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[FINI] "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

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Jack Taylor

Humain(e)

Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 15 mercredi 26 août 2015, 18:21:51

Jack soupira d'aise en caressant négligemment les cheveux de la petite blonde qui suçait sa grosse verge avec application, utilisant le bout de ses doigts pour masser ses testicules pleines en aspirant son gland entre ses lèvres entrouvertes. Mary était une américaine des plus délurée, qui faisait office de rabatteuse pour Jack, depuis qu'il l'avait surprise en train de se masturber dans les vestiaires des garçons et administré une correction... Mémorable. Affalé dans son fauteuil, les pantalon sur les cheville, le prétendu professeur observait avec ravissement la salle de classe, transformée en véritable baisodrome. Soucieux du bien être de ses élèves, il avait réuni les cinq dernier gaçons encore puceaux de sa classe et leur avait livré Asuka , une dure à cuire du club de Kendo qui disait préférer les filles, mais ne disait jamais non à une – ou plusieurs – belles verges dressées. La jeune femme se faisait prendre par deux lycéens en rut, et ronronnait de plaisir en tétant une troisième verge. Quant aux deux derniers garçons, ils avaient décidés de s'amuser ensemble et frottaient leurs sexes respectifs l'un contre l'autre en s'embrassant passionnément. N'y tenant plus, il attrapa Mary par le poignet, et l'aida à l'enfourcher, se mordant le lèvre inférieure lorsque son gland percuta l'intimité de la jeune fille. Celle-ci s'empala docilement en couinant, les mains posées sur ses épaules musclées. Jack la laissa imposer son rythme sur l'imposante colonne de chair, se contentant de l'encourager du regard, un grand sourire plaqué sur son visage. La petite ondulait de plus en plus brutalement, le visage dans le creux de l'épaule de son professeur, sa chevelure châtain et ondulée en désordre... Châtain ? La jeune femme leva des yeux verts amusés vers Jack et découvrit ses petites canines aiguisées. Mary avait disparu, et c'était Mélinda qu'il baisait... Ou plutôt qui le baisait. L'attrapant par les hanches, Jack serra le corps de sa maîtresse contre lui, joignant ses coups de bassins à ses mouvements de hanches, alors qu'elle le mordait sans ménagement entre le cou et la clavicule.

« Hum... Maîtresse... »

Émergeant doucement du sommeil, Jack ouvrit un œil, puis deux, avant de s'étirer de tout son long, un peu désorienté. Le décor avait changé. Il ne s'agissait plus d'un donjon, mais d'une belle chambre à coucher plutôt cossue. Qu'est-ce que... Ses souvenirs étaient chaotique et la seule chose dont il se rappelait était la douleur intensément jouissive qu'il avait ressenti à se faire prendre le cul par les acolytes de Melinda. Un léger mouvement du bassin le fit grimacer. Son anus était encore douloureux et il aurait probablement du mal à s’asseoir pendant quelques jours. La belle vampire était là, son joli postérieur posé à côté de son oreiller.

« Plus ou moins, oui », répondit-il à la maîtresse des lieux, étonné de se trouver aussi frai et dispo, après une séance aussi éprouvante. « Combien de temps suis-je resté assoupi ? »

Le songe qu'il avait fait était extraordinaire, et Jack se promis de présenter en temps voulu, la petite Mary à Mélinda, certain que la vampire apprécierait de jouir de la belle ingénue. Alors qu'il se redressait sur les coudes, Jack s'aperçut que son sexe pointait fièrement vers le ciel, le gland légèrement humidifié par un filet de semence probablement imputable à son rêve.

« Vous occupez l’entièreté de mes pensées, petite maîtresse », lança-il. « Ma queue ne se dresse que pour vous satisfaire. »

Et c'était entièrement vrai... Du moins pour l'instant. Dénué de toute pudeur, l'homme attrapa son propre sexe et commença à le masturber avec douceur. Mélinda et lui n'étaient pas seul ; dans un coin sombre de la pièce, se tenait le beau Bran, alors que debout à côté du fauteuil, une plantureuse jeune femme dotée de cornes et d'une queue préhensile l'observait avec un air singulier. Ça alors... Jack avait fait de nombreuses recherches pour son travail officieux, et au vu de ses caractéristiques physiques, il lui sembla qu'elle appartenait à l'espèce des succubes, ces démons femelles assoiffés de luxure. Jusqu'à lors l'agent Taylor ne doutait pas de leur existence, mais il n'en avait jamais rencontré jusqu'à ce jour.

« Votre château est plein de surprises, Mélinda » ajouta-il, avant de se déplacer sur le lit, collant son corps nu et tiède contre les dos de la jeune femme. Saisissant avec délicatesse la main de son hôte, Jack la porta à ses lèvres et y déposa un baiser, avant de la poser sur son sexe enflé, soupirant d'aise au contact de la paume fraîche de la vampire.

« Vous m'aviez promis une récompense, si je parvenait à ne pas m'évanouir, avant que vous ne jouissiez n'est-ce pas ? Je pense avoir rempli ma part du marché. »

Il bluffait, évidemment. Il lui semblait avoir vu Mélinda jouir avant de s'évanouir, mais n'en était pas certain, d'autant que la vampire ne boudait pas son plaisir, en règle générale. Mais il voulait croire que cet arrangement était de bonne augure. Glissant sa main vers l'intimité de la jeune femme, il se pencha pour l'embrasser avec douceur. Sans nul doute, les choses n'allaient pas tarder à dégénérer, mais cela ne l'empêchait pas de commencer tranquillement ; après tout, il venait de se réveiller.

Mélinda Warren

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 16 dimanche 06 septembre 2015, 09:04:03

Le beau Jack revenait frais comme un gardon, avec une belle trique, conformément à ce qu’on pouvait attendre des sortilèges très efficaces d’Edessa. Mélinda pouvait sentir l’excitation sexuelle de l’homme, formant une belle bosse sanguine. La Nature avait très bien doté Jack, et, assez rapidement après son éveil, l’homme était partant pour un autre rodéo, flattant au passage les délicates oreilles de la vampire de ce terme magique qui la faisait toujours frissonner : « Maîtresse »... Oui, Mélinda était bien sa Maîtresse, et qu’il l’admette aussi naturellement était très excitant. S’humectant les lèvres, elle frissonna quand Jack se glissa dans son dos, caressant son corps. Le fait qu’il soit un étalon tendait à confirmer la règle implicite avec les professeurs de Seikusu ; sauf exceptions, ils étaient tous de terribles amants sexuels, de profonds pervers... Et Jack ne faisait donc pas exception.

« Hum... Tu as dormi une bonne partie de la nuit, et Edessa a veillé sur toi... »

Edessa, la succube, lui fit un sourire. Jack l’observa, visiblement étonné devoir une femme avec des cornes et une queue caudale... Mais, dans la mesure où il s’était fait prendre tantôt par des femmes membrées, ce n’était clairement pas la chose la plus surprenante qui puisse lui arriver ici... La succube avait effectivement veillé sur ses rêves, et, vu la verge que Mélinda sentait pousser contre elle, le traitement avait fonctionné. La « petite maîtresse » était donc, heureuse, surtout que, comme Jack, elle avait bien envie de reprendre... Il fallait bien avouer que, pour l’heure, elle avait surtout eu un rôle passif, observant sans réagir, avant d’entendre Jack revenir sur la promesse de la femme.

Mélinda sourit alors, et se retourna vers lui. Sa main se posa sur le torse nu de l’homme, et elle embrassa les lèvres de l’Américain. Théoriquement, Mélinda aurait pu chipoter, mais... Elle sentait la grosse verge de l’homme. Pendant qu’il avait dormi, Edessa l’avait travaillé au corps, et il était dans le même état qu’un homme se réveillant le matin après des rêves particulièrement érotiques, des rêves qui auraient amené un homme à vouloir se retourner vers sa copine, ou à se masturber sur place. Edessa l’avait amené dans cet état, et le fait qu’il puisse parler, prendre son temps, et réfléchir, illustrait chez Jack toute son excitation, tout ce qu’il était profondément : un profond pervers.

