Thérapie de la soumission ( PV Pauline Catalino)

La jeune fille avança docilement vers l'homme qu'elle admirait. Il la questionna sur ses précédentes expériences sexuelle et bien évidemment elle lui répondit la vérité.

- J'ai toujours du servir et m'occuper du plaisir des autres, avoua t-elle en gémissant doucement. Mais personne ne mérite plus ma soumission que vous.


Pauline gémit de plus en plus alors que son bienfaiteur lui caressait son intimité. Elle se sentait privilégié d'être ainsi caressé par une personne tellement supérieure à elle. Cependant la soumise resta debout devant lui sans bouger pour ne pas le contrarier et savoura ce qu'il lui faisait. C'était difficile à dire, mais pour elle, cet homme était un être à part.

- Dites moi, comment dois-je vous appeller ?

Elle savait qu'elle devait lui montrer du respect mais elle se demandait par quel titre elle devrait le nommer.

Excité par l'idée d'être le premier à lui donner du plaisir, je glissa un doigt en elle, et me mis à faire des vas et viens pendant quelques minutes, avant de la guider afin qu'elle s'installe à califourchon sur mes genoux, la laissant décider si elle souhaitait la retirer en douceur, ou bien l'arracher sous l'impulsion de la chaleur qui s'emparait d'elle. Tandis qu'elle s'attelais à la tache je répondit à sa question.

- Appelles moi Kuja-sama, et à partir de maintenant tu vivras ici avec moi, je t'apprendrai ce que tu devras savoir, t'aiderai à avoir une vie convenable, je demande juste ta dévotion.

Disais je, alors que je caressais sa poitrine, et que je la guidais pour qu'elle embrasse mon torse, tandis qu'avec ma main libre, je saisis ses cheveux pour la pousser à mettre de la passion dans ses attentions.

Pauline gémit fortement alors qu'il enfonçait un doigt en elle. Rien ne pouvait décrire son bonheur à ce moment précis. Elle s'installa sur les genoux de son bienfaiteur.

- Je vous suis totalement dévouée Kuja-sama, avoua Pauline en gémissant. Je ferai tout mon possible pour ne jamais vous décevoir.

La jeune fille adorait ce qu'il faisait à ses seins et commença à embrasser son torse avec dévouement. Il saisit ses cheveux pour lui faire comprendre qu'elle ne devait pas se retenir et lécha chaque recoin du torse de Kuja-sama. En très peu de temps cet homme avait réussi à transformer Pauline en fanatique obéissant à n'importe lequel de ses ordres, même les plus fou. Elle ne vivait plus que pour le servir.

Je profitai des baisers dévoués de ma nouvelle adepte, et la récompensai par un léger gémissement que je laissai échapper. Soudain je la fis s'éloigner, afin de me laisser le champ libre pour embrasser sa poitrine, la léchant avec avidité et embrassa ses tétons, les glissant dans ma bouche pour les mordiller et les aspirer, tandis que ma verge grossit suffisamment pour caresser l'intimité de la jeune femme. J'aggripai son fessier pour la soulever tandis que je me levais, et la plaquer contre un mur, puis il s'arréta un instant.

- Je dois te dire une chose, qui est en lien avec la croyance dont je te parlais tout à l'heure. En réalité, je suis un dieu, et si tu acceptes de me vénérer et de m'être fidèle, tu ne sera plus jamais dans le besoin, et qui sait, en te cotoyant peut etre apprendrais je à t'aimer.

Avouais je avant de l'embrasser avec passion, allant chercher la langue mon amante, pour voir si elle répondrai après ma révélation.

Kuja-sama éloigna la jeune fille pour mieux pouvoir embrasser sa poitrine. Ses tétons devinrent de plus en plus dur alors qu'il les léchait et les mordillait. C'est alors que la jeune soumise sentit le pénis de son nouveau maître toucher son intimité. Elle apprit que cet homme était un dieu. Elle savait qu'il lui était supérieur. Elle aurait voulu se prosterner devant lui pour l'assurer de sa loyauté mais il la tenait fermement contre le mur.

- Je vais vous vénérer toute ma vie, s'exclama Line en le regardant avec admiration.

Pauline répondit au langoureux baiser de son dieu en frottant tendrement sa langue contre la sienne. À partir de maintenant elle lui appartenait. Sa langue lui appartenait, tout comme le reste de son corps. La jeune fille était pressée d'entendre son dieu lui donner des ordres pour lui prouver sa profonde dévotion.

