Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Mélinda Warren le jeudi 29 janvier 2015, 02:00:05

Titre: [FINI] "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 29 janvier 2015, 02:00:05
*SCHTAC !*

Le coup de cravache sur la joue du professeur eut pour effet de réveiller instantanément ce dernier. Le gag ball sur sa bouche l’empêchait de parler, et, tandis qu’il reprenait son esprit, les trois femmes (http://img110.xooimage.com/files/b/4/2/trio-49aca25.jpg) devant lui se mirent à rire. Dans l’ordre, de gauche à droite, nous avions Alyssa, Triss, et Nasha. Elles étaient musclées et solides, et, avec ses dents pointues, la troisième, Nasha, semblait appartenir à la race des vampires. En réalité, Nasha, belle femme noir au corps solide et musclé, était une goule. Ce terme désignait, soit de simples monstres nécrophages décérébrés, soit des humains partiellement transformés en vampires, et qui développaient pour le vampire les ayant mordus un lien d’affection tournant à la plus profonde des obsessions. En l’espèce, ce lien était naturellement porté vers Mélinda Warren.

« Le petit humain se réveille...
 -  Il a bien dormi...
 -  Et j’espère qu’il en a bien profité, car il ne risque pas de retrouver le sommeil si longtemps ! »

Les trois femmes gloussèrent dangereusement. Tenant dans sa main une cravache, Triss souriait malicieusement. Peu à peu, dans l’esprit de Jack Taylor, les souvenirs allaient peut-être revenir. Il revenait tranquillement d’une journée au lycée. Il faisait alors nuit, le couloir était désert, propice, s’il avait été une belle blonde à forte poitrine affalée sur son téléphone portable, à se faire attaquer par un tueur en série. Un van noir s’était lentement rapproché de lui, et tout avait été comme dans ces films avec la Mafia ou des espions américains. Le van s’était rapproché, et, au même moment, une silhouette avait bondi depuis les fourrés, renversant le professeur Taylor sur le sol, lui mettant sur la tête un masque en latex, avant de le balancer dans le van, qui avait ensuite démarré sur les chapeaux de roues, dans un crissement de pneus sonore...

...Et Jack venait de se réveiller ici, nu comme un ver, attaché sur un chevalet (http://33.media.tumblr.com/aba6fc2f19e272d41d8287dc67930475/tumblr_mpywbhyqoo1ssw5kxo1_500.jpg). Il avait, outre le gag ball, une ceinture de chasteté emprisonnant sa verge dans un étau de feu. Ses poignets et ses chevilles étaient retenues par des chaînes solides, sa position mi-accroupie relevant ses fesses.

Une main griffue caressa alors son dos, tandis que deux autres mains, fermes et solides, frottèrent ses fesses, massant son cul.

« Monsieur Taylor... J’attendais depuis longtemps l’occasion de nous revoir... »

Une voix suave et chaude, mielleuse, qui appartenait à une élève que Jack reconnaîtrait peut-être... Mélinda Warren. L’arrogante vampire se posta devant le visage de l’homme, et lui sourit doucement, en posant une main sur son menton.

« Tu te rappelles de moi, petit humain ? Tu m’as enculé... Enculé comme une grosse vache, enculé comme si j’étais l’une des dernières putes de Seikusu... »

Sa voix avait beau être douce, elle était empreinte d’une fermeté, et d’une menace sourde et contenue. Qu’est-ce qui allait attendre le pauvre homme ? Avec une femme comme Mélinda Warren, le pire était toujours à craindre. Un sourire mauvais se dessina sur ses lèvres, tandis que les mains sur les fesses de l’homme se poursuivaient, pinçant son cul... Et qu’une verge caressait alors sa croupe.

« Je vais t’infliger une petite correction, vilain professeur... Et, quand j’en aurais fini avec toi, tu sauras définitivement qui est la Maîtresse ici ! »

Dans le dos de Jack, Bran Warren, le frère de Mélinda, s’apprêtait à agir. Mélinda retira alors le gag ball de l’homme, en glissant sa main dans sa nuque, enlevant la boucle qui retenait l’appareil, et jeta l’accessoire sur le sol.

« Un dernier mot avant de devenir la chienne de mon harem, Jaaack ? »
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le samedi 31 janvier 2015, 14:35:29
Jack grogna. Il avait les paupières lourdes comme du béton, et un mal de crâne aussi violent que les lendemains de fête de sa jeunesse agitée. La morsure du cuir sur sa peau le fit sursauter, et il ouvrit péniblement les yeux. L’endroit dans lequel il se trouvait ne ressemblait en rien à sa chambre… Ou à la chambre de n’importe qui, en vérité. Cela ressemblait plutôt à une cave, ou un donjon. Alors qu’il essayait de se redresser, l’agent Taylor se rendit compte qu’il était entravé, aux poignets comme aux chevilles et… Qu’on lui avait fourré un truc dans la bouche, qui l’empêchait de produire autre chose que des onomatopées.

« Mh hmm ! »
 
La poussée d’adrénaline qu’il ressentit suffit à l’éveiller entièrement. Il avait faim, froid, et ses articulations étaient douloureuses. En face de lui se tenaient trois femmes étranges vêtues de cuir. L'une d'elle avait la peau brune et... des crocs qui se découvrirent lorsqu'elle se mit à rire. La seconde, qui tenait entre ses doigts la cravache qui lui avait mordu la chair était plus grande, et moins trapue que sa partenaire mais le sourire mauvais la rendait presque plus effrayante. Quant à la troisième, légèrement en retrait par rapport aux deux autres, elle avait la peau laiteuse et l'ossature délicate. C'était typiquement le genre de filles que l'agent Taylor aimait fesser copieusement pour leur faire rougir le cul avant de les sodomiser brutalement. Dans d'autres circonstances, Jack aurait bandé à la simple vue de ces trois voluptueuses créatures, mais la situation dans laquelle il se trouvait était trop destabilisante pour l'exciter. Baissant les yeux, l'agent spécial s'aperçut qu'il était attaché à un genre de chevalet et qu'il était... Parfaitement nu. L'homme banda les puissants muscles de son dos pour essayer de se libérer, mais ne parvint qu'à s'écorcher davantage les poignets. Eh oh, c'est quoi ce délire ?

Fermant les yeux quelques instants, Jack s'efforça de mettre ses souvenirs en ordre. La veille il avait quitté le lycée vers plus de vingt-trois heures ; c'était l'anniversaire de Tanaka, un timide professeur de mathématique. Jack lui avait promis une surprise; il avait invité deux de ses élèves et commandé plusieurs magnum de champagne qu'ils s'étaient envoyé tous les quatre dans une salle de classe déserte. Puis Jack avait décidé qu'il était temps pour Tanaka, trentenaire, de perdre sa virginité. Il avait incité les lycéennes à le sucer et... Les choses avaient dérapé. Tanaka s'était rapidement vidé entre les cuisses de la plus jeune de ses élèves en agitant furieusement sa tige, et avait passé le restant de la soirée à se masturbé mollement en observant Jack pénétrer les jeunes femmes à tour de rôle. C'est donc épuisé et satisfait qu'il avait pris le chemin du retour. Il n'avait pas pris gare au véhicule qui le suivait sur la chaussée, et ses réflexes émoussés par l'alcool et la langueur post-coït en avait fait une cible facile pour ses ravisseurs.

L'homme tressaillit au contact des doigts sur sa peau, alors que s'élevait, triomphante, la voix de cette foutue peste de Mélinda Warren, qu'il reconnût immédiatement. Celle-ci ne tarda pas à lui faire face, tandis-ce que quelqu'un d'autre semblait s'intéresser de près à ses fesses musclées. Les doigts étaient plus longs et plus épais que ceux de vampire ; c'était probablement... un homme. Oh merde... 
Pour se souvenir de Mélinda, Jack s'en souvenait. Il avait encore l'image de son cul laiteux rebondissant sur ses couilles, alors que la jeune femme accompagnait de bonne grâce par de petits coups de bassins la violente sodomie qu'elle subissait. L'homme ne put s'empêcher d'esquisser un léger sourire, dans la mesure de ce que lui permettait le gag ball. Il l'avait traité comme ce qu'elle était, une petite pute qui aimait se faire défoncer le cul... Et voilà qu'elle lui en tenait rigueur à présent ? Pendant que Mélinda parlait, l'inconnu dans son dos s'enhardissait jusqu'à presser une verge chaude contre son arrière train. Jack commença à paniquer. « Hm mh ! » Les muscles bandés, il s'agita dans tous les sens avec l'espoir vain de faire basculer le chevalet d'un côté comme de l'autre...Mais ne réussit qu'à s'épuiser davantage.

« Att...Attend un instant, Mélinda » ; implora-il, les yeux écarquillés, lorsqu'elle le délivra du gag ball. « Je ferai tout ce que tu veux, je te lécherai même les orteils... mais éloigne-le de moi ! »

Jack Taylor avait beau être bisexuel, il n'avait l'habitude de coucher qu'avec de jeunes éphèbes, de jolis garçons aux traits délicats qui couinaient comme des filles quand il les empalait sur sa belle queue. Par ailleurs, il les laissait assez rarement le sodomiser, son orgueil supportant assez mal la perte de contrôle consécutive à une sollicitation appuyée de sa prostate. Quand à la verge de cet homme, elle était probablement bien trop épaisse pour qu'il puisse le pénétrer sans lui déchirer les entrailles.

« Mélind... heu Maîtresse...Je serai un bon esclave, mais par pitié, tout sauf ça ! »

Pis encore que la douleur qui s'ensuivrait, c'est la honte et l'humiliation que Jack craignait le plus. Serrant les fesses et contractant son anus, l'agent Taylor serrait les poings, suspendu aux lèvres de sa geôlière, alors qu’imperceptiblement, son phallus emprisonné se gorgeait de sang. 
 
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 01 février 2015, 02:00:28
Mélinda esquissa un léger sourire en voyant ce spectacle. L’homme se rappelait d’elle, et elle se rappelait de lui. Elle était en train de corriger Shii quand il était venu la ridiculiser et l’humilier... Le pire était que Mléinda avait adoré ça, et, par la suite, elle s’était un peu renseignée sur ce Taylor... Coucher avec des élèves et les humilier était une chose récurrente pour lui, et elle s’était déjà imaginée la manière dont il repensait à elle... Elle, une puissante vampire, qu’il devait voir comme une simple pute bonne à fourrer. Tout ça lui était insupportable, et, après de nombreuses semaines, elle avait finalement choisi de contre-attaquer, s’attendant tôt ou tard à ce que Jack ne tente de profiter de l’ascendant psychologique qu’elle pensait qu’il croyait avoir pour faire du chantage sur elle. Le capturer n’avait pas été difficile, et il se tenait maintenant devant elle, la peur se lisant en lui... Une peur délicieuse et jouissive, qui faisait malicieusement sourire la vampire. Une lueur perverse dansait dans ses yeux, et ses mains caressaient les cheveux de l’homme.

Pour l’occasion, Mélinda ne portait pas sa traditionnelle robe dorée, mais une tenue plus appropriée (http://img110.xooimage.com/files/4/b/c/black_suit-49b8786.jpg)... Outre de longs gants en latex et des collants avec des bottes noires, elle arborait, sur le reste de son corps, une parfaite tenue de dominatrice. Elle s’estimait plutôt belle ainsi, et ses mains caressèrent donc les cheveux de l’homme, avant de glisser sur ses oreilles, les pinçant et les frottant.

« Un bon esclave, hum... ? Un bon esclave ne rechigne pas à l’idée de se faire sauter le cul, petit Jack, il accepte avec joie l’idée de se faire défoncer le derrière... »

Un nouveau sourire moqueur perla sur les lèvres de Mélinda. La vampire s’amusait, et continuait à le caresser, tout en faisant signe à Bran. Pendant que Jack dormait, on avait glissé entre ses fesses une petite trompe, afin de lubrifier ses fesses. La vampire n’était tout de même pas monstrueuse, et elle savait que le mandrin de Bran, quand il était bien réveillé, devenait particulièrement épais. Ce n’était pas son frère pour rien, après tout.

Les douces caresses de Mélinda devinrent plus fermes, et elle agrippa fermement ses cheveux, soulevant lentement sa tête, parlant sur un ton plus sec :

« Tu m’as baisé comme si j’étais ta petite chienne... Il est temps d’inverser les rôles ! »

Bran s’enfonça alors en lui, et donna une grosse gifle sur les fesses de Jack. Son sexe heurta la rondelle étroite et solide de Jack, et Mélinda, avec un sourire cruel et empli de malice sur les lèvres, regarda l’homme se tortiller. Elle ne s’en faisait toutefois pas trop pour lui... Elle sentait son excitation, car son sang se gonflait dans son sexe, et elle le sentait. Elle continua donc à caresser ses cheveux, se régalant de ses cris et de ses soupirs. Dans son dos, Bran remuait en lui, son membre s’enfonçant progressivement en elle.

De la tête, elle fit signe aux femmes de se déplacer. Triss se déplaça sur les flancs de l’homme, caressant ses côtes avec sa cravache, puis la leva, et l’abattit à plusieurs reprises sur lui. Quant à Alyssa, plus joueuse, elle se mit à genoux de l’autre côté de l’homme, et caressa la ceinture de chasteté coinçant sa verge, la soulevant et l’abaissant, avant d’aller caresser ses testicules. Elle se rapprocha finalement, et lécha ses poils pubiens, ou parfois même la ceinture de chasteté elle-même.

« Hihi... Sa queue est toute dure, Maîtresse, il bande comme un taureau...
 -  Voilà qui ne me surprend guère... Notre petit Jack adore la sodomie... »

Et, pendant ce temps, Bran continuait à prendre l’homme, remuant d’avant en arrière, grognant et soupirant, allant de plus en plus vite, de plus en plus violemment...
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le lundi 09 février 2015, 21:38:46
Le terrible Melinda le toisait de tout son orgueil piétiné, savourant sa vengeance avec volupté, le traitant avec la légèreté dont on use envers un animal de compagnie. Comme ses compagnes - ou esclaves - la vampire était vêtue d'une scandaleuse tenue de cuir qui mettait en valeur ses formes graciles, et notamment le cul rebondi qu'il avait tant aimé défoncer. L'agent Taylor aimait de temps à autres échanger les rôles avec une femme, la laisser prendre le dessus, parfois même l'attacher ou le fouetter... Mais toujours avec l'assurance que le jeu n'était que temporaire, et qu'il reprendrait in fine ses droits de mâle dominant. Aujourd'hui c'était différent :  il était complètement à la merci de la jeune femme. Et pourtant, sa verge gonflait encore dans sa prison, atteignant des proportions impressionnantes : même s'il se refusait à l'avouer, il brûlait d'envie de sentir la grosse queue de l'inconnu en lui. La vampire se fit câline, flattant le beau mâle de ses mains gantées, avant de lui agripper les cheveux, alors qu'il sentait l'homme se rapprocher dans son dos.
 
"Att..attendez... Par pitié !", parvint-il à articuler,
 
Jack hoqueta de surprise ; la verge turgencente de son agresseur percuta son anus une première fois, puis s'écrasa à nouveau contre sa corolle avant d'y pénétrer sans douceur. La queue de cet homme était encore plus imposante que ce à quoi il s'attendait, et Jack hurla de rage et de douleur, les yeux fermés et les dents serrées, alors que l'homme s'enfonçait inexorablement dans son arrière-train. Ses sphincters se resserraient convulsivement autour de la verge, alors que Jack s'efforçait de pousser , pour rendre son passage moins douloureux, appliquant silencieusement à lui-même le conseil qu'il avait temps de fois susurré à ses amants avant de les posséder. Et malgré cela, ça faisait un mal de chien.
 

"Sa...Sale pute ! ca te fait mouiller hein ? Arrête-le bordel  ! Argh..."
 
Jack avait levé les yeux vers la maîtresse, qui imperturbable, le cajolait. Cette foutue salope. Cependant, à la fulgurante douleur des premières secondes, succédait une étrange sensation de chaleur, qui irradiait son bas-ventre. Merde, merde. L'anus de l'agent Taylor commençait à se détendre, permettant à l'homme qui le possédait d'y glisser sans à-coups, alors que l'étrange jeune femme munie d'une cravache abattait sans ménagement son arme sur son dos dénudé, y laissant des traces ambrées. La respiration de l'agent Taylor avait ralenti. A chaque aller-retour, il sentait le gland enflé de son agresseur frotter contre sa prostate gonflée avant de s'écraser au fond de ses entrailles, lui arrachant des râles involontaires de plus en plus sonores. Lorsqu'il sentit les couilles pleines de l'inconnu s'écraser contre les siennes, il ne put s'empêcher de se mordre la lèvres inférieure, alors que son regard se perdait dans le vague. Oh merde. La plus joueuse des complices de Melinda s'était accroupie devant le chevalet. L'ingénue jouait avec ses testicules et soupesait la verge engoncée dans le cuir et l'acier de la ceinture de chasteté. Alors que sa langue prenait le relai de ses doigts habiles, jack leva un regard implorant vers sa tortionnaire.
 
"Je... Oui j'aime ça, Maîtresse.. ah... Mais laissez-moi... Bander AAAH !"
 
En effet, la ceinture empêchait la verge de Jack de se déployer entièrement, tant elle était épaisse, ce qui lui causait une douleur sourde. De fines coulées de sperme coulaient le long de sa hampe et dégouttaient de la ceinture alors que l'agent Taylor ne pouvait plus s'empêcher de rejeter ses hanches vers l'arrière à chaque coup de bassin de l'inconnu pour mieux s'empaler sur cette formidable queue, s'efforçant d’apercevoir par dessus son épaule le visage de celui qui le possédait ainsi.
 
"Plus fort"...murmura-il, honteux, fuyant le regard triomphant de Mélinda, avant d'élever le ton "Encule-moi mieux que ça, bordel !", gronda-il finalement, le regard lointain, le corps agité de violents soubresauts. Son anus se contractait à nouveau, signe qu'il n'allait pas tarder à jouir une première fois.
 
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 11 février 2015, 01:21:11
Si ça la faisait mouiller ? Oui... Mais aussi rire. Il n’était pas chrétien de se moquer du malheur des autres, certes, mais elle était une vampire... Elle pouvait se le permettre. Et puis, Jack n’était pas si malheureux que ça. Quatre femmes bien roulées l’entouraient, quatre femmes qui étaient des expertes du sexe, et il avait même, en prime, l’avantage d’être pris par son frère, un homme aussi beau que vigoureux. Hargneux et intense, bran était un guerrier, et on pouvait le sentir dans ses coups de reins. La douleur éclatait à hauteur de sa verge, car un cul était toujours difficile à prendre, et celui-là n’avait visiblement pas l’habitude d’être visité. Ce faisant, le défoncer était difficile, même si Mélinda avait été clémente. Elle avait nettoyé ce conduit anal et l’avait proprement lubrifié, préparant le terrain, pour une sodomie efficace. Elle savait à l’avance que sa « torture » serait rapidement supportée par Taylor-senseï... Soit parce que tous les profs du lycée Mishima étaient des pervers patentés, soit parce qu’elle avait bien vu, quand il avait fait irruption alors qu’elle corrigeait Shii, qu’il aimait les jolis culs. Ce n’était qu’un juste retour des choses que de lui offrir l’occasion de devenir, à son tour, un sodomite.

Le chevalet grinçait et craquait à chacun des coups de reins de Bran. L’homme s’abattait sur le professeur avec force, enfonçant ses mains dans ses fesses, ses bourses claquant contre son corps quand son membre s’enfonçait profondément en lui, défonçant progressivement à la perfection sa porte anale... Et Jack ne tarda pas à se laisser aller, incapable de repousser les élans le traversant. Nasha avait remplacé Mélinda, et ses mains fermes caressaient et empoignaient le visage de l’homme, sa culotte proche de sa bouche. Des trois femmes accompagnant Mélinda, cette goule était la plus solide... Un corps bodybuildé trahissant une femme aux formes généreuses, une sportive accomplie, et assurément hermaphrodite, utilisant ses hanches et ses reins lourds pour défoncer de petites pucelles à la sortie du lycée, parfois en duo avec Ayumi, une autre esclave de Mélinda qui adorait violer les autres... Et que Jack risquait de rencontrer. S’il était réticent à l’idée de se faire prendre par là au début, nul doute que, à la fin de la longue soirée qui s’annonçait, Jack serait docile et plus que content de servir sa Maîtresse... Car c’était bien comme ça que Mélinda se voyait, désormais. Elle soumettait et asservissait aussi bien des adolescents que des personnes adultes. À ses yeux, un humain était assimilable à un autre humain. Élève ou professeur, quelle différence ? Si elle pouvait y mettre ses petites griffes, elle le faisait sans la moindre hésitation, et sans le moindre remords.

Jack, donc, se faisait labourer le cul, et suppliait qu’on libère son sexe. Emprisonné dans la ceinture de chasteté, il avait l’air de souffrir, ce qu’Alyssa nota rapidement.

« Nous aurions dû prévoir une cage plus grande, Maîtresse... Il bande comme un taureau en rut...
 -  Hum... J’en sais quelque chose... »

Elle avait eu sa bite dans son cul, après tout. Mélinda s’était mise sur le côté, et croisa les bras, tandis que Bran grognait et haletait, des plaques rouges commençant à marquer son corps, sous le signe de l’effort. La tête de Jack allait parfois heurter les cuisses de Nasha, ce qui ne semblait nullement déranger la belle Noire. Mélinda finit par acquiescer, et jeta la clef sur le sol, près d’Alyssa. Cette dernière s’empressa de la récupérer, et l’enfonça dans la petite serrure, puis, en quelques secondes, la cage tomba sur le sol dans un cliquètement métallique, libérant la verge de l’homme. Alyssa, un sourire sur les lèvres, s’empressa de la caresser, glissant ses doigts le long de ce membre, avant de le lécher, de le suçoter en le mordillant délicatement et tendrement.

« Hum... Hum...
 -  Si tu jouis, mon petit Jack, il faudra nettoyer le sol... »

Pendant ce temps, Bran soupirait et grognait, et administrait désormais sur les fesses de Jack de solides claques, des gifles, destinées à faire circuler le sang, et à jouer sur la douleur. Son membre remuait de plus en plus facilement en lui, mais le beau vampire ne comptait pas jouir si facilement... C’était un homme endurant, et il tenait bien à le prouver à cet homme, qui était leur prisonnier... Mais un prisonnier qui ne semblait pas si malchanceux que ça...

...Pour l’heure.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 27 février 2015, 18:51:01
Jack n’avait jamais été aussi humilié de toute sa vie. Il dévoyait avec une intense délectation les plus innocents, mais voyait son propre corps comme un temple. Aujourd’hui, ce temple était profané et… Il adorait ça. Ses sphincters s’étaient légèrement détendus à présent, et son cul acceptait plus facilement cette queue colossale qui coulissait brutalement dans son fondement avec un bruit de succion obscène. Néanmoins, chaque nouveau coup de butoir le défonçait, et la douleur ne disparaissait jamais vraiment ; curieusement elle persistait mais cela décuplait son plaisir : son corps tout entier était agités de légers spasmes, et si le chevalet ne le retenait pas, l’agent Taylor aurait probablement chuté au sol. De toute évidence, l’homme qui le possédait était athlétique ; ses coups de bassins étaient puissants, sa poigne solide.

 « Ah… Aaaah… »

Maîtresse Mélinda l’avait délaissé, mais la belle et solide noire se tenait à présent devant lui, exhibant son sexe à quelques centimètres de ses lèvres, protégé par une mince couche de tissu. Ivre de désir, Jack voulait bouffer cette chatte dont l’odeur musquée lui remplissait les narines jusqu'à lui donner des vertiges.

« Laissez-moi…Argh…Vous lécher », parvînt-il à articuler entre deux ahanements.  

Profitant des violents coup de bassins que lui administrait son bourreau pour enfouir son visage entre les cuisses de la surnaturelle jeune femme, Jack entreprit de laper consciencieusement son entrecuisse. Au bout de quelques secondes, la culotte fut parfaitement détrempée et moulait la forme bombée du sexe de la succube. La jeune femme avait beau être costaude, sa chatte, elle avait l’air bien étroite. Cependant, répondant à ses prières, son élève – car Mélinda était après tout, l’une de ses élèves – autorisa la blondinette à libérer sa bite.  Jack ne put s'empêcher de soupirer d'aise lorsque sa verge turgescente fut délivrée par les doigts habiles de la petite blonde, même s’il dû faire appel à toute sa volonté pour ne pas éjaculer immédiatement.

Sous les lèvres taquines de sa libératrice, le membre désormais bandé atteignit des proportions si impressionnantes qu'il était parfaitement impossible pour la jeune femme d'en faire le tour avec sa main. Attaché comme il l’était, Jack ne pouvait pas voir la fellation qui lui était prodiguée mais il imaginait sans peine son énorme gland déformer les lèvres vermeilles et les joues pâles de la créature gracile.  

 « Putain ouais…Suce ma grosse queue, espèce de salepute », cracha-il. Même réduit à l’impuissance, Jack demeurait un mâle dominant… même s’il avait conscience que son insoumission aurait probablement des conséquences...Fâcheuses.

Chaque coup de rein du complice de Mélinda lui arrachait des râles rauques, et sa queue convulsait d'elle-même, expulsant un léger filet continu de semence qui s’écoulait entre les lèvres de la belle esclave de Mélinda, prélude à la foudroyante éjaculation qui, Jack le savait, ne tarderait pas à survenir.  L’agent Jack Taylor avait déjà couché avec plusieurs partenaires à la fois, mais il n'avait jamais fait l'expérience de se faire sodomiser pendant qu'on le suçait ; le plaisir allait au-delà de l'imaginable et le pauvre homme en perdait la tête, ne sachant ce qui le faisait le plus jouir, de la grosse queue qui lui pourfendait le cul, martyrisant sa prostate gonflée ou des lèvres et doigts habiles de la jeune femme qui s'occupait de sa verge. C'était avilissant, immoral et cruel, mais qu'est-ce que c'était bon !

Dans son dos, Son amant s’échauffait ; cédant à ses prières, il défonçait à présent le pauvre Jack qui l'entendait soupirer sourdement, alors que son souffle tiède venait mourir entre ses omoplates moites. L'homme le fessait copieusement, laissant de larges traces rouges sur sa peau légèrement hâlée.

« Bordel... AHHHHH ! »

Jack se raidit, les yeux révulsés, alors que son anus se contractait plusieurs fois comme un étau autour de la verge intrusive. Son propre vit expulsa de puissants jets de foutre brûlant qui se répandirent sur le beau visage de la blondinette et inondèrent le sol, ainsi que que les cuissardes de la noire qui lui caressait toujours les cheveux. De longues secondes s'écoulèrent avant que invraisemblable flot de semence ne se tarisse, et que ne demeure qu'un léger filet translucide, s'échappant de son méat. Frissonnant d'aise, l'agent taylor était à présent dans un état quasi-catatonique, le regard vague, les lèvres étirées sur un sourire béat. C'était l'une des meilleurs baises de sa vie.   
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 01 mars 2015, 01:47:40
Le brave Jack était leur prisonnier, ce qui ne l’empêchait pas de bander sec. Mélinda avait déjà goûté à cette verge, et elle comprenait donc le raisonnement d’Alyssa, son étonnement en voyant cette queue grosse et large. Elle l’avait senti dans le cul, elle ! Rien qu’à y repenser, Mélinda bouillonnait sur place. Oh, en soi, ce n’était pas qu’elle était hostile à l’idée de se faire visiter sa porte arrière, mais elle avait sa réputation à tenir. Elle était la Maîtresse, la matrone d’un grand harem, responsable de centaines d’esclaves, parfois jusqu’au berceau, où elle allait les cueillir, les éduquant sur des années pour en faire de parfaits esclaves. Rares étaient les personnes ayant le droit de visiter son fion, et Jack, lui, s’était arrogé ce droit en la défonçant joyeusement dans la salle de cours. Espérait-il donc sincèrement qu’elle laisserait passer l’éponge ? Elle avait attendu, tout simplement, elle avait laissé le temps passer, avant que le brave Jack ne se doute de rien, afin qu’il pense qu’elle l’avait oublié... Puis elle l’avait capturé, et, maintenant, elle pouvait lui rappeler qu’il était l’humain, et elle la vampire !

Bran avait un sexe massif, lui aussi. Il pilonnait le cul de Jack, déformant ses parois internes av »c une rage de plus en plus féroce, ses mains griffant les fesses et le dos de son amant masculin, grognant et soupirant, ses pectoraux remuant d’avant en arrière. Pendant ce temps, Alyssa, elle, se faisait plaisir avec cette queue, et Triss, elle, fouettait le dos de Jack à chaque fois qu’il insultait quelqu’un... Ou même sans l’insulter. Il se faisait juste fouetter un peu plus fort quand il insultait ou ordonnait quelque chose. Mélinda, elle, marchait lentement, de droite à gauche, un sourire sur le coin des lèvres.

« Et bien, tu te fais rapidement à l’idée d’être un esclave, beau Jack... »

Elle le narguait encore, et, pendant ce temps, Alyssa suçait sa queue. Elle était assise sur le sol, et sentait la queue de l’homme glisser d’avant en arrière, au fur et à mesure que Bran le prenait, le corps de leur prisonnier se soulevant d’avant en arrière, multipliant chez Alyssa les gorges profondes. La belle goule adorait ça, et ses dents glissaient contre la verge grosse et bien dure de l’homme, qui lui déformait la bouche. Contrainte de respirer par le nez, avec l’une de ses mains, elle allait jouer avec les testicules de l’homme, les soupesant, les remuant, en évitant de trop tirer sur les poils pubiens. Il fallait le faire souffrir, oui... Mais pas trop non plus. Elle jouait avec l’homme, comme ça, tout simplement. Sa langue filait le long de sa hampe de chair, et elle soupirait, gémissant de plaisir. Avec son autre main, elle finissait par aller se caresser, sa main glissant entre ses cuisses pour la soulager.

Quant à Nasha, elle avait senti la langue de Jack titiller sa culotte, et sourit lentement. Avec ce corps musclé et bien bâti, la femme était une belle hermaphrodite, et sentir la langue de Jack sur sa culotte lui donnait envie de vraiment le laisser lécher son sexe. Elle souriait lentement, et, pendant ce temps, Bran continuait à remuer en lui. C’est ce qui finit par amener Jack à jouir.

« HNNNNNNNNNNN... !!! »

Tout ce foutre jaillissant en elle surprit la belle Alyssa. Elle s’était attendue à coucher avec un simple humain, mais Jack était littéralement exceptionnel. De multiples filaments de foutre jaillirent, puis elle se retira, et éternua, surprise par tout ce sperme qui avait jailli en elle, et qu’elle se retint de recracher. Elle grogna et soupira, et, alors que Jack était heureux, et commençait à se sentir soulagé... Nasha posa sa main sur ses cheveux, les empoignant fermement, les tirant en arrière, puis enfonça dans sa bouche une queue noirâtre, à la couleur de son corps.

« Tiens, petit bâtard, suce-moi ÇA ! »

Elle remua alors son corps en lui, et, pendant ce temps, Alyssa, sous le corps de l’homme, léchait son sexe, comme une sorte de grosse glace, afin de goûter au foutre qui se tenait là. Après avoir tiré son coup, Jack avait perdu de sa superbe... Mais Mélinda avait bon espoir qu’il la retrouve rapidement. Elle s’était donc déplacée, continuant à marcher, et Triss arrêta les coups de fouet quand Mélinda se mit à côté de Jack. Elle griffa son dos, et approcha sa bouche de son oreille, venant lécher son oreille, avant de la mordiller tendrement.

« Ne t’endors pas tout de suite, petit Jack... Nous ne faisons que commencer à nous amuser avec toi... »
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le jeudi 12 mars 2015, 09:27:59
« Oooh… »

Jack frissonna ; après l’extraordinaire extase qui l’avait foudroyé, son corps s’amollissait et la tête lui tournait. L’homme était un amant extraordinairement fougueux, mais à l’inverse de ses tortionnaires, il était humain…Et il avait besoin de récupérer. Mélinda ne semblait néanmoins pas disposée à l’entendre de cette oreille, non plus que son compagnon masculin qui défonçait toujours son orifice distendu avec force et fougue. Par reflexe, les parois malmenée se contractaient de temps à autre sur la verge massive dont elles avaient à présent épousé la forme. L’inconnu le gratifiait de coups de bassins de plus en plus violents et ses grognements évocateurs laissaient supposer qu’il n’allait pas tarder à inonder le cul de l’agent Taylor de foutre chaud. Bien qu’épuisé, Jack ne put s’empêcher d’esquisser un faible sourire ; il se promettait de rendre la pareille à son amant, autant par vengeance que par reconnaissance.

Quant à la blondinette qui se trouvait à ses pieds, Jack l’avait senti tressaillir, puis manquer de s’étouffer en avalant le jet de semence ininterrompu qu’il avait expulsé dans sa gorge. Ca lui apprendra à jouer à la plus maligne, songea-il, avec une pointe d’orgueil. Il n’eût pas l’occasion de s’appesantir sur ces réflexions, puisque la belles noire lui releva le visage en lui tirant brusquement les cheveux vers l’arrière, avant de lui fourrer un beau morceau de chair entre les lèvres. Jack écarquilla les yeux, alors qu’il manquait à son tour de suffoquer. Une bite, elle avait une bite elle aussi ! La verge brune, à demi-bandée, n’était pas aussi impressionnante que celle de Jack, ou de l’homme qui le sodomisait, mais elle était de bonne taille et son gland venait percuter sa glotte à chaque coup de bassin. 

