L'oeuvre, car à ce rythme et avec autant de précautions, d'envie bien contenue et contrôlée du bout de chaque membre, comme un artiste dressant le menu et l'éventail de ses couleurs avant de réellement se mettre au travail, Khaléo prenait grrrrand plaisir à préparer le terrain, comme il se doit, hmrr, comme il faut, Tes seins tendus à l'extrême vers l'avant, toujours bien pressurisés, une formidable tension les parcourant, se voyaient progressivement du bout de leur téton, suinter un liquide qui, n'était bien évidemment pas du lait, provenant des papules, petites lésions gonflant la peau de ses tétons, constituant la plus élémentaire et moins grave des lésions cutannées qui existe, la surface donc de ces derniers étaient rougeoyants, à vif, et suintaient quelques fines gouttes d'eau qui ne sont là en général qu'une réaction du corps à cette chair irritée, gouttes qui glissent lentement le long de tes seins encore malmenés par cette queue féline, serrant parfois bien fort la base de tes seins au point où celà te donnait l'impression qu'ils allaient "enfin" se dégonfler pour t'apporter une certaine délivrance ♥ Mais bien sûr, cela n'arrivera pas, oh non ♥ Il se plait à jouer avec eux du bout de sa queue, les secouant lentement pour qu'ils ballotent en cercles, ballotements facilités par cette nouvelle position qui, te laissa choir à quatre pattes au sol, il s'en délecte, te voir chanceler, ta volonté rongée par sa bouche, grignotée, presqu'aspirée par ses lèvres depuis les formes magnifiques, musclées, drôlement bien faites de ton cul a tel point qu'il en rafole...
« … Encore… Encore… hummm… »
Les flots volcaniques de ta cyprine en fusion ne mentent pas, pas plus que cette voix délivre enfin tes véritables premières envies, La "bête" vicieuse qu'il est en cet instant s'extasie, exulte, de sentir la volonté d'une telle guerrière se briser sous... sous la lèche, le mordillement pervers, bien bestial et salace de sa rosette autrefois plisée et ferme, étroite, rendue plus large, écartée, par les assauts graveleux d' un grand vilain tigre qui le grignottes allégrement désormais, graveleux comme cette langue, cette... foutue... Hmrrr longue ... et épaisse langue... Langue rabelaisienne qui n'a cependant besoin d'aucun mot pour l'être, sa texture parle pour elle, râpant tes parois internes autant que les humidifiant et, les lissant, dépendant de la direction qu'elle entreprend, ses muqueuses ne sont rugueuses et râpeuse que dans un sens, ce qui donne, la texture d'une langue lisse et humide lorsqu'il l'introduit, ou qu'il la fait "avancer", tandis que lorsqu'elle recule, elle montres toute la foutredieu bonne ruguosité dont elle est capable quand, d'une taille milimètriques voir pratiquement micronienne, ses muqueuses pointues se redressent dans le sens inverse, et uniquement lorsqu'elle recules, ce qu'elle ne manquera pas de faire évidemment tout le long des mouvements de cette angue, et dépendant de son degré d'inclinaison bien entendu.
"-L'appétit vient en mangeant... Et appaRrremment, l'envie de se faire dévorrrer, vient aussi en se laissant déguster, pas vrai ma belle guerrière, ma petite... gaRrrce ? MRRrr... Te voilà bien... prise N'est ce pas ? Dis le moi, hmmrr, dis moi que tu aimes.. dis moi que tu adorres, dis moi ce que je te fais ♥ et... Surrrtout... à quel point tu aimes çaaah ♥" Ses gros doigts continuent de pétrir tes hanches, tes fesses, comme de la vulgaire pâte patissière qu'il malaxerait aisément de ses foutues grosses mains pleines de vigueur, il sait apparemment très bien ce qu'il fait en préparant ton corps à le "recevoir", il fera honneur à tes envies de "domination", l'ayant supplié d'être ton dominant, et obéissant en cet instant à des règles bien établies par la et sa nature, il te dominera de la façon la plus... "naturelle" qui soit, la plus primaire aussi, mais comme l'adage le laisse entendre, il n'y a que les choses les plus simples qui soient les plus efficace, et tu en fait l'expérience, tu en as la preuve en ce moment même, alors qu'un de ses gros doigt, peut facilement entrer, accompagner sa langue désormais dans ta cavité anale, il a glissé comme si de "rien" n'était, à force d'amadouer tes sphincters, de flirter et embrasser ton anneau comme s'il s'agissait d'un fruit bien mur et juteux, ce doigt est passé dans ta cyprine épaisse, qui cires et lustre tes jambes, pour s'enfoncer dans ton cul qui semble pousser un soupir d'exaltation à son introduction, ce fut si facile de l'y introduire ♥ Si facile, que Khaléo est certain qu'un deuxième peut le rejoindre, malgré leur belle grosse taille.
