Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Parce qu'il faut bien que quelqu'un s'occupe de la sale besogne. [pv marine]

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Khaléo

Terranide

En moins de temps qu'il ne lui fallut pour y penser ils étaient déjà rentrés à l'auberge, à vrai dire, durant tout le trajet il avait tout de même été torturé par l'acte qu'ils avaient posé... Ils auraient pu l'éviter s'il n'avait pas cédé à ses stupides pulsions en pleine rue ! S'ils n'avaient pas trainé idiotement dans cette ruelle... C'était sa faute, bien évidemment il ne pouvait pas s'empêcher de culpabiliser maintenant, l'adrénaline du moment était passée, la descente était amère et mauvaise, même s'il n'avait pas eu le choix... non... c'est faux... on a toujours le choix putain... C'était mal... Ce qu'ils avaient fait était mal, rhaaa meeerde il l'avait fait pour protéger Marine non ?

Il laissait trainer ses yeux nonchalament sur chacune des marches qui défilaient devant son regard, prêtant à moitié attention à ce que pouvait bien dire Marine tandis qu'il était muré dans une tentative d'évacuation de sa culpabilité :

« Je pense qu’une bonne douche et un changement de vêtements sont plus que nécessaires. Il faudra ressortir ce soir mais on a trois ou quatre heures avant cela. Repose-toi un peu d’ici là ! »

Et elle disparut, comme ça, derrière la porte de sa chambre... Comme si de rien n'était... Comme s'il ne s'était rien passé... Bah... après tout... peut être était ce mieux comme ça... prétendre qu'il ne s'était rien passé... inutile de se charger la conscience pour rien, ça faisait partie de son travail après tout, les risques du métier.

Il rejoignit donc sa chambre, tout le long du trajet une douleur qui commençait à devenir peinible aujourd'hui s'était rappellée à son bon souvenir, une paire de truc dont on taira le nom entre les jambes qui, à force de se faire allumer et refroidir par sa "patronne" devenait un véritable calvaire à lui tout seul, alternant une marche de pingouin à celle d'un canard et d'un poulet afin d'éviter de "trop" se compresser ces machins entre les cuisses ou contre le cuir de son pantalon sur lequel il "tirait" parfois avec une main pour donner de l'espace vital à ses baloches, pour ceux qui ont déjà été victime de ce genre de truc savent... déjà à quel point ça peut être douloureux... quelques minutes... Mais quand ça durait quelques heures voir une journée complète, ce n'était même plus du domaine de l'éloge du sadisme mais d'une souffrance lancinante purement et simplement inutile ! Juste ecoureante et capable de vous traumatiser même de toute approche ou excitation sexuelle pendant des semaines !

Tout compte fait, et vu comme ça, ils avaient bien mérité de crever pour l'avoir interrompu au beau millieu des préliminaires, il était drôlement soulagé d'être revenu à l'hotel aussi, se débarrassant rapidement de ses affaires, ses différentes pièces d'armure, ses habits qu'il éparpilla comme le petit poucet au sol jusqu'à la salle de bain, il s'y rinça la figure, les traits de son visage à l'eau claire au dessus de l'évier, relevant ses yeux au niveau du mirroir...

...il s'y observa un moment... et commença à décompter... "10"... pour l'instant... ça pouvait... aller... "9"... Hmmm... pourquoi n'aimait il pas ce regard... "8"... ses yeux n'arrivent pas à rester fixe... quelque chose commençe à l'irriter... "7"... il dévie... fuit son propre regard... "6"... ses sourcils flanchent... "5"... Les muscles de sa mâchoire roulent et se strient aux coins de ses joues... "4"...Son poing part dans le mirroir, et le fêle en plusieurs éclats, la partie droite reste plus ou moins intacte... la partie gauche quand à elle est fracturée comme une toile d'araignée et semble déchirer son visage pour en faire un puzzle.

Ca ne date pas d'aujourd'hui... Il n'est jamais arrivé à supporter son propre reflet plus de dix secondes, et il y a bien trop de raisons à celà pour commencer à les énumérer les unes après les autres, après celà, il fallait qu'il s'occupe de son "mal", et comme Marine semblait vouloir oublier "tout" ce qui s'était passé, il se disait qu'il ne fallait sûrement pas compter sur une autre chance ce soir voir, peut être même plus aucune après une soirée comme celle là.

C'est bien obligé et à la "main" donc, qu'il se soulagea, et non je ne suis pas intéressé, ni assez stupide pour vous détailler la manière dont un type se masturbe ça ira très bien comme ça, merci, on dira juste que le "mal" est parti quelques minutes plus tard comme par "enchantement" et ce fut un grand soulagement puisqu'il put, "enfin" s'assoir sans avoir l'impression qu'un millier d'aiguilles les lui perforait de concert avec un forgeron sadique tappant sur son enclume au centre de chacune d'entre elles.

Il nota ses heures prestées sur un papier, pour pas les oublier, ses frais... enfin il barra quand même le repas pris avec Marine c'était lui qui s'était proposé pour l'offrir et ça ferait drôlement radin sur le coup, puis il se fit couler un bon bain... Aaah oui il en avait envie... Un bon bain chaud... On peut pas dire qu'il y avait droit souvent dans sa forêt, pas qu'il ne se lavait pas, je vous arrête tout d'suite, m'sieur est propre quand même, un bain bien glacial dans la rivière le matin et le soir, même si en été l'eau était un peu plus chaude, mais fallait quand même avouer que ce n'était pas toujours aussi bien qu'un vrai bain chaud, et ça sortait tout droit comme par "magie" du robinet...

...Il en était dégouté à chaque fois qu'il s'en rendait compte... de l'eau chaude ! comme ça ! en claquant dans les doigts... Saletée de technologie, au siècle dernier il fallait encore chauffer l'eau dans des boullioires ou des marmittes pour espérer remplir une baignoire en bois.

C'est à peine lorsque l'un de ses orteils dont la griffe rétractée toucha la surface de l'eau en mauvais équilibre au dessus de la baignoire en se tenant sur les bords, très concentré sur ce qu'il faisait, qu'un "toc" provenant de la porte le fit basculer soudainement dans celle ci, surpris, il glissa donc dedans et plus d'un tiers de la flotte qui se trouvait dans cette dernière bascula en dehors, inondant le sol de la salle de bain, le tableau fut complet en se cognant douloureusement l'articulation du genoux contre le rebord un peu "coupant" du robinet... Argh... ça ne faisait pas tellement mal... mais ça provoquait des myriades de très "mauvais" frissons de dégout et d'effroi, il frappa sur le robinet avec son poing, et se fit à nouveau mal, le pot de terre contre le pot de fer... - bah ouep, c'est la faute au robinet, hein, c'est bien connu -

Il sortit rapidement de la baignoire en ayant peur de poser son pied par terre, on voyait la couleur blanche de la rotule derrière la coupure, y avait qu'à lui que ce genre de connerie de merde arrivait, il enroula rapidement quelques bandages autour de son genoux avant d'enfiler à nouveau son pantalon, sautillant à cloche pattes jusqu'à la porte, il ouvrit rapidement la porte, énervé, tant qu'il se la mit une fois dans la tronche en l'ouvrant, avant d'y parvenir, c'est bien connu également qu'on ne fait rien de bon quand on est énervé.

"-Bordel de merde, crêvind'jeu de saint millard de nomdidju d'..."

Il referma la porte aussitôt... Plaquant son dos dessus, puis se posa une main sur la bouche, prit une grande inspiration, puis rouvrit la porte doucement... laissant passer un de ses yeux par l'ouverture, puis le deuxième, se raclant la gorge, n'ouvrant pas plus la porte.

"-Ahem ! C'est pour ? Je croyais qu'on ne partait que dans quatre heures et que j'avais tout mon temps pour... je ne sais pas... par exemple... prendre un bain sans risquer de mettre ma vie en danger pour quelques... minutes ? Est ce que c'est possible ?"

Marine

E.S.P.er

Marine s’apprêtait à s’en aller quand elle entendit les pas du tigre qui se rapprochait. Elle ne pouvait décemment pas s’éclipser alors qu’il arrivait. Elle attendit donc que la porte s’ouvre. Et quelle ouverture, cela fut violent et la stupéfia. Le pauvre Khaléo la prit en pleine face et avant qu’elle ait pu dire quoi que se soit, il referma la porte sur un juron.

« Bordel de merde, crêvind'jeu de saint millard de nomdidju d'... »

Devant la porte, de nouveau fermée, la jeune femme se dit qu’elle aurait mieux fait de ne pas venir. Elle ne savait pas trop à quoi s’attendre comme accueil mais certainement pas à ça. Au bout de quelques secondes, la porte fut réouverte devant un mercenaire passablement énervé, blessé, et mouillé. Elle en déduisit qu’il avait du prendre une douche comme elle. Cela paraissait logique vu le sang qui les avait recouvert lors de leur mésaventure.

« Ahem ! C'est pour ? Je croyais qu'on ne partait que dans quatre heures et que j'avais tout mon temps pour... je ne sais pas... par exemple... prendre un bain sans risquer de mettre ma vie en danger pour quelques... minutes ? Est ce que c'est possible ? »

La jeune femme devint aussi rouge que ses cheveux. Elle avait joué les impulsives et elle s’en mordait les doigts. De quel droit venait-elle le déranger ? Effectivement, elle lui avait elle-même dit qu’il pouvait se détendre et se laver avant de repartir glaner des informations dans la ville. Elle hésitait donc sur la conduite à tenir.

La raison lui commandait de partir et son envie de compagnie la forçait à rester. Elle se frotta un de ses pieds nus contre l’autre comme une enfant hésitante. Elle vit la porte et se dit qu’il avait du se faire mal aussi, sans lui demander son autorisation, elle entra dans la chambre en le poussant presque.


« Vous avez dû vous blesser. Je vais vous soigner ! »

Elle se rendit dans la salle de bain et remarqua l’eau dans la baignoire et surtout celle qui inondait le sol. Elle avait du l’interrompre alors qu’il était en train de prendre un bain. Marine attrapa une serviette sèche sur le côté et ouvrit le robinet d’eau froide du lavabo. Toujours entourée de sa propre serviette de bain qui commençait à se faire la mal, elle passa une partie de la serviette sous l’eau glacée. Dans le même temps, d’une main, elle essayait de retenir sa propre serviette. Une fois le tissu spongieux bien imbibé, elle s’apprêtait à revenir dans la chambre quand son pied glissa sur la flaque et la fit basculer lourdement en arrière. Marine tomba les fesses et toute sa personne dans la baignoire. Elle chue dans la largeur de la baignoire soit une position au combien inconfortable et douloureuse surtout.

« Ahhhhhhhhhhhhh… »

Son dos avait pris tout le choc et même si elle n’était pas forcément lourde, sa colonne vertébrale avait reçu tout son poids. Sa serviette avait fichu le camp, elle se retrouvait nue, mais c’était bien le dernier de ses soucis vu qu’elle avait vraiment mal au dos. Malgré tout, en remuant précautionneusement, elle constata qu’elle n’avait rien de cassé ou d’endommagé. C’était juste une douleur atroce due à sa chute et à la rencontre brutale de son dos avec la céramique de la baignoire.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Khaléo

Terranide

Ce n'est que lorsque Marine pénétra dans sa chambre en le repoussant en arrière, lui et la porte, qu'il remarqua enfin la petite... tenue dans laquelle ses... - se mordant la lèvre inférieure - ...belles courbes d'amazone se trémoussaient... Il s'était retrouvé par terre, le séant sur le sol, n'ayant pas d'appui assuré sur le pied qu'il n'osait pas reposer au sol de peur d'abimer un peu plus son genoux en tendant sa jambe, il aurait du lui dire de sortir immédiatement de sa chambre, ses mésaventures avec la "technologie" humaine l'avaient mis de mauvais "poil" sans jeu de mot...

« Vous avez dû vous blesser. Je vais vous soigner ! »

...Mais depuis sa position assise, lorsque Marine fut pratiquement obligée de l'enjamber pour se rendre dans la salle de bain, il eut droit à une vue contre plongeante des plus... intriguantes... Mystérieuses... Sur les ombres dansantes du haut de ses cuisses, sur les rondeurs divines de son fessier ferme, devinées par jeu  d'ombres léchant la surface de son entrejambe encore trop... imprécise... pour être distinguée... Et à vrai dire... ces fines ténèbres produites par l'essui qui enroulaient son corps, laissant à peine deviner les courbes les plus sensuelles de sa personne avaient quelque chose qui laissaient... vagabonder bien plus son imagination qu'un corps brutalement dévoilé de son nu brut... Rhââ... excitant.

Quoi ?! Excitant ? A nouveau ? Allait elle à nouveau l'y prendre à se laisser "avoir" une fois de plus ? Oh il ne savait pas s'il devait en être écoeuré, dégouté même, à présent, il avait subi plus de frustrations sur ces deux derniers jours que ces trois derniers siècles réunis, s'il ne s'était pas peté la jambe il l'aurait probablement remballée dans le couloir illico presto plutôt que d'être à nouveau "tenté"... "Allumeuse"... ce mot commençait à faire son chemin dans son crâne, même si elle n'avait pas l'air de le faire exprès et que ça partait probablement d'une énième bonne intention à son encontre, tant et si bien que de la voir se pencher dans sa serviette de bain qui... semblait rétrécir à vue d'oeil... Commençait à introduire dans son crâne de farouches et inavouables envies, qui était en partie insuflées à son esprit par sa "bête" qui, n'en pouvait elle aussi apparement "plus" de se faire titiller par cette créature.

Tant et si bien que dans l'une des inombrables images que celle-ci portait à son imagination, il se voyait se lever, peu importe la douleur et la gravité de la blessure de sa jambe, et l'embrocher par derrière en rugissant, l'empaler de tout son vit contre le mur en déchirant sa serviette avec ses griffes, et la faire hurler toute la nuit en laissant son visage glisser contre le carrelage du mur de la salle de bain maintenu par ses grandes et puissantes paluches fermées sur sa nuque, s'amuser à l'étrangler en serrant et désserant sa poigne... la culbuter sauvagement et sans aucune forme de délicatesse, et insister... encore et encore... Il pourrait sentir sa chair bourrée et comprimée par son chibre sur ses hanches, même lorsqu'elle serait révulsée, emplie de spasmes, puis inconsciente, la pistonnant rageusement pour qu'elle se réveille quelques heures plus tard avec un corps extrêmement douloureux, en feu.