« Hmm mhh ! »

L’agent Taylor n’avait pas sucé beaucoup de queues, mais étant un homme il avait une idée assez précise de la manière dont il fallait gratifier un sexe masculin. A cet égard, lorsqu’il s’était occupé de celle de Mélinda, cette dernière semblait avoir plutôt apprécié le traitement. Néanmoins, la jeune femme ne souhaitait pas simplement se faire sucer ; elle lui baisait la bouche, sans le moindre égard, déformant ses joues de temps à autres alors que le fouet s’abattait inlassablement sur ses omoplates, la douleur réveillant son corps fiévreux. A quatre pattes, la troisième jeune femme emboucha à nouveau son sexe débandé, faisant glisser ses lèvres sur sa hampe. Stimuler un phallus immédiatement après éjaculation était toujours un peu désagréable et Jack grogna, se débattant vainement pour libérer son sexe. Cependant Mélinda s’approcha de lui, passant sa main griffue sur son dos meurtri avant d’approcher sa bouche de son oreille. Un irrépressible frisson de désir lui remonta le long de l’épine dorsale alors qu’il fantasmait sur les longues heures d’orgie qui se profilaient. Aurait-il le droit de baiser à nouveau Mélinda ? Sa queue se raidissait imperceptiblement, alors qu’il songeait à leur précédente rencontre et à l’ardeur avec laquelle la belle vampire avait accueilli son pieu dans le cul.

L’hermaphrodite ne lui laissait que peu d’occasions de respirer, mais lorsqu’elle marqua une courte pause les lèvres pincées, probablement pour ne pas éjaculer, Jack tourna son regard vitreux vers son élève.

« Mélin…Maîtresse. Libérez-moi, ne serait-ce que les mains, par pitié ! »

Sa voix grave s’était cassée sur la fin de sa phrase ; la sourde chaleur provoqué par la sodomie interrompue glissait à nouveau vers le plaisir.

« Je ne m’enfuirais pas », ajouta-il, alors que la queue, cette fois bien bandée de la noire se glissait à nouveau entre ses lèvres.

Il ne mentait pas, il en voulait davantage. La sexualité débridée de l’américain était quasiment maladive. En l’absence de partenaire sexuel, il pouvait se masturber plus d’une dizaine de fois par jour. Initialement hétérosexuel, son inaltérable appétence l’avait entraîné à s’intéresser aux hommes et… A des créatures plus exotiques, du genre de celle dont il suçait justement la verge. En aussi bonne compagnie, il était hors de question de mettre les voiles. Au bout de quelques minutes, son sexe avait retrouvé de sa superbe, et grossissait entre les mains de la blondinette. Sa prostate, mise à rude épreuve enflait également et Jack ne put s’empêcher de grogner d’aise, alors que ses sensations revenaient. Levant les yeux vers la belle hermaphrodite, il la défia du regard alors qu’il faisait tourner sa langue autour de sa verge brune. 

 
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 15 mars 2015, 01:55:34
Bien entouré, Jack semblait se faire à ce sexe brutal. On le sodomisait tout en lui baisant la gueule, et, même dans ces conditions, il n’avait pas tourné de l’œil. En un sens, c’était rassurant. L’homme qui lui avait défoncé le cul avait beau n’être qu’un simple humain, il avait aussi la soif et l’endurance sexuelle d’un troupeau entier de mâles en rut. Qu’il soit professeur à Mishima, en ce sens, ne surprenait guère Mélinda ; plus de la moitié du corps enseignant, au bas mot, se composaient de pervers sexuels, plus intéressés par l’idée de donner des cours à de jeunes adolescents en pleine puberté, que de leur enseigner un savoir-faire théorique. Jack n’y faisait guère exception, et, maintenant qu’il était là, attaché, pris par Bran, ainsi que par Nasha, qui lui malmenait les cheveux, Mélinda ne pouvait qu’être admirative devant sa résistance, qui n’avait d’égal que sa perversion. Des petits culs de lycéennes, il avait dû en prendre un bon paquet... Ce que Mélinda savait plutôt bien, car il avait couché avec plusieurs autres de ses esclaves, une autre raison qui avait finalement justifié qu’elle intervienne.

L’homme était prisonnier, et, pendant ce temps, Alyssa, continuait à jouer avec sa verge. Elle sentait que l’homme n’était pas épuisé, et qu’il en avait encore à revendre. Bran, lui, continuait à le prendre, soupirant et gémissant. Il contrôlait plutôt bien son corps et ses élans, mais le plaisir était en train d’exploser en lui. Il n’allait pas tarder à jouir, et, pendant ce temps, Jack tourna la tête vers Mélinda, implorant sa Maîtresse de le détacher. Cette dernière hésita un peu, puis se rapprocha à nouveau de lui, et caresse tendrement ses cheveux, comme elle tapoterait la tête d’un petit chien implorant une requête de sa Maîtresse.

« Oh, mais je me doute que tu ne fuiras pas, mon beau... Où pourrais-tu aller, même ? »

Le manoir de Mélinda était plutôt grand, et ils se trouvaient dans le sous-sol. Il y avait de multiples pièces, et seuls quelques escaliers. Ce n’était pas une place-forte, mais s’enfuir seul, nu, avec le cul en chou-fleur, sans se faire remarquer, tenait quand même un peu, au vu de ces circonstances, du prodige. Elle ne se faisait donc aucun souci de ce point de vue. Elle le relâcha, puis hocha la tête vers Bran. Ce dernier grommela, puis reprit alors ses coups de reins, un peu plus forts, griffant dans la foulée les fesses de Jack, et le prit ainsi, jusqu’à terminer sa sodomie par une jouissance en bonne et due forme. Mieux valait attacher Jack, afin d’éviter que son corps ne parte trop dans tous les sens. Bran se déversa en lui, et, comme Jack avant, l’homme eut une jouissance longue et imposante. C’était souvent le cas, venant d’un vampire avec une bonne constitution et une bonne endurance. Il s’abandonna dans le cul du professeur, remplissant ce dernier, de longs soupirs s’échappant de sa gorge serrée, ses ongles venant le maltraiter en griffant sa chair.

Pendant une demie-minute, Bran s’abandonna ainsi en lui, soupirant longuement, la tête redressée en arrière, puis se calma ensuite. La vague venait d’exploser et de passer, la tempête laissant place au calme et au repos. Bran se retira du cul bien rouge de Jack, et un peu de sperme fila de ce trou massacré. Mélinda, alors, entreprit de le détacher totalement, et poussa Jack. Le professeur tomba à même le sol, sur un carrelage froid et dur, s’étalant sur le dos. Il ne s’écoula ensuite que quelques secondes avant qu’Alyssa, qui était en train de délicatement le masturber, ne se penche vers lui. Elle posa une main sur son épaule, une main maculée de foutre, et alla l’embrasser goulûment, enfonçant sa langue dans sa bouche, avant de lui sourire. Le baiser n’avait duré que quelques secondes.

« Tu as encore envie de baiser, hein ? demanda-t-elle. De sucer la queue de Nasha ? »

Cette dernière avait toujours son sexe en érection, et se tenait face à Jack, jambes écartées. Une femme membrée, ce n’était pas courant sur Terre, mais, sur Terra, les hermaphrodites étaient légion, surtout depuis que Tekhos avait pris en aberration le sexe masculin, et avait développé des techniques de reproduction n’impliquant qu’un seul sexe. Les techniques s’étaient diffusées, impliquant aussi bien la magie que la technologie. De ce que Mélinda savait sur Terre, il existait aussi bien des techniques chirurgicales permettant de transformer un homme en femme, et inversement.

Pour Jack, le sexe continuait.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mardi 17 mars 2015, 00:22:08
Où pouvait-il aller ? Un sursaut d'orgueil fit grogner l'agent Taylor. Maintenant qu'il avait recouvré des forces, il pouvait probablement briser ses entraves en se jetant sur le côté ; le chevalet avait l'air solide, mais Jack avait une vigueur relativement exceptionnelle. Il s'agirait ensuite de neutraliser rapidement l'homme... Enfin si c'en était un, avant de bousculer ces succubes pour s'enfuir par la porte métallique du fond... Un sacré programme, surtout lorsque l'on se doutait que tout ce beau monde n'était probablement pas humain.

« Va te faire foutre », cracha-il, conscient de sa plus complète impuissance.

Il s'apprêtait à être encore plus gros grossier lorsqu'un violent coup de bassin lui coupa la respiration ; le colosse dans son dos s'activait de plus belle, maltraitant allègrement ses fesses musclées et hâlées.Putain de merde. Sous l'effet de l'excitation, la verge de l'inconnu avait encore gonflé, arrachant un grognement à chaque fois que son extrémité percutait sa prostate. Cette queue était énorme et la pénétration douloureuse. Néanmoins cette avilissante sensation d'écartèlement était délicieuse, et le professeur s'abandonnait chaque seconde davantage aux coups de butoirs de son amant, manquant par instant de tourner de l’œil, tant les sensations étaient vertigineuses. Soudain, dans son dos, l'homme se raidit, avant d'expulser de puissants jets de foutre chaude dans ses entrailles, arrachant un long râle rauque au prisonnier alors qu'une nouvelle vague de jouissance explosait dans son bas-ventre. L'orgasme fut long, presque interminable, son anus se contractant convulsivement autour de la queue qui se vidait en lui. Écarquillant les yeux, Jack se rendit compte qu'il n'éjaculait pas...En tout cas pas comme d'habitude. Un léger filet de semence translucide s'échappait de son méat et glissait entre les doigts de la blondinette qui le branlait doucement. Finalement l'homme se retira lentement de son orifice béant dont s'écoulait le fluide tiédit.

« Ahh... »

Jack n'eût guère le temps de se remettre de ses émotions ; Mélinda défit rapidement ses entraves et le jeta au sol d'une simple poussée de la paume. L'homme roula sur le sol glacé, le regard trouble. Sa verge toutefois, collée à son torse glabre, s'érigeait fièrement. L'énergie sexuelle de Jack le surprenait parfois lui-même. Lorsqu'il était plus jeune, il pensait que tous ses camarades se masturbaient une quinzaine de fois par jour, et éjaculaient en très grande quantité ; il n'avait réalisé sa différence qu'à la fin de l'adolescence. Jack ferma les yeux un instant, frissonnant au contact du carrelage. Lorsqu'il les rouvrit, la petite blonde se pencha sur lui, et posa ses lèvres contre les siennes, mélangeant sa langue avec celle du prisonnier, sa petite main toujours refermée sur l'épaisse verge.

« Humm... »

Plutôt que de lui répondre, Jack se redressa doucement sur les coudes, et s'empara de la nuque de la jeune femme, l'embrassant brutalement à son tour, avant de pincer ses lèvres entre les siennes l'espace d'un instant. Un rapide regard vers l'homme qui se tenait en retrait le surpris. Bien qu'il fut particulièrement athlétique, le complice de Mélinda n'avait pas les traits d'une brute épaisse ; il était beau, avec des traits fins et de longs cheveux de jais. A vrai dire, il lui rappelait quelqu'un... Se pouvait-il que... ? Cette fille est complètement cinglée ! Coupant cours à ses réflexions, la belle noire se campa devant lui, sa belle queue au garde-à-vous. L'homme souris et se redressa sur les genoux. Jack était de bonne taille et il lui fallut se pencher légèrement pour emboucher sans hésiter le sexe de l'hermaphrodite qu'il branlait d'une main experte, serrant fermement le vit un peu au dessous du gland, sans toutefois l'écraser. De sa main libre, il incita sans douceur la petite blonde à faire de même avec sa propre queue, en pressant sur son épaule.

« Occupe-toi de la mienne, petite pute », lui glissa-il, presque avec tendresse.

Sa seconde main avait glissé le long de la jambe de l'hermaphrodite, et palpait sans ménagement son postérieur rebondi. Alors que sa langue s'enroulait une nouvelle fois autour du gland gonflé de la jeune femme, Jack fit glisser majeur et annulaire dans la raie tiède de ses fesses, pour flatter le renflement de son anus brun. Sans surprise, la corolle paraissait souple ; de toute évidence, Mélinda appréciait autant la sodomie – passive et active – que lui, et utilisait allègrement ses esclaves à cette fin. Crachant sur ses doigts, il posa la pulpe de son majeur contre le fondement de la noire, puis le fit doucement, mais inexorablement pénétrer dans son anus, sans cesser de la masturber et de téter son gland avec avidité.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 23 mars 2015, 01:22:47
Difficile de croire que ce n’était qu’un simple humain, mais son sang ne mentait pas. Il était toujours excité, avec une érection lancinante, et, surtout, un appétit sexuel qui était toujours aussi fort. Couché sur le sol, Jack ne tarda ainsi pas à se relever. Mélinda voulait lui donner une leçon, elle voulait l’épuiser, qu’il demande grâce… Mais, plus le temps passait, et plus il s’avérait fort, et insatiable. Son cul avait été défoncé par Bran, mais ça n’empêchait pas Jack de continuer à agir. Il se dressa face à Nasha, et s’attaqua au sexe de la belle femme noire. Cette dernière soupira, ses mains venant s’enfoncer dans les longs cheveux du professeur. Mélinda, elle, s’était assise sur le chevalet, jambes croisées. Entouré par Nasha et par Alyssa, il ordonnait à cette dernière de s’occuper de son sexe, ce que cette dernière fit avec sa main, sans guère protester. Jack était agenouillé sur le sol, assis sur ses chevilles, et jouait avec le sexe de la femme, approchant ses doigts de sa rondelle, jusqu’à les glisser en elle.

« Hummm… C’est bien, mon petit soumis… Haaaa… »

Quel esclave de Mélinda n’aimerait pas la sodomie ? Sûrement pas Nasha, en tout cas, qui, comme Jack le supposait bien, avait eu droit, au cours de son existence, à son lot de pénétrations anales… Comme les deux autres esclaves ici, comme Bran… Et même comme Mélinda. Esquissant un léger sourire, jambes croisées, elle observait Jack. Nasha tirait sur ses cheveux, et avait, à nouveau, fourré sa queue dans sa bouche. Alyssa, quant à elle, était dans le dos de l’homme, et sa main le masturbait, tandis que, avec son autre main, elle caressait son ventre, griffant sa peau, remontant sa main pour pincer l’un de ses tétons. Sa langue léchait son cou, et Alyssa se faisait énormément plaisir, en jouant avec le corps de l’homme.

Mélinda devait reconnaître qu’il était musclé, et vraiment bien bâti… Peut-être même un peu trop pour un simple professeur. La vampire avait appris que, à Mishima, les apparences étaient bien trompeuses. Isley-senseï, par exemple, n’était pas une humaine, sous son apparence. Mélinda avait perçu son sang, un sang végétal, qui l’avait parfois amené à se demander si elle n’allait pas faire d’elle une esclave… Mais, quand Mélinda avait tenté de la séduire, les phéromones d’Isley-senseï l’avaient rendu toute chose, et elle s’était retrouvée dans une plante, le corps pénétré par de multiples tentacules, et l’esprit hagard… Mélinda avait compris qu’Isley-senseï n’était pas de son niveau, et l’avait laissé tomber… À défaut, elle se vengeait sur Taylor-senseï, mais il fallait croire que tous les professeurs de Mishima étaient recrutés sur le fondement de leurs performances sexuelles.

« Quelle énergie, rigola-t-elle. J’admire ton endurance… »

La vampire regarda alors Bran, lui fit un sourire engageant, et l’homme s’avança, puis se mit à genoux devant elle, et, lentement, tendrement, il entreprit de lui lécher et de lui baiser les pieds. De l’autre côté, Nasha donnait des coups de reins dans la bouche de Jack, soupirant et gémissant profondément, son mandrin noir bourrinant la bouche et la gorge de l’homme. Elle multipliait volontiers les gorges profondes, appréciant fortement l’idée de coucher avec un homme, de pouvoir baiser la gorge d’un homme… Une femme aussi, c’était parfait, mais, un homme… Avec un homme, il y avait une dimension psychologique supplémentaire, particulièrement jouissive. Tout en soupirant, Nasha remua en lui.

Alyssa, quant à elle, finit par, à son tour, doigter les fesses de l’homme. Une main sur sa verge, afin de le masturber, elle déplaça son autre main pour l’enfoncer dans son fondement, sentant le sperme de Bran. Il était encore là, et elle remua ses doigts, les faisant tournoyer sur eux-mêmes, avant de les retirer, et de les sucer joyeusement, en poussant un soupir de plaisir.

« Là, là, suce bien… »

À aucun moment, Nasha ne venait retirer son phallus de sa bouche, ne laissant à Jack que comme seule possibilité de respirer que d’inhaler par le nez, ce dernier venant parfois caresser la peau noire de Nasha quand elle enfonçait son sexe aussi profondément que possible.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mercredi 12 août 2015, 01:00:34
Se délectant de l'épaisse verge brune de Nasha, Jack inspirait profondément, humant l'odeur racée de la belle noire, s'étouffant presque, alors que son gland percutait sa glotte douloureuse. Son annulaire vint bientôt rejoindre son majeur dans le fondement de la dominatrice alors que Jack les agitait de plus en plus vigoureusement, à mesure qu'elle s'habituait à la pénétration. A en juger par les mouvement frénétiques de son bassin et ses soupirs évocateurs, la jeune femme appréciait le traitement qui lui était infligé, ce qui ne manqua pas d'amuser le prétendu professeur.. Étant lui-même un homme, il savait exactement quelle pression exercer sur cette grosse queue pour la flatter sans la meurtrir et comment masser ses sphincters pour les assouplir. La jeune femme ne boudait pas son plaisir, et défonçait à présent la gorge de Jack, dont le nez venait s'écraser brutalement contre le pubis en sueur de son amante. Lorsqu'elle lui laissa quelques secondes de répit, Jack lécha la belle verge sur toute la longueur de sa hampe, avant de titiller l'urètre et de suçoter le gland gonflé.

«  Maîtresse est une grosse pute, hein ? Je suis sûr qu'elle aimerait sentir ma grosse queue défoncer son anus. Hmm... »

La blonde, Alyssa, qui branlait son gros vit de sa petite main, venait de délaisser ses tétons érigés pour glisser plusieurs de ses doigts fuselés dans son anus encore béant et sensible, qu'elle fouilla sans ménagement, faisant convulser d'aise le journaliste, alors qu'un très léger filet de sperme translucide s'écoulait de son méat. Jack avait beau fouiller ses souvenirs, il ne se souvenait pas d'avoir participé à une orgie aussi jouissive et scandaleuse. Avec Melinda et ses sbires, tout semblait possible, jusqu'à ses fantasmes les plus odieux. L'avilissement qu'elle lui faisait subir aurait détruit l’ego d'un jouisseur moins expérimenté,mais Jack, qui se considérait pourtant comme un alpha dans la vie ordinaire, trouvait une immense délectation à se faire traiter comme le dernier des esclaves par une lycéenne... Une lycéenne vampirique, mais une lycéenne quand même.

L'homme jeta un coup d'oeil au beau Bran ; le colosse s'était religieusement agenouillé devant sa petite sœur, son sexe pendant entre ses jambes musclées, et lui léchait les pieds avec application, alors que Mélinda elle-même se délectait tranquillement de la situation. Jack se demanda si comme lui, le séduisant colosse aimait se faire sodomiser, et s'il aurait l'occasion de lui rendre la pareille, pour le remercier de l'avoir si bien défoncé. Ce qui était certain à présent, c'est que le frère et la sœur devait avoir des rapports sexuels fréquents. L'homme sourit en songeant à la fois ou il avait surpris Melinda en train de copuler dans une salle de classe ; il l'avait baisée sans ménagement, mais étant donné le calibre du sexe de son frère, qui était du même acabit que le sien, la belle vampire n'avait pas dû être dépaysée. Le plaisir intense qu'il avait ressenti à se faire prendre comme une femme par un homme aussi viril et membré que lui donnait des vertiges ; il n'avait jamais couché qu'avec des jeunes hommes androgyne et considérait de fait qu'il n'était pas vraiment bisexuel, simplement un peu déviant. Mais ce qui venait de ce dérouler dans ce donjon venait démentir cette croyance avec éclat ; c'était une nouvelle facette de sa sexualité, que découvrait l'agent Taylor et c'était... Vertigineux

Jack raffermit sa prise sur la queue de Nasha, la branlant de plus en plus vigoureusement, la fixant intensément de ses yeux vairons. Une aussi belle futa, ça ne courrait pas les rues. Quatre de ses doigts pilonnaient à présent le cul distendu de cette dernière et il espérait bien la faire jouir rapidement ; une futanari pouvait-elle éjaculer ? Jack n'en avait aucune idée, mais il espérait que tel était le cas, et que sa maîtresse du moment l'éclabousserait de foutre tiède.

« Donne-moi tout ma belle, remplis-moi bien la gorge ! », la cajola-il d'un ton fiévreux, avant de reprendre le chibre en bouche, sans quitter des yeux sa belle amante.
 
Son propre vit, stimulé par les caresses de la jolies blonde avait repris sa taille colossale, et palpitait entre ses mains. Jack se savait endurant ; il avait épuisé bien des amantes et il lui arrivait fréquemment de jouir plusieurs fois de suite. Néanmoins, l'odieuse luxure qui baignait les lieux lui donnait une énergie sexuelle incroyable, surnaturelle.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 17 août 2015, 02:17:25
Mélinda aimait ça. Elle aimait ce sentiment de domination sur des personnes qui se prenaient comme étant supérieures à cette dernière. L’arrogante vampire se mordillait les lèvres en voyant Taylor-senseï se retrouver entre ses belles esclaves. Des femmes solides et musclées, voilà ce qu’était Alyssa, Triss, et Nasha. Elles étaient la preuve que le harem de Mélinda était varié, où les choix  allaient de la petite lycéenne de dix-sept ans avec les ovaires en feu à la femme mûre qui avait déjà donné naissance à plusieurs bébés. On trouvait de tout, et Jack en faisait l’expérience. Jack, cet Occidental insolent qui avait osé la sodomiser sans relâche. Maintenant, Mélinda avait les moyens de se venger, et Jack était en train de comprendre qu’il avait joué avec le feu, et que cette femme, cette petite adolescente, n’était décidemment pas normale. Mélinda sentait donc la langue de son grand-frère filer respectueusement et amoureusement sur ses doigts de pied. Comme toujours, à chaque fois qu’il s’agissait de faire plaisir à sa sœur, l’homme s’en sortait merveilleusement bien.

Elle observait donc ses esclaves se faire plaisir. Nasha prenait plaisir à remuer sa queue dans la bouche de l’homme, qui s’en sortait bien, ce qui la faisait malicieusement sourire, un sourire plein d’une doucereuse méchanceté, un rictus qui annonçait que la belle n’avait pas encore fini de tourmenter le pauvre homme. Elle crispait ses doigts dans ses cheveux, son lourd sexe s’enfonçant dans sa bouche, jusqu’à taper dans sa gorge, ses testicules allant même, progressivement, jusqu’à frapper ses lèvres, claquant contre sa peau.

« Hummm... C’est si bon... Tu es fait pour ça, Jack, hein ? Sucer des pines à longueur de temps... Une belle profession pour un homme qui adore se faire enculer comme un petit chien... »

Les mots avaient leur importance en matière sexuelle, un moyen d’exciter le partenaire de manière assez efficace. Cette leçon, les trois esclaves de Mélinda l’avaient bien appris, et elles continuaient donc à le prendre. Alyssa remuait ses doigts, écartant les parois anales de l’homme, avec un sourire moqueur sur le coin des lèvres. Oh non, elles n’en avaient pas encore fini avec cet homme. Alyssa et Nasha se faisaient plaisir de chaque côté de son corps, tandis que Triss, elle, se déplaçait, et venait apporter du matériel supplémentaire. Si Jack s’ennuyait, les choses risquaient de rapidement s’aggraver encore pour lui...

Triss laissa Alyssa se concentrer sur les fesses de l’homme, tandis qu’elle sortait de curieux appareils de sa besace. Une sorte de bande noire vint s’enrouler à la base du sexe de l’homme, et elle s’écarta ensuite, la bande étant reliée par un fil à une sorte de grosse batterie installée sur le sol. Elle tourna quelques voyants, puis appuya sur un bouton... Et des courants électriques jaillirent du petit générateur, pour venir exciter la verge de Jack.

« Voilà pour te faire plaisir...
 -  Triss est une vraie chipie, hein ? Mais... Je crois que ton cul est suffisamment bien dilaté pour que nous passions aux choses sérieuses, Jaaaack... »

Elle enfonçait plusieurs doigts, et continuait ainsi à dilater l’anus de l’homme, jusqu’à pouvoir opter pour un fisting, en y enfonçant sa main. La douleur devait être terrible pour lui, et ce d’autant plus que Nasha s’enfonçait lourdement dans sa bouche, avec une queue énorme et bien juteuse, en multipliant ses coups de reins, ses bourses frappant ainsi contre son visage, tandis que le bout de sa queue se perdait dans sa gorge, provoquant probablement de multiples haut-le-cœur vertigineux.

À ce rythme, Mélinda, qui arborait toujours sur ses lèvres un sourire amusé, se demandait presque si l’homme allait tourner de l’œil. Un humain normal pouvait-il tenir à ce point ? Elle esquissa un léger sourire, et eut alors une idée, en sentant l’érection lancinante de Bran. Elle se redressa alors, et posa ses pieds sur les deux épaules de l’homme, puis poussa dessus, l’envoyant se coucher sur le dos. Elle se laissa ensuite glisser, et tomba à califourchon sur lui, faisant soupirer le vampire.

« Te voir ainsi torturé m’excite beaucoup, Jack... J’ai hâte de voir si tu seras encore conscient quand Bran me fera jouir... Car, si c’est le cas, tu pourras avoir une faveur de ta Maîtresse... Comme sodomiser quelqu’un... Moi ou Bran, car je suis une Maîtresse qui sait récompenser l’investissement et le talent de ses esclaves. »

Elle eut un nouveau sourire malicieux, avant de poser ses griffes sur le torse de Bran, et de se déplacer un peu, remuant des hanches, avant de finir par s’empaler sur le corps de l’homme, dans un long soupir de joie. En regardant devant elle, elle voyait le spectacle de Jack, torturé par ses trois bourreaux.

Une vue superbe !
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mardi 18 août 2015, 15:35:45
La séance de domination extrême que subissait le pauvre professeur n'avait plus rien d'un simple jeu sexuel. La belle vampire réclamait vengeance et semblait déterminer à user et abuser de lui jusqu'à l'épuisement. Le pire était probablement que Jack n'y voyait aucune objection, oh non... Bien au contraire, il n'avait d'autre désir que celui de se vautrer inlassablement dans le stupre. Le rôle du dominant lui seyait à merveille, mais pour l'heure, il se plaisait dans celui du bon chien, qui remuait la queue quand il se faisait brutalement sodomiser. Quelque part, au fond de lui, le professeur craignait que cette séance n'affecte durablement sa sexualité. Avant même sa rencontre avec Mélinda, l'agent Taylor était un maniaque, incapable de passer plus de quelques heures sans se branler, ou sans coucher avec quelqu'un, ce qui l'avait mis à de nombreuses reprises en porte-à-faux vis-à-vis de ses supérieurs. Et voilà qu'envoyé à Seikusu, pour discrètement observer les phénomènes surnaturels qui s'y déroulaient, l'homme se faisait copieusement baiser par des vampires et leurs infatigables servantes. Mais n'était-ce pas là une manière comme une autre de se rapprocher au plus près du sujet étudié ?

Nasha, infatigable, lui baisait encore la bouche avec sa grosse queue juteuse, alors que Jack s'affairait dans son cul dilaté. Tantôt Jack enfonçait doucement ses doigts dans le fondement de la belle noire, massant ses sphincters distendus, alors que l'instant d'après il retirait sa main, laissant l'anus bailler avant de s'y réintroduire brutalement de nouveau, produisant un bruit de succion obscène.

« Ghm... j'aime...Les grosses queues, oui... argh.... » parvint-il à articuler, avant que Nasha n'écrase ses couilles pleines contre ses lèvres, enfouissant sa verge au plus profond de sa gorge meurtrie. Manquant de s’étouffer à chaque nouvelle introduction, Jack comprenait à présent la difficulté de certaines de ses amantes à prendre sa grosse verge en bouche. Pendant ce temps, Alyssa s'amusait avec son anus, massant les parois sensibles de ses doigts fuselés, ce qui faisait frissonner le captif, qui s'était cambré pour lui faciliter la tâche. Cependant, il était loin de se douter de la tournure que prendrait la suite des événements. Les mots doucereux d'Alyssa le mirent cependant sur la voie.

« Mhh ? »

La troisième esclave de Mélinda, qui s'affairait depuis quelques minutes venait de lui enrouler quelque chose autour de la bite. Le professeur sentit les battements de son cœur s'accélérer, jetant des regards éperdus à Mélinda qui l'observait en souriant. A la première décharge, Jack poussa un grognement de surprise étouffé, alors que sa queue ainsi stimulée remonta pour frapper son abdomen, déposant un peu de foutre liquide contre sa peau brûlante. La blondinette en profita pour s'enhardir, le pénétrant plus vigoureusement de ses doigts fuselés. Par ailleurs, les décharges se multipliait, faisant tressauter le pauvre professeur, alors que sa belle bite joufflue était agitée de soubresauts irrépressibles, rebondissant inlassablement contre ses abdominaux saillants. Soudain, la douleur explosa dans son fondement, alors qu'Alyssa forçait son anus pour y introduire l’entièreté de sa main. Sous le choc, il mordit sans le faire exprès la queue de Nasha et interrompit le massage anal qu'il lui infligeait pour s'affaisser sur les genoux et les coudes, les fesses tendues vers l'arrière. Les yeux exorbités, Jack qu'il allait s'évanouir, mais le stimuli électrique irrégulier sur sa verge tendue l'en empêcha.

« HMMM  HMMM ! »

Sale pute, sale pute ! Ne sachant au juste s'il maudissait Mélinda, Nasha ou la blonde qui lui écartelait le cul, Jack Attrapa enfonça ses doigts tremblant dans les cuisses musclées de l'hermaphrodite qui ne cessait de pénétrer sa bouche de son dard. La douleur était insoutenable et le professeur sentit de fines larmes naître au coin de ses yeux, alors que ses sphincter se contractaient convulsivement autour du poignet de sa tortionnaire. Je vais crever putain... L'homme voyait trente-six chandelles et la pièce tournait autour de lui, alors qu'il se cramponnait tant bien que mal à Nasha. Incapable de réagir, il se laissait défoncer la bouche et l'anus en hoquetant, les yeux révulsés, la salive dégoulinant le long de son menton. La voix de Mélinda lui proposant un dilemme cornélien lui parvint de très loin, et il fut bien en peine de lui répondre.

« Hgm... arrête...ça... AHH... », parvint-il à articuler, entre deux gorges profondes.

La douleur ne refluait pas ; Jack avait même l'impression qu'elle augmentait. Mais au milieu de cet océan de souffrance, une tiède vague de plaisir prenait de l'ampleur et se mêlait à la douleur, sans la supprimer, mais plutôt en l'épousant, en se mêlant à elle. C'est...bon. Compris-il, alors que de violents spasmes l'agitaient tout entier. C'est en recevant en plein visage un jet de son propre foutre brûlant que Jack s'aperçut qu'il jouissait. Sa grosse queue enflée, stimulée par l'électricité expulsait des quantités invraisemblables de sperme, au rythme des décharges qu'elle recevait. Il éclaboussa ainsi les jambes gaînées de cuir de Nasha, son propre torse, ainsi que le sol, le rendant encore plus glissant.

«Uhh ahhh... »

Jack se cambra, foudroyé par un second orgasme, alors que son anus se se refermait brusquement sur la main d'Alyssa, bloquant toute extraction pendant quelques secondes, alors que son impressionnante éjaculation se tarissait progressivement, des coulées tièdes continuant à suinter de son méat pour imbiber ses testicules, et jusqu'au poignet de la jolie blonde, planté dans son cul. Lorsqu'il se détendit enfin, Jack s'effondra littéralement sur le sol en frissonnant, lové dans son propre foutre. Les yeux mi-clos,il observait le cul de Mélinda rebondir sur la grosse queue de son frère adoré. Elle s'empalait avec délice, faisait coulisser l’entièreté de la virilité de son aîné dans sa chatte. Je ne dois pas... m'évanouir, songea il, en se mordant la lèvre inférieure jusqu'au sang. C'était cependant une affaire de seconde, et il le savait.

Jack voulait faire plaisir à sa maîtresse et... Il voulait également sa récompense.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 23 août 2015, 08:32:50
Le feu crépitait doucement dans l’âtre de la cheminée, dans un coin de la belle chambre. Une agréable chambre, avec un carrelage propre sur le sol, un grand meuble, et un lit deux pièces situé au fond, à côté d’une fenêtre aux volets ouverts, laissant ainsi l’éclairage de la lune venir. On aurait pu allumer la lampe, mais Mélinda préférait toujours l’éclairage ancestral, celui provoqué par les bougies et le feu de cheminée. C’est ainsi que deux candélabres se trouvaient sur un meuble à côté de la porte, ainsi qu’une bougie sur la table à chevet du lit deux places. La pièce était ainsi découpée en deux : le lit, et le salon, où un grand fauteuil rouge était tourné vers le lit. Mélinda était assise là, sur ce fauteuil, et, juste à côté de cette pièce, il y avait une table basse, en forme ovale, avec, dessus, une bouteille d’un liquide pourpre. À première vue, on aurait pu croire que le délicat et précieux liquide se trouvant à l’intérieur recélait un joli vin rouge... Mais, à bien regarder, ce liquide semblait trop... Foncé... Pour être du vin. Mélinda en buvait justement. Il s’agissait d’une bouteille issue de sa cave, et, comme toute cave vampirique, elle abritait essentiellement des bouteilles de sang. Mélinda en avait sorti une pour un rafraîchissement, tandis que l’invité dormait, reprenant des forces.

Jack était là, nu, comme un ver, couché dans le lit. Il avait été lavé, même si tout ça avait dû sembler lointain pour le valeureux professeur. Et, tandis qu’il dormait, Mélinda l’observait, non seulement lui, mais aussi la femme assise sur le lit, et qui caressait tendrement le visage de l’homme.

