Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un retour dans le sang et les larmes pour reprendre à zero [ Rubis ]
« Dernier message par Karl Neumann le dimanche 15 décembre 2024, 22:52:47 »
Sous la taquinerie de la demoiselle qui fut donné en tant que réponse à ses mots, il plissa les yeux, venant se venger de ses mots ainsi que son sourire taquin, venant enfoncer son bassin dans le matelas pour se reculer le plus possible d'elle, la pointe de sa lance flirtant désormais ses pétales de roses trempé avant de revenir au plus profond d'elle avec intensité, ses mains venant se poser sur ses hanches pour appuyer cela, sa pointe pressant au fond d'elle à s'en faire mordre les lèvres de plaisir de son coté en la fixant du regard, souhaitant plus que tout voir et écouté sa réaction à cette vengeance, reprenant un rythme lente et ample avec elle, caressant doucement son fessier, puis le reste de son corps soyeux et chaud à souhait.

Sous un nouveau baisé divin des plus délicieux aux yeux de Karl, puis, vint à sourire sous ses nouveau mots tout aussi doux et réconfortant, se savoir aimer, se savoir désirer, après tant de temps, qu'est ce que cela pouvait faire du bien se disait-il.

" Tu es merveilleuse toi aussi et je t'aime, je te désire et je te veux."

son regard plongé dans la sien, admirant les prunelles écarlate de la demoiselle pétillante et luisante sous la lumière tamisé de la chambre, ses hanches jouant sensuellement sous et contre le sien, reprenant des baisers qui les échauffaient de plus en plus, reprenant un rythme qui chauffait à la perfection de leur deux corps. Mais, il pouvait la sentir garder un rythme sensuel, roulant contre lui, sentant sa peau frotter lentement contre la sienne avec un effet indescriptible à ses yeux, venant l'écouter lui demander ce qu'il souhaitait pour partir tout les deux au paradis. L'une de ses mains remonta sous ses mots, venant lui sourire en caressant ses cheveux enneigé, lui murmurant d'une voix douce en continuant délicatement leur danse.

" Ce qui te plaira, tout me va tant que tu grimpe au ciel de la plus délicieuse des façon à tes yeux."

Ses mains continuaient doucement leur va et viens sur son corps divin, suivant ses courbes pour la couvrir de caresses et de douceurs, d'attention et d'amour alors que ses hanches continuait de jouait contre les siennes, offrant toujours un va et viens ample en elle, attendant sa réponse.



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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Hayao Tachibana le dimanche 15 décembre 2024, 21:32:23 »
Sa bouche était délicieuse et la quitter avait été un vrai déchirement, d’une certaine manière. Je lui fis un air encourageant, comme pour lui dire que je ne souhaitais pas la blâmer d’un manque d’effort ou de qualité ; que tout allait bien.
Ses excuses, par contre, elles n’allaient pas forcément.
Je regardais la jeune femme avant de finalement lui faire un sourire en coin, amusé. Elle ressentait la taille de ce qu’elle prenait en bouche, quand c’était posé le long de l’arête de son nez ? je pariais qu’elle pouvait se sentir fière de faire ressentir ça à un homme. Beaucoup refusaient de le reconnaitre. Elle, par contre, je pariais qu’elle n’y voyait aucun inconvénient au fond d’elle-même, une fois que sa fausse gêne se serait dissipée. D’autant qu’elle clamait qu’elle n’avait pas honte de respecter les écrits sacrés.
Elle le répétait comme un mantra.

« Bien. Mais c’est faux…. Il faudrait que tu dises que tu n’as pas honte de sucer une queue. Dis-le, sœur Blum. »

Le tutoiement brisait une distance que j’avais gardé jusqu’ici. / je lui fis un sourire avant de finalement le répéter doucement.