Bon, il était raisonnable de penser qu'avec de telles idées, il était peut être temps de prendre sa dose médicamenteuse journalière là, non ? Parce que ce genre de pensées était toujours l'indice que sa "bête" ne rôdait pas très loin dans son plafonnier, donc il se mit à ramper vers ses affaires étendue par terre en fouillant ses petites pochettes en cuir il trouva ses flacons, autant dire que dans l'état de frustration de sa "bête" qui se mélangeait à ses pensées il était tout de même nerveux et que son putain de dosage fut fait, mais au pif et avec ses mains tremblantes, et si le dosage n'était pas parfait, en général ça mélangeait une partie de sa conscience avec celle de la créature infernale qui demeurrait dans les limbes de son esprit, mais il vallait mieux "ça" que de la violer sur place quand même, non ? Enfin pour lui et sa foutue concience humaine, c'était la meilleure solution.

Alors qu'il faisait preuve d'extrême précaution pour avaler son "mélange" un cri provenant de la salle de bain le fit sursauter, dispersant un tiers de sa dose sur le plancher, magnifique... Il avala quand même le reste, se doutant que le résultat d'une telle bévue serait "folklorique" ou désastreux.

« Ahhhhhhhhhhhhh… »

Il se releva, un peu comme dans sa vision précédente, la jambe par terre et faisant fi de la douleur, ses cheveux légèrement en pétard et l'oeil nerveux, craquant les os de son cou en crispant les muscles de sa mâchoire qui roulaient et se striaient aux coins de ses joues, ses doigts s'amusant à se crisper et se relâcher en jeu d'escaliers irréguliers du pouce jusqu'au petit doigt, signes apparents d'une vive lutte interne.

Lorsqu'il entra dans la salle de bain, son regard était droit, fixé devant lui, s'obligeant à ne pas poser le regard sur Marine, d'un calme très "joué" et surfait, qui n'était probablement que le "calme" avant la tempête, quoi qu'il en soit malgré ce calme forcé il était en proie à de sérieux conflits internes avec sa saloperie de"bête", se passant discrètement la langue parfois sur ses propres lèvres, et papillonnant nerveusement des paupières avant de tendre une main tremblante de nervosité vers Marine, toujours sans la regarder.

Entre ses dents bien serrées, avec un excès de politesse qui se voulait être une parade à son état actuel :

"-Je ne saurai que trop VIVEMENT... Vous "conseiller" de prendre cette main, de vous lever... et de QUITTER cette chambre le plus prestement possible, avant que... la douleur que vous ressentiez après cette chute ne vous paraisse être qu'un bien doux prélude à ce qu'il pourrait bien vous arriver dans les prochaines minutes... Et je puis vous promettre que ça n'a malheureusement rien d'une plaisanterie."

Marine

E.S.P.er

Marine tenta de se redresser un peu mais finit par se laisser retomber dans la baignoire. Elle soupira. Décidément ce n’était pas sa journée ! Elle s’appuya de nouveau avec ses mains et ses bras sur le rebord de la baignoire quand soudain la porte s’ouvrit avec fracas et que Khaléo débarqua dans la salle de bain. Elle retomba alors une deuxième fois dans l’eau.

La jeune femme s’apprêtait à lui dire d’aller voir ailleurs vu sa tenue, ou plutôt son absence de tenue, mais l’attitude du tigre la stoppa net. Il semblait « bizarre ». Il ne la regardait pas mais son attitude était très polie, trop polie. C’était inhabituel chez lui. La rouquine s’attendait plutôt à le voir râler et jurer que de le voir si… cérémonieux. Il lui tendit alors la main.


« Je ne saurai que trop VIVEMENT... Vous "conseiller" de prendre cette main, de vous lever... et de QUITTER cette chambre le plus prestement possible, avant que... la douleur que vous ressentiez après cette chute ne vous paraisse être qu'un bien doux prélude à ce qu'il pourrait bien vous arriver dans les prochaines minutes... Et je puis vous promettre que ça n'a malheureusement rien d'une plaisanterie »

La main tendue tremblait tout comme ses paupières qui semblaient soudain agitées d’un tic. Marine n’osa pas répliquer et attrapa simplement la main qui la tira énergiquement de la baignoire. Elle se retrouva en quelques secondes sur ses pieds à moins d’un mètre du mercenaire et toujours nue. Il ne semblait pas disposer à la regarder et continuait de fixer le mur en face.

La guerrière avait un peu de mal à comprendre ce qu’il voulait dire exactement. Elle le sentait différent, plus animal, plus fauve, plus… attirant encore. Elle s’en rendit compte brutalement. Cela lui fit l’effet d’une vraie bombe dans son crâne. Le corps du tigre l’attirait aussi dangereusement, non beaucoup plus dangereusement, que dans la ruelle. Son souffle s’accéléra alors qu’elle était tout près de lui. Ses seins se tendirent et la chaleur s’insinuait dans son bas-ventre.

Sa main n’avait pas quitté celle de Khaléo. Elles s’étaient empoignées pour aider Marine à s’extirper de l’eau maintenant froide mais ne s’étaient pas séparées pour autant. La main de la jeune femme commença à doucement caresser celle de l’homme-tigre. Elle fit un pas en avant et se plaça devant lui. Elle réagissait instinctivement, suivant son envie et se moquant bien des conséquences en cet instant. La rousse n’avait pas envie de se retrouver seule. Elle avait envie de cet homme, envie d’amour même si c’était brutal, même si c’était juste pour quelques heures. Là, à cette seconde, elle en avait besoin… elle avait besoin de lui.

La main commença à remonter le poignet puis le bras extrêmement musclé pour arriver ensuite à l’épaule et au cou. Son corps de femme dégoulinant d’eau se plaqua contre celui du guerrier et sa bouche partit chercher celle de Khaléo comme elle l’avait déjà fait dans la ruelle. Sauf que là, personne ne viendrait les interrompre. Du moins, elle l’espérait.


Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Khaléo

Terranide

Une vielle salle de bain miteuse... humide... d'une auberge bon marché... Dans une ville dégueulasse... les bas fonds du nexus où les pires rebus de l'humanité ou même de la non-humanité se voyaient parfois contraint de se réfugier... Etait-ce vraiment "ici" que ça devait avoir lieu ? Quelle était l'image que cette guerrière avait de lui ? Sans un mot... sans même un je t'aime... Alors... Qu'est ce que c'était... Ce n'était pas de l'amour dans ce cas... Etait ce juste de la "rage" sexuelle, et devait il y céder ?

Ses poings se fermèrent puis se rouvrirent, avant de laisser ses doigts se tendre et craquer de chaque articulation de leurs phalanges de la pression qu'il mettait dans leurs mouvements irréguliers... - CLAC -  - Klok - ou même parfois un - K-RACKL - provenant d'une rotation du poignet... Autant d'avertissements qui se voulaient sérieux aux oreilles de cette splendide... plantureuse créature qui... ne les écoutaient apparemment pas.

Devait il profiter de... du contact humide de la peau... du ventre... des rebonds de ses hanches et de sa poitrine généreuse offerte à son corps, ses doigts tremblaient alors qu'il s'efforçait toujours à planter son regard loin... loin dans un horizon qui prenait désormais la couleur aigue marine des yeux de cette ennivrante créature... Ce serait si facile de céder... Trop facile d'autoriser sa "bête" de ne faire d'elle qu'une pauvre petite poupée de chiffon ballotée comme un fétus de paille au gré de ses envies plus sauvages et bestiales les unes que les autres... Sa conscience, sa raison luttait encore... Alors que Marine était en train de faire l'erreur de le caresser et de se coller, nue... entièrement nue et humide, contre lui.

-Plic-

-Ploc-

Quelques gouttes d'eau interrompirent le terrible silence, ruissellant sur le corps de cette délicieuse amazone, dont les courbes ne manquaient pas de muscle, depuis ses cheveux, depuis ses épaules... à les lignes de son dos... au rebonds musclés de ses hanches ou de ses fesses, perlant, lissant ses courbes jusqu'au plus bas de son ventre et de la chute de ses reins...

-Plic-

-Ploc-

Ses mains nerveuses, tremblantes, survolaient ses courbes sans les toucher mais il était possible qu'elle les sente, autant par le "magnétisme" frissonnant qu'elles laissaient après leur passage que le déplacement léger d'air qu'elles provoquaient en passant si près de son corps mouillé, lorsque sa bouche fut assaillie par les lèvres de Marine, il lui "mordit" les lèvres avec les siennes en lui plantant à son tour sa foutue longue langue au plus profond de sa gorge et avec aucune forme de ménagement, lui ralèchant et râpant toutes les parois, comme s'il cherchait à bien s'imprégner du goût de sa chair, langue... qui se voulait presque étouffante... Lui pénétrant la bouche en lui enroulant son appendice buccal de la sienne, ronronnant déjà à tue tête, comme un damné, attirant sa langue dans sa bouche pour qu'il la "mastiques" presque, autant de ses lèvres que de ses dents pointues...

...Mais...

...Mais un sursaut de raison et peut être aussi de respect de ce que représentait Marine à ses yeux réussit à prendre une dernière fois le dessus... Et la réaction qui suivit pourrait être interprétée de différentes manières mais... Il se décolla de ses lèvres et sa main partit, haute, tendue à coté de lui, pour l'abattre sur le visage de Marine, ce fut une gifle monumentale qui retentit de son écho dans la salle de bain, laissant sa trace sur sa joue droite, une trace bien rouge, lançant de sa petite douleur dans sa chair. Un regard aussi furieux que fiévreux, empli de colère que d'envie, perça les pupilles de Marine, la baffe fut si violente qu'elle la fit reculer d'un pas et pencher la tête vers la droite, mais avant même qu'elle n'ait probablement le temps de réfléchir à la gifle qu'elle venait de recevoir il partit sauvagement à l'assaut de sa bouche à nouveau, la plaquant au mur en lui saisissant les hanches, hanches pétries d'une drôle de force dans ses grandes paluches, happant ses lèvres avec une force et un désir étouffant à nouveau, ne lui laissant que très peu d'air alors qu'il mordillait ses lèvres avec ses dents.

Le Tigre, la bête en furie lui dévora la bouche d'un long et étouffant baiser qui laissait sa langue lui pénétrer la gorge, ses yeux se plissèrent à nouveau, mis clos, ses sourcils se fronçaient, à nouveau en proie à des doutes, il se décolla de ses lèvres à nouveau et ce fut une claque magistrale dans la joue gauche de Marine cette fois, à nouveau entrecoupée d'un baiser qui rattrapa sa bouche avant qu'elle ne parte trop loin dans le mouvement d'amorti de cette gifle, baiser sensuel et plus doux qui contrastait avec ces étranges "sautes" d'humeur, nuançant de désir ces touches punitives, il la saisit par les cheveux et plaqua sa bouche bien à fond sur la sienne, la gavant de sa langue et de sa salive produite de façon abondante par le désir qui montait en lui, là s'exprimait toute la frustration, l'envie, le désir, l'amour qu'elle avait provoqué en lui, mais aussi la haine... pourquoi ?

Parce qu'il aurait probablement préféré que ça se passe autrement... Parce qu'elle ne méritait pas que leur première fois ensemble se passe dans une gargotte aussi minable et dégoutante que cette auberge... Parce qu'elle ne méritait pas que sa "bête" en profites et la touche en même temps que lui... Alors, il s'en voulait autant qu'il lui en voulait à elle... Qu'est ce qu'elle lui trouvait, sérieusement ? Pourquoi était elle attirée par une erreur de la nature dans son genre ? Il ne savait plus s'il devait la désirer, l'admirer, en être dégouté, la punir pour qu'elle cesse d'avoir envie de lui... La punir... C'était une idée qui laissait toujours sa "bête" infernale sourire dans son esprit, elle en avait, elle, des façons bien savoureuses de la punir...

...Au diable cette saloperie de créature qui lui étirait, lui modelait, sculptait, modifiait donc ses humeurs et ses pensées comme un crétin de gosse s'amuserait avec de la plasticine, sauf que la plasticine en question était son cerveau, ses pulsions, ses vices.

Ses pectoraux bien lisses et bombés écrasèrent la belle et ronde poitrine de Marine pour la comprimer si fort qu'il lui était rendu difficille d'étendre l'envergure de sa cage thoracique pour respirer, très vite sa verge barbelée de gros raisins de chair pointus prit de généreuses proportions qui pourraient être qualifiées de "grotesques" dans son pantalon, sa troisième cuisse venait de "pousser" dans sa jambe droite et frottait déjà durement contre la naissance du sexe, de la toison flamboyante de son entrejambe, ses mains s'occupaient déjà de lui pétrir, de lui malaxer chacune des hémisphères de ses fesses, les lui écarter, avant de les faire s'entrecaresser mollement entre elles, y enfonçant légèrement ses griffes en poussant bien fort contre elles, assez pour qu'elle soit plaquée durement du bas de son corps contre le sien et soit donc obligée de suivre les ondulations, les caresses de son corps contre le sien.

Il lui lança un regard malicieux et pervers, alors que la "bête" se rappella d'un détail, de l'expression de son visage lorsqu'il annonça aux gardes qu'elle préférait ça d'une "certaine" façon, il s'en ralècha doucement les lèvres et détailla chacune des pointes de ses dents avant de s'exprimer :

"-Hmmmmrr ♥... c'est... dommage pour toi... que tu n'ai pas pris mon avertissement au sérieux... je vais donc devoir... te prouver que je ne plaisantes pas... J'ai presque envie de te punir... Si tu savais à quel point c'est difficille de me... de me retenir... Alors ne me rends pas les choses plus difficilles... Retournes toi, appuyes toi contre le mur... cambre bien ton corps et écartes les jambes ou je t'obliges à le faire..."

Non... ce n'était pas comme "ça" que Khaléo aurait aimé que ça se fasse... Il aurait sans doute préféré quelque chose de plus doux... de plus tendre... Mais sa "bête" menait en partie le bal, et celà s'entendait à sa voix, drôlement plus vicieuse, dure et impérative.










