Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les alentours de la ville / Re : L'Ombre du passé [Saël Thorne]
« Dernier message par Saël Thorne le mardi 02 décembre 2025, 21:39:21 »
Anéa parle, et ses mots pourraient être des lames si sa voix n’était pas si familière.

Tsaphkiel incline très légèrement la tête, l’ombre de ses cheveux sombres glissant sur sa joue. Son regard mordoré évite le sien une seconde, pas par gêne, ni par honte… mais parce qu’il sait trop bien ce que ses yeux reconnaissent quand ils rencontrent les siens. Une vérité qu’il n’est pas encore certain d’avoir le droit de regarder en face.

Quand elle se moque de lui, de son aura, de son épée, du ridicule d’être “discret” ici, un souffle lui échappe. Pas un rire. Pas vraiment. Plutôt une exhalation qui appelle la sincérité.
Ce n’est pas moi qui ai choisi l’endroit où je descendrais.

Sa voix est calme, posée, d’une douceur intransigeante.
Le point d’arrimage m’a simplement… laissé ici. Le hasard, ou ce qu’il en reste.

Il relève lentement les yeux vers elle, juste assez pour accrocher son regard avant de le laisser glisser ailleurs, par pudeur plus que par prudence.
Et pour le reste… Méniel a pris les dispositions nécessaires. Là-Haut, tout le monde croit que je suis dans mes quartiers, ou en audience. Personne ne sait que je suis sur Terre.

Un silence. Court. Dense.

Puis, sans détour :
Et je suis venu pour toi.

Le Gardien du Jugement Silencieux ne dit pas pour t’abattre. Il n’en a ni la posture, ni l’intention, ni même l’ombre du geste.
Non pour couper ton souffle… mais pour rétablir l’Équilibre qui t’a été arraché.

Il la suit quand elle contourne, quand elle frôle son épaule. Un contact si infime qu’aucun humain ne l’aurait senti. Eux si.

Sur le chemin, il observe tout. Les différents moyens de locomotion. Les enseignes. La circulation des passants. Les différentes manières de s’habiller. Les différentes teintes de lumière. Chaque artère de la ville, chaque odeur d’asphalte, de terre, de pluie, comme s’il devait mémoriser une carte invisible. On ne sait jamais… la Terre n’a pas la constance du Ciel.

Quand celle en qui il avait le plus confiance parmi les Archanges dit que son ciel est “bas” maintenant, il l’écoute sans broncher, puis répond avec une fermeté douce, presque chaleureuse :
Le haut et le bas ne sont que des directions. Il y a du bon et du mauvais partout, Anéa. Ce ne sont pas les lieux qui décident… mais ce qu’on en fait.

Il la laisse entrer seule dans l’immeuble, par respect, ou peut-être par intuition. Et juste après qu’elle a disparu dans les étages, il ferme les yeux et appelle mentalement :
Méniel.

Sa pensée traverse la trame céleste, ténue, sacrée, un fil d’ambre dans l’immense. Il ignore si son scribe peut entendre si loin, mais il essaye.
Je l’ai trouvée. L’Archange guerrière. Anéa. Je dois vérifier ce qu’elle est devenue. Reste en alerte, mais ne fais rien. Pas encore.

L’air crépite autour de lui une seconde… Puis s’apaise. Pas de réponse, mais une impression. Comme une fidélité intime qui lui revient, chaude et discrète.


Celle pour qui il aurait arrêté de contrôler ses émotions, réapparaît.

Le regard de glace heurte celui d’ambre. Et, malgré lui, une tension lui traverse la poitrine. Pas de désir,  pas encore, mais cette sensation de retrouver quelque chose qui n’aurait jamais dû être perdu.

Il apprécie. Oui. Ce regard droit. Ce regard vrai.

Lorsqu’elle hoche la tête pour signifier leur départ, une ombre passe dans les yeux du Prince. Une nuance de douleur.

Il n’a plus ses ailes. Il les a laissées au seuil du monde pour descendre jusqu’à elle.

Alors il inspire. Profondément. Il lui faut un peu de temps. Et la lumière craque d’un coup derrière ses omoplates.

Son dos se cambre, imperceptiblement, alors que les cicatrices argentées se rouvrent, que les muscles se soulèvent sous la peau, qu’un sifflement humide perce la chair céleste. Les rémiges s’extirpent, longues, lisses, sombres comme une nuit sans étoiles, tandis que le tissu humain se déchire en silence autour d’elles.

La douleur est fine, intense, métallique, presque musicale. Il ne la montre pas. Il n’en a jamais montré aucune.

