Esclave est tu la? (pv Aby.)

Son baiser était doux et tendre, mais ce fut un peu court, première fois que je ressentais autant de bonheur et de joie. Ma Maitresse sortait de la bassine et se sécha en un claquement de doigt.

Moi, je la suivais mais j’ai dû m’essuyer et cela prit un moment. Quand je finis, je suivis Tinuviel en m’excusant mille fois.

- Je suis vraiment désolé Maitresse.

Je vis ma Maitresse regardait des robes magnifiques et très belles. C’était la première fois que je touchais des robes depuis ma malédiction.

- Ne vous embêtez pas pour moi Maitresse, je prends n’importe quoi, j’ai l’habitude des affaires laissez pour contre.

Je m’asseyais sur le lit et remarqua bizarrement qu’il n’avait qu’un seul lit.

- Maitresse, dois je dormir à terre ? Je le ferais avec plaisir si vous me le demandez.

Tinuviel fut presque choqué parce qu’elle venait d’entendre,   on ne laissait pas de vêtement aussi miteux à une esclave, c’était juste, impossible…  Mais il fallait dire que la maitresse était très exigeante,  et elle savait comment mettre en valeur un corps. Ainsi, même si la coupe des vêtements qu’elle faisait porter à ses servantes n’était pas toujours aussi complique et complexe, elle choisissait toujours  des tissus de qualité supérieure.  Ainsi, elle soupira un long moment avant de venir s’assoir sur le lit et de faire signe de venir la rejoindre. 
Lorsque ce fut le cas, elle plaça doucement la tête de l’esclave sur ses jambes avant de lui dire  tout simplement.

-Sache que je ne laisserais jamais une de mes esclaves dans un tissu de mauvaise qualité… Elles sont une partie de moi, et jamais je ne les laisserais dans  des tenues de secondes mains… C’est une règle d’or des contrats que je passe avec mes esclaves… Même si cela n’est pas sur papier, je te l’ai dit,  je suis aussi là pour prendre soin de toi, comme tu dois prendre soin de moi…    Et  pour te répondre, tu ne passeras pas ta nuit sur le sol,  mais ici avec moi… Dans ce lit…  Mais autant te prévenir ma belle Aby,  il est fortement possible que nous ne dormons pas cette nuit…
 


Il était très difficile de faire plus claire,  elle  avait envie du corps de la jeune esclave, sans pour autant lui prendre de force cet instant.  Elle pourrait bien sur la chauffer un peu avec  sa magie rouge, mais cela voudrait dire  qu’elle forçait d’une manière ou d’un autre la jeune femme… Non, cela ne  marcherait pas comme cela… Par contre, elle pouvait la chauffer un peu, et si elle la repoussait, cela voudrait dire qu’elle ne souhaité pas que cela se finisse comme cela, chose que l’elfe peut aisément comprendre…
Elle dépose ses lèvres sur la nuque de l’esclave, nuque qu’elle mordille maintenant avec une certaine délicatesse puis elle descend le long de la colonne vertébrale y déposant des baisers ou des léchouilles selon son humeur.   Une fois arrivé jusqu’au bout de celle-ci, elle remonte jusqu’à l’oreille de l’humaine,  lui disant de cette voix  sensuelle…


-Qu’en dit tu ?  Veux tu que je t’initie à ce genre de plaisir ?

Je posais ma tête sur ses cuisses et la tourna pour lui montrer mon visage et la fixais. Elle avait l’air surpris, mais pourtant, la plus part de mes anciens Maitre me traitaient ainsi. Je sais pas comment je dois me comporter si j’ai rien connu d’autre.

- Je suis désolé de vous faire expliquer toujours la même chose, mais avant, j’étais rien, mais avec vous, je redeviens quelque chose qui à de la valeur et j’ai encore un peu de mal avec cela.

Ma Maitresse me parla encore et me signala que je serais dans le lit avec elle et qu’elle pensa qu’on ne dormira pas. Je mis quelque seconde pour comprendre qu’elle voulait mon corps, ce qui ne changea pas des autres Maitres.