« C’est ça la vérité, tu n’as aucune honte de sucer une queue ; et je parie même que ça t’excite. Admets-le. Sinon, ce serait facile de me contredire n’est-ce pas ? Il suffirait de montrer ce qui se cache sous le ruban, entre tes jambes… »

Elle chercha à passer outre mes questions, mais je la repoussais d’un geste léger mais ferme, de sorte à ce qu’elle soit forcée de répondre pour pouvoir continuer sa sainte mission. Alors, de mauvaise grâce, elle me répondit. Et je me contentais d’opiner du chef. Aucun reproche, aucun jugement ; je me contentais de savoir ce qu’il en était vraiment.

« Je vois… »

Je venais caresser ses cheveux, doucement, comme à une enfant, peut-être, tout en ne l’empêchant pas de reprendre en bouche. Je l’aidais même en posant mon gland contre l’ourlet de ses lèvres.

« Laisse tes mains sur tes cuisses, elles y sont très bien, d’accord ? Utilise uniquement ta gueule. Ou tes pis si tu veux varier un peu. »

Je ne commentais pas son instruction passée, pas avant qu’elle ait à nouveau mon sexe entré entre ses lèvres à la moitié. Alors, je venais poser ma main derrière sa tête et j’appuyais, la forçant à s’étouffer, à prendre en entier ma verge ; je sentais sa luette être agressée par mon gland et je la regardais suffoquer un peu, les yeux rougir, larmoyer. Je la retenais et je lui susurrais alors.

« Tu as mal agi. Et parie que tu espérais éviter le châtiment si personne ne le savait n’est-ce pas ? Alors tu vas devoir expier. Je te ferai expier. Et je te promets que cette expiation te libèrera. Expie et tu seras récompensée. Je t’apprendrai, et je te remettrai dans le droit chemin. Je te ferai gouter la semence avant de t’en oindre. Mais j’attends de toi une dévotion complète. Est-ce que nous sommes d’accord ? »

Je la relâchais.

« Si tu acceptes ton expiation et ta rééducation, fais seule ce que je viens de te faire faire. »
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Petite pause pour les fêtes
« Dernier message par Anéa le dimanche 15 décembre 2024, 21:14:57 »
Profite bien, et passe également de bonnes fêtes !  :D
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Le coin du chalant / Re : Bound by Twilight (1/2 ~ disponible)
« Dernier message par Grayle le pérégrin le dimanche 15 décembre 2024, 20:53:23 »
Bonjour Séléné ! Je me remet au rp et des rps courts avec ton apothicaire chasseuse de monstres pourraient être bien ! Grayle n'a ni la force, ni la puissance ou la vitesse de Séléné, mais son immortalité pourrait en faire un sacré allié si nécessaire :)
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 20:34:44 »
Qu'elle était bien appliquée à faire coulisser ce sexe chaud dans la moiteur agréable de sa bouche. De le serrer entre ses lèvres fines et pourtant si douces. Elle lustrait avec minutie ce sexe qui était trop long pour le faire entrer entièrement dans sa bouche, allant chercher à peine plus loin que les trois quarts de sa langue. L'homme se mit à donner le rythme en y mettant plus de vigueur s'enfonçant dans la bouche de l'angélique.

À genoux toujours ce pieux enfoncé dans sa bouche à lui en faire gonfler une nouvelle fois les joues, Blum levait timidement les yeux vers l’homme, un flot de pensées et d’émotions contradictoires l’assaillant. Est-ce qu’elle le désirait ? Ce sentiment naissant et troublant la terrifiait autant qu’il l’attirait. Est-ce qu’elle avait honte ? Une chaleur cuisante au creux de son bas-ventre semblait répondre à sa place, trahissant une part d’elle qu’elle n’osait affronter. Ses yeux, brillants d’une confusion palpable, cherchaient désespérément des réponses dans le regard de l’homme. Y trouverait-elle une condamnation, une compréhension, ou quelque chose d’encore plus effrayant ? La nonne, symbole de pureté et de dévouement, vacillait sous le poids d’une dualité trop présente même dans ses rêves. Elle ne savait plus si elle cherchait à fuir ou à se laisser happer totalement dans le vices.