Ses ailes jaillissent, s’étendent, battent l’air, et l’Archange se met à la suivre, se maintenant toujours derrière elle. Toujours à distance respectueuse. Mais sans jamais perdre sa vitesse.

Ils volent longtemps. L’océan exhale son sel, son froid, ses embruns épicés. L’air gifle, le vent chante, la lumière danse.

Habomai apparaît. Un plateau sauvage, vaste comme un souffle ancien.

Tsaphkiel se pose derrière elle, et la terre glisse sous ses pieds un bref instant. Un déséquilibre, discret, humain presque.

Il ferme les yeux une seconde. Il savoure.  L’air marin. La mousse. Le parfum minéral du monde. Si différent du Ciel. Lorsqu’il les rouvre, Anéa est là, en train de s’incliner avec une révérence digne d’une cour perdue depuis mille ans.

Il croit d’abord à l’ironie. Il n’a jamais aimé qu’on ploie devant lui. Alors il s’incline à son tour. Plus bas. Plus gracieux.

Pas pour le rang. Pour elle.

En se redressant, un sourire très fin traverse son visage. Sa duelliste pourrait croire que c’est le plaisir du duel. Ce ne l’est pas. Pas vraiment.

C’est le plaisir. Simple, pur, presque douloureux, de la retrouver.

Sans un mot, il retire sa veste noire, aux reflets mats. Puis ses gants prunes, glissants comme de la soie froide. Puis sa chemise, que le vent marin saisit aussitôt. Enfin, il défait ses cheveux, qui tombent en cascade sombre jusqu’entre ses omoplates et dansent dans la brise. Il reste torse nu, en pantalon, laissant ainsi une marque inconnue de l’ancienne guerrière. Une ligne noire-bleutée au reflet argenté de son bras gauche à son dos en passant par son coeur. Une marque qui palpite doucement, vivante.
Il ne le fait pas pour impressionner. Ni pour provoquer.

C’est un réflexe ancien. Un automatisme guerrier. Sans armure, tout tissu devient un obstacle aux mouvements.

Il avance de quelques pas, serein, presque nu sous le ciel pâle. Son torse sculpté par des siècles de discipline céleste brille légèrement sous la lumière. Ses ailes replient leur envergure, absorbées lentement jusqu’à disparaître en un frisson de lumière.

Il croise enfin son regard. Sans hypocrisie. Sans détour.

La voix de la jeune femme venait à peine de mourir dans l’air que Tsaphkiel la fixait déjà avec une intensité trop calme pour être rassurante.

Un souffle traversa les ruines, poussière, cendres, odeur métallique de pierre chauffée au soleil, et fit trembler les mèches de ses cheveux pâles. Ses ailes sombres se déployèrent légèrement, non pour menacer… mais comme un réflexe ancestral de domination silencieuse.

L’Archange ne dit rien au début.  Il observe. Comment elle respire. La manière dont ses mains restent visibles. Le léger tremblement que même un soldat aguerri ne peut masquer après des années d’exil. Le cœur qui cogne, perceptible dans l’air pour une créature comme lui.

Puis il bouge.

Ce n’est pas une mise en garde. Ce n’est pas un avertissement. C’est un test pur, brut, instinctif. Le genre de test que seules des guerrières comme Anéa savent décoder avant même de réagir.

Ses doigts se posent sur la garde de son épée. Un cliquetis de métal contre cuir, sec, précis, fend l’air.
Il feinte une posture bien particulière… Celle qui pourrait faire penser que sa lame décrira une trajectoire nette, en couronne puis en taille, de droite à gauche. Un coup qui aurait décapité n’importe quel soldat. Cependant, à la dernière seconde, celui qui se fait passer comme étant Saël Thorne, effectue un tout autre geste. Un mouvement ascendant en diagonale et de gauche à droite.

Il ne la touche pas. Il ne cherche pas à la toucher. Il cherche son premier réflexe. La vérité d’un guerrier ne se lit jamais dans ses mots, mais dans le mouvement qui précède la pensée. Le métal s’arrête à quelques centimètres seulement de sa gorge.

Une vibration basse, presque inaudible, résonne encore dans la lame. Les ricochets de la puissance retenue.

Tsaphkiel la fixe, la pointe de son épée encore levée, l’expression indéchiffrable. Une rage froide sous-jacente. Une blessure qu’il refuse de nommer. Et une attente : montre-moi qui tu es devenue.

Lorsque sa voix tombe enfin, c’est avec un calme qui tranche autant que la lame.
Avant que je n’entende tes raisons…  Montre-moi si ton premier réflexe est encore celui d'un Archange… ou de quelqu’un qui a oublié qui elle était.