- Je dois vous satisfaire avec mon corps, je serais votre objet.

Je me redressais doucement et posant un baiser doux sur la joue de Tim.

- Je serais votre petite chienne.

Tinuviel se demandait si elle devait  se frapper ou non la tête contre un mur lorsqu’elle entendit la première phrase… Elle n’était pas un objet, cela elle devait le comprendre,  ce n’était pas comme cela qu’elle voyait ses esclaves, loin de la…  D’ailleurs pouvait-on vraiment parler d’esclave… Le terme de servante serait sans doute le plus approprié et adapté.   Tout simplement parce qu’elles ne sont contraintes à rien, et obéissent simplement pour faire plaisir à leur maitresse adorée.
Elle soupire longuement lorsqu’elle lui dit qu’elle sera sa chienne… Ce n’est pas ce qu’elle veut…  Loin de la…  Elle lui réexplique donc, puisqu’elle semble encore avoir beaucoup de mal… Elle pose doucement son doigt sur la bouche de la jeune femme

-Chut…   Aby, je ne souhaite pas d’une chienne… Sauf si c’est vraiment cette forme la de sexualité qui te rend heureuse.  Mais ce que je veux, c’est une amante,  une femme qui prendra autant de plaisir que moi.  Je veux une qui femme  prendra du plaisir avec moi… Et non une pauvre poupée dont je me servirais… Tu comprends  Aby ?    Bon, laisse-moi te montrer ce que j’essaye de te faire comprendre. 


Il était temps que la magie rouge entre en scène.  Elle enchante ainsi ses mains pour qu’au contacte de la peau de la jeune femme, celles-ci produisent une douce chaleur  un peu comme quand on utilise un gel chauffant…   Ainsi, elle commence les caresses sur le corps de son esclave… Commençant par le ventre qu’elle enflamme avec plaisir alors qu’elle embrasse  les lèvres de son amante de cette nuit.   Elle prolonge ce baiser durant un long moment, laissant la jeune esclave profiter de ses douces lèvres et de ce parfum si sauvage qu’on le baiser des elfes.  Oui,  cette salive à un léger gout fruité et naturelle… Un petit gout de nature.  Mais ce ne serais sans doute pas cela que la jeune servante remarquerait,  mais le fait que les mains de l’elfe avait quitté le ventre de la jeune femme, pour tomber sur sa poitrine qu’elle masser maintenant d’une main adroite,  se rapprochant peut à peu de l’auréole…   Elle avait entre temps coupé l’effet chauffant pour ne pas que la pauvre Aby n’en subisse trop dès le début. Bien que c’était mal partie puisque elfe laissait courir ses ongles sur la chaire plus sombre de l’Humaine et qu’elle se rapprochait de plus en plus du téton…

J’avais l’air stupide après mes propos, mais je ne connaissais pas l’amour réciproque, ni même être aimé par quelqu’un. Toute ma vie après la malédiction n’avait été que viols, meurtres et  maltraitances envers moi.

Tinuviel commença un rituel magique et ses mains s’illuminèrent, elle me toucha le dos et je sentis une vague de chaleur tellement douce que je ne pus retenir un soupir de plaisir.

Mais le vrai bonheur fut quand sa bouche toucha les miennes, je fus surprise et j’ouvris des grands yeux, je les refermais doucement alors que sa langue joua avec la mienne.

Quand elle relâcha sa prise, je lui lâchai d’un ton satisfait.

- Je suis au paradis, cela faisait trop longtemps que je n’avais pas ressentit de l’amour vis-à-vis de moi. Merci Maitresse.

Je me rapprochais de plus en plus d’elle et je passais mes mains autour de son cou, je l’embrassais à nouveau, mais cette fois ci, je pris le dessus avec toute la tendresse que je pouvais avoir.

Ma langue enlaça la sienne et ma salive se mélangea à la sienne se qui me fit sentir une drôle de chaleur dans le creux de mes reins.

