqua son erreur d’interprétation, et elle ne put s'empêcher un "oh" entre la surprise et le soulagement, surement un peu de ... déception ? Elle était effectivement soulagée qu'il ne s'agisse pas d'une volonté de quitter les lieux en se mettant en danger, évidemment. Cependant, elle n'avait pu retenir une petite pointe de déception, peut-être même compatissante, puisqu'il semblait lui même bien attristé de retrouver son corps de chat.

Elle l'aurait surement prise dans ses bras comme pour le consoler, mais il fut plus rapidement, et la fit basculer sur lui avec empressement. Avec un petit rire discret d'être ainsi chavirée, l'Esclave garda appui sur son torse, trouvant une position stable qui lui impose de s'asseoir contre son sexe. Elle battit les paupières, de surprise, le constatant à nouveau aguerri sur la peau si fine de son entre-jambe.

Un frisson partit alors de ses cuisses et remonta le long de sa colonne vertébrale, et elle se pencha en se courbant jusqu'à son visage, les joues un peu rouges. A moins qu'elle n'ai jamais perdu les teintes carmins venues la colorer lors de leurs ébats ?

"Vous avez l'air d'avoir beaucoup, beaucoup de solitude à combler, n'est-ce pas ?" Elle s'essayait à le taquiner, c'était assez mal assuré, mais sans doute adorable, dit ainsi avec ces grands yeux clairs.

Cependant, Alecto se sentait un peu gauche, ne sachant pas exactement comment combler son intime Visiteur si affamé, et se demandant bientôt si elle n'aurait pas dû demander quelques petits services à l'une des Filles de l'Auberge. Timidement, elle posa un baiser sur sa joue, qui en entraîna un second, dans sa lancée.

"Est-ce que ... Vous savez, moi, je ne sais pas bien comment faire. Vous voudriez que je demande à Milla de euh..." Oui Alecto, de quoi ? Elle pinça les lèvres. "De prendre les choses en mains ?"

Elle songeait que Milla était tout le contraire d'elle : c'était une femme sûre d'elle, aventurière, qui savait même répondre aux clients les plus insultants. Une part de l'Esclave l'admirait, et pas seulement parce que, elle, était Libre. Parce qu'elle luttait, à sa manière, afin de ne faire jamais que ce qu'elle voulait, dans la vie. L'opposé d'Alecto, en somme.

Yazill

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 47 samedi 06 juin 2020, 19:38:50

Je suis heureux qu’elle réalise sa bévue. Et sa frimousse est si mignonne à voir alors, et plus encore quand elle s’essaie à la raillerie. Je lui souris alors et réponds ,

- Ah ? Tu t’appelle Solitude maintenant ? C’est nouveau ça tiens… hé hé hé..

Et je l’embrasse encore, ; ajoutant,

- C’est toi que je veux combler, merveille !

Mais… la suite me laisse pantois !  Quand elle me propose une autre fille. J’en crois pas mes oreilles et c’est au tour de mes yeux de s’arrondir et la fixer, incrédules.  C’est elle que je désire, elle dont je suis enivré, et dont l’odeur me chavire.  Oui c’est vrai, elle n’est pas dégourdie. Elle semble constamment ennuyée d’être là, inexpérimentée, gênée de faire ce qu’elle fait ; mais, l’échanger, là, comme ça… Comme une vulgaire marchandise !  Je rétorque, pris au dépourvu

M... Mais non, je… C’est pas la question.

Je suis embarrassé. Que dire ? En vérité elle mérite mille amants, mais n‘a effectivement pas d’expérience, et manque de peps et d’initiative, c’est certain. Mais de là à l’oublier pour une inconnue… Je m’en sens incapable. Je murmure alors, les yeux dans les yeux, mes mains sur ses seins,

- Alecto… ce… c’est toi que je désire, c’est toi qui me chavire. Alors, oui c’est vrai, tu manques d’expérience, et tu n’as pas l’air très à l’aise avec ça, c’est clair. Mais qu’est-ce que je ferais d’une inconnue ? Fusse-t-elle experte ? C’est ton charme qui m’envoûte, pas le sien.