Marine

E.S.P.er

La jeune femme sentait ses courbes caresser doucement les muscles puissants du tigre. Elle avait, elle-même, du mal à comprendre son comportement. En temps ordinaires, elle n’aurait jamais agi ainsi mais là, c’était différent, atypique, inattendue. Elle frissonna en entendant les jointures de son compagnon craquer. Le frisson lui parcourut l’échine et lui tira comme un léger soupir d’excitation. Un soupir qui alla mourir contre les lèvres de son partenaire. Devenait-elle folle ? Ne sentait-elle donc pas le danger alors qu’elle y était coutumière ? Si, elle le sentait ou, du moins, elle le pressentait. Mais la rouquine n’arrivait pas à y résister. Le danger était enivrant, attirant, excitant. Sa peau frissonnait et ce n’était pas uniquement dû aux gouttes d’eau qui coulaient sur son corps. Elle avait la chair de poule.

Alors que ses lèvres se pressaient contre celles de Khaléo, tout son corps s’enthousiasmait de ce qui allait suivre. Les muscles de son ventre se tendaient alors que ses reins commençaient à la brûler. Son sexe lui aussi s’excitait et s’humidifiait à chaque instant qui passait. Elle le voulait et se moquait bien de ce qui allait se produire.

Le lieu manquait bien de romantisme mais cela lui importait peu. L’endroit était sans importance pour elle, tout ce qui comptait c’était les personnes qui s’y trouvaient et ce qu’elles voulaient. Et ils se voulaient, tous les deux ! Marine ne savait pas si c’était de l’amour mais elle savait que c’était bien plus que de la simple attirance physique ou une banale envie de sexe. D’ailleurs le sexe pour le sexe était assez loin d’elle. Le sentiment, quel qu’il soit, était présent durant l’échange.

Soudain, les lèvres de Khaléo entrèrent dans la danse et commencèrent à répondre à celles de la rouquine. Un accord parfait, puissant et profond. Elle sentait la chaleur que  dégageait les mains du tigre sur son corps. Cette douce chaleur était bien plus excitante que s’il avait directement posé ses mains sur elle. Les frissons ne faisaient que s’amplifier dans son corps et montaient crescendo. Les bouches s’unissaient dans un balai qui devenait de plus en plus sauvage et presque violent. La langue de l’homme pénétra sa bouche allant goûter chaque centimètre carré de sa bouche qu’elle lui offrait. La guerrière aussi se faisait une joie d’aller chercher le goût de son compagnon. Un goût « félin », animal, se dégageait de lui et ne faisait que l’enivrer davantage.

Ses mains passèrent autour du cou du tigre et rapprochèrent encore plus son visage du sien dans la mesure où c’était encore possible. Khaléo fouillait sa bouche de fond en comble et la mordillait. Le pire c’était qu’elle aimait ça. Elle s’accrocha de plus belle à lui comprimant son corps musclé mais aux magnifiques formes contre celui de son partenaire. La passion était au rendez-vous et ce qui suivit était totalement imprévisible pour la jeune femme.

L’homme se détacha d’elle et alors qu’elle fronçait les sourcils avec des yeux interrogateurs, elle reçu une gifle magistrale qui envoya sa tête valser sur le côté. Un instant, elle eut l’impression que son œil allait exploser tellement le coup avait été puissant. Elle recula d’un pas et passa sa main là où Khaléo l’avait frappé. Mais qu’est-ce qu’il lui avait pris de faire ça ? La belle n’y comprenait rien. Une seconde, ils s’embrassaient, la seconde suivante, il la frappait. Pourquoi un tel revirement ?

Avant qu’elle n’ait eu le temps de poser la moindre question, il la plaquait contre le mur et s’emparait de nouveau de sa bouche, l’agressant férocement alors que ses mains puissantes allaient s’occuper de ses hanches. La guerrière sentit le contact froid du mur dans son dos. Instinctivement, elle chercha à se dégager mais il la tenait trop fermement et puis, elle n’en avait pas plus envie que ça au fond. Malgré la gifle, elle continuait de vouloir de lui. C’était stupide, idiot. Comment pouvait-on désirer un homme qui portait la main sur vous ? Pourtant c’était le cas. Elle ne comprenait pas ses raisons mais sa passion et son désir trouvaient un écho en elle. En fait, elle ne comprenait rien. La valse des bouches reprit mais fut de courte durée, une nouvelle gifle vint l’interrompre. Une gifle aussi incompréhensible que la précédente.
 
Marine en eut le souffle coupé et ce autant par la gifle que par le fait qu’il se réimposa à elle, l’embrassant de nouveau. Des larmes d’incompréhension perlèrent à ses yeux devant ce qu’il lui faisait subir. Les baisers fougueux, les mains agiles mettaient son corps au supplice et noyait son esprit dans l’incompréhension la plus totale. Elle se laissait faire à ce moment, lui abandonnant son corps n’osant plus faire le moindre geste que se soit d’encouragement ou de refus. Craignait-elle qu’il la frappe de nouveau ? Peut-être mais ce n’était pas ça qui l’empêchait de se défendre. La rouquine se sentait prise entre deux feux. Son envie de lui et le fait qu’il ne veuille pas vraiment d’elle. Elle ne savait à quoi s’en tenir. Elle était perdue. Pourtant, elle ne regrettait toujours pas d’avoir initié le contact. Elle devait être folle !

Il la plaquait contre le mur et écrasait son torse puissant contre sa poitrine au volume imposant. Elle avait du mal à respirer mais elle se laissait toujours faire. Recommençant d’ailleurs à apprécier les baisers et les caresses alors que la douleur de ses joues s’estompait. La verge imposante de Khaléo se frottait contre son intimité, l’excitant davantage. Une excitation qui ne faisait qu’augmenter en flèche alors qu’il triturait son fessier. Marine avait toujours aimé ce genre de caresse. Elle qui détestait la sodomie, appréciait pourtant énormément qu’on s’en prenne à ses fesses et qu’on les triture avec vigueur. Elle se surprit à gémir dans sa bouche sous ses assauts alors que ses mains remontaient vers ses épaules et sa nuque qu’elle empoigna, enfonçant ses ongles dans la peau duveteuse du tigre.

Le corps de la jeune femme ondulait doucement contre celui du guerrier suivant les mouvements qu’il lui imposait mais ce moment s’acheva quand il décolla ses lèvres d’elle. Elle craint un instant une nouvelle gifle et ses yeux aigue-marine restèrent suspicieux
.

« Hmmmmrr ♥... c'est... dommage pour toi... que tu n'ai pas pris mon avertissement au sérieux... je vais donc devoir... te prouver que je ne plaisantes pas... J'ai presque envie de te punir... Si tu savais à quel point c'est difficille de me... de me retenir... Alors ne me rends pas les choses plus difficilles... Retournes toi, appuyes toi contre le mur... cambre bien ton corps et écartes les jambes ou je t'obliges à le faire... »

Au regard qu’il lui lançait, Marine comprit qu’elle avait réveillé la bête mais elle ne songea pourtant pas à s’en aller. Et ce n’était pas par crainte non plus. Elle voulait rester. Il la dominait et sans se l’avouer, elle aimait ça. La rousse ne répondit pas et s’exécuta. Elle lui présenta son dos tatoué et couvert des cicatrices de fouets à peine dissimulées par les arabesques noires. Des cicatrices qui se retrouvaient en moindre quantité sur ses fesses et le haut de l’arrière de ses cuisses.

Elle posa ses mains à plat contre le mur et se pencha, cambrant ses reins et lui présentant l’exquise rondeur de ses fesses fermes. Elle écarta docilement les fesses, montrant son sexe rose et humide. C’était indécent et fou vu ce qu’il lui avait fait mais elle assumait son choix même si elle devait en souffrir.


Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Khaléo

Terranide

Plus que ses mains, ce furent ses yeux qui auscultèrent le dos de Marine, accompagnés toujours par cette distance "magnétique" de la paume par rapport à la peau, avant que quelques doigts délicats ne tracent les lignes de son tatouage... descendent le long de ses tracés et ne rencontre parfois... une cicatrice, admiratif... En contemplation devant ce qui lui semblait être les traces évidentes de la rebellion et de l'esprit combattif, guerrier de cette sulfureuse créature, dont il palpait les muscles du dos à pleines mains désormais... Cette position lui offrait les prémisces d'une prédation, d'une domination totale sur son magnifique corps de panthère, ses mains glissèrent depuis le haut de son dos en s'arrêtant toujours sur l'une ou l'autre cicatrice qu'il choyait comme s'il espérait pouvoir en capter l'essence, le souvenir et la douleur qu'elle avait pu lui provoquer... essayer de comprendre... Quand et comment... A cet instant la "bête" restait admirative elle aussi, se penchant sur son dos pour poser un baiser dans sa nuque.

Et ses lèvres fraiches descendirent sur la peau déjà brûlante de Marine, posant quelques frissonnants baisers sur son corps de braise, libérant sa langue de sa prison de chair pour tracer les arabesques dansantes du dos de la guerrière, cependant il ne pouvait ignorer son état d'excitation en cet instant, en se rapprochant d'elle pour lui poser une myriade de baisers dans le dos et une caresse emplie de tendresse qui contrastaient pour le moment avec son envie furieuse, il prenait le temps... le temps d'apprécier cette rose rouge chavirée par le vent d'une vie déjà bien vécue, douloureuse... Mais épanouie, sa verge aux proportions plus que généreuses fournie de protubérances, pointes de chair, gros raisins souples et "léchants" disposés autour de sa verge en colerettes circulaires, depuis la base jusqu'au rebond et bord de son gland, reposa contre son entrefesse, alors que ses mains vinrent pétrir, masser ses hémisphères de façon plus impatiente contre sa hampe de chair bouillante... vibrante d'une nervosité, d'une énergie sauvage.

Il n'y avait que de puissantes inspirations et expirations d'air, parfois bruyantes et suaves, entrecoupées par un ronronnement plus rauque interrompu parfois... puis reprenant aussitôt lorsque son mandrin épais et long de chair barbelée commença à "grappeller" de toute sa longueur et ruguosité, l'envergure de sa raie et son entrejambe... Prenant un malin plaisir à laisser "rebondir" ses pointes de chair contre les ailes de son papillon rose, Elle n'avait pas encore eu l'occasion de poser les yeux dessus... C'est vrai... Et cette position facilitait bien plus les choses pour sa propre conscience et son "complexe" par rapport à son "apparence", Mais il ne fait aucun doute que ce genre de contact allait sans doute attiser sa curiosité, sinon au moins la "prévenir" de l'aspect peu conventionnel de sa verge, malgré une forme générale rappellant celle d'une être "humain" un peu trop bien membré... elle disposait d'une texture de peau aussi râpeuse que sa langue et de ces fameux "raisins" de chair fini en biseaux, pointes arrondies, qui n'avaient de cesse de lui racler l'entrejambe tandis qu'il lui arrivait de grogner entre deux très longues et lentes allées et venues caressées de sa verge entre ses cuisses.

Sa queue de tigre n'était pas en reste... Elle sinua contre son corps tel un serpent, cherchant sa "proie", ses seins... magnifiques... ronds... généreux... autour desquels cette "queue" s'enroula en "huit" en effectuant une sorte de "bondage" à la base de ces derniers, les comprimant en resserant ses "anneaux" pour les voir tendus à l'extrême et pousser encore plus ses tétons vers l'extérieur de leurs auréoles roses, seins qui ne tardèrent pas à recevoir la caresse de ses foutues paluches fermes par leur musculature entrainée et... tellement douce du duvet blanc qui constitue sa "peau", penché, presque "couché sur elle, ses jambes contre l'arrière de ses cuisses, son bas ventre contre la chute de ses reins, écrasant son chibre entre son propre ventre et la ligne remontante de son dos, il était bien collé, plaqué à elle, l'obligeant à "danser" un peu en jouant d'ondulations de son corps contre le sien, et pressant ses seins comme de beaux gros pamplemousses juteux et empli de pression, titillant leurs pointes du bout des doigts, doigts qui s'amusaient à pratiquement "branler" les grandes pointes tendues et érectiles de ses seins, à moitié couché sur elle dans son dos il posa un ultime baiser frais dans sa nuque avant de prendre le chemin de son oreille pour lui mordiller gentiment le lobe avant de lui murmurer :

"-Toi... Ma belle Amazone... Tu me troubles... Depuis que je t'ai rencontrée... Je... j'ai attendu cet instant... C'est difficille... très difficille pour moi de réprimer... Mes pulsions quand... Une belle petite garce comme toi montre ses seins à d'ignobles gardes... En ignorant complétement le fait... que... je sois attiré par toi depuis... Si longtemps... Si tu savais à quel point je suis partagé entre l'envie de ma "bête" de te rendre la monnaie de ta pièce..."

Dit il tout en imposant sa verge contre la peau de sa belle petite rosette qu'il caresse du bout de son sexe avant de remonter d'un fier et vif coup de rein raclé contre la raie des fesses fermes rondes et musclées de Marine.

"-...Ou te donner tout le plaisir que j'ai également tellement envie de t'offrir... Marine... je me sens torturé depuis que tu as retiré ma capuche... et que tu t'es emparée de mes lèvres..."

Cette fois, en accompagnant ces paroles d'une poussée contre l'entrée de ses lèvres humides du bout de son énorme gland, presque aussi épais qu'un poing fermé, il répand son souffle ardent dans la nuque et contre la joue de Marine en se laissant aller a des ronronnements d'une terrible hauteur, lui apprennant par contact du bout de sa hampe à quel point son sexe entier est soumis aux vibrations de ses ronronnements intenses, de la base à la pointe, jusqu'aux extrêmités de ses pointes de chair érigées qui oscillent rapidement elles aussi, dépendant de la force et la hauteur de son ronronnement, qui se fit de plus en plus puissant et rauque aux oreilles de Marine.

En goûtant aux lèvres de Marine du bout de son chibre, il se rendit compte à quel point il avait oublié la douce sensation d'un sexe féminin contre le sien, de plus que Marine était déjà prête, humide et écartée pour le recevoir chaleureusement, il respira profondément toujours bien appuyé contre le dos de Marine, sentant ses jambes "faiblir" sous l'acceuil des lèvres de la guerrière et se laisser doucement... plonger... en elle... une looongue et lente chute... les premiers centimètre de son énorme gland ayant déjà du mal à simplement écarter les lèvres de Marine, la texture semi râpeuse, semi douce de sa "peau" pouvant désormais être "appréciée" par les lèvres de Marine, une fois arrivé au rebord de son gland, ce furent au tour des petites pointes de chair disséminées autour de sa colerette de "lécher" l'entrée de sa tanière en en rajoutant encore à cette largeur monstrueuse, à son diamètre colossal, une première, puis une deuxième rangée de ses "raisins" de chair qui, rebondirent sur l'entrée de son sexe avant de se plier souplement dans le sens de la pénétration... Lente...

