Long Live The Vampire [Vanillia Carnelle]

Une orgie grandiose, vaste et interminable. Voilà donc toute l’expertise de son épouse à l’œuvre en la matière. Pour leur mariage elle avait su mettre les bouchées doubles, et le résultat était saisissant. Partout autour, il n’y que du sexe, de la sueur et du plaisir. Partout, la luxure était honorée bien copieusement ; femmes comme hommes s’abandonnaient au sexe, peu importe avec qui ou quoi, tant que l’extase était là. Cela valait également pour Vanillia, qui était prise entre deux femmes d’exceptions. L’une qui lui détruisait le cul, et qui n’était autre que sa propre épouse, et une autre, véritable démone à qui elle pompait la queue avec grand appétit.

La perversion de la vampire allait jusqu’à la faire adorer, la faire devenir folle d’extase à force de sucer une queue pareille. Elle était si juteuse, si bonne, elle en raffolait. Elle n’attendait que ça, boire son foutre jusqu’à la dernière goutte, tout en appréhendant le moment où sa chérie allait se vider les couilles en elle. Car elle la sodomisait avec une telle force, tout son petit corps remuait et tressautait à chaque coup de butoir. Mélinda y mettait tout son être dans l’art de sodomiser Vanillia, et cette dernière le ressentait beaucoup. Notamment quand, fatalement, le point d’orgue sonna et les trois femmes jouirent de concert, dans un bain d’orgasme collectif.

Le foutre éclata dans tous les sens ; sur Vanillia, sur Samara, sur les draps, absolument partout ! Les deux vampires et la démone jouirent copieusement, baignant donc sur un voile blanc. Quand l’orage les frappa mais finit par passer, Vanillia reprit son souffle. Elle avait furieusement envie de se retourner et de se jeter sur sa femme, l’embrasser de toutes ses forces, et pourquoi pas la prendre ! Mais au lieu de ça, la somptueuse Peau-Rouge l’invita à venir la prendre elle plutôt. Allongée ainsi, elle donnait furieusement envie à la vampire, qui dès lors se redressa, puis se mit en position. « Serait-tu en train de me mettre à l’épreuve ? » Répondit la vampire, face à ce que venait de dire Samara.

Ce petit jeu l’amusait, et ce fut donc avec une belle poigne que la vampire plaqua son sexe qui n’avait pas vraiment dégonflé contre la féminité de la démone. Elle s’y frotta, couinant de bonheur en sentant cette chaleur et cette chair, avant de se mordre la lèvre. Vanillia posa ses mains de part et d’autre la tête de Samara, visage suspendu au-dessus du sien, avant de finalement s’introduire en elle. « Haaaa ! » Rugit-elle d’extase, commençant donc ses vas-et-viens, tout en plongeant furieusement son visage pour venir lui rouler une longue et langoureuse pelle. Pendant ce temps, une elfe bien particulière se plaqua subitement dans le dos de Mélinda, agrippant fermement son sexe pour l’astiquer avec une belle poigne. La majestueuse elfe rousse posa ensuite ses lèvres sur son cou, la gratifiant d’un long et très sensuel baiser dessus, avant de venir lui susurrer à l’oreille.

« J’ai enfin l’occasion de vous voir en chair et en os, très chère Mélinda. Après tout ce qu’on m’a dit sur vous ... Hmm, je mourrai d’impatience de voir ça par mes yeux. » Lui dit-elle mystérieusement, renforçant son emprise sur son sexe, se mettant à le branler de toutes ses forces. Qui était donc cette femme ? Mélinda aura tout le temps de le savoir pendant que sa petite femme s’évertuait à satisfaire Samara !

Mélinda était très fière de cette cérémonie. Cette orgie allait inévitablement lui offrir d’excellents bons points auprès de la Déesse Lust. Tandis que Samara accueillait sa femme, et que Vanillia, toujours aussi excitée, se lovait contre elle, et enfournait sa grosse trique trempée dans son con, la vampire, elle, observa les lieux. Un léger sourire rêveur perla sur ses lèvres. Certes, elle venait de se marier, et elle aimait sa femme, mais, ce qu’elle voyait, tout autour d’elle… Outre le caractère extrêmement pervers de la scène, c’était aussi une forme de reconnaissance sociale. Mélinda avait gagné ! Elle avait triomphé de tous ceux qui avaient voulu la soumettre, de tous ceux qui avaient affirmé qu’elle n’arriverait jamais à rien. Il y avait des chevaliers ashnardiens, des citoyens, des nobles, des mages… Mélinda sourit à nouveau, les yeux embrumés, et observa à nouveau le duo.