« Oui, Maîtresse, je ne sens rien de particulier en lui... C’est bien un être humain lambda.
 -  Hmmm... »

La femme qui parlait n’était pas n’importe qui ; elle s’appelait Edessa (http://img98.xooimage.com/files/2/b/4/edessa-4265072.jpg), et était, à proprement parler, une démone. Une Succube, même. Mélinda l’avait récupéré alors qu’elle était un tout petit bébé, et l’avait tendu sans ses bras quand Edessa était encore un petit poupon de la taille de trois pommes. Depuis, Edessa avait bien grandi, mais voyait Edessa, non pas comme sa « Maîtresse », mais comme sa « mère », même si elle l’appelait continuellement « Maîtresse ». Edessa était une petite perle, d’une beauté redoutable, d’une perversion incroyable, et était également une magicienne talentueuse, experte en magie rose, qui avait voyagé pendant des mois pour perfectionner ses talents, le tout dans le but de plaire à sa Maîtresse.

Après la séance dans la cave, Jack s’était écroulé sur place quand Nasha avait joui en elle, et que l’électricité avait traversé sa queue. Il avait fini par sombrer, et, plutôt que de le réveiller immédiatement, Mélinda l’avait emmené dans l’une des chambres du manoir. La résistance sexuelle de Jack avait suffisamment impressionné la vampire pour qu’elle demande à Edessa, occupée à faire l’amour à plusieurs lycéennes très chanceuses, de venir voir s’il était bien un simple être humain, ou s’il était doté de capacités magiques inconscientes qui pourraient expliquer son endurance.

La réponse d’Edessa fusa donc : jack n’était qu’un simple humain. Elle resta sur le lit, le visage proche du sien, et l’embrassa un peu, laissant entre ses lèvres s’échapper une légère fumée rose, avant de fertiliser ses rêves, de les rendre très érotiques... Et de l’amener à se réveiller avec une belle trique. Un petit tour que les magiciennes roses aimaient bien faire avec leurs amants. Le corps de Jack remua un peu, et, en souriant, la succube se redressa, puis s’écarta.

« Je te remercie, Edessa...
 -  C’est un homme vigoureux... »

Mélinda acquiesça. Très vigoureux pour un simple prof’, en effet... Edessa s’écarta du lit, magnifique dans sa belle robe noire, même si cette robe était horriblement sexy de dos. La robe avait été spécialement conçue pour Edessa, car elle convenait aux goûts de Mélinda, qui adoraient voir le dos d’une femme, et leurs belles fesses rondes.

Jack commença à remuer, et Mélinda trempa à nouveau ses lèvres, tandis qu’Edessa se pencha vers elle, et l’embrassa tendrement. Le baiser dura quelques instants, avant que Jack ne semble émerger. Mélinda repoussa alors doucement les lèvres d’Edessa, qui resta en retrait, de même que Bran (dans un coin de la pièce). Mélinda sourit en s’asseyant à côté de l’homme, sur le lit.

« Enfin réveillé... J’espère que tu as rêvé de ta Maîtresse en dormant, Jack... »
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mercredi 26 août 2015, 18:21:51
Jack soupira d'aise en caressant négligemment les cheveux de la petite  blonde  (https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/736x/a8/40/a3/a840a3c7563999d469f10c91e376e8bb.jpg) qui suçait sa grosse verge avec application, utilisant le bout de ses doigts pour masser ses testicules pleines en aspirant son gland entre ses lèvres entrouvertes. Mary était une américaine des plus délurée, qui faisait office de rabatteuse pour Jack, depuis qu'il l'avait surprise en train de se masturber dans les vestiaires des garçons et administré une correction... Mémorable. Affalé dans son fauteuil, les pantalon sur les cheville, le prétendu professeur observait avec ravissement la salle de classe, transformée en véritable baisodrome. Soucieux du bien être de ses élèves, il avait réuni les cinq dernier gaçons encore puceaux de sa classe et leur avait livré  Asuka  (http://kyrie0201.deviantart.com/art/WTF-371011209), une dure à cuire du club de Kendo qui disait préférer les filles, mais ne disait jamais non à une – ou plusieurs – belles verges dressées. La jeune femme se faisait prendre par deux lycéens en rut, et ronronnait de plaisir en tétant une troisième verge. Quant aux deux derniers garçons, ils avaient décidés de s'amuser ensemble et frottaient leurs sexes respectifs l'un contre l'autre en s'embrassant passionnément. N'y tenant plus, il attrapa Mary par le poignet, et l'aida à l'enfourcher, se mordant le lèvre inférieure lorsque son gland percuta l'intimité de la jeune fille. Celle-ci s'empala docilement en couinant, les mains posées sur ses épaules musclées. Jack la laissa imposer son rythme sur l'imposante colonne de chair, se contentant de l'encourager du regard, un grand sourire plaqué sur son visage. La petite ondulait de plus en plus brutalement, le visage dans le creux de l'épaule de son professeur, sa chevelure châtain et ondulée en désordre... Châtain ? La jeune femme leva des yeux verts amusés vers Jack et découvrit ses petites canines aiguisées. Mary avait disparu, et c'était Mélinda qu'il baisait... Ou plutôt qui le baisait. L'attrapant par les hanches, Jack serra le corps de sa maîtresse contre lui, joignant ses coups de bassins à ses mouvements de hanches, alors qu'elle le mordait sans ménagement entre le cou et la clavicule.

« Hum... Maîtresse... »

Émergeant doucement du sommeil, Jack ouvrit un œil, puis deux, avant de s'étirer de tout son long, un peu désorienté. Le décor avait changé. Il ne s'agissait plus d'un donjon, mais d'une belle chambre à coucher plutôt cossue. Qu'est-ce que... Ses souvenirs étaient chaotique et la seule chose dont il se rappelait était la douleur intensément jouissive qu'il avait ressenti à se faire prendre le cul par les acolytes de Melinda. Un léger mouvement du bassin le fit grimacer. Son anus était encore douloureux et il aurait probablement du mal à s’asseoir pendant quelques jours. La belle vampire était là, son joli postérieur posé à côté de son oreiller.

« Plus ou moins, oui », répondit-il à la maîtresse des lieux, étonné de se trouver aussi frai et dispo, après une séance aussi éprouvante. « Combien de temps suis-je resté assoupi ? »

Le songe qu'il avait fait était extraordinaire, et Jack se promis de présenter en temps voulu, la petite Mary à Mélinda, certain que la vampire apprécierait de jouir de la belle ingénue. Alors qu'il se redressait sur les coudes, Jack s'aperçut que son sexe pointait fièrement vers le ciel, le gland légèrement humidifié par un filet de semence probablement imputable à son rêve.

« Vous occupez l’entièreté de mes pensées, petite maîtresse », lança-il. « Ma queue ne se dresse que pour vous satisfaire. »

Et c'était entièrement vrai... Du moins pour l'instant. Dénué de toute pudeur, l'homme attrapa son propre sexe et commença à le masturber avec douceur. Mélinda et lui n'étaient pas seul ; dans un coin sombre de la pièce, se tenait le beau Bran, alors que debout à côté du fauteuil, une plantureuse jeune femme dotée de cornes et d'une queue préhensile l'observait avec un air singulier. Ça alors... Jack avait fait de nombreuses recherches pour son travail officieux, et au vu de ses caractéristiques physiques, il lui sembla qu'elle appartenait à l'espèce des succubes, ces démons femelles assoiffés de luxure. Jusqu'à lors l'agent Taylor ne doutait pas de leur existence, mais il n'en avait jamais rencontré jusqu'à ce jour.

« Votre château est plein de surprises, Mélinda » ajouta-il, avant de se déplacer sur le lit, collant son corps nu et tiède contre les dos de la jeune femme. Saisissant avec délicatesse la main de son hôte, Jack la porta à ses lèvres et y déposa un baiser, avant de la poser sur son sexe enflé, soupirant d'aise au contact de la paume fraîche de la vampire.

« Vous m'aviez promis une récompense, si je parvenait à ne pas m'évanouir, avant que vous ne jouissiez n'est-ce pas ? Je pense avoir rempli ma part du marché. »

Il bluffait, évidemment. Il lui semblait avoir vu Mélinda jouir avant de s'évanouir, mais n'en était pas certain, d'autant que la vampire ne boudait pas son plaisir, en règle générale. Mais il voulait croire que cet arrangement était de bonne augure. Glissant sa main vers l'intimité de la jeune femme, il se pencha pour l'embrasser avec douceur. Sans nul doute, les choses n'allaient pas tarder à dégénérer, mais cela ne l'empêchait pas de commencer tranquillement ; après tout, il venait de se réveiller.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 06 septembre 2015, 09:04:03
Le beau Jack revenait frais comme un gardon, avec une belle trique, conformément à ce qu’on pouvait attendre des sortilèges très efficaces d’Edessa. Mélinda pouvait sentir l’excitation sexuelle de l’homme, formant une belle bosse sanguine. La Nature avait très bien doté Jack, et, assez rapidement après son éveil, l’homme était partant pour un autre rodéo, flattant au passage les délicates oreilles de la vampire de ce terme magique qui la faisait toujours frissonner : « Maîtresse »... Oui, Mélinda était bien sa Maîtresse, et qu’il l’admette aussi naturellement était très excitant. S’humectant les lèvres, elle frissonna quand Jack se glissa dans son dos, caressant son corps. Le fait qu’il soit un étalon tendait à confirmer la règle implicite avec les professeurs de Seikusu ; sauf exceptions, ils étaient tous de terribles amants sexuels, de profonds pervers... Et Jack ne faisait donc pas exception.

« Hum... Tu as dormi une bonne partie de la nuit, et Edessa a veillé sur toi... »

Edessa, la succube, lui fit un sourire. Jack l’observa, visiblement étonné devoir une femme avec des cornes et une queue caudale... Mais, dans la mesure où il s’était fait prendre tantôt par des femmes membrées, ce n’était clairement pas la chose la plus surprenante qui puisse lui arriver ici... La succube avait effectivement veillé sur ses rêves, et, vu la verge que Mélinda sentait pousser contre elle, le traitement avait fonctionné. La « petite maîtresse » était donc, heureuse, surtout que, comme Jack, elle avait bien envie de reprendre... Il fallait bien avouer que, pour l’heure, elle avait surtout eu un rôle passif, observant sans réagir, avant d’entendre Jack revenir sur la promesse de la femme.

Mélinda sourit alors, et se retourna vers lui. Sa main se posa sur le torse nu de l’homme, et elle embrassa les lèvres de l’Américain. Théoriquement, Mélinda aurait pu chipoter, mais... Elle sentait la grosse verge de l’homme. Pendant qu’il avait dormi, Edessa l’avait travaillé au corps, et il était dans le même état qu’un homme se réveillant le matin après des rêves particulièrement érotiques, des rêves qui auraient amené un homme à vouloir se retourner vers sa copine, ou à se masturber sur place. Edessa l’avait amené dans cet état, et le fait qu’il puisse parler, prendre son temps, et réfléchir, illustrait chez Jack toute son excitation, tout ce qu’il était profondément : un profond pervers.

Et c’était ça qui attirait Mélinda. Elle l’embrassa donc pendant quelques secondes, puis s’écarta un peu, et se pencha en arrière, tout en s’appuyant sur ses mains, ce qui eut pour effet de légèrement relever ses seins, offrant ainsi au regard de Jack le spectacle de son corps, superbement bien moulé à son goût dans sa longue robe dorée. Penchant ensuite la tête sur le côté, elle lui répondit :

« Oui... Et ta Maîtresse tient toujours ses paroles, Jack. Toutefois... »

Elle suspendit sa phrase pendant quelques secondes, comme pour maintenir le suspens, avant de reprendre :

« Si tu veux me prendre par les fesses, je veux que tu me baises sauvagement. Traite-moi comme si j’étais une chienne, et défonce-moi le cul... »
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 06 septembre 2015, 22:31:42
Edessa était donc le nom de la créature aux cheveux roses et aux yeux d’émeraude. Jack lui rendit son sourire et s’apprêtait à répondre lorsque sa maîtresse se retourna pour l'embrasser. Les mains du professeur se crispèrent sur le cul d'albâtre de la vampire tandis-ce qu'il lui rendait son baiser. Entre le corps gracile de Mélinda et son torse musculeux, sa verge se dressait, plus érigée que jamais. Lorsqu'il lui avait défoncé le cul sans autorisation la première fois, Jack avait pris Melinda pour une délurée qu'il pouvait soumettre à la moindre de ses volontés... Il mesurait aujourd'hui l'étendue de son erreur. Non seulement la jeune femme l'avait maté, mais en outre elle avait réussi à se l'attacher à jamais ; il n'y avait à présent rien d'autre que le professeur désirait que de se vautrer inlassablement dans le stupre avec sa petite maîtresse. Et à présent, sa maîtresse allait le récompenser de ses bons offices.

«  Si je veux vous prendre par les fesses ? » Jack eût un large sourire. Il ne désirait rien de plus au monde. « Je vais vous démolir le cul avec ma grosse bite, maîtresse.... Je vais vous défoncer jusqu'à ce que vous demandiez merci ! »

Aguicheuse, Melinda s'était reculée sur le lit, le buste projeté vers l'avant. Attrapant la vampire par la cheville, il la déséquilibra pour qu'elle tombe sur le dos, les bras en croix, et leva le petit pied à hauteur de ses lèvres, comme il avait vu Bran le faire, quelques heures auparavant ; lui aussi voulait vénérer les petons de sa petite maîtresse. Posant ses lèvres sur le dessus du pied, il y apposa d'abord ses lèvres en reniflant le parfum entêtant de la peau de son hôte, puis commença à en lécher doucement la plante, avant de tout bonnement engouffrer plusieurs de ses orteils dans sa bouche, les suçant avec avidité les yeux mi-clos, sa main s'activant lentement sur sa verge gonflée.

« Hmm... »

Après quelques secondes de ce traitement, Jack se pencha au dessus de Melinda, et joignit une nouvelle fois leurs lèvres. Ses yeux vairons débordaient d'un désir fiévreux et il avait écrasé son gros sexe bouillant contre le ventre de la vampire, agitant doucement le bassin pour le stimuler, quelques gouttes de pré-sperme maculant la peau tiède de la vampire alors que l'une de ses mains s'était égarée sous sa robe pour malaxer l'un de ses petits seins.

« La petite maîtresse veut être traitée comme une chienne hum ? Comme une grosse salope ?

Jack avait pris Mélinda au mot et sa main s'était doucement refermée sur la gorge de son amante. Il ne la serrait  pas suffisamment pour lui faire vraiment mal, mais assez pour donner le ton de ce qui allait suivre. La relâchant soudainement, il la saisit par les épaules et l'aida à se retourner, pour qu'elle lui présente ses fesses.

« Une bonne chienne doit savoir se mettre à quatre pattes », commenta-il, en la troussant sans ménagement jusqu'à la taille, avant d'envoyer une belle claque rougir son postérieur.

La culotte qu'elle portait lui fut tout bonnement arrachée et lançant un regard complice à Edessa il écarta les jolies fesses galbées de la vampire, exposant son anus aux yeux de tous. Avoir un public ne dérangeait pas Jack, bien au contraire, d'autant qu'il avait le pressentiment que celui-ci ne resterait pas bien longtemps passif. En définitive, il s'apprêtait à la traiter comme il l'avait fait dans la salle de classe... A la différence près qu'il agissait sur ses ordres et avec le profond désir de lui plaire.A la vue de sa corolle, l'excitation le disputait à une certaine perplexité ; comment un orifice aussi étroit avait-il pu accueillir une grosse queue comme la sienne ? Gardant les deux fesses de la petite vampires écartées, l'homme glissa le bout de sa langue avide dans son fondement, entreprenant de lents détourage. L'une de ses mains se déplaça vers l'avant pour venir caresser le clitoris de son amante. Si Jack était un inconditionnel de la sodomie, il savait qu'une stimulation vaginale ou clitoridienne pouvait démultiplier un orgasme anal. Lorsqu'il sentit la jeune femme suffisamment détendue, il glissa le bout de son majeur et de son annulaire en elle, sans cesser de stimuler son entrée principale.

« Une bonne chienne doit aussi savoir réclamer, si elle veut se faire enculer », glissa-il, haletant d'une voix rauque. Il était si excité qu'il lui semblait que sa queue allait juter à la moindre caresse. Agitant vivement ses doigts en elle, il se pencha à son oreille pour lui glisser quelques mots, presque tendrement.

« Réclame, grosse chienne, réclame ma belle bite ! »

Jack et Melinda partageaient - outre leur goût pour la sodomie- une forte propension à la vulgarité pendant l'acte sexuel, et il savait que ces mots l'exciteraient probablement autant que lui. Assurément, cette partie de jambes en l'air promettait d'être mémorable !
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 08 septembre 2015, 02:31:19
Mélinda avait vraiment un problème avec la sodomie... De fait, elle adorait se faire défoncer le cul. Pas autant qu’une Infernoise, mais il est vrai que, dans ses rapports sexuels, la pénétration anale rentrait, tôt ou tard, en ligne de compte. Cette douleur jouissive et exquise qui vous traversait... Les siècles n’avaient nullement restreint les ardeurs de Mélinda dans la matière, et, si on aurait pu croire que, en tant qu’esclavagiste et dominatrice, elle refusait qu’on la pénètre, ce serait lourdement se tromper. Mélinda, en réalité, avait un principe simple : elle se devait d’être capable de subir tout ce que ses esclaves enduraient, afin de montrer à quiconque qu’elle était à la fois comme eux, et meilleure qu’eux. Une philosophie spéciale, résultant de son éducation atypique, puisqu’elle était une ancienne esclave devenue esclavagiste. Elle s’était donc mise à quatre pattes, s’attendant à ce que Jack, ce professeur pervers, vienne la labourer avec sa sauvagerie habituelle... Mais, au lieu de ça, l’homme appuya sur sa cheville, et renversa la jeune vampire, avant de lui lécher le pied, ce qui la fit gémir... Et soupirer.

« Hum... Ah, Jack, tu me prends par les sentiments... »

Petit homme espiègle... Amusée plus qu’autre chose, Mélinda se dandinait sur le lit, laissant la bouche de l’homme agir avec délectation sur son pied. Ce fut une simple invitation, et Mélinda interpréta ça comme un rappel. Un rappel que, quoi qu’il allait se passer maintenant, ce ne serait qu’un jeu, un rôle d’acteurs (la spécialité de Mélinda), et que Jack resterait son esclave... Et un professeur esclave, c’était toujours bien pratique, surtout quand il était bien membré et aussi assoiffé qu’un taureau. Il finit ensuite par s’avancer, aboyant des mots sales, pervers, faisant sourire Edessa. Silencieuse, la succube ne comptait guère partir. Pour rien au monde, elle ne comptait manquer la sodomie de sa Maîtresse. Pour rien au monde...

Jack prépara le terrain, la soulevant ,la claquant, faisant soupirer Mélinda, qui adorait autant qu’on embrasse et qu’on brutalise son corps. Jack l’avait bien compris, mais savait aussi qu’une sodomie à sec n’était guère agréable. Edessa s’excitait de voir sa Maîtresse être battue, et se mordilla les lèvres quand l’homme lécha son fondement, insérant sa langue dans sa croupe. Les mains de Mélinda s’enfoncèrent dans les draps, et elle se mordilla les lèvres, soupirant longuement en arquant son corps vers l’avant. Sentir cette tête pressée contre ses fesses lui arracha un long soupir de satisfaction, et elle le laissa continuer à s’amuser.

« Hum... »

Après ce contact buccal, il glissa un doigt en elle, tout en la provoquant, en lui disant qu’elle devait savoir réclamer. Mélinda poussa un nouveau soupir en se pinçant les lèvres, sentant le désir croître progressivement en elle, remontant tout le long de son corps. Ses seins tendaient à devenir un peu plus lourds, ses tétons érigés vers l’avant.

« Ouuiii, Jack... Viens me faire baiser, humm... Défonce-moi le cul. Baise-moi comme si j’étais la Reine de toutes les foutues pétasses de salopes de cette saloperie de Terre... »

Venant d’une voix aussi douce et sensuelle, ses injures étaient comme une invitation au sexe sauvage et débridé.

« Baise-moi, allez, Jack... À moins que tes couilles ne soient hypertrophiées, hum ? Penses-tu pouvoir me faire hurler, moi, la Reine des putes ? Me faire hurler à m’en casser la voix ? »

Chaude comme dix volcans en éruption, Mélinda tourna alors sa tête vers lui, plantant dans son regard ses yeux verts, son regard brûlant d’une intensité terrible.

« Je ne suis pas une vulgaire pétasse, Jack, pas comme ces lycéennes prudes que tu besognes allègrement... Moi, je suis une Reine. On me défonçait mon cul pendant que tu tétais encore les seins de ta mère et que tu chiais dans tes couches... Tu te sens à la hauteur avec ta matraque ? Baise-moi. »

Tout simplement.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mercredi 09 septembre 2015, 15:51:27
Alors que sa main allait et venait sur sa grosse verge bandée, Jack se disait que le sexe avait ceci de fantastique qu'il permettait le paradoxe, la conciliation des contraires. Le traitement qu'il avait subi chez la jeune vampire l'avait bouleversé et conduit à considérer Mélinda comme sa maîtresse, un être supérieur qui méritait respect, obéissance et dévouement. Or  malgré sa déférence, ou plutôt à cause de celle-ci, il s'apprêtait à baiser l'adorée petite maîtresse devant ses esclaves, comme la grosse pute délurée qu'elle était. Un sourire concupiscent étirant ses lèvres pleines, l'homme envoya une belle claque rougir le cul de la vampire. La petite était en proie à un désir aussi violent que le sien, comme l'attestaient sa respiration haletante et son langage fleuri ; la petite maîtresse réclamait sa grosse bite, ce qui le rendait ivre de désir.

« La petite maîtresse est impatiente », s'amusa-il en frottant la muqueuse tiède de son gland contre l'orifice palpitant. 

Oh, il comptait bien la faire crier, et donner à leurs deux discrets observateurs l'envie de les rejoindre pour se vautrer dans le stupre. L'homme se redressa de toute sa hauteur et posa la paume de sa main au dessus des fesses de la jeune fille, guidant sa queue joufflue de sa main libre. La verge percuta l'anus une, puis deux fois, avant de s'engouffrer de quelques centimètres dans le rectum brûlant de Mélinda, arrachant un râle rauque de plaisir au professeur. La petite maîtresse était serrée comme une pucelle et sa bite lui faisait presque mal.

« Haaa... putain, c'est si étroit... T'es tellement bonne !»

La sodomie était un art que Jack maîtrisait à la perfection. Il savait que certaines femmes avaient besoin d'une longue préparation, et d'une intromission en douceur... Mais il savait aussi que sa maîtresse partait au quart de tour, et qu'il n'avait pas besoin de les ménager autant que les « lycéennes prudes » qu'il dévoyait. Mélinda s'autoproclamait elle-même la Reine des putes, et Jack la croyait sur parole ;Il n'avait jamais vu une femme réclamer une sodomie avec tant de majesté. Jack se pencha en avant sur la croupe de son amante, écrasant les muscles saillants de son torse glabre contre le dos de cette dernière, enfouissant son nez dans la chevelure châtain de son hôte pour s'enivrer de son odeur entêtante. Refermant à nouveau l'une de ses mains sur la gorge de la vampire, il glissa la seconde entre ses cuisses pour branler son clitoris du bout de ses doigts, alors que son énorme verge turgescente s'enfonçait inexorablement dans son cul, faisant céder ses sphincters. Comme d'accoutumé, l'immoralité de la situation exacerbait son désir ; Mélinda était une vampire et elle était probablement bien plus âgée qu'il pouvait l'imaginer... Pour autant elle avait l'apparence d'une toute jeune lycéenne, lycéenne qui accueillait dans son cul une bite aussi épaisse que son avant bras. Quelques secondes plus tard, ses couilles gonflée s'écrasait contre son con avec un claquement humide.

« Hmm... La petite maîtresse est une traînée, regardez comme elle mouille quand on l'encule... Ahh... »

Jack s'immobilisa quelques secondes ; il avait manquer d'éjaculer immédiatement, tant la pression que ce petit cul serré exerçait sur sa verge était forte. Respirant profondément, les yeux embrumés par la luxure, il attrapa fermement la vampire par les hanches, imprimant la marque de ses doigts sur sa peau tendre, puis recula légèrement le bassin, avant de le rabattre doucement sur les fesses de Melinda. Les choses sérieuses commençaient et maintenant qu'elle était bien ouverte, il la limait avec une lenteur calculée, pour la faire bouillir d'impatience, pour la faire supplier encore. Il poussa même le vice jusqu'à rester immobile quelques instants pour voir si la petite s'enculait d'elle-même sur son chibre démesure. Cependant, il ne tint pas bien longtemps à ce rythme et insensiblement ses assauts se firent plus vifs, plus sauvages, alors qu'il perdait le contrôle, insultant copieusement sa maîtresse ; à coup sûr, elle le punirait probablement pour son insolence... Mais Jack n'en espérait pas moins d'elle.

« Elle te plais ma belle queue hein ?   Lâcha-il entre deux ahanements rauques.   Petite pute va, grosse chienne ! »

Se sentir observé ne refrénait pas les pulsions du beau professeur ; au contraire, cela le poussait à être plus violents, plus spectaculaire. Alors qu'il attrapait Mélinda pour faire basculer leurs deux corps tièdes sur le flanc, il croisa le regard de la belle succube, à laquelle il adressa un sourire concupiscent, soulevant la cuisse de la vampire pour qu'elle ne manque pas une miette de la scène, en plongeant ses yeux vairons dans les iris émeraudes de la jeune femme, guettant avec avidité la moindre des réactions de cette dernière. Si au fond de la salle Bran ne pipait mot, Jack espérait que voir sa petite sœur se faire défoncer était de nature à réveiller ses ardeurs. 

« Insulte-toi, petite maîtresse... Insulte-nous... »

Ces derniers mots avaient été prononcés avec une tendresse, juste avant que l'homme ne se penche vers sa belle amante pour presser ses lèvres contre les siennes, et envoyer sa langue à la rencontre de celle de Melinda, lui offrant un baiser d'une langueur et d'une douceur qui contrastait avec la brutalité avec laquelle il lui éclatait le cul, son bassin percutant frénétiquement ses fesses avec des claquement sonores, entrecoupés de râles et de gémissements sonores.

C'était l'une des baises les plus incroyables de sa vie.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 11 septembre 2015, 02:03:48
Le beau Jack en avait bien de la chance, d’avoir comme Maîtresse une femme qui ne soit pas tant que ça à cheval sur son autorité, et qui, partant de là, appréciait aussi de se faire traiter comme une esclave. C’était son point de vue ; on ne pouvait prétendre être une bonne dominatrice si on n’était pas une bonne soumise. Les contraires s’attirent en matière sexuelle, et, sur ce point, Mélinda était entièrement d’accord avec Jack. C’était bien pour ça qu’il ne fallait rien laisser au hasard, et que Mélinda s’évertuait à être à la fois la plus redoutable des Maîtresses, mais aussi la plus salope des esclaves, de manière à voir ce qu’on pouvait ressentir quand on était de l’autre côté. Les frissons d’impatience, la nervosité, la peur... C’était très beau en théorie, mais, en pratique, quand on avait des siècles de baise dans les pattes, on ne pouvait guère s’attendre à raisonner comme une jeune pucelle. Dans son dos, Jack s’impatientait, et son sang hurlait dans sa poitrine, indiquant toute son impatience, toute son envie, toute son excitation à l’idée de baiser avec elle, de la prendre sauvagement et sans relâche. Ils allaient se faire longuement et joyeusement l’amour, Mélinda en était convaincue, et elle en tremblait d’excitation à cette idée.

L’homme s’enfonça alors en elle, avec sa queue énorme, cette verge tendue et disproportionnée que Mélinda avait déjà eu l’occasion de sentir... Monté comme un cheval, Jack commença alors à remuer, usant de son corps musclé, s’abattant sur le corps de poupée de la vampire, faisant longuement soupirer cette dernière. Il fallait réussir à suivre le mouvement, et, pour ça, la vampire soufflait longuement. Peu de préliminaires avant cette sodomie, confirmant l’expérience de Mélinda dans ce domaine. Une expérience qui ne cessait de surprendre à chaque fois, et de longs soupirs s’échappèrent de ses lèvres, alors que, très rapidement, sa mouille finit par venir, glissant le long de ses cuisses pour tomber sur le lit.

« Haaaaa... Haaaannnn !! »

De longs soupirs s’échappaient des lèvres de la femme, son corps tressautant sous les assauts de l’homme. Jack était vraiment un diable d’amant, et, à chaque seconde qui passait, il s’évertuait à le rappeler. Faisant ployer Mélinda, l’homme continuait à tressauter contre elle, et finit par la coucher sur le lit, s’emportant avec elle, se couchant sur le flanc. Il la baisait avec une telle force, une telle férocité... Observant ce spectacle, Edessa était loin d’y être insensible, sentant tout son corps trembler, ses seins durcir, tandis que sa respiration devenait plus lourde, plus rauque, plus... Plus chaude. Un spectacle magnifique, voilà la danse à laquelle elle insistait, et elle s’en régalait.

Du fait de leur nouvelle position, les coups de reins avaient légèrement ralenti, mais Mélinda, en réalité, ne le sentait pas beaucoup. Les joues rouges, elle avait cette bite nichée dans son cul, la sentant remuer joyeusement en elle, la transperçant sur place... Et, quand l’homme l’embrassa, ce fut pour goûter à sa salive, que la vampire avait du mal à retenir, tant elle était... Remuée. Elle répondit à son baiser, et posa sa main sur la nuque de l’homme, s’y crispant en grognant, continuant à se tortiller sur le lit.

« Haaa... Haaaan... »

De délicieux mots s’échappèrent ensuite des lèvres de l’homme, faisant sourire Mélinda, qui dut néanmoins reprendre son souffle pour retrouver sa langue :

« Hummm... Tu... Haaa... Tu aimes ça, hummm... Baiser le... Le petit c-cul de ta Maîtresse... Haaa... Me baiser comme une pute... Ça.. Ça t’aide à oublier le fait que c’était toi, tan-tantôt, qui... Haaa ! Qui te faisait... Te faisait baiser comme si tu étais ma petite pute... Hum ! Putain, haaaa... Remue-toi, Jack.. Haaa... Allez, allez, REMUE-TOI ! Est-ce là TOUT, haaaaaaaaaaaaaa ?!! Ne me dis pas que tu es d-déjà épuisé, haaaaa... BAISE-MOI, ALLEZ ! Remue-toi le cul, et défonce-moi encore, encore, ENCORE, HAAAAAANNNNNNNN... !! »
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 20 septembre 2015, 15:31:28
Comme on pouvait s'y attendre de la part d'une salope plusieurs fois centenaire, le cul de Melinda se détendit relativement rapidement, une fois passés les douloureux premiers coups de reins, et l'énorme chibre boursouflé du professeur put coulisser avec aisance dans son rectum tiède et humide. Le beau diable connaissait désormais suffisamment son élève pour savoir qu'elle n'attendait pas de lui qu'il la ménage et il la défonçait avec  dévotion, poussant un râle rauque chaque fois que ses couilles pleines percutaient son postérieur laiteux.

« Haaan... T'es... Tellement bonne, petite maîtresse ! »

Échauffée, son petit corps gracile rebondissant brutalement contre le bassin arqué de son amant, la belle lui retourna son baiser et les deux amants échangèrent lascivement leurs salives, alors que Jack empoignait l'une de ses petits seins alourdis par l’excitation, le malaxant doucement avec sa paume, avant d'en triturer cruellement le téton érigé avec la pulpe de son majeur. Accédant à sa requête, la vampire l'abreuva d'insultes de sa petite voix suave de salope. Ses mots résonnaient dans la tête de Jack, nourrissant son désir, stimulant sa vigueur. Oh oui, il avait aimé se faire défoncer le cul sur les ordres de sa petite maîtresse aux yeux d’émeraude. Et maintenant il avait l'occasion de lui rendre la monnaie de sa pièce, de faire descendre la petite princesse aux cheveux châtains de son piédestal en la faisant couiner comme une pute avec sa grosse queue. L'homme délaissa sa petite poitrine pour lui asséner de belles claques sur les fesses, rougissant sa peau d'albâtre, se penchant pour coller ses lèvres à son oreille, renchérissant sur la même thématique ordurière, et ô combien aphrodisiaque.

« Tu... Tu n'as pas honte de te faire ainsi traiter par tes esclaves ? Comme un... Vulgaire vide-couille ? Mhh... »

La pièce embaumait le stupre, la sueur et la cyprine et Jack sentait qu'il perdait le contrôle ; Mélinda était tout simplement trop bonne et il sentait qu'il n'allait pas tarder à jouir. Ralentissant progressivement la cadence, il finit par s'immobiliser totalement, et glisser une main experte entre ses cuisses pour branler consciencieusement son clitoris. La petite mouillait tant que les draps, leurs cuisses respectives et ses couilles étaient trempés de son jus intime. Se perdant dans sa longue crinière, l'homme enfonça deux de ses doigts dans son intimité, reprenant sa sodomie avec une lenteur calculée.

« Encule-toi, petite maîtresse, je veux que tu t'empales comme une grande sur ma grosse queue...comme... Comme la pire des chiennes. Allez remue ton cul ! »

Jack avait une nouvelle fois saisi  Melinda à la gorge et lui mordillait le cou, refrénant avec peine son envie de reprendre une vitesse de croisière. Une fois de plus, il ne tint guère plus de quelques secondes avant d'attraper la petite vampire par les hanches, enfonçant ses doigts dans sa chair tendre en haletant. Son cœur battait à tout rompre et sa queue convulsait, planté dans le cul de sa maîtresse. Retirant entièrement sa verge de l'anus à présent distendu de sa petite amante, il la réintroduisit brutalement jusqu'au couilles, produisant un bruit mouillé des plus obscènes. Les yeux quasiment révulsés, l'homme lui démolissait à présent littéralement le cul, sans égard pour la fragilité apparente de son corps gracile d'adolescente. Usant de son fessier musculeux pour envoyer son chibre au plus profond de ses entrailles, il usait de ses biceps pour la ramener à lui en grognant comme un animal en rut.