Il entre, lui aussi, ce deuxième doigt, le majeur, il relèves quelques instants la tête, séparant ses lèvres et sa langue de ton petit trou qui, se referme doucement, pourtour anal qui donne l'impression d'être, déçu de le sentir s'éloigner, il se passe quelques mèches de cheveux derrière les oreilles, pour mieux y voir et dégager sa vision, vision extrêmement belle de ton corps dont il ne rate pas une miette, d'un coté à l'autre donc, il prend le temps de repasser ses mèches derrière ses oreilles toufues, ainsi qu'il lisse ses capoules vers l'arrière de sa tête pour bien dégager complétement son visage, ses doigts reviennent, et c'est pour mieux ravir ton anus de ses gros doigts humides ce coup ci, plongeant le majeur en le pompant doucement à plusieurs reprises, suivi de son index, il lisse le contour de tes lèvres anales, effectuant des demis cercles du poignet, qui, font glisser ses doigts tel une boucle d'un grand huit sur le tour de ta rosette pour l'étendre encore, tester son élasticité, il ronronnes et, laisse s'échapper un grognement de plaisir mêlé a son désir, qui se fait ardent dans sa bure dressée, mais pas encore, non, pas encore il doit bieeen s'assurer que, ça rentrera sans trop causer de dégats, être sûr que ça glisse assez bien pour que tu apprécies, c'est pourquoi il trempes ses doigts dans ta cyprine, et recommences, il t'enfournes de ce fait plusieurs centilitres de ton propre nectar aux odeurs délicieuses pour lui, dans ton fondement, laissant doucement s'y introduire, un troisième doigt, qui fera comme les autres, glisser de son duvet huileux sur le contour sans cesse flatté, lustré, par ses doigts, tant et si bien que même ton petit anneau semble vouloir faire l'éloge de ses doigts en les caressant, les épousant et, moulant de ses "lèvres" de plus en plus suçoteuses, avides de ses traitements manuels.
Ses yeux remontent parfois le long de ta chute de rein jusqu'au centre de tes omoplates, et tes épaules, plissant toujours ce regard d'une prédation frissonnante sur ta crinière enflammée, c'est au tour d'un quatrième de ses putains d'énormes doigts, de pousser son passage dans un cul dont les fesses bien malmenées, pétries et, attendrie par un pilon , ou macarron énorme nommé "mains", a nouveau, un autre soupir d'aise semble être expulsé par le contour de ton trou bien rempli, à cause des petites pressions d'air pompées par ses appendices enfoncés en toi, ce ne sont en rien des flatulences qu'on ne s'y trompe pas, mais l'air s'engoufre parfois dépendant de la position de ses doigts ou de leur avancée, et, comme une ventouse ou un entonoir, il arrive que quelques "pofff" ou "pfff" se fassent entendre.
Par chance cette salle de bain renferme bien des petites choses utiles dans ses armoires, que sa main libre prends le temps de trifouiller pendant que l'autre, fait de même avec ton joli petit cul, de la vaseline... on ne pouvait, sans doute pas rêver mieux, le tenancier équipait réellement toutes ses chambres de cette manière ? Parfait... le pot n'avait jamais été ouvert, son emballage encore intact, il prit d'énormes noix du lubrifiant du bout de ses doigts, et se mit à nouveau à lustrer ta rosette, dont il constata le très lent refermement, signe, que son savoureux travail de sappe depuis dix minute sur tes muscles fessiers commençait à produire leurs effets, car oui ça faisait au moins bien dix minutes qu'il te besognait l'arrière train avec ses gros doigts, chatouillant tes chair internes désormais bien lissées et lubrifiée par une couche huileuse et épaisse de vaseline.