Et c’était ça qui attirait Mélinda. Elle l’embrassa donc pendant quelques secondes, puis s’écarta un peu, et se pencha en arrière, tout en s’appuyant sur ses mains, ce qui eut pour effet de légèrement relever ses seins, offrant ainsi au regard de Jack le spectacle de son corps, superbement bien moulé à son goût dans sa longue robe dorée. Penchant ensuite la tête sur le côté, elle lui répondit :

« Oui... Et ta Maîtresse tient toujours ses paroles, Jack. Toutefois... »

Elle suspendit sa phrase pendant quelques secondes, comme pour maintenir le suspens, avant de reprendre :

« Si tu veux me prendre par les fesses, je veux que tu me baises sauvagement. Traite-moi comme si j’étais une chienne, et défonce-moi le cul... »

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Jack Taylor

Humain(e)

Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 17 dimanche 06 septembre 2015, 22:31:42

Edessa était donc le nom de la créature aux cheveux roses et aux yeux d’émeraude. Jack lui rendit son sourire et s’apprêtait à répondre lorsque sa maîtresse se retourna pour l'embrasser. Les mains du professeur se crispèrent sur le cul d'albâtre de la vampire tandis-ce qu'il lui rendait son baiser. Entre le corps gracile de Mélinda et son torse musculeux, sa verge se dressait, plus érigée que jamais. Lorsqu'il lui avait défoncé le cul sans autorisation la première fois, Jack avait pris Melinda pour une délurée qu'il pouvait soumettre à la moindre de ses volontés... Il mesurait aujourd'hui l'étendue de son erreur. Non seulement la jeune femme l'avait maté, mais en outre elle avait réussi à se l'attacher à jamais ; il n'y avait à présent rien d'autre que le professeur désirait que de se vautrer inlassablement dans le stupre avec sa petite maîtresse. Et à présent, sa maîtresse allait le récompenser de ses bons offices.

«  Si je veux vous prendre par les fesses ? » Jack eût un large sourire. Il ne désirait rien de plus au monde. « Je vais vous démolir le cul avec ma grosse bite, maîtresse.... Je vais vous défoncer jusqu'à ce que vous demandiez merci ! »

Aguicheuse, Melinda s'était reculée sur le lit, le buste projeté vers l'avant. Attrapant la vampire par la cheville, il la déséquilibra pour qu'elle tombe sur le dos, les bras en croix, et leva le petit pied à hauteur de ses lèvres, comme il avait vu Bran le faire, quelques heures auparavant ; lui aussi voulait vénérer les petons de sa petite maîtresse. Posant ses lèvres sur le dessus du pied, il y apposa d'abord ses lèvres en reniflant le parfum entêtant de la peau de son hôte, puis commença à en lécher doucement la plante, avant de tout bonnement engouffrer plusieurs de ses orteils dans sa bouche, les suçant avec avidité les yeux mi-clos, sa main s'activant lentement sur sa verge gonflée.

« Hmm... »

Après quelques secondes de ce traitement, Jack se pencha au dessus de Melinda, et joignit une nouvelle fois leurs lèvres. Ses yeux vairons débordaient d'un désir fiévreux et il avait écrasé son gros sexe bouillant contre le ventre de la vampire, agitant doucement le bassin pour le stimuler, quelques gouttes de pré-sperme maculant la peau tiède de la vampire alors que l'une de ses mains s'était égarée sous sa robe pour malaxer l'un de ses petits seins.

« La petite maîtresse veut être traitée comme une chienne hum ? Comme une grosse salope ?

Jack avait pris Mélinda au mot et sa main s'était doucement refermée sur la gorge de son amante. Il ne la serrait  pas suffisamment pour lui faire vraiment mal, mais assez pour donner le ton de ce qui allait suivre. La relâchant soudainement, il la saisit par les épaules et l'aida à se retourner, pour qu'elle lui présente ses fesses.

« Une bonne chienne doit savoir se mettre à quatre pattes », commenta-il, en la troussant sans ménagement jusqu'à la taille, avant d'envoyer une belle claque rougir son postérieur.

La culotte qu'elle portait lui fut tout bonnement arrachée et lançant un regard complice à Edessa il écarta les jolies fesses galbées de la vampire, exposant son anus aux yeux de tous. Avoir un public ne dérangeait pas Jack, bien au contraire, d'autant qu'il avait le pressentiment que celui-ci ne resterait pas bien longtemps passif. En définitive, il s'apprêtait à la traiter comme il l'avait fait dans la salle de classe... A la différence près qu'il agissait sur ses ordres et avec le profond désir de lui plaire.A la vue de sa corolle, l'excitation le disputait à une certaine perplexité ; comment un orifice aussi étroit avait-il pu accueillir une grosse queue comme la sienne ? Gardant les deux fesses de la petite vampires écartées, l'homme glissa le bout de sa langue avide dans son fondement, entreprenant de lents détourage. L'une de ses mains se déplaça vers l'avant pour venir caresser le clitoris de son amante. Si Jack était un inconditionnel de la sodomie, il savait qu'une stimulation vaginale ou clitoridienne pouvait démultiplier un orgasme anal. Lorsqu'il sentit la jeune femme suffisamment détendue, il glissa le bout de son majeur et de son annulaire en elle, sans cesser de stimuler son entrée principale.

« Une bonne chienne doit aussi savoir réclamer, si elle veut se faire enculer », glissa-il, haletant d'une voix rauque. Il était si excité qu'il lui semblait que sa queue allait juter à la moindre caresse. Agitant vivement ses doigts en elle, il se pencha à son oreille pour lui glisser quelques mots, presque tendrement.

« Réclame, grosse chienne, réclame ma belle bite ! »

Jack et Melinda partageaient - outre leur goût pour la sodomie- une forte propension à la vulgarité pendant l'acte sexuel, et il savait que ces mots l'exciteraient probablement autant que lui. Assurément, cette partie de jambes en l'air promettait d'être mémorable !

Mélinda Warren

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 18 mardi 08 septembre 2015, 02:31:19

Mélinda avait vraiment un problème avec la sodomie... De fait, elle adorait se faire défoncer le cul. Pas autant qu’une Infernoise, mais il est vrai que, dans ses rapports sexuels, la pénétration anale rentrait, tôt ou tard, en ligne de compte. Cette douleur jouissive et exquise qui vous traversait... Les siècles n’avaient nullement restreint les ardeurs de Mélinda dans la matière, et, si on aurait pu croire que, en tant qu’esclavagiste et dominatrice, elle refusait qu’on la pénètre, ce serait lourdement se tromper. Mélinda, en réalité, avait un principe simple : elle se devait d’être capable de subir tout ce que ses esclaves enduraient, afin de montrer à quiconque qu’elle était à la fois comme eux, et meilleure qu’eux. Une philosophie spéciale, résultant de son éducation atypique, puisqu’elle était une ancienne esclave devenue esclavagiste. Elle s’était donc mise à quatre pattes, s’attendant à ce que Jack, ce professeur pervers, vienne la labourer avec sa sauvagerie habituelle... Mais, au lieu de ça, l’homme appuya sur sa cheville, et renversa la jeune vampire, avant de lui lécher le pied, ce qui la fit gémir... Et soupirer.

« Hum... Ah, Jack, tu me prends par les sentiments... »

Petit homme espiègle... Amusée plus qu’autre chose, Mélinda se dandinait sur le lit, laissant la bouche de l’homme agir avec délectation sur son pied. Ce fut une simple invitation, et Mélinda interpréta ça comme un rappel. Un rappel que, quoi qu’il allait se passer maintenant, ce ne serait qu’un jeu, un rôle d’acteurs (la spécialité de Mélinda), et que Jack resterait son esclave... Et un professeur esclave, c’était toujours bien pratique, surtout quand il était bien membré et aussi assoiffé qu’un taureau. Il finit ensuite par s’avancer, aboyant des mots sales, pervers, faisant sourire Edessa. Silencieuse, la succube ne comptait guère partir. Pour rien au monde, elle ne comptait manquer la sodomie de sa Maîtresse. Pour rien au monde...

Jack prépara le terrain, la soulevant ,la claquant, faisant soupirer Mélinda, qui adorait autant qu’on embrasse et qu’on brutalise son corps. Jack l’avait bien compris, mais savait aussi qu’une sodomie à sec n’était guère agréable. Edessa s’excitait de voir sa Maîtresse être battue, et se mordilla les lèvres quand l’homme lécha son fondement, insérant sa langue dans sa croupe. Les mains de Mélinda s’enfoncèrent dans les draps, et elle se mordilla les lèvres, soupirant longuement en arquant son corps vers l’avant. Sentir cette tête pressée contre ses fesses lui arracha un long soupir de satisfaction, et elle le laissa continuer à s’amuser.

« Hum... »

Après ce contact buccal, il glissa un doigt en elle, tout en la provoquant, en lui disant qu’elle devait savoir réclamer. Mélinda poussa un nouveau soupir en se pinçant les lèvres, sentant le désir croître progressivement en elle, remontant tout le long de son corps. Ses seins tendaient à devenir un peu plus lourds, ses tétons érigés vers l’avant.

« Ouuiii, Jack... Viens me faire baiser, humm... Défonce-moi le cul. Baise-moi comme si j’étais la Reine de toutes les foutues pétasses de salopes de cette saloperie de Terre... »

Venant d’une voix aussi douce et sensuelle, ses injures étaient comme une invitation au sexe sauvage et débridé.