« HAAA... ! La Reine des... Putes, tu es... vraiment la Reine des putes, ma belle ! Jouis, petite maîtresse, jouis avec ton... Avec ton cul de...de CHIENNE ! »

Les insultes fusaient, sans réelles logiques, l'homme n'étant plus réellement en état de réfléchir, défonçant Melinda sans vergogne, et continuant de temps à 'autre à la gratifier de claques sonores qui rougissaient sa peau de poupée. Il la besognait avec une telle violence que la tête de la jeune femme s'agitait d'avant en arrière, percutant les pectoraux tendus de son amant, qui usait d'elle comme un véritable sac à foutre.

« HAAAANNNNN ! »

Pour la énième fois, les bourses lourdes et juteuses s'écrasèrent contre la chatte trempée de Mélinda, projetant un peu de cyprine alentour, alors que Jack explosait littéralement dans son cul, son gros chibre expulsant de phénoménales quantités de foutre brûlant, par longs jets puissants. Ahanant comme un aliéné alors qu'il jutait en elle, il attrapa le menton de la vampire pour l'embrasser à nouveau avec voracité, la gratifiant de derniers coups de bassin désordonnés. Presque horrifié par la longueur de l'orgasme qui le foudroyait et par la quantité de sperme qu'il expulsait et qui arrondissait le petit ventre de son amante, il finit par se laisser tomber sur le dos, son sexe colossal amolli glissant hors de l'anus de la jeune femme, libérant une quantité invraisemblable de foutre qui souilla les draps.

« Petite maîtresse je... Je veux te baiser encore et encore. Ma queue...Et mon cul sont tout à toi », glissa-il, les yeux mi-clos, sa main s'égarant sur la hanche tiède de son amante, qu'il attira doucement à lui, enlaçant son corps gracile, posant ses lèvres entre ses omoplates. Contre ses abdominaux saillants, son chibre avait molli, mais son érection était encore présente alors que d'ultimes coulées de sperme s’échappaient lentement de son méat pour couler sur son abdomen. Le professeur encore abruti par l'orgasme ne doutait pas qu'il ne lui faudrait que quelques minutes pour être à nouveau d'attaque... Et si tel n'était pas le cas, Mélinda trouverait forcément un moyen de le stimuler.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 24 septembre 2015, 09:56:31
Le poids sexuel des mots... Ils résonnaient dans l’esprit de Mélinda et dans celui de Jack, les libérant, les relâchant, les donnant envie de faire l’amour, de le faire salement. Du sexe sauvage et intense, exactement comme Mélinda l’aimait avec les hommes bien membrés. Jack s’en sortait à la perfection, et la manière dont il lui défonçait le cul... Hum... On l’entendait hurler, gémir, se mordillant les lèvres, au fur et à mesure que l’homme, insatiable, continuait à la prendre et à la gifler. Il y allait rudement, avec une énergie incroyable pour un simple humain, faisant voler la vampire, dont la mouille filant à toute allure exprimait très clairement tout son désir. Tandis qu’il lui bourrinait le cul, elle avait eu un orgasme, ce qui n’avait nullement stoppé l’ardeur du beau Jack, qui continua à la bourrer. Il grognait, soupirait, l’insultait, et elle, elle ne pouvait que couiner, et lui répondre, ses ongles s’enfonçant dans la couverture, devenues de belles griffes vampiriques qui pouvaient vous lacérer joyeusement la peau.

Et puis, l’orgasme de Jack vint. Il s’enfonça en elle, et, dans un grand soupir, Mélinda sentit son sperme se faufiler dans son corps, par de multiples chapelets. L’homme lui avait joyeusement meurtri le cul, sous le regard ravi de la belle Edessa, qui était, elle aussi, très impressionnée par les talents de ce bel homme aux cheveux verts. Pour un simple humain, il s’en sortait bien, et, de fait, la queue caudale de la succube s’était déplacée pour se masturber tendrement, tandis qu’elle admirait ce spectacle. L’homme ayant qualifié Mélinda de « reine des salopes » s’affala ensuite sur le lit, laissant le long de sa verge un filament de foutre. Mélinda, de son côté, se retourna lentement, reprenant son souffle, une main sur son ventre.

« Haaa... Je sens ton sperme en moi, hum... C’est vraiment très agréable comme sensation... Tu as beaucoup joui, mon salaud... »

Il s’était joyeusement répandu en elle, en effet. Cependant, là où Jack n’était qu’un humain, elle, elle était une vampire, et elle finit par repartir en avant, sa tête venant se nicher près de son sexe. Jack, en soupirant, lui avait préalablement dit que son corps était à elle... Ses fesses comme son sexe. Le choix était difficile, mais elle finit par opter pour son sexe.

« Ta queue est sale... Je crois qu’il faut déjà commencer par la nettoyer un peu... »

C’était, pour ainsi dire, le minimum envisageable. Elle commença donc à lécher ce sexe, comme une sorte de friandise, ses mains posées sur ses hanches, et remua donc dessus, avant d’aller le prendre en bouche, commençant à le sucer, plus dans le but de réveiller l’excitation de l’homme, que de vraiment le faire jouir.

Et, tout en faisant ça, la vampire relevait les yeux, fixant le regard de l’homme, sa tête venant se déplacer d’avant en arrière, ses tendres lèvres glissant sur ce morceau de chair, avalant rapidement son foutre, sa langue venant ensuite lécher la partie du sexe qui disparaissait dans sa bouche.

C’était une manière comme une autre de réveiller l’excitation d’un homme.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le lundi 28 septembre 2015, 21:45:27
Comme on pouvait s'y attendre de la part d'une vampire, la jolie Mélinda semblait plutôt en forme, pour une femme qui venait de se faire éclater le cul par un chibre monstrueux. Observant son ventre légèrement plus arrondi qu'à l'accoutumé, Jack ne put s'empêcher de sourire avec une certaine fierté ; il avait rarement autant juté et le surplus de foutre dégoulinait entre les cuisses rougies de la vampire. L'homme n'avait pas lésiné sur la violence de ses claques ; il savait que Mélinda avait d'autant plus apprécié sa sodomie.

« J'en ai encore beaucoup en réserve, petite maîtresse. Je n'ose pas imaginer que tu sois déjà satisfaite, avec une seule petite sodomie ».

Un sourire narquois était apparu sur les lèvres du prétendu professeur. Comme pour lui répondre, la petite vampire se rapprocha de lui, les yeux rivés sur sa verge, légèrement dégonflée. Jetant un rapide coup d’œil à Bran du coin de l’œil, Jack se demanda si le vampire lui, avait besoin de quelques minutes de repos avant de reprendre ses ébats. Probablement pas. Melinda et son frère semblaient conçus pour le sexe et Jack se surprit à penser qu'en fin de compte, il aurait bien aimé être un vampire lui aussi. Cela l'aurait probablement rendu encore plus vigoureux, plus brutal et... Plus vicieux.

« Hmm... Ouais.... »

Jack n'était pour l'heure, plus très loquace, mais Mélinda l'était suffisamment pour eux deux. Penchant sa petite têtes bouclée sur son bassin, elle fit courir sa langue sur sa hampe. Les yeux rivés sur sa petite maîtresse, Jack tendit la main pour la poser sur la chevelure châtain de la vampire, laissant ses gros doigts se perdre dans ses boucles soyeuses. Finalement ses lèvres se posèrent sur son gland souillé, et elle le prit en bouche sans plus de cérémonie, le gros membre pourtant débandé déformant ses petites lèvres roses, et ses joues rougies par l'effort. Melinda s'y prenait diablement bien et bien qu'il ait joui quelques secondes plus tôt, l'imposteur sentit son sang refluer lentement vers son chibre. Souriant à son amante qui guettait ses réactions de ses beaux yeux vers, l'homme fit glisser le revers de sa main sur la joue de porcelaine de la petite maîtresse, qui s'appliquait à engloutir tout le foutre dont sa verge était souillée.

« Petite maîtresse je... je crois que tu devrais également nettoyer le sperme qui a coulé sur mes couilles ».

Jack ne mentait pas ; lorsqu'il avait joui en elle, le surplus de semence qui s'était échappé de son anus dilaté avait coulé le long de sa verge, inondant ses bourses et s’infiltrant dans la raie brune de ses fesses. Relevant les jambes pour lui faciliter l'accès à ses testicules, l'homme exposa également à la vue de tous son anus palpitant, encore dilaté de ses ébats précédents. Comme bien des hommes – même si bien peu l'avouaient - le contact d'un corps étranger avec sa prostate redonnait à son chibre sa pleine vigueur en quelques instants... Et il était indubitable que la Reine des putes devait en connaître un rayon sur le sujet.

« Tu devrais... Me fourrer un doigt ou deux dans le cul... Généralement ça... Accélère le processus ».

L'homme s'était efforcé de prendre un ton badin, mais l'excitation qu'il ressentait à l'idée de se faire doigter le rectum par sa petite maîtresse était lisible sur son visage. Les yeux brillants, la bouge entrouverte, Jack Taylor bouillonnait d'impatience, par ailleurs, le traitement de Mélinda commençait à faire effet, et sa verge reprenait progressivement de sa superbe entre ses lèvres avides. Après cette violente sodomie, Mélinda ne serait probablement contre l'envie de se venger... Et Jack comptait bien là-dessus. 

Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 06 octobre 2015, 10:43:49
Cette sodomie n’avait été qu’un simple début, en effet. Mélinda le savait pour l’avoir goûté : Jack était un homme endurant, un homme qui n’allait pas simplement se contenter d’une sodomie, surtout après avoir eu ses rêves ensemencées par la magie rose d’Edessa... Une magie rose qui continuait à flotter en l’air. Quand elle était excitée, Edessa agissait comme ces plantes aphrodisiaques qu’on trouvait dans certaines forêts de Terra : elles émettaient une poussière rose qui désinhibait les gens passant par là. Edessa le faisait instinctivement, surtout quand, comme ce moment, elle était en manque. Se mordillant les lèvres, la Succube se dandinait sur la chaise, Bran restant à côté d’elle. Imperturbable, son grand-frère observait sans mot dire sa petite sœur en train de se faire déboîter le cul, ce qui confirmait l’étrangeté de leurs relations filiales, reposant aussi bien sur l’amour que sur la cruauté.

Et, pour l’heure, tous les regards étaient tournés autour de la fellation de la vampire. Cette dernière remuait la tête d’avant en arrière, tout en relevant les yeux, observant ainsi le visage de Jack. Voir la bouche d’une fille en train de vous sucer la queue, tout en vous regardant, avait souvent de quoi exciter furieusement les hommes... Surtout quand la fille en question avait un beau visage d’ange. C’était ce qui faisait l’un des charmes de la vampire : avec son visage poupon, on avait du mal à voir en elle la redoutable vampire qu’elle était. Elle pouvait volontiers apparaître comme un vrai petit ange, et, pour ceux qui avaient encore des doutes, il suffisait de se plonger dans ses absorbants yeux verts.

« Hum-hummmm... »

Ses dents filaient le long de son mandrin, et sa langue léchait ce dernier, tandis qu’elle creusait ses joues en aspirant l’air. Elle s’enfonçait lentement contre lui, sentant ce gros sexe lui remplir la bouche. Pour un homme, Jack avait vraiment une fougue exceptionnelle. Être un vampire n’aurait fait qu’améliorer ses attributs, et l’aurait transformé en véritable machine de sexe, car les périodes de creux qu’il ressentait après s’être déchargé seraient beaucoup plus courtes, voire inexistantes. Les vampires mâles étaient de vrais étalons au lit, mais Mélinda n’en était pas encore à ce stade-là avec Jack... Même si elle lui reconnaissait volontiers d’être un très bon amant.

La tête de la vampire filait donc le long de son sexe, lentement, savourant cette peau chaude et concentrée, quand il lui demanda de lécher ses testicules, tout en glissant ses doigts dans ses fesses. Mélinda esquissa un léger soupir, puis retira sa bouche du sexe, laissant le long de ce dernier sa salive, puis, sans rien dire, mais avec une lueur espiègle se dessinant dans ses yeux, elle se pencha sur le côté, son nez et sa joue venant frôler ce vit, et elle lécha donc ses testicules, en soupirant de manière un peu exagérée... Juste pour l’exciter.

« Hum... Tu aimes qu’on te lèche les couilles, hein ? Vilain garçon... »

Mélinda aimait bien jouer, d’un point de vue sexuel, et elle veillait à se contenter de lécher. Les poils pubiens étaient sensibles, et elle n’avait guère envie de transformer ce tendre moment en instant de torture. La vampire léchait donc, et, entre-temps, elle déplaça sa main, et la posa sur les fesses de l’homme. Elle s’en servit pour écarter le passage menant à sa croupe, en séparant l’une de ses fesses, et glissa ensuite son autre main, venant nicher un doigt dans sa rondelle. Elle soupira de plaisir, puis enfonça un second doigt, et commença à les remuer, faisant preuve de son expertise en la matière.

Cependant, plus elle agissait, et plus une autre femme était encore plus impatiente... Ce qui amena ladite personne, Edessa, à se rapprocher. Elle se rapprocha du duo, et fléchit les genoux, se retrouvant à côté de Jack, face à sa Maîtresse, la verge de l’homme séparant leurs visages.

« Ce n’est pas bien de m’offrir un tel spectacle, Maîtresse, sans me proposer d’y participer ! » protesta la Succube.

Pour seule réponse, Mélinda esquissa un sourire, et Edessa se rapprocha alors, et vint, à son tour, lécher le sexe, sa langue venant parfois croiser celle de sa Maîtresse. Ses testicules et sa queue, tous les éléments composant le sexe du mâle étaient en ce moment flattés par les deux femmes. Une vampire et une Succube s’occupant de son corps...

...En voilà un qui devait s’estimer bien chanceux !
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 01 novembre 2015, 20:23:35
Malgré les quantités invraisemblables de foutre qu'il avait expulsé, Jack n'avait de cesse de s'étonner de ne pas avoir sombré dans le sommeil. Jack s'estimait être un amant infatigable, mais il avait ses limites.... Or celles-ci, en compagnie de Mélinda et de sa suite, semblaient avoir disparu. Avec une pointe d’inquiétude, l'homme se demande s'il allait s'écrouler raide mort d'épuisement lorsque la belle vampire en aurait fini avec lui... Mais le jeu en valait la chandelle, se dit-il, en voyant son amante se délecter de son gros chibre, avec sa gueule d'ange et ses petites lèvres incarnat. Délaissant la verge toute propre, qu'elle avait léchée et sucée pour en faire disparaître jusqu'à la moindre goutte de sperme, la petite fit glisser sa langue tiède sur ses couilles gonflées par le désir.

« Hmmm ahh... »


Voir une aussi jolie poupée s'abaisser à faire des choses aussi dégradante, l'excitait au moins autant que le contact de sa langue sur ses bourses. La bouche du professeur s'arrondit lorsqu'il sentit un premier doigt glisser facilement dans son cul. Sa propre semence faisait office de lubrifiant et le traitement qu'il avait subi précédemment avait rendu la voie plus...Praticable. Qui plus est, Mélinda l'avait démasqué ; il n'était qu'un odieux pervers et les obscénités dont elle l'abreuvait exacerbaient son désir. Ce soir l'agent Taylor ne souhaitait qu'une seule chose ; se vautrer dans le stupre jusqu'à épuisement total.

« Oui je... Mets-en plus, petite maîtresse c'est... HMMM... »

Jack se mordit la lèvre inférieure, alors qu'un second doigt venait de rejoindre le premier dans son cul. Et cette petite chienne de Mélinda de les remuer doucement, faisant s'agiter le postérieur du professeur qui goûtait une fois de plus au plaisir de se sentir rempli. Lui qui avait délaissé ce plaisir coupable, le ravalant au rang de pratique occasionnelle comprenait à présent qu'il tirait un plaisir égal à recevoir qu'à donner... Et songer à toutes les perspectives que cette découverte lui offrait était vertigineux. Cependant, l'étrange créature que Mélinda avait appelée Edesssa avait quitté la pénombre et s'était rapprochée du lit sur lequel il trônait, lorgnant sur sa grosse bite. Plus grande que Mélinda, la succube avait une paire de seins impressionnante, et un bon gros cul rebondit qu'il lui tardait de claquer. Répondant à l'invitation de sa maîtresse, elle s'agenouilla et se mit à l’œuvre avec passion.

« Ahh, c'est ça mes jolies vous êtes... de fantastiques petites putes... »

Traversé par d’irrépressibles ondes de plaisir, Jack était étendu sur le lit, les yeux perdus dans la vague, alors que les langues respectives de la vampire et de la succube courraient le long de sa hampe, sur son gland et ses bourses, alors que Mélinda s'activait encore dans son cul, l'extrémité de ses doigts effilés percutant sa prostate gonflée. Ses mains puissantes se perdaient dans les cheveux de deux créatures qu'il gratifiait de caresses fiévreuses et désordonnées. Il était pour ainsi dire au paradis de la luxure. Se redressant sur un coude, il saisit le poignet de la nouvelle venue et l'attira doucement à lui, pressant ses lèvres avides contre celles, entrouvertes de la succube, sa main libre palpant le cul galbé de cette dernière, ses doigts puissant s'enfonçant dans sa chair tendre.

« Edessa hm ? enchanté... Merci d'avoir pris soin de moi pendant que je dormais. J'aimerais te remercier à ma manière », lui glissa-il à l'oreille, avant de glisser sa langue entre ses lèvres.

Lâchant son poignet, l'homme s'empara de l'un de ses seins, qu'il soupesa un court instant, avant de le malaxer doucement, puis de faire rouler son téton entre la pulpe de son pouce et de son index, avant d'envoyer une claque bien sentie rougir son postérieur laiteux. Quelques secondes plus tard, n'y tenant plus, il saisissait Ededessa par les hanches pour l'aider à l’enjamber son buste, et la maintint en équilibre au dessus de sa grosse queue gonflée, par la simple force de ses biceps tendus, alors que ses gros seins s'écrasaient contre ses pectoraux.

« Je suis sûr que la petite maîtresse n'aura rien contre, n'est-ce pas ? Mais je pense que c'est à elle de décider dans quel trou je devrais glisser ma grosse bite ».

L'instant d'après, Jack se mordait une nouvelle fois la lèvre inférieure alors que les doigts de la vampire s'aventuraient toujours plus loin dans son cul, le sodomisant sans ménagement. Son phallus veiné tressautait vivement, et à ce rythme là, il craignait de jouir avant même d'avoir pénétré Edesssa. Se tortillant sur place en gémissant, il attendait fiévreusement le verdict de cette dernière... A vrai dire, il s'attendait à ce qu''elle glisse elle-même sa verge turgescente dans les entrailles d'Edessa.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 08 novembre 2015, 16:39:30
Edessa avait sa théorie sur le sexe. Elle pensait que les humains, quand ils faisaient l’amour, ne déployaient jamais l’intégralité de leur potentiel. Oh, bien sûr, ils se fatiguaient, mais elle savait que le corps humain avait des réserves insoupçonnées, comme des sortes de ressources inconscientes qui ne se débloquaient pas facilement. Le sexe était un moyen de libérer ces réserves, ce qui, à son sens, expliquait pourquoi des individus patauds, lents, pouvaient se révéler être de vraies bêtes. Elle pensait donc qu’il y avait, chez l’être humain, toute une force souterraine, et que le sexe était comme une brèche permettant de la déverser... Mais cette brèche se terminait au moment de la jouissance, et toute cette énergie disparaissait alors, la brèche se refermant. Dommage, selon elle... Alors, en tant que Succube, elle était naturellement réceptrice à la magie rose, et avait développé ses capacités pendant de nombreux mois, que ce soit auprès de magiciennes proches de sa Maîtresse, comme Samara ou Slotwenna, ou auprès d’autres magiciens, notamment à Nexus. Elle avait ainsi développé autour d’elle une sorte d’aura sexuelle. La Succube émettait naturellement des phéromones, qui avaient pour but d’exciter les hommes (et les femmes), mais qui permettaient aussi de renforcer cette brèche... Et, chez Jack, la brèche était devenue un trou béant, lui permettant visiblement de toujours être debout, avec sa vigueur à fond. Bien sûr, quand tout ce lac énergétique secret serait épuisé, le pauvre en serait totalement exténué... Mais, d’ici là, Edessa et Mélinda, deux coquines, en auraient bien profité.

Sur le coup, il était difficile de déterminer laquelle était la plus perverse des deux. Bien que n’étant pas une Succube, Mélinda avait une telle énergie sexuelle, et était d’une telle perversion, qu’il était difficile de ne pas l’imaginer comme une redoutable Succube à sa mort. Edessa, en tout cas, ne voyait que ça pour elle comme choix d’outre-tombe. Elle la voyait très mal en petite Ange, à essayer de défendre les vertus de la chasteté, quand elle passait son temps à culbuter des nonnes ! Mélinda léchait donc les couilles de l’homme, s’attardant en réalité davantage à lécher ses testicules, plutôt que sa verge, un choix curieux, mais qui, souvent, fonctionnait très bien. En effet, en faisant ça, elle développait à la fois l’excitation de son partenaire, mais aussi de sa frustration, et elle fut rapidement rejointe par celle qu’elle considérait comme sa fille spirituelle, la belle Edessa. Elle lécha et suça l’autre boule de l’homme, évitant de mordre, car elle savait que les poils pubiens étaient fragiles.

« Hmmm-mmmhmmm...
 -  Huuuuummmm... !! »

Les deux femmes se faisaient plaisir, tout comme Jack, mais elles ne négligeaient pas sa lance, et, régulièrement, les deux femmes venaient le lécher. Il était fascinant de voir avec quelle harmonie elles agissaient mutuellement, presque comme si elles communiquaient mentalement pour savoir quand se déplacer pour lécher et embrasser en même temps les rebords de la queue de l’homme. Jack se faisait plaisir, caressant généreusement leurs cheveux, et finit par déplacer Edessa, qui se laissa faire, partageant avec lui plusieurs baisers.

Edessa était, comme toujours, sexuellement terriblement curieuse. Et ce Jack l’intéressait. Il l’intéressait par sa résistance, et aussi parce que, de manière générale, tous les amants de sa Mère (elle considérait Mélinda comme étant avant tout sa Mère plutôt que sa Maîtresse) devaient être les siens. Edessa avait envie de se les taper, elle aussi, et c’est à ce quoi elle avait presque le droit, quand elle sentit la verge de l’homme taper contre ses cuisses, son cul allant heurter les cheveux de Mélinda. Dans la droite foulée, la queue caudale de la jeune Succube ne tarda pas à caresser son visage, glissant sur sa peau.

« C’est normal, je dois veiller sur les beaux hommes musclés, afin qu’ils restent les amants fougueux qu’ils doivent être... »

Mélinda sourit lentement, et comprit que c’était à elle d’unir les deux amants. Ses doigts se retirèrent donc du cul de Jack, et elle se redressa un peu, puis alla agir, dénouant quelques lacets du complexe cordage reliant la robe de la Succube dans son dos, puis posa son autre main sur ce sexe tendu, soupirant en sentant toute sa raideur, toute son épaisseur.

« Hum... Toujours aussi tendu, mon beau Jack... »

Un sourire mielleux éclaira les lèvres de Mélinda, qui guida ensuite le sexe de l’homme... Et ce dernier alla se faufiler dans l’intimité d’Edessa.

« Oooohhhh... Huuuummm... »

Edessa adorait toujours les coïts, et Mélinda, en souriant, lui gifla alors les fesses, puis les regarda faire...

...Elle voulait satisfaire ses yeux avant d’agir de nouveau.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 13 novembre 2015, 11:19:48
Pendant de nombreuses années, l'agent Taylor avait estimé qu'il était un odieux pervers, mais s'était refusé à reconnaître qu'il avait un problème. Il n'était pas un simple sybarite, mais bel et bien un obsédé sexuel, un dépendant au stupre. A défaut d'un ou deux rapports sexuels minimum par jour – ou de séances d'onanismes, l'homme devenait irritable, anxieux et les pensées obscènes qui l'envahissaient obscurcissaient son jugement. Son salaire mirobolant passait la plupart du temps dans les escorts-girls, voire les prostituées de bas-étage, lorsque les besoins se faisaient trop pressant. Un certain nombre de ses supérieurs de la CIA étaient au courant de ses déviances, qu'ils attribuaient à ses premières expériences sexuelles douteuses, mais le couvraient assez largement, car l'homme était un de leurs meilleurs éléments. Cependant il craignait d'être allé trop loin, le jour où il avait brutalement sodomisé Melinda dans sa propre salle de classe, au lieu de se contenter de l'observer discrètement – quitte à se masturber ultérieurement -. La belle vampire l'avait emmené trop loin pour qu'il puisse un jour espérer avoir une sexualité ordinaire, le plus terrible étant qu'il lui en était infiniment reconnaissant. La plupart de ses plus belles baises lui paraissaient fades en comparaison des quelques heures de luxures qu'il venait de passer avec l'esclavagiste et son intuition l'incitait à croire que les choses ne faisaient que commencer.

« Hmm mmh. »

Les lèvres du vigoureux mâle se scellèrent une nouvelles fois avec celle de la belle Edessa alors que de ses deux grosses mains, il malaxait les grosses fesses laiteuses de la succube, appréciant la douceur et la tiédeur de sa peau pâle. Lorsque Mélinda empoigna sa verge gonflée, l'homme soupira longuement, alors qu'un imperceptible frisson lui remontait le long de l'épine dorsale. Approchant sa bouche entrouverte de l'oreille de son amante, il en profiter pour l'abreuver d’obscénités de sa voix grave et suave, alors que son souffle brûlant se perdait dans le creux de son cou. 

«Tu voulais te faire baiser toi aussi, hmm ? Tu vas voir, Je vais défoncer ta petite chatte de pute, jusqu'à ce que tu demandes merci »
, lui susurra-il d'une voix étonnamment tendre, alors qu'il lui caressait les cheveux d'une main distraite.

Jack avait vu Edessa se tortiller d’impatience quand il labourait le cul de sa maîtresse. L'empressement qu'elle avait manifesté ensuite à s'occuper de sa queue joufflue l'avait ensuite convaincu qu'il s'agissait probablement d'une salope du même acabit de sa maîtresse, ce qui était prometteur. L'homme soupira de regret lorsque les doigts fuselés de sa maîtresse délaissèrent son cul dilaté, mais se détendit lorsque la petite menotte empoigna sa grosse verge, dont elle ne faisait même pas le tour. Le fougueux professeur remuait doucement le bassin de haut en bas, ce qui faisait que son gland violacé venait parfois percuter les lèvres charnues de l'intimité d'Edessa. Pour faciliter la tâche de sa petite maîtresse, il écarta les fesses bombées de la succube. L'insoutenable attente pris fin lorsque la belle vampire glissa sa grosse bite dans la chatte – déjà – détrempée, avant d’envoyer une belle claque sur ce cul d'albâtre. Avec ravissement, l'homme sentait son pieu écarter les entrailles onctueuses alors que la pesanteur faisait son effet ; la belle s'empala toute seule sur sa queue. A son tour, il envoya une belle gifle sur son postérieur rebondi.

« Redresse-toi ma belle , je veux voir tes gros seins bouger pendant que je te baise. », lui intima-il, en agrippant fermement ses hanches de ses deux mains puissantes.

La laissant s'exécuter, l'homme savoura l'instant quelques secondes. Le clair obscur de l’alcôve faisait danser des ombres sur le corps sculpturale de la succube, et ses gros seins orgueilleux semblaient plus lourd, ses tétins plus érigés. Elle était superbe, et avec un mauvais sourire, l'homme souleva lentement le cul d'Edessa sur toute la longueur de sa verge, avant de l'empaler à nouveau avec une lenteur calculée, jusqu'à ce que sa vulve replète s'écrase ses bourses gonflées. Il allait prendre un plaisir infini à la souiller. Ne pouvant apercevoir Mélinda, Jack ne doutait pas que la maîtresse ne perdait pas une miette du spectacle et, soucieux de lui faire plaisir, il commença à remuer le bassin d'avant en arrière, envoyant claquer la base de son énorme bite contre les fesses laiteuses de son amante, n'hésitant pas à la gratifier de grosses claque de temps à autre, pour les rougir. La voie avait beau être étroite, la salope mouillait abondamment et l'homme put bientôt la défoncer sans vergogne en râlant comme un animal en rut.

« Ça te plaît de te faire défoncer comme une grosse chienne Edessa, hm ? Je veux te l'entendre dire. Rien qu'une petite pute lubrique. »

Ce faisant, l'homme ne quittait pas des yeux les yeux d’émeraude de la succube et sa bouche entrouverte, se repaissant du désir et de la jouissance qu'il lisait sur son visage. Légèrement plus bas, sa poitrine tressautait à chaque coup de rein un peu trop violent. Satisfait, l'homme leva l'une de ses grandes mains pour attraper l'un de ses seins et le malaxer, le pétrir de sa paume.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 14 novembre 2015, 12:01:07
Mélinda esquissa un léger sourire en voyant Edessa s’empaler sur ce chibre. Jack avait un sacré phallus, d’une taille impressionnante, et ce encore plus pour un simple humain. Avec une telle verge, on pouvait comprendre sa vigueur, et sa terrible perversion. Rien ne semblait pouvoir calmer l’homme très longtemps, au niveau de ses pulsions sexuelles, et c’était sans doute pour ça qu’il avait fini à Mishima. À force, Mélinda avait bien compris toute la particularité de ce lycée, où il y avait deux faces : le visage public, en apparence normal, et le vrai Mishima, un lycée où l’éducation sexuelle des élèves était  encore plus importante que l’éducation normale. Les trois quarts des professeurs étaient des pervers expérimentés qui, dans un autre endroit, auraient fini depuis longtemps en prison, le quart restant appartenant à des professeurs soumis qui étaient éduqués par leurs élèves. Et Jack, lui, appartenait clairement à la majorité. Il avait sodomisé Mélinda et Shii dans une salle de classe, mais la vampire savait qu’elle n’était pas la seule à avoir goûté aux assauts du professeur... Et, maintenant, Jack lui appartenait. Ce n’était pas par la violence ou les menaces qu’elle le soumettait, mais en jouant sur sa gourmandise, son sens de la luxure... Et elle avait visé juste.

Edessa se redressa rapidement, soupirant de plaisir, et Mélinda, elle, remonta le long de son dos, et défit les cordages de sa robe, faisant tomber cette dernière. Sous sa robe, Edessa était toute nue, et se retrouva donc dans le plus simple appareil, assise sur l’homme, dandinant son corps de haut en bas, soulevant ses lourds seins laiteux.

« Haaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaannnn... !! »

Oh, comme elle aimait ça, Edessa ! Sentir une grosse queue la labourer ! Elle aussi, elle était gourmande, et elle ne comptait plus le nombre de fois où on avait exploré et défoncé sa chatte... Avec les hommes, plus le sexe était violent, et mieux c’était ! Edessa n’avait rien d’une petite fragile, une femme qui demanderait à ses amants d’y aller doucement, parce qu’elle avait un corps fragile, qu’elle avait peur,  et tout ça... Non, Edessa était tout le contraire, et, quand Jack lui demanda confirmation, Edessa le confirma rapidement, en posant ses mains sur les épaules de l’homme :

« Ouuuuuuuuuuiii... Haaaaaaaaaa... Ouuuuuuuuuuuuiii... J’aime ça, haaaaaaaaaaaaa... Sentir... Sentir une grosse biiiiiiiite en moi, haaaaaaaaaaaaaaa... Me faire... Haaaaaaa.... T-Tringler c-comme... Une... Une grosse pute !! Oooouuuuuuuuuuuuui... Je suis une pute, haaaa... La Reine des Salopes, qui aime les bites bien remplies !! Haaaaaaaaaaaaannn... »

C’était fleuri, et Mélinda sentit ses oreilles siffler. La vampire, également nue, s’écarta un peu, préférant admirer la scène, et en profita pour attraper un téléphone portable. Elle n’était pas très à l’aise avec les technologies de ce type, mais, à force, elle avait appris comment faire des vidéos. L’idée n’était pas tant de faire chanter Jack que d’avoir des images d’Edessa en train de faire l’amour... Car c’était toujours très excitant, et encore plus quand on savait que Mélinda avait tendance à considérer Edessa comme une sorte de fille spirituelle, puisqu’elle l’avait tenu dans ses bras quand elle était encore un tout petit bébé.

Le lit craquait sous les mouvements lourds et amples d’Edessa, ses seins rebondissant, et elle s’amusa ensuite à se les masturber.

« Huuuunnnn... Insuuuulte-moi, haaaaaa... Traite-moi !! »

Une vraie perverse !
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le lundi 16 novembre 2015, 17:48:46
Jack n'était un amant qu'on pouvait qualifier de tendre. S'il savait se montrer câlin ou mielleux avec ses amantes, ce n'était que pour mieux les défoncer et les insulter copieusement ensuite. N'étant pas un monstre, il se retenait la plupart d'être trop brutal, et se contentait la mort dans l'âme d'être vigoureux. Mais avec Mélinda et Edessa, c'était autre chose. Il pouvait se montrer aussi bestial qu'il le souhaitait, ces deux superbes salopes n'en demandant pas moins. Intuitivement, le faux professeur avait également remarqué que le lycée Mishima était un repère de pervers et que la plus innocente des lycéenne pouvait se révéler en vérité être la pire des putes. Croyant à des cas isolés, Jack en avait discrètement profité pour culbuter la première élève venue à son arrivée, mais s'était vite rendu compte que les relations sexuelles entre élèves et professeurs étaient la règle tacite de l'établissement et dès lors il ne s'était plus retenu... Ni arrêté.

