Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le mercredi 12 juin 2024, 18:31:38 »
Le massage était probablement la meilleure idée pour se détendre après avoir travaillé autant ,non seulement physiquement mais aussi mentalement pendant les derniers jours. C'était une récompense bien mérité mais Priscilla accueillait ce cadeau avec un peu d'appréhension. Elle n'était pas vraiment à l'aise au contact physique masculin, et même des fois féminins selon les circonstances, tant que ça posait certaines fois des problèmes pendant les entrainements de majorette. Il fallait juste d'un seul mauvais touché ou geste, même non intentionnel, pour qu'elle se crispe et fasse rater les acrobaties. En soit, il fallait juste une casi-perfection sur les mouvements de la base et le saut se passerait bien, mais la pratique n'était pas aussi facile qu'à dire. Sans surprise, au premier touché de Hayao sur sa peau, Priscilla se raidit. L'étudiante lui accordait beaucoup de confiance pour le laisser la masser. Si ça avait été une autre personne ils essayeraient sans doute de... ce genre de pensées s'échappaient petit à petit. Les doigts de son tuteur passaient aux bons endroits, avec la bonne pression, la jeune femme commençait enfin à se relaxer.

«Hmm oui j'ai du mal à trouver du temps pour me détendre, entre les études, l'équipe de majorettes, c'est assez dur.»

"Et je ne peux pas non plus me reposer dans mon sommeil à cause de mes cauchemars" elle voulait rajouter mais elle préférait ne pas aborder le sujet pour ne pas devoir parler encore une fois de Manchester. Par contre, le massage lui semblait divin. C'était rare, pour ne pas dire impossible, de la voir se relaxer autant au touché de quelqu'un d'autre. La suggestion de retirer son pull pour mieux pouvoir la masser était très attirante, mais elle ne savait pas si ça franchissait la limite de l'approprié. Mais son touché était pourtant si bon... et puis il pourrait ainsi lui faire son dos, mais si c'était le cas, il faudrait qu'elle s'allonge le long du canapé, et dans cette position, ce serait impossible de partir si il décidait de faire quoique ce soit. Priscilla avait déjà fait confiance pour que Hayao la touche ainsi, montrer un peu plus de peau pour donner un accès plus facile ne changeait en soit pas grand chose.

«D'abord vous voulez toucher mes fesses, et maintenant vous voulez voir mon dos, vous ne seriez pas un pervers ?»

La jeune femme essayait de cacher sa gêne avec une blague. Bien évidemment elle plaisantait vu son ton, mais au fond, elle n'était pas entièrement à l'aise à l'idée d'être presque torse nu en la présence de son tuteur. D'un geste hésitant elle retira son haut, révélant son dos. La seule chose qui restait sur son torse était maintenant son soutien gorge mais il était hors de question d'enlever ça.

«Attendez...»

Priscilla se repositionnait sur le canapé, s'allongeant à plat ventre. Ainsi, Hayao pouvait facilement atteindre ses épaules et son dos. Ce qu'elle n'avait pas penser par contre était qu'il pouvait tout aussi facilement atteindre bien d'autres endroits sur son corps s'il le souhaitait sans qu'elle ne puisse faire grand chose, ou même en profiter pour se rinser de l'oeil sans qu'elle puisse ne s'en rendre compte. Elle était très vulnérable dans cette position, comme une proie coincée sur le canapé. C'était une preuve de confiance assez extrême pour Priscilla qui ne pensait que du bien de son professeur.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Enquête d'actions (pv Claire)
« Dernier message par Kilian Piers le mercredi 12 juin 2024, 18:11:22 »
Je peux sans me vanter dire que des femmes insatiable j'en ai croisé, je me suis fait violence pendant des années pour en arriver là. Et pourtant une qui se jette sur moi comme ça, c'est une première. Soit se prendre une queue est une question de vie ou de mort au sens littéral, soit j'ai rencontré la plus intense chienne de cette ville. Étonnant d'ailleurs que je n'en ai pas entendu parler plus tôt.

Mais puisqu'elle a l'air de faire une fixette sur moi, autant s'amuser un peu et voir jusqu'où elle peut aller. Et la trique que j'ai dans le pantalon ne va rien faire pour éteindre sa fureur.

"Où?"

Laissant mes mains se balader sans gêne sous sa brassière pour prendre son sein à pleine main, pour lui montrer que la baiser en public ne me ferai ni chaud ni froid.

- Du calme beauté, on a tout le temps, on est que dimanche matin. Tu reconnaitras au vu de ton état que tu n'es pas en position de discuter. Suis moi.

