Les traits fins et savoureux de Namoria étaient déformés par une sorte de rage bestiale, animale, et sauvage. Sexe et colère se mélangeaient habilement... Ou, plutôt, sexe et fierté, car, en définitive, pour une succube, le sexe était une relation de pouvoir. Même soumise, une succube devait toujours dominer, avoir le rôle actif. C’était dans sa nature, dans sa raison d’être, et, pour Titska, une succube qui ne suivait pas cette règle implicite et fondamentale n’était pas vraiment une succube. Elle n’avait toutefois pas à avoir honte des efforts de Namoria, dont le sexe s’enfonçait brutalement dans le fondement de Kiriko, gagnant du terrain à chaque coup. Ses griffes s’enfonçaient dans la tendre et douce peau de la sorcière, répandant quelques gouttes de sang. Elle était aussi excitée que furieuse, et des tremblements nerveux remontaient le long de tout son corps, ses ailes battant furieusement en l’air. Kiriko, de son côté, vint lentement pencher sa tête entre les jambes de Titska, qui l’accueillit en posant une main ferme sur sa tête, l’amenant ainsi à se glisser contre son intimité, qu’elle se mit à lécher.
Le trio devait former un fascinant spectacle. Deux succubes d’exception pour une vulgaire humaine, c’était quelque chose sans précédent. La Celkhane pouvait s’estimer chanceuse, et éprouver de la fierté. Sa perversion, son beauté, et son arrogance l’avaient amené dans cette position... Ainsi que son passé, et l’aura divine de Sha, qui imprégnait son corps, agissant comme le plus efficace des pistons auprès des démons. L’Enfer avait toujours apprécié les sorcières, et l’Ombre avait toujours été plus proche des démons que des anges. La langue de Kiriko remuait avec amour, s’enfonçant entre le selles lèvres vaginales de Titska, qui ressentait de longs frissons de plaisir. Namoria l’aidait, car ses coups de butoir envoyaient parfois la tête de Kiriko s’écraser contre les cuisses de Titska, compliquant fortement son cunnilingus. Mais la sorcière avait voulu cette position, après tout. Elle avait voulu que Namoria s’énerve sur elle, qu’elle lui perfore les fesses, et la succube ne se privait pas. La magie rose brûlait dans ses veines, et elle aurait tout à fait pu la prendre ainsi, comme une chienne, pendant des heures, à jouir et jouir sans arrêt. Il était d’ailleurs probable que c’est ce que Namoria ferait. Quand sa fille était lâchée comme ça, rien ne l’arrêtait. Elle avait avec elle cette fougue dont Titska était privée.
Les doigts de Titska bloquaient la tête de Kiriko, l’empêchant de s’éloigner, de faire autre chose que lécher.
« Tu es à nous, Kiriko... C’est toi qui l’as voulu... Tu as juré fidélité à l’Ombre, mais tu es chez moi... Et ton corps de poupée est à nous... »
Titska gémissait en parlant, et maintenait une prise ferme sur la tête de la Celkhane. Elle était presque comme une espèce de prisonnière, ne pouvant respirer que par le nez, et il en serait ainsi pendant un certain temps. Les deux succubes ne comptaient nullement la ménager, loin de là. Titska mouillait, et sa cyprine n’était pas comme n’importe quelle autre mouille. Elle était aphrodisiaque, excitant les sens, ce qui créait une sorte de cercle vertueux, enfermant Kiriko dans une boucle sans fin du plaisir intense. Rien ne pouvait lui permettre de sortir d’ici que l’apaisement des deux succubes.
Namoria grognait et gémissait, et avait enfoncé sa queue démoniaque dans le vagin de la belle, tandis que sa verge jouissait furieusement, répandant des litres et des litres de sperme. Les orgasmes venaient rapidement, et, bientôt, il n’y eut plus, pendant une dizaine de minutes, qu’un long enchaînement d’orgasmes. Sans arrêt, Namoria jouissait, et jouissait encore, crachant son sperme, sa verge ne cessant d’être dure. La magie rose lui permettait de dépasser ses limites, de les transcender, et elle gémissait faiblement, poussant de petits cris de plaisir, et, parfois, de puissants cris, entrecoupés de jurons. Le sperme s’échappait par petit filet du vagin et de l’anus de Kiriko, mais, comme cette dernière avait profondément enfoncé ses deux queues, rien ne ressortait. Ou presque rien... Tout filait dans le corps de Kiriko, et, alors que les minutes filaient, son ventre se mit à enfler, à grossir.
Quand Namoria finit par retirer son sexe, du sperme jaillit de son anus, mais tant était rentré dans son organisme que son ventre avait bel et bien grossi, ainsi que ses cuisses.
« Hummm... Qu’est-ce que c’est bon ! Je pourrais continuer, bien sûr, mais je veux que ta bouche me suce ! Mère doit goûter à ton cul, surtout maintenant qu’il est bien ouvert, tout comme il faut ! »