Si la taille de la verge de Jack restait un mystère, pour un simple humain, en ce qui concernait Bran, il y avait des explications génétiques. Tout comme pour expliquer la singulière beauté de Mélinda, les Warren n’avaient jamais été que des humains. Comme toutes les grandes et vieilles familles ashnardiennes, ils avaient connu, régulièrement, des démons, notamment des Incubes et des Succubes. C’était une pratique courante à Ashnard, dans le cadre de mariage politique où l’amour n’existait pas, de faire appel à des démons de plaisir pour se faire engrosser, notamment en cas d’infécondité ou d’incompatibilité sexuelle. Partant de là, les gènes démoniaques faisaient que les nouveaux-nés naissaient avec des particularités génétiques améliorées... Tout ça pour dire que Bran avait été généreusement gâté par la Nature, comme sa sœur, et comme leur père avant eux.
Comblée, Edessa était pris entre ses deux amants fougueux et vigoureux. Bran était un amant redoutable, et elle adorait quand l’homme lui faisait l’amour, le plus grand plaisir d’Edessa étant de tester Bran, de le pousser à ses limites pour le forcer à la baiser sauvagement. L’homme était habituellement d’un calme olympien, n’obéissant qu’à sa Maîtresse, parvenant à repousser ses désirs personnels, aussi forts soient-ils, si ceux-ci rentraient en opposition avec la volonté de sa Maîtresse. Autant dire que, pour une succube espiègle, qui adorait tenter les gens, tenter Brad était toujours un plaisir continuel, et, quand il se laissait enfin aller au plaisir... Ohlàlà, quelle vague ! C’était... Un peu comme ce qu’elle ressentait en ce moment, en fait.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »
Prise entre ses deux amants, la Succube ne pouvait qu’hurler son plaisir, se tortillant contre ces deux queues qui remuaient en elle, soulevant son corps, Bran et Jack s’écrasant contre elle, l’étouffant presque... Et, quand elle sentit la main de Jack glisser contre elle pour caresser les bourses, elle se mordilla les lèvres... Avant d’entendre Bran grogner, puis venir la mordre. Son hurlement s’accrut, et il prit un peu de sang, ce qui renforça encore la taille de sa verge, le sang venant circuler plus rapidement. Silencieuse, Mélinda observait tout cela, tout en sentant sa mouille couler. Assise sur un fauteuil, elle était en réalité en train de lentement se masturber, les joues rougies par le plaisir. Quel trio ! Et, dans la mesure où Edessa libérait ses phéromones, rien ne semblait pouvoir la calmer...
Bran but un peu de sang, très peu, suffisamment pour que ses pupilles virent au rouge pendant quelques secondes, puis il donna deux grosses claques sur les hanches de la femme, et renforça ses coups de reins. La salive d’Edessa jaillit de sa bouche, ses cris se taisant sous une irrépressible vague de plaisir qui la déchira en deux, comme si un océan venait de remonter dans tout son corps. Elle sentit alors la main de Bran s’enfouir dans ses cheveux, et il tira dessus, la redressant. Ses griffes s’enfonçaient dans sa chair, et, avec les élans de Jack, Edessa se retrouvait vraiment secouée dans tous les sens.
La belle femme n’était évidemment pas à plaindre, car c’était là tout ce qu’elle avait toujours voulu : se faire trancher... Elle en était si secouée qu’elle n’arrivait même plus à parler, ses seins rebondissant contre le torse de Jack, tandis que le lit couinait et grinçait. Les muscles saillants de Bran ressortaient sous l’intense effort physique qu’il déployait en faisant coulisser son mandrin énorme dans le cul de la belle Succube... Puis, dans un soupir, Edessa se lâcha, et Bran relâcha les cheveux de la femme, en arrachant quelques-uns, et elle s’effondra sur le corps en sueur de Jack, tandis que Bran se vida ensuite à son tour, remplissant généreusement le cul d’Edessa, en l’insultant copieusement :
« Prends ça, salope ! Hum !! Salope ! Salope !! »
Les mots fleuris vibraient dans les heureuses oreilles de Mélinda, qui avait, sur le visage, une lueur de désir. Elle se pinça les lèvres, en regardant les hommes en train de soupirer.
Edessa remarqua alors qu’elle avait griffé le torse de Jack, à tel point qu’il y avait des lignes de sang dessus, ce qui la fit rougir...
« Il y a toujours du sang avec les vampires... »
Mélinda venait de les rejoindre, et s’assit à côté du trio. Bran venait de retirer sa verge du cul d’Edessa, qui était donc à califourchon sur le corps de Jack, avec sa queue aplatie sous son bassin. Mélinda se tapota les lèvres en réfléchissant, puis se pencha alors vers Jack, et l’embrassa sur le front.
« Ne vous endormez pas trop vite, Jack... Même si je peux comprendre qu’un simple humain puisse arriver au bout de ses limites avec des créatures surnaturelles comme nous... »
Toute nue, Mélinda se redressa, et alla à son tour s’asseoir sur Jack, posant ses fesses sur sa tête, en regardant Edessa, ses mains venant, à leur tour, se poser sur le torse de l’homme, pinçant ses tétons.
« Alors, que faisons-nous ? Deux hommes, deux femmes... On mélange les sexes, ou non ? Que souhaites-tu, mon beau Jack ? »
Pour lui laisser l’occasion de parler, elle écarta un peu ses fesses, afin de libérer sa bouche, mais pas ses yeux, obstrués par son derrière...