Pas d’accusation. Pas de douceur. Pas encore. Il se contient. Juste la vérité nue du Prince des Trônes.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le mardi 02 décembre 2025, 21:11:00 »
L’héroïne ne lâchait pas sa prise sur Tank, enivrée par le plaisir qu'il lui offrait. Elle était tout à fait partante pour finir incapable de marcher, pour peu qu’il la ramène chez elle -ou chez lui- afin de remettre le couvert autant de fois qu’il le pourrait. Elle n’avait peut-être qu’un pouvoir de prédiction, mais son organisme mutant était malgré tout plus endurant qu’une simple humaine.

Mais la seule chose qui sort quand elle ouvre la bouche, ce sont des gémissements, des cris d’extase alors qu’il prend possession de son intimité à grands coups de triques, qu’il la secoue sans ménagement sur son chibre épais. Présage n’est plus qu’un amas de nerfs électrisé par chaque coup de rein donné. Elle n’a plus rien d’héroïque ainsi malmenée, appréciant chaque instant de cette étreinte sauvage, brutale. Et elle ne peut que l’encourager, encore et encore, d’une voix qui se brise parfois alors que ses chairs se contractent autour de son amant.

« Aaa-aah, oui, Tank ! En-Encore ! Halète-t-elle avec difficulté. Remplis-moi, aaaah, partout ! »

Et alors qu’il commence à tenir sa croupe, à malaxer de sa main libre, la petite blonde s’arque contre le colosse, sa tête venant cogner le mur sans qu’elle ne s’en rende compte. L’orgasme est arrivé sans prévenir, à l’écouter lui dire à quelle sauce elle allait être mangé. Fulgurant, étourdissant. Le cri de jouissance s’étrangle dans sa gorge tandis qu’elle semble verrouillée contre le criminel, accrochée autant avec ses cuisses qu’avec ses bras.

« Haaa, Tank, putain… Exhale-t-elle finalement alors que son corps s’assouplissait de nouveau. Et d’un, mmh ? Plaisanta-t-elle, le souffle court, en ramenant son front contre le torse de son amant. »

Mais un orgasme était loin de la rassasier, bien entendu. Surtout avec le programme alléchant que lui avait promit l’homme. Et son regard clair, empli de lascivité alors qu’elle levait les yeux vers lui pour l’observer entre ses cils, l’indiquait tout aussi clairement que la manière dont ses reins repartaient déjà pour contrer chaque mouvement du malfrat, pour faire s’entrechoquer leurs bassins à chaque coups, tandis que sa cyprine coulait contre lui, gouttant au sol.

« Je vais tellement jouir que ton costume sera bon à changer, susurre-t-elle avec un sourire en coin, ses yeux roulants parfois dans leurs orbites alors que ses chairs sensibles étaient sollicitées encore et toujours. »
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le mardi 02 décembre 2025, 13:30:21 »
Ramenée contre le chibre toujours rigide, l’immortelle n'a que le temps d'ouvrir les lèvres avant que Randal ne s'y enfourne avec appétit. Elle ne dit certainement pas non, même si elle brûle d'envie de le sentir lui ravager la croupe. Et elle s'emploie à le sucer avec gourmandise, salace et libidineuse en le gobant sans merci, frétillant presque d'envie quand il lui claque les fesses. Elle sait que ça lui plaît de se voir honoré par plusieurs femmes, et le tressautement du mandrin entre ses lèvres le lui confirme de plus belle quand la rouquine dont elle n'a pas pris la peine de retenir le nom vient rajouter ses lèvres dans l’équation. Puis quand celle aux cheveux bleus vient compléter le trio.

La blonde filme toujours, venant parfois faire des gros plans, commentant d'une voix tremblante d'envie alors que Céleste s'en donne à cœur joie pour démontrer toute la souplesse de sa gorge.

Enfin, le moment arrive. Celui où le mafieux vient saisir la crinière brune pour diriger son amante contre le sofa. Celui où il vient, sans douceur mais avec vigueur, empaler la sorcière sur son chibre érigé.

« Aaah, Sugar, ouiii ! S’exclame-t-elle, le souffle court, en arquant les reins pour qu'il se loge en elle jusqu’à la garde. »

Le corps souple de l'immortelle danse contre lui à chaque coup de rein qu'il lui offre. Le visage contre le dossier en cuir, elle ferme les yeux pour savourer l'étreinte brutale -mais tellement bonne- que lui prodigue son amant. L'esprit vite embrumé par le plaisir qui ravage sa chimie interne, la sorcière à l’impression que la queue du colosse semble enfler à chaque coup, dilatant toujours un peu plus cet orifice souple et néanmoins serré dans lequel elle se plonge.