À ces mots je glisse une main sous elle, et… introduis délicatement ma hampe entre ses pétales, entrant à nouveau en elle… ajoutant,

- Est-ce si… Laborieux pour toi ?  Si c’est un calvaire alors, je veux bien de cette "fille" pour combler mes appétits et te soulager de mon poids. Mais c’est toi que j’aime et que je désire, Alecto. C’est toi qui m’as accueilli ici et si bien soigné. Et… Et tu es si… mmmmmhhh… sensuelle !!

Et disant cela, comme pour illustrer mon propos j’ondule doucement des hanches, pétrissant délicatement ses sens et mordant ma lèvre inférieure en fixant son regard, ému. J’ajoute, dans un chuchotement, 

- je t’aime Alecto. Et tu as le droit d’être aimée.     

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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 48 samedi 06 juin 2020, 21:09:02

Elle s'étonna qu'un bel homme comme lui la veuille, elle, alors qu'il aurait pu avoir une femme expérimentée comme Milla. Alecto en rougit, un peu flattée bien sûr, mais surtout très touchée par les mots si doux qu'il lui susurrait. Elle se disait que ses je t'aime étaient juste le fruit de la transe dans laquelle il s'était plongé lorsqu'il avait atteint le paroxysme du plaisir, et l'Esclave s'en trouva émue. On ne lui disait jamais de jolis mots, comme cela.

Yazill continue sa déclaration en la caressant, et elle se sentait de plus en plus attendrie, et bouleversée. Comme il était agréable qu'on déclame autant de belles choses à celle qui ne reçoit jamais qu'insultes et ordres. Elle ouvrit légèrement la bouche sous cette émotion qui la chamboulait un peu, tant cela lui semblait étrange qu'on puisse la désirer elle, quand on peut avoir d'autres filles.

Elle allait se pencher pour l'embrasser avec reconnaissance, quand, courbée en avant, elle sentie ses fesses se soulever, encadrées par les mains de son amant, avant que la chaleur intense pénètre sa chair lentement, délicatement. Alecto frissonna d'un coup et tout son corps fut parcourue de vibration. Ouvrant des yeux ronds, mais se rappelant bien vite combien cette sensation lui était délicieuse, elle sent rapidement monter en elle le plaisir intense que les mouvements de bassin de Yazill lui procurent.

"Je suis heureuse, si vous l'êtes." Fit-elle alors en se penchant jusqu'à sa bouche qu'il était en train de mordiller d'envie en la dévorant du regard, pour l'embrasser en rougissant.

Les ondulations de Yazill appellent les siennes, elle le savait parfaitement maintenant qu'elle l'a déjà vécu. Et comme on a transgressé une fois les règles, alors il est bien plus simple de les contourner une seconde fois. C'était un peu comme si... le mal était déjà fait ?
Elle soupire bruyamment sous le feu de ses caresses, ne résistant plus avec autant de convictions que jadis, et ses baisers s'agrémentent d'une fougue nouvelle bien que relative. Pourtant, pour la jeune femme, c'est conséquent... Alecto se redresse très lentement, jusqu'à être bien droite sur son membre, accentuant leur connexion, et augmentant d'un seul coup le plaisir bouillant qui la traverse.

Un discret gémissement s'échappe alors de ses lèvres, laissant son crâne chavirer en arrière et ses cheveux cascader au rythme des coups de reins, eux-même accompagner timidement par des mouvements de sa part, tantôt maladroits, tantôt harmonieux.

Yazill

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 49 samedi 06 juin 2020, 22:31:21

Comme c’est BON d’y retourner !  Au fil de mes coups de reins et de ses ondulations délicieuses du bassin, je prends conscience de toute la fougue de ma jeunesse, voyant combien mon corps et mon âme en veulent encore et s’en régalent. S’y ajoute aussi toute la frustration de n’être un homme que 2 heures par jour… Et puis, faire du bien à cette esclave, que tout le monde méprise, c’est comme si je réparais quelque chose. Je me prends à rêver qu’on ait plus de temps, pour lui apprendre petit à petit, à découvrir tout son corps et toutes ses sensations, à la lumière du plaisir. Comment peut-elle y voir un mal ? cette approche de la foi me consterne... mais pour l’heure, il n’est pas temps d’y faire quelque chose, sinon lui montrer combien le plaisir peut être beau et vertueux lui aussi, pour peut qu’on y invite la gratitude.

