Deux puissantes sorcières rien que pour elle, Sha était vraiment comblée. Elle hurlait aussi, car les deux verges massives d’Açoka et de Kiriko n’étaient pas des quantités négligeables. Ensemble, elles faisaient preuve d’une énergie féroce, mais ce fut surtout Kiriko qui la surprit. Elle se montra encore plus énergique qu’à l’habitude, encore plus dominatrice. Sentir Kiriko ainsi, sur elle, c’était exquis, inouï, et unique. Sha ne l’avait jamais vu comme ça, elle n’avait jamais senti la Celkhane se montrer aussi aventureuse, aussi entreprenante, aussi énergique. La voir de cette manière, c’était… Magique. Sha adorait ça , et l’Ombre se pinçait les lèvres, entre plusieurs hurlements, en sentant toute la dévotion que Kiriko menait dans ses puissants coups de reins. Oh oui, elle était diablement énergique !
« Hmmmm… Haaaaa… Haaaaa… !! »
Kiriko et Açoka, ensemble, continuaient à la prendre généreusement, et elle sentit Kiriko se coucher contre elle, avançant son buste vers l’avant, posant ses mains sur les épaules de Sha, mordillant le creux de son cou, gémissant contre son oreille, léchant sa peau, mélangeant la sueur de son corps à la sienne, avant de se redresser à nouveau, de manière à se tenir bien droite, derrière elle, à enfoncer sa queue. Son sexe heurtait fréquemment celui d’Açoka, et, si le contact pouvait surprendre au début, au fur et à mesure de leurs sodomies respectives, Kiriko et Açoka y prenaient goût, et finissaient même par adorer ce contact, quand les deux phallus se heurtaient ensemble, celui de Kiriko heurtant celui de la femme à la peau argentée, avant de repartir en arrière, puis en avant.
L’énergie dont Kiriko faisait preuve était impressionnante, Açoka ne pouvait que l’admettre. Ce qui la motivait n’était pas que sa dévotion envers sa Déesse, ou envers son corps magnifique. C’était un amour millénaire, ancestral, une force plus puissante que la sienne, qui la stimulait, et qui remuait dans ses veines. Et c’était pour ça, pour cette raison précise, que Kiriko avait remporté le concours, qu’elle était ici, à Wallündrill, et qu’elle était toujours dans la lice. En-dehors de toute considération romantique idiote, Açoka savait que l’amour était une force, la plus puissante du monde… Que ce soit l’amour pour l’être aimé, son enfant, ses parents, ou même sa patrie, l’amour était une force qui vous forçait à vous dépasser, à surpasser vos propres capacités et à franchir toutes vos limites.
« Haaaa… Hmmmm… »
Les trios femmes haletaient et gémissaient, mais Kiriko les dépassait clairement… Et, quand l’orgasme la traversa, la Celkhane, prise d’une inspiration subite, alla même gifler la croupe de Sha… Oui, la gifler ! Sha sentit clairement ses mains s’abattre fermement sur elle, claquant à plusieurs reprises sur sa peau ferme et douce. Des frappes bien appuyées, à plusieurs reprises, pendant que Kiriko jouissait, enfonçant ses mains, et la marque de ses ongles, sur sa peau. En réalité, ce n’était pas la première fois que Kiriko la frappait, mais, à chaque fois, elle le faisait alors que Sha avait pris une autre apparence, généralement quelqu’un du Palais, comme une servante, et se montrait outrageusement provocante envers Kiriko. Sha savait très bien comment la faire craquer, tout en évitant de trop éveiller les soupçons de la femme. Sa spécialité était de prendre l’apparence d’une servante, dans une tenue de maid sexy, avec des jarretelles et des bottes à talon, et de ranger la chambre de Kiriko quand elle revenait de l’entraînement, puis de se débrouiller pour l’amener à lui faire l’amour.
Mais là, c’était effectivement la première fois que Kiriko giflait son corps, son réel corps. Et sentir Kiriko la gifler était particulièrement agréable. Son orgasme éclata sur le corps d’Açoka, se répandant sur ses cuisses. L’Ombre se vida joyeusement sur elle en soupirant profondément, enfonçant ses mains contre les jambes d’Açoka, griffant ces dernières, avant de se relâcher d’un coup. Les deux femmes avaient également joui en elle, très longuement, et en des quantités impressionnantes.
Kiriko ne tarda ensuite pas à s’excuser de l’avoir giflé. Sha, elle, sourit, tout en se retirant des deux femmes, et se retourna. Elle s’assit sur ses genoux, et posa ses deux mains sur les joues de Kiriko, les caressant doucement.
« Oui… Oui, tu m’as giflé, Kiriko, et… C’était très discourtois. On a tué des infidèles pour bien moins que ça, tu sais… Aurais-tu oublié que je suis ta Déesse, et non une vulgaire catin ? »
Le ton se voulait sévère, mais Sha, en réalité, était surtout en train de plaisanter. Elle prenait ça sur un ton très sérieux, mais y voyait surtout un prétexte parfait pour la perturber un peu. Ses doigts glissèrent ainsi le long des fines lèvres de Kiriko, et elle se rapprocha encore, venant l’embrasser sur le bout des lèvres, mordillant sa lèvre inférieure, tirant dessus, pour la faire claquer.
« Tout ça mérite une grosse punition… Tu n’es pas d’accord, Açoka ?
- Oh oui… Ce n’est pas surprenant. Elle vient de Caelestis, on apprend aux filles à être indisciplinées là-bas. Moi, Samara m’avait appris à respecter mes supérieurs, a fortiori quand elles sont de stature divine. »
Sha sourit à nouveau, puis ordonna à Kiriko de se coucher sur le ventre. Açoka attrapa un jeu de cordes, et étira les bras de Kiriko vers le fond du lit, y attachant ses poignets, pendant que ses jambes pendaient le long du lit. De cette manière, son délicieux petit cul ressortait, bien visible, et la main de Sha le caressa doucement, un fin sourire se dessinant sur ses lèvres.
« Je vais te fouetter, Kiriko… Au moins… Hum… Quinze coups de fouet. »
Açoka lui avait également apporté un fouet, qui figurait parmi le matériel de la chambre, et Sha caressa doucement le fessier rebondi de Kiriko, son autre main griffant son dos.
« Et, à chaque coup de fouet, tu devras t’insulter… Dire que tu es une petite pute, par exemple, ou une sale chienne… »
Sha donna un petit coup sur ses fesses, puis se pencha alors vers son visage, et mordilla un peu son oreille, avant de glisser une confidence dans le creux de ses oreilles :
« Mais, maintenant que tu m’as giflé, il est trop tard pour reculer… Tu devras encore me battre quand je te le demanderai, ma chérie… »
Cet aveu dit, et qui devrait définitivement balayer les angoisses de Kiriko, Sha se releva, s’écarta, puis fit claquer le fouet dans le vide pendant quelques secondes, avant de le redresser en arrière… Puis de l’abattre en avant, le faisant claquer sur son postérieur.
*SCHTAAAACC !!*