Tinuviel était satisfaite, ainsi elle commençait à comprendre ceux que sa maitresse attendait d’elle.  Elle commençait à prendre des initiatives, et se  laissait aller,  elle était donc dominer passive, à dominer active.  Si elle se laissait faire, ce serait par amour pour sa maitresse et non pas par peur ou par obligation.  Bientôt, elle aimerait sa situation, et ne pourrait plus s’en passer,  il faudrait d’ailleurs qu’elle lui fabrique un collier si elle comptait suivre les routes. 

Elle la laissait continuer ce baiser, alors que les mains de la jeune elfe caresse doucement les auréoles de la jeune Humaine, se rapprochant doucement des tétons, qu’elles avaient finalement trouvées et qu’elles caressaient maintenant.  Elle peut sentir le souffle de la jeune esclave s’accélérer, et elle devine le  plaisir qui nait, peu à peu au creux de ses reins.  Elle décide ainsi de couper le baiser,  et  de lui dire.

-Tu fais erreur Aby,  tu n’y es pas encore… Laisse-moi d’y conduire…


Elle embrasse doucement le front de son esclave, alors que ses mains caressent doucement les tétons de la demoiselle.  Elle les pinces maintenant un peu, la laissant réaliser tout le plaisir qu’elle est entrain de prendre…  Cette nuit, elle lui ferrait subir tous ce qu’elle n’avait pas put avoir durant toutes ses années.  Du plaisir  avec chaqu’une des parties de son corps… Des pieds jusqu'à la tête.  Mais elle préfère commencer par le plus classique.  Elle laisse maintenant les seins, pour griffer un peu le corps de la jeune femme jusqu’à son pubis qu’elle caresse doucement d’une main de maitre.


-Je ferrais de ton corps entier une zone de plaisir Abigaelle.  Laisse-moi faire et toi, apprécie ce cadeau que je te fais…

Elle caresse doucement les grandes lèvres de la jeune femme,  la laissant juste prendre du plaisir, mais laissant aussi monter la frustration puisque ces caresses bien que fortes, ne sont pas suffisante pour la faire monter plus haut.  C’est le but,  qu’elle aime un peu le sexe,  cette chose que jusqu’à présent, elle n’a fait que subir.  Les yeux de sa maitresse luisent maintenant d’une lueur coquine, et elle demande à son esclave ce qu’elle en pense.



-Alors Aby,  tu aime ce que je te fais ?  Tu veux que je continus ou que je m’arrête ? 

C’était la première fois de ma vie, que l’on était si délicat avec mon intimité et ma vulve se mit à me trahir en découlant quelque goute de cyprine.

- Ouaaaaah…

Je ne pus retenir se petit gémissement qui venait de plus profond de mes entrailles. Ses doigts si doux étaient d’une précision fantastique et ma peau ressentait chaque centimètre de parcelle de ma peau qui passait sous ses métatarses.

Je dégageais ma bouche et pendant qu’elle attaquait mes seins et mes tétons, je lui lâchais entre deux soupirs.

- Maitresse, j’adore ce que vous me faites. Je suis heureuse à vos cotés.

Quand à mes mains, elles se baladèrent doucement sur son dos et je sentis sa peau frissonner sous mes doigts et cela me fit grandir un sentiment de travail bien fait. J’étais encore esclave, mais plus une souillon. Une esclave presque libre de ses choix, mais je voulais attendre ses ordres pour voir la vrai Tin.

Tinuviel continua donc sa douce torture,  elle était assez contente de voir que la jeune esclave réagissait à ses traitements,   voir la cyprine couler sur la vulve de la jeune esclave et l’entendre gémir de plaisir était pour elle, la plus douce des  récompenses.  Surtout que la voix de la jeune esclave était tout simplement délicieuse.  Elle avait envie  de lui faire connaitre tout ce qu’elle savait sur cela,  elle avait envie de la mener au septième ciel pour compenser tout ce que ces incapables d’humain avait fait.  Elle se contente de mordiller les tétons de la jeune femme bien qu’elle ait parfaitement entendu le fait qu’elle était bien avec elle.  Tant mieux, c’était ce qu’elle souhaitait, que chaqu’une de ses servantes voit en elle,  une maitresse bien sur,  mais également une figure maternelle,  une amie, et une amante.   Il fallait que chaqu’une d’entre elles ait le cœur totalement ouvert à leur maitresse pour que celle-ci soit le plus apte à les conduire vers le bonheur absolue.