...Lente d'entrée... Si lente que c'en était un supplice et pour lui et pour Marine mais il n'avait pas le choix, trois siècles d'abstinence et, son sexe était aussi "neuf" qu'au premier jour, il avait oublié à quel point ça pouvait être "douloureux" d'essayer d'introduire sa "chose" entièrement dans une humaine "complète", il resta là quelques instants, se laissant reposer contre le dos de Marine... Se calquant sur sa respiration... Pétrissant toujours ses seins... Effectuant quelques mouvements dansés et tournoyés de ses hanches pour écarteler un peu l'entrée humide de la guerrière, oh... sûrement oui... Il pourrait sûrement l'enfoncer d'un coup... Et faire très mal à Marine aussi... Il n'avait pas envie de lui déchirer quelque chose, il fallait qu'elle s'habitue à sa grosseur... avant même de pouvoir l'habituer à sa longueur... Mais en tournoyant ses hanches pour "forer" son chemin en elle, doucement et par a coups successifs de chacune des rangées de pointes de chair qui s'épaississaient vers la base de sa verge, il entra pour plus de la moitié en elle, prenant une nouvelle pause quand il sentait son corps tressauter de douleur.

Marine

E.S.P.er

Appuyée contre le mur carrelé de la salle de bain, dos à celui qui la troublait, qui lui donnait envie d’amour comme cela lui était si rarement arrivé, Marine « sentait » les mains à quelques millimètres de sa peau brûlante. Elle brûlait d’envie qu’il la touche, qu’il pose ses mains imposantes sur son dos mais elle ne dit rien. Elle préférait le laisser faire, le laisser diriger les choses. Telle une proie, elle se soumettait à son prédateur, mais elle le faisait avec plaisir.

Les yeux fermés, la guerrière attendait, fébrile. Mais finalement, les mains finirent par atteindre sa peau, la faisant frissonner. Les doigts de l’homme-tigre à la peau duveteuse parcouraient son dos. La rouquine devinait qu’ils suivaient les courbes de son tatouage tout comme elle sentait qu’ils s’arrêtaient sur ses cicatrices. Elle n’aimait pas ça. Là où lui trouvait une certaine beauté à ses marques, Marine ne voyait que des cicatrices hideuses d’un passé détesté. Elle aurait aimé qu’il n’y prête aucune attention mais c’était peine perdue. Aussi essaya-t-elle de se concentrer sur les sensations qu’il lui faisait ressentir.

De nouveaux frissons vinrent doucement secouer son corps dénudé alors que les lèvres de Khaléo venaient égrener sa peau. Elle ne put retenir un soupir. C’était à la fois agréable et excitant. Elle subissait avec plaisir la douce torture qu’il lui infligeait. Elle sentait tout le charisme et la virilité qu’il dégageait comme si c’était un aimant puissant.

Le sexe masculin vint bien vite s’ajouter à la donne et s’insinuer dans le bas de son dos, au niveau de son fessier. La rouquine sentait qu’il était extrêmement différent de celui d’un homme classique. Elle n’aurait pas pu le décrire mais sentait les aspérités contre sa peau blanche zébrée de cicatrices plus ou moins importantes. Sa grosseur semblait aussi disproportionnée par rapport au membre d’un humain lambda. Cela était quelque peu effrayant. Le corps féminin, le sien en l’occurrence, n’était pas vraiment taillé pour subir une chose aussi imposante. Heureusement pour elle, le membre de Brimstone était tout aussi imposant que celui-ci, elle savait donc pouvoir le contenir. Néanmoins, la douleur serait quand même là. C’était inévitable. Une appréhension se distilla doucement dans ses veines et dans tout son corps. Mais elle ne bougea pas pour autant. Elle ne cherchera pas à se dégager ou à s’enfuir. Son choix, elle l’assumait et l’assumerait jusqu’au bout.

La queue animale vint la surprendre lui faisant pousser un léger cri alors qu’elle venait suppléer aux mains venues pétrir son opulente poitrine. Tel un vrai serpent, elle s’insinua entre ses seins, les faisant se dresser juste sur son passage comme tout son épiderme devant cette étrange caresse jamais encore ressentie. Sa poitrine fut alors mise à l’épreuve et enserrée comme à travers un filet. Une prison bien douce pour ses mamelons compressés mais qui appréciait ce délicieux tourment.

Décidément, Khaléo faisait tout pour lui donner du plaisir. Et elle ne faisait que gémir un peu plus fort à chaque fois, répondant par de doux gémissements aux profonds ronronnements qu’il poussait. Les yeux toujours clos, son souffle s’accélérait au même rythme que ses soupirs et ses gémissements. C’était une torture qui semblait ne jamais s’achever.


« Toi... Ma belle Amazone... Tu me troubles... Depuis que je t'ai rencontrée... Je... j'ai attendu cet instant... C'est difficile... très difficile pour moi de réprimer... Mes pulsions quand... Une belle petite garce comme toi montre ses seins à d'ignobles gardes... En ignorant complètement le fait... que... je sois attiré par toi depuis... Si longtemps... Si tu savais à quel point je suis partagé entre l'envie de ma "bête" de te rendre la monnaie de ta pièce... »

La combattante sursauta en sentant le gland imposant caresser son anus. Instinctivement, elle se contracta. La sodomie étant bien loin d’être son point fort, bien au contraire. Ses yeux s’ouvrirent et son corps avança un peu comme cherchant à se soustraire à cette intrusion contre-nature. Non, elle ne voulait pas ça.

« ...Ou te donner tout le plaisir que j'ai également tellement envie de t'offrir... Marine... je me sens torturé depuis que tu as retiré ma capuche... et que tu t'es emparée de mes lèvres... »

Elle cessa de s’agiter quand elle sentit le chibre venir caresser ses grandes lèvres avant de doucement s’insinuer à l’intérieur. Il était énorme mais son intimité était complètement trempée ce qui permettait à la verge de la pénétrer sans trop de difficulté. Mais le plus dur restait à faire. La guerrière poussa un profond gémissement quand le membre entra en elle. C’était un vrai délice mais la douleur vint doucement s’insinuer. Ses parois s’écartaient avec une certaine douleur sous l’avancée de la verge. Ses muscles tressaillaient parfois sous la douleur et elle contrôlait sa respiration pour avoir un peu moins mal.

Malgré tout, à chaque centimètre qu’il faisait, c’était aussi un merveilleux plaisir qui l’irradiait. Un plaisir bien supérieur à toutes les douleurs qu’elle pouvait supporter lors de cette pénétration lente. C’était aussi un moment unique et merveilleux qui ne leur appartenait qu’à eux deux. Elle aussi elle avait eu envie de lui. Peut-être depuis le premier instant où elle lui avait enlevée sa  capuche et découvert le minois qui s’y cachait. Marine voulait lui donner du plaisir comme il en avait envie. Elle ne savait pas trop ce qui l’attendait mais elle voulait toujours autant l’aimer. Elle bascula un peu son bassin tout en le remuant afin de faciliter la pénétration.


« Hummmmm… mon beau tigre… c’est bon… soit doux et aimes-moi… comme moi j’ai envie de t’aimer… »

Sa voix était profonde et rauque, pleine de désir et de plaisir contenue à l’encontre de son partenaire, de son amant, de son amour.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Khaléo

Terranide

La chute de reins de son amazone était tout bonnement splendide, musclée comme la guerrière qu'elle était, crinière de lionne, rouge, à l'allure respectable mais, tellement mûre, c'était peut être encore bien ça qui l'excitait le plus, une guerrière de son rang, de son niveau... quelqu'un... de tellement bien... qui lui semblait droit, juste dans ses choix, avec toute la noblesse et le respect de ce qui faisait les plus grands guerriers du passé, un corps et un esprit d'une maturité inégalable.

Elle se soumettait dans cette position cambrée, totalement offerte, aux plaisirs de la créature, hmmmrr... c'était... c'était désormais difficile de résister à l'appel, le "démon" dans les limbes de sa conscience, lui imposait d'en profiter comme bon lui semble, de la manière qu'il lui plairait, mais d'un autre coté, c'était la première fois qu'il faisait ça depuis longtemps, et pas avec n'importe qui...

Cruel dilemme, il avait senti sa légère réticence quand son gland énorme comme un melon remplit d'eau, pourlécha les contours lisses de son petit anus, souriant, amusé de sentir ses gambettes musclées toutefois s'écarter, non... trop tôt... Rrrrhââa... trop vite... Un peu de patience... il fallait savoir savourer, profiter de ces trop rares instants...

C'est pourquoi ses gros doigts léonides, plus épais que ceux d'un homme classique, et plus massifs, pétrirent ses reins, englobant presque complétement sa taille, de leur touché toujours aussi doux, toujours aussi ferme, il se colla à ton dos, avec cette poutre de chair phénomènale, barbelée de gros raisins moelleux, sexe qui remontait pour la majeure partie plus haut que la ligne de tes omoplates, tu n'avais pas encore pu jeter un coup d'oeil sur la chose monstrueuse, voir démoniaque qu'il possédait entre les jambes, mais ce contact te permettait néanmoins d'en avoir un aperçu pour le moins "inquiétant".

Et lui, il était là, roucoulant de son ronronnement suave et terriblement rauque au creux de tes oreilles, ses mains glissent, hnnn... encore... suivent la ligne bien tracée de tes muscles ventraux, déjà couvert de perles de sueur qui, éclatent sous le passage millimétrés de ses griffes, il sourit, le petit salaud ♥ en empoignant celle dont il sait que tu as honte, ta poitrine, mais ces foutues mains... haah... ces foutues mains leur font plus qu'honneur, leurs chantent des louanges méritées en les libérant de leurs carcans, de tes complexes, ses grandes mains capables de les englober, et les "branler" littéralement de leur base... à leurs pointes, qui se verront emprisonnée entre ses griffes, des griffes longues et épaisses mais capables, de tellement de finesse et de précision, titillant la chair tendue de ces derniers.

Difficile... oui, difficile dans cette position et cette situation , d'accorder une touche bien inappropriée d'humour, il se retient néanmoins, ce serait dommage de gâcher ça pour de la gaudriole, ou des remarques déplacées, de ses lèvres entrouvertes un souffle chaud se répands sur ta nuque, sur laquelle il apose une myriade de baisers plus frais les uns que les autres, car oui, ses lèvres comme ses fines narines, par rapport au reste de son corps, elles, sont presque "froides", déposant leur fraicheur sur ta peau embrasée, rougie par les reflets de ta chevelure irréelle.

Tes seins enserrés formidablement dans l'étau de ses mains et de sa queue de tigre les emprisonnant, il branlait avidement tes tétons du bout de ses doigts, tétons rendus sensibles, ah ça, il rêvait de te rendre folle, folle de désir, si ce n'était déjà fait, hmrrr, la bure monstrueuse palpitait de ses veines épaisses contre toute la longueur de ton dos, sur laquelle il se plaisait à la laisser monter, et descendre, t'effrayant d'avantage de ses proportions monstrueuses, mais il te suffisait d'un mot, après tout, pour tout arrêter, cependant, pas encore certain d'être sûr d'avoir interprété convenablement tes désirs, il descendit l'une de ses mains pour caresser ton entrefesse et s'en prendre, délicatement, à ton petit trou, le caresser en en faisant le tour du bout de ses doigts, posant ses lèvres sur ta joue, descendant en de nombreux baisers sur l'os de ton menton, il risquait à nouveau d'être confronté à une réaction de refus, ou plus violente même, qui arrêterait tout ici.

Mais la "bête", le démon dilué a ses pensées, à son esprit, aurait aimé te soumettre, et par soumission elle entendait, bestialement parlant, te mettre un peu au supplice après les nombreuses fois ou elle estima avoir été provoquée par tes attentions troublantes...

Il avait bien du mal à parler, et à réfléchir, seul un bon coup dans les valseuses le ferait revenir sur terre, puisqu'il avait l'air de tant insister sur cet enroit, et que Marine n'appréciait pas celà, il était peut être temps de lui sonner les cloches et qu'il retourne dormir pour être prêts pour la prochaine étape du contrat qui les liait.

Marine

E.S.P.er

Marine, les yeux fermés, attendait, bougeait en rythme jusqu’à ce que le membre finisse par la quitter, elle protesta dans un léger grondement bien proche de ceux que son compagnon pouvait faire. Le membre repartit se caler dans son dos. Il la faisait languir, à tort ou à raison. Et elle protesta une nouvelle fois en gémissant et un léger grognement se fit entendre dans sa gorge. Mais si le combattant avait décidé d’abandonner son antre humide, ses seins continuaient d’être l’objet de multiples attentions. Les caresses allaient bon train. Les grosses paluches de tigre et la queue s’en donnaient à cœur joie en malaxant les deux globes jumeaux. Marine oscillait entre le plaisir et une bien mince douleur lorsqu’il étirait ses tétons érigés, tendus à l’extrême et si sensibles.

Il ronronnait dans son dos, tout contre sa nuque, son point sensible. Cela la rendait folle. Elle se mordit la lèvre inférieure en remuant ses hanches. Totalement cambrée, elle l’invitait à reprendre ce qu’il avait commencé. Son sexe trempé attendait son membre qui reposait sagement dans son dos, écartant ses fesses. Marine sentait les bourses imposantes venir frotter ses grandes lèvres mouillées les excitant un peu plus encore. La base de la verge frottait contre son anus et bien qu’elle n’apprécie pas la sodomie, cette légère pression sur sa rosette l’excitait bien au-delà de ce qu’elle aurait imaginé. Pourquoi ? Pourquoi lui faisait-il cet effet ? Les frottements incessants de la verge sur son anus finirent par provoquer de légères contractions de son vagin, répandant son liquide intime entre ses cuisses, le long de ses jambes. Ça ne lui était jamais arrivé avant non plus.

