Esclave est tu la? (pv Aby.)

La ville de Nexus, une formidable cité pour  quiconque voulait se trouver des esclaves de qualités, la capitale de cette région avait d’ailleurs bâtie sa fortune sur ce commerce plus que juteux.  Elfe quand à elle n’était pas à l’origine venue ici pour cela.   Si elle  avait quitté les contrées du chaos, s’était pour trouver des plantes ne poussant pas sous ces latitudes.  Ainsi, elle avait dut faire un long chemin pour arrivé à cette endroit.  Récoltant ainsi les composants qui lui manqué.   Dire qu’elle avait laissé Fonfon et Horo chez elle,  elle se demandait ce qui lui avait prit.  A oui, la tour, elles devaient s’en  occuper durant son absence.

Il était encore tôt, lorsque son labeur fut terminé mais trop tard pour songer à rentrer à la maison.  Ainsi, elle choisi de s’arrêter au marché du Nexus,  il y aurait peut être quelques lots amusant ou exotique.  Des nouveaux jouets pour une demoiselle aussi exigeante qu’elle… Mais elle en douté, le plus souvent, il n’y avait que dans ces foires des espèces inférieurs aussi pathétique que stupides. Il suffisait de voir comment les males de la région la regardaient.   Elle explosa d’ailleurs les dents d’un d’entre eux, lorsque celui-ci voulut toucher  sa poitrine.  Elle avait beau être protégée par une épaisse cuirasse en écaille de dragon,  aucun membre de ces races inférieurs ne la toucherait, hormis ses esclaves…  Ils n’y avaient qu’elles qui y avait le droit. Donc hormis ce regrettable incident, la demoiselle arriva sans trop de problème au marché des esclaves.  Ainsi, elle tomba devant plusieurs stand et prit le temps de visiter chaqu’un d’entre eux.  Elle avait le nez qui la brulait à cause de l’odeur de la transpiration ainsi que de la puanteur de certaine de ces bêtes.     Elle ne vit rien de très intéressant, jusqu’à un petit stand.  Il n’y avait pas grand monde et pourtant,  pourtant dans celui-ci se cachait un véritable trésor.   Le marchant qui vint la voir  vit tout de suite qu’il n’avait pas à faire à un humain normal, mais bien à une femme qui sortait du lot,  et il s’en frotta les mains.    Elle marchanda cependant longtemps et ne ce laissa pas faire, réussissant à obtenir cette marchandise si particulière qui lui faisait tant envie.
Elle se dirigea vers une  des cages y observant sa nouvelle   acquisition.  Le visage de celle-ci était assez fin. Mais une chose était sur, c’était que la tenue qu’elle portait actuellement ne la mettait absolument pas en valeur, mais bon.  Elle fit sortir son esclave de cette cage.  La regardant durant un long moment, elle s’aperçut que celle-ci était en bien mauvais état. Il faudrait la remettre en forme avant de la remettre sur pied.


-Esclave, qu’elle est ton nom ? Et qu’est tu capable de faire ?  Sache que désormais tu devras m’appeler maitresse.  Je serais à la fois ton meilleur rêve comme ton pire cauchemarda. Je te punirais lorsque tu ferras  une chose de mal. Et te récompenserais quand tu en seras digne.  Mes décisions seront irrévocables et  toujours juste.  Tu as des questions pauvre chose ?

La jeune femme  venait de mettre les choses au point.  Il n’y avait sans doute rien de plus à dire. Elle avait acheté cette fille à cause des marques qu’elle avait sur le visage.   Effectivement, elle n’en avait jamais vu, mais en avait déjà entendue parlait. Ces marques étaient la résultante d’un puissant sortilège de contrôle mentale.    Ainsi, et si elle ne se trompait pas. Cette pauvre chose devrait obéir à n’importe qui, ou à n’importe quoi, sans jamais pouvoir se rebeller.   La jeune femme souriait d’avoir trouvé un tel bijou.  Bien sur, il faudrait encore la maitriser, et la reformater comme elle, elle le voulait. Toutefois, elle avait un bon espoir pour cette créature. Oui, elle serait sans doute un futur saphir, voir un diamant.  Mais pour l’instant, elle voulait savoir son nom. 

Deux semaines, oui, deux semaines que j’étais dans cette foutue cage… Mon sommeil devenait de plus en plus léger, voir inexistant et en plus, la nourriture se faisait de plus en plus rare. J’avais faim, soif et froid, pourtant mon pays était toujours froid, même plus froid qu’ici. Nexus que cela s’appelait, c’était moche et sombre.

Encore un réveil dans ce monde où je voudrais disparaitre, un monde qui m’assouvit et que je ne peux explorer sans que mon maléfice, ce fardeau me rattrapait et me persécutait sans relâche.

Le soleil se montra enfin et l’humidité de l’air chuta d’un coup, la place commençait à se remplir doucement et beaucoup de personne vint à passer devant moi. Certains demandèrent mon prix et repartirent aussi vite qu’ils étaient venues et d’autres passèrent et me crachaient dessus.

