Sya devait bien être gâtée, avec ses deux maitresses qui ne cessaient de la darder. Deux verges, deux membres bien veineux qui s’enfonçaient hargneusement en elle, de concert. L’une par devant, l’autre par derrière ! Vanillia lui procurait une des plus belles sodomies qu’elle n’a jamais faites, et ceci, c’était grâce à son sang. Nectar précieux qu’elle avait gouté en compagnie de son épouse, s’étant servie directement à la source ! Et autant dire que ce liquide leur avait redonné, à toute les deux, une trique de tous les enfers ! Vanillia bandait comme jamais ; elle sentait son membre qui avait grossit et enflé. Une douleur vive l’avait piqué, tellement sa verge avait pris en masse. Mais une douleur bienvenue, désirée, cherchée ! Une douleur qui attisa l’incident au niveau de son sexe, et qui la poussa à sodomiser encore plus fortement la créature.
Les deux vampires redoublèrent donc d’efforts et bientôt, tout cela paya. Sya ne tarda guère à succomber à leurs terribles assauts, qui de temps à autre étaient si conjugués que les coups se donnaient exactement au même moment. C’est-à-dire que Sya se faisait prendre en sandwich total, se retrouvant pénétrée au même moment, à deux endroits. Un spectacle fabuleux qui sut satisfaire en parti l’appétit insatiable de Vanillia en matière de sexe. La vampire s’agrippa à la petite esclave, et avec elle, et son épouse, elle jouit généreusement en elle. Sa crème chaude déferla dans ses entrailles, la fourrant intensément et onctueusement.
« Haaaa ! » Couina alors Vanillia, ses doigts se crispant sur les beaux petits mamelons de Sya. Sa trique s’enfonça en un dernier coup bien profondément dans son fondement, lui versant un torrent de foutre dans ses intestins. La vampire se vida les bourses, et cela faisait un bien fou …
Pour autant, même après cet énième orgasme, Vanillia sentait que sa verge était encore assez vigoureuse pour ne pas trop retomber en puissance. Sya se sépara de leur maitresse, laissant ainsi les deux incorrigibles épouses entre elles. Les deux se regardèrent, puis … Mélinda, dans son irrésistible fougue se jeta sur la noble vampire, la faisant basculer à la renverse. Vanillia s’étala sur le dos et prit immédiatement l’oiseau en vol ; c’est-à-dire qu’elle adopta immédiatement la position du Koala, venant complètement prendre en étau sa chérie entre ses bras et ses cuisses. Elle la plaqua chaudement et fortement contre elle, acceptant à bras ouverts son baiser.
« Hmmmrrrrrr !!! » Ronronna-t-elle, participant furieusement à cette étreinte. Sa langue se fourra hargneusement dans la bouche de son épouse, venant jouer avec la sienne en une danse endiablée et bien furieuse. Le tout arrosé par le savoureux nectar de salive que produisait ce baiser.
Comme à l’accoutumé, et car elle profitait que sa chérie avait son membre déployé, elle se frotta frénétiquement contre elle. Ses seins se heurtèrent avec délice aux siens, et sa verge, sa belle et juteuse verge, cognait avec amour contre la sienne, ne cessait ainsi de se frictionner tendrement contre. À un tel point que Vanillia sentait son propre gland se lover contre celui de sa merveilleuse épouse … Et une telle sensation, c’était tout simplement fantastique ! Les vampires se mordillaient les lèvres durant leur baiser, faisant couler un tout petit peu de sang. Histoire d’aromatiser le tout ! Surtout que le sang de Mélinda était, irrémédiablement, le plus savoureux et le plus délicieux des sangs que Vanillia n’a jamais gouté. Ça, c’était un fait irrévocable.
« Mmmhrrrrr … J’adore quand t’es sauvage comme ça ! » Lui confia-t-elle en lui assénant un vorace mais furtif baiser, en faisant attention à la mordant sensiblement.
Son bas-ventre continuait de se frotter contre le sien, la faisant petit à petit bander de nouveau, et méchamment même. La hargne remonta assez rapidement, et Vanillia décida de prendre les commandes. À la manière de sa chérie, elle poussa sa moitié à la renverse pour l’allonger sur le dos. Ensuite, elle se redressa puis agrippa ses belles et douces cuisses à hauteur de ses genoux, et poussa doucement … De manière à faire prendre à Mélinda la
position de l’enclume.
« Serres les dents ma chérie … » Lui susurra-t-elle, amenant alors son sexe tout assoiffé et avide près de sa petite fente. Vanillia avait encore de furieuses envies de sodomie, et comptait bien les assouvir dès maintenant … Surtout quand son gland tout brûlant se heurta doucement à la petite rondelle de son épouse. À ce moment-là, c’était comme si à part Mélinda et elle-même, il n’y avait personne … Plus rien ne comptait, plus rien n’existait, à part elle …