Elle allait avoir une idée, quand l'homme tira sa tête en arrière pour lui faire lâcher son sexe. Blum eu un pincement au cœur affiché par un regard interrogateur avec une pointe de tristesse qui ne dura que quelques secondes car elle ferma les yeux quand le sexe de l'homme rebondit sur son visage et glissa contre son nez, ses bourses remplies se posant contre son menton. Elle pouvait mieux imaginer la longueur de ce dard qu'elle avait eu dans la bouche avec en preuve sa salive qui coulait dessus et sur son visage maintenant.

- Je n'ai pas honte… de respecter les saintes… écritures…

Elle répétait, presque en un murmure, les mots qu’elle avait déjà prononcés : qu’elle n’avait pas honte. Mais son visage, incandescent de rougeur, semblait la contredire. Chaque syllabe tremblait dans sa voix, fragile, exposant une émotion qu’elle peinait à contenir. Malgré ses paroles, son corps la trahissait encore. Ses gestes étaient mesurés, presque figés, comme si chaque mouvement risquait de la briser davantage. Elle avait reposé ses mains sur ses cuisses dénudées avec l'attention de ne pas enlever ce morceau de ruban qui cachait sa fleur intime. Celle qui pourrait totalement la trahir, si sa bouche et ses mains étaient moites, cette fleur l'était encore plus. Vibrant entre ses cuisses, son humidité maculait sa peau douce sous ce ruban. 

- Je ne fais que… respecter le verset…

Blum avait en tête bien des réponses à cette question, ou plutôt des images qu'elle n'osait pas avouer. Et elle n'était pas certaine de pouvoir articuler une réponse sans trahir ses pensées. C’est pourquoi elle choisit de se contenter d’une simple phrase, espérant éviter une réflexion trop profonde. Derrière elle, les vitraux de l’église se mirent à s'emballer encore, la dévoilant en servante du verset 34 est-ce qu'elle était assidue là était la question.

- Je dois finir…


L'homme n'allait pas la laisser faire voyant dans son jeu et dans les vitraux. Il voulait une réponse plus détaillée du petit ange, elle allait devoir se lancer.

- Je pratique… il m'arrive de pratiquer le verset 34… avec des hommes… quelques fois…

Elle avait honte de l'annoncer et pourtant c'était avouer qu'elle ne respectait pas les saintes écritures avec une bien grande attention. La balance ne penchait pas de son côté dans les deux cas.

- Je n'ai jamais… la sainte… semence… sur mon visage…


Elle continuait dans les aveux regardant à droite à gauche sans jamais rencontrer les yeux de l'homme, cette fois de peur de sentir le jugement. Où la colère de ne pas respecter comme il faut le verset 34.

- Ni… dans ma bouche… gueule… je n'ai pas accompli comme il se doit… mon devoir…

Dans ses ébats, les hommes ne s'étaient jamais finis dans sa bouche ni sur son visage, préférant aller ailleurs car le temps était compté. Les coups de Blum étaient souvent rapides, les préliminaires n'étaient pas très longs et soulever sa robe pour y découvrir sa fleur était rapide.

- Pardonnez-moi…


Elle avait peur du jugement de ce seul homme, qui la voit comme une bonne à rien. Qu'il décide de partir, qu'elle ne méritait pas d'être une bonne assistante du tout puissant.
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Le coin du chalant / Re : Light Angel, à votre service
« Dernier message par Ryo Reynolds le dimanche 15 décembre 2024, 19:37:18 »
Je me relance sur ce forum

Si des demoiselles sont volontaires pour rencontrer Ryo, avec plaisir !
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 19:09:24 »
Pourquoi pourrait-elle être jugée louche ? Après tout, elle ne faisait que suivre son devoir. Blum était une femme d’église, et elle considérait comme essentiel d’aider son prochain, surtout lorsqu’il se trouvait dans le besoin. Et cet homme semblait en avoir bien besoin : il devait s’immerger dans une rivière glacée pour sa toilette et parcourir de longues distances pour aller chercher de l’eau pour son village. C’était une vie de privations qu’elle ne pouvait ignorer. Cependant, avant qu’elle ait eu le temps de lui tendre réellement la main ou d’engager une discussion sincère, le destin en avait décidé autrement. Un instant d’inattention, et elle avait glissé sur les pierres humides, se retrouvant maladroitement projetée dans l’eau froide.