« Oh, Randal ! Je la sens… aaaah… tellement bien ! Ne peut-elle s'empêcher de gémir en agrippant le dossier du sofa en y plantant les ongles. Si… imposante ! Mmmh…Plus fort, oui ! »

La vendeuse, toujours en train de filmer, ne peut s’empêcher de s'extasier pareillement en filmant un gros plan du chibre qui élargit le cul de la sorcière.

« C'est moi où elle paraît plus grosse ? Questionne-t-elle, les yeux écarquillés. »

Bien entendu, cela attise la curiosité des deux autres qui étaient occupées à se donner du plaisir mutuellement en observant la scène.

« Putain, les filles, je ne sais pas comment elle fait… Je ne pourrais jamais prendre tout ça dans le cul !
- Et c'est pas faute d'essayer, taquina son amie, l'air tout aussi impressionnée.
- Je vous avais bien dit que c'était du grand spectacle ! Catégorie Hard Sodomie, là ! »

Céleste était, bien entendu, à mille lieux de les écouter, focalisée sur le plaisir qui irradiait son être à se sentit ainsi écartelée par la queue du colosse. Elle gémissait tant que tant, couinant ou haletant le nom du mafieux en l'encourageant à se lâcher, sentant bien que l'orgasme n'était plus si loin. Une main restait agrippée au sofa tandis qu'il la ramonait furieusement, l'autre glissant contre sa perle pour la frotter de la paume, rajoutant des électrochocs de délice dans tout son corps.

« Aaah, Randal ! Tu vas… Je vais… Oooh, oui, comme ça ! Balbutiait l'immortelle en creusant les reins, tremblante et au bord de l'orgasme. »

Et puis elle s’envola, métaphoriquement, vers le septième ciel lors d'un autre coup de butoir. Le mafieux pouvait sentir sa partenaire se crisper autour de sa queue, se verrouiller tandis que tout son corps était la cible d'un déferlement de sensations d'extase.

« Sugar ! Parvint-elle à s'écrier avant de mordre le cuir pour étouffer ses cris. »
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le mardi 02 décembre 2025, 12:43:54 »
Un sourire radieux salua l'acceptation de son exploration, et Cypress se prit à soupirer de plus belle en sentant les mains de son amant contre ses hanches, son sexe se nichant entre ses fesse alors qu'il la faisait asseoir sur lui. Elle ne perdit pas de temps à retourner le baiser offert, ses lèvres semblant ne pas se rassasier de goûter celles du vampire.

Ses reins ondulèrent doucement alors qu'il pétrissait sa croupe, frottant sa perle contre son aine, ses seins contre son torse. Son bassin se releva sans se faire prier quand il en donna l'impulsion et ses genoux supportèrent son poids le temps qu'il se positionne correctement à son entrée.

Quand sa fleur se fit de nouveau ouvrir par la virilité d’Hadrian, la gorgone exhala langoureusement, sentant chaque centimètre repousser ses parois tout juste étrennées, encore sensible. Mais la brune adora chaque instant jusqu’à ce qu'elle se retrouve de nouveau remplie, frémissante contre le vampire, ses lèvres soupirant son extase contre celles d'Hadrian.

« Aaah, moi aussi… Um… Vous aussi… Pareil… Balbutia l’étudiante, incapable de trouver ses mots pour exprimer la plénitude qu'il lui apportait. »

Ses mains, jusque là agrippées aux épaules de l'homme, à sa nuque, caressèrent sa peau pâle tandis que ses cuisses se serraient autour de celles du vampire. Après un nouveau baiser, la gorgone ne semblant pas s'en lasser, elle lui offrit un sourire tendre, affectueux. Peut-être teinté d'une pointe de perversité alors qu'elle commençait à relever son bassin pour mieux le sentir coulisser en elle, pour mieux revenir s'empaler juste avant que le gland ne ressortent de ses chairs moites et brûlantes.

« Mmmh, ce ne serait… pas déplacé du tout… souffla-t-elle contre son oreille en venant lui embrasser le cou. »

Et la jeune femme commença alors à découvrir le plaisir qu'il y avait à chevaucher son amant, sur un rythme d'abord langoureux pour faire monter le plaisir, pour détendre ses chairs encore sensibles. A chaque fois qu'elle venait se rasseoir sur ses cuisses, son bourgeon frottait délicieusement contre le pubis d’Hadrian, lui tirant des petits sifflements de plaisir alors que sa langue fourchue venait caresser le cou du vampire, le lobe de son oreille ou, par instant, directement sa joue.