Me servant de la force de mes bras pour me dégager de sa puissante étreinte, je la fait se lever pour la guider dans une salle vide. A l'insant où la porte est fermée, elle se retrouve coincée contre un mur, les poignets en l'air et ses lèvres prises en otage par les miennes. Je ne rencontre aucune résistance lorsque ma langue vient conquérir la sienne. La fureur de ce premier baiser est sans équivoque sur notre désir commun, mais seul l'un de nous sait se tenir et est même sadique sur la frustration.

- On va passer la journée ensemble, et tu feras tout ce que je te dirai, avec le sourire. Tu ne protesteras pas, tu ne fuiras pas, tu ne te plaindras pas. Et crois moi, tu supplieras.

Glissant ma main sous son cuissard, tenant à controler la marchandise avant de commencer. Putain elle s'est pissé dessus ou quoi ? J'ai l'impression d'avoir passé ma main sous un jet d'eau tellement c'est trempée. Comme quoi je ne me suis pas trompé sur elle.

- Cela étant, je me doute que tu ne joueras pas sans être sure de la récompense. Donc tu as le droit de voir, et toucher des doigts uniquement. Le reste viendra plus tard.

Sans attendre, je baisse mon short laissant apparaître la queue bien dressée, veineuse, épaisse qui laisse une marque indélébile une fois passée, tel un tsunami, il y a un avant et un après. Il ne fait pas de doute que comme toutes les autres, elle vendrai père et mère pour la connaître plus.

Restant droit, collé à elle, je guide ses doigts pour la caresser.

- On a un accord ?
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One Shot / Re : Je ne vous dis pas merci les haters ! [Shun]
« Dernier message par Mirena le mercredi 12 juin 2024, 16:18:03 »

Adieu la possibilité de m'arrêter dans une pharmacie. Notre route se retrouve brusquement bloquée. Obligeant ainsi le chauffeur à faire un détour par un quartier dont je connais le nom à cause de sa réputation. S'y arrêter quand on est une "oie blanche" est purement suicidaire. Ariane ou Ruby auraient pu, elles ont le caractère et la tchat nécessaire pour se fondre dans le décor. Moi je suis une cible de choix avec mon handicap. Cependant, plutôt que de devoir endurer encore cette douleur lancinante, je reçois une proposition d'aide de la part de Kentaro. Il parait assez logique qu'il sache comment faire avec ce genre de petits bobos. Durant son passage dans la marine il a surement eus pire à gérer. Je dois lui paraitre tellement chochotte à me plaindre pour ça.

- Oui, ça m'arrive souvent, d'habitude je mets un patch chauffant et ça repart. Mais là, je vais devoir m'en remettre à vous. Ah, ne soyez pas trop surprit, j'ai la peau très froide.

Classique pour une vampire. Dos à lui, je le sens bouger sur la banquette. Sa main sur mon bras est ferme, pourtant je sens qu'il fait attention à ne pas serrer. C'est agréable qu'il fasse autant attention à ne pas marquer ma peau. Ses gestes sont méticuleux et son souffle frôle mon oreille à chaque étape qu'il m'explique. Je sens une brusque chaleur me monter au visage, mes oreilles ne sont pas épargnées dans cette histoire. Et pire encore, maintenant il peut voir mon état vu que nos regards se croisent. J'en oublie toute cette histoire d'épaule endolorie, tant il me trouble.

Un flottement s'installe entre nous, alors que je déglutis avec difficulté. Il est diablement attirant, surtout vu d'aussi près. L'instant d'après je suis encore plus déconcertée, sa chaleur enveloppe mon corps comme un écrin. Histoire de rendre le tout encore plus gênant, le chauffeur se prend une bosse ou je ne sais quoi du genre. Voilà que j'atterris entre ses cuisses et je peux vous assurer que c'est uniquement du muscle. Bon sang, j'ai chaud. Je suis forcée de me mordre la joue pour reprendre mes esprits et vite me dégager. Mon cœur bat la chamade et la douleur a disparue.

Force est de constater qu'il est aussi doué de ses mains pour signer que pour soigner. Mon esprit vagabonde et se demande pour quoi d'autre elles le sont, ce qui me fait piquer un fard. Non mais je suis complètement malade d'avoir ce genre de pensées ? Il faut que je me ressaisisse, après tout ça ne lui a fais ni chaud ni froid, je ferai bien de prendre exemple sur lui ! Rah et mes joues qui ne veulent pas reprendre le couleur habituelle, ça va me rendre folle. J'ai besoin de me raccrocher aux branches et ce qu'il dit à propos de la cryothérapie va peut être m'aider.