Luttant pour se redresser, Blum faisait de son mieux pour retrouver son équilibre, mais chaque geste la ramenait presque aussitôt au bord de la chute. Et alors que son regard cherchait instinctivement un point d’appui, elle ne pouvait pas échapper à ce sexe dressé, il lui était impossible à ignorer. Son visage s’empourpra d’embarras de plus en plus, et elle sentit son cœur battre plus fort. Ce qu’elle voulait éviter à tout prix, elle en était maintenant témoin. Ce balancement presque hypnotique devant elle la plongeait dans un profond malaise.

- Je vais m’en sortir seule…

Sa voix, à peine plus qu’un murmure, trahissait sa confusion. Pourtant, l’homme, visiblement plus à l’aise dans cette situation, semblait décidé à intervenir. Il observait sa robe trempée, qui collait à sa silhouette, gênant ses mouvements. À ses yeux, cela semblait évident : ces vêtements détrempés la ralentissaient et risquaient de l’exposer davantage au froid mordant et aux chutes. S’il retirait cette entrave, elle pourrait bouger plus librement, du moins c’est ce qu’il semblait penser. Blum tenta à nouveau de protester, assurant que tout irait bien, mais ses mots paraissaient bien faibles face à sa détermination.

L'homme tira sur sa robe, les plis caressaient sa peau et filaient entre les pétales de sa fleur fragile, lui arrachant des hoquets de surprise. Pour avoir une meilleure position, son sexe et ses bourses se collaient contre le visage de la nonne. Blum ne savait plus où se mettre, elle avait si bien cherché à l'éviter que c'était maintenant sous son nez, collé à ses lèvres que ce sexe se trouvait, que le moindre hoquet de sa par lui faisait goûter les effluves de l'homme. Les mains de celui-ci passaient sur le corps de la nonne, lui attrapant parfois ses pis rebondis et avec de la détermination, la robe finit enfin dans la rivière.

Et Blum apparut dans toute sa simplicité, semblable à une œuvre d’art échappée d’un atelier divin. Sa peau, d’une blancheur nacrée, semblait capturer la lumière diffuse des lieux, la renvoyant avec une douceur presque irréelle. Chaque courbe de son corps était une ode à l’harmonie, un équilibre parfait entre délicatesse, vigueur et lubricité.

Ses épaules frêles mais droites témoignaient d’une force intérieure insoupçonnée, tandis que son dos, légèrement cambré, dessinait une ligne gracieuse qui plongeait vers une taille fine. Ses seins, à la fois fermes et pleins, semblaient avoir été sculptés pour incarner l’idéal féminin, leur galbe parfait rehaussé par la fraîcheur ambiante. Ses hanches, douces et subtilement marquées, promettaient une féminité épanouie, et ses longues jambes, fuselées comme celles d’une statue antique, complétaient ce tableau de pureté et de sensualité.

Mais au-delà de son apparence physique, ce qui frappait était l’expression de son visage : un mélange troublant d’innocence et de pudeur. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, trahissaient une respiration hachée par la confusion, et ses joues rosées ajoutaient une touche de vie à cette vision presque céleste.

Vulnérable, elle demeurait immobile dans la rivière, tremblante sous le poids de sa pudeur. Le rouge de la honte marquait ses joues jusqu'à ses oreilles, une chaleur envahissante contrastant avec la fraîcheur de l'eau qui caressait sa peau nue. Elle ne cherchait pas à se couvrir tant sa surprise la paralysait. Elle restait presque offerte à l'homme au-dessus d'elle, elle était tellement sous le choc émotionnellement qu'elle n'avait pas remarqué les oreilles animales.

