Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : De nouveaux horizons [PV Nyoras Club]
« Dernier message par Alice Makai le Aujourd'hui à 13:18:18 »
Alice soufflait intérieurement. Les entretiens, ce n’avait jamais été son truc.Ce sentiment de se mettre à nue, au sens figuré bien entendu, devant un inconnu, ce besoin de trouver l’équilibre entre ce que la personne veut savoir et ce qu’il vaut mieux éviter d’aborder… Elle avait l’impression de marcher sur une corde raide et de chercher le sans faute, quelle pression. Pourtant elle ne devrait pas mais… les habitudes… Heureusement face à elle, Aya se montrait des plus encourageantes, commentant son expérience.

- C’est une très bonne chose, ça me fait plaisir d’apprendre que tu as déjà ce genre d’expérience. C’est plus rare que tu ne le crois… en général, nos postulantes mettent en avant leur physique mais ne connaissent pas grand-chose à tout ce qu’il y a d’autres à gérer dans un club…

Elle avait marqué des points on dirait. Un sourire passa sur le visage d’Alice, reflété très vite sur le celui d’Aya alors qu’elle poursuivait en parlant de ses autres expériences. Elle trouvait ça un peu particulier de parler de ce genre de chose lors d’un entretien, mais le langage corporel de la jeune femme face à elle la mettait assez en confiance pour parvenir à se dévoiler. Elle écoutait, sans interruption, c’était tout ce qu’il fallait à Alice.

- Merci d’avoir partagé tout ça avec moi Alice. Pour être parfaitement honnête, vous me plaisez beaucoup. J’adorerais travailler avec vous.
- V-Vraiment ?

Le rouge revint très aisément aux joues de la demoiselle. Elle ne s’était pas attendue à une réaction aussi franche. Est-ce que cela signifiait qu’elle était engagée, ou bien seulement qu’elle avait l’approbation d’Aya en particulier. Un léger doute passa sur son visage à cette idée alors que la beauté aux cheveux ébènes continuait.

- Puisque tu connais un minimum le métier, et pas que celui d’escort-girl, sache que tu n’auras pas d’obligations en ce qui concerne tes relations sexuelles avec la clientèle. Je veux dire que tu pourras gérer le bar et sa salle avec moi ou Xia, et ne te proposer pour le reste que si tu le désires. Ça ne changera bien sûr rien à ta paye.

Un soupir de soulagement échappa à Alice en entendant cela. L’idée de ne pas avoir certaines obligations vis-à vis des clients lui retirait un immense poids de l’estomac. Bien sûr, si elle avait dû s’y plier, elle l’aurait fait sans rechigner, mais si cela pouvait lui être épargné, autant s’en réjouir. Et puis, si elle pouvait se former en aidant au bar, c’était tout bénéfice, autant essayer d’ajouter un maximum de cordes à son arc. Bien sûr ça ne confirmait toujours pas à 100% sa situation mais…

C’est alors qu’elle sentit le doigt d’Aya effleurer sa main avant de remonter sur son avant-bras, déclenchant un agréable frison qui remonta tout son corps, avant qu’elle ne repose le regard sur son interlocutrice qui murmurait.

- Pour ce qui est de ton expérience avec les femmes… soit sûre que nous serons très heureuses de passer du temps avec toi pour te faire découvrir ces plaisirs que ton corps ignore encore. Il ne faudra pas hésiter à demander, d’accord ? Ca ou d’autres choses, si tu as la moindre question ou demande…

Un instant, est-ce qu’elle lui proposait de ?... Nooon ! Ou… peut-être ? Alice scruta le visage d’Aya avec attention, essayant d’y déceler l’aveu d’une boutade, d’une sorte de bizutage à son encontre. Mais rien du tout, la jeune femme semblait, dans toute sa bienveillance, extremement sérieuse quant à cette proposition. Mais dans ce cas… Elle devait en avoir le cœur net.

- Dois-je comprendre que… je suis engagée ?

La question semblait peut-être puérile, mais elle avait besoin de se tranquilliser l’esprit à ce propos. Mais elle enchaina bien rapidement.

