Jack soupira d'aise en caressant négligemment les cheveux de la petite
blonde qui suçait sa grosse verge avec application, utilisant le bout de ses doigts pour masser ses testicules pleines en aspirant son gland entre ses lèvres entrouvertes. Mary était une américaine des plus délurée, qui faisait office de rabatteuse pour Jack, depuis qu'il l'avait surprise en train de se masturber dans les vestiaires des garçons et administré une correction... Mémorable. Affalé dans son fauteuil, les pantalon sur les cheville, le prétendu professeur observait avec ravissement la salle de classe, transformée en véritable baisodrome. Soucieux du bien être de ses élèves, il avait réuni les cinq dernier gaçons encore puceaux de sa classe et leur avait livré
Asuka , une dure à cuire du club de Kendo qui disait préférer les filles, mais ne disait jamais non à une – ou plusieurs – belles verges dressées. La jeune femme se faisait prendre par deux lycéens en rut, et ronronnait de plaisir en tétant une troisième verge. Quant aux deux derniers garçons, ils avaient décidés de s'amuser ensemble et frottaient leurs sexes respectifs l'un contre l'autre en s'embrassant passionnément. N'y tenant plus, il attrapa Mary par le poignet, et l'aida à l'enfourcher, se mordant le lèvre inférieure lorsque son gland percuta l'intimité de la jeune fille. Celle-ci s'empala docilement en couinant, les mains posées sur ses épaules musclées. Jack la laissa imposer son rythme sur l'imposante colonne de chair, se contentant de l'encourager du regard, un grand sourire plaqué sur son visage. La petite ondulait de plus en plus brutalement, le visage dans le creux de l'épaule de son professeur, sa chevelure châtain et ondulée en désordre...
Châtain ? La jeune femme leva des yeux verts amusés vers Jack et découvrit ses petites canines aiguisées. Mary avait disparu, et c'était Mélinda qu'il baisait... Ou plutôt qui
le baisait. L'attrapant par les hanches, Jack serra le corps de sa maîtresse contre lui, joignant ses coups de bassins à ses mouvements de hanches, alors qu'elle le mordait sans ménagement entre le cou et la clavicule.
« Hum... Maîtresse... »Émergeant doucement du sommeil, Jack ouvrit un œil, puis deux, avant de s'étirer de tout son long, un peu désorienté. Le décor avait changé. Il ne s'agissait plus d'un donjon, mais d'une belle chambre à coucher plutôt cossue. Qu'est-ce que... Ses souvenirs étaient chaotique et la seule chose dont il se rappelait était la douleur intensément jouissive qu'il avait ressenti à se faire prendre le cul par les acolytes de Melinda. Un léger mouvement du bassin le fit grimacer. Son anus était encore douloureux et il aurait probablement du mal à s’asseoir pendant quelques jours. La belle vampire était là, son joli postérieur posé à côté de son oreiller.
« Plus ou moins, oui », répondit-il à la maîtresse des lieux, étonné de se trouver aussi frai et dispo, après une séance aussi éprouvante.
« Combien de temps suis-je resté assoupi ? »Le songe qu'il avait fait était extraordinaire, et Jack se promis de présenter en temps voulu, la petite Mary à Mélinda, certain que la vampire apprécierait de jouir de la belle ingénue. Alors qu'il se redressait sur les coudes, Jack s'aperçut que son sexe pointait fièrement vers le ciel, le gland légèrement humidifié par un filet de semence probablement imputable à son rêve.
« Vous occupez l’entièreté de mes pensées, petite maîtresse », lança-il.
« Ma queue ne se dresse que pour vous satisfaire. » Et c'était entièrement vrai... Du moins pour l'instant. Dénué de toute pudeur, l'homme attrapa son propre sexe et commença à le masturber avec douceur. Mélinda et lui n'étaient pas seul ; dans un coin sombre de la pièce, se tenait le beau Bran, alors que debout à côté du fauteuil, une plantureuse jeune femme dotée de cornes et d'une queue préhensile l'observait avec un air singulier.
Ça alors... Jack avait fait de nombreuses recherches pour son travail officieux, et au vu de ses caractéristiques physiques, il lui sembla qu'elle appartenait à l'espèce des succubes, ces démons femelles assoiffés de luxure. Jusqu'à lors l'agent Taylor ne doutait pas de leur existence, mais il n'en avait jamais rencontré jusqu'à ce jour.
« Votre château est plein de surprises, Mélinda » ajouta-il, avant de se déplacer sur le lit, collant son corps nu et tiède contre les dos de la jeune femme. Saisissant avec délicatesse la main de son hôte, Jack la porta à ses lèvres et y déposa un baiser, avant de la poser sur son sexe enflé, soupirant d'aise au contact de la paume fraîche de la vampire.
« Vous m'aviez promis une récompense, si je parvenait à ne pas m'évanouir, avant que vous ne jouissiez n'est-ce pas ? Je pense avoir rempli ma part du marché. » Il bluffait, évidemment. Il lui semblait avoir vu Mélinda jouir avant de s'évanouir, mais n'en était pas certain, d'autant que la vampire ne boudait pas son plaisir, en règle générale. Mais il voulait croire que cet arrangement était de
bonne augure. Glissant sa main vers l'intimité de la jeune femme, il se pencha pour l'embrasser avec douceur. Sans nul doute, les choses n'allaient pas tarder à
dégénérer, mais cela ne l'empêchait pas de commencer tranquillement ; après tout, il venait de se réveiller.