Je fut enchanté de sentir ma servante répondre à mon baiser avec passion, nos langues s'enlacèrent un moment, tandis que je faisais frotter nos sexes. Je la laissai alors descendre, et la mis à genoux, pour prouver que j'avais gagné sa confiance et que la seule chose en laquelle elle croyait, était moi. Je retirai ma ceinture, puis retira mon pantalon ainsi que mon haut, il ne me restais plus qu'un bout de tissu dont une bosse massive dépassait. Mais avant de la laisser commencer

- Dis moi ton nom...

Disais je avec un air à la fois doux mais néanmoins autoritaire, après tout je venais de gagner une fidèle particulièrement réceptive à mes désirs, je me devais au moins connaître son nom.

Pauline sentit son excitation monter en flèche tandis qu'elle embrassait tendrement son dieu. C'est alors qu'il mit sa soumise à genoux devant lui et commença à retirer ses habits, ne gardant que son caleçon qui me pouvait pas cacher l'énorme bosse que formait sa divine verge.

- Je m'appelle Pauline, Kuja-sama, bredouilla la jeune fille tout en regardant avec émerveillement la bosse dans le caleçon de son dieu.

La jeune soumise attendit un moment que son maitre lui donne un nouvel ordre mais comme il ne dit rien, elle se décida et caressa doucement la bosse du bout des doigts avec une réelle dévotion. Elle n'était qu'une servante infiniment inférieure à ce dieu. Elle espérait ne pas lavoir offensé en agissant sans son consentement. Elle décida néanmoins de ne pas aller plus loin sans un ordre clair de son maître.

Les mouvements de main de Pauline montrait combien elle était experte en ce genre de traitement, elle sut faire vibrer mon sang par ses soins d'une grande habilité. Il baissa la tête pour la regarder, et caresser son visage, voyant qu'elle semblait attendre un ordre, je pris le soin de lui rappeller avec sévérité

- Je t'ai ordonner tout à l'heure de te laisser aller, donc ne te retient pas de t'occuper du cadeau que je te fais, sinon je t'attache et te laisse dans ton état d'excitation.

L'apprente autorité dont je faisais preuve avait peut être du la déstabiliser sur le moment, mais je souhaitais que bien qu'elle me soit dévoué, elle n'hésite pas à faire ce qui lui plait lors de ce genre de moment intime entre nous. Je lui offrit malgré tout un sourire, après tout c'était la première fois qu'elle était aussi libre, donc je pouvais lui offrir ma miséricorde pour cette fois.

Pauline avait un peu de mal à prendre des initiatives, après tout elle était soumise et timide quand elle ne savait pas quoi faire. Cependant son Dieu semblait mécontent et elle devait rapidement s'attirer ses faveurs. La jeune fille retira doucement le caleçon de son maître et devint toute rouge en voyant son magnifique pénis se dresser devant son visage.

- Je vous remercie pour votre cadeau Kuja-sama, déclara Pauline tout en commençant à lécher timidement le gland de son maître.

Pouvoir lécher le pénis de son dieu était un grand honneur, et Pauline comptait bien lui montrer à quel point elle était dévoué. Sa langue roula autour du gland de Kuja-sama et elle ne put s'empêcher de commencer à baver dessus. Elle espérait que son Dieu ne serait pas offensé. La jeune soumise embrassa pendant un long moment le bout de son gland puis recommença à le lécher un peu plus sauvagement. C'était la première fois que la jeune fille léchait quelque chose d'aussi précieux et divin.

Je sentit ma verge vibrer sous les coups de langue de la jeune Pauline, qui y mettait tout son cœur, c'était le moins que l'on puisse dire. Je choisis donc de la récompenser comme il se devait, après tout il me fallait bien montrer qu'adhérer à ma religion, offrait certains avantages. Je lui tendis alors la main pour qu'elle se releve, la colla à moi fermement, pour montrer qu'elle m'appartenait, et dans le creux de l'oreille après l'avoir léché et mordiller, je lui chuchottai

- Tu as été sage, alors tu mérite une récompense de ton Dieu, mais avant dis moi, es tu encore vierge ?

La question était importante, afin de mesurer ce que j'allais lui offrir, sans pour autant la souiller honteusement.