Cypress se découvrait joueuse, taquine, maintenant qu’elle savait à quoi s'attendre. La pluie de la douche lui paraissait bien plus fraîche que son corps qui surchauffait, qui s'embrasait sous le plaisir qui courait dans ses veines. Ses mains continuaient leur manège tandis que ses reins prenaient de la vitesse, venant tantôt s'agripper à ses épaules, tantôt se glisser dans ses cheveux, griffant parfois légèrement quand elle ressentait l'extrémité du sexe mâle frotter un point sensible, orgasmique, au creux de ses reins.

« Hadrian, ne pouvait-elle s’empêcher de murmurer. De soupirer. De gémir. Oh, Hadrian… Chantait-elle alors que la force avec laquelle elle se laissait retomber sur son sexe s'intensifiait. »

Si la gorgone n'avait jamais su mentir de façon convaincante, c'est parce que son visage -les expressions que l'on pouvait y lire- la trahissait. C'était bien embêtant quand il s’agissait de nier être une humaine parfaitement normale. Mais, dans ce cas précis, à l’instant présent, ce devait être une aubaine pour le vampire car il pouvait y lire l'extase qui se reflétait sur ses traits. Chaque micro-expression trahissant son plaisir, dénotant le moment précis où sin chibre touchait un point sensible, l'aidant à repérer de quelle manière l'amener plus tard à l’orgasme en quelques coups de reins.

« Hadrian, répéta la jeune femme, délogeant l'une des mains de l'homme pour l'amener avec la paume contre sa perle. Frottez ici… S'il vous plaît… »

Et son rythme augmenta encore, devenant plus vif, plus vigoureux, alors qu'elle chassait l'orgasme qui enflait entre ses reins. Le souffle court, la brunette s'empalait avec force contre le membre rigide, ses parois intimes se contractant de plus en plus autour de lui, annonçant sa jouissance proche.

Les yeux fermés derrière ses lunettes aux verres trempés de gouttelettes, Cypress finit par se verrouiller toute entière autour du vampire. Autour de son sexe, de ses cuisses, de ses épaules. Le plaisir déferla en elle alors qu'elle haleta encore le prénom de son amant, les reins arqués, secouée de petits soubresauts alors qu'elle ondulait presque frénétiquement contre lui.
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Les alentours de la ville / Re : L'Ombre du passé [Saël Thorne]
« Dernier message par Anéa le mardi 02 décembre 2025, 02:19:06 »
Pauvre Anéa...Était-elle si différente en tout point de ce à quoi elle ressemblait quand elle foulait les palais célestes ? Ou bien, cela faisait peut-être un trop long moment depuis la dernière fois qu'ils s'étaient croisés pour que Tsaphkiel la reconnaisse ? L'archange haussa un sourcil, laissant le Prince des Trônes reconnecter ses neurones et fasse enfin le lien avec ce que la demoiselle venait de lui avouer. Le silence coulait lentement entre eux deux, trop dense, presque trop chargé pour n'être qu'un hasard ou une suite logique au discours de la guerrière. Anéa le laissa s'installer comme une vieille amie, s'en enveloppant pour chasser tout frisson inutile. Mille et une questions se bousculaient dans son esprit. Que faisait-il sur Terre ? Plus précisément, pourquoi était-il à Seikusu ? Et surtout, pourquoi était-il apparu devant elle ? Est-ce que par hasard, il avait eu vent qu'elle était toujours vivante mais « changée », et que pour maintenir l'équilibre, il devait l'éliminer ? Une très fine grimace fit tordre ses lèvres, alors qu'elle ne cessait de fixer les yeux mordorés du Prince.

Son cœur, lui, heurta sa cage comme un oiseau impatient. Enfin, il l'avait reconnue. Il ne prononça son nom qu'une fois, et pourtant, la semi-démone eut l'impression qu'il résonnait comme un écho lointain, un chuchotement ténu d'un passé qui brûlait toujours dans ses os et son âme. Comme figée sur place, Anéa ne recula pas lorsque son ancien supérieur s'approcha d'elle, mêlant leurs ombres dansantes sur le sol.


- Enfin. Il t'en a fallu du temps.

C'était dit sans chaleur, mais sans méchanceté réelle non plus. Ce n'était qu'une façon de masquer un trouble qu'elle se refusait de laisser paraître. Elle n'avait pas demandé à être appelée, à être reconnue, ni à être vue...

Tsaphkiel s'approcha de nouveau, d'un pas à peine perceptible, comme s'il ne foulait même pas le sol. Il n'était pas assez proche de la jeune femme pour la toucher et elle, bien entendu, ne recula pas d'un millimètre. Elle n'avait jamais reculé devant lui. Cependant, l'archange cligna des yeux, détournant un instant le regard comme si le soleil l'éblouissait. Mensonge. Ce n'était guère la lumière extérieure qui lui faisait plisser les paupières, mais bien le Prince des Trônes qui rayonnait d'une puissante aura. Elle grimaça un instant, pestant. Tout ceci l'agaçait...