- Si jamais ça ne va pas mieux dans quelques jours j'y songerai. En tout cas merci à vous Kentaro, pour le moment je n'ai même plus mal.

Par contre j'adorerai ne plus avoir ces images qui me traversent la tête. J'ai un mal fou à soutenir son regard à présent. Heureusement pour moi, nous arrivons enfin à destination. Notre proximité est un peu trop enivrante pour que j'arrive à garder les idées claires : il faut que je sorte de là. Ce que je fais avec un empressement un peu trop visible. Bon, j'ai envie de dire que foutue pour foutue hein… Il a bien vu la teinte carmin que j'ai arboré quand j'étais contre lui ou encore ma maladresse quand je me suis relevée. Il est loin d'être naïf et m'a surement grillé depuis cet instant.

Tout ce que je peux faire maintenant c'est essayer de passer à autre chose, souci ça va être le malaise assuré entre nous. Moi parce que j'ai honte de mes pensées, lui parce que mon corps le révulse très certainement. Allé, j'ai une visite à assurer, je dois me reprendre. Et ça commence par respecter à la lettre les consignes qu'il m'a données dans la voiture. Donc pas le droit de le fuir comme une gamine ! A la place que me met accroupie et accueille dans un énorme câlin trois enfants qui viennent me saluer. Deux filles et un garçon : Mathilde, Sélène et Adam. Ils sont tous les trois âgés de six ans et ce sont ceux que je sponsorise personnellement. Le directeur, qui est aussi là pour me recevoir, m'indique qu'ils ont été de véritables piles toute la journée. Sans cesse à demander quand j'arrivais. Je me redresse avec Sélène dans les bras, j'attrape mon synthétiseur vocal et commence à pianoter.

- Bonjour, je suis contente de voir que tout le monde va bien. Je vous présente Kentaro, nous n'avons pas eus le temps de vous prévenir : il assurera ma sécurité pendant les jours qui viennent.

Je fais un petit clin d'œil à Adam qui regarde mon garde du corps avec des étoiles dans les yeux.

- Vous vous présentez vous-même les enfants ? Je suis sûre que monsieur Kentaro aimerait mettre des noms sur vos adorables bouilles.

Sélène et Mathilde s'empressent de le saluer comme il se doit, mais le petit garçon lui reste timide. Comme s'il n'osait pas se lancer, trop impressionné par ma "nounou". Alors je dépose Sélène et attrape le petit bout de chou pour l'approcher de sa nouvelle idole. Une fois de plus me voilà un peu trop près de lui à mon goût. Heureusement la présence du petit me calme.

- Dis bonjour Adam, il ne va pas te mordre promis.

Finalement voilà que le bonhomme arrive à se présenter à son tour et j'ai un sourire radieux. Les autres orphelins nous rejoignent alors dans de grands cris et nous entoure. Seulement un premier quiproquo pointe le bout de son nez. Dans les questions qui fusent il y en a une qui se répand comme une trainée de poudre. J'ai les joues en feux alors que les enfants scandent "c'est ton amoureux Irène ?!". Achevez-moi pitié.
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Les alentours de la ville / Re : Trouver la paix [Pv]
« Dernier message par Claire le mercredi 12 juin 2024, 15:23:34 »
Ah comme c'est bon!
Je mets quelques secondes à revenir de mon nirvana pour m'apercevoir que mon inconnu me mate en souriant. Urgh! Il risque de croire que je prends mon pied si je ne réagis pas très vite. Je sais que les hommes s'attachent à moi quand je n'affiche pas ma tête de junkie malade aussi je vais très vite briser ses rêves. Je pense que j'ai suffisamment donné et que j'ai eu ma dose de régénération. Il me reste juste le finish inéluctable, le dernier coup dur à avaler, c'est le cas de le dire. De ma malédiction, c'est ce que je déteste le plus: subir l'humiliation de devoir avaler tout le plaisir de ces messieurs. Vous n'imaginez pas tous les goûts qu'on peut retrouver dans ce truc pas ragoutant!