- Tu m rends infiniment heureux oui ! Tu n'imagines pas combien Alecto !

Je ronronne bientôt fort à nouveau, et mes hanches dansent de concert avec les siennes, cherchant des sensations, encouragé par les rebonds de ses seins généreux et les accents mineurs de ses soupirs. Je n’ose imaginer sa vie, je veux la rendre heureuse autant que possible, le peu de temps qu’il nous reste. Qu’elle s’en souvienne, et que  ça berce ses moments de peine ou de solitude. Je prends mes aises, un peu comme elle. Après tout, on commence à se connaitre un peu, je me laisse d’avantage aller à l’agripper, la soulever, la pilonner plus franchement, guidé par ses rougissements et ses miaulements, tout en continuant de lui murmurer des douceurs, et de temps en temps une chose plus crue, juste pour voir s’arrondir ses yeux et rosir ses joues…

 
Evidemment qu’avec ses courbes sa jeunesse, et son petit air qui s‘en veut pas, elle est irrésistible, et le plaisir est  nouveau au rendez-vous, montant à nouveau en moi crescendo, attisant mon animalité, paradoxe quand j’ai justement mon corps humain. Mais c’est tellement délicieux !

- Oohhoohoooo… Alectooo !!  humpf ! humpf ! humpf !

Elle est légère, je la tourne et la change de position sans effort. Je ne m’en prive pas. Je veux lui varier les plaisirs et la voir émue sous tous les angles. Même si je n’essaierai pas tous ses endroits. Je la soupçonne de s’en offenser de trop. Bien que ceux qui abusent d’elle ne doivent pas s’en priver, eux. J‘ai déjà bien de la chance qu’elle s’offre à moi malgré ses convictions. Je fais durer le plaisir, ralentissant par moment… marquant des pauses caresses, où je m’attarde sur ses seins, puis… reprends mes assauts… tamponnant ses fesses charnues, Dieu que j‘aime ça !              
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 50 samedi 06 juin 2020, 22:53:50

Comment cela doit être difficile de vivre dans la peau d'un petit chat, dans des régions pouvant être si cruelles... Alors prend toute sa part de culpabilité inutile, en songeant qu'il s'impose ce sacrifice pour expier le meurtre de sa bien-aimée. Il est si fort de vivre avec un tel credo.
Bien, évidemment, ce n'est pas toutes ses pensées qui s'en émeuvent, car la majorité de son cerveau est plein de buée, une vapeur qui détrempe sans mal toutes ses réflexions, toutes celles qui sont très rabat-joie. Quelle déconcertante facilité de les envoyer balader, alors qu'elles avaient le dessus juste avant.

Quelle piètre fervente fait-elle, soulevée comme une plume, qui frémit à chaque coup de reins, qui se mord la lèvre pour éviter d'être trop sonore, n'osant pas faire plus de bruit que ceux que leurs corps qui s'aspirent produisent déjà. Chaque couinement de leurs chairs qui s'aiment et se dévorent la fait rougir, accablée également d'une surprise pudique mais titillée par les mots plus crus que lui murmure parfois Yazill.

Lorsqu'il accélère le rythme, elle se sent défaillir. Et lorsqu'il se calme, pour laisser son membre s'enfoncer profondément en elle avec plus d'intensité, c'est pire encore. Enfin. Pire... Rien de pire que ses mains qui agacent ses tétons alors qu'elle se sent possédée avec fougue, comme si elle ne savait plus où donner de la tête, et sur quel plaisir se concentrer.

A mesure que la brûlure de leurs ébats rend la pièce bourrée d'électricité, Alecto saisit ses poignets avec une fermeté surprenante, et lève une de ses paumes à sa bouche, embrassant en tremblant sa main, jusqu'au bout de ses doigts, osant même, quelle audace, lécher son pouce dans un geste mal assuré. Ce bâillon semble presque la rassurer, l'Esclave songe alors qu'au moins, elle ne pourra pas se faire entendre des autres occupants, ainsi.

Yazill

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 51 dimanche 07 juin 2020, 00:09:52

Je vis des secondes d’éternité, les unes après les autres, c’en est quasiment mystique. Tout ça à cause d’une petite serveuse super gironde,  empêtrée dans sa religion qui diabolise le plaisir charnel, ayant oublié qu’il nous relie au Sacré. JE m’en vais lui le remémorer moi !