Il prendrait bien le temps d'aller revivifier la chair de tes tétons en les mordillant un peu, mais voilà, lui aussi trouves qu'il à assez... attendu malgré une grande patience et, milles et unes précautions pour te préparer à son "énormité", il te fait savoir qu'il est prêt, en embrassant à nouveau chacune de tes fesses du bout de ses lèvres, remontant ensuite dans ton dos, tu sens... son ombre, s'étendre au dessus de toi, une autre grosse noix de vaseline laissée sur la limite haute, à l'extérieur de ton anus, sera écrasée étendue, répandue le long de ta raie jusqu'au centre de ton dos, il s'étends, s'écrase même presque, contre ton dos, s'y laisse choir un peu, écrasant son gros paquet de chair palpitante entre ses abdominaux et, ta longue et délicieuse chute de reins, son gland titillant l'interstice central de la ligne de ton dos entre tes omoplates, ses grosses bourses duveteuses flattant tes fesses.
Un de ses doigts encore lustré, autant par la vaseline que ta propre cyprine, encore fumant de la chaleur de tes entrailles, viens caresser tes lèvres avant de s'introduire entre celles ci, bon sang, ces... ces foutus gros doigts, bien remplissants, il en introduit deux, et c'est avec ta langue qu'il joue entre ces derniers, il la caresse, la cajole, tout en allant mordiller ton oreille, grappellant ses pointes de chair, de toute la longueur de son chibre contre ton anus, et bon dieu, quelle longueur, mais également, quelle... horreur, une poutre de chair aux allures presque maléfiques, démoniaque, tendue, si tendue et prête, étirée de toute part par ses pointes de chair dressées, tendues, ayant attendu si longtemps en érection qu'ele à finit par prendre des tons bruns rouges et même violets à la surface des veines par trop plein de pression sanguine, il y a tellement de sang là dedans qu'il est difficille d'imaginer qu'il lui en reste dans le cerveau, ha ha, d'ailleurs c'est peut être une des raisons pour lesquelles il est si bestial quand sa "chose" est dressée.
"-Encooorrre ♥ Eeeeencooorrrre ♥ hummrrrr ♥" - il ricane un peu, il vient d'imiter ta voix, et ta réplique de tout à l'heure, reprenant bien vite son monologue sur un ton suave , lubrique - "- Tu vois... Ce n'était pas bien compliqué, finalement... Le voilà.. Le voilà enfin ton vrai visage, ma salée, ma sauvage... Tu aimes ça, n'est ce pas... qu'un beau gros salaud de monstre te dévores... qu'une bête puissante aux membres énormes te ravisse de la plus vicieuse façon qui soit... Il suffit de te laisser aller, hmmrr ? " Il sait que tu en veux encore, il t'empêches de t'exprimer avec ces gros doigts pompant dans ta bouche, lustrant le contour de tes lèvres, pinçant parfois ta langue, qu'il gratte aussi du bout de ses griffes, la bure se présente, de son monumental gland bien rond, gros comme trois poings "humains" fermés, comme son propre poing en somme tiens, ou de la taille d'une petite pastèque ayant poussé en tout début de saison lorsque la pluie n'est pas encore au rendez vous, quand bien même, il pousse, le bout du gland rentres, glisse, coulisse avec une facilité déconcertante, néanmoins, jusqu'a la partie la plus... "redoutable", ce col de gland épais et tubeleux qui, pourrait bien être la partie la plus large, avec celle, qui se trouve au centre ventru aux allures de "baleine" de son monstre, qui comporte les raisins les plus épais et tendus de son arsenal sexuel, il pousse, il laisse s'échapper un roulement rauque du fond de sa gorge, long, continu, suave au creux de tes oreilles, qu'il happe et lèche, enfonçant ses doigts un peu plus loin dans ta bouche, comme s'il cherchait à faire diversion sur la petite douleur que tu risquerais de ressentir quand...
...Il contracte ses fesses et, pousse bien plus fort, ton anneau s'étends, tes fesses s'écartent, ta "viande", ta chair, tes muscles, se voient poussés sur tes hanches qui, semblent s'élargir, gémir, pousser des grincements cartilagineux sous la pression épouvantable qui s'exerce à l'entrée de ton postérieur, mais soudainement... un -Plop- met rapidement fin à un calvaire qui aurait pu durer longtemps encore, c'est... c'est...
"-C'est passé... Ma belle, belle... magnifique, puissante petite salope ♥ je vais te farcir de long en large et de fond en comble comme tu le mérites ♥ Restes en assurée... C'est passé... et drôlement bien passé... Oh, et... j'ajouterai.. de ne pas te "fâcher" pas si je prononces quelques mots crus... celà fait partie uniquement du "jeu" n'est ce pas... Saches que je garde malgré ces écarts de politesse, et de langage, qui n'ont lieu que parce que je suis terriblement... excité, tout le respect que tu m'inspires depuis que nous nous sommes affrontés... Mais assez parlé veux tu, car... tu veux que je te domines, pas vrai ? Et je... haawrr ♥ je n'en peux plus, a vrai dire, je n'arrive plus non plus à contrôler mon envie, ma politesse, mes mots je... je vais te Bai-ser, te LAaaah-BouRrrer, te Rrrraah - moner te Sssill-onner, te Rrrrâper le corps comme la dernière des putains de lionne en chaleur..."