- Je… Enfin… Je… Désolée, j’ai tellement peur d'interpréter de travers. Mais je… je serais ravie… d’expérimenter… de nouvelles choses… Enfin, si ça ne vous dérange vraiment pas…

Ses yeux regardaient le doigt d’Aya qui continuait sa promenade le long de son bras, n’osant plus la regarder dans les yeux, son cœur battant à un rythme irrégulier de crainte de ne dire une bêtise..


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Gentaro & Tenshi

Elle m'a reconnu, et ça me donne un sacré coup d'adrénaline. Savoir qu'elle sait qui je suis, que mes performances avec les Astral Bonds ont marqué son esprit, ça me fait chaud au cœur. Tenshi est vraiment magnifique, même plus que dans mes fantasmes les plus fous. Je me sens flatté qu'elle me remarque, qu'elle s'intéresse à moi de cette façon. En la regardant se cambrer contre le bureau, je ne peux m'empêcher d'admirer sa beauté et son charme. Elle a quelque chose d'irrésistible, quelque chose qui m'attire comme un aimant. Mes intentions sont claires, mais je veux qu'elle le comprenne. Je m'approche d'elle avec douceur, lui assurant que je suis là pour elle, prêt à lui offrir tout ce dont elle a besoin. Quand elle prononce mon nom, je sens une étincelle d'excitation dans ses yeux. « Tu sais ce dont je veux parler, rouquine. » Dis-je d'une voix rauque, mon regard brûlant d'intensité. Je ne peux pas m'empêcher de la dévorer des yeux, attiré par son charme envoûtant. Je veux qu'elle comprenne que je suis là pour assouvir ses désirs les plus profonds, pour la faire vibrer comme jamais auparavant.

Je dévoile mon torse musclé et tatoué, laissant entrevoir une parcelle de ma virilité. Mon regard brûle d'un feu ardent alors que je m'approche d'elle avec une assurance féline. Elle est là, devant moi, offerte sur ce bureau, sa chevelure rousse tombant en cascade autour d'elle. D'un geste possessif, j'écarte doucement ses jambes, révélant davantage son corps désirable. Mes mains avides se posent sur son visage, capturant sa beauté avec une délicatesse féroce. Mes doigts encerclent ses joues, exprimant à la fois mon désir ardent et ma volonté de la protéger. Son souffle chaud caresse ma peau alors que nos regards se croisent, brûlants d'une passion inextinguible. Dans cet instant suspendu, je me sens prêt à la posséder, à l'aimer avec une intensité sauvage. « Et bien ces groupies, oublies les. J'suis là pour toi aujourd'hui, tu m'obsèdes putain... » Alors, mon visage se rapprochant du sien avec une détermination palpable. Une lueur de désir brille dans mes yeux sombres alors que ma langue pointue glisse sensuellement le long de son cou. Sa peau sous ma caresse est douce et tiède, et chaque contact enflamme davantage mes sens.

« Dans cette vie de famille, t'es qu'une pauvre paumée sans but. Alors que moi, j'peux t'en donner un concret. Et vu que tu fais déjà la belle devant tes caméras, tu seras pas trop dépaysée avec moi. Enfin, avec nous... »

Mes gestes sont empreints d'une férocité contrôlée, exprimant à la fois mon envie irrépressible et ma volonté de la faire vibrer de plaisir. Je me délecte de chaque réaction, de chaque frisson qui parcourt son corps sous mon toucher. Dans cet instant de communion intense, je suis déterminé à la faire succomber à mes charmes, à lui offrir un plaisir dont elle se souviendra éternellement. Ma main s'aventure entre ses cuisses, explorant avec audace le territoire de son intimité. Ses lèvres intimes sont déjà humides, trahissant le désir qui brûle en elle. Pendant ce temps, mon autre main saisit délicatement sa gorge, exerçant une pression mesurée qui exprime à la fois ma dominance et ma protection. Ses réactions ne font que renforcer mon assurance. Je sens la chaleur de son corps sous mes doigts, son souffle s'accélérant au rythme de ses pulsations. Elle est à moi, et je savoure chaque instant de ce pouvoir qu'elle me confère. Dans cet échange torride, je me sens plus puissant que jamais, conscient de l'impact que j'ai sur elle, et déterminé à la combler de plaisir jusqu'à l'extase ultime.