Ma seule occupation donc, était d’essuyer leur salive de ma figure ou de mes vêtements. Infecte vie, je n’avais rien demandé et cette malédiction qui faisait de moi la chose la plus vulnérable au monde.

Tiens, une voix féminine, c’était la première fois qu’une femme venait me voir. Et même mieux, elle m’acheta, j’allais enfin connaitre cette personne, j’espérais une chose uniquement, qu’elle n’était pas une vile personne.

Enfin, ma cage s’ouvrit et je pue sortir et enfin me tenir debout après deux semaines recroquevillé dans cette cage qui commençait à sentir la mort.

-Esclave, qu’elle est ton nom ? Et qu’est tu capable de faire ?  Sache que désormais tu devras m’appeler maitresse.  Je serais à la fois ton meilleur rêve comme ton pire cauchemarda. Je te punirais lorsque tu ferras  une chose de mal. Et te récompenserais quand tu en seras digne.  Mes décisions seront irrévocables et  toujours juste.  Tu as des questions pauvre chose ?

Mince, une dominatrice… Je ne peux… Je dois…

- Je suis Abigaëlle Blanche, je suis capable de tout ce que vous désirez… Maitresse.

Voilà pourquoi je haïssais la vie… Une simple question et je déballais ma vie à n’importe qui…

Elfe était donc satisfait de sa nouvelle acquisition.  Comme elle le pensait, celle-ci ne pouvait pas faire autrement que de se plier à ses ordres.  Ainsi, cette exposition à la magie avait rendue cette femme particulière aux yeux de Tinuviel, puisqu’elle était donc, un parfait objet d’étude.  Elle pourrait ainsi essayer de percer les secrets entourant les contrôles des esprits.  Cela était la raison officiel de son achat.  La raison officieuse était quand à elle,  le fait que malgré son état peu avenant et   sa maigreur, elle était jolie.  Oui,  elle plaisait à la magicienne qui aimait les belles choses… Et puis, ses yeux…  Elle avait vraiment de beaux yeux mine de rien.  Elle eut un petit sourire, caressant doucement le visage de sa belle créature. 


-Bien Abigaëlle,  sache que je sais ce que sont que ses marques sur ton visage.  Je sais ainsi que quelques soit l’ordre que je te donnerais,  tu devras m’obéir.  Donc,  quoi qu’il arrive, je sais que tu seras une bonne esclave.  Donc autant que tu travail pour moi  et que cela soit en adéquation avec tes envies.   

Elle avait beau sentir mauvais, la jeune elfe continuait à caresser la joue de cette petite chose sans défense avec une certaine sensualité. Elle voulait voir si celle-ci était réceptive au caresse que la jeune elfe lui faisait. Mais peut être que cette couche de crasse faisait en sorte que sa peau soit moins sensible.  Bha de toute façon, elle la conduirait à l’auberge pour que celle-ci puisse prendre une douche et manger.  Puis, elles ferraient les magasins pour trouver à son esclave de quoi la vêtir.  Elle avait effectivement honte de voir une de ses esclaves habillée avec une simple étoffe grossière. Cela allait contre le sens de la beauté… Elle eut un petit sourire, lui disant a haute voix.


-Bien, je vais te conduire à l’auberge pour que je puisse m’occuper de toi.  Puis, nous irons faire les magasins. Par contre, je veux que tu sois une esclave exemplaire. Donc,  j’espère que tu ne ferras pas de caprice n’est ce pas ?   Bien, suis-moi.

Effectivement, la pauvre esclave fut bien obligée de la suivre. Mais cela allait il vraiment contre la volonté de l’esclave.  Peut être pas.  Ainsi les deux femmes furent rapidement à l’auberge la plus proche.  L’elfe commanda une chambre, un repas ainsi qu’un grand bac d’eau bien chaude.   Elle paya  ainsi attendant que sa chambre soit prête.  Lorsque l’aubergiste  Lui annonça que la chambre ainsi que la baignoire était prête.  La jeune femme sourit et conduisit son achat dans la pièce. Il y avait effectivement  un bac d’eau fumant qui n’attendait que l’esclave.  La maitresse sourit tranquillement, avant d’aller voir la température de l’eau, et lorsqu’elle fut bonne ordonna à sa chose d’aller dans celle-ci.

-Bien, aller maintenant je t’ordonne d’aller dans ce  bac d’eau.  Et de n’en ressortir que lorsque tu seras parfaitement propre.

Lorsque la demoiselle fut dans celui-ci.  La maitresse quand à elle gagna le bord du bassin  et trouva rapidement un éponge pour pouvoir frotter le corps de son esclave.  Elle eut un petit sourire. Et demanda à celle-ci. 

-Vu tes marques, je suis sur que de nombreux hommes ont déjà dut  te violer.  J’ai cependant une question.  A tu déjà eus  une étreinte avec une femme ?  Et si c’est le cas, dit moi, qu’est ce que tu en as pensé.   Sinon que peut tu me dire sur les expériences sexuelles que tu as déjà eut ?Qu’est ce que tu as apprécié ? Ou  au contraire détesté.