La guerrière baissa la tête en serrant les dents. Ses cheveux tombaient de chaque côté de son visage aux traits fins. Elle refusait de le supplier de la prendre alors qu’elle en mourrait d’envie. Chaque caresse qu’il lui imposait rajoutait à sa torture. Des grondements dans sa gorge se firent de nouveaux entendre alors que Khaléo ronronnait de plus en plus fort et que les grains de sa verge vibraient en accord. Pour un peu, on aurait pu croire que Marine n’était pas humaine ou plus humaine avec ces grondements presque félins. Aurait-elle été une tigresse ou une panthère dans une autre vie ? Possible. Elle se sentait si animale en cet instant. Elle le voulait mais le détestait de la faire attendre. Elle était pire qu’une femelle en chaleur. Elle voulait se soumettre et aussi se rebeller. Elle voulait se rebeller pour mieux être soumise par lui.

Si la douceur aurait été de mise, là elle aurait voulu plus de sauvagerie ce qui aurait pu paraître suicidaire vu l’envergure de son amant et de son membre. Pourtant, c’était ce qu’elle aurait voulu. Comme la femelle dominante d’une meute, elle voulait que le mâle soit capable de la dominer, de s’imposer à elle, de la mordre, de la prendre, de lui donner un plaisir inouïe. Elle perdait vraiment la raison là. C’était de la folie pure et simple. Mais tout ceci n’était-il pas folie ?

La rouquine finit par redresser la tête et ouvrir les yeux, fronçant les sourcils face au carrelage blanc. Son côté combattif reprenait le dessus. Elle le voulait, à lui de faire ce qu’il fallait, quoi que cela soit.


« Si tu me veux, prends-moi ! Domine-moi ! Montre-moi que tu es le maître ! Mon maître ! Mon mâle ! Celui pour qui j’existe. Mon alter-ego. Celui que je reconnaitrais toujours comme tel ! »

Un nouveau grondement sourd, mi-plainte, mi-supplication s’extirpa de sa gorge. Un nouveau grondement animal suivi d’une sorte de ronronnement comme ceux qu’il faisait. Elle commença à se décaler, à décoller son dos, à se redresser, un mouvement pour se soustraire de lui, un mouvement de refus pour qu’il s’impose. Elle le provoquait volontairement. Fière et combattante comme toujours. A lui de la vouloir assez pour la reprendre en main et la prendre comme elle en mourrait d’envie… et lui aussi.


Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Khaléo

Terranide

Haaah... la chose prenait une toute autre dimension, n'est ce pas ? Oh, oui... Une fois que le tigre, et le démon prirent un peu plus les commandes... Sachant que tu n'attendait que "ça", il voulut jouer, jouer avec ton corps, d'avantage, comme si c'était la dernière fois que celà lui était permis, il ne l'espérait pas bien entendu, mais, prrrofiter... profiter comme un vampire de grand âge, sachant bien prendre le temps de goutter à une créature d'un délice des plus rares... Ses mains continuent inlassablement de flatter, comprimer la peau de ta poitrine, qui, enserrée autour d'une queue serpentant autour de leur base, de leur attache à ta cage thoracique, semblait la dresser, la faire gonfler un peu par rétention sanguine, rougir d'un étranglement parcimonieusement appliqué, serrant... relâchant un petit peu l'emprise... resserrant à nouveau... glissant de toute sa longueur en "huit" autour de tes seins, les caressant d'un duvet duveteux, presque neigeux, parsemé de quelques rayures noires, il pouvait pratiquement le sentir, ton sang, palpitant à travers les veines légèrement apparentes à la surface de tes globes pressurisés, si beaux, hmrrr ♥ Ils étaient si beaux... d'ailleurs il ne put s'empêcher, de commenter :

"-Je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi tentant, Marine... Regarde... Ils sont parfaits... parfaits pour la taille de mes mains, n'est ce pas ? Ils sont beaux... je veux... t'entendre le dire... Je sais... je sais que tu ne les aime pas... C'est tellement tellement dommage..."

Aaah putain ♥ Ce salaud prenait effectivement bien son temps, après avoir pu constater les torrents de cyprine s'écoulant entre tes jambes comme un volcan en éruption, déversant sa lave en fusion sur tes cuisses, son sexe s'y mêla, quelques doigts descendirent à la source, récupérer le liquide un peu poisseux, épais, et enfourner ses propres doigts dans sa bouche, le goutant, suçant doigt après doigt comme s'il s'agissait de miel, il enduit ses deux mains de ce liquide et les replaça encore... sur ta poitrine, les badigeonnant, les lustrant, les faisant luire, ils étaient magnifiques, ah, ça en devenait presque une obsession , hmmm ? Mais il fallait appliquer tout le soin, toute l'attention que chacune des parties de ton corps, méritait à ses yeux.

Après celà, ce fut le tour d'une lotion hypra - hydratante pour la peau, quelque chose de foutrement cher sortit précipitemment de l'armoire de soins de la salle de bain juste à coté de nous, décapsulant la chose avec les dents, il l'apposa sur la peau de tes seins, toujours tendus à l'extrême, la lotion glisse, huile le fin duvet de ses gros et épais doigts, empoignant par instant, toute la surface de ces derniers, imprimant bien la forme de ses phalanges dans leur rondeur pourtant rendues si ferme par cet étranglement progressif les rendant de plus en plus.. Mrrr... rouges... jusqu'a la pointe, bien rouges, d'un rouge presque foncé, luisant, veines gonflées et bleutées à la surface, maintenant sensibles à souhait, ce fut enfin l'instant qu'il choisit pour les relever vers sa bouche, et laisser cette satanée longue langue, râpeuse, venir s'enrouler comme un serpent autour de tes tétons en quasi érection, tu ne les avait sans doute jamais vu aussi tendus, aussi développés, érigés, sur un peu plus de deux centimètres, voire trois ♥

Ses lèvres rejoignent doucement l'effort de sa langue tournoyant en spirales, irritant presque cette peau tendue, il suce, et ronronnes, appréciant drôlement ça, la langue branles bien tes tétons de leur base à leur bout rond, de bas en haut, tandis que sa bouche effectues le chemin inverse, il te suce en fermant les yeux comme s'il s'agissait de la meilleure des glaces du dessert le plus délicieux présenté par le plus talentueux des cuisiniers, heh, après tout, il a beaucoup rapport à la nourriture, au festin, c'est, en partie un tigre, tu t'en rappelles, hmm ? Ah ça... oui tu ne peux pas l'oublier, surtout, lorsque ses dents acérées, pointues, sont délicatement glissées le long de ces appendices de chair tendus, pincés entre ses griffes, son sexe ayant la même texture que sa langue, semi doux, semi râpeux d'un point de vue "peau", continues son oeuvre sur toute l'envergure de ta raie, et de tes lèvres, repassant tantôt dans ton dos, tantot, contre ton ventre, partie supérieure appuyée, que dis je, bien comprimée sur ton ventre quand elle te passes entre les jambes, si soudé et frotté à tes lèvres, forcées d'épouser les pointes de chair, beaux gros raisins biseautés et souples, se tordant, grappellant et rebondissant sur ton magnifique papillon de plaisir, si bien frottée et, épousant tant les formes de ton ventre carressé jusqu'a la limite basse du sternum par cette dernière, que tu as l'impression qu'il s'agit de "ton" propre sexe.

Et ça dure... putain ♥ ah, quel salaud ♥ ça dure... il se repait de tes seins, les mordille un peu plus fort par instants, mais redevient vite doux, parfois une succession de sucions te donnent l'impression qu'il cherche presque à aspirer ce qu'il se trouverait à l'intérieur, désespérément vides, il ne s'en lasse pas, il en vient à les grignotter à faire passer chacune de ses dents dessus, les rouler entre ses rangées supérieures et, inférieures, les racler de la base à la pointe entre ses dents, ils se mettent doucement à "suinter" d'une petite irritation due à l'abus qu'ils subissent, picotant désormais d'une fine douleur lancinante, que provoque sa langue râpeuse et, ses dents, continuant de porter louange à chacun d'entre eux, la peau un peu blessée par ses attentions, est un délice pour son palais, il serait bien tenté de continuer jusqu'au sang, pour le goûter, et goûter ta chair par la même occasion, mais ça serait aller au delà de limites raisonnables, donc il s'arrêta sur deux pointes s'étant encore vue étendues d'un demi centimètre tant il les eut travaillé, besognés, de looongues et interminables minutes.

Il s'agenouille ensuite, posant sa myriade de baisers plus frais les uns que les autres sur ton dos, plaçant ses genoux sur une petite carpette matelassée subtilisée au pied du lavabo, ne libérant pas encore pour autant tes seins de l'étranglement de sa queue de tigre, là en bas, il pose un baiser, sur cette belle grande fesse droite, puis, sur la gauche, il reprends cette "lotion" coûteuse, pas tellement "fan" de ce genre d'artifices habituellement, ici ils se prêtaient bien à ce que nous faisions, autant joindre l'utile à l'agréable.

Ses grandes mains enduites, l'index et le majeur posent délicatement, effleurant ta peau, la solution depuis la chute de tes reins jusqu'au plus bas du pli de tes globes de chair, repassant en leur centre en effectuant quelques petits cercles concentriques du bout des doigts, les rendant progressivement, comme tes seins, bien luisantes, huilées, pour que ses foutues grosses mains glissent dessus, les empoigne, les griffent un peu, mais surtout, les malaxe pendant qu'il se plait à lécher lascivement tes cuisses couvertes de cyprine, depuis le genoux, jusqu'à l'intercuisse, près, si près de tes lèvres, flattant l'aine de sa langue, mais prenant garde à ne pas offrir trop "tôt" le contact de cette dernière à ton papillon, son visage si doux, ses rayures, flattent la peau de tes fesses, quand il enfouit son petit nez frais, et ses lèvres l'étant tout autant, dans la raie de ce dernier, suçant et léchant la peau qui s'y trouve jusqu'a ce qu'il soit confronté à ton petit trou, il y va si lentement que ça pourrait t'agacer, mais il le sait, il veut juste, juste te rendre encore plus dingue, ses mains pétrissent un bon coup tes fesses et les écarte, permettant à son visage d'y aller plus à fond, l'air de rien, tes muscles postérieurs sont grands et puissants, il apprécie celà de toute l'envergure de ses paumes.

Il plisse les yeux, et embrasse ta raie en ronronnant comme un damné, emportant dans sa succion, la peau de ta petite rosette dans son sillage, c'est... GrrRRr... un peu pervers, un peu bestial, certes, mais son grand âge, même si son apparence ne le trahit pas, l'a conduit à bien des expériences, et des envies, ça fait partie du "bagage" diras t'on, sa langue pourlèches le contour lisse de ton anus, qu'il embrasse, avec lequel il prends d'infinie précaution du bout de sa langue, rebondissant de part et d'autre de l'anneau, l'écartelant petit à petit en appuyant sa mâchoire, qui, s'entrouvres encore, et encore, puissante, ayant une énorme envergure d'ouverture lorsqu'il se laisse aller à  l'ouvrir complétement, un peu comme un serpent à grande gueule ouverte, attrapant de ses lèvres une grande surface qui sera aspirée, telle une grande ventouse, avant de continuer à pourlècher ton petit anneau.

Un de ses gros doigt s'invitera à la fête ne pénétrant pas ton petit trou mais, le caressant tout autour pour, amadouer, détendre, relacher tes muscles, tes sphincters, alors que des déglutitions, des bruits sourds prouvant tout l'appétit qu'il à pour ton corps, s'élèvent à tes oreilles, le tigre se régales, ne poussant pas sa langue volontairement dans ton anneau, non, il se contracte de plaisir suite aux contractions de ton vagin, tout seul, il se dilate, s'entrouvres un peu puis se refermes, aspirant de lui même le bout de sa langue tout bêtement "posée" dessus, ça rentre, doucement mais sûrement, ça rentre et c'est foutrement bon, il aidera tout de même un peu une fois qu'une bonne partie de celle ci sera entrée, épousant ton anneau avec sa bouche, l'embrassant littéralement, il laisse sa bonne longue langue pénétrer bien à fond, goûtant à tes muscles fessiers depuis l'intérieur qu'il flatte du bout titillant, chatouillant de cette dernière, ses lèvres massent, et continuent leur jeu de dilatation, d'extension sur ta cavité anale, les ronronnements puissants du félidé te parcourent l'intérieur du cul depuis cette langue fichée, vrombissante et oscillante à l'intérieur, vibrations perdant leur écho jusque dans ton bassin.

Quelques :

"-Hmmmpfrrr... Miaaamwrrr ♥ "

et autres -slip- -slap- -glmpfrrr- -awglmpfr- -lap- -splic- -sploc- -graoumpff- -slrp- -plitch- -platch- -plitch- platch- s'accélérant et continuellement renouvellés, se font entendre, et résonnent dans la salle de bain, ajoutant leur lot salace à l'acte, oh oui ♥ Oui, alors oui, c'était assumé, complétement... C'était obscène, c'était primaire, bestial, dépravé, débauché, mais tellement bon, tellement bon.
 
Il pose son regard, mis clos, intense, sur le haut de ton dos, un magnifique sourire, malicieux et lubrique, lui déformant parfois les lèvres, il aime ça, quel salaud, il aimerait voir ton visage, à cet instant, ton expression, ton ressenti, alors qu'il pompe de plus en plus ardemment sa langue dans ton fondement, et qu'il suce et suçottes le contour de ton petit trou dilaté, épousant de mieux en mieux ses lèvres, que son visage, caresse l'entrée de tes fesses, que sa mâchoire, raclant de ses lèvres toute l'envergure de ta raie, te soulèves parfois un peu du sol, forçant tes talons à se relever, et te dresser sur la plante de tes pieds.

Marine

E.S.P.er

Les paroles de la jeune femme eurent pour effet de déchainer un peu plus son compagnon qui dès lors se mit à doucement, voluptueusement, cruellement à la torturer, la faire attendre et la mettre au supplice. Le supplice de l’attente, le supplice de la douleur associé au plaisir. Il commença par ses seins ou plutôt, il accentua les attentions qu’il leur prodiguait. La queue animale, souple et duveteuse, enserre ses seins, les comprime de plus en plus, les rendant encore plus imposant, les faisant rougeoyer par l’afflux de sang.

Marine n’avait jamais été très heureuse de sa poitrine, trop développée à son goût mais comment aurait-il pu en être autrement quand on vit dans un monde d’homme où son sexe la mettait d’emblé à part ? Elle avait haïe ses seins toute sa vie. Pourtant, là, ils prenaient un nouveau sens. Les mains, aux doigts épais de tigre, les traitaient, les maltraitaient, de manière si intense et puissante que la jeune femme en vain à les aimer. Ils lui procuraient soudainement tellement de sensations, tellement de plaisir.

