Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le dimanche 14 décembre 2025, 20:18:55 »
Alors oui, Calamity était bruyante dans son appréciation de Tank, dans ses orgasmes. Il était possible qu'elle finisse par réveiller un voisin qui finirait peut-être par venir taper à la porte. Mais c'était un problème pour Future-Calamity.

Par égard pour le criminel, cela dit, la blonde baissa d'un ton. Elle vint même planter ses dents dans l'épaule de son amant pour étouffer les cris suivants alors que son corps ne relâchait pas la pression autour de sa queue, que les vagues de l'orgasme restaient aussi violentes que les coups de reins prodigués.

Elle redressa la tête, cependant, et écouta avec un gémissement alors que leurs bassins qui s’entrechoquaient livraient un son qui allait probablement resté gravé dans son esprit dès qu'elle passerait la porte de son appartement. Le regard plongeant dans celui de son amant, l'héroïne se sentit partir une nouvelle fois quand Tank lui expliqua qu'elle ne cesserait de penser à lui, peu importe où elle se trouvait dans son appart.

« Pu-tain…, haleta la blonde en s'accrochant désespérément à lui, ses yeux se révulsant à nouveau. Ouiii… Aaah, viens… Viens me remplir… je t'en prie… Oooh ! Remplis ta petite chienne de ton foutre délicieuuux ! »

Distraitement, Présage se dit qu’elle allait devoir sortir la serpillère pour le carrelage de l'entrée. Elle ne doutait pas qu'une mare de cyprine se formait avec la puissance de ces orgasmes que Tank lui offrait. Il ne faudrait pas qu'ils glissent, après tout.

« Mmmh, Tank…, susurre-t-elle d'une voix faible. Tu vas m'assécher si tu continues… Et inonder l'immeuble… »

Ce pour quoi elle n'émettait certainement pas de protestation. A vrai dire, il y avait peu de chose qu'elle refuserait à son amant, dans cet état. S'il lui demandait de se mettre à quatre pattes et d'aboyer, elle le ferait avant de venir lui lécher les pieds, les mains, la queue… Elle se découvrait une facette de petite salope, ce soir. Et la nuit ne faisait que commencer…
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Les alentours de la ville / Re : L'Ombre du passé [Saël Thorne]
« Dernier message par Anéa le dimanche 14 décembre 2025, 20:07:23 »
Anéa n'avait clairement pas réagi sur le moment. Sûrement que la surprise de sa réponse et que son incrédulité l'avaient rendue muette. Alors comme ça, sa présence devant la belle à la chevelure de jais n'était qu'à moitié un simple hasard. La déchue expira fortement, ne sachant pas quoi penser sur tout ce que lui avait avoué Tsaphkiel. Il serait descendu du palais céleste juste pour la retrouver. Et pourquoi ? « Rétablir l'équilibre qu'on lui a arraché » ? Mais quelle blague ! Un rire contenu siffla presque entre ses dents mais sa mâchoire serrée ne put que le contenir comme s'il s'agissait d'une prison naturelle. Est-ce que le Prince des Trônes faisait référence à une injustice qu'elle aurait subi lors de son jugement, ou alors trouvait-il que sa sentence avait été trop forte pour ce qui s'était passé ? Pourquoi se « réveillait »-t-il que maintenant ? Cela faisait plus d'une dizaine d'années déjà ! Toutes ces questions fusaient dans son esprit, sans lui laisser réellement le temps d'y trouver des explications. Est-ce que la guerrière souhaitait en avoir, finalement ? Comme seule réponse, elle eut cette brûlure qui venait de son ventre, remontant jusque dans sa gorge, ne lui laissant qu'un désagréable amertume sur son passage. Laissons tout ceci pour plus tard...

L'ancienne archange se tût sur tout le chemin qui les emmenait sur leur lieu de combat, atteignant ainsi rapidement et sans souci l'île. Habomai était si vaste et si calme. Anéa avait particulièrement bien choisi l'endroit. Néanmoins, même si inhabitée, la demoiselle espérait que personne ne les enquiquinerait par la suite, ou ne les remarquerait. Un être céleste et une déchue, ça risquait de faire beaucoup de bruit, et d'autres choses...