La jeune femme voulait savoir ce que son esclave avait déjà fait. Ainsi, elle serait plus capable de pouvoir la dresser correctement.

Mais qu’est ce que j’avais sur mes joues pour que ses mains viennent encore et encore caresser ceux-ci ? Et mes marques, elle fixait mes marques non-stop, j’espérais qu’elle ne savait rien sinon, je suis partit pour des labeurs qui ne finiront jamais…

-Bien Abigaëlle,  sache que je sais ce que sont que ses marques sur ton visage.  Je sais ainsi que quelques soit l’ordre que je te donnerais,  tu devras m’obéir.  Donc,  quoi qu’il arrive, je sais que tu seras une bonne esclave.  Donc autant que tu travail pour moi  et que cela soit en adéquation avec tes envies.

Ah ben mince, elle savait tout… Je ne pouvais plus me cacher, ni même pouvoir simuler une allégeance sans limite.

- Je vous serais fidèle Maitresse.

Je suis prise… Comme un rat qui ne peut s’empêcher d’aller vers le formage…

-Bien, je vais te conduire à l’auberge pour que je puisse m’occuper de toi.  Puis, nous irons faire les magasins. Par contre, je veux que tu sois une esclave exemplaire. Donc,  j’espère que tu ne ferras pas de caprice n’est ce pas ?   Bien, suis-moi.

J’avais des appréhensions mais mon corps suivit cette dame aux oreilles d’elfe. Mais le plus dur pour moi, c’était que les mots sortaient de ma bouche sans le vouloir.

- Je vous suis Maitresse, ouvrez la route.

Mais pourquoi suis-je ainsi ? On marcha quelque instant et on arriva vers une bâtisse qui était, ma foi, bien propre et ordonner alors que mes souvenirs des auberges étaient plus sales. Ma nouvelle Maitresse me fit entrer dans cette auberge qui sentait bon la viande chaude, et je vis tout les regards se tournaient vers moi, c’était vraiment bizarre, mais vue mes vêtements, je comprenais leur regard, mes vêtements avaient beaucoup souffert de ces deux semaines d’emprisonnement. Après quelque minute avec le tenancier, l’elfe m’emmena dans une chambre assez spacieuse et de grande qualité, et la vue du lit me donnait envie de sauter dedans et de plus bouger. Mais, d’un geste du bras, la dame rouge me montra la salle de bain.

-Bien, aller maintenant je t’ordonne d’aller dans ce  bac d’eau.  Et de n’en ressortir que lorsque tu seras parfaitement propre.

Non, non, ne te déshabille pas, ne te déshabille pas, mais, je fis tombée rapidement mes vêtements et j’entrais dans cette grande bassine et malgré que l’eau sois très chaude, je ne m’arrêtais pas et ma peau se mit à rougir très vite. Je commençais à frotter mon corps et pendant que je frottais mon corps, je sentais le regard de l’elfe sur mes cicatrices et les brulures.

-Vu tes marques, je suis sur que de nombreux hommes ont déjà dut  te violer.  J’ai cependant une question.  A tu déjà eus  une étreinte avec une femme ?  Et si c’est le cas, dit moi, qu’est ce que tu en as pensé.   Sinon que peut tu me dire sur les expériences sexuelles que tu as déjà eut ? Qu’est ce que tu as apprécié ? Ou  au contraire détesté.

- Je déteste ma vie Maitresse, regardait moi, je suis une chose qui la plus soumise au monde, je suis l’esclave de tous et j’ai plus jamais connue la liberté depuis ma malédiction. J’ai vue les pires atrocités au monde.

Ma bouche continua à remuer.

- J’ai connue viol torture et un nombre incalculable de mort, j’ai étais étranglée, poignardée et empoisonnée. Je ne peux pas mourir…

Mes yeux déversèrent un flot de larme.

- Et je n’ai jamais connue l’étreinte des femmes, mais pitié ne me faite pas de mal.

L’elfe avait beau être dure, elle n’était pas insensible non plus.  L’histoire de cette petite chose la rendait triste, c’était certain.  Mais elle avait retenue deux choses très importantes,  ainsi cette jeune femme n’avait jamais connus la douceur de l’étreinte féminine.  Au, et bien, elle le découvrirait bientôt.  Oui,  mais avant il y avait de nombreuses choses à faire sur cette pauvre enfant,  la première étant de la remettre en état.  Effectivement,  cette douche permit à elfe de ce rendre compte de l’état de son esclave.  Sous cette crasse, elle peut voir la peau albâtre de sa chose, mais celle-ci est défigurée par de nombreuses cicatrices.    Elle s’occuperait de cela, tôt ou tard.  Mais pour l’instant elle regarde son esclave.  Elle écoute ses paroles et commence à  apprendre à la connaitre.  Elle devra au bout du compte tout savoir d’elle, parce que telle est son rôle de maitresse.  Elle sera la divinité de cette humaine, mais en échange devra s’occuper d’elle avec le plus d’attention que possible.   De l’écoute,  de la patience, et de l’intransigeance voila les trois qualités que doit posséder une bonne maitresse.
Tinuviel lui caresse doucement la joue,  séchant ses larmes de douleur et de tristesse.   Elle attendant que son esclave se calme avant d’embrasser ces lèvres noires qui lui font envie.  Elle aime cette fragilité comme elle aime la sauvagerie de Fonfon, ou bien l’intelligence de Horo.  Elle n’est pas la femme d’une seule personne, elle le sait, et si on l’aime, il faut vivre avec.
Tinuviel, la regarde doucement, souriante.  A ce moment, on pourrait presque ne pas croire que celle-ci a déjà deux esclaves, et qu’elle est une dominante de pur sang.