Ses yeux, écarquillés, ne suivirent même pas la robe qui dérivait doucement plus loin dans le courant, elle fixait encore ce dard épais et long qui dansait au-dessus de son visage. Elle ouvrit la bouche pour parler, pour protester, mais aucun mot ne lui vint, comme si elle avait envie de regarder encore ce sexe qu'elle se mit à désirer laissant ses hormones s'affoler.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Hayao Tachibana le dimanche 15 décembre 2024, 18:19:13 »
Toute la situation était le fruit d’un magnifique paradoxe. Et ce paradoxe était simple : cette bible sexuelle était clairement un fantasme, son respect aussi, et en même temps, il y avait une forme de timidité chez elle, comme si elle ne pensait pas pouvoir – ou devoir ? – y céder… et en même temps, si elle était là, comme ça, elle devait bien vouloir. Et j’imaginais fort bien le débat intérieur, entre l’angelotte qui s’outrait et la succube qui se léchait les babines… et elle, à genoux face à moi, elle se laissait aller un peu, elle semblait prête à faire, disant qu’elle n’avait pas honte.

« Et pourtant…. Vous semblez avoir du mal à suivre les préceptes de votre Seigneur, est-ce que je me trompe ? »

Je lui souris, doux, alors que mes mains jouaient avec sa lourde poitrine, avec ses pis délicieux. J’aimais le regard qu’elle avait pour mon vit, le chibre sous ses yeux semblait occulter toute autre chose, même moi j’avais presque l’impression de ne plus exister. Même si elle gémissait quand je m’occupais de sa poitrine, elle me fit rire, sursautant au bruit, comme si elle se surprenait elle-même de gémir de la sorte ; moi, cela m’encourageait alors je redoublais d’attention, attendant qu’elle se décide à passer outre cette honte, ou cette gêne, pour prendre – enfin- en bouche.
Enfin, la lubrique angélique ouvrit la bouche, pour donner son nom, d’abord, avant de finalement accepter de saisir entre ses lèvres le gland, maintenant de ses doigts fins le sexe pour en faire son affaire ; elle avait les doigts moites et ce n’était pas la meilleure sensation du monde. Autant être honnête là-dessus – et froids aussi, mais elle allait se réchauffer, je n’en doutais pas.

« Blum ? Quel joli prénom. Merci Sœur Blum, de votre dévotion… »

Contrairement à celle de ses doigts, la moiteur de sa bouche était délicieuse. Je la laissais faire comme elle pensait devoir, déformant d’abord sa joue à plusieurs reprises, tenant toujours deux bons tiers hors de sa bouche. Enfin, elle dépassa la moitié pour commencer de lents vas et viens, pendant que je continuais à masser sa poitrine. J’y mettais cependant un peu plus de vigueur, quand elle commençait à aspirer mon sexe et aller et venir dessus.

« Hooo, c’est bon ma sœur…. Vous sucez bien… »

Mais ça, elle le savait. En avait-elle l’habitude ? Ce serait surprenant et en même temps pas du tout…
Je laissais tranquilles ses pis, je la laissais juste
Je venais cependant doucement lâcher un sein pour saisir une de ses mains, avec douceur, et la décaler, lui empoignant les cheveux, mais je ne la forçais pas à prendre en entier. Elle savait apparemment faire, mais je doutais de sa capacité à endurer un chibre jusqu’au fond de la gorge. Chaque chose en son temps. D’ailleurs, j’exerçais une légère traction, pour en douceur, la faire cesser, laissant ses lèvres pulpeuses reliées par un filet de salive à mon sexe que je venais doucement glisser le long de son nez, mes bourses contre son menton, un instant. Comme pour lui offrir toute la mesure de ce qu’elle prenait en bouche.

« Alors, sœur Blum, que pensez-vous de cela ? Etes vous défaites de votre gêne ? »

Je cessais pour lui tapoter la joue avec, nonchalamment, dans ce qui était une biflais assez douce, en lui demandant.