Humpfff ! Hummmmpfff ! Huuumpff !!!

Mes fesses et mes abdos se contractent en alternance tandis que je la secoue par moment comme une poupée de chiffon qui semble y prendre goût. Mais sans cesser de lui murmurer des délices à son sujet, la sueur rendant nos peaux moite, et nos cheveux collants. J’adooore la ramoner !  Lui tousser la croupe, à l’envers à l’endroit… Elle me rend dingue ! Et le temps qui passe n’arrange rien à mon urgence de jouir encore, et de la faire jouir encore. C’st tellement jubilatoire de la voir exulter envers et contre sa propre raison. Chaque coup de rein, chaque soupir, chaque baiser langoureux semble la remercier d’exister et d’avoir croisé ma route. Toute mon ardeur et ma musculature s’y emploient, mettant le lit sens dessus dessous,  et ses cheveux en pagaille, ne songeant qu’à atteindre encore et encore son plaisir puis le mien, du plus de façon possible, avant l’heure où  redeviendrait c’est affreux ersatz de chat Je ne la ménage point physiquement, trop affolé, trop ravi qu’elle soit pour un temps encore avec moi. J’aurai bien le temps de ronronner dans le cou, après. L’heure est aux ébats.

Pour autant, je n’ose rien lui imposer de trop original, de peur qu’elle ne s’en offusque. Je reste très classique, et presque ennuyeux du coup. Mais vu comme elle manque de pratique, je gage qu’elle n’y verra point d’ennui pour sa part. Quant à moi, je suis trop ravi de m’enivrer de ses soupirs et du moelleux de ses courbes pour me plaindre de son maque d’audace. D’ailleurs elle en a, à sa mesure, toute en nuances timides. Mais je la vois franchir ses limites et c’est déjà beau en soi. Ah si seulement j‘avais du temps ! Avec moi elle les explorerait plus avant, jusqu’à bien se connaitre et devenir une amante redoutable. Parce que pour le reste elle est merveilleusement dotée !
       
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 52 dimanche 07 juin 2020, 09:01:44

Son corps devient de plus en plus brûlant, et suçoter le pouce de son intime voyageur la rend plus fiévreuse que jamais, accompagnée par des coup de butoirs de plus en plus sauvages. Elle s'agite elle-même sur ce pieu qui lui donne tant de contentement enflammé, ayant tant de peine à rester bien sage. C'est trop bon. C'est trop dur.

Alecto se sent totalement affaiblie entre ses bras, la vitesse et l'intensité lui font oublier toute notion du temps, et d'espace. Autour d'elle, elle n'est plus très sûre qu'il s'agit de sa chambre, ou peut-être où se trouve exactement son bureau ? Son petit prie-dieu ? Tout est flou, tout bouge frénétiquement. Ses chairs sont en feu, lui arrachant des gémissements alors qu'elle lâche soudain ce pouce qu'elle léchait, impuissante face aux chaotiques et intenses vagues de plaisir qui montent soudain en elle, à nouveau.

C'est bien trop pour une seule petite personne, songe-t-elle, en fermant les paupières brutalement, les sourcils terriblement froncés qui lui imposent une marque féroce entre les yeux. C'est trop, c'est trop, pense l'Esclave en constatant avec un implacable tremblement qu'elle explose de plaisir.

"Oh.... oh..."

Comme elle a encore contre sa joue la main de Yazill dont elle s'occupait avant, Alecto la saisit à nouveau, en panique, et mord la chair bien dodue sous son pouce pour s'empêcher de crier, avant que son entre-jambe ne se contracte en secousses irrégulières qui l'irradie d'électricité.

Yazill

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 53 lundi 08 juin 2020, 10:28:31

Plus je prenais mes marques avec la voluptueuse Alecto,  plus j’osais, et plus elle semblait à son tour libérée du poids de sa conscience réprobatrice. La suite est tout aussi délectable que la première apothéose, quand je rejoins à nouveau mon plaisir en même temps quasiment que elle le sien. Dans une électrocution conjointe de bonheur, nous voilà à nouveau comblés, enlacés, sonnés de plaisir et de volupté.... En sueur et essoufflé, je roule sur le côté regardant le plafond, louant le ciel d’être là avec elle. Quand je dis que le plaisir partagé donne la Foi, en voilà la preuve. Comment peut-elle ne pas le voir ? Ne pas le savoir ?