Sans préparation, la jeune femme avait préalablement lancé les hostilités. Enfin, plutôt verbalement. Le Prince des Trônes s'inclina à son tour et cela fit sourire brièvement la belle guerrière. Qui aurait cru qu'il le lui rendrait ? Le voilà à montrer qu'il est au même niveau qu'elle, ou tout du moins, c'est ce qu'il essayait de faire croire...Lui n'était pas n'importe qui, et elle n'était plus qu'un cloporte. Si elle venait à disparaître, le monde n'en serait pas changé. Lui régissait l'équilibre, et si demain sa lumière s'éteignait, ce serait un réel chaos là-haut. Enfin...

Le spectacle suivant fit hausser un sourcil à la jeune femme. Il détacha ses longs cheveux bruns et se défit d'une partie de ses vêtements pour finir torse nu. Il était sacrément beau et bien bâti...Anéa pourrait passer plus de temps à lorgner sur ses muscles et baver sur le physique du grand ange, mais quelque chose d'inhabituel attira son regard de glace. Ses sourcils se froncèrent sur sa petite découverte. Elle n'était visiblement pas la seule à avoir changé jusque dans sa chair. Quelle était donc cette nouvelle et longue marque sur son bras ? Plus étrange encore, cette ligne au reflet argenté passait par son cœur. Que s'était-il passé depuis qu'elle n'était plus au Paradis ? La déchue ne ressentait pourtant aucune aura démoniaque émanant de lui...

Qu'importe. Cela ne la concernait plus désormais, et ce, même si son air renfrogné semblait vouloir dire le contraire. Est-ce qu'il gardait ses ailes déployées pour l'impressionner ? Ah ! Anéa avait plus la sensation de faire affaire à un paon qui fait la roue pour séduire sa femelle. Se pavaner ainsi pour plaire, c'est vraiment le moment ? Et puis, la déchue avait du mal à voir Tsaphkiel draguer. Est-ce qu'au moins, il savait faire ? Et la séduire, elle ? Les questionnements et les raisonnements qu'avait Anéa ne faisait que la faire sourire, même rire intérieurement. Que d'absurdités ! Ridicule.

La guerrière ne bougea pas d'un millimètre, même lorsqu'il tendit son bras, suivi de son arme alors que la pointe de celle-ci s'arrêta qu'à une très petite distance de son cou. Anéa savait pertinemment que l'éphèbe céleste ne lui ferait aucun mal avant le combat, qu'il voulait faire les choses à la loyal. Poussée par une force qu'elle ne savait définir réellement, la déchue s'avança jusqu'à ce que l'arme de Tsaphkiel vienne se planter délicatement dans sa peau fine. L'albâtre de son teint fut taché d'une coulée sinueuse d'un rouge profond. Un sourire en coin, un brin malsain, puis elle se retira d'un pas en arrière, le sang filant sur sa clavicule et allant donner quelques couleurs à son crop-top blanc.

L'ancienne archange ne craignait rien, pas même la mort, et encore moins le jugement et la puissance de Tsaphkiel. Finalement, le Prince des Trônes décida de garder ses ailes pour le combat. Anéa, elle, fit disparaître les siennes comme s'il s'agissait là d'une simple illusion. Elles n'étaient que des outils, certes pour se déplacer, mais surtout servant d'effet de surprise lors d'un combat contre un inconnu, pouvant lui apporter moult avantages et pour prendre le dessus plus rapidement, plus facilement. Ici, elles ne seront qu'encombrement. Rien que cette « préparation » rendait le moment bien trop sérieux à son goût. Clairement, ça l'était. Cette rage bouillante, cette colère sourde l'envahissait sans plus pouvoir la contenir, faisant jusqu'à pulser ses veines dans ses tempes. Tant pis...

Fouillant dans l'une de ses poches, la jeune femme en sortit un élastique, levant les bras pour attacher sa longue chevelure de jais en une queue de cheval. Occupée, elle s'adressa tout de même à Tsaphkiel avec un sourire amusé sur ses lèvres pulpeuses.