« Alors... ? Tu penses pouvoir continuer à vivre ce quotidien emmerdant, ou tu veux embrasser une vie de luxure jusqu'à la fin des temps ? »
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Alors qu’elle était en train de se faire tripoter dans tous les sens, avec la bave du gros porc sur ses tétons qui ne cesse de les faire durcir. Elle continue ses gémissements en venant s’agripper vers lui. Le kimono dénude parfaitement ses épaules. Mais sept sensations de recherche, du plaisir qu’il soit s’est passé vite lorsque sans crier égard, elle me pénètre dans la pièce, ils sensations pesantes s’installe. Il était grand très musclé avec de nombreux tatouages visibles sur le visage et le cou, mais très vite la femme de foyer reconnu qui s’était…Gentaro des Astral Bond… qu’est-ce qu’il fait ici ? comment ça se fait ? pourquoi ?

Tellement de questions se bousculent dans sa tête, surtout lorsqu’il vient attraper à la gorge, le gros porc. Tenshi pose sa main devant sa bouche pour contenir un petit cri de surprise et de terreur à la fois. Enfin, est-ce que c’était vraiment de la terreur se retrouvait devant l’une de ses idoles qui plus est était en train de mener à mal un gros porc dont elle n’avait pas spécialement d’attirance… il n’avait aucune difficulté à le soulever. Par le coup, sa voix était lourde et en même temps mielleuse quelque chose d’irrésistible qui commence à la fare bien plus mouiller que ce que le « candidat » était en train de lui faire.

Elle se recule contre le bureau qui était devant la fenêtre avec les rideaux fermés. Elle regarde la scène en silence, tétanisée avec un mélange de surprise et de soulagement. Gentaro projette l’homme avec une facilité déconcertante, qui, d’ailleurs, prend la fuite sans demander son reste, ses habits dans les mains pour sûrement les remettre une fois bien loin de cette menace. Gentaro fini par se retourner vers elle, pour s’avancer d’un pas assez lent et de gestuelle qui voulait tout dire sur ses intentions.

Elle était encore une fois étonnée, qu’il puisse connaître son nom. D’autant plus que la proposition qui suit laisse s’envoie la femme au foyer qui se cambre contre le bureau. Le kimono toujours ouvert qui laisse simplement apparaître ses tétons bien durs encore mouillés, par la salive de l’autre homme.

Tenshi : « Mon dieu…vous êtes…Gentaro… comment m’avez-vous trouvé ? Qu’est-ce que vous faites ici…pourquoi…qu’est ce que … Vous servir à tout le groupe, qu’est-ce que vous entendez par-là…  »

Tenshi n’était pas stupide. Elle savait très bien. De quel secteur d’activité il pouvait parler mais elle voulait plutôt en avoir la confirmation si elle avait bien entendu les propos de l’homme qui se tient devant elle ou plutôt du démon, ce qui rajoute une variante en plus à cette situation, improbable. Elle se mordit la lèvre en le regardant de haut en bas, et la manière dont il était habillé. Laisse clairement voir que son charisme et sa carrure était aussi jouissive que lorsqu’elle les regarde à la télé.

Tenshi : « si c’est bien ce que je crois, vous devez savoir que je suis Marie ma présence ici n’est que quelque chose de ponctuel et comment est-ce que vous savez que ma vie est merdique je ne suis qu’une simple femme au foyer perdu dans un quartier résidentiel, alors que vous avez autour de vous tellement de groupies qui mouille sans cesse chaque soirs lors de vos représentations…  »

En disant cela elle se vend sur le fait qu’elle les suit de loin le ciel n’a jamais été à l’heure de leur concert et se contentent de fantasmer et de se masturber à travers un écran

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Le coin du chalant / Re : ♚ Astral Bonds ♕ [JDB & Trames]
« Dernier message par Astral Bonds le Aujourd'hui à 12:10:20 »
UPDATE