Dès que j’ai repris un peu mon souffle, je reviens l’enlacer, la caresser avec une infinie douceur, tâchant de bien lui faire sentir toute la gratitude que j'ai pour elle de me partager son corps délicieux et son intimité la plus secrète. Je lui murmure des douceurs en lui bisant tendrement la tempe ou la joue, osant même lui chuchoter à l’oreille, parmi mes ronronnements sonores,     

- Tu pourras remercier ton Dieu pour tout ça. C’est tellement délicieux ! C’est grandiose, et tu es magnifique !  Ne l’oublie jamais ! Même quand tu seras rabaissée au 36ème dessous, repense à cette nuit, et tu sauras que tu es une merveille à nulle autre pareille, maintenant et pour toujours. Rien ni personne ne pourra jamais t’enlever ça Alecto.

Et je l’embrasse encore, le cœur battant toujours fort et vite. Son corps me fascine, son odeur, sa douceur, son regard langoureux… Hmmmmmfffffffffffffff… Je l’aime.  Et je lui murmure encore des « mercis d‘être là », à l‘oreille. Bientôt je redeviendrai chat mais je n’oublierai pas cette nuit. J’ajoute, la caressant toujours, amoureusement, de toute l’amplitude de mes longs bras humains, avec toute la tendresse et a sensualité dont j suis capable,

- Je me souviendrai longtemps, et sans doute même pour toujours de ces moments délicieux partagés avec toi belle Alecto. On n'oublie pas ces choses-là, quoi qu'on en dise. C’est grâce à des gens comme toi, que je trouve le courage de vivre dans ma peau de chat, jour après jour... Et que je n’ai pas encore mis fin à mes jours. Je vous dois la Vie.   

A ces mots, je la serre fort contre moi et respire son odeur sans son cou, noyant ma figure dans ses boucles noires. Je voudrais que cette nuit ne finisse jamais, ou... au moins, qu'elle dure jusqu'au matin. Mais nous n'avons pas vu le temps passer, et déjà les couleurs et la lumière autour de moi se déforment comme si quelqu'un touillait la matière avec un bâton magique.... Un tourbillon se forme qui déforme tout, jusqu'à me faire disparaître...

Puis... la distorsion visuelle s'estompe, les plis, les vaguelettes se remettent en place et... une espèce de chat est allongé à ma place, à côté de la serveuse, ronronnant toujours mais  l'air plus dépité que jamais. je déteeeeeste ce moment-là ! Par dessus tout ! 
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 54 lundi 08 juin 2020, 14:50:22

Alecto se retrouva bientôt allongée dans son lit sans dessus-dessous, seulement vêtue de quelques bijoux, aux côtés d'un Yazill derevenu un chat. Elle se frotta les yeux, comme pour tenter de remettre de l'ordre dans sa mémoire et ses idées, alors que, pudique, elle sembla de remémorer qu'elle ne portait pas de vêtements. S'empourprant, elle se leva d'un bond et enfila à la hâte une grande robe de lin violine, informe, d'une simplicité qui dépareillait avec ses parures. Comment Yazill pourrait être choqué de la voir nu, alors qu'il était en elle quelques instants plus tôt ?

Que dire dans ces moments-là ?
L'Esclave n'avait déjà pas l'habitude de faire la conversation à un amant alors... à un amant qui a changé de forme ? Se mordillant la lèvre, gênée, elle revint vers lui. C'était totalement déconcertant. Mais cela avait un avantage : sa transformation avait rendu leurs amours irréels, presque fantasmés. De l'homme qui l'avait possédée et à qui elle s'était offerte, il ne restait rien, et son apparence féline rendait sa culpabilité un peu moins prononcée.

"Euh..." Elle se racla la gorge, qu'elle sentit irritée à force de gémir. "Est-ce que... vous avez soif ?"

A vrai dire, elle, elle était desséchée. La chaleur retombait dans sa chambre, mais le parfum de leurs étreintes se respirait encore largement. Elle en rougit encore, les sensations lui revenant en tête, avant de les chasser. Elle craignit d'avoir à vivre, en effet, avec les réminiscences de ce plaisir délicieux, et c'était tout à la fois honteux et merveilleux, en elle.