Je le laisse parler. Il a l'air de continuer à nager dans son délire mais je suis sûre qu'il joue le rôle du papa qui prend soin de sa progéniture. Y'a des fantasmes comme ça ... En guise de remerciements parce qu'on a quand même un peu galéré, je lui offre un sourire presque sincère et me redresse pour le retirer de mon corps. Je m'apprête à glisser sur ses cuisses pour gavage de la touche finale quand ... hé! .... Un truc bizarre me remue un peu l'estomac, comme une crampe Je fronce les sourcils et une grosse goutte de sueur perle de ma tempe le long de ma joue. Merde! C'est trop tôt! Sens inverse, je reviens m'empaler sur lui et reconduire ma danse du ventre quand je m'aperçois que son doigt explore une zone préservée. Mon regard dévie sur l'horloge accrochée au dessus du lit. Encore quarante minutes ... Étrange, d'habitude je me requinque assez vite et là, entre la ruelle et l'hôtel, ça tarde à être efficace. Je réfléchis. C'est peut être mon attitude polaire du début qui a contrarié le bon processus du truc ... Bon, il a payé et je me dois d'être un peu honnête. Je lui fait ma tête de hyène, aussi malicieuse que vicieuse, les yeux plissés, une mèche de mes cheveux courts me barrant le visage.

"T'es pas bien au chaud là? Tu veux passer par l'autre porte?"

Je minaude même si je me serais bien abstenue d'une sodo. Mais fatalement, ça revient souvent sur le devant de la table car ces messieurs semblent unanimement passionnés par mes fesses. Je me suis déjà demandé si le problème venait de moi mais quand je leur laisse le choix, ils font souvent semblant de se planter de passage. Certains s'excusent alors qu'ils savent très bien ce qu'ils font; d'autres assument complètement. Autant dire que cette pratique là, qui n'a jamais été ma préférée, ne m'est pas étrangère.

Une deuxième goutte suit le trajet de la première. Non, il y a vraiment quelque chose qui cloche. Qu'on ne me dise pas que je n'y ai pas mis d'intensité, c'est faux. Peut être que le problème vient de lui? Tiens ... et pourquoi pas oui?

"T'as pas envie de tout donner là?"

Il pourrait s'étouffer devant ma provocation involontaire mais je me pose sérieusement la question. Et puis qu'il arrête avec "mon Bien". Il ne sait pas ce que j'endure.

Je réponds à son tâtonnement en le quittant à nouveau pour me mettre à quatre pattes sur le pieu. Reins creusés, fesses en l'air, c'est très clair. Je m'étire pour ouvrir le tiroir du chevet et y trouve par miracle un tube d'un truc qui doit ressembler à de la vaseline. Je lui donne en faisant la moue. J'ai pas envie mais ... Troisième goutte ...
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One Shot / Re : Je ne vous dis pas merci les haters ! [Shun]
« Dernier message par Shun le mercredi 12 juin 2024, 14:39:44 »
Le chauffeur est-il un messager du destin envoyé en précurseur pour évaluer les possibilités que ces deux-là soient bien plus que deux êtres amenés à se croiser puis s'oublier? Qui sait?
La circulation dense est plutôt responsable des rapprochements involontaires dont sont victimes Kentaro et Irène. Au premier contact de leurs doigts, le garde du corps a été pris d'un frisson qui l'a traversé des pieds à la tête. Et cela a continué à chaque effleurement, comme si l'artiste distribuait son énergie pour le happer dans ses filets. La conscience de Kentaro restait neutre et appliquée, fermement concentrée sur son travail, mais son corps réagissait chimiquement à l'attrait de la jeune femme, construisant une ligne directe vers la vie intime du jeune homme.

Les consignes fondamentales étant données, la suite est plus légère et agréable. Les enfants ... vaste de sujet de bonheur mais aussi d'inquiétude car s'il est bien des âmes qu'il faut savoir choyer et préserver, c'est bien celles des enfants. Encore un point que les deux héros partageaient.

-Dans leur malheur, ils ont de la chance de vous avoir. Ces moments passés avec vous leur seront inoubliables.

Irène grimace. Elle doit avoir un début de contracture. Accédant à sa demande, il s'apprête à la faire remonter au chauffeur quand il s'aperçoit qu'ils quittent l'itinéraire principal. Le chauffeur les informe qu'il y a beaucoup trop de monde et qu'un accident en amont créé des bouchons monstrueux; Il faut faire un détour et la voiture s'engage dans un quartier dont le nom ferait frémir Mei d'angoisse. Hors de question de s'arrêter là ! Les pharmacies du coin sont plus des repaires pour toxicos que des distributeurs de médicaments. Maintenant, il n'est pas démuni face au petit problème que rencontre Irène.

-Ça doit être une contracture. Votre guitare vous oblige à une tension quand vous jouez assise. On ne peut pas s'arrêter ici et on pourrait être en retard. Si vous le permettez je suis en mesure de vous aider.