Les paroles qu'il tenait étaient des plus simples, et si Anéa le laissa parler sans le couper, elle ressentit une tension glisser le long de sa colonne, sourde et ancienne. Quelque chose dans son ton, dans la manière dont son regard doré cherchait le sien glacé, réveillait un souvenir enterré sous les siècles. La guerrière prit une lente inspiration, contrôlée en tout point, bras croisés sous sa poitrine. Elle prit le temps de réfléchir à ce qu'il lui avait demandé : un lieu large, ouvert, qui ne craindra pas leur mémoire. L'ancienne céleste comprit ce qu'il sous-entendait par cette demande, et quelque chose dans cette formulation l'irritait autant qu'il la frappait en plein cœur. Toujours ce langage, cette grandeur et cette poésie, cette manière d'habiter le monde comme s'il lui devait silence...Anéa leva finalement les yeux vers lui, un sourire fin et ironique sur les lèvres.


- Tu t'rends compte que t'as vraiment choisi le pire endroit de l'univers pour être discret ? Tu te pointes ici, avec ta belle gueule d'ange, ton aura céleste aussi captivante que le soleil, et une épée plus grande que moi. Et tu veux un endroit tranquille pour qu'on s'en mette sur le coin de la figure ?

La demi-démone secoua lentement la tête, exaspérée mais une lueur trouble passa dans son regard de glace, une étincelle qu'elle chassa aussitôt.

- Très bien. Il y a les îles Habomai, au nord du pays, qui sont inhabitées. Il suffira tout de même de ne pas attirer l'attention des bateaux qui passent.

La jeune femme, avec sa chevelure de jais vacillant au vent, contourna Tsaphkiel. Elle le frôla brièvement, un contact volontaire, comme pour prouver que tout ceci était bien réel. Une chatouille minuscule, presque hostile...presque tendre. Puis, la demoiselle prit ses distances, semblant prendre la direction de la sortie du parc, les mains dans les poches.

- Suis-moi. Et te perds pas s'il-te-plaît, parce que je ne t'attendrai pas...

Pas même un regard par dessus l'épaule et la voici qui s'avança dans les ruelles de Seikusu. L'archange déchue ne se retourna pas à un seul moment. Elle savait pertinemment qu'il la suivait, toujours de ce pas sûr et silencieux, trop maîtrisé pour appartenir à un simple humain. Sur le chemin pour rejoindre son appartement et récupérer ses armes, parce qu'il fallait bien ça pour lui montrer qui elle était, Anéa prit le soin d'éclaircir un peu sa voix, abandonnant un morceau de sa nouvelle réalité au vent.

- Tu parlais de...voir où bat mon ciel. Tu risques d'être déçu. Il est très bas, désormais, et pas toujours du bon côté.

Un rictus amer effleura les lèvres charnues de la jeune femme. Qu'est-ce qu'il devait penser de sa déchéance ? Était-il au courant de tout ce qui avait fait qu'elle ne foulait plus les cieux ? Est-ce qu'il sentait qu'elle n'avait presque plus rien d'angélique ? Peut-être qu'il attendait juste le bon moment pour la faire passer à trépas...

Anéa s'arrêta brusquement en bas d'un immeuble. Il devait rester là à l'attendre. La déchue ne prit pas beaucoup de temps, juste assez pour prendre ses deux armes et de redescendre afin de le rejoindre et de prendre la direction des îles Habomai. Étrangement, elle ne souhaitait pas que le Prince des Trônes pénètre dans son appartement. Pourquoi ? Elle ne le savait pas vraiment, mais c'était le seul endroit où elle était...Tranquille. Avant de reprendre la route, elle jeta un œil vers Tsaphkiel, croisant son regard. L'ambre contre la glace...Il n'y avait là ni défi -pas encore, du moins-, ni soumission. Seulement une vérité nue, offerte malgré elle.


- L'endroit où on va aller, c'est un paysage peu commun mais il n'y a pas d'humain, au moins. Sauf quelques oiseaux vivent là...Il y en aura juste deux de plus le temps d'un combat.

La déchue hocha la tête vers le Prince, signe qu'ils pouvaient s'envoler à pleine vitesse afin de rejoindre Habomai. Sur le chemin, elle se tut, sa chevelure semblant à des vagues de jais dansantes et s'écrasant sur ses épaules. Les îles, surtout celles de la taille d'Habomai, n'étaient que rarement peuplées. Bien sûr, il y avait eu du passage humain auparavant, mais la nature y avait les pleins droits.