La compression que sa poitrine subissait lui faisait mal et dans le même temps, la rendait dix fois, cent fois plus sensibles que d’ordinaire. Douleur et plaisir se mêlait dans le corps de la rouquine qui était au supplice. Tout son corps se tendait et se contractait sous les attentions que Khaléo lui dispensait. Elle ne pouvait s’empêcher de gémir, de pousser des petits cris dont elle ne savait pas la signification. Était-ce des plaintes pour qu’il arrête ? Des soupirs pour qu’il continu ? Impossible de savoir, impossible de se décider. Elle l’aimait et le maudissait en même temps du malin plaisir qu’il prenait à ainsi la faire attendre, la faire souffrir, lui donner du plaisir. Mais il posa alors la question, il voulait qu’elle dise qu’elle aimait ses seins, ses seins détestés, il fallait qu’elle dise les aimer pour qu’il continue son petit jeu et en rajoute même encore. Une partie d’elle était tentée de lui dire d’aller se faire voir mais une autre voulait trop la suite.


« Hummmm… Oh…. Tu… tu les fais exprès… Je… Oui, je… les aime… J’aime mes seins… Hummm… J’aime ce que tu leur fais… ohhhhhh… »

Il avait raison, ses seins généreux semblaient faits pour lui, pour ses mains d’homme, ses mains de tigre. Etaient-ils destinés à être ensemble ? Avait-elle été faite pour lui ? Marine laissa là ces considérations. Elle voulait connaître le plaisir avec lui, quelque chose d’encore jamais atteint. Il reprit possession de sa poitrine de plus belle alors que les doigts allaient récolter un précieux nectar, le portant à sa bouche. Contre son oreille, elle entendit les doigts être léchés consciencieusement. Le bruit de succion ne fit qu’amplifier son envie et l’exciter de plus belle. Les doigts, la main repartit chercher du liquide transparent avant de venir en imprégner ses seins, laissant l’odeur de son intimité monter au nez de la rouquine qui rougit violemment. C’était indécent, impudique mais toujours excitant.

Marine ne remarqua pas le passage à la lotion, elle poussa un brutal cri quand ses seins gonflés se retrouvèrent prisonnier de la bouche de son partenaire et tortionnaire. La langue d’abord se met à tournoyer, envelopper, ligoter les tétons érigés et douloureux. La jeune femme trésaille sous la douleur mais ne peut, ne veut pas lui dire d’arrêter. La bouche prend alors le relais ou plutôt s’allie à l’appendice buccal pour mieux s’en prendre à sa douce poitrine mise à mal. C’est douloureux mais la douleur se transforme en plaisir à chaque seconde qui passe. Elle en veut plus, toujours plus. Son corps se colle à Khaléo, se frottant contre lui. Le sexe imposant ne faisait que rajouter à son excitation alors qu’il frottait contre son intimité, la suscitant sans lui donner ce qu’elle désirait. Son sexe continuait de mouiller abondamment et enduisait la verge de son amant de son liquide intime.

Les dents se mirent en action à leur tour, venant mordiller avec plus ou moins de force ses tétons surexcités et érigés à un point extrême. Cela lui faisait mal, Marine sentait l’irritation de la peau si fine. Elle avait presque l’impression que sa poitrine n’allait pas supporter la pression et finir par éclater comme des ballons mais la nature étant bien faite, surtout la sienne, ses seins résistaient et lui dispensaient toujours le subtil mélange douleur/plaisir. Un mélange à l’alchimie délicate qui ne souffre aucune erreur où la douleur prendrait le pas sur le plaisir. Mais le tigre dosait parfaitement les choses et la douleur restait toujours en-dessous du seuil de plaisir. Même plus, le cerveau de la belle produisait davantage d’endorphines pour lutter contre la douleur amplifiant son plaisir.
 
Longtemps, l’homme besogna sur sa poitrine. La rouquine avait perdu la notion du temps depuis un bon moment. Elle subissait, perdue dans un océan de délices et de plaisir. Oscillant contre le corps de son amant, frottant son sexe contre le sien, espérant toujours le sentir de nouveau en elle. Mais les caresses cessèrent sur ses seins quand Khaléo se mit à descendre le long de son dos, l’égrenant de dizaines de baisers. Il semblait alors vouloir s’attaquer à une autre partie de son anatomie, son fessier. Il se mit à le masser avec force et douceur. Ses grandes mains pelotaient avec dextérité les globes de chairs musclés. Elle s’appuya alors contre le carrelage devant ces nouvelles caresses, le front se colle contre le mur alors que son souffle se fait haletant. Les gémissements continuent de s’extraire de sa gorge, de plus en plus rauques, de plus en plus forts.

La langue féline à la texture si particulière vint recueillir le précieux liquide qui s’évadait de son corps et coulait le long de ses jambes et de ses cuisses. Mais une nouvelle fois, il avait décidé de la faire languir. Il ne touchait pas à son sexe, il n’effleurait même pas. Il tournait autour comme un requin devant sa proie, celle qu’il sait s’en faire un festin mais qu’il veut torturer jusqu’à la fin. Doucement la langue, le visage remontait vers les fesses de la belle. Celle-ci se contracte, craignant un peu la suite, mais une nouvelle fois, il y va avec douceur, passant sa langue autour de son petit trou, le flattant délicatement, l’aspirant, le décontractant et la décontractant, elle aussi. Petit à petit, elle se laisse de nouveau faire et commence à apprécier ses caresses anales. Son anus est excité d’abord par la bouche puis par le doigt qui le flatte. Quand la langue commence à s’insinuer en elle, Marine tressaille mais pas de douleur, de plaisir. Elle ressent un plaisir inattendu à ce qu’elle avait toujours détesté. Son corps apprécie cette chose, cette manière de faire.
 
Quand la belle s’en rendit compte, elle eut honte, honte d’elle, honte d’aimer. C’était si pervers. Et pourtant, pour rien au monde elle ne veut arrêter ça. Le côté pervers l’excitait alors encore plus et d’elle-même, elle se cambre un peu plus, offrant davantage encore son petit cul bien fait. La langue continuait sa pénétration, poussant de plus en plus loin, provoquant de multiples petites contractions dans le ventre et le vagin de la jeune femme, provoquant de nouvelles coulées de cyprine le long de ses cuisses. Marine gémit encore plus et ses jambes commencent à trembler. Elle avait du mal à rester debout. Le mur la soutient encore un peu alors que le plaisir devient de plus en plus intense en elle. Ses sphincters se révèlent alors terriblement sensibles et lui donnent autant de plaisir que s’il s’occupait de son intimité. Les bruits de sucions amplifiaient le tout comme la cerise sur le gâteau.

Mais alors que Marine croyait le paroxysme atteint, son partenaire en rajouta encore une couche car son ronronnement faisait vibrer sa langue qui communiquait ses vibrations à tout le corps de la belle. Belle qui ne savait plus à quel saint se vouer. Le plaisir atteignait des sommets. La rouquine ne parvenait plus à se contrôler. Ses gémissements s’étaient mués en cris à chaque mouvement de la langue, à chaque vrombissement que son amant faisait. Ses jambes flageolaient de plus en plus jusqu’à finir par ne plus la porter du tout. Ni tenant plus, Marine se laissa glisser le long du mur et finit par se retrouver à quatre pattes, son anus subissant toujours les assauts du tigre. Tout son corps frissonnait à point presque inquiétant jusqu’à ce que les mouvements de langue finissent par provoquer l’impossible, un orgasme. La jeune femme jouit de toutes ces sollicitations. Son corps rendait une première fois les armes. Un flot de cyprine gicla de son sexe pour se répandre sur ses cuisses et le sol. Elle poussa un cri terrible, presque un rugissement alors que les vagues de plaisir se déversaient en elle et la chaviraient complètement. La tête tombante, essoufflée, Marine mit un moment à revenir à la réalité. Son intimité tressaillit à nouveau. Elle avait peut-être jouie mais son corps n’en avait pas eut assez, pas encore. Il en demandait plus.


« … Encore… Encore… hummm… »

Simple murmure dans sa bouche où son souffle était encore court.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Khaléo

Terranide

L'oeuvre, car à ce rythme et avec autant de précautions, d'envie bien contenue et contrôlée du bout de chaque membre, comme un artiste dressant le menu et l'éventail de ses couleurs avant de réellement se mettre au travail, Khaléo prenait grrrrand plaisir à préparer le terrain, comme il se doit, hmrr, comme il faut, Tes seins tendus à l'extrême vers l'avant, toujours bien pressurisés, une formidable tension les parcourant, se voyaient progressivement du bout de leur téton, suinter un liquide qui, n'était bien évidemment pas du lait, provenant des papules, petites lésions gonflant la peau de ses tétons, constituant la plus élémentaire et moins grave des lésions cutannées qui existe, la surface donc de ces derniers étaient rougeoyants, à vif, et suintaient quelques fines gouttes d'eau qui ne sont là en général qu'une réaction du corps à cette chair irritée, gouttes qui glissent lentement le long de tes seins encore malmenés par cette queue féline, serrant parfois bien fort la base de tes seins au point où celà te donnait l'impression qu'ils allaient "enfin" se dégonfler pour t'apporter une certaine délivrance ♥ Mais bien sûr, cela n'arrivera pas, oh non ♥ Il se plait à jouer avec eux du bout de sa queue, les secouant lentement pour qu'ils ballotent en cercles, ballotements facilités par cette nouvelle position qui, te laissa choir à quatre pattes au sol, il s'en délecte, te voir chanceler, ta volonté rongée par sa bouche, grignotée, presqu'aspirée par ses lèvres depuis les formes magnifiques, musclées, drôlement bien faites de ton cul a tel point qu'il en rafole...

« … Encore… Encore… hummm… »

Les flots volcaniques de ta cyprine en fusion ne mentent pas, pas plus que cette voix délivre enfin tes véritables premières envies, La "bête" vicieuse qu'il est en cet instant s'extasie, exulte, de sentir la volonté d'une telle guerrière se briser sous... sous la lèche, le mordillement pervers, bien bestial et salace de sa rosette autrefois plisée et ferme, étroite, rendue plus large, écartée, par les assauts graveleux d' un grand vilain tigre qui le grignottes allégrement désormais, graveleux comme cette langue, cette... foutue... Hmrrr longue ... et épaisse langue... Langue rabelaisienne qui n'a cependant besoin d'aucun mot pour l'être, sa texture parle pour elle, râpant tes parois internes autant que les humidifiant et, les lissant, dépendant de la direction qu'elle entreprend, ses muqueuses ne sont rugueuses et râpeuse que dans un sens, ce qui donne, la texture d'une langue lisse et humide lorsqu'il l'introduit, ou qu'il la fait "avancer", tandis que lorsqu'elle recule, elle montres toute la foutredieu bonne ruguosité dont elle est capable  quand, d'une taille milimètriques voir pratiquement micronienne, ses muqueuses pointues se redressent dans le sens inverse, et uniquement lorsqu'elle recules, ce qu'elle ne manquera pas de faire évidemment tout le long des mouvements de cette angue, et dépendant de son degré d'inclinaison bien entendu.

"-L'appétit vient en mangeant... Et appaRrremment, l'envie de se faire dévorrrer, vient aussi en se laissant déguster, pas vrai ma belle guerrière, ma petite... gaRrrce ? MRRrr... Te voilà bien... prise N'est ce pas ?  Dis le moi, hmmrr, dis moi que tu aimes.. dis moi que tu adorres, dis moi ce que je te fais ♥ et... Surrrtout... à quel point tu aimes çaaah ♥" Ses gros doigts continuent de pétrir tes hanches, tes fesses, comme de la vulgaire pâte patissière qu'il malaxerait aisément de ses foutues grosses mains pleines de vigueur, il sait apparemment très bien ce qu'il fait en préparant ton corps à le "recevoir", il fera honneur à tes envies de "domination", l'ayant supplié d'être ton dominant, et obéissant en cet instant à des règles bien établies par la et sa nature, il te dominera de la façon la plus... "naturelle" qui soit, la plus primaire aussi, mais comme l'adage le laisse entendre, il n'y a que les choses les plus simples qui soient les plus efficace, et tu en fait l'expérience, tu en as la preuve en ce moment même, alors qu'un de ses gros doigt, peut facilement entrer, accompagner sa langue désormais dans ta cavité anale, il a glissé comme si de "rien" n'était, à force d'amadouer tes sphincters, de flirter et embrasser ton anneau comme s'il s'agissait d'un fruit bien mur et juteux, ce doigt est passé dans ta cyprine épaisse, qui cires et lustre tes jambes, pour s'enfoncer dans ton cul qui semble pousser un soupir d'exaltation à son introduction, ce fut si facile de l'y introduire ♥ Si facile, que Khaléo est certain qu'un deuxième peut le rejoindre, malgré leur belle grosse taille.

Il entre, lui aussi, ce deuxième doigt, le majeur, il relèves quelques instants la tête, séparant ses lèvres et sa langue de ton petit trou qui, se referme doucement, pourtour anal qui donne l'impression d'être, déçu de le sentir s'éloigner, il se passe quelques mèches de cheveux derrière les oreilles, pour mieux y voir et dégager sa vision, vision extrêmement belle de ton corps dont il ne rate pas une miette, d'un coté à l'autre donc, il prend le temps de repasser ses mèches derrière ses oreilles toufues, ainsi qu'il lisse ses capoules vers l'arrière de sa tête pour bien dégager complétement son visage, ses doigts reviennent, et c'est pour mieux ravir ton anus de ses gros doigts humides ce coup ci, plongeant le majeur en le pompant doucement à plusieurs reprises, suivi de son index, il lisse le contour de tes lèvres anales, effectuant des demis cercles du poignet, qui, font glisser ses doigts tel une boucle d'un grand huit sur le tour de ta rosette pour l'étendre encore, tester son élasticité, il ronronnes et, laisse s'échapper un grognement de plaisir mêlé a son désir, qui se fait ardent dans sa bure dressée, mais pas encore, non, pas encore il doit bieeen s'assurer que, ça rentrera sans trop causer de dégats, être sûr que ça glisse assez bien pour que tu apprécies, c'est pourquoi il trempes ses doigts dans ta cyprine, et recommences, il t'enfournes de ce fait plusieurs centilitres de ton propre nectar aux odeurs délicieuses pour lui, dans ton fondement, laissant doucement s'y introduire, un troisième doigt, qui fera comme les autres, glisser de son duvet huileux sur le contour sans cesse flatté, lustré, par ses doigts, tant et si bien que même ton petit anneau semble vouloir faire l'éloge de ses doigts en les caressant, les épousant et, moulant de ses "lèvres" de plus en plus suçoteuses, avides de ses traitements manuels.