Et à cette promesse faite à haute voix, il s'enfonce, et s'enfonce hnnnrrr ♥ Tu sens la promesse de ce beau salaud se mettre en route, de par la texture râpeuse de la peau de cette foutue lance, rhaâââ qui te prarait maintenant presque trop épaisse, trop longue, trop, tout simplement trop pour ton corps ♥ mais non, car si elle reste assurément impressionnante, elle est aussi très tendre de sa chair extérieure tandis, que le coeur est, lui bien ferme, ce qui lui permet d'être aussi, en partie "comprimée" par ton anus bien grand ouvert, créant un compromis entre sa taille et l'ouverture maximum de ton arrière train, néanmoins, ça reste d'une proportion épouvantable, et tu sens également, après le bord de ce col graveleux, qui rippe ta chair en progressant dans ton fondement, une... rangée... de ces petites salopes de "langues", d'excroissances de chair en rajoutant encore, encore ?! rhaaa... à son épaisseur, léchant tes parois, léchant et rebondissant sur ton anus avant, de goûter à tes muscles fessiers internes, par à coups, il pousse, chaque pointe de chair entrante donne lieu à un a coup, un rebond, mais tu es plus occupée à te sentir inexorablement écartelée et remplie, à sentir tes hanches massée par tes muscles internes, sentir ton ventre gonfler, tes chairs si tiraillées, que même s'il te pénètres le cul, par remplissage, as presque l'impression de ressentir une partie de ses pointes de chair caresser les zones internes de ton vagin à travers les parois anales.
Il serre les dents sur sa propre langue, halètes, avant qu'il n'ouvre grand la bouche, pour respirer bien à fond et profondément, sa longue langue pendante, quelques gouttes de sa salive y perle et, tombe sur ton dos, pousse entre deux roulements rauque, tel un gémissement:
"-Hmmrhaaanwrr... c'est booon ♥ "
Et ce n'est pas fini, la moitié est seulement entrée, encore... encore... "- Encorrre ♥ un petit... effort... oh je sais... que c'est bon, hmmm ♥ C'est bon n'est ce pas ? " Dit il, en frottant son visage doux, duveteux, sur ta nuque, ton cou, tes joues, pompant encore et toujours ses doigts dans ta bouche, tes lèvres obligées de les suivre, ou les suçotant peut être, les massant sensuellement pour, exprimer tout le bien que tu en penses, les léchant ou mordillant même, si l'envie t'en prends, à la base ils étaient là pour que tu mordes dans quelque chose si ça te faisait trop mal.
Il reste là, collé à ton dos, seule une danse exotique, lentement rythmée, fait tanguer ses hanches, tes hanches aussi sont obligées de suivre d'un léger retard, telle une chaloupe portée par un fleuve nommée verge, plantée si profondément dans ton corps, sa main libre vient caresser tes seins, bien amoureusement, les comprime, pince tes tétons encore une fois, rhâââ, ce salaud prendrait il encore son temps ? Non, car de demi cercles, en demi cercles effectués par ses hanches, le reste de la pénétration se fait par "forage" de son engin dans tes tréfonds, qui s'entrouvrent, gargouillent de milles et un plaisirs, soumis à la caresse de ses pointes de chair disposées en corolles spiraliennes de la base à la pointe qui, lorsqu'il s'en sert comme ça, en tournant les hanches, de façon savante, fait presqu'office de grosse foreuse charnelle, pour y ajouter sa touche "personnelle" et, te rappeller à son bon souvenir, il ronronne, doucement cependant, te donnant un bref mais déjà intense aperçu, de quelques parcimonieuses et, faibles vibrations perdant leur écho dans tes entrailles, mais c'est effrayant, désormais tu en est certaine, il "peut" faire vibrer tout son engin, et il t'a semblé que même ses pointes de chair, étaient capables de vibrer indépendemment les unes des autres comme si elles étaient montées sur ressort, à cet instant tu mesures à quel point ses paroles, ses promesses étaient non seulement on ne peut plus précises, claires, concises et précises, mais qu'elles constituaient l'unique vérité, quand il te fit la promesse de te râper , sillonner et labourer le corps...