4 nouvelles trames : One-Shot.
2 nouvelles trames : Astral Bonds.
Nouveaux avatars : Masculins.
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Gentaro & Tenshi

Depuis que je suis tombé sous le charme envoûtant de Tenshi, je ne peux plus penser à rien d'autre. Son mystère, son aura, tout en elle me fascine au plus haut point. Chaque vidéo, chaque publication sur son blog érotique m'attire davantage, me consumant d'un désir ardent et insatiable. Je suis obsédé par elle, déterminé à percer son secret, à découvrir qui elle est réellement derrière son masque en dentelle. C'est pourquoi j'ai franchi le pas et décidé de faire appel à un hacker pour traquer Tenshi dans le monde réel. Je veux la suivre à la trace, savoir où elle va, ce qu'elle fait, pour enfin lever le voile sur sa véritable identité. Cette quête de vérité m'obsède jour et nuit, me poussant à des extrêmes que je n'aurais jamais imaginés. Mais je suis prêt à tout pour assouvir ma curiosité, pour être celui qui découvrira les secrets les plus intimes de cette femme mystérieuse. Chaque jour qui passe, mon obsession pour Tenshi grandit, se transformant en une passion dévorante. Je rêve de la connaître, de la posséder, de devenir celui qui partagera ses plus sombres secrets. Peu importe les risques, les obstacles, je suis prêt à les affronter pour atteindre mon but ultime. Tenshi, ma muse, tu ne pourras pas échapper à mon désir irrépressible de te découvrir, de t'approcher, de te conquérir.

Quand j'ai appris que Tenshi avait un rendez-vous avec un autre homme, une rage sourde a grondé en moi. Je ne supporte pas l'idée qu'un autre puisse s'approcher d'elle, la toucher, alors qu'elle reste une énigme pour moi. Je ne peux pas permettre qu'un quelconque imbécile s'interpose entre elle et moi. Si un gros porc ose la traiter de cette façon, il ne connaîtra que ma colère dévastatrice. Malgré mon désir brûlant de la rejoindre, je me force à temporiser, à attendre le moment opportun pour faire mon entrée. Je me dérobe dans l'ombre, surveillant de loin cette scène qui m'exaspère. Chaque fibre de mon être crie de venir à son secours, de la protéger de ces hommes indignes d'elle. Mais je sais que je dois attendre, agir avec prudence pour ne pas compromettre mes chances de la conquérir. Je suis prêt à tout pour elle, même à endurer cet instant de frustration alors qu'elle est entre les mains d'un autre. Mais je sais qu'un jour viendra où elle saura qui je suis vraiment, où je pourrai enfin me dévoiler et lui offrir ma protection, mon amour. Et ce jour-là, aucun homme, aussi grossier soit-il, ne pourra se mettre en travers de notre chemin.

La vue de cet homme, le visage enfoui entre les seins de Tenshi, a déclenché en moi une fureur indescriptible. Sans même réfléchir, mes instincts prennent le dessus et je me rue vers lui. D'un geste fulgurant, j'attrape l'homme par la nuque et le soulève sans la moindre difficulté, ma force surhumaine révélée dans toute sa puissance. Son regard de surprise et de peur ne fait que raviver ma colère. « T'as pas idée de ce que tu viens de faire, espèce de sombre petite merde. » Dans un silence lourd de menace, je fixe cet intrus, cet impudent qui ose s'approcher de celle que je désire plus que tout au monde. Mes mains serrées autour de sa gorge, je sens sa panique grandir, mais je ne lui accorde pas la moindre pitié. Il comprendra bientôt que Tenshi n'est pas une proie à sa disposition, mais une muse sacrée que je protégerai de toutes mes forces. Alors que la tension emplit la pièce, je sens le désir de Tenshi se mêler à ma colère, une énergie brûlante qui nous relie tous les deux. Dans cet instant, je suis prêt à tout pour elle, à combattre quiconque oserait menacer son intégrité. Et si cet homme ne l'a pas encore compris, il le saura bientôt, alors que je lui montre la véritable étendue de ma détermination.