Elle continue à caresser ses lèvres intimes,  faisant de petits cercles de ses doigts experts sur celles-ci.  Hum, c’était tellement beau de les voir petit à petit  s’humidifiée  de son jus de plaisir et qui formera bientôt une flaque sur les draps de ce lit.  Oui, c’était une promesse, lorsqu’elle sortirait de ce lit, la jeune esclave serait épuisée, mais totalement comblée.  Bien, elle à assez poiroté, maintenant il est temps de la conduire aux portes du paradis.  Ou presque…   Elle entre doucement un doigt dans ce temple des plaisirs bafoué à de nombreuses reprises par des hommes peux scrupuleux.

Elle caresse maintenant l’intérieur des lèvres avant de se rependant doucement vers l’intérieur de l’antre intime de l’esclave,  elle lui sourit, continuant son œuvre,  explorant chaque centimètre  entier de la jeune femme.   Elle pourrait jouer avec son clitoris, et la conduire maintenant vers le plaisir, mais c’est trop tôt,  autant la laisser prendre conscience qu’un peu de doigté ne fait jamais de mal.  Elle  lâche maintenant sa poitrine pour aller l’embrasser,  puis lui mordiller le cou.  Elle veut que cela soit un instant mémorable pour cette pauvre créature qui n’a jamais connu de tendresse ou d’amour envers elle.

Son doigt entra en moi doucement, comme si elle voulait ne pas me faire mal et j’adorais ça. Je ne savais pas que la douceur pouvait amener autant de plaisir.

Quand elle vint m’embrasser, toute mon âme lui appartenait et franchement, je n’avais plus aucune appréhension d’elle.

Ma nouvelle Maitresse ne s’arrêta pas en si bon chemin et mon cou fut sa nouvelle proie et ses coups de dents me firent encore plus couler encore plus.

- Maitresse, encore, Abigaëlle veut encore plus de vous.

Pour la première fois de ma vie, j’osais demander quelque chose à quelqu’un sans que celui-ci en profite.

Mon dieu que c’est bon d’être aimer par quelqu’un.

L’elfe  se contenta de sourire, cette phrase était sans doute la plus belle récompense à ses yeux. Elle avait  la totale confiance de la jeune esclave et savait que celle-ci pourrait désormais lui confiait sa vie.  Elle embrassa doucement la jeune femme,  dévorant ses lèvres sous des baisers passionnées et ne s’en détachant que pour permettre à la jeune humaine de respirer de temps en temps.   
Elle continua de caresser les lèvres intimes de la jeune femme, ses doigts  s’humidifiant à vue d’œil, elle était finalement contente de voir que cette esclave n’était pas trop déranger que sa maitresse s’amuse avec elle.   Elle l’embrassa encore une fois et lui dit doucement.

-Tes désirs sont des ordres.
Elle  plongea doucement un autre doigt dans l’intimité de la demoiselle, avant de  commencer un petit mouvement de va et viens. Mais à chaque fois, avant de sortir, elle  passait doucement les doigts sur ses lèvres intimes, renforçant encore le plaisir qu’elle donnait  à  ce moment.  Elle  se blottit doucement contre la demoiselle.  Laissant son corps réchauffer celui de l’esclave. Elle l’entoura doucement de son bras encore libre, la  plaquant contre elle. 
Elfe  sorti finalement ses doigts de l’entre jambe de la demoiselle et commença à tracer des symboles sur le corps de la jeune femme.  Il n’y avait la aucune magie, juste l’envie de caresser le corps de son amante.   Bien que, elle pourrait si la jeune esclave le voulait modifier son corps pour qu’elle ressente encore plus de plaisir. C’était possible…
Elle reprit lentement plaça dans le puits d’amour de la jeune esclave, continuant ses caresses humidifiant de plus en plus celui-ci.  Elle  dévorer son amante et  bientôt, elle lui monterait des choses plus plaisantes encore. 