Alecto plongea son regard bleu dans les grands yeux du Matou, comme pour chercher, au fond, une part de cet homme qu'elle avait étreint. C'était surréaliste... Timidement, mais avec affection, elle approcha sa main de lui, et caressa ses bajoues. Ce geste lui arracha un sourire un peu tendre.

"Cela fait mal, quand vous vous transformez ?" Dit-elle en penchant la tête sur le côté, intriguée et compatissante.

Yazill

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 55 lundi 08 juin 2020, 15:22:25

La scène est en effet surréaliste et un tantinet embarrassante, comme à chaque fois. Je soupire, relevant un regard dépité vers celui de mon amante si sensuelle, que j‘étreignais encore l’instant d’avant… et là voila qui saute hors du lit pour aller se rhabiller en vitesse comme si… comme si je n’étais pas celui qui venait de l’aimer pendant deux heures torrides.  J’ai envie de dire quelque chose, sortir une réplique cinglante comme je sais le faire, mais rien ne vient. Je me contente de la regarder se mouvoir, silencieux, encore ronronnant. Je la trouve si charnelle ! Si sensuelle… Si seulement elle s’y connaissait un peu, elle serait une amante incroyable ! bien qu’elle soit déjà inoubliable.

Je perçois son mélange de soulagement et de déception à me voir redevenu chat. J’en devine aisément la raison. A sa question je me contente d’acquiescer. Oui j’ai soif ! J’ai même grand soif avec tout ce qu’on a transpiré. Mais quel délice ce fut ! Je la regarde avec des yeux brillant de malice et de gratitude, et toujours ce petit sourire ravi qui ne me quitte plus depuis notre premier orgasme ensemble. Je n’ai pas compté les suivants mais je suis touché d’être là. Je me sens chanceux, terriblement chanceux. Et comme la « Chance » c’est les Dieux, j’ai une pensée pour eux en levant les yeux au plafond un instant.   

- Oui j’ai grand soif.

Je murmure enfin, grandement en retard. Je sens aussi son odeur délicieuse, envoutante, mêlée de nos odeurs de sexe emplir la pièce, délicieusement… Je suis shooté à ses phéromones, ça ne fait aucun doute. Elle pourrait me demander ce qu’elle veut, la réponse serait probablement oui, sans hésiter. Je lui souris chaque fois que je croise son regard et je ne peux pas m’empêcher d’essayer d’y rester plongé. Ce que je dois avoir l’air bête ! Je soupir encore et m’assois, adossé à l’oreiller, pour répondre à sa seconde question :

- Non, on ne sent rien du tout. C’est comme si je somnolais et piquait du nez de fatigue un instant. Et, me réveillant, je constate que je suis devenu chat... ou l'homme que j'étais.

Finalement je baisse les yeux, souris et les relève et ajoute ;

- J’adore tes seins tu sais ? Vraiment. Tas maitresse sait ce qu’elle fait en te faisant porter ces voiles. Ça révèle complètement la sensualité de tes courbes.

Je croise les mains derrière la tête et mes chevilles l’une sur l’autre et poursuis,

- Au fond, je suis comme n’importe lequel de tes idiots de clients, charmé par tes nichons voilés, voilà. Hé hé hé…        
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Alecto Nemed

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    Petite, passe inaperçue. Cicatrices, ou traces de brûlures sous les bras, près du cou, bref, un peu cachées.
    Crédule, extrêmement pieuse, facilement impressionnable et très discrète, elle va rougir si vous continuez à la regarder ainsi !

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 56 lundi 08 juin 2020, 19:06:31

D'une petite armoire, Alecto sortit une petite bouteille, et deux menus godets de terre cuite. En revenant vers son intime visiteur, encore un peu rouge, elle sursauta. Yazill semblait reprendre ses habituelles taquineries, bien moins tendres que lorsqu'il lui papouillait la peau en lui susurrant des mots doux. L'Esclave l'observa un peu, et baissa les yeux, comme pour tenter de regarder sa propre poitrine, en soulevant son décolleté pour mieux observer ses seins.