- Pourquoi devrais-je faire comme tu le demandes ? Pourquoi devrais-je subir ton test ? Et de quelles raisons parles-tu, Tsaphkiel ?

Les cheveux ainsi noués, son regard de glace se planta dans celui ambré de son adversaire. Plus de sourire. Il ne restait là que des sourcils froncés et des yeux presque assassins. Elle n'était pas vraiment en colère contre lui, mais ressasser le passé tout en sachant que rien ne pouvait changer, lui brisait le cœur...Et l'esprit. C'est d'une voix forte et grondante, comme si elle venait de l'au-delà, qu'elle répondit à l'ange.

- J'ai déjà été jugée, Prince des Trônes ! Et tu n'y peux rien contre ça ! Je ne suis plus un archange. Juste une déchue.

Anéa n'attendit pas une seule seconde avant de se lancer à corps perdu dans ce combat. Tsaphkiel le voulait « amical » pour la tester. Elle le voulait véritable et sans lendemain. D'un puissant appui sur ses pieds, la demi-démone se jeta en direction de l'être céleste, dégainant ses deux armes, un khopesh et un katana. La demoiselle savait parfaitement que si elle y allait de front, il répondrait aisément à son attaque, mais elle n'était guidée désormais que par cette fureur qui lui brûlait les entrailles. Ce fut sans surprise que Tsaphkiel para l'attaque frontale d'Anéa, qui ne répondit que d'un sourire, tout aussi amusé que crispé. Fou, peut-être.

- Tu ne te bats même pas sérieusement ! Sinon, tu m'aurais déjà touchée.

Le nez froncé, agacée, la déchue se retira une nouvelle fois pour observer l'éphèbe. Elle brûlait clairement d'une fièvre puissante, presque incontrôlable. Il l'avait demandé ce test, et idiote comme elle l'était, Anéa avait répondu favorablement, le défiant sans choir. Elle se donnerait à fond dans ce duel, quitte à en crever. Déchaînée, elle enchaîna quelques esquives afin de se rapprocher de l'ange, faisant mine de l'attaquer au flan gauche avec son khopesh, mais bondit légèrement pour lui faire face et lui assigner un coup de boule en plein visage. Oui, son style de combat avait bien changé. Anéa semblait fonctionner plus à l'instinct et à ses pulsions, quitte à prendre des coups. On sentait clairement qu'elle s'en fichait de mourir, ici et maintenant.
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Le parc et son sous-bois / Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim
« Dernier message par Maeilera le dimanche 14 décembre 2025, 19:29:32 »
Le mâle face à elle n’avait pas l’air d’être le couteau le plus affuté du tiroir, mais cela lui importe peu à cet instant. Elle ne cherche pas un mâle intelligent - elle a ce qu’il faut de son côté pour ça - elle cherche quelque chose de puissant.

Ha !” elle rit à sa provocation. La tuer ? Il y a peu de choses capables de la tuer dans ce monde, et ce toutou n’en fait pas partie. Mais, elle lui laisse sa confiance, qu’importe à cet instant, elle sait très bien que ce n’est pas la tuer qui l'intéresse. Le regard brulant - autant par sa couleur que par son envie - que la Bête posait sur elle ne laissait rien douter quant à ce qu’il voudrait faire et la tuer n’était certainement pas au menu.

Alors que leurs mains s'entrelacent - et cela n’avait rien de romantique - il se penche sur elle pour lui dire qu’il est fort ; et sa poigne semble puissante.

Moi aussi.” est la seule chose qu’elle lui répond, refermant ses mains sur les siennes dans un étau étonnant pour la comparaison de taille. Mais, Maeilera n’est pas une humaine et elle n’est pas réellement une centaure non plus - elle est un pur produit de la magie - et ce qui est perçu n’est pas forcément ce qui est.

Alors que leurs souffles se mêlent et que la bave de la créature - brulante, tout comme ses yeux - s’abat peu à peu sur elle, elle ne semble pas faire cas de la chose; ses yeux fixés dans ceux écarlates de l’autre créature.