-Je t’apprendrais Abigaëlle,  je t’apprendrais à aimer ta vie.  Tu as pour l’instant, eut le malheur de ne tomber que sur des mauvais maitre. Mais je t’apprendrais que la vie en tant que soumise, peut être un véritable bonheur.  Bientôt, tu verras que cette marque sur ton visage, ne te seras même plus utile,  car tu voudras de ton plein grès me servir corps et âme.  Je serais exigeante, mais jamais je ne te ferrais de  mal. Je ferrais tout dans ton intérêt,  pour que tu deviennes un diamant.  Je te tirais de ta crasse, et de ta médiocrité.    Mais pour l’instant, profite de l’eau chaude sur ta peau, et laisse toi faire.  Je ne te ferrais aucun mal.


La jeune elfe passa doucement ses mains sur le corps de son esclave,  effaçant peu à peu les cicatrice de fouet, de brulure et de coups que celle-ci accumulé depuis des années et des années.   Cette peau rêche retrouvait  ainsi sa beauté.  Elle était satisfaite du résultat lorsque l’opération fut terminée.  Certes,  cela n’effacerait pas les blessures psychologiques, mais cela aussi, cela guérirait avec elle temps.  Elle regarda doucement son esclave  lui demandant quelques précisions sur cette immortalité.

-Ainsi, tu es immortel,  mais dit moi d’où te vins ce don ?  Est-ce une résultante de ta malédiction, ou bien y a-t-il une autre explication ?   

elle caressa encore une fois la joue de sa poupée,  elle aimait faire cela, jouer un peu avec cette douceur…  Dire qu’aucune femme n’y avait encore touchée  était quelque chose d’assez plaisant pour elle… Oui,  c’était même un vrai délice.

-Tu remarqueras ma belle, que ton corps et désormais comme neuf.  C’est mon cadeau pour ton entrée à mon service.  J’espère que cela te plais…  Bien, maintenant ne bouge plus… Je vais m’occuper de toi.


Elle prit doucement un broc d’eau tiède qu’elle versa sur la tête de la jeune femme,  puis massa doucement le cuir chevelu de son esclave avec une espèce d’herbe moussante du nexus.  L’équivalent d’un shampoing moderne.  Elle avait des décoctions bien plus efficaces chez elle, mais cela devrait attendre, ainsi, pour l’instant elle faisait avec les moyens du bord.  Elle continua ainsi de lui nettoyer les cheveux,  attendant que son esclave lui réponde.

-Ainsi, tu es immortel,  mais dit moi d’où te vins ce don ?  Est-ce une résultante de ta malédiction, ou bien y a-t-il une autre explication ?

Je ne voulais rien, rien du tout, mais c’était plus fort que moi, tout mon corps me trahissait même ma propre bouche.

- La sorcière qui m’a ensorcelé n’avait pas la puissance nécessaire pour le faire correctement, et naturellement, le sort qu’elle voulut lancer eu des effets secondaires vraiment indésirable.

Sa main passa dans mon dos, là où toutes mes cicatrices étaient le plus concentrées et une douce chaleur me fit frissonner. Se fut agréable et elle me certifia que ces dernières avaient totalement disparue de mon dos.

Je regardai mes bras et c’était vrai, plus aucune trace.

- Merci Maitresse.

-Tu remarqueras ma belle, que ton corps et désormais comme neuf.  C’est mon cadeau pour ton entrée à mon service.  J’espère que cela te plais…  Bien, maintenant ne bouge plus… Je vais m’occuper de toi.

Elle leva une cruche d’eau et me la versa doucement sur ma tête. L’eau était à bonne température, ce qui me changea de d’habitude. J’étais habitué à me faire laver avec de l’eau glacé et parfois gelé. Quand, elle termina, elle m’appliqua un baume spécial pour les cheveux. Le parfum me transporta, l’odeur était si douce et si léger que je souris naturellement.

- Merci Maitresse. Comment pourrais-je vous remercier ?

C’étais la première fois que je voulais rendre service.