Elle savait qu'ils étaient assez gros, et qu'en effet, cela pouvait attirer les hommes... Elle en avait fait la triste expérience de nombreuses fois. La remarque de Yazill était indélicate, et cela la toucha, plus qu'elle n'aurait dû. En pinçant les lèvres, comme pour s'excuser de son corps sur lequel elle n'avait bien sûr aucune prise, la jeune femme revint vers lui pour verser un liquide légèrement sombre dans les petits verres, et lui en tendre un. Assurément, cela ne serait pas suffisant pour étancher leur soif.

"C'est une liqueur de mûre." Précisa-t-elle, comme elle le voyait observer le contenu de son verre. A l'odeur, c'était très peu concentré, et largement dilué dans de l'eau. La mûre paraissait être là uniquement pour colorer, et sucrer légèrement...

Reprenant sur le sujet précédent, Alecto haussa les épaules en le regardant s'installer confortablement. Elle se sentait gênée, sans pouvoir exactement expliquer pourquoi.

"Mes autres idiots de clients ne sont pas invités dans mon lit..." Murmura-t-elle sans doute un peu blessée par ses mots. Elle tenta de ne rien en montrer, mais c'était peine perdue, elle sentait de petite moue faire vibrer son menton.

Peut-être que, dans son corps de chat, Yazill était toujours un peu cynique, et plus vulgaire que dans son corps d'homme ? Elle se perdit un peu dans la contemplation de sa boisson, ayant perdu toute motivation pour la soif. Son corps était-il un fardeau ? Elle le pensait, évidemment, et se sentait coupable d'attirer les caresses et les convoitises. Il n'était pas rare que les ivrognes la tripotent, mais ils étaient très souvent remis sagement à leur place, par simple évocation du nom de sa Maîtresse.

Yazill

Créature

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 57 mardi 09 juin 2020, 21:44:26

Je m’aperçois de suite que mes propos sont mal reçus parce que mal interprétés par la serveuse. J’en suis aussitôt dépité, et change de figure en découvrant sa réaction erronée. Elle prend tout mal là où je vois de la beauté. Elle a décidément une effroyable opinion d’elle-même. Deux heures à lui démontrer le contraire n’ont pas suffit apparemment. Je suis bien naïf d’y avoir cru. Sitôt que l’occasion lui en est donnée, elle revient à ses travers: se rabaisser sans cesse.

Je prends le gobelet de mûre, silencieux, dubitatif, non pas du contenu, mais de sa vison des choses. Et comme elle dit, « c’est une liqueur de mûre » je réponds, la fixant dans les yeux d’en bas, d'un ton désabusé,


- C’était un compliment

Elle se sent insultée… je ne sais plus quoi dire. Je soupire… la regarde… bois une gorgée de liqueur sans la quitter du regard… et ajoute, pensif,

- Je déteste ma peau de chat dans ces moments-là.  Tout à l’heure je t’aurais dis ça, tu l’aurais bien pris… et là, tu y vois à mal. Le seul que je raillais - si j’ai raillé quelqu’un - c’était moi… D’être tombé sous ton charme si facilement. Ça ne te dévalorise en rien. Au contraire.

Je baisse les yeux regardant mes petits pieds, pensif. 
 
- Sauf si, pour toi, être attirante n'est pas une vertu ? Alors une femme « honnête » devrait forcément être moche ? La terre, « honnête » dans l’idéal, devrait donc être peuplée de femmes repoussantes ? Vraiment ?

J'appuie mon regard dans le sien, puis bois une autre gorgée, repensant à son corps nu en mouvement, magnifique, et ses miaulements de plaisir délicieux… Je me sens chanceux d’y avoir eu droit. Mais je ne crois pas qu’elle parvienne ni qu’elle veuille y voir quoi que ce soit de bon. Je voudrais retourner la serrer dans mes bras et l‘embrasser tendrement mais je ne peux plus…   
   
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 58 mardi 09 juin 2020, 23:12:26

Aussitôt, aux mots du Matou, Alecto se rend compte de sa méprise, et devint blême.
Evidemment, ce fut accompagné d'un sentiment de culpabilité, mais était-on à cela près ? Elle pinça ses lèvres d'un air gêné, et prenant immédiatement sa part alors qu'elle pense Yazill blessé par son erreur de jugement. L'Esclave se gratta la tête, gênée, avant de poser son petit verre encore plein, et de s'agenouiller devant le lit, avec une moue désolée. Elle se sent idiote...