Hhhhhaaaa ….” un soupir - presque de plaisir – s'exhale lentement quand il commence à pousser. Elle bouge à peine, mais elle bouge et c’est ce qui est important - repoussée progressivement par la force du loup, ses sabots laissant des trainées dans le sol, immuablement. Son front s’appuie fortement contre celui couvert de fourrure de l’autre, alors qu’elle aussi pousse en retour, peu prête à se laisser totalement faire. Mais elle ne pousse pas aussi fort qu’elle le pourrait - elle a trouvé un mâle assez puissant pour ne pas défaillir directement sous ses ardeurs, elle ne va pas tout gâcher en le faisant fuir après avoir perdu. Ainsi, lentement, il la repousse. Lentement, ses bras se courbent alors qu’elle le laisse s'approcher de plus en plus - ses rouges joues, son regard fiévreux d’envie, elle le contemple.

Elle espère qu’il sera aussi vivace une fois l’acte engagé. Elle peut déjà sentir sa croupe se réchauffer alors qu’elle pense à ce qui va se passer, ses seins se durcir et sa respiration devenir précipitée - et pas de fatigue.  Qu’il la pousse encore un peu et elle le laissera gagner - elle est trop excitée pour autre chose. Et puis, ce n’est pas comme s’ils pouvaient réellement faire des petits ensemble - elle veut juste qu’il la soulage de son envie d’être emplie.

Fais-moi voir toute ta puissance, mâle. Es-tu Alpha ?” finit elle par souffler, directement contre son museau, provocante.
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Les alentours de la ville / Re : Un petit verre, ça fera pas de mal, pas vrai ? (pv Grayle)
« Dernier message par Maeilera le dimanche 14 décembre 2025, 19:03:27 »
Alors qu’il se roulait dans l’herbe tout en parlant, elle le regarde faire, presque amusée. Il a ces mimiques que les jeunes des troupeaux ont - s’offrir au regard des autres pour faire valoir ses atouts. C’est à la fois rassurant de voir un comportement commun et à la fois amusant qu’il pense que cela va changer son avis dans quoi que ce soit concernant ce qui lui appartient.

Rien n’est gratuit dans ce monde.” répond elle avec un sourire en coin, presque jaune. Non, rien n’est gratuit, sinon elle ne se serait pas cassé la croupe pour quelques bouteilles.

De beaucoup de choses, mais surement de peu que tu puisses m’offrir.” est la phrase qu’elle prononce quand il lui demande ce qu’une femme comme elle pourrait vouloir. Oui, tant de choses - mais, pourtant rien que ce monde ne puisse lui apporter. Il lui faudra trouver un moyen de retourner en Faerie, sauver les siens et se défaire de l’obsession de la Reine de l’Hivers pour obtenir ce qu’elle désirait. Rien qu’elle puisse trouver dans ces bouteilles ou les poches de ce jeune homme.

Alors qu’il la contemple, il fait des commentaires sur sa tenue. Maeilera n’a jamais réellement fait attention, les atours qu’elle porte sont autant de constructions magiques que de tissu déniché par ci par là. Elle ne les porte réellement que pour la pudeur des autres, elle qui n’aime pas avoir des choses ainsi collées à sa peau.

Mais, ce qui la fait tiquer, ce qui fait sursauter son œil gauche et monter dans un rictus de dégout ses lèvres pleines, c’est la mention de chevalier.
Oh, elle sait très bien de quoi il parle - ceux qui montent les équidés. Elle ne doute pas que nombreux seraient ravis de pouvoir poser leur postérieur sur sa croupe - comme la Reine l’avait elle-même apprécié. Mais, aujourd’hui, elle n’acceptait plus ce genre de chose.  Qu’ils tentent de s'approcher d’elle - le coup de sabot qu’ils se prendront dans ce cas serait assez puissant pour déplacer une maison.

