Nom/Prénom/Surnom : Belgrif
Age : 16 ans
Sexe : mâle
Race : Terranide chat
Orientation sexuelle : selon ses humeurs
Description physique : Belgrif est petit, à peine 137 cm, et léger. Sa silhouette élancée témoigne avec force de sa nature féline. Son physique mélange les traits de l’homme et du chat. Le haut de son corps, à l’exception de sa tête, est très humain alors que le bas découle de l’animal. A la base de son dos se trouve notamment une longue et fine queue qui part en panache en son extrémité. Sa musculature est visible mais discrète ; c’est un sportif, pas une brute. Son corps est intégralement recouvert d’une douce et épaisse fourrure couleur de nuit. Ses doigts et ses orteils se terminent par de belles griffes argentées à l’origine de son prénom. Elles sont rétractiles, s’il n’en a plus l’usage, il les range. Son visage de chat et surtout son regard d’un vert profond suggère non pas la bestialité mais plutôt la vivacité d’esprit alliée à une malice certaine. Son discret sourire, qu’il affiche bien souvent et qui est mis en valeur par le contraste entre la blancheur de ses dentes et ses sombres poils, peut mettre mal à l’aise. Ses oreilles sont pointues et assez grandes. Leur orientation peut trahir ses états d’âme. Sa truffe et les coussinets qu’il a sous les pieds sont tout aussi sombres que son pelage.
Au niveau vestimentaire, Belgrif affectionne les habits amples aux couleurs vives derrière lesquelles il peut dissimuler sa nature bestiale. A titre d’exemple, il pourrait disparaitre sous un large chapeau et un manteau démesuré, le tout étant rouge vif. Il reste néanmoins toujours pieds-nus, ne pouvant supporter d’être chaussé.
Caractère : Belgrif est tout d’abord quelqu’un d’excessivement fier. Parce qu’il a eu la chance de bénéficier d’une instruction exceptionnelle pour quelqu’un de son origine sociale, il se pense supérieur aux autres individus primitifs. Il méprise ces derniers sans retenu. D’une façon plus générale, il se vente, il se surestime. Il est aussi incroyablement curieux. C’est simple, si quelque chose l’intrigue, il fera tout pour en savoir plus et ce quel que soit les dangers. Il ne faut pas attendre de lui une quelconque loyauté. Egoïste, il ne pense qu’à son propre intérêt, qu’à son plaisir personnel. Belgrif cumule les défauts mais on ne peut pas lui retirer sa ruse, sa vivacité d’esprit, sa verve, ainsi que son côté romantique. Il est vrai que pour une bête, il est distingué, élégant. Notons enfin que l’homme-félin semble éternellement calme et mesuré. Ce n’est qu’une fessade. Enervez-le, excitez-le, et il vous montrera un tout autre visage. Chassez le naturel et il revient au galop !
Histoire : jusqu’à présent, il faut bien le reconnaitre, la vie de Belgrif n’a rien d’épique. Elle peut au contraire sembler ennuyeuse. L’union d’un père inconnu et d’une mère morte en couche lui fit voir le jour dans un minuscule village des terres sauvages. Il fut recueillit par une autre famille mais celle-ci comptait déjà bien trop d’enfants pour qu’il puisse bénéficier d’un véritable amour maternel. Cela eut l’avantage de le pousser très tôt à se débrouiller seul. Mais par la même occasion, il prit dès le début l’habitude de ne penser qu’à lui. Il grandit ainsi, un peu à la marge de son clan. Enfant espiègle, parfois même méchant, on ne l’aimait guère. Un jour, alors que Belgrif allait sur ses 13 ans, le village reçu un invité bien étrange : un voyageur venu de loin. Son visage était grave, mélancolique. Il se nommait Archeveld. Jadis il avait été grand guerrier. Il avait chassé la gloire et l’amour sans parvenir à vraiment les trouver. Déçus de l’existence, il désirait s’exiler loin du monde moderne, loin de ses regrets. Aux villageois, il demanda l’hospitalité et on la lui accorda. Au début, sans doute pensait-il ne faire en ce lieu qu’une halte de quelques jours mais quelque chose le poussa à rester. Cette chose, c’était Belgrif. Le jeune chat, irrésistiblement attiré par cet inconnu, n’hésita pas à lui poser nombre de questions. Loin d’être ennuyé, Archeveld s’efforça d’étancher la curiosité du garçon. Ce ne fut pas une mince affaire mais peu importait. Le voyageur trouva le Terranide attachant. Parler avec lui était agréable. Il oubliait le reste, il oubliait ses soucis. Entre les deux protagonistes une étrange relation se tissa. Pendant près de trois ans, Belgrif côtoya celui qui était devenu son ami pratiquement chaque jour, et même parfois quelques nuits. Parce qu’il le lui demanda, Archeveld lui apprit à lire, à écrire, même à philosopher. Il lui montra que la parole pouvait être une arme terrifiante. Il lui raconta ses aventures aux quatre coins de Terra. Il lui narra ses romances inachevées. Baigné dans tant d’histoires poussa Belgri à vouloir à son tour voyager, voir le monde, goûter aux joies de la vie. Progressivement, le village lui paraissait de plus en plus petit, de plus en plus ennuyeux. Il se mit même à mépriser son clan et ses anciennes croyances qu’il jugeait désormais primitifs. Une nuit, il venait d’avoir 16 ans, il s’enfuit. Il ne dit rien à personne, pas même à Acheveld. Il s’en alla sans se retourner, sans regret. Abandonner un ami était le prix à payer pour ses rêves.
Cette histoire n’est qu’un prélude. Il est temps qu’elle débute réellement. Le voyage de Belgrif commence…
Situation de départ : le sexe fait partie des choses à découvrir. Belgrif ne le connait que par l’intermédiaire d’histoires parfois très romancées.
Autres :Belgrif, en sa qualité de félin, dispose d’une dextérité et d’une agilité à couper le souffle. Ses sens sont également plus développés que chez un être humain ordinaire.
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