« Etes-vous une pratiquante assidue ? En tout cas il est vrai, la bouche est gracieuse et les pis son délicieux. Et « pis » vous va mieux que « seins » ou « poitrine », n’est-ce pas ? Dans ce cas, gueule vaut peut-être mieux que bouche… »

Le ton était clairement celui de la réflexion. Je l’avais lâchée pour qu’elle fasse à son aise, mais je doutais de la laisser reprendre sereinement sa fellation sans avoir eu de réponse sur le sujet.

« Vous êtes si belle, si angélique…. J’imagine votre visage d’ange, oint par la sainte semence... »
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 17:31:38 »
Madame Blum restait en position de prière, ses mains jointes, son regard fixé sur ce dard qui déformait le pantalon de l'homme. À travers le tissu, elle le voyait clairement, gonflé, prêt à jaillir, menaçant, presque vibrant de désir. Son visage, toujours rouge de honte, trahissait néanmoins un malaise profond, malgré ce que son corps semblait crier. Des tétines gonflées, dures, comme figées dans une attente silencieuse. Ses cuisses se frottaient contre le sol avec une insistance nouvelle, comme animées d'une urgence que même le silence ne pouvait contenir.

Je... je n'ai pas honte... je n'ai pas honte des saintes écritures… murmura-t-elle, la voix tremblante, mais affirmée, une lutte invisible dans ses mots, entre conviction et désir.

Mais elle avait honte, une honte qui la paralysait. Comme lorsque, plus tôt, elle avait fermé précipitamment le livre, incapable de lire les prochains versets. Son corps tout entier tremblait sous le poids de cette honte, elle ne sentait presque plus certaines parties d'elle-même, comme si elles s'étaient évaporées. Elle se surprit pourtant à lever les yeux, juste à temps pour voir l'homme penché au-dessus d'elle, ses mains s'attardant sur l'un de ses seins. Il le malaxait, amusé, jouant avec comme s'il n'y avait aucune frontière à franchir. À chaque pression, un petit gémissement résonnait dans le silence, et elle sursautait, haletant, un souffle entrecoupé, difficile à maîtriser.

Avec détermination, l'homme ouvrit le bouton de son pantalon d'une main agile pour dévoiler son sexe, dans le but de lui faire respecter les versets qu'elle avait prononcés. Libre, tel un ressort bien trop compresé surgit au visage de la nonne, la lubricité marquait son visage angélique d'une claque sur le nez et les lèvres. Une danse envoûtante était exécutée par le serpent à un œil devant le nez de la honteuse. Elle louchait en le fixant, hypnotisée par ce dard qui se mouvait sous la pression que le sang exerçait. Elle se raclait la gorge, elle était incapable d'avaler sa salive.

Je… je suis... sœur Blum...
 
Elle parla d'une voix à peine audible, tant sa gorge était compressée par le stress. La situation la dépassait : ses mains étaient moites, et chaque battement de son cœur résonnait dans sa poitrine comme un tambour affolé. Elle sentait une boule d'angoisse se former dans son ventre, une appréhension croissante face à ce qui allait suivre. Les pensées se bousculaient dans sa tête, mais aucune n'arrivait à se poser avec clarté. Elle avait l'impression que chaque mot prononcé pourrait la condamner davantage, mais pourtant, elle ne pouvait reculer.

Son visage de poupée était à quelques centimètres du sexe tendu, c'était sa bouche accueillante qui allait s'en occuper en premier car ses pis étaient déjà pris par les mains de l'homme. Ses tétines étaient raides et ses mamelons bien gonflés entre les doigts provocateurs de l'homme.  Elle ferma les yeux un moment, espérant échapper à cette pression. Mais chaque souffle semblait lui coûter plus cher que le précédent, chaque inspiration plus difficile. Elle se sentait à la fois fragile et perdue, avec ce poids étrange sur ses épaules, comme si le monde entier pesait sur elle. Et malgré tous ses efforts, rien n’apaisait ce tumulte.