C'était inhabituel et osé de demander à toucher la personnalité dont il avait la charge. En fait, c'était même interdit par la société mais ... le courant passait tellement bien ... Et puis ce n'était pas de l'abus.

-Ne soyez pas surprise quand vous me tournerez le dos. J'appliquerai une contrainte sur votre épaule droite pour détendre votre muscle et le travailler en pression. Vous êtes d'accord? Ce ne sera pas douloureux mais si cela vous est désagréable, tapez moi sur l'avant bras de votre main libre.

Il la fit lui tourner le dos et se plia sur la banquette pour prendre la même position qu'elle. Il lui ramena le bras droit derrière le dos, replié sur lui-même, et passa le sien dans le creux créé pour immobiliser l'épaule. En soi, c'était une clé de bras style MMA sauf qu'il n'irait pas jusqu'à la fracture ... Il la fit ensuite basculer sur sa cuisse en appuyant sur le muscle endolori  et maintint la position. En parlant, il lui détaillait tout ce qu'il faisait et pourquoi. Tout allait bien jusqu'à deux points. Le premier, il prit en plein nez une bouffée de parfum mêlant produit de luxe et odeur naturelle d'Irène. Et le deuxième fut une plongée vertigineuse dans le décolleté de l'artiste, baillant large sous la contrainte de l'exercice. Kentaro la dominait de sa taille et quand leurs regards se croisèrent, ce fut lui qui fut dominé par le violine d'iris aux pupilles rondes et pleines.

"Je ... je vais appuyer à présent ..."

Il le fit et le corps tiède d'Irène s'ancra dans le sien pour le meilleur et pour le pire. Il avait déjà remarqué sur les photos de MIRENA qu'Irène était la plus ... en formes ... de toutes les filles et il pouvait le constater tactilement à présent. D'ailleurs, un heureux soubresaut du véhicule la fit glisser entre ses cuisses et ils se dépêtrèrent difficilement de leur imbrication.

"Oups ... désolé ..."

Faire comme si de rien n'était était la meilleure des conduites à adopter. Mais au moins, le traitement semblait avoir été efficace. Kentaro avait naturellement les mains chaudes et irradiantes, ce qui était le cas d'une infime partie du genre humain. Il aurait pu être masseur pro plutôt que militaire. Les mains reprirent leur langage.

-Ça va mieux? Une petite séance en cryo pourrait aussi vous aider.
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Les alentours de la ville / Re : Trouver la paix [Pv]
« Dernier message par Hayao Tachibana le mercredi 12 juin 2024, 13:39:55 »
Apparemment l’idée de se faire passer dessus par un groupe l’effrayait suffisamment pour prendre les choses en main. Avais-je trop titillé ? Peut-être… je brulais de curiosité et je me disais qu’une telle curiosité ne serait pas forcément assouvie. C’était drôlement frustrant. Je levais les yeux au ciel, en la suivant, me laissant entrainer après avoir rangé mon sexe moi-même puisque son crop semblait plus important. Non mais vraiment, le service qualité n’était pas fou…. Je me plaindrai au SAV…
La bonne blague.

Nous étions clairement suivis et je me contentais de me dire que s’ils avaient été réels, ils n’auraient probablement eu aucun mal à la bloquer. Comme tout le reste, mais les choses se passaient étonnamment bien pour elle sur le trajet. Quel dommage…
Mais puisqu’elle savait où aller, alors je la suivais. Je ne risquais pas grand-chose. Je regardais la jeune femme avec un sourire en coin alors qu’elle me guidait, faisant fi des « poursuivants », jusqu’à un truc un peu miteux, clairement un love hôtel bas de gamme où tu payais à l’heure quoi… et elle payait pour une seulement, comme pour s’assurer que ça n’irait pas au-delà… ben voyons mon colon. Une heure pour lui faire ce que je souhaitais. Ça pouvait être aussi long que court.