« Baise-moi, allez, Jack... À moins que tes couilles ne soient hypertrophiées, hum ? Penses-tu pouvoir me faire hurler, moi, la Reine des putes ? Me faire hurler à m’en casser la voix ? »

Chaude comme dix volcans en éruption, Mélinda tourna alors sa tête vers lui, plantant dans son regard ses yeux verts, son regard brûlant d’une intensité terrible.

« Je ne suis pas une vulgaire pétasse, Jack, pas comme ces lycéennes prudes que tu besognes allègrement... Moi, je suis une Reine. On me défonçait mon cul pendant que tu tétais encore les seins de ta mère et que tu chiais dans tes couches... Tu te sens à la hauteur avec ta matraque ? Baise-moi. »

Tout simplement.

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Jack Taylor

Humain(e)

Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 19 mercredi 09 septembre 2015, 15:51:27

Alors que sa main allait et venait sur sa grosse verge bandée, Jack se disait que le sexe avait ceci de fantastique qu'il permettait le paradoxe, la conciliation des contraires. Le traitement qu'il avait subi chez la jeune vampire l'avait bouleversé et conduit à considérer Mélinda comme sa maîtresse, un être supérieur qui méritait respect, obéissance et dévouement. Or  malgré sa déférence, ou plutôt à cause de celle-ci, il s'apprêtait à baiser l'adorée petite maîtresse devant ses esclaves, comme la grosse pute délurée qu'elle était. Un sourire concupiscent étirant ses lèvres pleines, l'homme envoya une belle claque rougir le cul de la vampire. La petite était en proie à un désir aussi violent que le sien, comme l'attestaient sa respiration haletante et son langage fleuri ; la petite maîtresse réclamait sa grosse bite, ce qui le rendait ivre de désir.

« La petite maîtresse est impatiente », s'amusa-il en frottant la muqueuse tiède de son gland contre l'orifice palpitant. 

Oh, il comptait bien la faire crier, et donner à leurs deux discrets observateurs l'envie de les rejoindre pour se vautrer dans le stupre. L'homme se redressa de toute sa hauteur et posa la paume de sa main au dessus des fesses de la jeune fille, guidant sa queue joufflue de sa main libre. La verge percuta l'anus une, puis deux fois, avant de s'engouffrer de quelques centimètres dans le rectum brûlant de Mélinda, arrachant un râle rauque de plaisir au professeur. La petite maîtresse était serrée comme une pucelle et sa bite lui faisait presque mal.

« Haaa... putain, c'est si étroit... T'es tellement bonne !»

La sodomie était un art que Jack maîtrisait à la perfection. Il savait que certaines femmes avaient besoin d'une longue préparation, et d'une intromission en douceur... Mais il savait aussi que sa maîtresse partait au quart de tour, et qu'il n'avait pas besoin de les ménager autant que les « lycéennes prudes » qu'il dévoyait. Mélinda s'autoproclamait elle-même la Reine des putes, et Jack la croyait sur parole ;Il n'avait jamais vu une femme réclamer une sodomie avec tant de majesté. Jack se pencha en avant sur la croupe de son amante, écrasant les muscles saillants de son torse glabre contre le dos de cette dernière, enfouissant son nez dans la chevelure châtain de son hôte pour s'enivrer de son odeur entêtante. Refermant à nouveau l'une de ses mains sur la gorge de la vampire, il glissa la seconde entre ses cuisses pour branler son clitoris du bout de ses doigts, alors que son énorme verge turgescente s'enfonçait inexorablement dans son cul, faisant céder ses sphincters. Comme d'accoutumé, l'immoralité de la situation exacerbait son désir ; Mélinda était une vampire et elle était probablement bien plus âgée qu'il pouvait l'imaginer... Pour autant elle avait l'apparence d'une toute jeune lycéenne, lycéenne qui accueillait dans son cul une bite aussi épaisse que son avant bras. Quelques secondes plus tard, ses couilles gonflée s'écrasait contre son con avec un claquement humide.

« Hmm... La petite maîtresse est une traînée, regardez comme elle mouille quand on l'encule... Ahh... »

Jack s'immobilisa quelques secondes ; il avait manquer d'éjaculer immédiatement, tant la pression que ce petit cul serré exerçait sur sa verge était forte. Respirant profondément, les yeux embrumés par la luxure, il attrapa fermement la vampire par les hanches, imprimant la marque de ses doigts sur sa peau tendre, puis recula légèrement le bassin, avant de le rabattre doucement sur les fesses de Melinda. Les choses sérieuses commençaient et maintenant qu'elle était bien ouverte, il la limait avec une lenteur calculée, pour la faire bouillir d'impatience, pour la faire supplier encore. Il poussa même le vice jusqu'à rester immobile quelques instants pour voir si la petite s'enculait d'elle-même sur son chibre démesure. Cependant, il ne tint pas bien longtemps à ce rythme et insensiblement ses assauts se firent plus vifs, plus sauvages, alors qu'il perdait le contrôle, insultant copieusement sa maîtresse ; à coup sûr, elle le punirait probablement pour son insolence... Mais Jack n'en espérait pas moins d'elle.

« Elle te plais ma belle queue hein ? Lâcha-il entre deux ahanements rauques. Petite pute va, grosse chienne ! »

Se sentir observé ne refrénait pas les pulsions du beau professeur ; au contraire, cela le poussait à être plus violents, plus spectaculaire. Alors qu'il attrapait Mélinda pour faire basculer leurs deux corps tièdes sur le flanc, il croisa le regard de la belle succube, à laquelle il adressa un sourire concupiscent, soulevant la cuisse de la vampire pour qu'elle ne manque pas une miette de la scène, en plongeant ses yeux vairons dans les iris émeraudes de la jeune femme, guettant avec avidité la moindre des réactions de cette dernière. Si au fond de la salle Bran ne pipait mot, Jack espérait que voir sa petite sœur se faire défoncer était de nature à réveiller ses ardeurs. 

« Insulte-toi, petite maîtresse... Insulte-nous... »

Ces derniers mots avaient été prononcés avec une tendresse, juste avant que l'homme ne se penche vers sa belle amante pour presser ses lèvres contre les siennes, et envoyer sa langue à la rencontre de celle de Melinda, lui offrant un baiser d'une langueur et d'une douceur qui contrastait avec la brutalité avec laquelle il lui éclatait le cul, son bassin percutant frénétiquement ses fesses avec des claquement sonores, entrecoupés de râles et de gémissements sonores.

C'était l'une des baises les plus incroyables de sa vie.

Mélinda Warren

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 20 vendredi 11 septembre 2015, 02:03:48

Le beau Jack en avait bien de la chance, d’avoir comme Maîtresse une femme qui ne soit pas tant que ça à cheval sur son autorité, et qui, partant de là, appréciait aussi de se faire traiter comme une esclave. C’était son point de vue ; on ne pouvait prétendre être une bonne dominatrice si on n’était pas une bonne soumise. Les contraires s’attirent en matière sexuelle, et, sur ce point, Mélinda était entièrement d’accord avec Jack. C’était bien pour ça qu’il ne fallait rien laisser au hasard, et que Mélinda s’évertuait à être à la fois la plus redoutable des Maîtresses, mais aussi la plus salope des esclaves, de manière à voir ce qu’on pouvait ressentir quand on était de l’autre côté. Les frissons d’impatience, la nervosité, la peur... C’était très beau en théorie, mais, en pratique, quand on avait des siècles de baise dans les pattes, on ne pouvait guère s’attendre à raisonner comme une jeune pucelle. Dans son dos, Jack s’impatientait, et son sang hurlait dans sa poitrine, indiquant toute son impatience, toute son envie, toute son excitation à l’idée de baiser avec elle, de la prendre sauvagement et sans relâche. Ils allaient se faire longuement et joyeusement l’amour, Mélinda en était convaincue, et elle en tremblait d’excitation à cette idée.

L’homme s’enfonça alors en elle, avec sa queue énorme, cette verge tendue et disproportionnée que Mélinda avait déjà eu l’occasion de sentir... Monté comme un cheval, Jack commença alors à remuer, usant de son corps musclé, s’abattant sur le corps de poupée de la vampire, faisant longuement soupirer cette dernière. Il fallait réussir à suivre le mouvement, et, pour ça, la vampire soufflait longuement. Peu de préliminaires avant cette sodomie, confirmant l’expérience de Mélinda dans ce domaine. Une expérience qui ne cessait de surprendre à chaque fois, et de longs soupirs s’échappèrent de ses lèvres, alors que, très rapidement, sa mouille finit par venir, glissant le long de ses cuisses pour tomber sur le lit.