Samara, sa mécène, serra l’une de ses mains sur les cheveux de Vanillia, répondant avec envie à son baiser, jouant de sa langue avec la sienne. Son corps était plus grand que celui de Vanillia, ce qui faisait que sa queue caudale pouvait s’enrouler sans peine autour de l’une des jambes de sa femme. Son autre main alla ensuite gifler les fesses de Vanillia, claquant sèchement son cul, avant de serrer sa chair. La démone embrassait très bien, et ses lèvres étaient tout simplement délicieuses, un véritable régal. Vanillia devait se faire plaisir, et sa queue continua à la pénétrer, excitant Samara, enflammant la démone, qui se mit à soupirer de nouveau.

« Hmmm… !! »

Le premier baiser se termina, et Samara sourit à l’intéressée. Elle frotta son nez contre le sien, et déplaça alors sa main, enfonçant un doigt dans le fondement de la femme. Et, pendant qu’elle faisait ça, Samara mit son cou en évidence.

« Il n’y a qu’un seul vampire au monde qui ait jamais eu le droit de boire mon sang, Vanillia… Il est normal que je fasse don de ce précieux mets à sa femme, non ? »

Le sang de Samara… Un mets des plus rares, assurément inestimable, et que l’Archimage offrait à Vanillia. Une offre que nul ne devrait refuser…

Mélinda, de son côté, sentit soudain une silhouette s’abattre dans son dos, et frémit quand une poigne ferme se posa sur son sexe. Elle soupira, et se retourna… Pour voir une mystérieuse elfe, à la peau bronzée, qui lui fit un suçon dans le cou, avant de la masturber. Une poigne affirmée, qui fit frémir Mélinda. La belle vampire soupira encore, et pencha la tête sur le côté.

« Hmmm… Je… Haaa… Je ne crois pas avoir eu l’honneur de… De te connaître, haaa… »

La main de cette femme était terrible ! Les joues de Mélinda s’empourprèrent, et son visage se frotta contre les seins de la femme, avant qu’elle ne se redresse, envoyant une main en arrière, s’agrippant ainsi à la nuque de la femme. Mélinda alla ainsi l’embrasser pendant quelques secondes.

« Tu… Hnn… Tu es proche… De Tinuviel Lastrim, haaa… ? »

C’était la seule elfe sensuelle que Mélinda connaissait plutôt bien, puisque Tinuviel était proche d’Alice, et que la jolie tête blonde lui avait souvent parlé de cette femme… En tout cas, ça ne l’empêchait pas d’apprécier, et, à ce rythme, il ne faisait aucun doute que le cul de sa femme allait se recouvrir d’une belle crème blanche !

Goûter au sang de Samara était donc la prochaine étape. La démone venait d’expliquer que la seule créature ayant eu ce privilège était tout simplement Mélinda ; de ce fait, en vue des circonstances de ce mariage, elle avait tenu à en faire de même avec l’épouse. C’était sans doute un grand privilège et Vanillia n’allait certainement pas refuser un tel cadeau. La vampire était encore en train de la pénétrer, de s’enfoncer lourdement et tendrement en elle tandis que la démone à la peau rouge écarlate présenta son délicat cou. Il aurait fallu que cette même démone se mette à doigter la petite rondelle de la vampire pour que celle-ci se décide enfin à agir.

Abaissant son visage, ses crocs acérés caressèrent la douce peau rouge de ce cou, humant la délicieuse odeur émanant de celle-ci. L’appétit sanguin de la vampire se réveillait à mesure qu’elle se rapprochait de la grosse veine tant désirée. Un mets rare et délicieux attendait Vanillia qui finalement, sentant l’extase monter en elle alors qu’elle labourait Samara fermement, finit par planter ses crocs. La peau fut percée et le précieux liquide carmin coula sur les lèvres de la vampire, qui s’en abreuva. La première sensation fut si étrange, si atypique, Vanillia ne sut quoi faire ni comment réagir.

Mais elle se laissa porter par la saveur surréaliste de ce sang résolument noble. Ses yeux se révulsèrent un peu alors qu’elle aspira le liquide carmin en-dehors des veines de la démone, sentant ses propres forces lui revenir de manière très forte. Une extase sans pareil, un goût et une saveur puissante, qu’elle n’avait encore jamais expérimenté jusque-là. Le sang de cette démone était définitivement un mets des plus rares ... On ne lui avait donc pas menti ! Reprenant donc de la vigueur, la vampire grogna puis se mit à pénétrer de plus en plus fortement son amante, rentrant et sortant de sa féminité avec hargne. Sa queue avait enflé davantage à présent qu’elle s’était abreuvée et voilà que la petite furie était de retour sur la scène.

