Évidemment, quand Kiriko enfila sa combinaison, il allait de soi que la Celkhane ne pourrait guère espérer se reposer. Certes, toutes les tenues allaient à la belle sorcière, mais il fallait bien admettre que cette combinaison violette...v Comment ne pas fantasmer devant cette tenue, devant la manière dont elle moulait si bien le corps de Kiriko ? Sha savait que les combinaisons moulantes tekhanes disposaient d’une fonction permettant de resserrer les tissus, de manière à ce que la tenue colle très bien à sa porteuse. De cette manière, Sha la vit enfiler, avec une lenteur calculée, sa combinaison, de manière à l’exciter. Entre elles, Kiriko savait très bien comment ça marchait. Impossible de ne pas se faire sodomiser quand elle mettait cette tenue. En même temps... Comment résister
à un tel cul ? Les Dieux aussi avaient parfois des besoins très simples, et, en l’occurrence, un joli petit cul à butiner, c’était tout ce que Sha, en ce moment, demandait.
Kiriko enfila donc sa tenue, et finit rapidement à quatre pattes. Nul besoin d’enfiler ses protections. Les morceaux d’armure rajoutaient un charme supplémentaire, c’était vrai, mais ce n’était pas nécessaire. Un petit trou se forma, comme d’habitud,e à hauteur de sa croupe, puis Sha posa ses mains sur ses fesses, et entama le rodéo, la sodomisant rapidement. À force, elle n’avait même plus besoin de préparer sa Kiriko. Elle se faisait tellement sodomiser par Sha qu’elle en avait l’habitude. Et pourtant, si Kiriko était toute soumise, et toute docile envers l’Ombre, face à d’autres femmes, ce n’était clairement pas la même chose. Face aux autres, Kiriko était une pure dominatrice, violente, brutale... Et notamment face à Açoka.
«
Haaa, ma chérie... Hhhmmm... Comment pourrais-je me lasser de ton cul ? »
Açoka et Kiriko étaient de vraies sœurs ennemies. Bien que toutes les deux fidèles à Sha, elles venaient de mondes différents, et avaient des conceptions variables. Kiriko était résolument hostile à l’esclavage, tandis qu’Açoka, elle, n’y voyait aucun problème. Régulièrement, les deux femmes se provoquaient mutuellement, et, même s’il était de notoriété publique que Sha et Kiriko s’aimaient, ça n’empêchait nullement Açoka de jouer avec les sentiments de Kiriko, afin de développer une sorte de jalousie, comme pour essayer de savoir laquelle des deux était vraiment digne d’être sa garde du corps. Sha aurait pu mettre fin à ces enfantillages, mais elle en était plutôt amusée, et savait, de toute manière que, quand on mettait deux tigresses ensemble, elles ne pouvaient s’empêcher de se battre. Cette rivalité améliorait énormément les deux femmes. Quand elles s’entraînaient ensemble, elles s’affrontaient, la gagnante ayant le droit de dominer sexuellement l’autre. Kiriko gagnait généralement une fois sur deux.
Açoka, en effet, était une véritable fleur du Mal. Belle et cruelle, elle prenait plaisir à mater les révoltes paysannes, torturant les insurgés. Elle maîtrisait une certaine forme de magie noire, mais était surtout une guerrière. Au sein du culte, elle était en charge de la sécurité du temple et de ses abords, utilisant ses talents militaires pour les bienfaits du culte.
Tandis que Sha pénétrait joyeusement Kiriko, depuis maintenant une bonne heure, après avoir déjà eu un ou deux orgasmes, Açoka arriva alors. Sa présence n’échappa guère à Kiriko, qui s’empressa de la narguer, et, n’ayant visiblement pas envie d’être vue comme une chienne, elle banda ses muscles, et posa l’une de ses mains sur la nuque de Sha, afin de se redresser. Cette dernière l’aida en posant ses mains sur les hanches de la femme, puis en déplaça rapidement une sur l’un de ses seins, la soulevant ainsi, et la maintint contre elle. Les seins de Sha heurtèrent le dos de Kiriko, puis elle la relâcha, la faisant se pencher vers l’avant, avant de la ramener vers l’arrière. C’était une position très acrobatique, mais qui était avant tout destinée à narguer Açoka.
En souriant, l’Ashnardienne se rapprocha alors, et s’assit face aux deux femmes, croisant les jambes.
«
Oh, tu crois ça ? sourit-elle.
À chaque fois que notre Déesse couche avec moi, elel jouit tellement que mon ventre en finit tout arrondi ! »
La rivalité entre elles était aussi sexuelle. En fait, elles pouvaient se battre sur à peu près tout. Mais, pour l’heure, Sha restait une spectatrice silencieuse, se contentant juste de pénétrer la femme. Elle adorait toujours autant le cul de Kiriko, et, mine de rien, la présence d’Açoka tendait généralement à ranimer le côté sauvage et dominateur de Kiriko, qui prenait alors plus d’initiative, ce qui n’était pas pour déranger l’Ombre.
Açoka se releva alors, et ses mains caressèrent les hanches de Kiriko, griffant sa combinaison, la faisant doucement crisser.
«
Miam-miam, à te dandiner comme ça, j’ai l’impression que tu veux encore sentir ma queue dans ton cul, ma belle... Tu aimes ça, hein ? Être... »
Elle approcha lentement son visage du sien, et sa langue partit lécher les lèvres de Kiriko.
«
Ma... »
Bisou sur le nez.
«
Petite... »
Cette fois, elle la mordilla dans le creux du cou, enfonçant ses dents dans sa combinaison.
«
Pute... »
Terminant sur cette note, Açoka approcha ses lèvres de celles de Kiriko, afin d’essayer de partager avec elle un baiser où les dents allaient
mordre... Car c’était ainsi que les deux rivales s’embrassaient. Le plaisir, entre elles, s’accompagnait toujours de
douleur.
C’est comme ça qu’on les aimait.