« C'est bien Edessa... Remue ton gros cul de chienne... Empale-toi sur ma grosse queue ! »

Ravi, le regard enfiévré et les cheveux trempés de sueur, Jack observait le bassin de la succube onduler, remuer de haut en bas alors que son vit colossal disparaissait dans ses entrailles humides. Aussi délurée que sa maîtresse, la belle hurlait son plaisir sans réserve, abreuvant son amant de mots crus, de mots sales et bien vulgaire qui le rendaient ivre de désir. Pantelante, la jeune femme s'appuya sur ses épaules et Jack sentit ses ongles s'enfoncer légèrement dans sa peau hâlée. Délaissant le sein qu'il pétrissait, il agrippait à présent ses hanches des deux mains et envoyait son propre bassin percuter brutalement les fesses d'Edessa lorsque ses fesses laiteuses redescendaient sur son vit, la faisant littéralement rebondir contre ses couilles. La brutalité de la pénétration rendait le dialogue difficile, mais entre deux râles, l'obscène professeur inondait sa partenaire d'insultes salées.

«Aaah... Danse, ma petite pute, danse... Je ne pensais pas que... Tu serais aussi chienne que ta maîtresse ». Et pourtant... La maîtresse de maison avait bien dressé son entourage. « Je vais... juter dans ta petite chatte de salope, te remplir de mon foutre... HAN...C'est ce que tu veux, pas vrai ? »

Tandis qu'il la baisait rageusement, Mélinda semblait se plaire dans le rôle de voyeuse. Elle avait dégainé un téléphone portable et les filmait, visiblement satisfaite. Ralentissant légèrement ses coups de butoir, l'odieux pervers se mit à sourire et, glissant ses mains vers le cul galbé d'Edessa, l'écarta largement de ses deux mains, offrant à la vampire une vue imprenable sur la vulve écartelée par le pal et sur la corolle brune de son anus. 

« Cambre-toi ma belle. Montre à ta maîtresse comme tu te fais bien défoncer la chatte ».

La petite chienne mouillait abondamment, et son fluide tiède coulait le long de la queue de son amant, venant tremper ses couilles. Collectant une petite quantité de cyprine sur le bout de ses doigts, l'homme s'en servit pour masser vigoureusement l'anus de la jeune femme, avant d'y introduire presque immédiatement les deux premières phalanges de son majeur, rapidement rejoint par son annulaire. La pénétration brutale de sa chatte rendait la tâche difficile, mais Jack s'efforça de lui doigter consciencieusement le cul.

« Haan Pe...Petite Maîtresse... Je crois... Que Edessa aimerait également se faire bourrer le cul, de se faire enculer. Pas vrai ma puce ? Une queue ne doit pas suffire à rassasier une pute comme toi... Il faut que tu sois prise par tous les trous, tringlée comme une vulgaire pute de chantier hm ? »

Les solutions étaient légion ; Mélinda pouvait elle-même sodomiser leur victime, ou bien charger son frère aîné de le faire. Enfin, il ne doutait pas qu'à défaut, la petite maîtresse disposait des accessoires appropriés. Bien évidemment, il allait de soi qu'il comptait bien prendre son tour dans son cul ; Jack Taylor estimait en effet qu'on ne pouvait pas vraiment prétendre connaître une femme tant qu'on ne l'avait pas enculée. Et il mourrait d'envie de connaître davantage Edesssa.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 19 novembre 2015, 20:31:33
Ici, dans ce temple de la perversité, Jack pouvait laisser libre cours à tous ses fantasmes. Mélinda ne s’y était pas trompée. Les fantasmes de ce professeur étaient bien loin de se limiter à de simples étudiantes en uniformes scolaires. Il voulait de la baise, de la baise ardente et sauvage, de celle qui fait claquer la peau et épuise la voix, de celle qui est une violence sauvage et passionnée... Voilà ce que l’homme voulait, voilà ce que Mélinda et Edessa lui offraient... Du moins, surtout Edessa. Nue, elle était d’une beauté incroyable, et, tout en les filmant, Mélinda s’amusa à déplacer, faisant un gros plan sur le cul rebondi de la Succube, cul qui se dandinait d’autant plus que Jack s’amusa à écarter ses parois, afin de lui foutre deux doigts dans le cul.

« Haaaaa... !! »

Edessa savourait cet homme, ses mots, sa résistance... Elle avait l’habitude de coucher avec des Futanaris et avec des hommes, et, même si certaines Futas pouvaient se montrer terriblement ardentes, quand on manipulait bien les hommes, ils pouvaient aussi être des étalons incroyables. Et c’était ici le cas pour Jack. Le pauvre homme devait être frustré ailleurs, Edessa pouvait le sentir, et cette frustration avait pour elle qu’elle décuplait la gourmandise actuelle de l’homme, comme s’il avait conscience qu’il goûtait à quelque chose d’exceptionnel, quelque chose qui ne se reproduirait pas de si tôt. Il en profitait donc, conscient, en son for intérieur, qu’il n’y avait qu’ici, chez Mélinda, qu’il pouvait exprimer tout son souhait.

La vampire se mit à marcher, filmant la scène sous d’autres angles. Ce genre de plaisir était quelque chose qu’elle avait découvert sur Terre, et elle ne pensait pas que les films de ce type puissent être aussi excitants. Et, quand elle avait vu ses esclaves filmer ses ébats avec elle, puis les avait regardés, elle avait compris toute la force de la vidéo... Alors, elle se faisait plaisir. On aurait pu croire qu’elle faisait ça pour mettre ensuite Jack sous pression, mais... Honnêtement, elle n’avait aucun besoin de le faire chanter. Elle le voyait mal venir dénoncer à l’administration les pratiques peu chastes du harem de Mélinda, ou la propension de cette dernière à capturer et violer des lycéennes pour en faire, par la suite, ses esclaves.

Edessa se pencha vers le corps de l’homme, comme il le demandait, ses seins venant caresser son corps, et Jack demanda alors à ce que quelqu’un vienne le soutenir. La vampire sourit. La proposition était tentante... Mais elle se disait qu’il valait mieux continuer à faire parler la testostérone. Edessa aimait sentir les hommes autour d’elle.

« Bran... Vas-y, mon chéri... »

Il y eut quelques mouvements, et l’homme se déshabilla, puis s’avança, nu. Il avait un magnifique corps d’athlète, avec des muscles solides, quelques cicatrices, un torse glabre, et une magnifique érection, de quoi rivaliser avec celle de Jack. L’homme se rapprocha rapidement, et Edessa s’en mordilla les lèvres. Elle était en train d’embrasser Jack, enfonçant sa langue dans sa bouche, jouant avec celle de l’homme, couinant et gémissant sous les coups de butoir de sa queue.

L’homme se posa sur le lit, et Edessa se redressa alors, l’une de ses mains partant en arrière pour saisir la nuque de Bran, venant la griffer.

« Oooouuuiiii... De beaux mecs rien que pour moi, hummm... Défoncez-moi, mes salauds !! »

Il n’y en avait pas deux comme Edessa au sein du harem. La Succube aurait pu épuiser toute une tripotée de mâles en rut. Jouer contre elle au sexe, c’était comme brandir un deux face à un flush royal. Elle se nourrissait de la luxure, de la perversion, du sexe, inhalant cela comme la batterie d’un téléphone portable avale l’électricité pour se recharger. Les succubes étaient des vampires sexuelles, ce qui faisait que, si on pouvait satisfaire sa libido, on ne pouvait, théoriquement, jamais l’épuiser. Ainsi étaient les succubes, ce qui expliquait pourquoi les plus cruelles d’entre elles tuaient leurs amants. Comme le disait le vieux dicton, elles étaient des trésors aux mortels interdits... Mais on trouvait quelques heureuses exceptions, comme Edessa, qui avait été éduquée par Mélinda pour être la plus parfaite des putes... Un rôle qu’elle accomplissait à la perfection.

Une main sur la nuque de Bran, l’autre caressait le téton de Jack, et le pinça même quand la bite de Bran alla lui pilonner le cul, son torse claquant contre elle, Bran se mettant à soupirer sèchement, le nez planté contre les cheveux d’Edessa, inhalant sa délicieuse odeur, son doux parfum sensuel.

« Hhhhhmmmmmm... Oh oui, que c’est bon, sentir... Huuuunnnn... V-Vos gro... Vos grosses bites en... Haaaaaaa... En m-mooiii !! »

Que demander de plus ? Pour elle, c’était le paradis.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mardi 24 novembre 2015, 11:57:16
Jack était bien trop focalisé sur l'instant présent pour redouter que Mélinda n'attente à sa réputation avec la vidéo qu'elle était en train de tourner. En outre Edessa elle, était majeure, pas comme de nombreuses lycéennes que l'agent Taylor avait baisées et sauvagement sodomisées... Même si la plupart d'entre elles n'étaient déjà plus vierges. Pis encore, il s'en donnait à cœur joie et envoyait de grosses claques rougir le postérieur d'Edesssa, qui remuait inlassablement sur sa verge érigée. Un mot de Mélinda suffit à faire émerger Bran du coin sombre de la pièce où il avait été relégué. Jack observa le frère  aîné de Mélinda avec un léger sourire. Lui et Bran avaient beaucoup de choses en commun. Ils étaient tout deux grands, forts, glabres et la nature les avaient doté de belles et grosses queues. Le vit de Bran, celui-là même avec lequel il lui avait défoncé le cul, projetait une ombre colossale sur le mur. Interrompant un instant sa pénétration rageuse, Jack s'immobilisa et retira ses doigts souillés de son anus pour écarter son postérieur bombé. La belle se redressa alors que le beau vampire se glissait en elle et  Jack se mordit la lèvre inférieure ; à mesure que le vit colossal du vampire écartelait l'anus d'Edessa, il le sentait presser contre sa propre verge, à travers les parois étroites de son vagin, lesquelles se crispaient d'autant plus fort autour de sa bite. C'était tout bonnement divin.

« Oh putain... »

Jack avait déjà partagé une femme avec d'autres hommes, mais jamais avec une autre queue aussi grosse que la sienne. Il s'agissait la plupart du temps des petits copains des filles qu'il asservissait. Pour Jack, il ne faisait aucun doute qu'un homme qui appréciait les double-pénétration était forcément tendanciellement bisexuel, les contacts entre chaque partenaire étant quasiment inévitable. Naturellement, cela n'était pas pour déplaire au professeur.

« Défonce-lui le cul, Bran, cette petite pute...Ne demande que ça... Mhh... »

Edessa se faisait à présent sèchement sodomiser, les couilles de Bran claquant contre son cul, effleurant celles de Jack, qui s'en donnait également à cœur joie en propulsant au diapason son bassin vers le haut en grognant. L’incorrigible succube s’acharnait quant à elle sur l'un de ses tétons, et le plaisir augmenté d'une légère douleur se diffusait en lui comme de légers chocs électriques. Comme plus tôt, l'intensité des coup de butoirs faisaient tressauter les gros seins laiteux de la jeune femme qui se soulevaient puis retombaient lourdement. Une nouvelle fois, Jack sentit que l'orgasme approchait, inexorable.

« Hmm... Je vais ...te remplir de foutre ma puce, ma belle petite chienne.... »

Cependant, Edessa n'était pas la seule préoccupation de Jack. L'homme se redressa sur les coudes, puis empoigna les hanches du beau vampire, écrasant leur amante entre leurs deux torses musclés, puis laissa filer l'une d'elle sur son fessier qu'il malaxa rudement, avant de faire glisser ses doigts sur les couilles remplies de Bran qu'il caressa avec douceur, sachant d'expérience combien la peau était sensible à cet endroit. Embrassant Edessa à pleine bouche, sans se soucier de la salive qui coulait abondement de ses lèvres pulpeuses, il fut une nouvelle fois foudroyé par l'orgasme, en même temps lui sembla-il, que le vampire. Son foutre s’échappa par à-coup de son méat avec une violence qui lui fit presque mal, et en telles quantité  que le bas-ventre de la succube s'arrondit légèrement, d'autant plus que Bran jutait également dans son anus massacré.

« HMMM »

Agité de furieux spasmes, l'homme menaça de tourner de l’œil alors qu'il expulsait un ultime jet de semence, puis se laissa retomber en arrière, sur le lit, frissonnant légèrement au contact du lucide tiède qui s’échappait des orifices malmenés de la succube. Son propre sperme, et celui du vampire, probablement. Epuisé une nouvelle fois, l'homme ferma les yeux en attendant que les battements effrénés de son coeur ne s'apaisent. Il avait l'impression d'avoir frôlé la crise cardiaque cette fois mais... C'était tout bonnement trop bon pour s'arrêter en si bon chemin.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 27 novembre 2015, 12:38:07
Si la taille de la verge de Jack restait un mystère, pour un simple humain, en ce qui concernait Bran, il y avait des explications génétiques. Tout comme pour expliquer la singulière beauté de Mélinda, les Warren n’avaient jamais été que des humains. Comme toutes les grandes et vieilles familles ashnardiennes, ils avaient connu, régulièrement, des démons, notamment des Incubes et des Succubes. C’était une pratique courante à Ashnard, dans le cadre de mariage politique où l’amour n’existait pas, de faire appel à des démons de plaisir pour se faire engrosser, notamment en cas d’infécondité ou d’incompatibilité sexuelle. Partant de là, les gènes démoniaques faisaient que les nouveaux-nés naissaient avec des particularités génétiques améliorées... Tout ça pour dire  que Bran avait été généreusement gâté par la Nature, comme sa sœur, et comme leur père avant eux.

Comblée, Edessa était pris entre ses deux amants fougueux et vigoureux. Bran était un amant redoutable, et elle adorait quand l’homme lui faisait l’amour, le plus grand plaisir d’Edessa étant de tester Bran, de le pousser à ses limites pour le forcer à la baiser sauvagement. L’homme était habituellement d’un calme olympien, n’obéissant qu’à sa Maîtresse, parvenant à repousser ses désirs personnels, aussi forts soient-ils, si ceux-ci rentraient en opposition avec la volonté de sa Maîtresse. Autant dire que, pour une succube espiègle, qui adorait tenter les gens, tenter Brad était toujours un plaisir continuel, et, quand il se laissait enfin aller au plaisir... Ohlàlà, quelle vague ! C’était... Un peu comme ce qu’elle ressentait en ce moment, en fait.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Prise entre ses deux amants, la Succube ne pouvait qu’hurler son plaisir, se tortillant contre ces deux queues qui remuaient en elle, soulevant son corps, Bran et Jack s’écrasant contre elle, l’étouffant presque... Et, quand elle sentit la main de Jack glisser contre elle pour caresser les bourses, elle se mordilla les lèvres... Avant d’entendre Bran grogner, puis venir la mordre. Son hurlement s’accrut, et il prit un peu de sang, ce qui renforça encore la taille de sa verge, le sang venant circuler plus rapidement. Silencieuse, Mélinda observait tout cela, tout en sentant sa mouille couler. Assise sur un fauteuil, elle était en réalité en train de lentement se masturber, les joues rougies par le plaisir. Quel trio ! Et, dans la mesure où Edessa libérait ses phéromones, rien ne semblait pouvoir la calmer...

Bran but un peu de sang, très peu, suffisamment pour que ses pupilles virent au rouge pendant quelques secondes, puis il donna deux grosses claques sur les hanches de la femme, et renforça ses coups de reins. La salive d’Edessa jaillit de sa bouche, ses cris se taisant sous une irrépressible vague de plaisir qui la déchira en deux, comme si un océan venait de remonter dans tout son corps. Elle sentit alors la main de Bran s’enfouir dans ses cheveux, et il tira dessus, la redressant. Ses griffes s’enfonçaient dans sa chair, et, avec les élans de Jack, Edessa se retrouvait vraiment secouée dans tous les sens.

La belle femme n’était évidemment pas à plaindre, car c’était là tout ce qu’elle avait toujours voulu : se faire trancher... Elle en était si secouée qu’elle n’arrivait même plus à parler, ses seins rebondissant contre le torse de Jack, tandis que le lit couinait et grinçait. Les muscles saillants de Bran ressortaient sous l’intense effort physique qu’il déployait en faisant coulisser son mandrin énorme dans le cul de la belle Succube... Puis, dans un soupir, Edessa se lâcha, et Bran relâcha les cheveux de la femme, en arrachant quelques-uns, et elle s’effondra sur le corps en sueur de Jack, tandis que Bran se vida ensuite à son tour, remplissant généreusement le cul d’Edessa, en l’insultant copieusement :

« Prends ça, salope ! Hum !! Salope ! Salope !! »

Les mots fleuris vibraient dans les heureuses oreilles de Mélinda, qui avait, sur le visage, une lueur de désir. Elle se pinça les lèvres, en regardant les hommes en train de soupirer.

Edessa remarqua alors qu’elle avait griffé le torse de Jack, à tel point qu’il y avait des lignes de sang dessus, ce qui la fit rougir...

« Il y a toujours du sang avec les vampires... »

Mélinda venait de les rejoindre, et s’assit à côté du trio. Bran venait de retirer sa verge du cul d’Edessa, qui était donc à califourchon sur le corps de Jack, avec sa queue aplatie sous son bassin. Mélinda se tapota les lèvres en réfléchissant, puis se pencha alors vers Jack, et l’embrassa sur le front.

« Ne vous endormez pas trop vite, Jack... Même si  je peux comprendre qu’un simple humain puisse arriver au bout de ses limites avec des créatures surnaturelles comme nous... »

Toute nue, Mélinda se redressa, et alla à son tour s’asseoir sur Jack, posant ses fesses sur sa tête, en regardant Edessa, ses mains venant, à leur tour, se poser sur le torse de l’homme, pinçant ses tétons.

« Alors, que faisons-nous ? Deux hommes, deux femmes... On mélange les sexes, ou non ? Que souhaites-tu, mon beau Jack ? »

Pour lui laisser l’occasion de parler, elle écarta un peu ses fesses, afin de libérer sa bouche, mais pas ses yeux, obstrués par son derrière...
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 04 décembre 2015, 13:06:44
Les yeux mi-clos, Jack s'efforçait de retrouver son souffle. Dans le feu de l'action la succube lui avait labouré le torse, mais l'homme avait l'habitude des ébats sauvage. Après s'être copieusement vidé dans le cul d'Edessa, Bran avait déculé et son sperme tiède s'échappait de l'anus explosé de la belle succube pour glisser le long de ses cuisses. Jack ne put s'empêcher de sourire ; finalement le beau vampire n'était pas muet. Mieux encore, il était aussi ordurier que sa sœur cadette, lorsque la jouissance était trop forte pour qu'il ne puisse se contenir. Flattant distraitement la croupe de la succube encore empalée sur sa queue débandée, son sourire s'agrandit lorsque Mélinda vint les rejoindre, s'accroupissant au dessus de lui, écrasant sa vulve humide sur son visage. Du bout des doigts, la petite maîtresse malmenait ses tétons encore érigés. Sans hésiter, l'homme se mit à la laper avec avidité sur toute la longueur de la fente. Le spectacle l'avait visiblement beaucoup excité dans la mesure ou la cyprine coulait à flot. Levant une main à hauteur de son visage, il envoya une bonne claque sur son petit cul rebondit avant de le malaxer, enfonçant ses doigts puissants dans la chair tendre de son derrière. Lorsque Mélinda lui proposa d'embrayer sur la suite, Jack ne put s'empêcher de songer avec amusement aux arrangements décrits dans les œuvres de Sade. Il avait lu nombre de ses œuvres sous sa couette l'été de ses quatorze ans, et l’écrivain avait formé l'esprit pervers naissant du jeune Jack Taylor. 

« La dernière fois dans la salle de classe,  tu avais une belle queue bien dure... », commença-il tranquillement. « Que dirais-tu de reprendre là où nous nous étions arrêtés ? »

En effet, lors de leur dernière rencontre, Mélinda à la fois furieuse et ravie d'avoir été sodomisée comme la dernière des putes, avait forcé le professeur à sucer la verge juteuse avec laquelle elle venait elle-même d'enculer l'une de ses petites camardes.... A vrai dire forcé n'était pas véritablement le mot, dans la mesure ou Jack avait pris un réel plaisir à s'exécuter. Malheureusement, ils avaient été interrompu avant même que la vampire ne puisse jouir entre ses lèvres. Vraisemblablement, elle disposait, à l'aide de quelque sortilège, de la faculté de se doter d'un pénis à sa convenance. Le professeur s'interrompit quelques instant pour pincer les lèvres intimes de la vampire avec sa bouche, avant de les aspirer avec un obscène bruit de succion. Profitant de ce répit pour réfléchir, il finit par répondre d'un ton enfiévré.

« Je pourrais commencer par vous sucer tous les deux, toi et ton grand frère, pendant qu'Edessa me redonnerait un peu de vigueur. Ensuite, je crois bien que j'aimerais enculer Bran, devant sa petite sœur, je suis sûr qu'il aime aussi se faire prendre le cul », conclut-il, sur un ton amusé.

Jack n'avait pas oublié qu'il s'était juré de rendre au beau vampire la monnaie de sa pièce. Il ne savait vraiment pas si le beau vampire aimait autant recevoir que prendre, mais s'agissant d'un esclave de mélinda, le contraire l'eût étonné. Ce serait la première fois qu'il sodomiserait un homme fait ; d'ordinaire, les hommes virils ou trop musclés le répugnaient et seuls les éphèbes bénéficiaient de ses largesses... Mais Bran avait quelque chose de surnaturel et de bestial qui le séduisait... Puis il lui avait donné un orgasme monumental. Rien qu'à cette pensée, le sang reflua légèrement vers sa grosse queue écrasée par les fesses d'Edessa. Envoyant une belle claque sur le cul de cette dernière, il s'adressa ensuite à elle.

« Pendant de ce temps tu pourras t'occuper un peu de ta maîtresse... Ou de la queue de Bran. »

Jack avait encore en tête la sensation grisant qu'il avait ressenti à se faire masturber et sucer pendant que Bran le sodomisait. Il n'y avait probablement pas grand chose de comparable, et il avait hâte de faire subir le même traitement à son bourreau. Ensuite, il espérait bien que la petite maîtresse s'occuperait de son cul... Et il le lui donnerait avec plaisir.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 04 décembre 2015, 20:17:03
Mélinda aurait, bien entendu, pu continuer à dicter sa volonté, et à continuer à malmener ce professeur pervers... Mais elle voulait aussi voir jusqu’à quel point irait la perversion de l’homme. De manière plus générale, Mélinda fonctionnait beaucoup en laissant à ses esclaves le choix d’agir, même si, concrètement, ce choix était souvent restreint. C’est néanmoins ce qui expliquait pourquoi beaucoup d’esclaves, à Ashnard, avaient préférentiellement envie de rejoindre son harem plutôt que d’aller chez des esclavagistes plus cruels et plus classiques. Chez Mélinda, il y avait de la cruauté, mais aussi beaucoup de perversion, et énormément de douceur, ce qui était très paradoxal, mais était à l’image de la vampire... Une femme très paradoxale, ayant plusieurs facettes,  et dont le tableau final était suffisamment convaincant pour amener les gens à renoncer à leur liberté pour la servir.

Assise sur Jack, elle sentit l’homme lécher son sexe, avant de faire ses propositions, soit un scénario en deux temps... Fellations, puis sodomie, pour résumer. Mélinda sourit à ce plan. Ainsi, il voulait la revoir avec sa verge ? Ma foi, pourquoi pas... La capacité d’hermaphrodisme de Mélinda était un mélange de magie et de génétique, un « cadeau » que les démons l’ayant acheté il y a des années lui avaient donné, après l’avoir transformé en vampire, afin de tendre un piège à son père, de l’utiliser comme cheval de Troie. Elle pouvait ainsi rétracter et faire sortir sa queue presque à volonté, même s’il était plus facile de l’exciter quand elle était excitée... Ses lèvres intimes étaient lubrifiées, et c’était donc... Moins douloureux. Et puis, c’était un sexe en érection qui sortait, et non une petite queue rachitique ressemblant à un vieux pneu crevé.

« Très bien, Jack... Je valide ton envie. Quant à sodomiser Bran... Il adore quand je l’encule, en tout cas... »

Et elle aussi, elle adorait enculer les hommes Ce qui n’était pas spécialement un secret, car Mélinda était une grande sodomite Elle aimait s’en prendre plein le cul, butiner celui des autres, mais, avec les hommes, il y avait une sorte de plaisir pervers supplémentaire, car les hommes se voyaient rarement dans une position aussi humiliante, comme si, malgré toutes ces années d’égalitarisme entre les sexes, ils restaient encore, inconsciemment, ancrés dans des positions machistes voulant que ce soit à la femme de se faire prendre, et non à l’homme. Ashnard, de ce point de vue, était un pays assez avancé, car les différences sexuelles n’existaient pas énormément entre démons, ou n’avaient, en tout cas, pas l’importance qu’ils avaient pour d’autres nations ou populations.

Bran, donc était, un sodomite convaincu. Il était donc tout naturel qu’ils passent aux choses sérieuses, mais, pour l’heure, la fellation allait commencer... Mélinda se retira du lit, et posa ses pieds sur le sol. Toute nue, elle se concentra, et une légère grimace déforma son visage quand quelque chose poussa... Puis sa queue apparut, un beau service trois-pièces, glabre, constitué d’une verge et de testicules, tandis que la femme soupirait.

« Edessa... Mets-toi en position, ma chérie... »

Edessa hocha la tête, et se laissa tomber devant le lit, face à Jack, puis écarta ses jambes, et approcha sa bouche, venant prendre son sexe en bouche.

« Hmmm... »

Mélinda se rapprocha alors, et invita Jack à se pencher vers elle, afin de sucer son sexe, ses testicules caressant les cheveux de l’heureuse Edessa, sa queue caudale venant se déplacer pour caresser ses jambes.

« Là... Viens, Jack, viens me sucer... »
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mardi 08 décembre 2015, 12:44:08
Jack sourit ; ses arrangements avaient eu l'air de plaire à Mélinda. Elle lui avoua-même que son frère aimait se faire sodomiser, ce qui le fit frissonner de désir, alors que sa queue enflait à vue d’œil. Ce couple incestueux semblait n'avoir aucune limite, ce qui le ramena des années en arrière,  à la Nouvelle-Orléans, dans la maison où il avait grandi. Un beau jour Julia, son aînée de quelques années l'avait surpris en pleine masturbation frénétique. La chipie s'était amusé de le voir rougir et se réfugier sous la couette, mais l'avait bien vite rejoint, collant sa poitrine d'adolescente contre son torse avant agripper sa verge déjà imposante. Elle l'avait masturbé doucement pendant de longues minutes en le cajolant, puis avait glissé un doigt dans son cul. Le pauvre Jack avait crié de surprise et de douleur, mais il avait bientôt été assailli par des ondes de plaisir et avait amplement juté dans la paume de sa sœur.... Autant dire que l'image de Mélinda sodomisant Bran ne le choquait pas, bien au contraire : elle l'enchantait. Attrapant son vit dorénavant érigé, il fit lentement glisser sa main ferme de haut en bas, en lorgnant sur le postérieur musclé du vampire.

« Alors je lui démonterai le cul comme s'il était la pire des chiennes. Et ce jusqu'à ce qu'il jute tout son foutre. »

La frénésie sexuelle avait une nouvelle fois reprit le dessus, et le professeur se redressa alors que la petite maîtresse s'écartait. Les yeux rivés sur la vulve luisante qu'il venait de laper, il arrondit les yeux lorsqu'une verge de bonne taille émergea de la fente, l'écartelant, avant de se dresser devant son nez, droite comme un i. Il avait beau savoir qu'elle en était capable, le voir était une chose tout à fait différente. Il ne s'agissait pas simplement d'une verge, puisque Mélinda disposait également d'une paire de couilles rebondies. La vampire pouvait éjaculer, Jack s'en souvenait ; lors de leur première rencontre elle avait inondé le cul de Shii de son sperme. Se rapprochant du bord du lit pour poser ses pieds sur le sol, il sourit à la belle Edessa qui s'agenouilla entre ses jambes avant de glisser sa grosse queue entre ses lèvres. L'agent Taylor soupira et laissa sa main se perdre dans la chevelure rose de la succube alors qu'il se tournait vers Mélinda, ou plutôt vers son sexe.

« Alors c'est avec ça que tu encules Bran... », murmura-il, grisé par le désir, avant d'empoigner la belle verge poisseuse pour la branler négligemment. Pour un homme, branler une queue était quelque chose d'assez naturel et Jack savait par expérience, quelle pression exercer sur le sexe pour le stimuler sans l'écraser. «  Cette fois-ci je veux que tu jouisses dans ma bouche, petite maîtresse, la dernière fois je n'ai pas eu l'occasion de goûter ton foutre. »

L'homme déposa un baiser sur le gland violacé qui surplombait la tige, avant de faire glisser autour de ce dernier, le suçotant bruyamment comme s'il s'agissait d'une grosse friandise, sans cesser d'astiquer le manche. L’avilissement qu'il y avait à se retrouver de l'autre côté d'une queue était grisant, et Jack ne put retenir un sourire alors qu'il crachait dans sa paume, pour mieux faire coulisser la queue dans sa main. Courbant l'échine, il enfonça le membre plus profondément au fond de sa gorge, se calant sur le rythme d'Edessa qui s'activait sur sa propre queue. Hors d'haleine, il s'interrompit un instant, et leva les yeux vers Mélinda, défiant l'esclavagiste de ses yeux vairons.

« Ça te plaît de te faire sucer par un homme, petite maîtresse ? »

Sans attendre de réponse – la question était rhétorique – Jack enfourna la verge entre ses lèvres, descendant sa main pour venir doucement masser ses bourses pleines.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 14 décembre 2015, 11:33:46
Mélinda avait un membre dressé, raide et tendu, impatient et excité. Elle était assise sur le lit, et toujours aussi impressionnée par la vigueur de Jack. Il était la preuve que les humains pouvaient parfois se montrer bien surprenants. En matière de sexe, le professeur était un véritable étalon, infatigable, avec une soif de sexe que rien ne semblait restreindre ou diminuer. Edessa goûtait joyeusement à son sexe, ses mains crispées sur les cuisses de l’homme, sa tête redressée pour pouvoir le sucer. Oui, elle était douée, et, comme toujours, goûter à un gros mandrin était, pour elle, quelque chose de délicieux et de magnifique. Oh, ça, elle ne s’en lassait clairement pas ! La Succube agissait donc sur ce sexe, ses ongles griffant les cuisses de Jack.

De son côté, la vampire, debout, offrait sa queue à Jack, et l’homme l’observa. Une femme avec une verge... C’était un spectacle curieux, observable au Brésil ou en Inde, mais qui, ici, au Japon, se justifiait avant tout par la magie. La puissante et incroyable magie, qui permettait de lutter contre la Nature et contre la logique. Un mélange de magie et de technologie tekhane permettant à Mélinda d’être une hermaphrodite. Son membre, tendu, se mit à la faire souffrir quand l’homme la caressa. Des frissons traversèrent en effet le corps de la vampire, qui soupira de plaisir.

« Haaa... !! »

Elle en gémissait de plaisir, et vit ensuite le corps de l’homme s’avancer vers elle. Une double fellation avait donc lieu, et Jack commença la sienne par une belle gorge profonde, qui fit soupirer Mélinda. Le beau Jack lui demanda ensuite si elle aimait se faire sucer par des hommes, ce qui ne put que la faire sourire. Cette dernière se contenta d’un sourire amusé.

« Ouiii... Hummm... Haaa, oui, c’est boonn... »

Très bon, oui ! Car, si les hommes aimaient bien se faire sucer, l’inverse n’était pas vrai. Peu d’hommes avaient envie de goûter à des queues, ou de se faire sodomiser... Mais Mélind,a elle, militait pour l’égalité des sexes, et sodomisait donc aussi bien les hommes que les femmes. C’était très excitant dans les deux cas, et, avec les hommes, il y avait une sorte de plaisir supplémentaire, difficilement explicable, mais que Mélinda soupçonnait être liée aux archétypes sexuels, faisant du mâle le sexe dominateur, et de la femelle le sexe inférieur.

Elle glissait donc avidement sa queue dans la bouche de l’homme, avec un plaisir évident, ses mains se crispant ensuite sur sa tête... Puis elle soupira en sentant la queue caudale d’Edessa venir caresser ses fesses.

« Hum... Haaa... Encore, haaaaannn... »

Avec son bassin, elle accompagnait un peu les mouvements de son amant. S’il voulait qu’elle jouisse dans sa bouche, ça ne la dérangeait pas du tout. Après tout, il aurait été dommage de gâcher sa précieuse semence en la répandant ailleurs que dans un corps. Elle continuait donc à remuer contre l’homme, encore et encore, en soupirant et en gémissant, et en se laissant doucement guider vers l’orgasme...
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 17 janvier 2016, 08:43:41
A la différence des travestis ou autres transsexuels avec lesquels l'agent Taylor avait couché, il n'y avait strictement aucun doute sur le fait que Mélinda appartienne au beau sexe... Pourtant elle arborait à présent une queue raide et joufflue encore poisseuse, qui embaumait la cyprine et la sueur. Branlant le membre tendu d'une main, Jack sentait le sang de la vampire palpiter contre sa paume tiède, alors que la petite maîtresse frissonnait. Jack sourit, puis se pencha à nouveau vers l'avant pour prendre la verge en bouche, suçotant bruyamment le gland en creusant les joues, s'interrompant un instants pour lécher sa hampe, avant de s’attarder sur son méat dilaté. Crachant sur les doigts de sa main libre, il envoya cette dernière palper le cul de la vampire, avant de glisser un, puis deux doigt en elle, qu'il remua lentement. Il ne savait pas si l'hermaphrodisme de la maîtresse de maison la dotait également d'une prostate, mais étant donné le plaisir qu'elle prenait à se faire sauvagement enculer, elle n'en avait probablement besoin pour jouir avec son cul.

« Tu es encore bien ouverte, petite maîtresse, ma grosse queue t'a bien démoli l'anus », releva-il, avec une certaine fierté, alors que ses doigts coulissaient sans difficulté entre les fesses bombées de Mélinda.