L'air marin était plutôt frais, mais ce n'était pas pour déplaire à la guerrière. L'île principale, la plus grande, n'était qu'un immense plateau d'herbes rases et de mousses, entouré de plages de galets plus ou moins gros. Ce n'était pas un terrain simple pour s'affronter. Tant mieux. Battre Tsaphkiel ne sera que plus...joussif. Ouvrant grand les bras vers l'éphèbe immortel, Anéa s'inclina à la manière d'un noble gentilhomme faisant face à la royauté.


- Alors, Prince des Trônes, tu voulais savoir ce que le monde a fait de moi, mh ? Je vais te le montrer.

Ses lèvres légèrement rosées s'étirèrent en un sourire froid, et pourtant infiniment vivant. Anéa dégaina ses armes, toujours en s'inclinant, faisant bien trop de manières qu'à l'habituel. Son regard vibrait d'une lueur vive...Presque de folie.

- Viens. Je t'attends.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le lundi 01 décembre 2025, 23:06:41 »
A chacune de nos rencontres c'est la même rengaine avec elle qui prend le dessus et moi qui me retrouve complètement rincé de bout en bout. Aujourd'hui les choses vont changer. En tout cas je vais profiter de chaque occasion qu'elle va m'offrir. A commencer par ses chevauchées multiples qui me permettent de la plaquer le dos contre le mur pour mieux la baiser.

Mon coeur bat si fort dans ma poitrine que j'ai l'impression de l'entendre résonner dans mes oreilles alors que j'halète lourdement en la regardant droit dans les yeux les secondes suivantes. Malgré le fait d'avoir une main coincée, je ne me gêne pas pour poser la seconde sur son petit cul parfait. Sa peau est chaude, brûlante même... et pourtant si douce en même temps que c'est presque criminel.

Chaque gémissement de se part fait gonfler et durcir ma bite le temps d'une fraction de seconde. Chaque mot qui s'échappe de se bouche m'offre un regain d'énergie pour la pilonner plus fort contre ce mur sans penser au risque d'effondrement. La seule chose que je veux voir détruite c'est elle. Tout ce qu'elle mérite c'est d'être baisée sans aucune pitié pour la rendre méconnaissable.


- Ce soir c'est toi qui va finir au sol, incapable de te lever.


Un coup de rein de ma part vient confirmer mon premier propos. Tout mon bassin ondule dans un mouvement compact pour qu'elle ressente toute mon énergie. Mon gland vient cogner et s'écraser au fond de sa chatte tout en écartant tout ce qui est sur son passage. Les mots qui s'échappent de ma bouche sont accompagnés de longs soupirs car l'oxygène commence à manquer. Ma gorge est de plus en plus sèche vu que je respire la bouche ouverte.


- C'est fini... De jouer avec moi. Tu vas jouir, encore et encore, au bout de ma queue. Et quand je l'aurais décidé, je viendrai te remplir ta chatte et souiller ton visage d'ange.


En remarquant qu'elle tient en place en se retenant à mon corps comme si elle était suspendue au rebord d'une falaise, ma main commence à malaxer son cul avec poigne. Le manque d'espace ne me permet pas de venir claquer dessus aussi fort que je le souhaite même si ça ne m'empêche pas d'essayer et de reproduire le geste à plusieurs reprises. Je veux l'entendre crier encore plus fort. Qu'elle me dise à  quel point elle aime ça et qu'elle en veut encore plus.
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Saël Thorne le lundi 01 décembre 2025, 20:36:09 »
Ô VDD si tu savais ce que je souhaite ! Je veux juste un duel en bonne et dûe forme. M'assurer que ta VDD est bien celle que j'ai toujours connue sur les champs de bataille.   :D
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Em le lundi 01 décembre 2025, 19:42:19 »
Oh, tu sais, VDD, si ton VDD veut que tu le domines, j'ai tout ce qu'il faut chez moi~
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Anéa le lundi 01 décembre 2025, 14:44:20 »
Troublé pour si peu, mon cher VDD... Ca ne sera qu'un avantage lorsque je vous botterai le fessier.  ::)
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 30 novembre 2025, 23:00:23 »
Ce n'est plus trois mais quatre femmes qu'il a autour de lui. Toutes plus chaudes et cochonnes que la précédente. Inutile d'aller chercher loin pour comprendre ce qui l'excite à ce point. La présence de Céleste, collée contre lui, en train de l'astiquer n'arrange rien. Et une fois de plus Randal tient parole auprès de sa partenaire. Avoir une autre main que la sienne s'occuper de tout le fait soupirer d'un plaisir non dissimulé alors que la douche blanche arrive rapidement pour la gagnante de ce challenge. La personne qui verra la vidéo terminée comprendra à quel point son éjaculation fut agréable aux angles hasardeux.