Les lieux n’étaient pas fous mais ils avaient l’air propre. Par principe je savais qu’ils l’étaient. Ou qu’ils le seraient même s’ils n’avaient pas semblé l’être. Je me respectais moi-même… et toujours sur a lancée, miss chatte-en-feu, parce que vu son état, ce surnom lui allait particulièrement bien, se dépêcha de me mettre ce qu’il fallait à l’air et de se dessaper pour limite se jeter sur moi, sur le lit, pour le sa mettre au fond, heureusement que c’était un rêve, car c’était sans capote… et taper dans le fond d’une pute dans un hôtel miteux, sans capote, c’était une belle connerie…

« Eh ben… à croire que tu n’attendais que cela… »

Elle gémissait fort joliment, il fallait le reconnaitre, et même elle, elle reprenait des couleurs, elle semblait en meilleur santé, maintenant que j’y pensais, le visage plus coloré, les yeux plus vifs et moins creusés que quand je l’avais vue dans la rue tout à l’heure, avant même d’aller dans la ruelle…
Non… ce n’était quand même pas…
Oh comme ça allait être amusant…

« Vraiment en manque… »

Je ricanais, alors que je donnais une jolie claque sur chacune de ses fesses en même temps, mes mains restant alors en place un moment avant de remonter le long de ses reins. Je soupirai, reconnaissant qu’elle savait y faire, même comme ça, entre les contractions et les ondulations… quelle belle petite salope que voilà… je frissonnais avec jeu, attirant son corps contre le mien, comme pour de la tendresse.
Mes mains remontèrent encore, dans son corps, à sa nuque, à ses cheveux, avant de redescendre. Je venais saisir ses deux jolies petites poires et je jouais avec, avant de commencer à en mordiller la pointe de l’un de ses seins, jouant avec de mes lèvres, de ma langue, de mes dents…

« Une heure donc ? on va bien s’amuser… »

Je pinçais l’autre mamelon entre mes ongles sans prévenir, avant de lui dire, doucement.

« J’espère que tu te sens prête à encaisser… car je vais profiter de chaque seconde comme j’en aurai envie… »

Je faisais de nouveau glisser mes mains dans son dos jusqu’à ses fesses que je griffais doucement, avant de venir lui titiller l’arrière du bout du doigt, bien amusé de voir comment elle y réagirait. Vu comment elle se comportait jusque-là, elle devait aussi être chevronnée par-là, non ?

« Montre-moi comme ça te fait du bien, ma belle… sinon, tu auras fait tout cela pour rien… »

Alors, je commençais à la pousser à se sentir, lentement, revenir à l’état dans lequel je l’avais rencontrée.
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Les alentours de la ville / Re : Trouver la paix [Pv]
« Dernier message par Claire le mercredi 12 juin 2024, 11:23:56 »
C'est lunaire ce qui se passe là. La petite escapade rapide de la semaine risque de se muer en un truc tordu dont je n'ai pas envie. Je rappelle que là, je ne m'éclate pas. Je ne suis pas avec mon petit copain à batifoler et partager des molécules d'amours. Non, je suis avec un homme que je ne connais pas et qui va profiter de l'opportunité qu'il a puisque je ne peux pas me défiler.

"Non, surement pas!"

L'idée d'un plan à six me donne la nausée. Et même l'argument de l'argent facile ne me fait pas dévier d'un millimètre du fait que non, on ne me prendra pas en sandwich. Donc étant donné que mon partenaire semble porter sur le partage et la générosité, je me lève et me dandine pour remettre mon top. Là, pour le voyeur, plus de fausses perceptions. Mon mouvement prouve bien que je taillais une pipe publiquement. Il crie un truc que je ne comprends pas et ceux restés au fond de la ruelle lui répondent.

"On s'en va!"

Je renifle, prend mon homme par la main et le tire hors de l'endroit pour rejoindre la rue principale en toute hâte. On pourrait avoir l'air mignons tous les deux si je n'avais pas le visage un peu marqué par ma dernière prestation. Sans trop savoir où je vais, je fonce sur le trottoir en trimballant mon fardeau. J'entends qu'on m'appelle et je presse le pas, le groupe semble avoir pris la décision de s'inviter dans mon univers. Je cherche, je zieute, il me faut un échappatoire pour terminer ma mission du soir.

Là!! Un hôtel bas de gamme mais qui doit appartenir à un ponte du quartier car deux costauds veillent à l'entrée. Ça sent le proxénétisme à plein nez mais au moins j'y serai tranquille. Je ne demande pas l'avis de mon beau brun qui curieusement me suit, marqué de son sourire qui signifie un peu tout et n'importe quoi. Il faut que ça cesse. J'ai assez tergiversé, j'ai assez perdu de temps.

Je m'engouffre dans le hall de l'établissement sous le regard vigilant des deux cerbères. Pour eux, rien de plus normal qu'une pute trainant son client dans l'antre de la luxure.

"Une chambre! Pour une heure, pas plus!"