Ses yeux remontent parfois le long de ta chute de rein jusqu'au centre de tes omoplates, et tes épaules, plissant toujours ce regard d'une prédation frissonnante sur ta crinière enflammée, c'est au tour d'un quatrième de ses putains d'énormes doigts, de pousser son passage dans un cul dont les fesses bien malmenées, pétries et, attendrie par un pilon , ou macarron énorme nommé "mains", a nouveau, un autre soupir d'aise semble être expulsé par le contour de ton trou bien rempli, à cause des petites pressions d'air pompées par ses appendices enfoncés en toi, ce ne sont en rien des flatulences qu'on ne s'y trompe pas, mais l'air s'engoufre parfois dépendant de la position de ses doigts ou de leur avancée, et, comme une ventouse ou un entonoir, il arrive que quelques "pofff" ou "pfff" se fassent entendre.

Par chance cette salle de bain renferme bien des petites choses utiles dans ses armoires, que sa main libre prends le temps de trifouiller pendant que l'autre, fait de même avec ton joli petit cul, de la vaseline... on ne pouvait, sans doute pas rêver mieux, le tenancier équipait réellement toutes ses chambres de cette manière ? Parfait... le pot n'avait jamais été ouvert, son emballage encore intact, il prit d'énormes noix du lubrifiant du bout de ses doigts, et se mit à nouveau à lustrer ta rosette, dont il constata le très lent refermement, signe, que son savoureux travail de sappe depuis dix minute sur tes muscles fessiers commençait à produire leurs effets, car oui ça faisait au moins bien dix minutes qu'il te besognait l'arrière train avec ses gros doigts, chatouillant tes chair internes désormais bien lissées et lubrifiée par une couche huileuse et épaisse de vaseline.

Il prendrait bien le temps d'aller revivifier la chair de tes tétons en les mordillant un peu, mais voilà, lui aussi trouves qu'il à assez... attendu malgré une grande patience et, milles et unes précautions pour te préparer à son "énormité", il te fait savoir qu'il est prêt, en embrassant à nouveau chacune de tes fesses du bout de ses lèvres, remontant ensuite dans ton dos, tu sens... son ombre, s'étendre au dessus de toi, une autre grosse noix de vaseline laissée sur la limite haute, à l'extérieur de ton anus, sera écrasée étendue, répandue le long de ta raie jusqu'au centre de ton dos, il s'étends, s'écrase même presque, contre ton dos, s'y laisse choir un peu, écrasant son gros paquet de chair palpitante entre ses abdominaux et, ta longue et délicieuse chute de reins, son gland titillant l'interstice central de la ligne de ton dos entre tes omoplates, ses grosses bourses duveteuses flattant tes fesses.

Un de ses doigts encore lustré, autant par la vaseline que ta propre cyprine, encore fumant de la chaleur de tes entrailles, viens caresser tes lèvres avant de s'introduire entre celles ci, bon sang, ces... ces foutus gros doigts, bien remplissants, il en introduit deux, et c'est avec ta langue qu'il joue entre ces derniers, il la caresse, la cajole, tout en allant mordiller ton oreille, grappellant ses pointes de chair, de toute la longueur de son chibre contre ton anus, et bon dieu, quelle longueur, mais également, quelle... horreur, une poutre de chair aux allures presque maléfiques, démoniaque, tendue, si tendue et prête, étirée de toute part par ses pointes de chair dressées, tendues, ayant attendu si longtemps en érection qu'ele à finit par prendre des tons bruns rouges et même violets à la surface des veines par trop plein de pression sanguine, il y a tellement de sang là dedans qu'il est difficille d'imaginer qu'il lui en reste dans le cerveau, ha ha, d'ailleurs c'est peut être une des raisons pour lesquelles il est si bestial quand sa "chose" est dressée.


"-Encooorrre ♥ Eeeeencooorrrre ♥ hummrrrr ♥" - il ricane un peu, il vient d'imiter ta voix, et ta réplique de tout à l'heure, reprenant bien vite son monologue sur un ton suave , lubrique - "- Tu vois... Ce n'était pas bien compliqué, finalement... Le voilà.. Le voilà enfin ton vrai visage, ma salée, ma sauvage... Tu aimes ça, n'est ce pas... qu'un beau gros salaud de monstre te dévores...  qu'une bête puissante aux membres énormes te ravisse de la plus vicieuse façon qui soit... Il suffit de te laisser aller, hmmrr ? " Il sait que tu en veux encore, il t'empêches de t'exprimer avec ces gros doigts pompant dans ta bouche, lustrant le contour de tes lèvres, pinçant parfois ta langue, qu'il gratte aussi du bout de ses griffes, la bure se présente, de son monumental gland bien rond, gros comme trois poings "humains" fermés, comme son propre poing en somme tiens, ou de la taille d'une petite pastèque ayant poussé en tout début de saison lorsque la pluie n'est pas encore au rendez vous, quand bien même, il pousse, le bout du gland rentres, glisse, coulisse avec une facilité déconcertante, néanmoins, jusqu'a la partie la plus... "redoutable", ce col de gland épais et tubeleux qui, pourrait bien être la partie la plus large, avec celle, qui se trouve au centre ventru aux allures de "baleine" de son monstre, qui comporte les raisins les plus épais et tendus de son arsenal sexuel, il pousse, il laisse s'échapper un roulement rauque du fond de sa gorge, long, continu, suave au creux de tes oreilles, qu'il happe et lèche, enfonçant ses doigts un peu plus loin dans ta bouche, comme s'il cherchait à faire diversion sur la petite douleur que tu risquerais de ressentir quand...

...Il contracte ses fesses et, pousse bien plus fort, ton anneau s'étends, tes fesses s'écartent, ta "viande", ta chair, tes muscles, se voient poussés sur tes hanches qui, semblent s'élargir, gémir, pousser des grincements cartilagineux sous la pression épouvantable qui s'exerce à l'entrée de ton postérieur, mais soudainement... un -Plop- met rapidement fin à un calvaire qui aurait pu durer longtemps encore, c'est... c'est...

"-C'est passé... Ma belle, belle... magnifique, puissante petite salope ♥ je vais te farcir de long en large et de fond en comble comme tu le mérites ♥ Restes en assurée... C'est passé... et drôlement bien passé... Oh, et... j'ajouterai.. de ne pas te "fâcher" pas si je prononces quelques mots crus... celà fait partie uniquement du "jeu" n'est ce pas... Saches que je garde malgré ces écarts de politesse, et de langage, qui n'ont lieu que parce que je suis terriblement... excité, tout le respect que tu m'inspires depuis que nous nous sommes affrontés... Mais assez parlé veux tu, car... tu veux que je te domines, pas vrai ? Et je... haawrr ♥ je n'en peux plus, a vrai dire, je n'arrive plus non plus à contrôler mon envie, ma politesse, mes mots je... je vais te Bai-ser, te LAaaah-BouRrrer, te Rrrraah - moner te Sssill-onner, te Rrrrâper le corps comme la dernière des putains de lionne en chaleur..."


Et à cette promesse faite à haute voix, il s'enfonce, et s'enfonce hnnnrrr ♥ Tu sens la promesse de ce beau salaud se mettre en route, de par la texture râpeuse de la peau de cette foutue lance, rhaâââ qui te prarait maintenant presque trop épaisse, trop longue, trop, tout simplement trop pour ton corps ♥ mais non, car si elle reste assurément impressionnante, elle est aussi très tendre de sa chair extérieure tandis, que le coeur est, lui bien ferme, ce qui lui permet d'être aussi, en partie "comprimée" par ton anus bien grand ouvert, créant un compromis entre sa taille et l'ouverture maximum de ton arrière train, néanmoins, ça reste d'une proportion épouvantable, et tu sens également, après le bord de ce col graveleux, qui rippe ta chair en progressant dans ton fondement, une... rangée... de ces petites salopes de "langues", d'excroissances de chair en rajoutant encore, encore ?! rhaaa... à son épaisseur, léchant tes parois, léchant et rebondissant sur ton anus avant, de goûter à tes muscles fessiers internes, par à coups, il pousse, chaque pointe de chair entrante donne lieu à un a coup, un rebond, mais tu es plus occupée à te sentir inexorablement écartelée et remplie, à sentir tes hanches massée par tes muscles internes, sentir ton ventre gonfler, tes chairs si tiraillées, que même s'il te pénètres le cul, par remplissage, as presque l'impression de ressentir une partie de ses pointes de chair caresser les zones internes de ton vagin à travers les parois anales.

Il serre les dents sur sa propre langue, halètes, avant qu'il n'ouvre grand la bouche, pour respirer bien à fond et profondément, sa longue langue pendante, quelques gouttes de sa salive y perle et, tombe sur ton dos, pousse entre deux roulements rauque, tel un gémissement:


"-Hmmrhaaanwrr... c'est booon ♥ "

Et ce n'est pas fini, la moitié est seulement entrée, encore... encore... "- Encorrre ♥ un petit... effort... oh je sais... que c'est bon, hmmm ♥ C'est bon n'est ce pas ? " Dit il, en frottant son visage doux, duveteux, sur ta nuque, ton cou, tes joues, pompant encore et toujours ses doigts dans ta bouche, tes lèvres obligées de les suivre, ou les suçotant peut être, les massant sensuellement pour, exprimer tout le bien que tu en penses, les léchant ou mordillant même, si l'envie t'en prends, à la base ils étaient là pour que tu mordes dans quelque chose si ça te faisait trop mal.

Il reste là, collé à ton dos, seule une danse exotique, lentement rythmée, fait tanguer ses hanches, tes hanches aussi sont obligées de suivre d'un léger retard, telle une chaloupe portée par un fleuve nommée verge, plantée si profondément dans ton corps, sa main libre vient caresser tes seins, bien amoureusement, les comprime, pince tes tétons encore une fois, rhâââ, ce salaud prendrait il encore son temps ? Non, car de demi cercles, en demi cercles effectués par ses hanches, le reste de la pénétration se fait par "forage" de son engin dans tes tréfonds, qui s'entrouvrent, gargouillent de milles et un plaisirs, soumis à la caresse de ses pointes de chair disposées en corolles spiraliennes de la base à la pointe qui, lorsqu'il s'en sert comme ça, en tournant les hanches, de façon savante, fait presqu'office de grosse foreuse charnelle, pour y ajouter sa touche "personnelle" et, te rappeller à son bon souvenir, il ronronne, doucement cependant, te donnant un bref mais déjà intense aperçu, de quelques parcimonieuses et, faibles vibrations perdant leur écho dans tes entrailles, mais c'est effrayant, désormais tu en est certaine, il "peut" faire vibrer tout son engin, et il t'a semblé que même ses pointes de chair, étaient capables de vibrer indépendemment les unes des autres comme si elles étaient montées sur ressort, à cet instant tu mesures à quel point ses paroles, ses promesses étaient non seulement on ne peut plus précises, claires, concises et précises, mais qu'elles constituaient l'unique vérité, quand il te fit la promesse de te râper , sillonner et labourer le corps...

Marine

E.S.P.er

Même si elle était perdue dans le flot de la bienheureuse inconscience, Marine entendit bien le terme de « garce ». Elle hésita un moment. Devait-elle le prendre pour de vrai ? Un instant son corps se contracta. Etait-elle ce genre de fille avide de sexe et de luxure ? Elle eut presque envie de se retirer mais son corps appréciait le traitement infligé par le guerrier. Elle comprit alors que le terme usité n’était pas injurieux ou quoique ce soit, c’était seulement le moment, l’instant qui voulait ça. Aussi se laissa-t-elle aller de nouveau. Ses muscles se décontractèrent et le plaisir reprit ses droits. La langue continuait d’aller et venir en elle, râpant délicieusement ses chairs.

La belle guerrière rendait les armes devant celui qui arrivait à maitriser son corps et ses désirs. Ses gémissements reprenaient et elle abandonna la réalité, la réalité de la chambre, la réalité de la guerre, la réalité de toutes les horreurs qu’elle a connu. Elle se laisse juste aller à des pulsions primaires mais qui rendent, en cet instant, sa vie bien plus agréable à vivre. Le désir, l’envie, le plaisir, toutes choses inconnues d’elle et qui pourtant, là, prennent une grande importance. Elle se sent si bien, incroyablement bien, soumise mais pas avilie ou humiliée. Khaléo lui donne juste une certaine forme d’amour, un amour qui lui a toujours tend manqué.

La pratique était certainement très bestiale et primaire mais c’était aussi une manière d’aimer. Une manière de dire à l’autre combien on pouvait l’aimer. La soumission acceptée, voulue, n’est pas forcément une mauvaise chose. Elle délivre de bien des soucis. Là, elle se sentait bien. Dominée mais protégée aussi et c’était si nouveau. Son corps céda encore devant le tigrélion qui s’en donnait à cœur joie et il avait bien raison. Chaque geste qu’il faisait, chaque mot prononcé, même s’ils pouvaient paraitre violents ne l’étaient pas au fond.


« Oui… oui… j’aime… "

Là encore ce n’était qu’un murmure qui finit en gémissement alors qu’un des doigts de son partenaire s’insinuait en elle. Le doigt était imposant, épais, bien plus qu’un doigt humain mais la belle fut surprise de sentir qu’il entrait dans ses fondements sans trop de problème, sans même aucun problème. Il l’avait bien préparé et la cyprine dont le doigt s’était imbibé, rendait plus simple le glissement dans son fessier. Le deuxième doigt eut aussi peu de difficulté à entrer que le premier. Les doigts la travaille de manière à écarter, dilater son anus, le rendre élastique au possible. Marine ne ressent pas vraiment de douleur pour le moment. Les doigts tournent, s’enfoncent mais c’est bon, toujours aussi bon. Le troisième vient à son tour rejoindre ses frères dans l’antre chaude et maintenant au combien humide. Sa rosette semble distendue au maximum à son sens pourtant les mouvements arrivent encore à la faire évoluer, à la faire s’élargir.