Tout le monde se fait arroser copieusement sous la direction de la sorcière qui dirige les opérations d'une main de maître. Ferme mais généreuse avec le trio de jeunes femmes qui s'en amusent. Quelques moqueries fusent sur la femme aux cheveux bleues qui ne s'attendait clairement pas à un tel résultat. A croire que les hommes qu'elle a rencontré jusque là parlaient plus qu'ils n'agissaient.

L'objectif du portable reste fixé sur les jeunes femmes qui s'embrassent entre elles. Des doigts viennent se tremper sur la couche de sperme crémeux qui est collé au visage de leur amie. D'autres viennent jouer avec son corps brûlant. Elles ont chaud et veulent plus. Mais une autre femme aura toujours la priorité aux yeux du mafieux. Elle n'a même pas besoin de le pomper pour lui nettoyer la queue pourtant. Pourtant elle semble le faire avec un certain plaisir avant de lui faire comprendre qu'il était temps de rendre les choses plus croustillantes.


- Inutile de me le demander deux fois.


Le regard de Randal est planté sur le cul rond et ferme de la belle qui a fait vriller et bander tous les hommes qui ont eu la chance de croiser sa route ce soir. Ce cul il commence à le connaître après l'avoir exploré à plusieurs reprises. Est-ce que sa forme humaine suffira à le ruiner à un degré suffisant ? Probablement que non... L'idée lui trotte dans la tête jusqu'à lui donner envie de vérifier la théorie.

D'une main il bloque la nuque de Céleste pour la refaire plonger bouche la première contre son gland. Sa bite est gonflée. Elle est dure. Chaque veine la fait pulser pour prouver son envie. Pourtant cela ne lui suffit pas. Le résultat doit être à la hauteur de ses attentes.
A peine aura-t-elle le temps de voir la chose venir qu'il vient lui foutre une claque puissante sur le cul. Allant jusqu'à faire sursauter la blonde et la rouquine qui s'échangent un regard surpris sans s'y arrêter. Et vu que les choses semblent se poursuivre, la belle créature à la chevelure de feu rejoint Céleste en ouvrant la bouche en grand pour lui gober une boucle dans un son de succion un poil forcé. Ce simple contact fait tressauter le membre de mafieux dans la bouche de la sorcière.


- Hmmmm ! C'est parfait, continuez. Faites-moi bander aussi fort qu'avant pour que je puisse lui casser le cul à l'en faire cracher ses poumons.


C'est alors que la femme aux cheveux bleus, au visage encore souillé, vient rejoindre le groupe pour lui offrir sa contribution. Avoir trois bouches s'occuper de sa queue en long, en large et en travers fait rapidement son effet. Peut-être même que sa bite est encore plus imposante ? Lui y croit dur comme fer en tout cas. Et hors de question de douter ou de perdre une seconde.


- Viens par là !


Il n'y a aucune tendresse, ni violence inutile d'ailleurs, dans le geste de Randal alors qu'il attrape la sorcière par sa crinière pour l'emmener jusqu'au sofa sur lequel il l'envoie valser tête la première. Son genou est à peine posé sur le cuir du siège qu'elle se fait déchirer brutalement le cul. La percé est soudaine et puissante. L'énorme et puissant chibre qu'elle lubrifiait l'instant précédent est entré dans son rectum aussi facilement qu'on pourrait couper du beurre avec un couteau brûlant.

Le plaisir que celui lui procure est d'une intensité folle. Le mafieux ne peut s'empêcher de souffler fort en levant les yeux vers le plafond. Une main dans les cheveux de Céleste pour lui appuyer le visage contre le cuir et l'autre sur la peau soyeuse de son cul. La tenir ainsi sous son étreinte tout en profitant de la douceur de sa peau a pour effet de le faire frémir à chaque fois. Tout son corps le ressent et l'exprime. Autant vu de l'extérieur que de l'intérieur.
Le corps étranger qui est planté en elle se met à remuer en repoussant ses parois sensibles au passage. Il tente de jouer avec les limites et la flexibilités de ces dernières pour voir jusqu'où il va pouvoir les étendre ce soir.

Si Céleste est partie s'amuser avec d'autres hommes avant de venir le retrouver, ils deviendront vite qu'un lointain souvenir. D'ailleurs, aucun autre homme ne pourra passer après lui ce soir. Car il va laisser son empreinte sur son corps de façon claire et évidente.
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