La Maitresse écoute doucement son esclave,  ainsi  elle est  une pauvre victime.  Oui,   elle n’est qu’une victime de la méconnaissance et de la  prétention des Humains.  La magie n’est pas à mettre  entre toutes les mains, surtout pour les espèces inférieurs.  Cette femme ne mériterait sans doute rien de plus qu’une  mort lente, et douloureuse, mais ce n’est pas dans le style de Tinuviel loin de la.  Ainsi,  elle caresse doucement la joue de l’esclave alors que celle-ci  lui vérifie   que son corps n’a plus aucune trace de ses précédents maitres.  Il n’était pas dans les habitudes de l’elfe  d’agir par pitié mais cette fois ci s’était effectivement le cas,  mais surtout parce que ainsi elle  s’assure doucement mais surement la fidélité de la demoiselle,  de son esprit dut moins.  Et bientôt son cœur  et son corps.  Oui,  elle  avait déjà une idée pour empêcher que cette esclave ne tombe dans des mains autre que la sienne.  Mais il était encore trop tôt pour cela.  Bien trop tôt. 
Elle sourit  lorsqu’elle entend que celle-ci veut lui faire plaisir,  pourtant elle ne lui à rien demandé.  Ainsi, cela vint donc d’elle.
 
-   Ecoute moi Aby,  écoute bien ta maitresse.    Je vais te transformer en un diamant.  Tu  ferras la jalousie de toutes les esclaves, et tu seras  une de mes favorites.  Mais pour l’instant si tu veux vraiment me faire plaisir, j’aimerais que tu m’acceptes dans ton bain, et que toi et moi, nous le prenions ensemble.   Il ne s’agit pas d’un ordre,  mais j’aimerais que tu prennes aussi soin de moi,   toutefois cela doit être un désir qui vint de toi.

Elle attend donc doucement la réponse de la jeune esclave, continuant à prendre soin d’elle.    Elle verse doucement  des huiles essentielles dans l’eau pour  parfumer celle-ci.   Elle veut que cette esclave embaume  un doux parfum,  un parfum sensuel.  Il  s’agit d’un parfum  fin,  que peut de noble  peuvent se permettre,   et la l’elfe vint d’en verser dans l’eau  de l’esclave. 

-   Tu sais aby,   tu resteras une esclave,  c’est vrai.  Toutefois, il est possible que je te transforme en une de mes favorites.  Ainsi, je vais te poser une question ?  Cela te gêne t’il de ne pas être la seule femme de ma vie ?  Cela te pose t’il un problème que j’ai un harem et souhaite tu donc, ne rester qu’une simple esclave.  Ou bien toi aussi voudrais tu que je te  forme comme une parfaite concubine ?   

Elle avait un sourire,  elle savait que sans doute peut de maitre lui avait demandé cela.  Et pourtant c’était effectivement ce que la  jeune  elfe lui demandé.  SI elle souhaité devenir une de ses amantes. Et non plus une simple    esclave.  Elle attendrait donc que celle-ci  réfléchisse tranquillement dans l’eau chaude.  Cela lui demanderait sans doute beaucoup de réflexion,  mais l’eau chaude et le parfum l’aiderait sans doute à choisir un peu plus vite non ?

-   Tu sais aby,   tu resteras une esclave,  c’est vrai.  Toutefois, il est possible que je te transforme en une de mes favorites.  Ainsi, je vais te poser une question ?  Cela te gêne t’il de ne pas être la seule femme de ma vie ?  Cela te pose t’il un problème que j’ai un harem et souhaite tu donc, ne rester qu’une simple esclave.  Ou bien toi aussi voudrais tu que je te  forme comme une parfaite concubine ?

J’hésitais un moment, c’était une grosse décision.

- Je ne peux pas vous promettre la fidélité, je dois obéir quoi qu’il arrive.

Je ne voulais pas la froisser mais je lui disais la vérité.

- Mais je veux bien être votre esclave et je veux bien vous accepter dans mon bain Maitresse. Je veux vous servir. Vous êtes la première personne à me traiter ainsi et cela me redonne fois dans l’humanité.

Elle me fixa bizarrement.

Elle éclate de rire,   effectivement  c’était assez  drôle comme réponse,  mais d’un autre coté  il était sans doute normale que celle-ci réalise comme cela.  Puisque  elle était une simple esclave,   la maitresse lui fit donc un grand sourire avant de lui expliquer ce qu’elle était comme maitresse.   Effectivement,  elle n’était pas vraiment une  femme respectant la bienséance et les règles de bonne conduite.   Elle se rapproche doucement de bac d’eau, laissant glisser doucement son doigt sur la jolie   joue blanche de sa  nouvelle esclave.


-Tu sais ma chérie,  la fidélité  n’est absolument pas   un mot que je connais.  Sache que j’ai déjà   deux amantes  dédiées et tu pourrais bien faire la même chose. Il n’y a qu’une seule chose que je te demanderais. C’est que tu n’oublies jamais ta maitresse  c’est et ce sera toujours moi.  Si tu n’oublies jamais cela,  alors je ne te demanderais rien de plus.   Réfléchi donc bien à ce que je t’ai dit.  Cela sera sans doute  la dernière fois que je te propose cela.  Cette occasion n’arrivera pas souvent. Mais en attendant laisse-moi  venir te rejoindre.