"Oh... Pardon."

Il a vu juste, évidemment. Dans un tintement harmonieux, elle haussa les épaules comme pour se dédouaner.

"C'est que..." Comment réussir à lui expliquer sans se sentir énormément mal à l'aise ? Sa timidité la rend gauche, alors que juste avant, elle était nu et il était en elle. Cette proximité on ne peut plus fine aurait dû l'aider à se montrer plus détendue, non ? Elle soupire de sa propre bêtise.

"C'est que ... ce corps... m'a apporté beaucoup d'ennuis." Quel bel euphémisme. Par ennui, elle voulait surtout dire, malheur, torture, peine, agression... Alecto sembla essayer de trouver le meilleur moyen d'être claire, sans oser dire les choses de manière totalement limpide. Non seulement c'était un aveu douloureux, mais il y avait aussi ce malaise qu'elle ressentait sur tout.

"Vous, Yazill, vous êtes gentil avec moi. Mais en général, tout ça ..." Elle désigna ses seins d'un geste global des mains. "... Tout ça rend les gens... agressifs."

Elle semblait avoir le vocabulaire d'une enfant. Elle soupira encore, mécontente de ne savoir comment lui exprimer correctement ses soucis. Dire du mal des gens était dur pour elle, elle qui voulait porter sur le monde un regard sans jugement. Elle leva les yeux vers son petit visage de chat et eut une petite moue, un petit sourire.

"Vous, vous dîtes 'charme' mais la plupart des gens ne me parle pas vraiment de sentiment."

Yazill

Créature

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 59 mercredi 10 juin 2020, 00:56:40

Je suis soulagé qu’elle ait compris sa méprise. Et comme elle essai maladroitement de dire sa souffrance et la dureté de sa vie, je comprends très bien sa situation, et je devine le reste. J’acquiesce l’air grave, avant de soupirer,

- Oh, te fatigue pas ! Je vois très bien ! Evidemment qu’un corps pareil attise la convoitise, et réveil notre instinct animal. C’est fait pour ! Les Dieux, l’ont voulu ainsi. Non pas qu’on se comporte comme des porcs, ça non mais… pour qu’il existe de la grâce, de la volupté, de la sensualité, qui éveille le désir. Pour nous obliger, nous inciter, à nous rapprocher les uns des autres d'avantage que sans.

Je bois une gorgée de ma liqueur.

- un jour que je me demandais le pourquoi de tout ça, je me suis vu, j’étais en train de parler  à une femme… Je me suis vu avoir envie de prolonger l’échange, de le faire durer deux fois plus longtemps que nécessaire - et c’est ce que j’ai fait - juste parce qu’elle était jolie. Dans l’espoir secret de la séduire, et qu’il se passe quelqu’aventure charnelle entre nous. 9 fois sur 10 il ne se passe rien de plus. Mais l’espoir est là qui nous fait agir. C’est là que j’ai compris à quoi servait en autre, le désir et tout ce qui l’attise : Nous faire interagir les uns avec les autres. Sans lui, on se parlerait deux fois moins, voire trois fois moins…  Imagine dès lors combien moins développés nous serions, trois fois moins d’activités humaines ! Trois fois moins de villes d’enfants, de mariages, de champs…  C’est un formidable motivateur.

Je finis ma liqueur, et me lèche les babines longuement.

- J’avoue que je m’y laisse prendre aussi.  Si tu n’avais pas été aussi jolie… qui sait ? J’aurais peut-être changé de taverne ? En tout cas, quand je t’aie vue, j‘ai été… enfin, j’ai aimé ce que je voyais, et j'ai eu envie de rester. Ta maîtresse sait très bien ce qu’elle fait. Elle aurait trois fois moins de clients sans toi, dans cette tenue en plus.    

Je me souviens alors de la marque de paluche sur sa fesse quand elle faisait la vaisselle, j’ajoute, pensif, roulant on gobelet vide entre mes doigts,

- Alors c’est vrai que pour toi… ici, c’est pas forcément marrant, c’est sûr. Mais faut dire que cette tenue est trop suggestive aussi. C’est comme asseoir un chien devant une rôtissoire. Même s’il est bien dresser, il tiendra pas longtemps. Alors avec les brutes qu’on a ici…  

   
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