« Haaaaa... Haaaannnn !! »

De longs soupirs s’échappaient des lèvres de la femme, son corps tressautant sous les assauts de l’homme. Jack était vraiment un diable d’amant, et, à chaque seconde qui passait, il s’évertuait à le rappeler. Faisant ployer Mélinda, l’homme continuait à tressauter contre elle, et finit par la coucher sur le lit, s’emportant avec elle, se couchant sur le flanc. Il la baisait avec une telle force, une telle férocité... Observant ce spectacle, Edessa était loin d’y être insensible, sentant tout son corps trembler, ses seins durcir, tandis que sa respiration devenait plus lourde, plus rauque, plus... Plus chaude. Un spectacle magnifique, voilà la danse à laquelle elle insistait, et elle s’en régalait.

Du fait de leur nouvelle position, les coups de reins avaient légèrement ralenti, mais Mélinda, en réalité, ne le sentait pas beaucoup. Les joues rouges, elle avait cette bite nichée dans son cul, la sentant remuer joyeusement en elle, la transperçant sur place... Et, quand l’homme l’embrassa, ce fut pour goûter à sa salive, que la vampire avait du mal à retenir, tant elle était... Remuée. Elle répondit à son baiser, et posa sa main sur la nuque de l’homme, s’y crispant en grognant, continuant à se tortiller sur le lit.

« Haaa... Haaaan... »

De délicieux mots s’échappèrent ensuite des lèvres de l’homme, faisant sourire Mélinda, qui dut néanmoins reprendre son souffle pour retrouver sa langue :

« Hummm... Tu... Haaa... Tu aimes ça, hummm... Baiser le... Le petit c-cul de ta Maîtresse... Haaa... Me baiser comme une pute... Ça.. Ça t’aide à oublier le fait que c’était toi, tan-tantôt, qui... Haaa ! Qui te faisait... Te faisait baiser comme si tu étais ma petite pute... Hum ! Putain, haaaa... Remue-toi, Jack.. Haaa... Allez, allez, REMUE-TOI ! Est-ce là TOUT, haaaaaaaaaaaaaa ?!! Ne me dis pas que tu es d-déjà épuisé, haaaaa... BAISE-MOI, ALLEZ ! Remue-toi le cul, et défonce-moi encore, encore, ENCORE, HAAAAAANNNNNNNN... !! »

DC d’Alice Korvander.

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Jack Taylor

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 21 dimanche 20 septembre 2015, 15:31:28

Comme on pouvait s'y attendre de la part d'une salope plusieurs fois centenaire, le cul de Melinda se détendit relativement rapidement, une fois passés les douloureux premiers coups de reins, et l'énorme chibre boursouflé du professeur put coulisser avec aisance dans son rectum tiède et humide. Le beau diable connaissait désormais suffisamment son élève pour savoir qu'elle n'attendait pas de lui qu'il la ménage et il la défonçait avec  dévotion, poussant un râle rauque chaque fois que ses couilles pleines percutaient son postérieur laiteux.

« Haaan... T'es... Tellement bonne, petite maîtresse ! »

Échauffée, son petit corps gracile rebondissant brutalement contre le bassin arqué de son amant, la belle lui retourna son baiser et les deux amants échangèrent lascivement leurs salives, alors que Jack empoignait l'une de ses petits seins alourdis par l’excitation, le malaxant doucement avec sa paume, avant d'en triturer cruellement le téton érigé avec la pulpe de son majeur. Accédant à sa requête, la vampire l'abreuva d'insultes de sa petite voix suave de salope. Ses mots résonnaient dans la tête de Jack, nourrissant son désir, stimulant sa vigueur. Oh oui, il avait aimé se faire défoncer le cul sur les ordres de sa petite maîtresse aux yeux d’émeraude. Et maintenant il avait l'occasion de lui rendre la monnaie de sa pièce, de faire descendre la petite princesse aux cheveux châtains de son piédestal en la faisant couiner comme une pute avec sa grosse queue. L'homme délaissa sa petite poitrine pour lui asséner de belles claques sur les fesses, rougissant sa peau d'albâtre, se penchant pour coller ses lèvres à son oreille, renchérissant sur la même thématique ordurière, et ô combien aphrodisiaque.

« Tu... Tu n'as pas honte de te faire ainsi traiter par tes esclaves ? Comme un... Vulgaire vide-couille ? Mhh... »

La pièce embaumait le stupre, la sueur et la cyprine et Jack sentait qu'il perdait le contrôle ; Mélinda était tout simplement trop bonne et il sentait qu'il n'allait pas tarder à jouir. Ralentissant progressivement la cadence, il finit par s'immobiliser totalement, et glisser une main experte entre ses cuisses pour branler consciencieusement son clitoris. La petite mouillait tant que les draps, leurs cuisses respectives et ses couilles étaient trempés de son jus intime. Se perdant dans sa longue crinière, l'homme enfonça deux de ses doigts dans son intimité, reprenant sa sodomie avec une lenteur calculée.

« Encule-toi, petite maîtresse, je veux que tu t'empales comme une grande sur ma grosse queue...comme... Comme la pire des chiennes. Allez remue ton cul ! »

Jack avait une nouvelle fois saisi  Melinda à la gorge et lui mordillait le cou, refrénant avec peine son envie de reprendre une vitesse de croisière. Une fois de plus, il ne tint guère plus de quelques secondes avant d'attraper la petite vampire par les hanches, enfonçant ses doigts dans sa chair tendre en haletant. Son cœur battait à tout rompre et sa queue convulsait, planté dans le cul de sa maîtresse. Retirant entièrement sa verge de l'anus à présent distendu de sa petite amante, il la réintroduisit brutalement jusqu'au couilles, produisant un bruit mouillé des plus obscènes. Les yeux quasiment révulsés, l'homme lui démolissait à présent littéralement le cul, sans égard pour la fragilité apparente de son corps gracile d'adolescente. Usant de son fessier musculeux pour envoyer son chibre au plus profond de ses entrailles, il usait de ses biceps pour la ramener à lui en grognant comme un animal en rut.

« HAAA... ! La Reine des... Putes, tu es... vraiment la Reine des putes, ma belle ! Jouis, petite maîtresse, jouis avec ton... Avec ton cul de...de CHIENNE ! »

Les insultes fusaient, sans réelles logiques, l'homme n'étant plus réellement en état de réfléchir, défonçant Melinda sans vergogne, et continuant de temps à 'autre à la gratifier de claques sonores qui rougissaient sa peau de poupée. Il la besognait avec une telle violence que la tête de la jeune femme s'agitait d'avant en arrière, percutant les pectoraux tendus de son amant, qui usait d'elle comme un véritable sac à foutre.

« HAAAANNNNN ! »

Pour la énième fois, les bourses lourdes et juteuses s'écrasèrent contre la chatte trempée de Mélinda, projetant un peu de cyprine alentour, alors que Jack explosait littéralement dans son cul, son gros chibre expulsant de phénoménales quantités de foutre brûlant, par longs jets puissants. Ahanant comme un aliéné alors qu'il jutait en elle, il attrapa le menton de la vampire pour l'embrasser à nouveau avec voracité, la gratifiant de derniers coups de bassin désordonnés. Presque horrifié par la longueur de l'orgasme qui le foudroyait et par la quantité de sperme qu'il expulsait et qui arrondissait le petit ventre de son amante, il finit par se laisser tomber sur le dos, son sexe colossal amolli glissant hors de l'anus de la jeune femme, libérant une quantité invraisemblable de foutre qui souilla les draps.

« Petite maîtresse je... Je veux te baiser encore et encore. Ma queue...Et mon cul sont tout à toi », glissa-il, les yeux mi-clos, sa main s'égarant sur la hanche tiède de son amante, qu'il attira doucement à lui, enlaçant son corps gracile, posant ses lèvres entre ses omoplates. Contre ses abdominaux saillants, son chibre avait molli, mais son érection était encore présente alors que d'ultimes coulées de sperme s’échappaient lentement de son méat pour couler sur son abdomen. Le professeur encore abruti par l'orgasme ne doutait pas qu'il ne lui faudrait que quelques minutes pour être à nouveau d'attaque... Et si tel n'était pas le cas, Mélinda trouverait forcément un moyen de le stimuler.

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 22 jeudi 24 septembre 2015, 09:56:31

Le poids sexuel des mots... Ils résonnaient dans l’esprit de Mélinda et dans celui de Jack, les libérant, les relâchant, les donnant envie de faire l’amour, de le faire salement. Du sexe sauvage et intense, exactement comme Mélinda l’aimait avec les hommes bien membrés. Jack s’en sortait à la perfection, et la manière dont il lui défonçait le cul... Hum... On l’entendait hurler, gémir, se mordillant les lèvres, au fur et à mesure que l’homme, insatiable, continuait à la prendre et à la gifler. Il y allait rudement, avec une énergie incroyable pour un simple humain, faisant voler la vampire, dont la mouille filant à toute allure exprimait très clairement tout son désir. Tandis qu’il lui bourrinait le cul, elle avait eu un orgasme, ce qui n’avait nullement stoppé l’ardeur du beau Jack, qui continua à la bourrer. Il grognait, soupirait, l’insultait, et elle, elle ne pouvait que couiner, et lui répondre, ses ongles s’enfonçant dans la couverture, devenues de belles griffes vampiriques qui pouvaient vous lacérer joyeusement la peau.