Pauline continua de lécher tendrement le gland de son Dieu quand soudainement il lui tendit la main pour l'aider à se redresser et la prendre contre elle. La jeune fille était très heureuse en entendant son maître la féliciter. Il lui demanda si elle était vierge et comme elle ne pouvait pas lui mentir elle répondit rapidement :

- Oui maître, je suis vierge. Ma virginité vous appartient, déclara Line.

La jeune fille attendit donc que son Dieu lui donne un nouvel ordre ou qu'il lui fasse ce qu'il avait envie. Quoiqu'il décide, sa soumise était heureuse et ne pouvait plus se sortir de cette manipulation. Son esprit et son corps lui appartenait.

« Ma virginité vous appartient » voilà un doux son à mes oreilles, et une alléchante perspective. Je lui pris alors la main, la conduisant lentement vers le lit afin de l'y allonger. Je sortis tandis qu'elle s'allongeait, deux jeux de cordes, avant de lui prendre un premier bras, de le tendre en arrière pour l'attacher à la tête de lit, puis je fis la même chose avec le second.

- Je t'avais promis de t'apprendre une forme de soumission plus agréable. A cet instant tu ne peux bouger tes bras, et tu ne peux t'échapper, donc oui tu es soumise, mais après cela tu adoreras cette soumission.

Je m'avançai vers la pauvre victime à présent attacher, et lui écartai les jambes, apportant mon visage à son intimité, commençant par déposer quelques baisers dans l'intérieur de ses jambes, petit à petit je remontai à son temple de la vertue, laissant sa langue de temps à autre glisser dessus, récupérant son nectar, je finis par m'attarder sur son clitoris, que je pinçai de mes lèvres, pour finir par pénétrer ma langue à la découverte de cet endroit que nul n'avait visité. J'y mis alors plus de passion, griffant ses jambes. Puis je me concentrai sur sa réaction

Son Dieu conduisit la jeune fille sur le lit et lui attacha les mains. Ainsi elle ne pouvait pas protester et était soumise à Kuja-sama. Il pouvait lui faire absolument tout ce qu'il désirait. Pauline se laissa faire, après tout que pouvait-t-elle refuser à un Dieu ?

- Je sais que je vais adorer tout ce que vous pourriez me faire Kuja-sama, déclara son esclave.

Il lui écarta les jambes pour avoir un bel accès au vagin de sa soumise. Il l'embrassa, le lécha, tandis que la jeune fille commença à gémir fortement sans même tenter de retenir ses cris. Il enfonça sa mangue fans l'intimité de sa soumise sui poussa un profond soupir de désir qui fut très vite remplacé par un petit cri de douleur lorsqu'il la griffa au niveau des jambes. C'était un peu douloureux car Pauline etait douillette mais elle accepta avec joie tout ce que lui faisait son maître.

Je fus satisfait des gémissements de mon esclave qui libérait un taux de cyprine largement louable, même plus que la normale, ce qui m’intriguai particulièrement. Je me relevai et lui demanda quel était le but des expériences qu'elle avait subi, car je remarquai qu'elle était particulièrement réceptive. Non que cela me déplaise, mais plutot je voulais tout savoir sur elle, et qui sait peut être que cela allait me donner des idées de jeux pour elle.

Attendant sa réponse, j'arrétai de m'occuper d'elle, la laissant dans son excitation, jusqu'à ce que j'ai fini de l'interroger, tout en laissant ma verge en évidence, pour laisser son imagination murir sur tout ce qu'elle pourrait ressentir si je décidais de lui offrir.

Kuja-sama arrêta de lécher le vagin de sa soumise et la questionna sur les expériences qu'elle avait subit. C'est vrai qu'elle ne lui en avait pas parlé mais elle était très gênée d'avoir été un cobaye.


- la plupart du temps j'étais attachée nue à une table d'opération avec un tube dans mon intimité et un autre dans ma bouche. Ils m'injectaient régulièrement une sorte de drogue qui me rendait folle. Cette substance me donnait des envies de sexe et depuis j'ai très régulièrement envie de vilaines choses. Une fois j'ai entendu parler des scientifiques entre eux. La substance qui était injecté dans ma bouche et mon vagin était composé de produits chimique et de semence masculine. Je ne sais pas si c'était celle d'un homme ou d'un animal...

La jeune fille s'était juré de ne jamais parler de tout ça mais elle ne pouvait pas mentir à son Dieu. Et elle était envouté par la verge de Kuja-sama qu'elle voyait proche d'elle.