Après l'avoir projeté hors de la pièce d'un simple revers de la main, je vois le corps de l'homme heurter violemment le mur du couloir. La peur se lit dans ses yeux alors qu'il s'écrase au sol, son visage déformé par la terreur. Sa fuite précipitée est un acte de survie instinctif face à ma présence imposante et à ma rage déchaînée. Une fois l'intrus chassé et la menace écartée, je laisse peu à peu retomber ma respiration bestiale. Mes yeux scrutent Tenshi avec une intensité brûlante, mon regard exprimant à la fois la fureur qui vient de m'envahir et la protection féroce que je lui offre. Dans ce moment de calme relatif, je penche légèrement la tête sur le côté, cherchant à capter son regard, à communiquer silencieusement ce désir que je ressens pour elle. « Tenshi... Kazama. Ravis de te rencontrer. » Tel un prédateur approchant sa proie avec une assurance féline, je m'avance vers Tenshi. Chaque pas que je fais résonne dans la pièce, empreint de détermination et de domination. Mon regard brûlant fixe le sien, une lueur sauvage brillant dans mes yeux sombres, exprimant à la fois la passion et la possessivité qui m'habitent en sa présence.

« Tu me connais non ? Parce que je moi je te connais bien, et j'suis là pour te faire passer un message. Je viens te délivrer de ta p'tite vie merdique. Je veux que tu me serves, moi, et les autres membres du groupe. »
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Voilà encore une belle soirée en perspective, il faisait plutôt chaud pour cette période entre le printemps et l’été. C’était aussi les plus ennuyeuse pour notre femme au foyer, car bien évidemment, son mari était encore absent pour un voyage d’affaires en Angleterre.. heureusement qu’elle avait des activités de bénévolat et une autre un peu plus extra… durant cette période, sa chaîne et son blog érotique porno marche du feu de dieu comme d’habitude, elle devait répondre à de nombreux commentaires d’internautes anonymes, qui souhaitent être le partenaire idéal pour la prochaine vidéo. Mais Tenshi était quelqu’un d’assez exigeante en terme de critères pour mettre en valeur son activité. C’était bien les rares fois où elle pouvait s’imposer et mettre un Veto si cela était nécessaire.

Aujourd’hui, elle était censée aller à un rendez-vous avec justement l’un d’entre eux qui allait peut-être avoir la chance de découvrir son vrai visage. Car bien évidemment quand elle se rend dans les loves Hôtel, elle met toujours son masque en dentelle pour garder son anonymat. Si l’homme n’était pas content, elle couperait court à la situation, mais elle est assez douée pour pouvoir analyser la personnalité des gens au premier coup d’œil. Mais d’après les photos qu’elle avait pu avoir de cette inconnu, il était un peu grassouillet, mais ça il en avait que faire, car comme cela, chacun pourrait s’identifier aux différents profils avec qui elle pouvait coucher

Elles seront donc dans le quartier des divertissements qui était plutôt animé à cette heure-ci. Donc c’était facile pour elle de pouvoir se faufiler sans encombre et sans être vraiment ou attirer l’attention. Elle avait fait une réservation en ligne pour une chambre elle se rend donc à ce fameux rendez-vous, elle était habillée d’un kimono noir intégralement nue en dessous car il s’agissait de voir les compétences sexuelles de cet homme avant de pouvoir mettre en scène des déguisements pour la vidéo qui aurait lieu un autre moment bien évidemment.

Le gros porc était déjà sur place. Attendant la planeuse femme de foyer, et lorsqu’elle pénètre dans la pièce avec son masque en dentelle, il se lèche les lèvres. Alors que la jeune femme s’avance vers lui, pour venir l’embrasser à pleine bouche, en jouant avec sa langue. Il commence alors à ouvrir le kimono pour pouvoir regarder la marchandise avec impatience..

INCONNU« Bordel t’es carrément plus bonne en vrai… une salope, Mariée  »

Malgré l’apparence physique de l’homme, elle aime déjà le tempérament dominant qu’il pouvait avoir et lâche des gémissements. Lorsqu’il vient lui téter les seins, il avait l’air complètement affamé, et la jeune femme ne fait pas attention au grabuge qui pourrait y avoir dans le couloir. Car normalement lorsque l’on rentre dans une chambre d’hôtel, il est impossible de pouvoir entrer comme cela mise à part le personnel.