Du côté de la mystérieuse elfe qui venait de s’emparer de Mélinda, elle continua un peu à jouer sur le mystère autour de sa personne tout en continuant de jouer avec le sexe de sa proie. « Hélas je crains vous décevoir, ma chère. En vérité, il y a peu de chance que vous me connaissiez ... » Expliqua-t-elle en continuant de masturber cette délicieuse queue, décidée à la faire cracher sur le beau séant de l’autre vampire juste en face, occupée avec une démone. « Je me nomme Pélirès et je suis la Princesse d’un état allié au Bosquet. Il semblerait que quelques-unes de vos invitations à l’attention du Bosquet nous ai été gracieusement ... Offertes ! » Déclara-t-elle, déposant sensuellement ses lèvres sur le cou de Mélinda avant de répondre à son baiser. L’elfe plongea sa langue entre ses douces lèvres, venant chercher onctueusement sa langue pendant de longues et intenses minutes.

Puis, Pélirès raffermit sa poigne sur la trique de Mélinda et recommença à l’astiquer de plus belle, avec plus de force, de manière à la faire jouir rapidement. « Hmm, on ne m’a pas menti sur vous Mélinda ... Maintenant, jutez, s’il-vous-plait. » Dit-elle, invitant donc la belle vampirer à se vider les bourses sur le fessier de sa nouvelle épouse, avant de passer à l’étape supérieure. L’elfe n’en avait clairement pas fini avec Mélinda !

Pélirès... Ce nom ne disait absolument rien à Mélinda, mais la femme lui assura n’avoir aucun lien avec Tinuviel Lastrim, et être une Princesse venant d’un État proche du Bosquet de Nexus. Devant cette affirmation, Mélinda ne put s’empêcher de dissimuler sa surprise, écarquillant les yeux.

*Ah bon ?* avait-elle envie de lui demander.

Aucun mot ne sortit toutefois de sa bouche, car l’elfe l’embrassa au même moment. Des lèvres sensuelles, un corps agréable, doux, mais des mains non moins fermes, solides, avec une sacrée poigne, et des lèvres irrésistibles. Vu sa peau bronzée, elle appartenait peut-être à la catégorie des Elfes du Soleil. Si Mélinda croyait Alice sur Tinuviel, qui était également une Elfe du Soleil, ces elfes pouvaient se montrer particulièrement passionnés, tranchant ainsi avec l’image d’elfes coincés qu’on leur attribuait régulièrement. En tout cas, Pélirès avait des lèvres magnifiques, et ce n’était que le début. Sa main la masturba ensuite énergiquement, avec un talent rare, et Mélinda soupira, tout en se rappelant... Qu’elle n’avait jamais envoyé d’invitations au Bosquet !

De manière plus générale, elle n’avait circonscrit ses invitations qu’au sein de l’Empire et dans les régions environnantes, mais son mariage avec Vanillia ne nécessitait tout de même pas de ramener des dignitaires nexusiens, ou pro-nexusiens, a fortiori vu que leurs deux nations étaient en guerre. Comment donc des invitations avaient pu se perdre jusqu’au Bosquet ? Et pourquoi cette Pélirès était venue ? Beaucoup de questions, mais, en l’état, Mélinda sentait surtout le plaisir affluer.

*La dextérité de cette femme...*

Incroyable ! Mélinda couina encore, tandis que Pélirès lui demanda de « juter » sur le cul de Vanillia, le tout en y mettant les formes. Et Mélinda, malgré toute son expérience sexuelle, sentit bien que cette masturbation allait la conduire à l’orgasme. Pélirès était extrêmement douée, à tel point que Mélinda regarda encore sa femme.

Vanillia était occupée à boire le sang exquis de Samara. Un sang d’une qualité rare, et c’était clairement un immense honneur que Samara lui faisait en lui offrant sa gorge. Même Mélinda avait mis des mois avant que Samara ne daigne lui offrir ce privilège. Sous l’effet de ce sang onctueux, preuve que Samara était une démone de haute lignée, la queue de Vanillia avait grossi, son érection atteignant des sommets, et elle remuait de plus en plus frénétiquement. Samara la doigtait d’une main, enfonçant un doigt, puis un second, dans son fondement, et tenait avec l’autre le visage de la femme, caressant et griffant sa nuque.