La jeune  elfe  hotta tranquilement son armure,  laissant  voir son corps à la jeune  humaine.  La maitresse prenait grand soin de son corps,  cela se voyait, il n’y avait aucun poil,   toutes ses courbes étaient un appel à l’harmonie et au désir.  Elle pouvait voir dans les yeux de son esclave   cette envie,  cette  envie de lui ressembler.   Elle pénétra donc doucement dans l’eau.   Se collant doucement à son esclave.   Elle l’embrassa,  d’un geste maitrisé.  Elle avait envie de celle-ci.  Elle avait vraiment envie de cette esclave.  Mais elle ne devait pas trop la  forcer pour l’instant.

-   Tu es très belle aby,   tu es vraiment très belle,  et ta maitresse te désir.  Accepteras-tu celui-ci ?  Ou bien le refusera tu ?   Je peux t’apprendre de nombreuses et délicieuses choses.  Si tu le désir.  Ce sera le début de ta formation,  apprendre à me faire plaisir.  Mais je ne peux pas te  forcer à cela.  Je veux que tu sois consentante.   Je ne veux pas te prendre ce premier moment avec une femme .

Elle caressait doucement le dos de son  esclave alors que dans ses mains   se trouvait  du   savon.  Elle  caressait  doucement  le   dos de son esclave.    Elle avait envie de prendre soin de cette pauvre petite chose.  Oui,   elle avait envie de la protéger et de la former avec ce plaisir.

-   Tu sais ma jolie Aby,  je prends soin de toi comme  tu devras prendre soin de moi.   Mais n’oublie pas que je ne suis pas une   Humaine.  Je suis une elfe,  une personnalité bien supérieur à votre pauvre race.  Et je t’ai choisi pour que tu devienne une de mes servantes.   

Ma Maitresse enleva doucement son armure et franchement, j’avais envie d’avoir un corps comme elle, Maitresse avait un corps de Déesse et son pubis n’avait pas un poil et quand elle toucha l’eau en rentrant, je sentis mon corps frémir.

-   Tu es très belle Aby,   tu es vraiment très belle,  et ta maitresse te désir.  Accepteras-tu celui-ci ?  Ou bien le refusera tu ?   Je peux t’apprendre de nombreuses et délicieuses choses.  Si tu le désir.  Ce sera le début de ta formation,  apprendre à me faire plaisir.  Mais je ne peux pas te  forcer à cela.  Je veux que tu sois consentante.   Je ne veux pas te prendre ce premier moment avec une femme.

Elle me voulait, mais j’ai peur que se soit les mêmes envies que mes précédents Maitres ou Maitresses.

- Je vais être franche Maitresse, j’ai peur que vous soyez comme les anciennes personnes qui m’ont dit la même chose. Mais, je sens que vous êtes différente et j’accepte votre offre. C’est la première fois que l’ont me propose de la liberté.

-   Tu sais ma jolie Aby,  je prends soin de toi comme  tu devras prendre soin de moi.   Mais n’oublie pas que je ne suis pas une   Humaine.  Je suis une elfe,  une personnalité bien supérieur à votre pauvre race.  Et je t’ai choisi pour que tu deviennes une de mes servantes.

Une elfe, pauvre race…

- Mais Maitresse, je suis une humaine, ma race n’est pas très jolies mais certaines personnes valent la peine de les connaitre.

L’eau est chaude,  parfumée.   C’est le cadre parfait pour    initier cette pauvre chose au plaisir des femmes.  Mais  ses réactions font doucement sourire la maitresse qui  se dit que son esclave et intelligente.  Elle est même  sans doute plus réaliste que de nombreux autres individus de son espèce.  Mais c’est normale, puisque  en temps que maitresse parfaite, elle  était capable de repérer d’un seul coup d’œil les  esclaves d’exceptions.  Et elle n’en doutait pas,  cette humaine serait sans doute une des meilleurs esclaves qu’elle formerait.

Elle caresse doucement la nuque de son esclave, alors qu’elle regarde celle-ci doit dans les yeux.  Ses lèvres se tirant doucement pour former un petit sourire coquin.  Oui, elle allait bien s’amuser avec  elle,  mais  pour l’instant le but était de réveiller les braises du désir, pour faire un  splendide brasier de  plaisir.  C’est bien sur plus long et difficile de prendre son pied  alors que l’autre et roulée dans la boue,  mais c’est comme cela que nait  l’addiction.  Une fois que l’esclave est totalement accroc à sa maitresse,  elle ne pense à rien d’autre que lui plaire,  lui faire plaisir, et la combler. 
Elle  regarde d’un air malicieux  sa belle  esclave et lui glisse doucement à l’oreille.


-Ma chère et douce Aby,  je sais que tu as peur,  je sais que c’est difficile pour toi de me faire confiance.  Mais sache que je suis ta maitresse et que je ne veux que ce qu’il y a de meilleur pour toi.   Une dernière chose ma douce Aby, tu n’es pas une humaine,  tu es le prolongement de ma volonté,  de mon cœur,  et de mon âme.   Mais en attendant,  toi et moi, nous allons profiter de ce moment.  Toutes les deux.