Et puis, l’orgasme de Jack vint. Il s’enfonça en elle, et, dans un grand soupir, Mélinda sentit son sperme se faufiler dans son corps, par de multiples chapelets. L’homme lui avait joyeusement meurtri le cul, sous le regard ravi de la belle Edessa, qui était, elle aussi, très impressionnée par les talents de ce bel homme aux cheveux verts. Pour un simple humain, il s’en sortait bien, et, de fait, la queue caudale de la succube s’était déplacée pour se masturber tendrement, tandis qu’elle admirait ce spectacle. L’homme ayant qualifié Mélinda de « reine des salopes » s’affala ensuite sur le lit, laissant le long de sa verge un filament de foutre. Mélinda, de son côté, se retourna lentement, reprenant son souffle, une main sur son ventre.

« Haaa... Je sens ton sperme en moi, hum... C’est vraiment très agréable comme sensation... Tu as beaucoup joui, mon salaud... »

Il s’était joyeusement répandu en elle, en effet. Cependant, là où Jack n’était qu’un humain, elle, elle était une vampire, et elle finit par repartir en avant, sa tête venant se nicher près de son sexe. Jack, en soupirant, lui avait préalablement dit que son corps était à elle... Ses fesses comme son sexe. Le choix était difficile, mais elle finit par opter pour son sexe.

« Ta queue est sale... Je crois qu’il faut déjà commencer par la nettoyer un peu... »

C’était, pour ainsi dire, le minimum envisageable. Elle commença donc à lécher ce sexe, comme une sorte de friandise, ses mains posées sur ses hanches, et remua donc dessus, avant d’aller le prendre en bouche, commençant à le sucer, plus dans le but de réveiller l’excitation de l’homme, que de vraiment le faire jouir.

Et, tout en faisant ça, la vampire relevait les yeux, fixant le regard de l’homme, sa tête venant se déplacer d’avant en arrière, ses tendres lèvres glissant sur ce morceau de chair, avalant rapidement son foutre, sa langue venant ensuite lécher la partie du sexe qui disparaissait dans sa bouche.

C’était une manière comme une autre de réveiller l’excitation d’un homme.

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 23 lundi 28 septembre 2015, 21:45:27

Comme on pouvait s'y attendre de la part d'une vampire, la jolie Mélinda semblait plutôt en forme, pour une femme qui venait de se faire éclater le cul par un chibre monstrueux. Observant son ventre légèrement plus arrondi qu'à l'accoutumé, Jack ne put s'empêcher de sourire avec une certaine fierté ; il avait rarement autant juté et le surplus de foutre dégoulinait entre les cuisses rougies de la vampire. L'homme n'avait pas lésiné sur la violence de ses claques ; il savait que Mélinda avait d'autant plus apprécié sa sodomie.

« J'en ai encore beaucoup en réserve, petite maîtresse. Je n'ose pas imaginer que tu sois déjà satisfaite, avec une seule petite sodomie ».

Un sourire narquois était apparu sur les lèvres du prétendu professeur. Comme pour lui répondre, la petite vampire se rapprocha de lui, les yeux rivés sur sa verge, légèrement dégonflée. Jetant un rapide coup d’œil à Bran du coin de l’œil, Jack se demanda si le vampire lui, avait besoin de quelques minutes de repos avant de reprendre ses ébats. Probablement pas. Melinda et son frère semblaient conçus pour le sexe et Jack se surprit à penser qu'en fin de compte, il aurait bien aimé être un vampire lui aussi. Cela l'aurait probablement rendu encore plus vigoureux, plus brutal et... Plus vicieux.

« Hmm... Ouais.... »

Jack n'était pour l'heure, plus très loquace, mais Mélinda l'était suffisamment pour eux deux. Penchant sa petite têtes bouclée sur son bassin, elle fit courir sa langue sur sa hampe. Les yeux rivés sur sa petite maîtresse, Jack tendit la main pour la poser sur la chevelure châtain de la vampire, laissant ses gros doigts se perdre dans ses boucles soyeuses. Finalement ses lèvres se posèrent sur son gland souillé, et elle le prit en bouche sans plus de cérémonie, le gros membre pourtant débandé déformant ses petites lèvres roses, et ses joues rougies par l'effort. Melinda s'y prenait diablement bien et bien qu'il ait joui quelques secondes plus tôt, l'imposteur sentit son sang refluer lentement vers son chibre. Souriant à son amante qui guettait ses réactions de ses beaux yeux vers, l'homme fit glisser le revers de sa main sur la joue de porcelaine de la petite maîtresse, qui s'appliquait à engloutir tout le foutre dont sa verge était souillée.

« Petite maîtresse je... je crois que tu devrais également nettoyer le sperme qui a coulé sur mes couilles ».

Jack ne mentait pas ; lorsqu'il avait joui en elle, le surplus de semence qui s'était échappé de son anus dilaté avait coulé le long de sa verge, inondant ses bourses et s’infiltrant dans la raie brune de ses fesses. Relevant les jambes pour lui faciliter l'accès à ses testicules, l'homme exposa également à la vue de tous son anus palpitant, encore dilaté de ses ébats précédents. Comme bien des hommes – même si bien peu l'avouaient - le contact d'un corps étranger avec sa prostate redonnait à son chibre sa pleine vigueur en quelques instants... Et il était indubitable que la Reine des putes devait en connaître un rayon sur le sujet.

« Tu devrais... Me fourrer un doigt ou deux dans le cul... Généralement ça... Accélère le processus ».

L'homme s'était efforcé de prendre un ton badin, mais l'excitation qu'il ressentait à l'idée de se faire doigter le rectum par sa petite maîtresse était lisible sur son visage. Les yeux brillants, la bouge entrouverte, Jack Taylor bouillonnait d'impatience, par ailleurs, le traitement de Mélinda commençait à faire effet, et sa verge reprenait progressivement de sa superbe entre ses lèvres avides. Après cette violente sodomie, Mélinda ne serait probablement contre l'envie de se venger... Et Jack comptait bien là-dessus. 


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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 24 mardi 06 octobre 2015, 10:43:49

Cette sodomie n’avait été qu’un simple début, en effet. Mélinda le savait pour l’avoir goûté : Jack était un homme endurant, un homme qui n’allait pas simplement se contenter d’une sodomie, surtout après avoir eu ses rêves ensemencées par la magie rose d’Edessa... Une magie rose qui continuait à flotter en l’air. Quand elle était excitée, Edessa agissait comme ces plantes aphrodisiaques qu’on trouvait dans certaines forêts de Terra : elles émettaient une poussière rose qui désinhibait les gens passant par là. Edessa le faisait instinctivement, surtout quand, comme ce moment, elle était en manque. Se mordillant les lèvres, la Succube se dandinait sur la chaise, Bran restant à côté d’elle. Imperturbable, son grand-frère observait sans mot dire sa petite sœur en train de se faire déboîter le cul, ce qui confirmait l’étrangeté de leurs relations filiales, reposant aussi bien sur l’amour que sur la cruauté.

Et, pour l’heure, tous les regards étaient tournés autour de la fellation de la vampire. Cette dernière remuait la tête d’avant en arrière, tout en relevant les yeux, observant ainsi le visage de Jack. Voir la bouche d’une fille en train de vous sucer la queue, tout en vous regardant, avait souvent de quoi exciter furieusement les hommes... Surtout quand la fille en question avait un beau visage d’ange. C’était ce qui faisait l’un des charmes de la vampire : avec son visage poupon, on avait du mal à voir en elle la redoutable vampire qu’elle était. Elle pouvait volontiers apparaître comme un vrai petit ange, et, pour ceux qui avaient encore des doutes, il suffisait de se plonger dans ses absorbants yeux verts.

« Hum-hummmm... »

Ses dents filaient le long de son mandrin, et sa langue léchait ce dernier, tandis qu’elle creusait ses joues en aspirant l’air. Elle s’enfonçait lentement contre lui, sentant ce gros sexe lui remplir la bouche. Pour un homme, Jack avait vraiment une fougue exceptionnelle. Être un vampire n’aurait fait qu’améliorer ses attributs, et l’aurait transformé en véritable machine de sexe, car les périodes de creux qu’il ressentait après s’être déchargé seraient beaucoup plus courtes, voire inexistantes. Les vampires mâles étaient de vrais étalons au lit, mais Mélinda n’en était pas encore à ce stade-là avec Jack... Même si elle lui reconnaissait volontiers d’être un très bon amant.