Non, je ne suis ni « noble » ni en attente de quelque « chevalier ».” et en effet, si elle était Reine de sa harde, il n’y avait pas de noblesse dans leurs castes - pas plus qu’une ruche n’avait de duc ou de marquis.  “Ce qui est de valeur pour certains n’est que guenilles pour d’autres - ce que je porte m’importe peu. Si je pouvais ne rien porter, je m’en porterais mieux …” finit elle par marmonner pour finalement lui répondre.

Posant les yeux sur lui, ventre à terre et le visage levé vers elle quand il lui présente sa personne comme possible payement, elle ne peut que ricaner. Il ne manque pas d’audace, lui présenter ça comme ça. Mais, en même temps, n'a-t-elle pas, elle-même, que sa propre personne à proposer ? N'a-t-elle pas payé de sa personne pour ses bouteilles ? Vraiment, le monde est presque ironique…

Hhhaaa …” un soupir amusé sort lentement de sa bouche, alors qu’il lui présente enfin un objet - et pas n’importe lequel. Mais, apparemment, le poulain l'a prise pour une alcoolique, vu les sous-entendus qu’il lui présente avec. Un éclat de rire clair et amusé échappe donc à la Reine, alors qu’elle secoue doucement la tête de gauche à droite quand il prétend être un étalon. Sait-il seulement de quoi il parle ?
Un étalon, humm ?” elle penche la tête en arrière et regarde le firmament. “Cela fait bien longtemps que je n’ai pas croisé d’étalon. De mâle prêt à prendre des responsabilités, protéger une harde et mener les siens.
Sans baisser la tête, elle la penche légèrement pour que son regard se pose sur le jeune homme “ Je ne sens pas de trace d’étalon en toi, Grayle le Voyageur. Je sens juste les pas d’un loup solitaire, errant sans fin dans l’espoir de laisser une trace.” elle finit sur un petit reniflement, avant de se saisir d’une autre bouteille qu’elle ouvre d’un simple mouvement du pouce.

Mais ne voulais tu pas te laver ?” elle désigne le lac d’un geste vague de la main, un sourire en coin ornant ses joues rougies d’alcool. “Je t’en prie, cette partie me semble ne couter que peu de chose… comme ta modestie ?” elle termine en questionnant, ponctuant sa phrase d’une lampée prise au goulot.

Si la nuit tombe peu à peu, la licorne n’a pas l’intention de bouger, elle. 
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 14 décembre 2025, 14:48:38 »
Aucune des femmes avec qui je me suis envoyé en l'air jusqu'à aujourd'hui réagissaient de la même façon que cette folle du sexe. Jouer avec elle avait pour objectif de l'exciter et la titiller. Mais jamais j'aurais pu penser que ça suffirait à la faire jouir à peine le couvert remis. Sa cyprine gicle fort contre mes ventre et a probablement arrosé mon bas de manière copieuse. Il faudra que je pense à y jeter un œil plus tard quand on aura un moment de répit et de la lumière. Pour le moment aucune de ces deux choses ne me sont accessible.


- Shhhhhh !


C'est avec une voix douce et pleine de contrôle que je lui fais comprendre de baisser le ton. Même la force de compression exercée sur chaque centimètre de ma tige gonflée et pulsante sous l'afflux régulier de sang ne suffit pas à me faire m'arrêter. Un nouveau mouvement de hanche vient faire se lever son corps un peu plus dans les airs alors qu'elle semble mettre toutes ses forces dans ses fines gambettes pour s'accrocher à ma taille. Nous sommes beaucoup trop différents de toute manière. Et en particulier pour ce qui est du physique. Si son orgasme n'est pas encore terminé alors il est hors de question que je la laisse reprendre son souffle.
Toute cette action commence à se faire sentir entre la chaleur et la sécheresse qui attaque ma gorge. Est-ce que les sportifs de haut niveau courent aussi dans ces conditions ? Atteindre leur objectif doit passer avant leur bien être. La seule différence c'est que le mien n'a rien de noble ou d'inspirant. C'est donc à puissants coups de rein que ma bite revient écarter les parois de cette chatte qui tente de me coller ou frotter les veines qui parcourent la peau sensible de mon organe. Chaque pénétration propulse son petit cul en l'air de quelques centimètres pour la faire retomber sur ce piquet immobile.