- Voudrez tu essayer quelque chose Aby ?  As-tu une envie que tu voudrais voir satisfaire. Je peux faire beaucoup de chose…  Je peux être qui tu veux ou ceux que tu veux, tu n’as qu’à me le dire.

Je me sentais sienne, sa question était simple mais je ne connaissais rien à l’amour lesbien, mais voyant ce que je voyais, je vais y prendre gout rapidement.

- Je sais pas Maîtresse, faite se que vous voulez de moi… Aaaaaah, je suis toute à vous…

J’avais de plus en plus du mal à me concentrer sur mes mots car ceux-ci étaient saccadés et sortaient dans un soupir d’extase.

Jamais au grand jamais, quelqu’un n’avait eu autant d’attention pour moi depuis ma malédiction, j’ai été une prostituée, une souillon et bien plus encore. Mais là, malgré mon fardeau, j’étais humaine.

Elfe hésitait pour l’instant à lui faire connaitre toute l’étendue de son pouvoir, elle avait de nombreuses douceurs pour cette jeune femme, des connaissances inédite que la demoiselle ne connaitrait sans doute jamais,  des choses qui  pourrait faire  devenir fou n’importe qui tellement ce qu’elles faisaient vivre était fort et puissant.   Mais elfe devrait l’initier progressivement et doucement à ce genre de chose,  petit à petit pour ne pas que sa belle opale ne se brise.  Elle  Embrassa doucement, avant de sortir ses doigts de l’antre humide et moite de la jeune femme, et de lui passait doucement les doigts sur les lèvres lui souriant doucement.

- Tu penses vraiment ce que tu dis ?  Hum,  je suis désolé, mais tu es loin de m’appartenir totalement encore.  Peut être une fois que toi et moi nous en aurons fini… La je pourrais dire que  tu commences à m’être entièrement dévouée.  Mais crois moi, pour l’instant, ce n’est pas encore le cas.

En effet, elfe  pour l’instant n’était qu’au début de la création de la nouvelle Abigäelle, une femme qui  aurait en plus d’avoir une image d’elle-même normale, une vénération sans borne pour elfe et surtout  qui appréciait enfin la sexualité comme elle devait l’être.  Elfe ne voulait pas en faire une fille de joie, ni même la corrompre bien que cela  risquait d’être le cas puisque la jeune femme prendrait gout à des pratiques considérées comme interdite sur Terra mais au contraire, elle voulait lui faire prendre conscience que la sexualité pouvait également être une source de plaisir, un moment délicieux que deux être partages ensembles.

Elfe embrassa encore une fois la jeune demoiselle, lui souriant doucement avant de lui mordiller l’oreille, ce genre de caresse ne servait qu’à préparer le reste, ce que  Elfe aimait particulièrement faire, c’est à dire donner du plaisir.  Oui, elle aimait certes en recevoir mais initier une  nouvelle amante était quelque chose qu’elle adorait.  D’ailleurs elle ferait en sorte que la jeune Humaine connaisse au minimum les bases sur  le plaisir que deux femmes pouvaient prendre entre elle.
Elle sourit doucement, avant de mettre la jeune femme sur ses cuisses. Puis, elle passa avec lenteur et délicatesse sa jambe gauche sur celle de la demoiselle.  Elle fixa quelques instants  son amante  avant finalement de lui murmurer.

-Je vais te faire essayer une chose qui je pense te plaira.

Elfe se frotta doucement contre son amante, produisant inévitablement des frictions entre son sexe et celui de son amante.  Autant dire que  plus elfe continu, plus elle  provoquerait chez son amante des  sensations des plus délicieuses.   Oui,  elle allait apprendre  à cette jeune demoiselle tout ce qui lui faudrait.  Autant dire qu’il y avait du travail, cependant  son apprentissage se présentait plutôt bien vu les gémissements que la demoiselle pouvait à cet instant.  Qu’elle douce mélodie, que les bruits d’une jouissance proche

Le faite de sentir nos deux sexes se frottaient l’un contre l’autre était un moment de plaisir et je déployais toute ma voix afin qu’on puisse l’entendre de mon plaisir. Des couinements et des gémissements sortaient sans difficultés de ma bouche. Ma Maitresse était très très douce avec moi.