La tête de la vampire filait donc le long de son sexe, lentement, savourant cette peau chaude et concentrée, quand il lui demanda de lécher ses testicules, tout en glissant ses doigts dans ses fesses. Mélinda esquissa un léger soupir, puis retira sa bouche du sexe, laissant le long de ce dernier sa salive, puis, sans rien dire, mais avec une lueur espiègle se dessinant dans ses yeux, elle se pencha sur le côté, son nez et sa joue venant frôler ce vit, et elle lécha donc ses testicules, en soupirant de manière un peu exagérée... Juste pour l’exciter.

« Hum... Tu aimes qu’on te lèche les couilles, hein ? Vilain garçon... »

Mélinda aimait bien jouer, d’un point de vue sexuel, et elle veillait à se contenter de lécher. Les poils pubiens étaient sensibles, et elle n’avait guère envie de transformer ce tendre moment en instant de torture. La vampire léchait donc, et, entre-temps, elle déplaça sa main, et la posa sur les fesses de l’homme. Elle s’en servit pour écarter le passage menant à sa croupe, en séparant l’une de ses fesses, et glissa ensuite son autre main, venant nicher un doigt dans sa rondelle. Elle soupira de plaisir, puis enfonça un second doigt, et commença à les remuer, faisant preuve de son expertise en la matière.

Cependant, plus elle agissait, et plus une autre femme était encore plus impatiente... Ce qui amena ladite personne, Edessa, à se rapprocher. Elle se rapprocha du duo, et fléchit les genoux, se retrouvant à côté de Jack, face à sa Maîtresse, la verge de l’homme séparant leurs visages.

« Ce n’est pas bien de m’offrir un tel spectacle, Maîtresse, sans me proposer d’y participer ! » protesta la Succube.

Pour seule réponse, Mélinda esquissa un sourire, et Edessa se rapprocha alors, et vint, à son tour, lécher le sexe, sa langue venant parfois croiser celle de sa Maîtresse. Ses testicules et sa queue, tous les éléments composant le sexe du mâle étaient en ce moment flattés par les deux femmes. Une vampire et une Succube s’occupant de son corps...

...En voilà un qui devait s’estimer bien chanceux !

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Jack Taylor

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 25 dimanche 01 novembre 2015, 20:23:35

Malgré les quantités invraisemblables de foutre qu'il avait expulsé, Jack n'avait de cesse de s'étonner de ne pas avoir sombré dans le sommeil. Jack s'estimait être un amant infatigable, mais il avait ses limites.... Or celles-ci, en compagnie de Mélinda et de sa suite, semblaient avoir disparu. Avec une pointe d’inquiétude, l'homme se demande s'il allait s'écrouler raide mort d'épuisement lorsque la belle vampire en aurait fini avec lui... Mais le jeu en valait la chandelle, se dit-il, en voyant son amante se délecter de son gros chibre, avec sa gueule d'ange et ses petites lèvres incarnat. Délaissant la verge toute propre, qu'elle avait léchée et sucée pour en faire disparaître jusqu'à la moindre goutte de sperme, la petite fit glisser sa langue tiède sur ses couilles gonflées par le désir.

« Hmmm ahh... »


Voir une aussi jolie poupée s'abaisser à faire des choses aussi dégradante, l'excitait au moins autant que le contact de sa langue sur ses bourses. La bouche du professeur s'arrondit lorsqu'il sentit un premier doigt glisser facilement dans son cul. Sa propre semence faisait office de lubrifiant et le traitement qu'il avait subi précédemment avait rendu la voie plus...Praticable. Qui plus est, Mélinda l'avait démasqué ; il n'était qu'un odieux pervers et les obscénités dont elle l'abreuvait exacerbaient son désir. Ce soir l'agent Taylor ne souhaitait qu'une seule chose ; se vautrer dans le stupre jusqu'à épuisement total.

« Oui je... Mets-en plus, petite maîtresse c'est... HMMM... »

Jack se mordit la lèvre inférieure, alors qu'un second doigt venait de rejoindre le premier dans son cul. Et cette petite chienne de Mélinda de les remuer doucement, faisant s'agiter le postérieur du professeur qui goûtait une fois de plus au plaisir de se sentir rempli. Lui qui avait délaissé ce plaisir coupable, le ravalant au rang de pratique occasionnelle comprenait à présent qu'il tirait un plaisir égal à recevoir qu'à donner... Et songer à toutes les perspectives que cette découverte lui offrait était vertigineux. Cependant, l'étrange créature que Mélinda avait appelée Edesssa avait quitté la pénombre et s'était rapprochée du lit sur lequel il trônait, lorgnant sur sa grosse bite. Plus grande que Mélinda, la succube avait une paire de seins impressionnante, et un bon gros cul rebondit qu'il lui tardait de claquer. Répondant à l'invitation de sa maîtresse, elle s'agenouilla et se mit à l’œuvre avec passion.

« Ahh, c'est ça mes jolies vous êtes... de fantastiques petites putes... »

Traversé par d’irrépressibles ondes de plaisir, Jack était étendu sur le lit, les yeux perdus dans la vague, alors que les langues respectives de la vampire et de la succube courraient le long de sa hampe, sur son gland et ses bourses, alors que Mélinda s'activait encore dans son cul, l'extrémité de ses doigts effilés percutant sa prostate gonflée. Ses mains puissantes se perdaient dans les cheveux de deux créatures qu'il gratifiait de caresses fiévreuses et désordonnées. Il était pour ainsi dire au paradis de la luxure. Se redressant sur un coude, il saisit le poignet de la nouvelle venue et l'attira doucement à lui, pressant ses lèvres avides contre celles, entrouvertes de la succube, sa main libre palpant le cul galbé de cette dernière, ses doigts puissant s'enfonçant dans sa chair tendre.

« Edessa hm ? enchanté... Merci d'avoir pris soin de moi pendant que je dormais. J'aimerais te remercier à ma manière », lui glissa-il à l'oreille, avant de glisser sa langue entre ses lèvres.

Lâchant son poignet, l'homme s'empara de l'un de ses seins, qu'il soupesa un court instant, avant de le malaxer doucement, puis de faire rouler son téton entre la pulpe de son pouce et de son index, avant d'envoyer une claque bien sentie rougir son postérieur laiteux. Quelques secondes plus tard, n'y tenant plus, il saisissait Ededessa par les hanches pour l'aider à l’enjamber son buste, et la maintint en équilibre au dessus de sa grosse queue gonflée, par la simple force de ses biceps tendus, alors que ses gros seins s'écrasaient contre ses pectoraux.

« Je suis sûr que la petite maîtresse n'aura rien contre, n'est-ce pas ? Mais je pense que c'est à elle de décider dans quel trou je devrais glisser ma grosse bite ».

L'instant d'après, Jack se mordait une nouvelle fois la lèvre inférieure alors que les doigts de la vampire s'aventuraient toujours plus loin dans son cul, le sodomisant sans ménagement. Son phallus veiné tressautait vivement, et à ce rythme là, il craignait de jouir avant même d'avoir pénétré Edesssa. Se tortillant sur place en gémissant, il attendait fiévreusement le verdict de cette dernière... A vrai dire, il s'attendait à ce qu''elle glisse elle-même sa verge turgescente dans les entrailles d'Edessa.
« Modifié: mardi 10 novembre 2015, 14:30:57 par James Howlett »

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 26 dimanche 08 novembre 2015, 16:39:30

Edessa avait sa théorie sur le sexe. Elle pensait que les humains, quand ils faisaient l’amour, ne déployaient jamais l’intégralité de leur potentiel. Oh, bien sûr, ils se fatiguaient, mais elle savait que le corps humain avait des réserves insoupçonnées, comme des sortes de ressources inconscientes qui ne se débloquaient pas facilement. Le sexe était un moyen de libérer ces réserves, ce qui, à son sens, expliquait pourquoi des individus patauds, lents, pouvaient se révéler être de vraies bêtes. Elle pensait donc qu’il y avait, chez l’être humain, toute une force souterraine, et que le sexe était comme une brèche permettant de la déverser... Mais cette brèche se terminait au moment de la jouissance, et toute cette énergie disparaissait alors, la brèche se refermant. Dommage, selon elle... Alors, en tant que Succube, elle était naturellement réceptrice à la magie rose, et avait développé ses capacités pendant de nombreux mois, que ce soit auprès de magiciennes proches de sa Maîtresse, comme Samara ou Slotwenna, ou auprès d’autres magiciens, notamment à Nexus. Elle avait ainsi développé autour d’elle une sorte d’aura sexuelle. La Succube émettait naturellement des phéromones, qui avaient pour but d’exciter les hommes (et les femmes), mais qui permettaient aussi de renforcer cette brèche... Et, chez Jack, la brèche était devenue un trou béant, lui permettant visiblement de toujours être debout, avec sa vigueur à fond. Bien sûr, quand tout ce lac énergétique secret serait épuisé, le pauvre en serait totalement exténué... Mais, d’ici là, Edessa et Mélinda, deux coquines, en auraient bien profité.