A son tour, l'homme soupira d'aise ; Edessa enfournait son énorme mandrin entre ses lèvres, passant ses ongles sur ses cuisses glabres et musclées. La belle connaissait son affaire et il avait l'impression que son gland était littéralement aspiré entre ses délicieuses lippes. Quant à Mélinda, elle était proche de l'orgasme ; la jeune femme avait glissé ses petits mains dans ses cheveux et donnait des coups de bassin désordonnés, qui envoyaient son phallus percuter le fond de la gorge du professeur, lequel constata une nouvelle fois que la force de la vampire était surprenante.

« Là, là », susurra-il lorsqu'elle lui laissa un instant de répit « gicle, petite maîtresse, donne-moi tout ton foutre, grosse chienne ! »

Les yeux rivés sur le visage de Mélinda, Jack la suçait avec avidité, écrasant sa verge entre ses doigts. Un instant il imagina ce que pourraient bien penser ses élèves s'ils le voyaient téter ce gros pénis, comme la dernière des catins, mais plutôt que de le gêner, la perspective l'amusa beaucoup. Il fallait dire que l'agent Taylor avait, outre ses nombreuses déviances dont l'instant présent était une parfaite démonstration, un penchant pour l'exhibitionnisme. Remuant son propre bassin de haut en bas, Jack se rendit compte qu'il n'allait lui même pas tarder à jouir pour la... cinquième ? Sixième fois ? Le pauvre homme avait perdu le compte. Et le pire était que la soirée ne faisait probablement que commencer.

« Nghh hmm...MHHH »

L'agent Taylor fut agité de nombreux soubresauts, alors qu'il envoyait de brutaux coup de reins, sans égard pour la petite bouche de la succube qu'il manquait étouffer. Il juta abondamment une énième fois, au même moment que Mélinda, qui déversa des flots de foutre chaud dans sa bouche entrouverte. Foudroyé par l’orgasme, le beau jack manqua de s’étouffer, mais mis un point d'honneur à avaler le plus possible de semence, même si une bonne partie de celle-ci s'échappait de ses lèvres pour glisser sur son menton et son torse musclé.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 17 janvier 2016, 23:58:54
Pour Mélinda, il était de plus en plus difficile de croire que Jack était un simple humain. Comment un simple humain, en effet, pourrait-il continuer à tenir la cadence après tant de séances de sexe ? Depuis le moment où Jack s’était réveillé dans la cave, saucissonné dans tous les sens, Mélinda avait, elle aussi, perdu le compte du nombre d’orgasmes. Elle ne voyait que deux explications : soit l’homme avait des pouvoirs magiques, soit il utilisait des drogues et des stimulants. En attendant, il continuait à sucer la queue de Mélinda, tout en se faisant, lui-même, sucer par Edessa... Et la Succube trouvait qu’il avait très bon goût. Étant une succube, Edessa avait en effet des goûts différents des autres femmes, ou, plutôt, ressentait des choses différentes. Chez elle, le sperme ou la cyprine n’avaient pas le même goût. Elle adorait ces fluides, elle pourrait presque en boire toute la journée. Et là, elle avait droit à une sacrée source. Jack était un amant fougueux, intense, et il s’amusait avec sa Maîtresse, la narguant...

« Haaaaannnn... Ouuuiii... Maudit humain, aaaaaahhhh... »

Des plaques rouges ornaient le corps de la vampire, qui soupirait et gémissait de plus en plus, tandis que sa poitrine se creusait au rythme de ses soupirs. Elle formait, en ce moment, un spectacle visuellement magnifique, et ses cris faisaient frissonner Edessa. Quoi de plus normal ? La succube avait toujours aimé entendre sa Maîtresse jouir, et elle sentit son orgasme venir, le foutre venant exploser contre les lèvres de Jack, tandis que la vampire soupirait longuement, tout son corps se tendant et se détendant sous le plaisir, et sous une série de vagues de plaisir, qui déferlaient en elle.

Mélinda soupira ensuite, en reprenant son calme, et sourit en voyant que son sperme s’échappait des lèvres de l’homme. Elle replia alors ses jambes, et posa ses mains sur le torse glabre et tendu de l’homme. Elle pouvait sentir la sueur de Jack, qui magnifia tses pectoraux, et appuya dessus, venant le repousser, amenant sa queue à sortir de la bouche d’Edessa. L’homme tomba ainsi sur le sol, et Mélinda entreprit de le nettoyer, en léchant son torse, avalant son sperme, remontant jusqu’à ses lèvres.

« Une Maîtresse doit savoir s’occuper au mieux de ses esclaves... »

Elle lui sourit ensuite, et termina en posant sa main sur son menton. Mélinda aimait les belles femmes, mais aussi les beaux mecs. Elle aimait presser ses doigts sur les corps musclés, sentir la dureté de la peau, et, pendant qu’elle l’avait léché, elle n’avait pas hésité à l’embrasser, et même à très légèrement le mordiller. Indubitablement, Jack était bien bâti, une montagne de muscles. De quoi contenter n’importe quelle fille, en réalité. Elle posa donc sa main sur son menton, et approcha sa bouche, venant l’embrasser tendrement, enfonçant sa langue entre ses lèvres, venant lécher ses parois, ses dents, recueillant quelques dépôts de sperme.

« Hmmmm... »

Et, pendant la durée de ce baiser, Edessa alla se pencher à son tour vers le corps couché du beau Jack, et retourna sucer son sexe, le léchant aussi, comme une sorte de grosse glace. Elle le tint à la base dans sa main, et le lécha, avant de s’attaquer à ses testicules, puis de retourner le gober, griffant ensuite sa peau. Oui, Edessa ne comptait pas laisser cette queue toute seule trop longtemps, car elle savait que les verges n’aimaient pas être à l’air libre. Elles étaient faites pour s’enfoncer et se perdre dans le corps d’une femme, et il n’y avait que là-dedans qu’elles pouvaient vraiment s’épanouir.

« Hmmmmm... »

Mélinda, tout en l’embrassant, avait redressé ses jambes, et son sexe masculin vint s’aplatir entre sa peau et celle de l’homme, tandis que ses fesses étaient proches du visage d’Edessa, la succube allant parfois les heurter en déplaçant sa tête.

Ainsi, Jack avait deux belles femmes continuant à s’occuper de lui...

Quel homme chanceux !
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 22 janvier 2016, 17:51:40
Bien des années plus tôt, Jack avait passé plusieurs mois dans un barrio de Veracruz, avec pour objectif l'infiltration d'un cartel qui exportait des centaines de kilos de cocaïne vers le sud des États-Unis. Son partenaire, un ancien trafiquant du cru retourné depuis des années par la CIA était un sexagénaire grisonnant au verbe rare, passionné d'occultisme. Javier estimait que l'extraordinaire vitalité sexuelle de Jack était l’œuvre d'un démon malicieux et qu'elle nécessitait un exorcisme. Le mexicain s'y était d'ailleurs essayé ; il avait fait se dénuder l'américain au milieu d'un cercle de sel et avait prononcé une litanie en latin pendant de longues minutes. Cependant, il s'était subitement interrompu et avait porté la main à sa gorge, les yeux révulsés, avant de s'écrouler sur le sol. Jack avait quitté sa position pour se précipiter à son secours, mais l'homme avait déjà repris ses esprits. Les jours suivants, Jack avait par tous les moyens – alcool, compliment, menace – essayé de soutirer des informations à Javier sur ce qui s'était passé cette nuit là, mais l'homme avait toujours obstinément refusé de lui répondre. Il avait été abattu d'une balle dans la tête dans sa voiture un moins plus tard par le cartel qui avait découvert qu'il s'agissait d'un agent double. Jack avait passé quelques mois à s'interroger sur les paroles de son partenaire – s'était-il moqué de lui?- mais avait finalement décidé que sa « malédiction » présentait plus d'avantages que d'inconvénients et ne s'en était plus réellement préoccupé... Mais les événements de ces douze dernières heures lui démontraient une nouvelle fois qu'il y avait quelque chose qui clochait chez lui.

« Haaa »

Jack soupira, les yeux dans le vague, les lèvres dégoulinantes de la semence tiède de sa maîtresse. Le foutre de Mélinda était aussi crémeux et épais que celui de Nasha. Alors que Mélinda le repoussait sans ménagement au sol, Jack songea qu'en l'espace de quelques heures, il avait avalé davantage de sperme qu'en plusieurs années et... Cela ne faisait probablement que commencer. Croisant le regard d'émeraude de la petite vampire, Jack sourit et se mordilla la lèvre inférieure lorsque l'indécrottable salope passa sa langue rose sur son torse brûlant, explorant ses muscles saillants de ses petites mains blanches. A la voir ainsi lovée contre lui, se repaissant de foutre, mordillant goulûment sa peau glabre, Jack constata une nouvelle fois à quel point Mélinda pouvait avait l'air fragile et ingénue... Ce qui donnait naturellement envie de la défoncer le plus brutalement possible. Alors qu'elle se penchait sur son visage, Jack attrapa son élève par les hanches, avant de lui pétrir à nouveau le cul et d'envoyer une belle claque le rougir.

« Viens là petite maîtresse », lui glissa-il, en écartant remplaçant l'une de ses boucles châtain derrière son oreille, avant qu'elle ne presse ses lèvres contre les siennes, et que leurs langues n'entame un ballet obscène et sonore, échangeant sperme et salive avec délectation. « Haa... »

Edessa n'avait pas perdu de temps ; constatant que le baiser qu'échangeaient l'agent Taylor et sa maîtresse redonnaient de la vigueur à sa grosse queue, la belle promena sa langue sur sa hampe, la débarrassant des derniers dépôts qui la maculait, puis titilla ses couilles avant de l'enfourner, arrachant un gémissement étouffé au professeur. Celui-ci sentait la queue de Mélinda enfler entre leurs deux corps tièdes. Naturellement en tant que vampire, il eût été surprenant que son érection s’interrompe davantage que quelques secondes. Soudain l'homme eût une idée qui, il en était sûr, allait ravir la petite vampire. Rompant à regret leur baiser, il repoussa à son tour Mélinda avant de se redresser, ce qui força Edessa à lâcher sa queue bandée. Ainsi Mélinda lui faisait face, ses petites fesses rebondies posées sur les cuisses musclées du bel américain, sa queue joufflue faisant face à celle, presque monstrueuse de ce dernier.

« Je vais te faire juter encore, ma puce. Ensuite, nous allons nous occuper de ton grand frère, si cela te conviens. »

Depuis qu'il avait sauvagement enculé Edessa, Bran s'était à nouveau éloigné dans la pénombre... Et Jack avait bien l'intention de glisser son chibre dans le postérieur musclé du beau vampire. En attendant... Attirant Mélinda vers lui jusqu'à que leurs deux bites s'écrasent l'une contre l'autre, Jack les enserra toutes deux d'une poigne douce mais ferme, et commença à les branler simultanément avec une lenteur inouïe, prenant le temps de décalotter entièrement leurs deux prépuces. La salive et les restes de foutre permettaient aux deux verges de glisser l'une contre l'autre avec un bruit mouillé des plus obscènes.

« Hmm... Ça ne te plaît, pas vrai ? Que nos grosses queues se frottent l'une contre l'autre, comme ça... »

Branler simultanément sa queue et celle de son ou sa partenaire en les écrasant l'une contre l'autre était l'une des pratiques de l'agent Taylor trouvait les plus excitantes, tant elle était intime et taboue. Soupirant bruyamment, ses yeux vairons plongés dans les iris émeraudes de son amante, Jack sentait des ondes de plaisir irrépressibles envahir son corps tendu, à mesure qu'il branlait leurs queues de plus en plus en plus vigoureusement. Voyant Edesssa désœuvrée, il fit la moue ; la pauvrette devait détester être mise à l'écart lorsqu'on s'accouplait devant ses yeux. Désignant Bran du menton, Jack lui sourit.

« Je pense que Bran se sent un peu seul, lui aussi... Pourquoi ne pas préparer un peu sa queue... Et son cul ? » 
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 23 janvier 2016, 12:43:33
C’était du sexe surnaturel, sous bien des aspects… Le genre de relation qui finissait toujours par arriver quand on couchait avec Mélinda Warren, la preuve, s’il en fallait encore une, que Mishima avait ce pouvoir, très particulier, de regrouper les cas les plus exceptionnels du monde. Était-ce, cependant, si surprenant que ça ? Mélinda savait que, malgré le caractère public du lycée, il avait été financé il y a des années par les plus puissantes familles de Seikusu. Elle ne savait pas comment les choses marchaient au niveau du conseil d’administration du lycée, mais elle savait que Mishima n’avait clairement pas le budget d’un simple lycée, car, outre le financement public, le lycée était en grande partie financé par toute une série de fonds privés. Elle était même convaincue que tout ce qui se passait à l’intérieur était prévu, et que, dès le début, Mishima avait été pensé pour être, officiellement un lycée, mais, officieusement, pour être un temple dédié au sexe, sous quasiment toutes ses formes. Jack, lui, était l’illustration de ce lycée si particulier… Tout comme Mélinda. La relation « prof/élève » était de loin très différente de ce à quoi on pouvait s’attendre dans un autre établissement.

Deux femmes s’occupaient donc de lui, et Edessa se félicitait de la raideur de sa queue, tandis que Mélinda, elle, frissonnait au contact des mains fermes et solides de l’homme sur son postérieur. Il lui malaxait le cul, et elle, en retour, caressait et griffait ses épaules. La vampire soupirait en se mordillant les lèvres, ressentant, elle aussi, le contact de la queue de Jack contre la sienne. Un contact… Étrangement attirant. Leurs deux queues se caressaient et se frottaient. Ceci avait pour effet de mettre encore Edessa sur la touche, et la succube s’était redressée, en hésitant. Elle aimait sucer des queues… Mais Edessa, plus que le contact d’une queue, aimait par-dessus tout sa Maîtresse…

« Hmmm… »

Mélinda sourit en voyant que Jack se livrait à une tentative, en tentant de masturber leurs deux queues… Et, tout en s’évertuant à une sorte de double branlette, il jetait quelques œillades vers Bran, en cherchant à encourager Edessa à aller le sucer. Il est vrai qu’Edessa couchait régulièrement avec Bran, et qu’elle l’aimait beaucoup. Il était beau, bien membré, avait une queue magnifique, un torse glabre, musclé… Elle aimait se faire prendre par lui contre le mur. Bran la prenait comme s’il voulait violer quelqu’un, en la baisant sauvagement, ses muscles s’aplatissant contre son corps, la faisant hurler et couiner.

Mais là, Edessa avait une autre idée en tête, en souriant légèrement… Puis la main de Mélinda alla se saisir du sexe de l’homme, et elle le serra.

« Masturbe-moi, et je te masturberai… Ça me semble… Mieux… »

Elle sourit à l’homme, et commença à glisser ses doigts le long de son membre, en se décalant un peu, pour pouvoir mieux le saisir. Mais, alors qu’elle commençait à bien le prendre en main, deux mains fermes s’abattirent sur ses fesses, et elle sursauta, avant de sentir une verge s’enfoncer dans son cul.

« Haaaaa… !!
 -  Mmmhmmm… ! »

Edessa avait finalement choisi quoi faire… Et elle s’enfonça dans le cul de sa Maîtresse, amenant cette dernière s’aplatir contre Jack en soupirant.

« Hmmm… E-Edessa…
 -  Ooohhh, Maîtresse, hmmm… Vous… Haaaa… Je vois votre cul se dandiner depuis… Depuis longtemps, haa.. ! T-Trop longtemps ! »

La Succube se mordilla les lèvres, et donna des coups de reins, soulevant ensuite le bassin de Mélinda pour pouvoir mieux prendre sa Maîtresse. Sodomiser la vampire, pour Edessa, c’était toujours… Particulièrement jouissif !

Et Bran, lui, allait visiblement encore devoir attendre un peu…
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le lundi 25 janvier 2016, 18:09:33
La fébrilité de Mélinda était palpable. S’il l’avait senti se trémousser sur ses cuisses quand il lui malaxait sans ménagement le cul, y laissant l’empreinte de ses doigts, son excitation monta d’un cran lorsque sa bite s’écrasa contre la sienne. Attentif au moindre de ses soupirs, l’homme soupirait longuement, en masturbant simultanément leurs deux queues bandées l’une contre l’autre. Cependant la petite vampire interrompit l’obscène ballet de leurs verges pour s’emparer de la sienne, qu’elle serra dans sa petite paume tiède.

« Hm… Ouais, serra-la bien fort, fais-moi mal », lui intima-il, pantelant.

A son tour, il ’emparait du sexe de la vampire pour la branler doucement. Pour la taille de Mélinda, la queue dont elle s’était dotée était énorme, et Jack se mordit la lèvre inférieure alors qu’il en appréciait l’épaisseur et la tiédeur, sentant le renflement de sa hampe gorgée d’envie contre sa paume. Tôt ou tard, il aurait l’occasion de la sentir dans son cul… Du moins l’espérait-il. Il y avait une certaine tendresse dans la masturbation réciproque à laquelle se livraient Jack et Mélinda et l’homme se pencha en avant pour déposer un baiser mouillé sur ses lèvres incarnates, en la regardant dans les yeux. A ce moment Jack compris qu’il serait dorénavant parfaitement dévoué à Mélinda. Il n’y avait qu’avec elle qu’il pouvait assouvir son inextinguible appétit sexuel. Rompant cet instant d’éternité, Edessa agrippa les hanches de sa maîtresse et la sodomisa sans sommation.

« Qu’est-ce que… »

Le harem de Mélinda avait beau comporter des individus – et des créatures – très différents, il y avait une constante que Jack avait eu l’occasion de relever, depuis qu’il était arrivé au manoir : tout le monde disposait d’une grosse queue juteuse, qu’il s’agisse d’un attribut « originel », ou que la personne soit capable de s’en doter par magie. Visiblement, Edessa ne faisait pas exception à la règle ; de l’endroit où Jack avait juté quelques instants plus tôt émergeait à présent une queue qui, à en croire les soupirs de Mélinda, était bien grosse. Sitôt remis de sa surprise, Jack saisit Mélinda par les hanches, pour accentuer la puissance de la pénétration qu’elle subissait en la repoussant brutalement contre les bourses de la succube, chaque fois que celle-ci s’écrasait contre son postérieur laiteux.

« Encule-la, Edessa », souffla-il à l’intéressé en la regardant dans les yeux. « Défonce le cul de cette grosse pute. Elle ne mérite que ça. Notre maîtresse adore servir de réservoir à foutre, pas vrai Mélinda ? »

L’intéressée avait, de surprise, lâché son vit, mais leurs deux queues se frottaient à nouveau l’une contre l’autre, alors que les tétins de menue poitrine de la maîtresse de maison frottaient contre ses pectoraux saillants. Le contact était très agréable, mais probablement pas suffisant pour amener la lycéenne à jouir. Aussi Jack saisit-il une nouvelle fois sa verge érigée pour la masturber vigoureusement. Pour Mélinda, la situation devait être intenable ; copieusement enculée, branlée et insultée, elle devait être au septième siège.

« Jouis, ma puce, gicle-moi dessus comme une bonne chienne », lui glissa-il à l’oreille, d’une voix doucereuse, avant de caresser ses jolies boucles châtaines. Oh, comme il avait hâte que sa maîtresse l’éclabousse de son foutre brûlant ! Pour l’heure, il en avait presque oublié Bran.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 28 janvier 2016, 13:52:04
Le Futanari était une spécialité locale de Mishima, où il était fréquent de tomber sur des profs dotés de cet attribut, de même que les élèves. Mélinda, elle, ne faisait donc guère exception, si ce n’est que sa verge, elle l’avait eu à Ashnard, tout comme Edessa. Edessa, qui n’avait pas vraiment besoin de l’avis de Jack, mais qui sourit quand même, en enfonçant sa queue dans l’étroit petit cul de sa Maîtresse. Mélinda avait été transformée en vampire alors qu’elle était adolescente, et son corps était resté figé ainsi, ce qui expliquait pourquoi, même après des siècles de sodomie, son cul redevenait toujours très serré... Un heureux hasard, car Mélinda aimait bien quand une sodomie était brutale. De fait, pour elle, l’intérêt d’une sodomie, c’était surtout la brutalité du moment. Et Edessa se mit à lui claquer les fesses, en soupirant longuement.

« Ooooh ouuuiii, Maîtresse, hmmm... !! »

Sodomiser Mélinda, c’était toujours agréable, encore plus quand cette dernière avait un agréable coussin. Musclé et bien bâti, Jack accueillait le corps de la vampire, qui enfonçait ses muscles dans son torse, en éprouvant la solidité et la dureté. Elle grognait, gémissait, soupirait, son corps remuant d’avant en arrière, sa peau se frottant à celle de l’homme. Leurs corps à l’unisson, les mouvements de Mélinda étaient rythmés et cadencés par ceux d’Edessa, et elle pouvait entendre Jack l’encourager à jouir, à se vider sur lui.

Cet homme était décidément un diable de pervers ! Mélinda se mit à gémir, soupirant, avant d’embrasser sa peau, la mordillant même, grognant et soupirant, continuant à gémir et à se tortiller sur place. En soupirant longuement.

« Hooo... Haaaaa... »

Gémissant, encore et encore, Mélinda alla embrasser l’homme, déposant un tendre baiser sur ses lèvres, mordillant même sa bouche, avant de continuer à onduler sur lui. Le plaisir était en train d’éclater, d’atteindre des moments ultimes...

...Puis elle suivit le désir de Jack, et sa queue se mit à expulser du foutre, le corps de Mélinda se soulevant et s’abaissant, tapant et claquant contre celui de Jack. Elle vida son foutre sur le corps de Taylor-senseï, s’abandonnant joyeusement sur lui, puis son ventre alla s’aplatir sur le sien, se maculant de sperme.

Une situation très vulgaire.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le jeudi 04 février 2016, 17:40:26
Tout comme Mélinda pouvait se montrer douce et câline un instant après avoir été tyrannique, Edessa qui couinait comme une chienne bien soumise, lorsque les queues de Bran et de Jack l'écartelaient, pilonnait à présent l'anus de sa maîtresse avec hargne, faisant valser le petit corps gracile de Mélinda d'avant en arrière. Dans le manoir de Mélinda, être dominé ou dominant n'était qu'un état temporaire et parfaitement réversible. Qui aurait pu croire, en découvrant cette scène scandaleuse, que la frêle adolescente qu'on enculait  était la maîtresse des lieux ? Jack sourit, alors qu'il mordillait doucement le lobe de l'oreille gauche de Mélinda, astiquant vigoureusement sa belle verge ; Mélinda n'avait pas besoin d’asservir ses esclaves par la force, lui défoncer le cul était bien trop divin pour que n'importe quel mâle – ou futanari- ne puisse s'en passer.

« Hmm... »

Mélinda était fébrile. Secouée par la brutale sodomie qu'elle subissait, elle s’oubliait contre le torse musclé de Jack, promenant ses petites lèvres sucrées sur sa peau tiède, alors que sa queue juteuse palpitait tout contre sa paume tiède. Finalement, au faîte du plaisir, elle l'embrasa doucement, avant de se raidir ; son gros pénis gonfla avant de gicler abondement contre le torse de Jack, maculant ses abdominaux d'une semence chaude et épaisse.

« C'est bien Mélinda, donne-moi tout ce que tu as, ma belle chienne... »

Sans pitié, l'homme continuait à traire la verge, l'écrasant entre ses doigts maculés de foutre pour en extraire tout le liquide, un odieux sourire peint sur ses lèvres entrouvertes. Lorsque ce fut enfin terminé – et il fallait avouer que Mélinda avait des réserves de foutre tout à fait impressionnantes – le corps de la petite vampire s'écrasa sur le sien, se lovant littéralement dans son propre sperme. Sa queue, légèrement débandée frottait contre le colossal pénis de Jack, qui avait repris toute sa vigueur. Attirant l'adolescente à lui, l'homme passa ses longs doigts dans ses cheveux châtains de sa petite maîtresse, envoyant une bonne tape sur son postérieur rebondi. En effet, Edessa quant à elle, n'avait pas encore joui, et remuait en elle avec férocité. Après avoir joui avec son pénis, Mélinda risquait fort de jouir une nouvelle fois avec son cul.

Lorsque ce serait terminé, il allait de soi que Jack allait devoir s'occuper de sa propre érection. Et autant dire que l'homme était impatient de se servir à nouveau de sa verge.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 08 février 2016, 19:01:34
Qui aurait cru qu’un si petit corps puisse montrer aussi énergique – et aussi juteux ? Quand Edessa la sodomisa à tel point que Mélinda n’eut pas d’autres options que de jouir, elle s’abandonna joyeusement contre le torse de l’homme, et se répandit contre le torse de l’homme, Jack en profitant pour accroître sa masturbation. Sa main avait une prise sur son sexe, et Mélinda se dandinait entre ses deux amants, allant mordre le torse de l’homme tout en le griffant, au fur et à mesure que, au gré de ses gémissements et soupirs, son corps expulsait des filaments de foutre, aspergeant le corps chaud et en sueur de son amant. L’Américain se reçut ainsi une très belle quantité de sperme sur le corps, mais Edessa, elle, n’en avait pas encore fini. Dieu, elle couchait avec sa Maîtresse ! Autant dire qu’elle ne comptait pas faire ça rapidement, car, après tout, qui y avait-il de plus gratifiant, au monde, que de s’envoyer en l’air avec sa Maîtresse ? Par conséquent, la femme multipliait joyeusement les coups de reins, tandis que Jack claquait le cul de Mélinda, qui grognait et soupirait, en baignant dans son sperme, le claquement de sa chair contre celle de Jack produisant toute une série de bruits spongieux et auditifs, peu agréables au demeurant.

Mélinda soupirait encore, sa tête appuyée contre le torse de l’homme, avant que, finalement, Edessa ne jouisse en elle, dans de généreux soupirs, et dans des quantités tout autant généreuses.

« Haaaa... !! »

Ceux qui disaient que le sexe était quelque chose de beau et de sensuel n’avaient jamais vu la scène qui était en train de se dessiner ici. Le foutre coulait le long des côtes de Jack, et s’échappait également du cul de Mélinda, qui ne pouvait que faiblement soupirer, en reprenant lentement son souffle. Elle clignait des yeux à plusieurs reprises, tandis qu’une terrible odeur de foutre et de sueur remplissait la pièce.

Puis, la femme finit par soupirer, en se redressant légèrement, s’appuyant sur ses mains, elles-mêmes posées sur le torse de l’homme.

« Dieu, vous allez me tuer... »

Elle soupira encore, puis se mit à califourchon sur le torse de Jack. Mélinda remarqua alors que sa propre salive avait coulé le long de ses seins, ainsi que sur le torse de l’homme. Elle respirait profondément et lourdement, et se retourna vers Edessa, tandis que du foutre continuait à glisser le long de son cul, la faisant frissonner.

« Tu as bien juté, Edessa...
 -  C’est que votre cul est divin, Maîtresse... »

Mélinda se mit à sourire lentement, puis regarda Jack. Le sexe de l’homme frottait ses fesses, et recueillait un peu du foutre d’Edessa, qui glissait dessus.

« Oh, tu as encore des réserves, Jack...  Je crois que tu vas mettre plusieurs jours à pouvoir marcher, par la suite... »

Oh, ça, ça ne faisait quasiment aucun doute, en réalité !
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le jeudi 03 mars 2016, 11:53:33
La sauvagerie des ébats auxquels se livraient le trio – Bran s’étant retiré une nouvelle fois dans un coin de la pièce – était incroyable. Le regard vitreux, Jack était suspendu aux lèvres de la petite vampire, attentif au moindre de ses râles et de ses soupirs. S’il trouvait qu’elle ne couinait pas assez, il raffermissait la prise de ses doigts autour de sa grosse queue, jusqu’à lui faire mal. Car il le savait, Mélinda puisait une bonne partie de son plaisir dans la douleur. Oh, comme il avait hâte qu’elle explose, qu’elle gicle son foutre chaud sur son corps brûlant ! De sa main libre, l’homme n’hésita pas à lui tirer les cheveux en arrière, pour voir son visage se déformer au moment de l’orgasme.

« Regarde-moi, petite maîtresse », murmura-il, alors que le corps gracile et diaphane de Mélinda s’écrasait contre son torse, sous les coups de butoirs d’Edessa.

Soudain, sa belle verge dressée vibra, et des jets de semence s’échappèrent de son méat pour s’écraser sur le torse musculeux de Jack, qui tressaillit d’excitation. Pour autant, l’homme n’interrompit pas sa masturbation, bien au contraire, il l’accéléra, la faisant juter de plus belles, écrasant ce sexe brûlant entre ses doigts puissants. Il trayait littéralement cette belle queue, bien décidé à la vider entièrement. De son côté, la succube n’en avait pas fini avec l’anus de sa maîtresse, qu’elle continuait de maltraiter sans répit. Enfin, elle se vida longuement en elle, et décula doucement, alors que Mélinda s’écroulait sur lui, se vautrant allégrement dans son propre foutre tiède et collant. Jack laissa sa main dériver sur le petit cul détruit de la jeune femme ; le sperme d’Edessa s’échappait de son anus béant pour couler le long de ses cuisses fuselées. Les mots qui s’échappèrent des lèvres de la vampire le firent sourire et il déposa un baiser sur la chevelure dorée de son amante. L’épuiser elle ? Quelle vilaine menteuse.

« Je suis certain que tu pourrais baiser des jours durant. »

Contrairement à lui… Quoique. Mélinda n’avait pas tort : sa propre queue avait retrouvé toute sa superbe. S’occuper de Mélinda l’avait terriblement excité et il s’empressa de glisser son vit dans le sillon des petites fesses de Mélinda, se masturbant doucement entre elles, sans toutefois la pénétrer ; Mélinda avait besoin d’un peu de repos. Quant à lui

« Il me tarde de vous montrer l’étendue de ma résistance physique maîtresse. Je suis certain de pouvoir jouir encore une bonne demi-douzaine de fois, au bas mot. »

Il fanfaronnait naturellement. La tête lui tournait un peu, et il doutait de tenir davantage qu’un orgasme ou deux… Mais l’envie de plaire à Mélinda le poussait à vouloir réaliser l’impossible… De même que son propre orgueil ; alors que l’agent Jack Taylor avait l’habitude d’épuiser ses partenaires sexuels, il se trouvait pour la première fois face à des amants aussi – voire bien plus – endurants que lui. Lorsque tout cela serait terminé – si cela se terminait un jour – il implorerait Mélinda sur les secrets de son endurance. Pouvoir baiser des jours durant lui semblait être la chose la plus merveilleuse au monde, et il était prêt à tout pour y parvenir.

« Je suis à ton service, petite maîtresse », s’amusa-il, en caressant ses bourses gonflées. « Ma queue ira là où tu le décidera. Mais de préférence dans un cul bien étroit », ajouta-il, avec un sourire carnassier. L’homme ne doutait pas que Mélinda saurait arranger une nouvelle orgie, dont elle seule avait le secret. Depuis bien des années, les pénétrations vaginales constituaient des préliminaires pour l’agent Taylor, qui prenait un plaisir bien plus prononcé à enfoncer son chibre dans l’anus de ses partenaires.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 03 mars 2016, 18:26:49
Peut-être que, dans le passé, Jack avait eu des démons dans sa ligne généalogique. Pour Mélinda, c’était le meilleur moyen d’expliquer son endurance sexuelle exceptionnelle, car, tandis qu’elle se reposait contre son torse, elle sentit la queue de l’homme se redresser, venant caresser ses fesses. Un fin sourire éclaira les lèvres de la vampire, qui finit par se redresser, en s’appuyant sur le torse de l’homme. Elle se mit donc à califourchon sur lui, avec un torse marqué, ici et là, d’empreintes et de traces blanches. Edessa, de son côté, s’était mise sur le côté, en souriant légèrement. Couché sur le lit, Jack lui avouait avoir encore envie de butiner des culs. La vampire se mit à sourire, et, de la main, alla caresser les lèvres de l’homme, glissant dessus.

« Et bien... Je suis sûre que nous pourrons te trouver plein de jolis culs à explorer, mon beau... »

Jack était maintenant son esclave, ce qui, aux yeux de Mélinda, ne faisait aucun doute. Il était vaincu, vaincu par le sexe et par la possibilité de mener des orgies sans faim. Mélinda resta encore sur lui, savourant ce corps musclé et bien bâti, voyant, ici et là, ses traces de griffe. Elle tapota ensuite le torse de l’homme avec un doigt, une moue pensive sur les lèvres, puis un fin sourire vint ensuite l’éclairer.

« Ah... Je crois qu’il est temps que tu rencontres d’autres personnes... »

Elle lui sourit encore, visiblement amusée par ce qui allait suivre...



Aimi & Hanayo (http://img110.xooimage.com/files/2/a/c/028-4ea26f8.jpg) nageaient ensemble dans la piscine intérieure du manoir. Située au rez-de-chaussée, au bout de l’aile occidentale, c’était une belle piscine, avec des néons éclairant le bassin. La piscine comprenait aussi, dans une autre pièce, un jacuzzi, ainsi qu’un sauna, mais ce n’était pas ça qui intéressait les deux sportives. Aimi était la plus grande des deux, et était membre du club de natation de Mishima. Elle avait même participé à plusieurs compétitions locales, et avait fait partie de l’équipe représentant officiellement Seikusu lors d’un concours national. Elle était belle, intelligente, assez populaire, et très protectrice envers Hanayoo.