« Ça te plaît, hein ? Tu es comme ta femme, Vanillia, suspendue à mon cou... Une vraie sangsue, haaa... »

Samara sourit doucement en sentant le plaisir croître en elle :

« Mais c’est si bon de sentir ta queue grossir comme ça en moi... Jouis, ma chérie, il y en a bien trop à relâcher pour que tu conserves tout ça dans ta bite... »

Difficile de lutter contre ce sang démoniaque, et contre la voix charmante et tentatrice de Samara, qui conduisit Vanillia à jouir... Tandis qu’au même moment, son cul se retrouva couvert de sperme. Mélinda se mit à jouir à son tour en sentant les mains de Pélirès sur son corps. Après leur long baiser, ce qui acheva de faire jouir Mélina, ce fut l’autre main de Pélirès, qui pinça l’un de ses tétons, lui arrachant alors un bel orgasme. Sa queue sembla exploser entre les doigts de l’elfe, se relâchant sur le fondement de sa femme.

Mélinda gémit de plaisir en se vidant les bourses, et tourna ensuite la tête vers la femme, reprenant un peu ses esprits, bien que sa queue soit restée encore dure...

« Co... Comment me connais-tu, Pélirès ? Et... Hmmm... Pourquoi être venue à... À mon mariage ? À moins que... Hmmm... Tu ne sois là po-Pour... Pour Vanillia... »

Qui sait ? Peut-être que les distilleries Carnelle servaient le royaume de Pélirès ? En tout cas, le moins que Mélinda puisse dire, c’est que cette superbe elfe avait un talent incroyable en matière sexuelle, et que Mélinda ne regrettait nullement de la connaître, bien au contraire !

Comment la princesse d’un état Elfique pouvait bien connaitre une vampire comme Mélinda. Il y avait en réalité plusieurs raisons à cela. Pélirès était d’une part une cliente régulière des distilleries Carnelle et, de ce fait, depuis l’union entre la dirigeante de cette distillerie et Mélinda, elle s’était intéressée à celle-ci. Mélinda Warren était non seulement très séduisante physiquement mais elle possédait également un certain charisme, qui ne laissait nullement la princesse elfe indifférente. La rencontrer était donc une belle opportunité d’en savoir plus sur elle mais, également, de voir ce qu’elle valait au lit.

Car Pélirès n’était pas une enfant de chœur. Le sexe était au cœur de sa vie, ce qui était d’ailleurs parfois surprenant pour une elfe. Ainsi donc elle expliqua ceci à la vampire tout en continuant de la masturber fortement, par sa poigne ferme et décidée. Quelle ne fut pas sa satisfaction en voyant sa vampire se mettre à jouir généreusement sur les fesses de sa femme, de la dirigeante de sa distillerie fétiche. « Là, là … » Commenta l’elfe, satisfaite, un sourire vicieux aux lèvres. Elle ne dit rien, et laissa Mélinda se retourner.

« Je ne suis là pour personne d’autre que vous, très chère. » Lui dit-elle simplement, avant de poser ses mains sur ses épaules puis pousser la vampire sur le dos. Elle ne lui laissa guère le temps de réagir alors qu’elle se hissa entre ses cuisses, allongée sur le ventre, le visage proche de sa si appétissante queue. Puis sans lui demander son avis car, elle s’imaginait très aisément que Mélinda n’irait pas contre elle, Pélirès se mit à embrasser de manière très fougueuse sa trique. Encore dure, comme si elle ne venait pas de jouir, c’était tout bonnement irrésistible. « Hmm … » Gémit-elle onctueusement, commençant donc à pomper le membre de Mélinda.

De son côté, Vanillia venait de goûter à un sang des plus appétissants. Un sang de très grande qualité, comme rarement elle avait pu en gouter. En plus, cela lui octroya un regain de force qui la fit bander encore plus férocement, alors qu’elle déjà en train de pénétrer Samara de toutes ses forces. Cette diablesse était indéniablement expérimentée … Et cela excitait furieusement Vanillia qui, grâce à ce sang, retrouvait bien des forces pour mieux la satisfaire ! En effet, d’ores et déjà au bord de l’explosion, sa queue gorgée de cette nouvelle énergie ne tint pas le coup ; la vampire ne put retenir son orgasme et se mit ainsi à gémir très lourdement alors qu’elle éjacula de toutes ses forces. Un puissant orgasme qui la fit frémir, la fit vibrer de tout son être alors qu’elle recommença nerveusement à aller et venir en Samara, la pilonnant, la labourant le plus fort que possible.