Sur le coup, il était difficile de déterminer laquelle était la plus perverse des deux. Bien que n’étant pas une Succube, Mélinda avait une telle énergie sexuelle, et était d’une telle perversion, qu’il était difficile de ne pas l’imaginer comme une redoutable Succube à sa mort. Edessa, en tout cas, ne voyait que ça pour elle comme choix d’outre-tombe. Elle la voyait très mal en petite Ange, à essayer de défendre les vertus de la chasteté, quand elle passait son temps à culbuter des nonnes ! Mélinda léchait donc les couilles de l’homme, s’attardant en réalité davantage à lécher ses testicules, plutôt que sa verge, un choix curieux, mais qui, souvent, fonctionnait très bien. En effet, en faisant ça, elle développait à la fois l’excitation de son partenaire, mais aussi de sa frustration, et elle fut rapidement rejointe par celle qu’elle considérait comme sa fille spirituelle, la belle Edessa. Elle lécha et suça l’autre boule de l’homme, évitant de mordre, car elle savait que les poils pubiens étaient fragiles.

« Hmmm-mmmhmmm...
 -  Huuuuummmm... !! »

Les deux femmes se faisaient plaisir, tout comme Jack, mais elles ne négligeaient pas sa lance, et, régulièrement, les deux femmes venaient le lécher. Il était fascinant de voir avec quelle harmonie elles agissaient mutuellement, presque comme si elles communiquaient mentalement pour savoir quand se déplacer pour lécher et embrasser en même temps les rebords de la queue de l’homme. Jack se faisait plaisir, caressant généreusement leurs cheveux, et finit par déplacer Edessa, qui se laissa faire, partageant avec lui plusieurs baisers.

Edessa était, comme toujours, sexuellement terriblement curieuse. Et ce Jack l’intéressait. Il l’intéressait par sa résistance, et aussi parce que, de manière générale, tous les amants de sa Mère (elle considérait Mélinda comme étant avant tout sa Mère plutôt que sa Maîtresse) devaient être les siens. Edessa avait envie de se les taper, elle aussi, et c’est à ce quoi elle avait presque le droit, quand elle sentit la verge de l’homme taper contre ses cuisses, son cul allant heurter les cheveux de Mélinda. Dans la droite foulée, la queue caudale de la jeune Succube ne tarda pas à caresser son visage, glissant sur sa peau.

« C’est normal, je dois veiller sur les beaux hommes musclés, afin qu’ils restent les amants fougueux qu’ils doivent être... »

Mélinda sourit lentement, et comprit que c’était à elle d’unir les deux amants. Ses doigts se retirèrent donc du cul de Jack, et elle se redressa un peu, puis alla agir, dénouant quelques lacets du complexe cordage reliant la robe de la Succube dans son dos, puis posa son autre main sur ce sexe tendu, soupirant en sentant toute sa raideur, toute son épaisseur.

« Hum... Toujours aussi tendu, mon beau Jack... »

Un sourire mielleux éclaira les lèvres de Mélinda, qui guida ensuite le sexe de l’homme... Et ce dernier alla se faufiler dans l’intimité d’Edessa.

« Oooohhhh... Huuuummm... »

Edessa adorait toujours les coïts, et Mélinda, en souriant, lui gifla alors les fesses, puis les regarda faire...

...Elle voulait satisfaire ses yeux avant d’agir de nouveau.

DC d’Alice Korvander.

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Jack Taylor

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 27 vendredi 13 novembre 2015, 11:19:48

Pendant de nombreuses années, l'agent Taylor avait estimé qu'il était un odieux pervers, mais s'était refusé à reconnaître qu'il avait un problème. Il n'était pas un simple sybarite, mais bel et bien un obsédé sexuel, un dépendant au stupre. A défaut d'un ou deux rapports sexuels minimum par jour – ou de séances d'onanismes, l'homme devenait irritable, anxieux et les pensées obscènes qui l'envahissaient obscurcissaient son jugement. Son salaire mirobolant passait la plupart du temps dans les escorts-girls, voire les prostituées de bas-étage, lorsque les besoins se faisaient trop pressant. Un certain nombre de ses supérieurs de la CIA étaient au courant de ses déviances, qu'ils attribuaient à ses premières expériences sexuelles douteuses, mais le couvraient assez largement, car l'homme était un de leurs meilleurs éléments. Cependant il craignait d'être allé trop loin, le jour où il avait brutalement sodomisé Melinda dans sa propre salle de classe, au lieu de se contenter de l'observer discrètement – quitte à se masturber ultérieurement -. La belle vampire l'avait emmené trop loin pour qu'il puisse un jour espérer avoir une sexualité ordinaire, le plus terrible étant qu'il lui en était infiniment reconnaissant. La plupart de ses plus belles baises lui paraissaient fades en comparaison des quelques heures de luxures qu'il venait de passer avec l'esclavagiste et son intuition l'incitait à croire que les choses ne faisaient que commencer.

« Hmm mmh. »

Les lèvres du vigoureux mâle se scellèrent une nouvelles fois avec celle de la belle Edessa alors que de ses deux grosses mains, il malaxait les grosses fesses laiteuses de la succube, appréciant la douceur et la tiédeur de sa peau pâle. Lorsque Mélinda empoigna sa verge gonflée, l'homme soupira longuement, alors qu'un imperceptible frisson lui remontait le long de l'épine dorsale. Approchant sa bouche entrouverte de l'oreille de son amante, il en profiter pour l'abreuver d’obscénités de sa voix grave et suave, alors que son souffle brûlant se perdait dans le creux de son cou. 

«Tu voulais te faire baiser toi aussi, hmm ? Tu vas voir, Je vais défoncer ta petite chatte de pute, jusqu'à ce que tu demandes merci »
, lui susurra-il d'une voix étonnamment tendre, alors qu'il lui caressait les cheveux d'une main distraite.

Jack avait vu Edessa se tortiller d’impatience quand il labourait le cul de sa maîtresse. L'empressement qu'elle avait manifesté ensuite à s'occuper de sa queue joufflue l'avait ensuite convaincu qu'il s'agissait probablement d'une salope du même acabit de sa maîtresse, ce qui était prometteur. L'homme soupira de regret lorsque les doigts fuselés de sa maîtresse délaissèrent son cul dilaté, mais se détendit lorsque la petite menotte empoigna sa grosse verge, dont elle ne faisait même pas le tour. Le fougueux professeur remuait doucement le bassin de haut en bas, ce qui faisait que son gland violacé venait parfois percuter les lèvres charnues de l'intimité d'Edessa. Pour faciliter la tâche de sa petite maîtresse, il écarta les fesses bombées de la succube. L'insoutenable attente pris fin lorsque la belle vampire glissa sa grosse bite dans la chatte – déjà – détrempée, avant d’envoyer une belle claque sur ce cul d'albâtre. Avec ravissement, l'homme sentait son pieu écarter les entrailles onctueuses alors que la pesanteur faisait son effet ; la belle s'empala toute seule sur sa queue. A son tour, il envoya une belle gifle sur son postérieur rebondi.

« Redresse-toi ma belle , je veux voir tes gros seins bouger pendant que je te baise. », lui intima-il, en agrippant fermement ses hanches de ses deux mains puissantes.

La laissant s'exécuter, l'homme savoura l'instant quelques secondes. Le clair obscur de l’alcôve faisait danser des ombres sur le corps sculpturale de la succube, et ses gros seins orgueilleux semblaient plus lourd, ses tétins plus érigés. Elle était superbe, et avec un mauvais sourire, l'homme souleva lentement le cul d'Edessa sur toute la longueur de sa verge, avant de l'empaler à nouveau avec une lenteur calculée, jusqu'à ce que sa vulve replète s'écrase ses bourses gonflées. Il allait prendre un plaisir infini à la souiller. Ne pouvant apercevoir Mélinda, Jack ne doutait pas que la maîtresse ne perdait pas une miette du spectacle et, soucieux de lui faire plaisir, il commença à remuer le bassin d'avant en arrière, envoyant claquer la base de son énorme bite contre les fesses laiteuses de son amante, n'hésitant pas à la gratifier de grosses claque de temps à autre, pour les rougir. La voie avait beau être étroite, la salope mouillait abondamment et l'homme put bientôt la défoncer sans vergogne en râlant comme un animal en rut.