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Le parc et son sous-bois / L’avocat qui vivait à côté de chez moi (PV Tenshi Kazama)
« Dernier message par Bando le Aujourd'hui à 11:05:38 »
Voilà enfin que le printemps revient. Il était temps.

Assis sur le large canapé du bow window (ou fenêtre arquée) au premier étage de chez moi, à moitié adossé tout contre la fenêtre, je lis un peu, comme je le fais tous les matins, très tôt, tout en sirotant mon café.

Comme souvent, mon regard se perd parfois ailleurs et je débranche totalement, l’espace de quelques secondes à peine, pour regarder dehors. Ainsi je remarque aujourd’hui que, s’il fait bien beau, et déjà chaud pour la saison, un petit vent se lève toutefois. De nombreux pétales colorés qui volent ça et là attirent mon regard et, curieux, je les suis, alors que les voilà qui défilent par-dessus la petite clôture de bois qui sépare mon jardin de celui des Kazama, mes voisins.

Sur leur fil à linge sont étendus chemises blanches, pantalons et vestes de costumes en grand nombre. Il n’y a pas de doute à avoir, Monsieur Kazama est rentré. Non pas que j’en doutais vraiment, puisque je suis invité à me joindre à lui pour le dîner de ce soir, mais on ne sait jamais. En grand ténor du barreau qu’il est, il est un homme occupé et ainsi, il nous est déjà arrivé de devoir reporter de telles entrevues.

Voilà bien un an, peut-être deux, que le couple s’est installé dans la grande maison jouxtant la mienne et pourtant, je ne l’ai croisé, lui, que bien peu souvent. De ce que j’en savais, son travail était tel qu’il lui fallait se déplacer à l’étranger fréquemment.

Nous nous étions entrevus une ou deux fois dehors, en sortant de nos maisons au même moment, par le plus grand des hasards, puis avions fini par nous recroiser, tout aussi hasardeusement, dans le grand parc bordant notre quartier alors que lui allait courir, très tôt le matin, avant de partir travailler. Cela étant arrivé plus d’une fois en un court laps de temps, j’avais fini par me joindre à lui et m’étais ainsi mis à courir quotidiennement, au moins pendant quelques semaines.

Comme il était d’un naturel a priori calme et tranquille et qu’il ne m’apparut jamais non plus comme antipathique, j’eus très vite fini par sympathiser avec Monsieur Kazama, quand bien même je ne l’avais pas vu très souvent. Puisqu’il était de bonne famille et de très bonne éducation, il était très cultivé et cela aidait. Nous discutions d’à peu près tout et rien, d’Art, de littérature, comme d’économie.

Je notais toutefois ceci : quand bien même Monsieur Kazama était un homme intelligent et renseigné sur de très nombreux sujets, les nouveautés, les plaisirs contemporains et tout ce qui touchait aux modes d’aujourd’hui semblaient hors de son domaine d’expertise.

J’en avais conclu qu’il ne devait pas sortir beaucoup, trop accaparé qu’il était par ce travail qui occupait tout son temps. S’il connaissait un peu la littérature classique par exemple, il ne savait cependant rien des romans, ou bien des films et acteurs du moment. Si il avait reconnu en moi quelqu’un capable de lui tenir la conversation, j’étais toutefois certain que jamais, ô grand jamais, il n’avait lu le moindre de mes livres. Je n’étais pas non plus sûr que ceux-ci l’auraient intéressé, d’ailleurs.

Au moins avait-il eu la gentillesse, quand je le lui avais demandé, d’éclairer ma lanterne sur quelques points épineux touchant au système juridique. Comme à mon habitude, je me souhaitais précis et pointilleux lors de l’écriture de l’un de mes livres et, fort heureusement pour moi, Monsieur Kazama accepta de prendre sur son précieux temps pour éclaircir avec moi ces points sur lesquels je butais alors.