L’elfe  dépose délicatement ses lèvres pulpeuses  sur celle noires de son esclave.  Elle    mordant délicatement celle-ci, avant de les lâcher, et de retourner les rechercher.  Cela dura longtemps,  de nombreuses fois, elle venait rechercher puis elle relâcher les lèvres de son esclave. Puis, elle l’embrassa, cette fois si  réellement,   sa langue allant rechercher celle de l’esclave pour l’entrainer dans un ballais  érotique intense et particulier.  Elle pouvait tenir plusieurs minutes, mais ce ne serais sans doute pas le cas de son esclave qui au bout de quelques dizaines de secondes, aurait sans doute besoin de reprendre son souffle.  Elle lâcha donc provisoirement son étreinte pour  la laisser respirer, avant de retourner à l’assaut une fois encore.   Ce baiser fut encore plus long que le précédemment,  et elle sentait la respiration de sa frêle acquisition  s’accélérer peu  à peu.

-Dit moi, ma belle esclave,  est ce que tu es déjà morte de plaisir.  A tu déjà connu un orgasme si fort et si puissant qu’il t’a littéralement tué ?  Je te  ferrais essayer cela  plus tard. Une autre chose,  je ne suis douce que dans ce genre de moment.  Le reste du temps, je suis bien plus distante,   ce n’est pas contre toi.  Mais,  il faut que tu sois consciente de cela. Je resterais ta maitresse.   

Dit moi, ma belle esclave,  est ce que tu es déjà morte de plaisir.  A tu déjà connu un orgasme si fort et si puissant qu’il t’a littéralement tué ?  Je te  ferrais essayer cela  plus tard. Une autre chose,  je ne suis douce que dans ce genre de moment.  Le reste du temps, je suis bien plus distante,   ce n’est pas contre toi.  Mais,  il faut que tu sois consciente de cela. Je resterais ta maitresse.

Je fixais ma nouvelle Maitresse avec surprise.

- Je fus une souillon, alors vous pensez bien que je n’ai jamais connue de vrai orgasme. Quand j’étais leur propriété et qu’ils voulaient que je sois leur objet, ils ne pensaient pas à mes orgasmes, mais combien de fois, ils pouvaient me remplir.

Je détournais le regard du corps de l’elfe, sa plastique forçait le respect. Pas un seul défaut.

- Qu’attendez-vous de moi, Maitresse ?

Je voulais vraiment croire en elle entièrement, mais je voulais plus être déçu, si c’était pour que je sois sa chose, je devais le savoir pour pas espérer pour rien.

Elle regarde tranquillement l’humaine,   et ce disait qu’il y avait de nombreux maitres dont il faudrait refaire l’éducation.  Il était triste de voir ce genre de relation à sens unique.  Un bon maitre se doit de tout savoir de  son esclave,  de le protéger, et de le faire grandir.   Elle se demandait s’il ne fallait pas interdire la possession d’esclave à ces maitres.  Bon, enfin pour l’instant elle se doit de s’occuper de la sienne. Elle va prouver à cette belle créature qu’une maitresse est aussi capable de douceur. Même si elle sera dur le reste du temps.  Elle lui sourit doucement avant de répondre à sa demande.
Ainsi, elle voulait savoir ce qu’elle attendait  d’elle.  Question ma fois fort logique. Cela prouvait qu’elle savait que l’on attendait qu’elle chose d’elle.  Mais  il y a aussi une réciproque  et cella, elle ne devait pas la connaitre.

-   Ce que j’attends de toi ?  C’est simple j’attends que tu te donne à 110% pour moi.  Que tu accomplisses mes ordres par envie et non par contrainte.  Et dernière chose, je veux que ton esprit me soit à jamais fidèle.  Voila ce que j’attends de toi.  En échange,  je serais là si jamais tu veux de l’aide,  je serais la pour te protéger si tu en as besoin,  je serais la pour te conduire vers la plénitude.  Qu’en penses-tu Aby ?  Cela te convint t’il comme  marché ?

Elle l’embrasse encore une fois,  laissant sa langue jouer avec celle de la demoiselle,  hum, elle a si bon gout.  Un gout de future jouissance  et de découverte pour  l’esclave.  Un gout de   réparation pour l’elfe.


-Ma belle Aby,  arrête de détourner le regard de mon corps, et n’ai pas honte du tien.  Il est désirable,   j’aime ta beauté discrète.  Tu  ne devras pas avoir honte de ton corps ma belle. Au contraire.  Tu verras,  une fois parfumé et habillé, tu seras  aussi belle qu’une reine.  