Les deux avaient grandi ensemble, dans une composition familiale classique. Leur père était un homme d’affaires international, travaillant pour Sony, et qui, à ce titre, passait plus de temps en Europe et aux États-Unis qu’au Japon. Leur mère, elle, considérait les études comme une étape indispensable, fondamentale, à ne surtout pas négliger. Ce faisant, Aimi avait, dès qu’elle avait quitté la maternelle, rejoint des cours spécialisés, afin de se préparer aux examens universitaires. En soi, sachant que le Japon comporte des centaines d’universités (dont un grand nombre à titre privé), rejoindre une université n’était pas difficile. La difficulté, en revanche, c’était de rejoindre les plus prestigieuses, notamment les neuf anciennes universités impériales, qui faisaient partie des plus prestigieuses universités nippones. C’était là que leur mère voulait les envoyer, afin qu’Aimi et Hanayo aient un bon avenir, et, surtout, une bonne position sociale. Aimi avait donc, dès six ans, commencé à se préparer, suivant, après les cours publics, des cours privés. Même ses vacances n’étaient que l’occasion de faire des cours supplémentaires, et le rythme s’était encore accentué au lycée, dans l’esprit compétitif si propre à l’archipel.

En réalité, Aimi aurait craqué, car même la natation, son plaisir, devait être un sport. Quand elle avait raté à la compétition nationale, sa mère avait été profondément déçue. Oh, elle n’avait jamais battu sa fille, mais, au Japon, l’honneur était un sabre mortel. Aimi aurait pu faire un nervous breakdown, un phénomène de société au Japon, si elle n’avait pas rencontré Mélinda. Elle avait réussi à faire croire à sa mère qu’elle travaillait chez Mélinda avec Hanayo, ce qui lui permettait d’y passer l’essentiel du temps.

Ce que sa mère ignorait, c’est qu’Hanayo avait un secret. Hanayo n’était pas le nom figurant sur l’acte d’état civil de la personne, car Hanayo, s’il était né de sexe masculin, avait toujours aimé se considérer comme une fille, en grande partie à cause d’Aimi. Aimi adorait, quand elle était jeune, l’habiller comme une fille, et Hanayo avait conservé cette habitude. Il avait une silhouette androgyne, une voix extrêmement douce, et, au harem, tout le monde le considérait comme une fille.

« Allez, Hanayo ! Nage mieux que ça !
 -  Je… Je fais ce que je peux !!
 -  Et bien, ça n’est pas assez ! »

Reprenant son souffle, Hanayo continuait à nager, devant nager sous l’eau le plus longtemps et le plus loin possible. On pouvait néanmoins comprendre que la tâche soit difficile, car il avait un vibromasseur niché dans les fesses, retenu par la swimsuit bleue qu’il portait, tout comme Aimi.

Hanayo était encore vierge. Il portait généralement une cage de chasteté sur son sexe, mais, pour ce qui était de ses fesses… La moitié des filles du manoir, au moins, avaient dû le sodomiser, et Aimi le sodomisait deux fois par jour, au minimum : une fois le matin, une fois le soir. Comme beaucoup d’autres esclaves de Mélinda, Hanayo adorait la sodomie, mais sa queue n’avait encore eu la chance de s’enfoncer nulle part. Aimi se contentait de le masturber, car il n’avait pas le droit de le faire. Ainsi, si Aimi était la soumise de Mélinda, Hanayo était indéniablement une soumise, elle aussi.

Aimi continuait à la regarder nager, jusqu’à soupirer, et par s’asseoir sur le rebord de la piscine, ses jambes filant dans l’eau.

« Assez, Hanayo ! Ça devient ridicule !
 -  Dé… Désolée, grande sœur… »

Les joues d’Hanayo étaient toutes rouges, tandis qu’elle haletait profondément, et un soupir las s’échappa des lèvres de sa grande sœur, qui lui désigna ensuite, du doigt, ses cuisses.

« Lèche, petite chienne ! »

Le visage d’Hanayo s’illumina, et la jeune femme s’approcha, venant lécher ce sexe recouvert par la combinaison trempée de sa sœur.

Pendant ce temps, la porte de la piscine s’ouvrit sur Mélinda, ainsi que sur Jack.

« Voilà… Deux élèves du lycée. Je ne sais pas si tu les as comme élèves, mais je suis sûre que tu adoreras défoncer leurs petits culs, Jack… »

Il fallait bien que son nouvel « esclave » se familiarise avec ses camarades. Ils étaient peut-être professeur et élèves en-dehors de ces murs, mais, ici, au sein du manoir, c’était une toute autre société qui s’organisait.

Une où il y avait la Maîtresse, et les esclaves.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 04 mars 2016, 18:08:16
Mélinda n’était pas n’importe quelle maîtresse ; elle était de celles qui se souciaient autant du plaisir de ses esclaves, que du sien propre. Rien que pour cela, elle méritait l’entière gratitude du professeur, qui sourit lorsqu’elle lui effleura les lèvres de ses lèvres. A l’obscénité des ébats auxquels le trio venait de se livrer, succédait un étrange instant d’éternité et de complétude. Jack se sentait compris, et apprécié pour ce qu’il était : un pervers de la pire espèce.

« Décidément tu es pleine de surprises, petite maîtresse », grogna-il, en caressant tranquillement les cuisses de la petite vampire.  Vraisemblablement, la suite aurait lieu ailleurs.

Quelques minutes plus tard, il pénétrait dans la piscine du manoir, sur les talons de Mélinda. L’homme avait eu le temps de se doucher, et insisté pour se rhabiller avant d’être présenté à ses nouveaux partenaires de jeu. Cependant, il s’était limité au strict minimum ; un boxer propre qui moulait allègrement son phallus qui, bien que débandé, restait bien long et épais, ainsi qu’une chemise blanche dont il avait retroussé les manches et qu’il portait largement ouverte sur son torse glabre et musculeux. Ses cheveux encore humides, n’en étaient pas plus disciplinés pour autant mais malgré cela, Jack avait fière allure, comme d’accoutumée. En voyant Hanayo barboter maladroitement dans l’eau, Jack ne put s’empêcher de sourire. Lui-même n’avait jamais été un excellent nageur. Jack ne connaissais pas Hanayo, mais Aimi était effectivement l’une de ses élèves. Ses résultats étaient excellents et elle participait beaucoup en classe, avec un grand sourire poli… Autrement dit en public, la petite n’avait rien à voir avec la chipie qu’elle semblait être dans le domaine privé. Comme pour la plupart de ses autres camarades, Jack l’avait longuement reluqué, et l’aurais bien gardée après les cours pour faire plus ample connaissance, mais ses parents ne semblaient pas être le genre d’individus à se mettre à dos… Cependant, alors qu’il butinait l’arrière-train d’une surveillante à la nuit tombé, l’adolescente était revenue pour « chercher ses affaires » dans la salle de classe et le regard qu’elle avait lorsqu’elle les avait surpris en pleine fornication n’avait rien d’enfantin. Il avait craint pendant plusieurs jours qu’elle lui fasse du chantage, mais curieusement elle avait gardé le silence. La nature de ses activités extrascolaire éclairait assez bien ce comportement.

« Elles sont sœurs ? », hasarda-il, alors qu’un grand sourire s’épanouissait sur ses lèvres charnues.

De loin, Jack n’avait pas encore remarqué la supercherie. Cependant, Aimi s’était assise sur le rebord de la piscine, et avait écarté les cuisses, intimant à sa cadette de venir lécher sa vulve, à travers le tissu de sa combinaison de natation. Le sourire de Jack s’élargit, alors que le sang affluait doucement, mais inexorablement vers sa verge. L’homme accéléra imperceptiblement le pas, pour se placer derrière Aimi, qui lui tournait encore le dos. Le clapotis de l’eau avait couvert le bruit des pas de Jack et de sa maîtresse et les deux sœurs ne les avaient pas entendus arriver.

« Bonsoir Aimi, je constate que tu préfères t’amuser avec ta sœur, plutôt que de faire tes devoirs... », lança-il goguenard, avant de s’asseoir à côté de sa jeune élève, plongeant ses jambes dans l’eau jusqu’aux genoux. Entourant les épaules de l’aînée de son bras musculeux, le professeur déposa un chaste baiser dans la brune chevelure de son élève… Mais son autre main s’égarait déjà sur sa cuisse nue. « Maîtresse Mélinda tenait absolument à ce que nous soyons présentés… Ou plutôt, re-présentés. Qu’en penses-tu, Aimi ? »

A ces mots, Jack se retourna vers Mélinda, le sourire aux lèvres, attendant son autorisation implicite avant d’aller plus loin. Sa verge avait largement enflé, et l’homme rajusta sa position pour que son sexe ne soit pas trop compressé par le tissu, qui lui irritait la hampe. Saisissant le poignet d’Aimi, il déposa sa petite main pâle sur son boxer.

« J’aimerais bien me faire lécher, moi aussi. Et sucer. », Déclara-il, amusé.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 09 mars 2016, 22:40:04
Au sein du manoir, avoir un doute sur le sexe des gens était légitime. L’hermaphrodisme, marginal sur Terre, était, sur Terra, bien plus présent. La technologie tekhane, et, plus généralement, la magie terrane, avaient contribué à développer un cas qui, dans ce monde, était rarissime : l’hermaphrodisme vrai, terme désignant un fait rare d’individu présentant des tissus ovariens et testiculaires. Les scientifiques tekhanes s’étaient inspirées de ces rares cas pour développer l’hermaphrodisme au sein de leur société, ce qui les amenait à devoir lutter avec un problème redoutable ; généralement, les hermaphrodites « vrais » étaient inféconds, et l’infécondité entraînait à Tekhos des problèmes de natalité. Mais, tout ça, en l’état, était bien accessoire. Ce que Mélinda savait, c’est qu’on pouvait toujours avoir un doute sur le sexe d’une personne, et Hanayo illustrait bien cela. Même s’il venait de Terre, le jeune homme avait toujours été davantage une « femme » qu’un homme. Timide et chétif, il n’avait rien de viril, et Aimi aimait l’habiller avec ses propres vêtements.

En somme, la question de Jack sur leur relation familiale ne put que faire sourire Mélinda, qui haussa légèrement les épaules :

« En quelque sorte, oui… »

Elle respectait le choix d’Hanayo d’être considéré comme une fille, et, au sein du manoir, Hanayo  était donc une fille. Jack, lui, s’était légèrement rhabillé. Une douche ne lui avait pas fait de mal, même s’il n’avait pas pris le temps de bien se nettoyer. La douche avait juste servi à retirer de son corps tous les résidus de foutre, et Mélinda en avait aussi pris une, mais dans une autre douche… Autrement, les deux auraient très certainement copulé à nouveau, et, même si ça n’aurait pas dérangé la vampire, elle avait eu aussi envie de lui présenter deux autres esclaves, pendant leur séance d’entraînement nocturne à la piscine couverte.

Le duo se déplaça lentement. Aimi adorait jouer avec Hanayo, et, en la matière, il fallait bien reconnaître que sa petite sœur était très soumise. Le plus grand plaisir d’Aimi, visiblement hérité de l’enfance, était de l’enfermer dans un placard, avec un bâillon autour de la bouche, et de la forcer à voir sa sœur se faire l’amour. Il y avait un brin de cruauté dans cette relation, mais Mélinda savait qu’elle était librement tolérée, Hanayo ayant en lui le fond de masochisme nécessaire à une relation de ce type.  Et Aimi, même si elle était dure avec Hanayo, était aussi très protectrice envers elle.

C’est ce qu’on appelle l’amour vache.

Jack, de son côté, ne tarda pas à se faire plaisir, et, quand il se manifesta devant Aimi, celle-ci poussa un petit cri de surprise.

« Senseï ? »

En soi, être surprise en plein élan au sein du manoir était une chose normale, car il était rempli, mais Aimi n’aurait pas pensé y voir Taylor-senseï… Même si sa surprise était moins forte que ce à quoi on aurait pu s’attendre. Aimi savait en effet que Maîtresse Mélinda avait des esclaves parmi le corps enseignant et parmi les surveillants. Elle était surprise de voir Jack sur le coup, mais, assez rapidement, se fit à sa présence, car elle l’avait déjà vu en pleins ébats. Aimi savait très bien que Mishimi recrutait des pervers comme professeur, et que le lycée, sous couvert d’enseignement, était en réalité une île de débauche et de dépravation.

Aimi vit que sa Maîtresse était là, et elle lui sourit en fléchissant les genoux.

« Je te présente ton nouveau camarade, Aimi… Et, crois-moi, le beau Jack a une endurance exemplaire. »

Hanayo, dans l’eau, observa l’homme, rougissant en voyant son boxer être déformé. Elle se mordilla les lèvres, restant toutefois silencieuse, entre les cuisses de sa grande sœur. Jack, très rapidement, annonça la couleur, en posant la main d’Aimi sur son sexe.

« Hum… »

La main d’Aimi se crispa sur le sexe de l’homme, et elle lui sourit alors.

« J’avais entendu les soupirs de la surveillante, Senseï… C’est pour ça que j’étais rentrée dans la salle, car j’avais eu vent de rumeurs à votre sujet. Et j’ai été ravie de voir que votre réputation était exacte… De fait, je me demandais ce que Maîtresse attendait pour s’occuper de vous. »

Un sourire vint se glisser sur les lèvres de la femme, qui se pencha ensuite vers l’homme, et lécha son sexe à travers le boxer. Une lueur mielleuse brillait dans le regard d’Aimi, qui, en matière de sexe, était une femme très assurée.

« Vous aimez ça, hein ? Avoir des élèves-salopes autour de vous ? Ça vous fait bander, hein, de les imaginer vous sucer la queue ? »

Oui, Aimi ne mâchait pas ses mots…
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mercredi 20 avril 2016, 18:27:26
Jack avait ses contradictions. S'il aimait, plus que tout au monde le sexe violent et brutal, il demeurait toujours poli et avenant en première approche. Il fallait y voir les vestiges d'une éducation stricte et une certaine coquetterie. Aimi sembla surprise de le voir au manoir, mais, elle se reprit bien vite. En tant que pensionnaire régulière de Mélinda, elle en avait probablement vu d'autres. Quoiqu'il en était, la petite n'était pas farouche. Sitôt les civilités expédiées, la petite garce referma sa petite main sur sa grosse queue, alors que Jack se mordillait la lèvre inférieure. « Là... Très bien, Aimi ». La gamine avait l'air d'avoir un sacré caractère, et cela n'était pas pour déplaire à son professeur, qui appréciait les femmes entreprenantes... Même si les plus timides trouvaient également grâce à ses yeux.

Hanayo justement, rosissait légèrement en louchant sur son entrejambe. Bien évidemment, Aimi se souvenait très bien du jour ou elle avait surpris Jack en plein rut. « Je suppose que le spectacle t'a plu, petite vicieuse », glissa-il en l'attrapant par les épaules pour l'attirer doucement contre son torse massif. « La curiosité est un vilain défaut », reprit-il sur le ton sentencieux d'un professeur de morale, en attrapant l'un des seins de la jeune femme. « Ta sœur m'a observé en train d'enculer une surveillante le mois dernier, et je crois qu'elle s'est bien rincé l’œil avant de s'en aller », précisa-il pour Hanayo. « Je me propose donc de la punir pour ce forfait, si sa maîtresse en est d'accord. Qu'en pense-tu Hanayo? »

Cependant l'intéressée n'avait pas perdu de temps, et joueuse s'était penchée sur sa queue, pour la lécher à travers le tissu de son boxer. « si seulement elles étaient toutes aussi chiennes que toi, Mishima serait un véritable paradis. » Cela étant dit, Jack avait eu l'occasion depuis son arrivée en ville de pratiquer plusieurs élèves, pionnes et enseignantes et il commençait à se demander si toutes les filles du lycées n'étaient pas des salopes en puissance... Il ne put s'empêcher de s'imaginer étendu nu, au milieu d'une vingtaines de filles, se battant pour engouffrer son gros vit au fond de leur gorge, ce qui le fit soupirer d'aise.

« Sois-gentille, aide-moi à me débarrasser de ça », reprit-il, en faisant glisser son boxer sous ses cuisses, faisant jaillir son gros membre veineux qui s'écrasa contre le visage de la jolie lycéenne. D'un hochement de tête, il invita Hanayo à rejoindre sa sœur entre ses cuisses. Assurément, ces petites putes n'allaient pas être de trop pour s'occuper de son vit. Oh, comme il lui tardait de défoncer l'aînée sous les yeux de la cadette... Ou bien l'inverse, il n'avait pas encore décidé. « Ma petite maîtresse nous fera-elle l'honneur de participer aux réjouissances ? » s'enquit-il auprès de l'intéressée, en tournant la tête vers elle. A vrai dire la question était purement rhétorique car Jack commençait à connaître la petite vampire. Elle ne résisterait guère longtemps à l'attrait du stupre, surtout si leurs ébats impliquaient de violentes sodomies.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 21 avril 2016, 08:48:41
Aimi & Hanayo faisaient partie de ces couples, au manoir, qu’on ne pouvait qu’adorer. Ces « sœurs » formaient une magnifique alchimie, la preuve que, quand la fille dominait, les choses se passaient souvent très bien. Aimi était terriblement perverse, mais Hanayo, qui la suivait dans le moindre de ses fantasmes, l’était tout autant. Avec ces deux-là, Mélinda était sûre de faire plaisir à leur « invité ». Il y avait maintenant depuis bien longtemps que Jack avait oublié d’en vouloir à Mélinda de l’avoir capturé, et sexuellement torturé... Même si, vu la manière dont il avait pris son pied, parler de « torture » semblait un brin excessif. Quoi qu’il en soit, Jack avait rapidement pris son pied avec les deux lycéennes, et leur demanda rapidement de sucer sa queue toutes les deux.

Hanayo écarquilla les yeux et la bouche en voyant le gros sexe de l’homme, et Aimi, elle, eut un sourire plus pervers, et donna un coup de coude dans les côtes de son petit-frère.

« Tu vois, t’es pas la seule à avoir une belle queue ici !
 -  Euh... O-Oui... »

La vérité était surtout qu’Hanayo souffrait d’un complexe d’infériorité, qui avait tendance à se réveiller devant des hommes si virils. Néanmoins, lui et Aimi passèrent rapidement à l’action, chacun venant lécher cette queue, comme une sorte de grosse glace que les deux « femmes » auraient partagé à deux. Aimi glissait le long de cette hampe de chair d’un côté, et Hanayo de l’autre, chacun alternant les rôles, l’une sur sa verge, et l’autre à lécher les testicules.

Sous ce traitement, Jack invita alors Mélinda à venir. La Maîtresse vampirique, restée en retrait, se contenta de sourire. Jack, effectivement, commençait à bien la cerner. Se contenter d’être sur le banc de touche, de juste regarder, ça durait rarement très longtemps pour la vampire, qui avait toujours envie d’agir, d’avoir un rôle plus actif. Elle sourit donc délicatement, en se rapprochant un peu.

« Tu te sens suffisamment costaud pour nous supporter toutes les trois, Jack ? C’est très courageux de ta part... »

Vu qu’ils jouaient à quatre, plusieurs configurations étaient possibles, mais, et puisque Jack était le « seul » mâle ici, autant en profiter un peu. Mélinda s’approcha donc, et tira sur le lacet noir de sa robe, celui situé à hauteur de ses seins. Dans un léger sifflement, la robe tomba ensuite, et c’est ainsi que, toute nue, véritable beauté, elle s’approcha de l’homme. Elle posa une main sur son épaule, et, voyant Hanayo et Aimi occuper à hauteur de son sexe, alla s’asseoir à côté de lui, venant l’embrasser en se penchant vers Jack.

« Mais... Comment au juste comptes-tu t’occuper de nous trois ? Tu penses avoir des bras suffisamment longs pour ça ? »

Elle le taquinait un peu, mais... La question était légitime.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 22 avril 2016, 17:47:59
Jack haussa les sourcils, plus amusé que réellement surpris, lorsqu'il compris qu'Hanayo n'était pas exactement une fille ; au manoir Warren, qu'une adolescente jolie comme un cœur soit pourvue d'une grosse verge n'avait rien de surprenant. Sans perdre un instant, les deux sœurs se mirent à l'ouvrage, se penchant toutes deux vers son phallus pour y faire courir leurs langues avides. Ecartant largement les jambes pour leur donner davantage d'espace, Jack soupira longuement en se mordillant la lèvre inférieure, alors que ses deux petites amantes lapaient sagement ses couilles et son vit, dont suintait déjà quelques gouttes de pré sperme qui s'écoulaient lentement de long de la hampe. Un léger coup d’œil vers l'arrière l'informa que Mélinda s'approchait du trio, un petit sourire dansant sur ses lèvres incarnates.

« Quand on aime, on ne compte pas », répliqua le professeur, en caressant les cheveux d'Hanayo pour l'encourager à poursuivre ses caresses. « Et outre mes bras, j'ai également une queue – plutôt conséquente – ainsi qu'une langue », reprit-il, alors que Mélinda se mettait à l'aise. « Qui plus est, je ne suis pas le seul à être pourvu d'un pénis ici, ce me semble... » La petite maîtresse les avait rejoint et, alors qu'elle se penchait vers lui pour l'embrasser, il empoigna gentiment son postérieure laiteux, pour le pétrir entre ses doigts fiévreux. « Hmm... Mon adorable petite maîtresse », grogna-il, aux anges. «Je pensais commencer par m'occuper d'Aimi, pour faire durcir la queue d'Hanayo. Bien entendu il n'aurait pas le droit de se branler. Pendant ce temps, petite maîtresse, tu pourrais t'occuper de le préparer pour le reste de la séance... Ou bien défoncer le trou restant de notre petite Aimi. », conclut-il, le plus tranquillement du monde.

Il était évident qu'il comptait également profiter – d'une manière ou d'une autre – de la queue d'Hanayo, mais cela viendrait plus tard. Pour l'heure, il souhait le frustrer un petit peu... Avec un peu de chance cela décuplerait sa vigueur pour la suite des ébats. Et là encore, l'agent Taylor avait bien des idées sur la manière d'arranger les choses.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 23 avril 2016, 15:30:58
« Tu vois, Jack, au manoir, il existe deux types d’hommes. Ceux comme toi, les dominateurs, et ceux comme Hanayo, discrets, soumis, qui n’ont pas le droit de se masturber. »

L’avantage de ce manoir, c’était que, tout en étant un regroupement de pervers, il y avait des sensibilités et des affinités très différentes. On trouvait tout autant des dominateurs que des soumis, et, si le manoir se composait en grande majorité de filles, il y avait aussi des garçons. Ceux-ci étaient néanmoins divisés entre les travestis, comme Hanayo, et les hommes véritablement virils. Face à ce délicieux couple, Jack sentait sa gourmandise revenir bien rapidement, et proposa ainsi à Mélinda de jouer avec les deux.

La « petite » Maîtresse réfléchit assez rapidement aux propositions formulées par Jack. Finalement, une idée commença à germer dans son esprit, et, posant sa main sur l’épaule de Jack, elle s’en mordilla les lèvres. Plusieurs pistes étaient possibles, mais il fallait en choisir une, ce qu’elle fit.

« Je pense que tu peux prendre la belle Aimi contre le mur, pendant que je jouerai un peu avec Hanayo... »

À l’idée de faire l’objet des attentions de sa Maîtresse, Hanayo sentit ses joues s’empourprer. Pour lui, c’était toujours un grand honneur, car s’il considérait naturellement Aimi comme sa supérieure, Hanayo n’en oubliait pas à qui il devait vraiment allégeance. Mélinda avait permis à ce couple atypique de pouvoir voire leur union au mieux, et, depuis qu’ils étaient là, dans ce manoir, la vie était comme un long fleuve tranquille... Avec quelques secousses de sexe. Par exemple, l’une des spécialités d’Aimi était d’attacher Hanayo sur leur lit, puis d’inviter une autre fille du manoir, et de lui faire l’amour sur le corps d’Hanayo.

Forte avant d’arriver ici, la soumission d’Hanayo avait totalement explosé. L’interdiction de se masturber n’en était qu’une illustration. Quoi qu’il en soit, et comme Mélinda venait de donner des ordres, Hanayo s’extirpa de l’eau. Comme ils étaient dans le grand bassin, on n’avait pas pied au sol, ce qui fait qu’Aimi et Jack allaient devoir se serrer pour se maintenir, avec Jack qui prendrait appui contre le rebord du bassin avec ses mains.

Hanayo allait donc remonter, mais Mélinda le repoussa alors, et s’assit à côté de Jack, trempant ses jambes dans l’eau.

« Commence par le commencement, Hanayo... Pendant que ta sœur et ton professeur vont baiser ensemble, tu vas lécher mon petit minou... »

Aimi, de son côté, souriait devant le sexe de Jack, et le nargua même légèrement :

« Vous êtes sûr d’y arriver, senseï ? Vous me paraissez bien présomptueux... »

Rien de mieux qu’une petite pique pour motiver un homme...
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le lundi 25 avril 2016, 16:27:27
Ainsi, Jack appartenait à la catégorie – reconnue – des dominateurs, comme Bran évidemment, et comme d’autres mâles qu’il n’avait pas encore eu l’occasion de rencontrer. Il n’y tenait pas particulièrement d’ailleurs ; étant lui-même un mâle alpha, il aimait à garder l’exclusivité de ce beau rôle et en outre, il n’était pas particulièrement attiré par d’autres hommes virils… Exception faite de Bran qui, malgré sa robustesse, avait des traits très délicats et un charme magnétique, comme sa petite sœur. Quant aux hommes efféminés, c’était bien évidemment complètement différent. Jack les considérait comme des femmes à part entière et les traitait en tant que telles, c’est à dire en s’accouplant sauvagement avec. Hanayo n’y échapperait pas et le professeur avait des frissons rien que de songer à la violence avec laquelle il dévasterait son petit anus. Mais pour l’instant il y avait une autre candidate au sacrifice ; cette petite garce d’Aimi qui barbotait dans l’eau, suçotant sa grosse bite entre ses lèvres roses. « Hmm. Avec grand plaisir », répondit-il à Mélinda en caressant les cheveux de l’adolescente. La petite garce le tança, sourire aux lèvres. Vraisemblablement cette peste n’avait pas froid aux yeux. « Tu vas voir si je présume, petite pute », lui glissa l’homme en souriant à son tour avant de se jeter à l’eau, éclaboussant Mélinda au passage.

Jack se laissa couler jusqu’au fond, puis remonta lentement vers la surface en battant des pieds. L’eau était bonne, chauffée à température idéale. Lorsqu’il fendit la surface de l’eau, il se jeta sur Aimi qu’il plaqua contre le rebord de la piscine, écrasant sa grosse queue juteuse contre ses petites fesses  musclées de nageuse. Abaissant les bretelles de son maillot de bain sur ses épaules, il découvrit sa petite poitrine pâle, dont il s’empara fiévreusement, pinçant les petits tétons entre ses doigts. « Je vais te montrer ce qu’il en coûte d’être désobligeante avec son professeur", grogna il, alors qu’il lui tirait les cheveux en arrière pour l’embrasser goulûment, enfonçant sa langue entre les lèvres de son élèves. « J’ai envie de t’enculer, ma puce », annonça-il, alors qu’à tâtons, il écartait le tissu qui couvrait sa vulve et son anus. Une fois la petite corolle découverte, l’homme y glissa son majeur et son index, qu’il remua vigoureusement d’avant en arrière. « Oooh... Je vois que mademoiselle est une habituée ! »

En effet, l’anus d’Aimi avait beau être serré, il se distendait relativement facilement autour de ses doigts. « Vilaine petite chienne ! » ôtant ses doigt de son cul, il les présenta à sucer à la lycéenne, alors qu’il positionnait son gros gland violacé entre ses fesses. Puis il poussa. Sa grosse queue s’écrasa contre le rectum, avant qu’il ne cède progressivement et qu’il ne puisse lentement s’enfoncer en elle « Raaah… Putain, quel anus… ». Conscient de la monstruosité de sa verge, Jack poussait doucement son bassin vers l’avant, pour ne pas déchirer la lycéenne, dont il entendait la respiration sifflante. « Lààà… Lààà… très bien, pousse encore », la cajola-il, en lui caressant gentiment les cheveux. Il serait bien temps de lui détruire la rondelle une fois qu’elle se serait accoutumée à l’intromission. Lorsque la majeure partie de son sexe fut entré en elle, Jack s’agrippa fermement d’une main au rebord, alors que les doigts de l’autre s’enfonçaient dans la chair de ses hanches. Patientant quelque secondes, le temps que le couple Mélinda-Hanayo se mette également en place, il commença à onduler lentement du bassin d’avant en arrière, faisant lentement coulisser quelques centimètres de son braquemart dans son rectum.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 27 avril 2016, 23:42:04
La sodomie, c’était, comme le fétichisme, une passion commune au sein du harem, partagée entre tous les habitants de l’établissement. Quand on avait comme Maîtresse Mélinda Warren, tôt ou tard, votre derrière finissait par y passer. Avant de connaître la vampire, Aimi & Hanayo étaient déjà relativement pervers, mais n’avaient pas encore vraiment essayé la sodomie. Maintenant, et comme Jack le constata, Aimi en était une grande spécialiste, tout comme le brave Hanayo.

« Ah ! couina ainsi Aimi quand Jack commença à palper ses fesses. Tu as de la chance… Souvent, je m’enfonce un plug quand je nage. »

Outre le sexe et torturer son petit-frère, la grande passion d’Aimi était la natation. Au lycée, elle faisait partie du club nautique, comme Ayumi Nasegawa, la « Sirène de Mishima ». Elle avait été particulièrement ravie d’apprendre que, au lycée Mishima, le monde était petit, et ce dans la mesure où Ayumi était une esclave de longue date de Mélinda. La timide Ayumi ne se libérait vraiment que face à des Futanaris, vouant à l’encontre de ces personnes hermaphrodites un profond et puissant fantasme.

Hanayo s’aventura donc à lécher le sexe de Mélinda, qui, elle, ne portait pas de swimsuit. Nue, elle lui offrait son intimité, une main sur les cheveux du brave homme, sans manquer de regarder le singulier spectacle se déroulant à côté d’elle. Comme on pouvait s’y attendre de sa part, Jack s’enfonça rapidement dans ses fesses, grognant et soupirant en prenant la femme contre le rebord de la piscine, avec son corps trempé.

*Je dois bien reconnaître qu’il est très bien musclé…*

De quoi confirmer le fait que, au conseil d’administration de Mishima, l’un des critères de recrutement était la beauté physique du corps enseignant. Jack Taylor s’enfonçait dans le cul d’Aimi, qui ne tarda pas à hurler, crispant ses mains sur le rebord, ses délicieux cris faisant mouiller Mélinda, ça, ainsi que la langue experte du petit Hanayo, qui rivalisait d’ingéniosité pour satisfaire la soif de sa Maîtresse.

« HAAAAAAAAAAA… HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN… !!
 -  Hmmm… Hmmmmmm… »

Les joues toutes rouges, Hanayo était en train de bander sévèrement en entendant ainsi sa sœur hurler. Voir son amoureuse se faire prendre par un autre homme ne le rendait pas jaloux, car, pour cela, il aurait fallu qu’Hanayo se considère comme l’égal d’Aimi. Or, Hanayo n’aurait jamais pu prétendre à un tel rôle. Léchant l’intimité de sa Maîtresse, il couinait de plaisir, tout heureux que sa grande sœur se fasse prendre avec tant d’ardeur.

Et Aimi, malgré ses fanfaronnades, n’avait pas l’expérience de Mélinda, ce qui fit qu’elle se contentait d’hurler et de gémir en sentant l’homme dans son dos.

« Haaaa… Ouuiii… Hhhmmm… !! »

Mélinda avait toutes les raisons du monde d’être heureuse.

Ce sexe omniprésent, c’était terriblement jouissif.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mercredi 18 mai 2016, 21:02:40
Aimi devait à présent regretter sa fanfaronnade, car Jack l’enculait comme s’il s’agissait d’une vulgaire catin, et non d’une fragile lycéenne. Le professeur n’était pas une brute ; avec des partenaires peu expérimentées, il savait être doux, voire tendre. Toutefois, il suffisait de l’aiguillonner un peu trop pour qu’il se transforme en véritable bête de sexe, capable de faire se pâmer les amantes les plus vaillantes ; Aimi n’avait donc au final, que ce qu’elle méritait.

« Humf…Haaaa…  »
Exécuter une sodomie en due et bonne forme dans l’eau calme de la piscine n’était pas aussi facile qu’on pouvait le penser et Jack devait user de tout son équilibre et sa force physique pour se maintenir en place. Heureusement pour Aimi, l’eau freinait considérablement ses mouvements de bassin, ce qui faisait que le professeur sodomisait relativement lentement sa jeune élève. Il n’en restait pas moins que la queue juteuse qui coulissait dans son cul serré était massive, et que la petite haletait, au moins autant de douleur que de plaisir. En effet, Jack n’hésitait pas en à rentrer son gros pénis en entier dans son rectum, prenant un malin plaisir à écraser ses bourses pleines contre son derrière rebondi. « C’est quand même…Bien mieux qu’un plug, une vraie bite, hein, Aimi ? »  Grognant et soupirant comme un animal en rut, Jack observait, à peine deux mètres plus loin, Hanayo s’occuper de Mélinda.