Il y a trois ou quatre mois, en plein milieu de l’hiver, mon avocat de voisin m’avait ainsi invité, pour la toute première fois, à partager un verre avec lui, à son domicile. Nous nous étions alors installés dans son luxueux bureau et avions discuté pendant des heures, autour d’un scotch hors de prix, qu’il s’était fait une joie de partager avec moi. Animé d’une passion sans bornes alors que je ne cessais de l’interroger sur son domaine, l’expert ne tarda pas à m’ensevelir sous un flot d’informations dans lequel je faillis me noyer.

Pour m’aider un peu, il me prêta quelques-uns de ses lires, un exemplaire récent du code pénal, que je me promettais de lui rendre lors du dîner de ce soir.

Me levant un instant de mon canapé, j’allais chercher le dit exemplaire et m’en allais vite le poser dans l’entrée, juste à côté de la porte, avant de l’oublier. Ceci fait, je remontais aussitôt pour reprendre ma place, pour me remettre à lire.

Encore une fois, une baisse d’attention vint vite me cueillir. Observant les vêtements de Monsieur Kazama qui pendaient au vent, sur le fil à linge, je me remémorais un peu.

C’est lors de cette toute première visite que Monsieur Kazama me présenta Tenshi, son épouse. Bien sûr, je n’eus vraiment l’occasion de passer du temps en sa compagnie, puisque son mari et moi discutions dans son bureau mais… alors que nous nous adressions la parole pour la première fois -alors qu’elle était jusqu’ici restée très discrète, quand bien même nous vivions côte à côte-, sa présence ne put que me marquer… comme au fer rouge, pour ainsi dire.

Comment vous l’expliquer…
Puisqu’il m’était déjà arrivé de la croiser, je savais pertinemment que Monsieur Kazama était marié à une véritable beauté. J’avais remarqué comme ses courbes étaient affolantes, vertigineuses même mais… la voir de près, l’entendre et lui parler, ne serait-ce qu’un tout petit peu, m’avait fait un effet bien différent ce soir là.

Pour ne rien vous cacher, je m’étais mis à bander, quand elle était entrée dans la pièce pour nous saluer et pour se présenter à moi. J’avais eu du mal à la regarder droit dans les yeux et, lorsqu’elle vint s’approcher de moi pour embrasser ma joue, mon sang n’avait fait qu’un tour. Nous avions partagé un regard après que, j’en suis sûr, elle m’avait surpris en train de mater ses larges fesses alors qu’elle sortait pour nous laisser et… je suis presque aussi certain qu’elle avait compris, à mes gestes nerveux, qu’elle m’avait donnée une érection.

Gêné qu’on puisse penser de moi que je convoite la femme d’un autre, je n’avais pas tenté de venir à sa rencontre en l’absence de son mari. Ainsi, hormis les quelques politesses habituelles, elle et moi ne nous étions pas non plus adressé la parole depuis.

Et pourtant, sans avoir d’idée derrière la tête (enfin pas trop, j’évitais), il m’était souvent venu l’envie d’aller à sa rencontre. Parce que, pour le peu que nous nous étions parlé déjà, la jeune femme, d’à peu près mon âge, m’avait semblé très douce et sympathique, mais aussi parce qu’en plus d’habiter à deux pas de chez moi, je m’étais souvent demandé si celle-ci ne se sentait pas trop seule.

Alors oui, celle-ci semblait commander à tout va et les livreurs s’accumulaient à sa porte pour lui livrer des colis, presque chaque jour mais, en y repensant… en repensant à son mari, qui ne semblait pas aimer tant que ça sortir et s’amuser (et ça, seulement quand il n’était pas absent, en plus), voilà qu’il m’était arrivé de penser à la belle Madame Kazama. Je songeais plusieurs fois à l’inviter prendre un café, ne serait-ce que pour discuter un peu… mais à chaque fois, de peur que mes intentions soient mal interprétées, je m’étais ravisé.

Au moins gardions nous contact de vue, nous saluant d’un geste timide de la main quand nous nous apercevions. Dehors, ou depuis nos fenêtres.