« Ça te plaît de te faire défoncer comme une grosse chienne Edessa, hm ? Je veux te l'entendre dire. Rien qu'une petite pute lubrique. »

Ce faisant, l'homme ne quittait pas des yeux les yeux d’émeraude de la succube et sa bouche entrouverte, se repaissant du désir et de la jouissance qu'il lisait sur son visage. Légèrement plus bas, sa poitrine tressautait à chaque coup de rein un peu trop violent. Satisfait, l'homme leva l'une de ses grandes mains pour attraper l'un de ses seins et le malaxer, le pétrir de sa paume.

Mélinda Warren

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Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 28 samedi 14 novembre 2015, 12:01:07

Mélinda esquissa un léger sourire en voyant Edessa s’empaler sur ce chibre. Jack avait un sacré phallus, d’une taille impressionnante, et ce encore plus pour un simple humain. Avec une telle verge, on pouvait comprendre sa vigueur, et sa terrible perversion. Rien ne semblait pouvoir calmer l’homme très longtemps, au niveau de ses pulsions sexuelles, et c’était sans doute pour ça qu’il avait fini à Mishima. À force, Mélinda avait bien compris toute la particularité de ce lycée, où il y avait deux faces : le visage public, en apparence normal, et le vrai Mishima, un lycée où l’éducation sexuelle des élèves était  encore plus importante que l’éducation normale. Les trois quarts des professeurs étaient des pervers expérimentés qui, dans un autre endroit, auraient fini depuis longtemps en prison, le quart restant appartenant à des professeurs soumis qui étaient éduqués par leurs élèves. Et Jack, lui, appartenait clairement à la majorité. Il avait sodomisé Mélinda et Shii dans une salle de classe, mais la vampire savait qu’elle n’était pas la seule à avoir goûté aux assauts du professeur... Et, maintenant, Jack lui appartenait. Ce n’était pas par la violence ou les menaces qu’elle le soumettait, mais en jouant sur sa gourmandise, son sens de la luxure... Et elle avait visé juste.

Edessa se redressa rapidement, soupirant de plaisir, et Mélinda, elle, remonta le long de son dos, et défit les cordages de sa robe, faisant tomber cette dernière. Sous sa robe, Edessa était toute nue, et se retrouva donc dans le plus simple appareil, assise sur l’homme, dandinant son corps de haut en bas, soulevant ses lourds seins laiteux.

« Haaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaannnn... !! »

Oh, comme elle aimait ça, Edessa ! Sentir une grosse queue la labourer ! Elle aussi, elle était gourmande, et elle ne comptait plus le nombre de fois où on avait exploré et défoncé sa chatte... Avec les hommes, plus le sexe était violent, et mieux c’était ! Edessa n’avait rien d’une petite fragile, une femme qui demanderait à ses amants d’y aller doucement, parce qu’elle avait un corps fragile, qu’elle avait peur,  et tout ça... Non, Edessa était tout le contraire, et, quand Jack lui demanda confirmation, Edessa le confirma rapidement, en posant ses mains sur les épaules de l’homme :

« Ouuuuuuuuuuiii... Haaaaaaaaaa... Ouuuuuuuuuuuuiii... J’aime ça, haaaaaaaaaaaaa... Sentir... Sentir une grosse biiiiiiiite en moi, haaaaaaaaaaaaaaa... Me faire... Haaaaaaa.... T-Tringler c-comme... Une... Une grosse pute !! Oooouuuuuuuuuuuuui... Je suis une pute, haaaa... La Reine des Salopes, qui aime les bites bien remplies !! Haaaaaaaaaaaaannn... »

C’était fleuri, et Mélinda sentit ses oreilles siffler. La vampire, également nue, s’écarta un peu, préférant admirer la scène, et en profita pour attraper un téléphone portable. Elle n’était pas très à l’aise avec les technologies de ce type, mais, à force, elle avait appris comment faire des vidéos. L’idée n’était pas tant de faire chanter Jack que d’avoir des images d’Edessa en train de faire l’amour... Car c’était toujours très excitant, et encore plus quand on savait que Mélinda avait tendance à considérer Edessa comme une sorte de fille spirituelle, puisqu’elle l’avait tenu dans ses bras quand elle était encore un tout petit bébé.

Le lit craquait sous les mouvements lourds et amples d’Edessa, ses seins rebondissant, et elle s’amusa ensuite à se les masturber.

« Huuuunnnn... Insuuuulte-moi, haaaaaa... Traite-moi !! »

Une vraie perverse !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]

Réponse 29 lundi 16 novembre 2015, 17:48:46

Jack n'était un amant qu'on pouvait qualifier de tendre. S'il savait se montrer câlin ou mielleux avec ses amantes, ce n'était que pour mieux les défoncer et les insulter copieusement ensuite. N'étant pas un monstre, il se retenait la plupart d'être trop brutal, et se contentait la mort dans l'âme d'être vigoureux. Mais avec Mélinda et Edessa, c'était autre chose. Il pouvait se montrer aussi bestial qu'il le souhaitait, ces deux superbes salopes n'en demandant pas moins. Intuitivement, le faux professeur avait également remarqué que le lycée Mishima était un repère de pervers et que la plus innocente des lycéenne pouvait se révéler en vérité être la pire des putes. Croyant à des cas isolés, Jack en avait discrètement profité pour culbuter la première élève venue à son arrivée, mais s'était vite rendu compte que les relations sexuelles entre élèves et professeurs étaient la règle tacite de l'établissement et dès lors il ne s'était plus retenu... Ni arrêté.

« C'est bien Edessa... Remue ton gros cul de chienne... Empale-toi sur ma grosse queue ! »

Ravi, le regard enfiévré et les cheveux trempés de sueur, Jack observait le bassin de la succube onduler, remuer de haut en bas alors que son vit colossal disparaissait dans ses entrailles humides. Aussi délurée que sa maîtresse, la belle hurlait son plaisir sans réserve, abreuvant son amant de mots crus, de mots sales et bien vulgaire qui le rendaient ivre de désir. Pantelante, la jeune femme s'appuya sur ses épaules et Jack sentit ses ongles s'enfoncer légèrement dans sa peau hâlée. Délaissant le sein qu'il pétrissait, il agrippait à présent ses hanches des deux mains et envoyait son propre bassin percuter brutalement les fesses d'Edessa lorsque ses fesses laiteuses redescendaient sur son vit, la faisant littéralement rebondir contre ses couilles. La brutalité de la pénétration rendait le dialogue difficile, mais entre deux râles, l'obscène professeur inondait sa partenaire d'insultes salées.

«Aaah... Danse, ma petite pute, danse... Je ne pensais pas que... Tu serais aussi chienne que ta maîtresse ». Et pourtant... La maîtresse de maison avait bien dressé son entourage. « Je vais... juter dans ta petite chatte de salope, te remplir de mon foutre... HAN...C'est ce que tu veux, pas vrai ? »

Tandis qu'il la baisait rageusement, Mélinda semblait se plaire dans le rôle de voyeuse. Elle avait dégainé un téléphone portable et les filmait, visiblement satisfaite. Ralentissant légèrement ses coups de butoir, l'odieux pervers se mit à sourire et, glissant ses mains vers le cul galbé d'Edessa, l'écarta largement de ses deux mains, offrant à la vampire une vue imprenable sur la vulve écartelée par le pal et sur la corolle brune de son anus. 

« Cambre-toi ma belle. Montre à ta maîtresse comme tu te fais bien défoncer la chatte ».

La petite chienne mouillait abondamment, et son fluide tiède coulait le long de la queue de son amant, venant tremper ses couilles. Collectant une petite quantité de cyprine sur le bout de ses doigts, l'homme s'en servit pour masser vigoureusement l'anus de la jeune femme, avant d'y introduire presque immédiatement les deux premières phalanges de son majeur, rapidement rejoint par son annulaire. La pénétration brutale de sa chatte rendait la tâche difficile, mais Jack s'efforça de lui doigter consciencieusement le cul.

« Haan Pe...Petite Maîtresse... Je crois... Que Edessa aimerait également se faire bourrer le cul, de se faire enculer. Pas vrai ma puce ? Une queue ne doit pas suffire à rassasier une pute comme toi... Il faut que tu sois prise par tous les trous, tringlée comme une vulgaire pute de chantier hm ? »

Les solutions étaient légion ; Mélinda pouvait elle-même sodomiser leur victime, ou bien charger son frère aîné de le faire. Enfin, il ne doutait pas qu'à défaut, la petite maîtresse disposait des accessoires appropriés. Bien évidemment, il allait de soi qu'il comptait bien prendre son tour dans son cul ; Jack Taylor estimait en effet qu'on ne pouvait pas vraiment prétendre connaître une femme tant qu'on ne l'avait pas enculée. Et il mourrait d'envie de connaître davantage Edesssa.


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