Le « jeune homme » s’était penché entre les cuisses de Mélinda pour lécher abondamment le sexe mouillé qu’elle lui offrait, glissant insidieusement sa petite langue rose entre les lèvres entrouvertes de la vulve. Vraisemblablement, il savait aussi bien s’occuper d’un homme que d’une femme. Par ailleurs, voir – et surtout entendre- sa sœur se faire démolir l’arrière-train semblait le stimuler, puisque le swimuit qu’il portait moulait à présent une grosse queue érigée contre son ventre. Jack ne put s’empêcher de lever un sourcil. La présence d’une aussi grosse verge sur un corps gracile avait quelque chose de grotesque… Et d’indubitablement excitant. Glissant l’une de ses deux mains entre les cuisses de la lycéenne qu’il besognait, Jack entreprit de frotter vigoureusement ses doigts contre le clitoris de son élève à travers le tissu du maillot de bain, cherchant de cette manière à provoquer rapidement un premier orgasme, le sien approchant sourdement. Et comme d’accoutumée, plus la jouissance approchait, plus Jack devenait vulgaire. « Je vais te remplir de mon foutre, petite pute... Ça te plairait que ton professeur gicle ton cul, hein ? HUMMM…grosse chienne, va…  »

L’excitation aidant, l’anus de la jeune femme convulsait autour de sa bite, le rendait ivre de désir, alors qu’il la pilonnait aussi brutalement que le lui permettait l’eau de la piscine, son nez enfoui dans les cheveux humides d’Aimi, qui embaumaient le chlore et la sueur. « RAAAAAH Putain, c’est BON ! », grogna-il, alors qu’il perdait le contrôle, vidant abondement ses couilles dans le rectum de l’adolescente en soupirant longuement. A de longs jets brûlant en succédèrent d’autres, plus brefs pendant une bonne minute, avant qu’enfin la source ne se tarisse et la verge ne s’amollisse légèrement. « Bonne petite », se radoucit le professeur, en extirpant doucement sa queue de son pauvre petit cul défoncé, l’embrassant gentiment sur le coin des lèvres. L’homme s’écarta ensuite de la nageuse et s’aida de ses mains pour sortir de l’eau, avant de tendre une main secourable à la petite Aimi, qui avait l’air plutôt… Secouée. Lorsqu’il l’eût sortie de l’eau, il la laissa se remettre de ses émotions pour s’approcher du couple que formait Mélinda et Hanayo. S’asseyant à côté de Mélinda, il passa son bras musculeux autour de son épaule gracile, et l’embrassa longuement lorsqu’elle tourna la tête vers lui, s’emparant de l’un de ses petits seins pour faire rouler son mamelon entre ses doigts.

« Je pense qu’il est grand temps de poursuivre l’éducation d’Hanayo, pas vrai ? » Vraisemblablement, l’androgyne avait plutôt le rôle d’une femme au manoir. S’il n’avait pas le droit, il n’avait probablement jamais eu l’occasion de servir de sa queue… Ce qui, il fallait bien le dire, était fort dommage, étant donné le bel l’attribut dont il était pourvu. « Et si nous donnions à Hanayo la chance de baiser sa sœur adorée ? » lança le professeur d’un ton badin.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 21 mai 2016, 11:59:28
Hanayo avait un gros sexe, ce qui jurait avec son corps androgyne. C’était un contraste que Mélinda avait entretenu, grâce à un traitement hormonal issu des cliniques tekhanes. Pour tout ce qui concernait les augmentations de la taille du sexe, de la poitrine, et, de manière générale, toute la chirurgie esthétique, il n’y avait pas mieux que les Tekhanes. Hanayo subissait régulièrement des injections dans l’infirmerie du manoir, qui avaient pour effet d’agrandir la taille de son sexe quand il était excité. C’était un petit cadeau de Mélinda, qui savait très bien que les hommes aimaient avoir de gros sexes, tout comme les femmes aimaient avoir de belles poitrines. Elle leur devait bien ça, après tout, car ce petit couple incestueux était très doué. Aimi et Hanayo se complétaient à la perfection, l’une étant sulfureuse et provocatrice, et l’autre étant timide et soumis, les deux se rejoignant par leur forte perversion mutuelle. Cette perversion s’exprimait en ce moment, tandis que les deux couples se faisaient l’amour, l’un par une sodomie intense et lourde, l’autre par un simple cunnilingus.

Pour Mélinda, sentir la langue d’Hanayo était un vrai régal. Il était doué, car Aimi l’avait bien formé, et, même après ça, une fois arrivé au manoir, il utilisait autant sa langue que son sexe, et même sans doute plus sa langue. Très souvent, les filles de Mélinda étaient plus vicieuses qu’elle, surtout avec de jeunes homme soumis et androgynes. Régulièrement, on mettait à Hanayo une cage de chasteté, tout en le faisant lécher des moules. Un jeu pratiqué consistait à bander les yeux d’Hanayo, et à le faire agir comme un chien, devant, à quatre pattes, chercher des femmes, pour les lécher ensuite. Il fallait alors les faire rapidement jouer, ou, si le délai expirait, il se faisait fouetter et humilier, dans le sens où la femme qu’il léchait urinait alors dans sa bouche.

Chez Mélinda, il y avait des jeux très sexuels. Entre les murs du manoir, les limites au sexe étaient très faibles, garantissant l’accomplissement de bon nombre de fantasmes. Jack n’en avait eu qu’un aperçu, mais le brave professeur semblait totalement convaincu. Qui aurait cru que les choses se seraient déroulées ici ? Initialement, Mélinda avait sincèrement voulu juste le punir, se venger de l’humiliation qu’il lui avait fait subir dans la salle de cours... Mais, maintenant, elle avait d’autres visées pour lui, et lui présenter Aimi & Hanayo étaient dans ce sens.

« Haaaa... HAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Aimi poussait de grands cris lorsqu’elle sentait Jack sur elle, s’enfonçant joyeusement dans son corps. Elle poussait de grands cris de plaisir, sentant le corps de l’homme filer d’avant en arrière, s’aplatissant dans son dos. Quelle force ! La brave lycéenne était bien incapable de le retenir, de le repousser, et se laissait border par lui, sentant sa queue remuer joyeusement en elle, jusqu’à ce qu’il finisse par atteindre l’orgasme.

Mélinda, elle, n’avait pas joui, mais Hanayo l’avait bien excité, et le petit soumis avait bu avec plaisir la mouille de la femme Jack proposa ensuite une séance de sexe entre Aimi et Hanayo, ce qui ne manqua pas de faire sourire Mélinda.

« Oh, bien sûr, mais... Il faudra trouver un trou dans lequel insérer ton sexe. Par expérience, je sais que les verges n’aiment pas rester à l’air libre. »

Évidemment, en disant ça, Mélinda avait une idée derrière la tête, et elle redressa ensuite la tête d’Hanayo, en lui souriant, caressant son visage.

« Et toi ? Tu as envie de baiser ta sœur ? »

Hanayo rougit furieusement, et hocha timidement la tête. Le voir ainsi... Ah, il était vraiment craquant ! La vampire sourit donc, puis se redressa. Son corps dégoulinait d’eau, collant ses cheveux sur sa silhouette, ne faisant que magnifier sa beauté, déjà spectaculaire. Elle s’étira gracieusement, faisant craquer ses articulations en remuant ses bras, puis ordonna à Aimi et à Hanayo de se relever. Une fois la chose faite, Mélinda fléchit les genoux, et se mit à quatre pattes.

« Allez, Aimi, mets-toi en position aussi ! Laissons les hommes nous pénétrer... »

Aimi s’installa à côté d’elle, en souriant.

« Oui... »

Et sa main alla se serrer brièvement contre celle de sa Maîtresse, tandis qu’elle se mordillait les lèvres, sous l’effet d’une impatience grandissante, tandis que les deux hommes se glissaient dans leur dos...
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le mardi 24 mai 2016, 15:18:04
L’inceste avait pour le professeur, une saveur tout à fait particulière. Ses premiers rapports avaient été incestueux et s’étaient prolongés pendant de longues années, avant que la force des choses ne distende légèrement les liens affectifs qu’il avait avec sa sœur aînée. Sortir de son giron pour butiner ses petites camarades l’avait transformé. Car avant d’être un mâle dominant, Jack avait été entièrement à Julia. Se moquant de sa grosse verge, elle l’attachait, le forçait à la lécher pendant des heures et prenait un malin plaisir à le masturber vigoureusement, mais en lui interdisant catégoriquement de jouir, sauf à faire pleuvoir les coups de cravache sur son corps dénudé. Lorsqu’elle s’aperçut que sa prostate était sensible, elle le sodomisa régulièrement avec ses doigts, puis avec ses propres godemichés. Une fois par semaine, le dimanche avant la messe, Jack avait l’autorisation de pénétrer sa sœur, généralement par le cul. Elle enfouissait alors son visage dans l’oreiller et ordonnait à son cadet de la traiter comme une putain et le jeune homme s’en donnait à cœur joie. Il lui arrivait de temps à autre de coucher avec elle, malgré son emploi de ministre et les choses n’avaient jamais vraiment changé ; c’était elle qui dirigeait les ébats.

Ainsi d’une certaine manière, Jack se reconnaissait en Hanayo… A la différence près qu’il n’avait jamais été aussi mignonne que lui. Difficile en effet d’employer le masculin pour le désigner, malgré la grosse queue qui se dressait entre ses jambes fuselées. La proposition de Jack en tout cas, sembla satisfaire Mélinda, que l’habileté linguale du jeune soumis semblait avoir émoustillée. 

« Naturellement ».

Jack sourit. Il était évidemment hors de question qu’il se contente de regarder Hanayo baiser sa sœur, tout aussi ravissant que puisse être le spectacle. Celui-ci, visiblement surpris par la proposition qui lui était faite rougissant à vue d’œil, alors que son sexe semblait enfler encore davantage. Jetant un coup d’œil amusé à sa petite maîtresse, Jack se rapprocha de l’androgyne, saisissant sans ambages la queue de ce dernier. «Quelle grosse bite, Hanayo, elle rivaliserait presque avec celle de ton professeur », le flatta-il. Renfermant ses doigts autour de la verge il la masturba lentement, mais fermement, décalottant son gland dont perlait du liquide séminal. Alors qu’il éprouvait la dureté de ce membre joufflu, sa propre queue, impériale, reprenait progressivement ses dimensions colossales et frétillait d’impatience. Jack se serait bien occupé davantage du jeune androgyne, mais il estima qu’il était temps de passer à l’étape suivante.

« Allons bon. Sois un bon garçon, et occupe-toi de ta grande sœur maintenant », lui glissa-il à l’oreille, avant de lui envoyer une bonne claque sur les fesses.

Les filles en avaient profité pour s’installer, alignant leurs deux petits culs laiteux et bombés pour le plus grands plaisir de leurs yeux écarquillés. Putain, il avait atterrit au paradis. « Surtout baise-la bien comme une pute, ne te retiens pas », intima-il finalement à Hanayo, en s’agenouillant derrière Mélinda. « Je vais te montrer comment procéder… Hmmm.» Ecartant les fesses de la maîtresse de maison pour en faire ressortir l’anus et la vulve, Jack présenta son gland violacé à l’entrée de son intimité pour s’enfoncer inexorablement en elle jusqu’à ce que ses bourses tièdes ne s’écrasent contre ses fesses. Sa queue énorme écartelait les tièdes parois du sexe de Mélinda, qui palpitaient contre sa hampe dont elles épousaient la forme. « Lààà… Ta chatte est aussi étroite que ton cul, Maîtresse », lui glissa-il à l’oreille, alors qu’il raffermissait sa prise sur ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa chair molle.

Et une nouvelle fois, Jack imprima à son bassin un lent et régulier mouvement de va-et-vient, adressant un signe de tête à Hanayo pour qu’il s’exécute à son tour. Cette partie de jambe en l’air ne faisait que commencer et pourtant elle promettait d’être mémorable.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 25 mai 2016, 12:54:58
Du fait de la taille svelte et de la fine silhouette d’Hanayo, son membre apparaissait encore plus gros. Si Jack lui avait raconté son passé incestueux avec sa sœur, Hanayo se serait effectivement retrouvé en lui. Aimi exerçait sur luyi le même type de domination, reposant sur l’humiliation et le voyeurisme. C’était quelque chose entre eux, et, si Aimi aimait tant Mélinda, c’était parce que la vampire la comprenait, et ne la jugeait pas. Quand Aimi invitait des mecs et s’envoyait en l’air avec eux, en forçant Hanayto à les regarder en l’enfermant dans le placard, elle n’agissait pas par cruauté, mais par une sorte d’amour pervers et vicieux. Qui aime bien châtie bien, disait le proverbe, et ce vieux proverbe se vérifiait très bien entre eux. Aimi avait trouvé auprès de Mélinda une mentor et une confidente, et, en ce sens, elle était une parfaite Maîtresse.

Aimi était donc en place, impatiente de sentir le mandrin de son frère en elle, tout comme Mélinda, qui se demandait surtout quel trou le professeur pervers allait bien choisir. Soupirant lentement, Hanayo écarta un peu sa combinaison, sans la retirer, dévoilant ainsi l’accès à sa verge, qui se retrouva à l’air libre. Une superbe queue, tendue et élancée, qui avait l’air assoiffée, et impatiente de se nicher dans un corps. Hanayo déglutit, et Aimi tourna la tête vers lui, visiblement impatiente.

« Allez, empoté, viens me défoncer le cul ! »

Hanayo rougit encore plus, et hocha la tête, avant de se rapprocher, pendant que Jack, lui, opta pour l’intimité de Mélinda. Ce fut donc avec un plaisir certain que Mélinda ressentit, à nouveau, la vigueur de Taylor-senseï. Le professeur se glissa en elle, et, comme la dernière fois, Mélinda trembla au contact de cette grosse queue, cette virilité terrible, qui s’enfouissait en elle, et qui était comme un véritable obus.

« Hooooo… Putain, haaaa… !! »

Mélinda aimait beaucoup les femmes hermaphrodites, mais il fallait aussi rendre justice aux hommes. Se faire prendre par un mandrin masculin, c’était tout de même sacrément jouissif.

« Haaaa… Haaaa, bon sang, hmmmm… !! »

Gémissant longuement, Mélinda sentait cette trique s’enfoncer en elle, un véritable pieu de chair qui la labourait de l’intérieur. Ah, quelle sensation jouissive ! Mélinda vibrait au rythme des coups de reins de son amant, cet homme infatigable et passionné. Un homme comme toute femme rêverait d’en avoir, énergique, pervers à souhait… Si Mélinda était une main, lui, il était le gant, car ses désirs semblaient s’harmoniser avec les siens. Dans ce manoir, qui était un temple voué à la luxure, il semblait tout à son aise.

Prenant son exemple, Hanayo enfonça à son tour sa verge dans le corps d’Aimi, en visant, lui, sa rondelle, faisant hurler Aimi.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! »

La jeune femme manqua s’écrouler sur le sol, tant Hanayo la labourait fort. Le petit soumis couinait et gémissait, tellement frustré au quotidien qu’il déchargeait là toute sa frustration. En effet, Hanayo utilisait rarement son sexe, comme si sa queue était une chose précieuse, à utiliser savamment, afin de pouvoir mieux la savourer. Il fallait dire que, même si sa queue pénétrait peu, elle était entraînée. Les filles de Mélinda pouvaient se montrer très perverses, et elles adoraient torturer le pauvre Hanayto, en l’attachant sur une chaise, et en couchant devant lui, ou en léchant sa queue, mais en lui refusant le droit de jouir. Tout était fait pour renforcer son endurance sexuelle sans consommation.

En conséquence, et malgré son apparence chétive, il y mettait toute sa hargne, faisant preuve d’une ardeur impressionnante en pénétrant sa sœur, s’enfonçant rageusement en elle, soupirant profondément… Et il ne comptait, bien évidemment, pas jouir trop tôt.

Après tout, ce n’était pas tous les jours qu’il pouvait goûter au cul de sa sœur, alors il comptait bien prolonger ce moment !
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le jeudi 22 septembre 2016, 12:38:56
Si Jack préférait la sodomie aux ébats conventionnels, il appréciait tout de même la moiteur d'une intimité dilatée, surtout lorsqu'elle était aussi étroite que celle de Mélinda. L'homme ne s'étonnait plus de la découvrir aussi serrée qu'une pucelle, alors même que moins d'une heure auparavant il l'avait pilonnée comme un damné : vraisemblablement les vampires disposaient d'un contrôle accru sur leur corps ce qui semblait logique étant donné leur capacité de régénération accélérée. Envoyant une belle claque rougir la chair diaphane du postérieur de la maîtresse des lieux, l'homme se pencha en avant, écrasant la petite vampire de tout son poids, enfouissant son visage dans les cheveux parfumés de son amante.

« Hmm...Pff... »

A ses côtés, Hanayo enculait brutalement sa sœur aînée en soupirant. Amusé, Jack songea qu'il avait beaucoup de points communs avec ce jeune garçon. En effet Jack n'avait pas toujours été grand et musculeux. Au début de son adolescence, ses traits fins et ses longs cheveux le rendaient presque androgyne, ce qui avait beaucoup amusé sa sœur aînée, qui avait profité de cette période pour lui faire porter des vêtements féminins. Cependant cette période avait été de courte durée, et deux ans plus tard il avait pris quinze centimètres et dix kilos de muscles. Hanayo cependant, n'avait pas connu de tel changements et restait, à l'orée de l'âge adulte, une créature efféminée troublante, dotée d'un gros pénis qui paraissait presque greffé entre ses jambes fuselées.

« Couine ma belle petite chienne, »
glissa-il à l'oreille de Mélinda, alors que ses bourses pleines s'écrasaient contre sa vulve détrempée. Marquant un temps d'arrêt, l'homme attrapa ses deux poignets graciles pour les coller dans son dos avant de reprendre ses saillies. Il la prenait comme une pute : sans égards et sans vergogne : sa maîtresse n'aurait pas apprécié qu'il la ménage. De sa main libre, il caressait la croupe d'Hanayo, enfonçant ses doigts dans la chair rebondie de son petit cul. Sentant l'orgasme approcher, l'homme ne fit rien pour le retarder ; bien au contraire. Au terme d'un ultime coup de rein, il s'immobilisa en elle, son pieu fiché au plus profond de ses entrailles et juta plusieurs jets épais et brûlant, avant de se retirer doucement. « HAAAA... » Cette technique, qu'il utilisait lorsqu'il voulait remettre rapidement le couvert, lui permettait de jouir une première fois, sans toutefois se vider entièrement. Ainsi, le vit qu'il extirpa de la fente dilatée de la vampire bandait encore. Déposant un chaste sur l'épaule de Mélinda, il l'emporta avec lui lorsqu'il roula sur le côté.

« Quel spectacle ravissant », commenta-il, en observant Hanayo qui pilonnait encore rageusement Aimi. Après une bonne minute, le professeur se redressa sur un coude. Tout à son plaisir, le jeune androgyne n'avait pas encore joui, ce qui n'était pas du goût de son professeur, qui se pencha vers Mélinda en souriant. « Je pense que nous devrions lui donner un petit coup de main, qu'en penses-tu maîtresse ? »

Joignant le geste à la parole, le professeur s'approcha du jeune couple, et les dominant de toute sa hauteur, il écrasa sa grosse queue gonflée sur le visage crispé d'Hanayo, étalant foutre et cyprine sur sa joue et ses lèvres entrouvertes. « Sois gentille, Hanayo, nettoie-moi la verge, elle est un peu sale ». Jetant un regard vers Mélinda, l'homme lui adressa un sourire carnassier. « A mon avis, si on s’occupait de son cul, elle ne pourrait pas tenir encore bien longtemps. »
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 25 septembre 2016, 00:54:18
Faire l’amour avec Mélinda était une activité dont on peinait à se lasser. Belle et sensuelle, Mélinda était une amante d’exception, et, effectivement, ses propriétés vampiriques permettaient de donner à son corps quelques atouts intéressants, comme cette capacité à refermer naturellement ses parois internes, qui découlaient de la régénération vampirique accrue. Coucher avec la femme était donc un plaisir de tous les instants, qui se renouvelait à chaque fois, et, sur ce point, la vampire n’avait jamais vraiment réussi à se lasser, de près ou de loin, des rapports sexuels. Jack la besognait donc, pilonnant sa chatte, se révélant être un superbe cow-boy, allant jusqu’à attraper les mains de Mélinda, les tirant en arrière, soulevant ainsi la jeune femme, la décollant du sol, le tout dans une position acrobatique et athlétique, qui témoignait des muscles de son amant. Il maintint alors, dans une seule main, les deux poignets de la femme, dont le buste s’était relevé.

« HHHMMMM... !! »

Mélinda hurlait et gémissait, poussant de longs cris de plaisir, son corps filant d’avant en arrière, selon les mouvements intenses et les coups de pilon de Jack. Le Beau Jack se montrait toujours aussi assoiffé, toujours aussi impressionnant, ne cessant de surprendre Mélinda. Quel homme ! Ah, quel homme ! Pour un humain, il battait tous les records, multipliant les coups, tout en regardant de temps en temps Hanayo.

Le jeune homme, lui, avait sa queue fermement plantée dans le cul de sa sœur. Il était assez rare qu’il puisse ainsi jouer avec Aimi, en ayant un rôle dominant, et en profitait donc. Et, malgré son corps efféminé, sa queue était bien grosse, et Hanayo, si longtemps habitué à être sexuellement opprimé et maltraité, était également très endurant, malmenant volontiers le cul de sa sœur, crispant ses doigts sur sa chair, haletant et soupirant, filant d’avant en arrière. Un léger couinement vint néanmoins à s’échapper de ses lèvres quand Jack posa une main sur ses fesses.

« Hnnnn... !
 -  Aaaaaaahhh... Oooouuuiiii... Baise-moi foort, haaaaa... Haaaaaaaaannnn... !! »

Mélinda flottait dans le sexe, dans les hurlements, dans les soupirs... Oh, quelle délicieuse cacophonie ! Bercée par les sons qui l’entouraient, elle se laissait filer, le sexe étant comme une vague rose, une tornade de plaisir qui l’emmenait avec joie et bonne humeur. Tout son corps vibrait d’amour, en osmose avec celui de Jack. Sa mouille glissait de ses cuisses, tombant sur le sol, tandis que lui, cet imperturbable et infatigable amant, continuait à la prendre, à la baiser, à s’enfoncer vigoureusement en elle, à la baiser. Ce n’était rien de plus que ça : une séance de baise intense, de copulation sauvage et bestiale entre un homme musclé et une femme belle.

La vampire grognait et haletait, avant de finir par sentir le sang de Jack atteindre le point suprême... Au même moment où sa chatte se retrouva inondée par son sperme Mélinda poussa un ultime cri, son corps se redressant brièvement, et l’homme s’abandonna ensuite, ralentissant le rythme, pour offrir une longue séance de jouissance en elle, veillant à remplir sa chatte de son foutre autant que possible.

« Hmmmm... »

Cette dernière se retrouva couchée sur le sol, et se redressa lentement, avant de voir Jack s’approcher du duo, approchant sa queue d’Aimi. Elle-même se releva à son tour, la chatte encore en chaleur, et se glissa dans le dos d’Hanayo, caressant ses fesses.

« O-Oui... Quelle énergie, Hanayo, haaaa... Il y avait bien longtemps que tu rêvais de prendre ta sœur comme ça, hein ? Vu le nombre de fois où elle te fait souffrir, ce n’est que justice...
 -  O-Ouuuiii, hmmmm... »

Aimi, de son côté, entrouvrit les lèvres, entreprenant de sucer la queue de Jack, gémissant et couinant encore...
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 25 septembre 2016, 23:06:57
Depuis combien de temps baisait-il ? Des heures ? Des jours ? Le pauvre Jack avait perdu le compte. Il croyait se souvenir qu’il avait été enlevé par l’esclavagiste la veille d’un week end, mais n’en était pas certain. Dans le cas inverse, ses élèves du lundi matin 8h ne s’en plaindraient pas.

Pour l’heure, il fallait faire honneur à ses hôtes. Debout, en nage, les jambes légèrement fléchie, Jack Taylor présentait sa grosse bite poisseuse à Aimi, qui ahanait son plaisir, pendant que son frère cadet la sodomisait brutalement. La pauvrette était bien trop malmenée pour attraper sa queue avec ses mains, qu’elle employait pour garder l’équilibre, mais elle entrouvrit les lèvres, permettant au professeur de s’y introduire sans hésiter. Avec un soupçon de cruauté, l’homme pinça le nez de la lycéenne, tout en faisant glisser sa verge vers le fond de sa gorge, la faisant hoqueter de surprise et déglutir par réflexe, couvrant sa queue de bave.

« Aouch… » La petite catin l’avait mordue sans le faire exprès, si bien que le professeur libéra son nez pour qu’elle puisse respirer. Toutefois, d’une poigne de fer il saisit la chevelure de la jeune femme pour la ramener au-dessus de sa nuque, et agitant le basson d’avant en arrière, entrepris de lui baiser la bouche en due et bonne forme, sans se soucier des larmes d’efforts qui perlaient au coin de ses jolies yeux. « Bonne salope. Suce bien », grogna-t-il, en souriant à Mélinda, qui encourageait Hanayo. « Il te plaît le goût de ta maîtresse pas vrai ? »

lorsqu’il sentit qu’il risquait d’éjaculer une nouvelle fois, l’homme se retira, mais écrasa ses bourses sur le visage de la lycéenne, pour l’inciter à les lui lécher, avant de se cambrer encore davantage. « Lèche mon cul Aimi, comme une bonne petite chienne docile. » Lorsqu’il sentit le petit appendice rose se frayer un chemin vers sa corolle, l’homme soupira d’aise et commença à se masturber lentement, en flattant les cheveux de la petite Aimi. « C’est parfait ma petite pute… », lâcha-il, comblé.

Cependant, Hanayo s’acharnait encore dans l’anus de sa sœur adorée. Mais étant donné son expression faciale et ses coups de bite désordonnés, il semblait à Jack qu’il n’allait pas tarder à juter à son tour.
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 26 septembre 2016, 18:06:45
Hanayo était impressionnant d’efficacité, et ce pour de multiples raisons. Il pouvait utiliser son sexe, enfin, dans le cul de sa sœur, et avec sa Maîtresse qui l’observait. Alors, forcément, il ne pouvait que se donner à fond, se surpassant pour sa sœur, pour sa Maîtresse... De profonds soupirs s’échappaient de sa gorge, et Hanayo haletait profondément, pendant que Mélinda caressait ses fesses, se lovant contre lui. Elle n’hésita pas très longtemps, et glissa rapidement un doigt, puis un second, dans son anus, qui se dilata très facilement. Hanayo couina, rougissant, et Mélinda léchait son oreille, tout en le voyant se déplacer d’avant en arrière.

« Vas-y, Hanayo, baise-là bien fort, tu sais comme ta sœur aime qu’on lui défonce le cul... »

On ne pouvait plus que l’entendre gémir et soupirer, car Jack avait fourré sa grosse queue en elle, commettant néanmoins l’erreur de lui pincer le nez. Aimi, ne pouvant dès lors plus respirer, eut un spasme, et mordit presque inconsciemment le sexe de l’homme, contraignant ce dernier à relâcher ses narines, de telle sorte qu’elle puisse respirer, ses yeux se fronçant légèrement devant cette « plaisanterie ». Pour le reste, elle ne put néanmoins pas faire grand-chose, car elle sentait deux épaisses verges la labourer, sur le devant, et sur l’arrière. Ah, ça faisait du bien ! Aimi était sincèrement comblée ! Voilà bien comment elle aimait le sexe avec les hommes, quand il y avait de grosses queues, et qu’on la baisait bien fort ! Elle avait beau être très sadique envers Hanayo, elle aimait beaucoup son petit-frère, et elle savait qu’il compensait son absence de musculature par une superbe virilité. Et sentir, en prime, l’un de ses profs’ enchaîner sur elle les gorges profondes, c’était dantesque.

Aimi se laissait donc bercer, mouillant férocement. Personne ne s’attaquait à sa chatte, ce qui n’échappa pas à Mélinda, qui relâcha ses doigts du fondement d’Hanayo, et fléchit les genoux, à côté du bassin d’Aimi, qui filait d’avant en arrière. Elle mouillait furieusement, balançant sa cyprine sur le sol. Esquissant un léger sourire, Mélinda attrapa un plug qui traînait sur le sol, et le glissa dans l’intimité d’Aimi, refermant sa combinaison pour permettre de maintenir l’appareil, avant d’utiliser sa main pour l’enfoncer.

« Voilà... Qu’on ose dire que je ne pense pas au bonheur de mes esclaves, après... »

La jeune femme continuait à gémir, avant d’avoir un premier orgasme, et de sentir ensuite Jack poser ses testicules sur son visage, qu’elle se mit à lécher et à embrasser, sans pour autant les mordiller, sachant très bien que les poils pubiens étaient très sensibles. Elle léchait donc, frottant également son nez, et ouvrait bien la bouche, afin de gober un testicule, partiellement, puis poursuivait son élan, inhalant l’odeur délicieuse de ce sexe, une odeur qui était repoussante pour bien des personnes, mais qu’elle-même adorait tout particulièrement.

Elle lécha ensuite les fesses de Jack, se concentrant sur son point rose, fourrant l’extrémité de sa langue.

« Hmmmmmmmmmmm... !!
 -  Haaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaa... !! »

Très impressionnant, Hanayo se surpassait, et Mélinda, continuant à sourire, caressa ensuite son ventre, retournant, avec son autre main, tripoter ses fesses.

« Vas-y, mon chéri, jouis en elle, bien comme il faut... Inonde son petit cul de traînée ! »

Hanayo, continuant à gémir, ne tarda pas à satisfaire les ordres de sa Maîtresse, et, dans un ultime soupir, serra les lèvres... Puis tout son corps se mit à trembler, sa queue tressauta, et il jouit, ce que Mélinda sentit, la femme en profitant pour planter ses crocs dans son cou.

« HNNNNNNNNNNNNNNNNN... !! »

Serrant les dents, Hanayo se vida, balançant de multiples chapelets de foutre dans son corps. Ce fut un fantastique orgasme, qui dura de nombreux instants, l’homme serrant les dents, avant de s’abandonner joyeusement, encore et encore, multipliant les coups. Il se vida dans le cul d’Aimi, qui hurlait également de plaisir, yeux clos.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!
 -  HNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN... !! »

Hanayo se relâcha ensuite, et, tandis que le plaisir redescendait, un sentiment de vertige le saisit... Et il tomba à la renverse, s’affalant sur les fesses, glissant contre les jambes de Mélinda, sa queue se retirant du doux cul d’Aimi, qui laissait du sperme s’échapper. Mélinda souriait, et essuya du revers de la manche ses lèvres ensanglantées.

« Bravo, Hanayo... Tu étais en pleine forme aujourd’hui ! »

Il respirait lourdement, peinant à retrouver son calme.

« Je... Me... Merci, Maî... Maîtresse... »
Titre: Re : "Don't... Don't Mess With Me !" [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le samedi 01 octobre 2016, 12:12:35
Aïmi mettait du cœur à l’ouvrage ; raidissant sa petite langue rose, elle l’agitait énergiquement dans l’anus du journaliste qui l’encourageait en grognant d’aise. Chaque fois qu’Hanayo s’écrasait en grognant contre les fesses de son aînée, l’intéressée couinait de plaisir et redoublait d’ardeur pour satisfaire son professeur. Bien qu’il eût joui quelques instant plus tôt, Jack sentait qu’un nouvel orgasme n’allait pas tarder à le foudroyer. Des coulées de liquide séminal s’échappaient déjà de son méat pour s’infiltrer entre ses doigts crispés.

« Mélinda, je comprends à présent pourquoi vous souhaitiez me les présenter. Ils sont… Plutôt doués, hmm… » 

L’intéressée justement s’était redressée et, se lovant tendrement contre le jeune homme, enfonçait généreusement ses doigts dans son anus, comme Jack l’y avait incité deux minutes plus tôt, se doutant que ce traitement achèverait l’androgyne. Pour y avoir goûté à de nombreuses reprises, et pas plus tard que le matin même, Jack savait qu’une stimulation simultanée du pénis et de l’anus avait des effets proprement dévastateurs. Avec un sourire amusé, Jack songea qu’il aurait bien sodomisé Hanayo lui-même, mais cela n’était naturellement que partie remise. Pour l’heure, il profitait de la langue de sa sœur aînée, raffermissant sa poigne sur sa grosse queue veineuse.

« Mmmmmh… »

Finalement Hanayo se raidit à son tour, et commença à convulser, alors qu’il éjaculait dans le cul de sa sœur. C’est à ce moment que, sous les yeux exorbités de l’agent Taylor, Mélinda se pencha en avant, et planta ses dents dans le cou diaphane de l’androgyne, s’abreuvant de son sang, alors qu’Hanayo remplissait Aimi de giclées de foutre qui semblaient ne pas vouloir tarir. A son tour, enivré par le spectacle, Jack hoqueta et sa queue tressauta en envoyant des jets de semence en l’air, qui s’écrasèrent sur la croupe d’Aimi, le torse d’Hanayo ou encore la joue de leur adorable maîtresse.

« Raaaah putain… » grogna-il, en pétrissant son phallus de ses doigts, jusqu’à ce que la dernière goutte de son sperme ne s’écrase entre les omoplates de la petite Aïmi, qui s’était écroulée sur le sol, l’anus béant, suintant de foutre. « Mon dieu, quelle orgie », grogna-il, le regard éteint, alors qu’il s’asseyait à son tour, soudain fébrile.

Quelques minutes plus tard, Jack, qui reprenait petit à petit ses esprits, caressait les cheveux de la petite Aimi en l’observant d’un air absent. Epuisée, la lycéenne avait posé sa joue sur la cuisse de son professeur et semblait s’être momentanément assoupie. Une nouvelle fois son corps musculeux était en nage, malgré sa récente visite de la piscine du manoir. « Je pense que j’ai atteint mes limites », admit le professeur, en désignant son sexe flasque. « Du moins pour les trente prochaines minutes. » Observant Mélinda à la dérobée, l’homme finit par se racler la gorge. « Nous devrions nous associer, maîtresse. » il avait eu de longues heures de stupre pour y songer, et cela lui paraissait être une excellente idée. « Je pourrais me servir de ma position pour dévoyer des cibles disons… réticentes ». Jack posa une serviette sur le corps gracile d’Aimi, avant de reprendre. « En échange… Tu m’accordes le droit de baiser à loisir avec tes autres esclaves…Et toi-même. » 

Comme il le pressentait, Mélinda trouva cet accord plutôt...honnête, et y consentit volontiers. Quelques heures plus tard, après avoir profité de l'hospitalité de la petite vampire pour se reposer, Jack quittait le manoir des Warren le sourire aux lèvres. La maîtresse et lui avait déjà convenu d'un petit arrangement qui devait avoir lieu le lendemain, et cette fois-ci dans l'enceinte-même de l'établissement. Mélinda en effet, tenait à lui présenter quelqu'un qu'elle appréciait beaucoup...


*FIN du RP*