Elle caressa doucement le corps de la jeune femme, suivant sa colonne vertébrale, avant de s’arrêter dans le creux des reins.  Elle  voulait ainsi que la jeune femme réveille un peu ce désir depuis si longtemps oublié.  Elle voulait que ce soit elle qui lui demande de s’occuper d’elle.   Oui, c’était une façon de montrer à sa maitresse  qu’elle acceptait celle-ci, et qu’elle lui faisait suffisamment confiance pour qu’elle joue avec elle.

-Ma belle Aby,  arrête de détourner le regard de mon corps, et n’ai pas honte du tien.  Il est désirable,   j’aime ta beauté discrète.  Tu  ne devras pas avoir honte de ton corps ma belle. Au contraire.  Tu verras,  une fois parfumé et habillé, tu seras  aussi belle qu’une reine.

Une reine, si elle savait qu’avant j’étais une princesse d’une des plus grandes puissances de ce continent. Mais, je commençais vraiment à sentir de l’affection pour cette elfe, jolie soit elle, elle débordait d’amour et de désir. Je voulais me donner à elle, mais comment lui prouver. Je voulais lui donner tout l’amour que je ressentais pour elle, du moins l’affection.

Ni une ni deux, je me jetais dans ses bras et blottit mon visage dans son cou et je commençais à pleurer à chaude larmes.

- Merci, merci, merci.

Je savais qu’avant, avec mes anciens Maitres, être autant proche me valu parfois des coups de fouets terribles. Mais avec elle, je voulais lui montrer ma gratitude et après je ne le referais plus jamais.

Une fois mon étreinte retirait, je baissais la tête en m’excusant plusieurs fois de ce geste là. Mais fallait que ça sorte de moi, et pour une fois, un geste d’affection sans que l’on me donne l’ordre. Je redressais la tête plus déterminée que jamais.

- Oui Maitresse, vous êtes ma Maitresse et l’unique, quand j’explorais le monde pour vous, je revendiquerais votre nom et mon appartenance à vous. Nulle autre personne n’est propriétaire de mon corps. Je suis votre.

Je me levais me montrant nue et trempée.

- Je suis votre Maitresse…

C’est vrai, idiote que j’étais, je n’avais jamais demandé le nom de ma Maitresse.

Elle  ne dit rien, se contentant de  lui caresser le dos.  Pour en arriver là, elle devait  sans doute ne jamais avoir eut aucun maitre assez compétant pour  la reprendre en main.  C’était presque triste. Elle était capable d’être la meilleure esclave au monde,  obéissante et  discipliner.  Et pourtant personne ne s’en était jamais rendu compte…  tant pis pour eux.   Maintenant elle lui appartenait, donc autant dire que ce qu’elle avait connu jusqu’à présent allait changer…  Oui, c’était sans doute mieux ainsi…


-Tinuviel…  Maitresse Tinuviel. Voila comment tu peux m’appeler ma Belle Aby…   Bien que lors des instants comme celui-ci, Tinuviel suffira amplement…   Et ne me remercie pas pour cela,  ce c’est aussi mon rôle de te prendre soin de toi, et de te  protéger.


Elle  n’avait rien fait de  mal pour  mériter une quelconque  sanction, alors l’elfe ne lui en tiendrait pas rigueur.  Au contraire,  si elle se livrait comme cela, c’était parce qu’elle avait confiance en  sa maitresse et donc qu’elle  venait de faire le plus dur. C'est-à-dire lui donner ce que aucun de ses maitres n’avaient sans doute jamais eut jusqu’à présent,  sa confiance.     Et puis, l’angle de vue qu’avait elfe était des plus délicieux… Ce corps si beau était  totalement  sien… Hum,  elle était si délicieux…   Elle  caressa doucement  les jambes de son esclave, avant de lui dire d’une voix douce et  sensuelle.


-   A partir de maintenant,  laisse moi te montrer tout ce que tes différents maitres n’ont jamais put te faire vivre.  Laisse ta maitresse soigner toute les blessures de ton cœur et de ton âme.


Elle se lève doucement avant de  prendre le visage de sa jolie esclave et de l’embrasser d’un baiser plus que passionner,  voila ce  que le programme annoncer.  Elle la vit enfin s’assoir dans le bac, position bien plus pratique pour la suite des opérations… Car après tout,   la suite des opérations serait sans doute assez…  Enfin, y avait-il besoin de faire un dessin…


Elle   embrassa doucement le cou de son amante avant de lui dire d’une voix sensuelle…


-   Laisse moi faire,  je te  promets de  te donner tout ce que tes maitres n’ont jamais put te donner c'est-à-dire de la tendresse,  de l’affection, et du plaisir…  Mais en attendant, je  te propose de   te  venir avec moi, voir  qu’elle tenue je te propose.  Je t’avais promis d’être tel une reine,  et je peux te montrer la tenue que je te propose…

Elle eut un petit sourire,  avant de sortir du bac d’eau… Se sécher d’un claquement de doigt… Et aller rechercher la robe uniquement constitué d’une longue étoffe  presque transparente.  Celle-ci était  décorée par de  nombreuses perles et  de long bracelet en or… Elle aurait une fière allure son esclave dans cette tenue,  si belle et séduisante…