Son ascenseur ne sera bientôt plus le seul endroit qui lui fera revivre des vagues de plaisir en mon absence. Je veux que chaque pièce de son appartement soit lié à un souvenir précis. Une position dans laquelle je l'ai prise, un enchaînement d'orgasme, un petit jeu bien sale auquel on s'est adonné. Tout est bon à prendre pour assumer mon nouveau rôle dans sa future existence.

Pour le moment je remue en retenant mes forces car je n'ai pas envie de finir chez ses voisins. Avec ma force il ne serait pas trop compliqué pour moi de l'encastrer dans le mur et la faire traverser celui-ci. Mes hanches s'occupent donc de tout le travail en effectuant des mouvements ondulés qui vont vers le haut et non vers l'avant. La blonde a déjà dû s'habituer au fait de se retrouvée suspendue en l'air et privée de liberté de mouvement avec le trajet.


- Tu entends ça ?


Le calme règne dans la pièce quand je ralenti le rythme un très bref instant. Juste le temps nécessaire pour que le son de nos corps qui claquent l'un contre l'autre assiège de nouveau ses oreilles. En dehors de ces sons humides qui se répètent à l'infini l'immeuble semble être totalement calme. Peut-être que je respire un peu fort pendant que je regarde fixement, avec un grand sourire sur les lèvres, son visage qui remue de haut en bas par ma faute. Son regard brille presque dans l'obscurité.


- Il n'y a que nous ici. Toute la nuit tu vas entendre tes propres gémissements de plaisir alors que ton corps me suppliera de lui offrir un autre orgasme au plus vite. Pendant que je te glisserai à l'oreille les pires saloperies qui me viendront en tête.


Un léger ricanement accompagne mon affirmation avant que je n'ouvre la bouche et lui offre ma langue... que je retirerai au dernier moment lorsqu'elle tentera de m'approcher. Une manière de lui faire comprendre que désormais il n'y aura plus qu'une seule personne qui décidera du reste de cette soirée.
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le dimanche 14 décembre 2025, 12:01:29 »
Peut-être les jeunettes étaient-elles trop affamées de sexe pour en faire grand cas, mais aucune d'elle n'avait tiqué sur les menaces de l'immortelle ou sa peau qui se durcissait, donnant un effet marbre. Elles n'avaient même pas eu un mouvement de recul quand Céleste était venue vers elle pour les inviter à une scène de débauche indécente. Tant mieux, à vrai dire. La brune n'était pas -jamais- d'humeur à traiter avec des hystériques.

Le téléphone en main, Céleste filme l'insertion du colosse dans la petite chatte serrée de la vendeuse, capturant l'air extatique et surpris qui se peint sur ses traits. Elle ne manque pas non plus les deux autres jeunes femmes qui en tremblent d’impatience, luttant pour être celle qui se montre la plus obscène. Nul doute que cette vidéo participera à grand nombre de leurs sessions de plaisir solitaire... Ou entre filles.

La sorcière faisait lentement le tour du quatuor, ne manquant rien de la scène. Quand le mafieux décida d'agacer un peu la fleur de la rousse du pouce, elle filma l'expression absolument gourmande sur le visage de la jeune femme qui l’encouragea joyeusement, perdue dans les sensations qu'il lui offrait. Il n’y avait que Shana qui n'avait rien de la part de Randal, sauf la salive de son amie qui ne tiendrait probablement pas longtemps à ce rythme-là.

Revenant au colosse, la brune filma l’enthousiasme avec lequel il s'occupait soigneusement des deux poulettes qu'il remplissait avec sa queue et ses doigts, puis refit un tour de sa démarche féline.

« Oooh, ooh ! Je ne sais pas si tu passeras dans mon cul, avec ta taille… Soupira la rouquine qui n'avait pas l'air contre une exploration de son fondement. Rien que tes doigts déjà…. Aaaah, oui, comme ça ! »

 Elle se tortillait contre les doigts du mafieux, sa chatte dégoulinant sur la croupe de ses amies en-dessous.