Au pied du mur, ou plutôt de l'homme, elle se décida à ouvrir sa petite bouche, ses lèvres se décollaient pour faire entrer le gland brûlant de l'homme. Elle le déposa sur sa langue avant de refermer sa bouche autour, ses lèvres pinçant ce gros dard qu'elle faisait glisser plus profondément à l'aide de ses mains. Des petits doigts fins seraient la base de ce pilier s'appuyant sur ses bourses gonflées. Le gland vient buter contre sa joue plusieurs fois, la déformant pour créer une bosse sur le côté de son visage, avant de trouver le passage pour aller plus loin afin de pouvoir commencer des mouvements de pompe.

Elle leva les yeux, regardant l'homme pendant qu'elle avait son sexe dans la bouche, se sentant soudainement si petite, si fragile. Une vague de vulnérabilité la submergea, comme si elle était démunie face à la force tranquille qu'il dégageait. Chaque fibre de son être semblait vibrer, incapable de lutter contre la tension croissante qui pesait entre ses cuisses.
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Ahro le dimanche 15 décembre 2024, 15:22:22 »
Elle voulait décidement garder ses vêtements. Elle semblait un peu tétue au vu de la situation. Mais elle refusait d’ouvrir les yeux pour constater les dégâts sur ses vêtements qui ne cachaient plus rien et qui excitait inévitablement le renard.

-Vous êtes pas mouillé … mais trempé !

Il fallait bien le lui faire comprendre non ? Elle essayait de sortir de l’eau pour peut-être se mettre à l’aise ? Du moins il espérait ! Car elle ne semblait pas du tout s’en sortir. Les vêtements devaient coller de façon à ne plus pouvoir se mouver correctement. Mais elle devait regarder ou elle allait, ce serait plus pratique !

-Vous avez droit de me regarder … car vous montrez tout aussi ! Alors ouvrez les yeux.

Mais elle continuait de parler d’eau courante. Il avait aucune idée de ce que c’était. Il ne venait pas de ce monde et pour lui, la nature était de qu’il y avait de plus sain. Les humains avaient parfois une drole de façon de s’exprimer.

-Je ne vois pas de quoi vous parlez avec…votre eau courante.

Mais voila qu’elle l’invitait alors pour un bain chaud. Il laissait ses oreilles de renard bouger sur sa tête tout en s’imaginant la chose. Les sources chaudes étaient agréables, c’est vrai. Mais l’eau chauffée par du bois pouvait aussi avoir ses bienfaits ! Il penchait la tête alors, curieux, et il sourit doucement. Elle voulait aussi lui offrir le couchette et d’autres choses … tellement que ça devenait quand même un peu bizarre … était-ce un piège ?

-C’est agréable, mais c’est aussi une question d’habitude. Mais … pourquoi me proposer tout ça ? … Ca me parait louche quand même … On dirait un piège pour me revendre ensuite.

Elle revint alors mais trébuchait à nouveau. Cette fois, elle se retrouvait dans une situation plutôt délicate. Elle avait sa verge et ses bourses en gros plan ! Il clignait des yeux en baissant le regard vers elle. Comment pouvait-on être si maladroit ? Il soupirait un peu avant de se baisser. Pas pour l’aider ! Mais pour commencer à tirer sur les vêtements de la demoiselle afin de la dévêtir, qu’elle puisse déjà se sentir un peu plus à l’aise dans cette eau ! Il n’y avait rien de plus désagréable que le tissu qui collait.

-Allez … laissez vous faire … Vous tomberez moins après je suis sur !

La faute des galets ? Il ne prenait pas ce détail en compte. Alors qu’il arrivait lentement à remonter le tissu pour le retirer, ses bourses et sa verge se plaquaient parfois sur le visage de la jeune femme … en tirant la robe, il faisait parfois remonter sa poitrine … et il avait peut-être fait frotter le tissu contre ses lèvres intimes …
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