Oserais-je même l’avouer ? Discrète la plupart du temps, Tenshi Kazama l’est un peu moins, quand son mari n’est pas là.
Exit les lessives en intérieur, les costumes et les cravates : quand Monsieur Kazama n’est pas là, sa femme s’en donne à coeur joie.

Évidemment, puisque notre lotissement est entouré de bois, personne ne voit rien, ou presque et seule ma maison partage un vis-à-vis avec celle du couple, mais sait-elle au moins que je les vois pendre moi, ses nuisettes, ses strings et ses guêpières de dentelle, quand elle les suspend juste sous ma fenêtre ? Voilà des dessous bien affriolants que je vois pendre là des mois durant mais qui, étrangement, disparaissent quand Monsieur Kazama est dans les parages.

Je n’accuserai personne et me tairais évidemment sur tout cela mais, se pourrait-il que la jeune femme au foyer le fasse exprès, par ennui ?
Tout comme j’avais remarqué que ses beaux dessous disparaissaient de ses lessives quotidiennes quand son mari était de retour pour quelques jours, j’avais également remarqué comme la jeune femme semblait passer plus de temps de ce côté de la maison, celui faisant face à mes fenêtres, quand son homme était absent.

Je fis évidemment semblant de rien à chaque fois que je l’eus croisée dehors pour lui dire bonjour, mais combien de fois, quand Monsieur Kazama n’était pas là, avais-je pu voir la sulfureuse rouquine astiquer le parquet, seulement vêtue d’un t-shirt et d’un string ? Ou bien faire la cuisine, couverte d’un tablier pour seul vêtement ?

Je m’étais bien retenu d’acheter une paire de jumelles pour la mater ces derniers mois mais, quand bien même cela n’était pas bien, je m’avouais, en tant qu’homme, et faible pour cela, qu’il m’était arrivé de m’en mordre les doigts de ne pas l’avoir fait.

Incapable de me concentrer, je ferme mon livre, puis m’éloigne de cette maudite fenêtre.



Le soir venu.
Il est à peine dix-neuf heures et les lampadaires bordant l’allée de maisons s’allument à peine.

Les bras chargés d’une bouteille de scotch haut de gamme achetée pour l’occasion et d’un large bouquet de roses rouges, que j’avais payées le prix fort en fin d’après-midi, je passais le petit portail de chez moi et ne faisais que quelques mètres à peine dans une direction, pour enfin passer celui de Monsieur et Madame Kazama.

Je n’avais bien sûr pas oublié l’exemplaire du code pénal qu’il fallait que je rende à son propriétaire, mais avais dû me résoudre à le mettre dans une poche du veston qui recouvrait ma chemise sombre.

Terminant tranquillement ma cigarette, le sourire aux lèvres, j’écrasais mon mégot dans l’élégant cendrier d’extérieur trônant près de la porte de la maison, puis me décida à appuyer sur la sonnette sans plus tarder.

Craignant de sentir trop fort la cigarette, je sortais de mon veston un petit flacon de parfum, et m’en aspergeais un peu le cou et les poignets. Je n’y pensais pas sur le moment, mais Madame Kazama m’avait beaucoup complimenté à son sujet, cette fois où elle m’avait fait la bise, dans le bureau de son mari. Je ne sais plus ce qu’elle m’avait dit exactement… mais je suis sûr que c’était quelque chose comme « attirant », ou bien « sexy ».

Tout cela ne me revenait pas sur l’instant, mais cela me reviendrait sans doute plus tard : Tenshi aimait beaucoup cette odeur. Vraiment beaucoup.
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Prélude / Re : Femme au foyer Lubrique - TENSHI KAZAMA - (100%) [Anéa]
« Dernier message par Tenshi Kazama le Aujourd'hui à 08:29:27 »
Merciiiiiii
Je modifie mon avatar de suite :)
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Prélude / Re : Manea Haruka [Vanéalidée !]
« Dernier message par Manea Haruka le Aujourd'hui à 00:10:18 »
Merciiii !
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Léger ralentissement & absence.
« Dernier message par Anéa le mercredi 27 mars 2024, 23:41:42 »
Peluche o/
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