« Merde, ma belle, tu me mouilles dessus ! Et elle me bave dessus… Tu ne veux pas me cracher dessus aussi, mon grand, tant qu'on y est ? »

Étant donné l’expression qu'elle arborait en disant cela, Shana n’avait pas l'air contre. Elle se retourna sous la blonde, ses seins s'écrasant contre les siens, et ses doigts vinrent jouer avec sa perle tandis que le mafieux lui remplissait la chatte. Il n'en fallu pas plus pour que cette dernière se crispe, gémissante, alors que la jouissance inondait son corps. Et qu'elle dégoulinait sur Shana tant le plaisir était violent.

« A moi, réclama la rouquine en se tortillant sous les doigts qui la fouillaient. Tu peux aller doigter le cul de Shana, ça rentre tout seul tu verras ! »

L'intéressée, serrant la blonde encore aux prises avec l'orgasme contre elle, poussa sur ses pieds et ses cuisses écartées pour offrir ce petit trou supposément tabou. … Mais qu'elle faisait explorer régulièrement, pour entretenir la souplesse de son entrée.

« Salope, marmonna affectueusement la blonde en venant embrasser son amie à pleine bouche, frottant ses seins contre les siens. »

Shana était dans l'impossibilité de répondre verbalement, mais Céleste filma la manière dont son corps approuvait, sa petite chatte frémissant à l'entente du terme vulgaire.
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Prélude / Re : Comment Saboter un Monde Imaginaire en Trois Leçons-Par Clochette Tintelune|VAL
« Dernier message par Catalina Taylor le dimanche 14 décembre 2025, 10:24:35 »
@Séliane: Si tu n'as pas peur de risquer, disons, une guerre de gang juste au moment de cette discussion parce que Clochette a, on ne sait comment, réussi à monter deux types l'un contre l'autre... :D

@Randal: Eheheh, sans aucun doutes :D Préparez-vous quand même à l'implosion de la Terre !
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 14 décembre 2025, 08:44:10 »
N'importe qui aurait pu se sentir blessé dans son égo ou frustré par la réponse apportée par Céleste. Pourtant celle-ci n'a fait qu'arracher plusieurs sourires à l'imposant criminel qui se satisfait des propos et des réactions de la belle sorcière qui le remet à sa place d'une manière aussi impressionnante qu'originale. Ce n'est pas un simple week-end de débauche qui risque de faire changer sa manière de penser et de vivre. Toutes les vacances du monde ne suffiraient pas non plus. Et c'est justement ce qui fait son charme si particulier.

La voir reprendre le dessus et montrer... planter les crocs l'excite terriblement car cela ravive chez lui une sensation qui n'avait pas sa place ici en ce moment. La soif de sang est tout aussi galvanisante quand elle émane de lui ou qu'une autre autre personne la dirige à son encontre. Toute cette excitation lui offre une énergie renouvelée alors que sa partenaire s'extirpe de lui après leur dernier orgasme partagé.


- Absolument. Nous ne sommes qu'amour et partage.


Pour l'amour on pourra sûrement repasser. Alors que le partage... Il y en a eu à toutes les sauces depuis que le couple a posé ses valises en ville. Et de la part de chacun de ses membres. Randal est d'ailleurs surpris de la voir avec le portable dans les mains pour s'amuser à son tour d'une nouvelle manière avec un appareil qu'elle ne maîtrise pas mais dont elle ne semble pas ignorer la fonction du moment.
Et la surprise ne s'arrête pas là car une scène assez stupéfiante se déroule sous ses yeux qui s'illuminent d'une lueur perverse. Une langue vient humidifier ses lèvres un peu trop sèches comme le ferait un prédateur. En même temps c'est un véritable buffet qui est en train de lui être offert.