- Maitresse, encore, j’en veux encore plus.

Elle me faisait l’amour, elle me baisait pas elle. Elle me traitait comme une égale alors que je suis une esclave à vie.

La seule chose qui pouvait tout gâcher se plaisir, c’était qu’elle se foutait de moi, qu’elle était en faite une vraie furie.

J’espérais que non

Elfe, une  furry ?  Non, elle n’était pas comme cela, encore que cela dépendait énormément de la femme qu’elle avait en face d’elle.  Car oui, elle était capable d’être à la fois douce ou sauvage,  amoureuse ou bestiale, ou bien dominante ou dominée.  Pour cette jeune femme, elfe resterait dans le basique, en effet, elle n’était pas prête pour devenir une dominée, elle avait pour l’instant besoin de se sentir en confiance,  de se sentir comprise et aimée.  Elle n’avait donc pas besoin d’une dominante ni d’une maitresse mais plutôt d’une âme compréhensive qui prendrait soin d’elle.
Elfe, se contenta d’embrasser la jeune Humaine, alors que son corps se faisait de plus en plus chaud.  Oui, elle ne la laissait pas indifférente, la preuve étant que l’elfe perdait  un peu de sa froideur.  Son antre intime se faisait de plus en plus chaude et moite et d’ailleurs, il ne fallut que bien peu de temps pour que l’elfe dépose sur le corps de son amantes quelques goutes de cyprine… 
Ah, ce qu’elle aurait aimé que son liquide divin et  celui de son amante se mélange dans l’antre intime de l’humaine.  Cela, aurait sans doute était puissant, à la fois au niveau symbolique qu’au niveau  du plaisir. En effet, l’elfe n’avait pour l’instant pas eut la chance de tester  ce genre de chose, et elle pensait que cela pourrait être intéressant.  Mais, bon elle en parlerait plus tard avec elle, pour l’instant, elfe profitait de se moment se montrant plus entreprenante encore,  elle laissait son corps  répondre au désir de la jeune humaine, se collant contre elle avec douceur mais passion.  Ses doigts glissant le long du corps de son amante, jouant avec lui, avant de caresser le ventre, puis le pubis de la jeune femme.   l’elfe faisait des mouvement de plus en plus ample et la couvrant de baiser pour combler au maximum cette jeune femme.  Elfe, même si elle ne voulait pas l’avouer était déçus qu’elle ne veuille pas la rejoindre, cependant elle respecterait son choix.   Mais l’elfe se disait pourtant, qu’elle aurait put être une très bonne  meneuse, enfin, peut  importe.
Elle avait juste un petit sourire tendre, caressant le visage de sa belle en plein effort…

Cette sensation, sentir ma mouille et celle de ma Maîtresse me fit frisonner de plaisir, j'avais la chaire de poule, je me sentais heureuse et je ne me rappelais plus de la dernière fois que j'étais heureuse. Soudain, le bas de mon ventre se mit à chauffer rapidement, j'avais pour la première fois de ma vie un orgasme et un puissant, à telle point que je me plia en deux attrapant les épaules de l'elfe, criant mon plaisir à gorge déployée, fixant ma Maîtresse avec de grands yeux remplis de bonheur.

- Ouiiii... Ouiiiiii... Haaan Ouiiiiiii... Ouiiiiiii... Mmmmmmh... Ouiiiiiii....

Il m'a fallu un peu de temps pour m'en remettre et je tomba à la renverse sur le lit, légèrement convulsante, j'avais jamais connu cela de toute ma vie, mon premier vrai orgasme. Merde... c'était tellement bon et la soudain le flash, j'avais attrapé les épaules de ma Maîtresse comme si j'étais son égale. Je me redressa d'un coup, rouge et confuse.

- Pardonnez moi Maîtresse, je ne recommencerais plus jamais cela, je suis indigne de vous...

Par réflexe, j'avais levé mon bras gauche afin de me protéger le visage, de vieux réflexes qui mettront du temps à disparaitre...