Tout cela en sentant en même temps son cul se faire bien copieusement arroser de foutre, puisque sa chérie venait de jouir dessus. Vanillia ne pouvait pas regarder derrière mais, elle supposait que Mélinda était tombée entre les mains d’une sulfureuse amante qui l’avait poussé jusqu’au bout !

Qui était donc cette terrible femme ? Sa poigne incroyable avait achevé Mélinda, mais, après l’orgasme, sa queue restait toujours aussi tendue, sa soif toujours aussi forte. Elle sentait Pélirès dans son dos, lui affirmant qu’elle était venue ici uniquement pour elle. Vanillia n’était pas capable de lui dire que cette elfe était une cliente. Pélirès lui confia qu’elle était là uniquement pour elle, et Mélinda cligna des yeux, surprise, tournant la tête vers elle.

« P-Pour moi ? Mais... »

La vampire n’eut pas le temps de rajouter quoi que ce soit que l’elfe la jeta au lit. Elle se retrouva couchée sur le dos, Vanillia et Samara derrière sa tête, et s’appuya sur ses avant-bras, avant de voir l’elfe fondre sur son sexe.

*Pour moi uniquement ? Mais pourquoi ?!*

Elle n’aurait jamais cru pouvoir attirer une elfe proche du Bosquet ici, vu que la Sylve se trouvait à l’autre bout du continent. De plus, les Hauts-Elfes de la Sylve étaient davantage proches de Nexus que d’Ashnard. Autant dire que la curiosité de la vampire était piquée à vif ! Toutefois, en étant couchée sur le dos, elle eut une impeccable vue sur la noble elfe, et sentit vite autre chose que sa curiosité être piquée à vif. Son sexe resta dur, et elle sourit devant cette beauté. Les elfes étaient vraiment des créatures magiques, d’une incroyable beauté, et ce n’était sûrement pas cette Pélirès qui allait faire exception.

Entrouvrant lentement les lèvres, Mélinda vit l’elfe descendre vers son sexe. Elle avait de magnifiques lèvres pulpeuses, qu’elle posa sur son mandrin, le recouvrant de plusieurs baisers, le dardant au passage de quelques délicieux coups de langue. Les doigts de Mélinda vinrent en réponse griffer le lit, de longs et langoureux soupirs de plaisir s’échappant des lèvres de la femme. Le corps tendu au maximum, la vampire soupira encore, regardant l’elfe agir, ondulant et s’appropriant son membre sans difficulté. C’était la règle de ce mariage : du sexe libre à volonté, comme une sorte de buffet à volonté de la chair et du stupre.

Mélinda soupira donc, la langue de Pélirès remontant sur elle, sur toute la longueur de son sexe, l’elfe embrassant également ses testicules.

« Haaa, par les vampires, hmmm... Qu’ai-je donc fait pour impressionner... Haaaann... Une femme comme toi ? »

Elle n’aurait pas la réponse immédiatement, mais ce n’était pas très grave. Mélinda était une femme habituée à mélanger sexe et discussion. Elle pouvait donc tout à fait tenir, d’autant que Pélirès était une formidable amante, et, partant de là, une superbe rencontre !

...

Juste à côté, Samara, elle, caressait d’une main les cheveux de Vanillia, et sentit avec grand plaisir la femme jouir en elle. Elle avait bu de son puissant sang, ce qui avait considérablement accru sa libido. Vanillia continua donc ses coups de reins avec encore plus d’entrain.

« Quelle énergie, hmmm... Ooooh, tu es bien la femme de Mélinda, toi ! »

Tout en souriant, l’Archimage caressa avec son autre main le cul de Vanillia, recueillant le long de ses doigts un peu de sperme, puis l’approcha des lèvres de Vanillia.

« Tiens... Le fluide de ta femme... Je pense que ce doit être le seul liquide plus agréable à boire pour toi, hmmm... Que du sang, hein ? »

Après tout, l’amour magnifiait n’importe quel goût, non ? Samara laissa Vanillia jouer avec ses doigts, et gifla ensuite le cul de la vampire. Là-dessus, c’était bien une Warren !

« Vas-y, hmmm... BAISE-MOI ENCORE !! » intima-t-elle alors.