D'une main il repousse une mèche de cheveux pleine de sueur qui le dérange. Par qui commencer ? Par où entrer ? Les choix sont si nombreux. Les jambes écartées et installé comme un pacha il ne sait plus où donner de la tête. Pas comme son sexe imposant qui est raide comme un piquet et couvert d'une mixture de fluides qui lui permettra de se planter sans trop de difficulté quand il aura fait son choix.

Sa réponse à la question qui lui est posée est on ne peut plus simple.


- Que je n'en mérite pas tant.


Ce n'est pas pour autant que le séduisant mâle va cracher sur une opportunité pareille. Ses deux mains se posent à plat sur le cuir trempé du canapé pour prendre appui et se lever lentement histoire de savourer le moment et faire languir quelques secondes ces trois culs qui remuent devant lui. Les filles semblent incapables d'attendre et se caressent ou s'embrassent comme elles peuvent en attendant d'être rejointes.

A peine à genoux derrière elles, il saisit sa trique imposante d'une main et commence par faire glisser son gland et sa hampe sur la croupe de la rouquine pour tâter le terrain et s'essuyer un peu au passage. Sa peau est douce et tout son corps réagit au geste de l'homme en se crispant contre ses amies. En voyant qu'elle n'est pas la première ciblée, la blonde va pour se plaindre.


- C'était à mon tour de- Kuuuuuuh !


Sa phrase est coupée en même temps que son souffle vu qu'un corps étranger s'enfonce tout seul entre ses cuisses sans la prévenir. La pénétration n'est pas brutale et pourtant cela suffit à la rendre muette car l'épaisse queue de Randal repousse avec force les parois serrées du vagin de la jolie vendeuse. Il n'est en elle qu'à moitié et pourtant elle éprouve déjà des difficultés à encaisser la bête sous les regards amusés de ses copines qui ne s'inquiète pas plus que ça de son état.


- Merde ! Elle est si grosse que ça cette bite pour te mettre dans cet état ?


L'énorme poitrine de la rouquine s'écrase contre le corps de la blonde pour tenter de la réveiller tandis qu'elle va chercher celle de son amie avec ses mains. En quelques secondes seulement les doigts fins de la rouquine prennent possession des mamelons de celle qui se fait limer et remplir lentement pour les pincer et tirer délicatement dessus.
A l'étage en-dessous c'est Shana qui a la bouche grande ouverte pour lécher sa langue et tenter de la détendre.

Attaquer la blondinette à trois n'est sans doute pas la meilleure des idées. Surtout que voir les deux jeunes femmes s'amuser avec le corps de leur amie pousse Randal à faire monter les enchères. La chatte dans laquelle il se trouve est si serrée qu'il ne risque pas de s'en faire expulser sur un mauvais mouvement. Ses mains s'en retrouvent donc libres et l'une d'elle peut revenir jouer avec les trous de la rouquine pour la préparer car elle va sûrement y passer ensuite.


- Aaaah, non ! Arrête ! Enfin, non ! Continue !


L'épais pouce du grand chanceux de la soirée se glisse entre les lèvres intimes de la plantureuses rouquine pendant que deux autres doigts s'amusent à stimuler sa petite rondelle. Il ne fait aucun doute que leurs culs ne seront pas détruits ce soir. Mais peut-être que les préparer pour un jour futur n'est pas une mauvaise idée. Rien ne les empêchera de venir visiter le Japon un jour sur son invitation.

En attendant, il faut bien plusieurs minutes au grand bonhomme pour instaurer un rythme continu dans la blonde qui ne peut pas arriver à plus de deux tiers sans qu'un gland vienne cogner au fond contre son col. Chaque fois que cela arrive elle se met à couiner et baver dans la bouche de sa copine qui récupère tout pour l'embrasser dans un échange salivaire dégradant.
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Prélude / Re : Comment Saboter un Monde Imaginaire en Trois Leçons-Par Clochette Tintelune|VAL
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 14 décembre 2025, 07:58:13 »
On s'inquiète pas pour elle. La p'tite dame trouvera bien un moyen de survivre.  ;D
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Bien le bonsoir Noble Dame Fée et rebienvenue. Je serai ravie de converser avec une "sœur" d'un monde possiblement voisin au mien.
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