Je m'adresse au vieux fatigué derrière son comptoir. Il me tend une clé à deux à l'heure et j'ai envie de le secouer. Je paye. Je m'en fous. Pour mon client, ça doit sembler irréel, rien n'a de sens. Il peut poser toutes les questions qu'il veut, je passe une soirée de merde donc je la prends en main et je rentre chez moi. Le temps que l'on monte un escalier étroit et poussiéreux, que j'ouvre une porte en bois grinçante, et enfin je découvre le petit nid d'amour qui nous est offert. Le lit est une antiquité mais les draps ont l'air propres. Un cabinet de toilettes offre le minimum mais c'est bien plus qu'il n'en faut.

Je me tourne vers mon inconnu et le déshabille frénétiquement. S'il bronche, je suis tellement nerveuse que je pourrais le balancer par la fenêtre. Mes alarmes internes sont au rouge. D'un mouvement sec, je rabaisse son pantalon sur ses chevilles, trucide son boxer, et le pousse sur le lit. On continue sur le thème passionnel de la poésie romantique version gonzo 2024. Je fais l'effort d'enlever mon haut pour lui, me débarrasse de mon legging et de ma culotte, et lui grimpe dessus. S'il veut encore observer la marchandise, faudra attendre. Je le ramène à la vie entre mes doigts et quand il est prêt ...

"aaAAAAHHH!!!"

... je m'empale sur lui sans prévenir.

"Ah enfin!!"

Un éclair fulgurant de vitalité m'envahit, se traduisant par un beau sourire rassuré. Je ne mourrai pas aujourd'hui! Bien sûr, je me suis fait mal puisque j'ai sauté les étapes préparation et lubrification de la région ... Mais on dira que c'est un mal pour un bien hein ... Je prends appuie sur son torse et ondule en rythme, montrant enfin que je peux aussi avoir l'air normale. Si je gémis, c'est uniquement car je sens le poids de la malédiction se dissiper tout doucement. Je suis passée près du drame ce soir.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Enquête d'actions (pv Claire)
« Dernier message par Claire le mercredi 12 juin 2024, 11:22:05 »
C'est toujours sympa d'être sur la même longueur d'ondes que quelqu'un. Quand le courant passe, on le sait instantanément et ça peut faciliter bien des choses. Alors, évidemment, on va éviter de copuler au milieu de la salle, aux vues de tous, mais ça n'empêche pas de sombrer dans un petit de jeu de séduction. Étant donné que j'ai anticipé (pour une fois) mon obligation hebdomadaire, j'ai le droit, et je me l'accorde, de faire comme ferait n'importe quelle fille normale de mon âge. Un flirt ++ est envisageable. Depuis le temps ... j'ai oublié ce qu'une relation voulue et préparée voulait dire. Je suis toujours dans l'urgence et mes talents de séductrice laissent à désirer. Je suis plus prompte à m'agenouiller qu'à prendre le temps d'exciter mon partenaire. Là, je peux.

Seulement, c'est sans compter sur le fait que lui aussi à des idées bien arrêtées. Il sait que je sais qu'il sait tout comme je sais qu'il sait que je sais ... Il fait le premier pas, ôte son débardeur, je salive un peu, et joue à m'allumer. Ça pourrait être sexy et je pourrais commenter mais si je tiens encore dix secondes ma position, mes bras vont s'arracher de mes épaules... Ça aussi il le voit. Je l'ai déjà harponné du regard et maintenant, j'ai besoin de lui. Il vient me libérer de mes poids et j'en profite pour m'adosser à lui, à peine exagérément. Entre mes omoplates, je sens l'objet de ma convoitise, je ne suis pas déçue.

Le timbre de sa voix me plait, d'autant plus que c'est bien à moi que c'est adressé.

"Je suis maladroite, j'ai toujours besoin qu'on me prenne en main."

Je suis un peu rouillée question réplique amoureuse mais bon, ce n'est pas si mal et ça ouvre une autoroute dont je suis le terminus. Au moins, s'il avait encore un tout petit doute quant à ce que je voulais, il était vaporisé. Je me lève du banc de la machine et me retourne. Pretty woman!! Cette scène là, on pourrait l'inclure dans le film. Moi, aussi sexy que fragile, face à lui, tellement beau et prometteur ...  Il est plus grand que moi et je dois lever la tête pour l'observer. Je le passe en revue et mon scanner est performant. Il a un beau visage avec les arêtes carrées de sa mâchoires qui lui donne un aspect de guerrier de la fonte. Son torse et ses bras sont puissants et dessinés et je m'autorise à laisser mon index en suivre les formes.

"Quel ... corps ..."

Tu peux mieux faire ma chérie mais ce n'est pas grave. Profite pour une fois.

