Sha et Kiriko continuait, une fois n’est pas coutume, à se faire tendrement et joyeusement l’amour. Entre elles, le sexe était très naturel, comme un moyen d’affection, un moyen de se prouver leur amour mutuel. Sha remuait ainsi en elle, s’unissant avec Kiriko, continuant à lui faire l’amour. La tendresse et la lenteur initialement voulue par la Celkhane était peu à peu en train de battre en brèche, les deux femmes haletant et soupirant, Sha multipliant ses coups de reins ainsi que leur intensité. En ce moment, elle n’était ainsi clairement pas dans l’optique consistant à ménager le corps de son amante, et continuait à la prendre avec une vigueur renouvelée, s’enfonçant, encore et encore, en elle. Des soupirs longs et joyeux s’échappaient de ses lèvres, et elle embrassait régulièrement Kiriko, ne serait-ce que pour pouvoir, de nouveau, goûter à la douceur de ses lèvres. L’Ombre dansait ainsi avec Kiriko, remuant dans son corps.
« Hnnnn... Haaaa... !! »
Comme toujours, le corps de Kiriko se révélait incroyablement ferme et agréable, ce qui rendait ce moment particulièrement jouissif. L’Ombre continuait à se déplacer, et le lit, doucereusement, continuait à craquer. Bien au fond, voilà ce que Kiriko avait demandé, voilà donc ce qu’elle obtenait ! Sha la prenait, encore, encore, de haut en bas, grognant et soupirant, son corps commençant à suer abondamment, sous l’effet cumulé de la fatigue et de l’effort physique. Sa respiration, plus lourde, plus sifflante, caractérisait le fonctionnement de son organisme, la chair claquait, et le plaisir, lui, dominait... Jusqu’à crever l’abcès.
Sha, dans un ultime cri, s’abandonna dans le corps de Kiriko, remplissant généreusement son ventre de foutre, avant d’aller s’affaler contre le corps de son amante. Il y eut quelques soupirs, le temps de se reprendre. Les deux corps restaient blottis tendrement l’un contre l’autre, Sha épousant la forme du corps de Kiriko.
« Oui... Oui, Kiriko, ce serait bien, de rester ensemble, dans ce lit, toi et moi... »
Sha n’avait aucune envie de sortir de ce lit, maintenant, car elle se sentait si bien dedans. Ce lit, oui, était extrêmement agréable, et l’Ombre ne pouvait que doucement sourire, caressant le corps de la Celkhane. Difficile de vouloir quitter un lit quand on se sentait bien dedans, et, en ce moment, c’était exactement ça que Sha ressentait. À l’intérieur de ce lit, en compagnie de son aimée, elle était tout simplement dans le meilleur endroit possible. Son corps ondulait doucement et tendrement contre celui de sa chère, humant son odeur, reniflant son corps, la douceur et la chaleur de sa peau... Soit autant de divines et exquises sensations, car, en réalité, le corps de Kiriko était à la fois tendre et ferme, musclé et agréable à presser. Sha aimait bien se sentir, comme ça, collée contre son corps, et elle embrassait doucement l’épaule de Kiriko... Jusqu’à ce que la Celkhane ne se lasse, et ne la couche sur le dos, avant de se mettre à califourchon sur elle.
Un frisson sembla alors traverser le corps de Sha, qui se mordilla doucement les lèvres, en voyant ainsi sa belle dressée au-dessus d’elle. Oh, quel spectacle, quelle beauté ! Dominant ainsi Sha de toute sa hauteur, Kiriko semblait parfaitement réveillée, et, en souriant malicieusement, la Déesse caressa les hanches de la femme.
« Finie, la douceur, hein ? »
Finie, effectivement, et Kiriko le prouva en s’empalant sur ce sexe, mais en utilisant, non pas son délicat vagin, mais son étroit fessier. Sha serra les lèvres, et sentit ce membre s’engloutir dans le cul de Kiriko, l’amenant à soupirer et à siffler entre ses dents.
« Hmmmmmmmmmmm... !! »
Ah, les joies infinies et magiques de la sodomie ! Voilà bien un spectacle dont Sha, en réalité, était incapable de se lasser, surtout avec le cul délicieux de Kiriko.
« Haaa, Kiriko, hummm... Oh, qu’est-ce que je peux aimer ton petit cul, ma chérie ! »
Elle voyait le corps de sa Celkhane se courber vers l’avant, ses seins se rapprochant de son visage, et caressait ses hanches en retour, les griffant un peu, avançant ensuite ses mains pour empoigner ses belles petites fesses. De cette manière, Sha restait proche de la femme, en harmonie avec elle, et tenta ensuite, selon le bon vouloir de sa chérie, de se redresser, afin d’aller suçoter ses seins.
À Kiriko de voir comment elle voulait que sa Déesse soit...