C'est lui qui m'entraine à l'écart. Pour une fois que ce n'est pas moi qui ai à tirer un mec dans un coin comme une morte-la-faim; je le laisse faire. Combien pèse t'il? Sur moi, il devrait être lourd ... Je ne tarde pas à le découvrir quand il m'impose certains mouvements d'étirements précis qui nous amènent à nous rapprocher. Il est collé à mon dos et je sens son souffle sur ma nuque. Bientôt... C'est cliché mais je m'en fous. C'est dingue en ce moment comme j'ai tendance à ignorer les standards sociaux humains... En plus, bien que j'ai pris de l'avance, mon corps réagit quand même à ma malédiction comme un chien qui s'éveille d'un coup quand on lui jette un os. Alors ok, je serai sa chienne! Arrgh Claire ... tu t'entends là? Ben quoi? Un peu de compassion, mon histoire est triste alors qu'on me laisse profiter pour une fois. Je m'échauffe sous sa pression jusqu'à ce qu'il me pose la question qui déclenchera tout.

"D'après toi?"

Je n'ai pas répondu, j'ai feulé. C'est sorti du fond de ma gorge comme une rivière de lave s'échappant du cratère d'un volcan. Je pivote sur mes fesses pour lui faire face et me colle à lui en croisant les jambes dans son dos. On bascule dans les préliminaires du kamasutra plutôt que sur la poursuite de la séance d'étirement et les deux autres gars présents ne peuvent s'empêcher de commenter ma gestuelle. Oui, je vais y passer. Et alors?

Je sais que je peux faire garçonne mais là, ce n'est pas le cas. Mon regard pue le sexe débridé, je suis cambrée pour que ma petite poitrine pointe juste sous son nez. Mes abdos sont creusés et mes hanches offrent un bon point d'accroche, qu'on soit devant ou derrière.

Le garçon n'a pas l'air choqué et tant mieux car je suis prête à tout. Maintenant je reste moi-même et ne peux m'empêcher de me dire que je suis tombée bien bas.

"Où?"

Il doit me prendre pour une sacrée salope ...

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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Hayao Tachibana le mercredi 12 juin 2024, 08:01:12 »
Au moins, elle reconnaissait qu’elle devait se focaliser pour ne pas se laisser déborder par son passé. Je comprenais. Mais il était important que ce passé la hante encore longtemps. Parce que c’était son passé qui la ferait me céder tout et n’importe quoi. Y compris la dignité qu’elle espérait avoir en ces lieux. Je lui souris et doucement nous en vînmes à sa récompense. Je lui fis un sourire entendu alors qu’il était question du massage et l’idée semblait la ravir, bien que la faire hésiter. J’aurai pu me moquer, en fait, de la voir hésiter sur où la masser. Mais que craignait-elle ? que je vienne la peloter ? Allons, pas si directement ; je le ferai quand je sentirai qu’elle se laisserait faire. Sinon, ce restait risquer de détruire tout le travail que nous avions accompli.

Finalement, elle se décida et se réinstalla sur le canapé, me proposant les épaules, comme si elle n’était elle-même pas sûre d’elle.

« Hum… très bien, c’est ton choix. »

Je me levais et me glissais derrière elle pour m’exécuter, commençant à poser mes mains sur ses épaules, et venir presser mes doigts aux bons endroits, mes pouces contre ses omoplates appuyant en faisant de petits cercles. Les gestes étaient doux, mais fermes.

« Houlà oui, que de tensions. Toi, tu as du mal à te détendre, même quand tu es seule et tranquille chez toi, je me trompe ? »

Je continuais mes gestes, changeant la position de mes doigts avec douceur et fermeté, histoire de la soulager comme elle l’espérait sans doute quoiqu’entre nous, vus ses rêves, une bonne masturbation lui aurait fait davantage de bien. Je ne commentais pas cela à voix haute ceci dit.

« Si tu le souhaites, tu peux retirer ton pull pour que je masse mieux. »

Libre à elle d’agir comme elle le souhaitait sur le sujet. Pendant ce temps, mes doigts étaient remonté, la majeur partie de ceux-ci avaient glissé à sa gorge, délicatement, mes pouces lui massant les cervicales, qui semblaient bien raides aussi… elle avait la peau douce, alors que je continuais fermement.

« Alors, comment tu trouves mes massages ? »
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Ohlala
« Dernier message par Draven Dairn le mercredi 12 juin 2024, 07:41:10 »
courage à toi ! Fais comme tu peux ! ;)
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