La rouquine halète sous ce doigtage puissant et délicat en même temps. Une intense préparation pour la suite. Elle n’était pas stupide, ni naïve, elle se doutait bien de ce qu’il comptait faire et que les doigts n’étaient que les prémices d’une suite bien plus imposante. L’introduction d’un livre au contenu bien plus dense. Elle appréhendait un peu la chose vu la taille et le volume du membre masculin mais pourtant elle ne cherchait en rien à se soustraire ou à arrêter ce qui se passait. Elle se laissait faire et gémissait de plaisir sous les attaques des doigts inquisiteurs. Oui, elle aimait ça, ce qu’elle n’aurait jamais cru ou même imaginer avant. Elle sentit les doigts s’éloigner, le corps se détacher quelques instants. Etait-ce finit ? Non Khaléo revint bien vite et elle sentit quelque chose de froid sur ses doigts, une sorte de pommade ou un équivalent. Peu importait ce que c’était au fond, le but était d’aider à la pénétration. Pénétration qui se fit de nouveau sans soucis. Oui, son anus avait été largement ouvert et ne s’était pas refermé malgré que les doigts se fussent « absentés ». Le travail de massage de ses parois internes dura longtemps. La guerrière n’aurait jamais pu en estimer le temps. Elle était déconnectée de la réalité et de tout ce qui la constituait. Elle se retrouvait soumise à cet homme et aux plaisirs qu’il lui donnait. Le corps puissant vint alors se poser sur le sien alors que les doigts se retiraient de ses chairs. Le moment était donc venu. La verge se tenait, puissante, dans la raie de ses fesses et les doigts vinrent à la rencontre de son visage ; Un doigt, puis deux s’engouffrèrent dans sa bouche. La rouquine en fut un peu surprise, surprise de sentir des doigts au goût particulier dans sa bouche. Néanmoins, la situation étant ce qu’elle était et son plaisir ce qu’il était, elle ne mit guère de temps avant de commencer à lécher ses doigts comme un chaton aurait lapé le lait d’un bol. Elle suça et aspira les doigts, les mordillant quand ils jouaient avec sa langue. C’était bon. Ça ne faisait même que rajouter au plaisir de tout le reste.


« Encooorrre ♥ Eeeeencooorrrre ♥ hummrrrr ♥" - il ricane un peu, il vient d'imiter ta voix, et ta réplique de tout à l'heure, reprenant bien vite son monologue sur un ton suave, lubrique - "- Tu vois... Ce n'était pas bien compliqué, finalement... Le voilà... Le voilà enfin ton vrai visage, ma salée, ma sauvage... Tu aimes ça, n'est ce pas... qu'un beau gros salaud de monstre te dévores...  qu'une bête puissante aux membres énormes te ravisse de la plus vicieuse façon qui soit... Il suffit de te laisser aller, hmmrr ? »


La jeune femme ne peut rien dire, infirmer ou confirmer lui est impossible avec les deux doigts dans sa bouche mais le tigre n’a pas tort. Oui, elle attend la suite avec impatience, envie et crainte ; son estomac fait des « 8 » mais l’excitation est là, toujours présente. Son sexe tressaille et son anus aussi. Il se contracte doucement, semblant faire appel à la verge dont le gland énorme se pose à présent sur lui. Le gland nimbé de cyprine et de vaseline, rentre sans soucis. Marine sent bien la taille imposante de la chose mais voit aussi que ça reste de al taille des trois doigts ou presque. Pour l’instant, tout allait bien te le plaisir était bien là. Ses gémissements étaient bien là mais étouffés par les doigts, ils restaient prisonniers de sa gorge et se muaient en une sorte de ronronnement.

Mais le gland et la verge sont bientôt stopper. La belle sent bien que le membre devient bien plus gros. Elle sent les rebords du col frotter contre son petit trou, montrant sa grosseur. Le tigrélion pousse et pousse encore, forçant pour faire entrer son outil et finit par le faire entrer. La décharge de douleur fut impressionnante et rapide. Marine contracta brusquement tous ses muscles alors que la pénétration se faisait douloureuse. Elle eut l’impression que ses intestins et son anus allaient littéralement exploser. Elle referma ses mâchoires sur les doigts mis dans sa bouche, elle gémit de douleurs, le cri fut à son tour bloqué dans sa gorge ; quelques larmes perlèrent aux coins de ses yeux. La douleur avait été atroce mais le corps humain était bien fait et le cerveau, informé de la douleur, délivra de fortes doses d’endorphine pour neutraliser la souffrance. La douleur dur un moment mais commence à s’estomper doucement. Le plus dur étant passé.


« C'est passé... Ma belle, belle... magnifique, puissante petite salope ♥ je vais te farcir de long en large et de fond en comble comme tu le mérites ♥ Restes en assurée... C'est passé... et drôlement bien passé... Oh, et... j'ajouterai... de ne pas te "fâcher" pas si je prononce quelques mots crus... cela fait partie uniquement du "jeu" n'est ce pas... Saches que je garde malgré ces écarts de politesse, et de langage, qui n'ont lieu que parce que je suis terriblement... excité, tout le respect que tu m'inspires depuis que nous nous sommes affrontés... Mais assez parlé veux tu, car... tu veux que je te domine, pas vrai ? Et je... haawrr ♥ je n'en peux plus, a vrai dire, je n'arrive plus non plus à contrôler mon envie, ma politesse, mes mots je... je vais te Bai-ser, te LAaaah-BouRrrer, te Rrrraah - moner te Sssill-onner, te Rrrrâper le corps comme la dernière des putains de lionne en chaleur... »

Au moins, il l’avait dit. Ses mots n’étaient pas insultants mais contribuaient juste à rendre le moment plus intense, plus animal. Ravalant un « gloups » face à la douleur, elle sentit le membre avancé en elle. Là, elle aurait du avoir encore plus mal mais ce n’était pas le cas. Ça fonctionnait même dans le sens inverse. Plus, il s’enfonçait, plus la douleur s’estompait, gommée par les hormones du plaisir. Lorsqu’il se mit à mordiller son oreille, un frisson intense la parcourut. C’était bon au final même très bon. Ses chairs étaient massées de l’intérieur de façon intense, son vagin était comprimé comme le reste de son sexe et lui donnait aussi de plaisir, preuve en était de la cyprine qui coulait d’elle.

Elle se mit aussi à bouger ses hanches dans des mouvements circulaires afin de faciliter l’entrer du chibre imposant. Elle libéra les doigts prisonniers de ses dents et recommença à les sucer comme pour se faire pardonner de la douleur qu’elle leur avait imposé. Le plaisir montait crescendo comme une symphonie en elle. Il avait qu’il allait la labourer, il n’avait pas mentie. Il ya allait de bon cœur et Marine aimait ça. Le plaisir suintait par tous les pores de sa peau. Son corps luisait, couvert de sueur. Ses gémissements se faisaient plus puissants. Son corps, une première fois rassasié, serait plus patient cette fois et attendrait pour lui donner le plaisir ultime ou plutôt attendrait le bon plaisir du tigrélion, c’est lui qui choisirait le moment où elle pourrait jouir.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Khaléo

Terranide

Quel... ravissement... Quel enthousiasme... Quel corps ! Et quel corps, terrrrriblement sexy elle possédait là, sous cet assaut, défoncée par la largeur incommensurable qui, lui évasait encore un peu mieux les hanches ♥ Hanches pétries de bonheur par sa propre chair bourrée admirablement, qu'est ce qu'elle est belle, belle... oh si belle... Bon sang ♥ L'envoûtant au point de n'avoir qu'une envie, une envie contenue depuis des siècles mais parcimonieusement, lentement, délicatement distillée, en prenant, prenant énormément de temps pour, chaque geste, qui se devait d'être ressenti à son plein potentiel, c'est pourquoi il profitait, oui, il profitait, c'est le cas de le dire, c'est peut être même un peu égoiste, mais c'est également de l'amour, il profitait bien d'elle, il profitait de son corps, de sa beauté sur laquelle ses yeux avaient bien du mal à s'écarter, Marine était comme un bouquet de roses écloses, épanouie sous un soleil printanier, dont la sueur faisait office de délectable rosée suivant, soulignant, chacun des vallons lisses, des sillons courbes formés par la musculature amazonnienne bien présente sous sa peau.

S'il avait été, un peu obligé, malgré ses efforts, et ils furent nombreux et louables pour détendre son corps, s'il avait été obligé d'un peu forcer son entrée, goûtant aux spasmes musculaires de protestation face à sa soudaine entrée, voilà maintenant qu'il se faisait à nouveau le plus doux, des chatons en allant caresser son corps, son torse, sur le dos de sa conquise, épousant de son muscle rebondi au dessus de la naissance de son sexe, la raie supérieure de ses fesses, chatouillant, caressant le contour nacré d'une rosette bien... étouffée ♥

il couvres ton dos, le matelassant de sa musculature, que tu sens tantôt souple, tantôt, se raffermir dépendant de ce qu'il bouge, une jambe, un bras, ou une danse de ses hanches contre les tiennes, Looonguement il reste là, callé au plus profond, ses grosses mains huilées par ta sueur glissent agréablement sur les formes dessinées de son monstre déformant ton ventre, bien sûr, il aura enfin dégagé tes voies respiratoires pour ce faire, mais aussi t'entendre gémir, t'exprimer, protester, ou même, grogner.

Il masse cette zone, ton ventre, encore tendu, en rebellion musculaire contre cette intrusion, hmmrr la diplomatie bien roulée de ses doigts vont mettre un terme à de longs... pourparlers.... détendant, assouplissant ces zones stressées, pour qu'un compromis, soit trouvé.

Et là peut commencer, la loooongue remontée entre tes reins, la peau de ta raie presque toute entière, plie, moule, suit, la lance, le fléau à pointes, dont chaque rangées se mettent à... URgh !! tu l'as deviné hmm, en les sentant se retourner dans le sens de la pénétration, choisie, ramonant, sillonnant tes parois.

Le corps de la bête qui te domines ondules félinement, laissant les rayures de son dos serpenter à la surface de ses muscles, telle la danse hypnotique d'une vipère, il recules, recules, caresse, flatte tes reins, et se présente à nouveau, là haut, à l'entrée de cet orifice devenu carmin, ne ressortant pas le "bout" de l'engin, mais replongeant, ausssssiiiii leeentement que possible, laissant ses doigts "marcher" à la surface de la peau de ton dos, accompagnant la lente procession de tous ses foutus raisins de chair expulsant, suintant un liquide, une toxine, lubrifiante mais aussi, extrêmement excitante, passant par le sang, les parois anales, pour remonter facilement à ton cerveau et couper une partie de la douleur, s'il est encore lieu que tu en ressentes, car ces nombreuses petites langues si elles sont un peu rugueuses, rendent le bout qu'elle touche bien sensible au point ou elles chatouillent presque.

hmmm...

Oh ça vieeent, bien loin et... ça repart, tout aussi lentement et longuement, il n'y a jamais de répit entre un allé, et un retour, accompagné de son lots de déglutitions et, bruitages de liquides étouffés, soufflés, crachés par les contours de tes "lèvres" anales qui chantent des louanges à ce monstre qui te dévores, et, ça repart, dans l'autre sens, il faudra... il faudra bien quelques allées et venues pour t'y habituer, mais ça va, ça vient, hmmm, ça fait, tellement du bien ♥

Il savoures, ton corps comme un cru d'une grande année, du caviar, non, c'est au delà de ça même il n'y a pas de mots, à mettre sur la manière très lente, attentionnée, délicate avec laquelle il t'inities à ce plaisir, bien sûr qu'il pourrait être bestial, sincèrement, lors d'une autre lune, un autre soir, si elle fut sanglante, il aurait très bien pu te déchirer sans prendre la moindre des précautions pour "ça", il le rappelle presque, parfois en, poussant un peu plus fort son chibre dans le fond du fond de ton fondement, lorsque son sexe semble ne plus pouvoir avancer, son muscle pubien s'écrase, et, renfonce une partie de ton anus vers l'intérieur, te laissant imaginer que s'il utilisait sa force à son  plein potentiel, probablement que son muscle pubien entrerait suivi de ses énormes bourses.

Les griffes sortent, un peu, pour malaxer tes fesses qui, rougies, semblent ne plus en pouvoir de se faire caresser, hmmm, il lamines très lentement ton corps, et, l'admire en penchant parfois, le visage à gauche puis lentement à droite en continuant, ses allés retours, ta cyprine viens maculer ses bourses qui, rencontrent parfois ton entrejambe en s'y écrasant mollement, sa queue de tigre s'amusait à continuer son petit jeu d'étranglement et de branle de tes seins, tandis que les doigts de sa main gauche allaient caresser doucement la surface de tes lèvres, les gratouiller du bout de ses griffes très légerement sorties.

"-Dis le... haaah... Dis le maintenant... Dis moi... à quel point tu aimes ça... Je veux... hmmm... te l'entendre dire..."


Des roulements rauques, des soupirs profonds, lents, harmonisés avec la lenteur de ses allées et venues toujours bien lentes et gourmandes de ton corps, accompagnaient ses yeux se fermant, mis clos, ah, ça, pour détendre et faire du bien, ça lui en faisait énormément, il voulait que ça soit pareil pour toi, raison sans doute pour laquelle, il offrait une espèce de massage thailandais de toute la longueur de son corps sur ton dos, quand il remontait, repénétrait loin en toi.

"-C'est bon... C'est doux... Haaaahhwrrr ♥ J'aimes ton petit cul... Regarde à quel point il m'aspires... Il m'engloutit, il soupire d'aise lui aussi... MArrrrine..."

C'est lent, c'est bon, c'est vif malgré cette lenteur, vif parce qu'il te laisse bien le temps d'apprécier chaque petit mouvement de chacune de ses aspérités, il en crêeeeves d'aller plus vite, et plus fort, plus bestialement, mais il veut également que, tu y prennes un maximum de plaisir, et le plaisir lentement, doucement distillé donne lieu à d'énooormes jouissances, il le sait, tout celà... sera progressif, il concentra le flux tendu de ton plaisir dans tes chairs jusqu'a ce que les minutes, et les heures s'écoulent, et que tu hurles, exploses, perdent la raison bien plus tard quand il te ravagera pour de bon ♥

Même la lenteur, la presque délicatesse de cette pénétration fait lieu et office de préliminaire, sa langue parcours ton dos, puis, encore, des baisers frais, frissonnant, aspirent tes perles de sueurs et, te font presque sursauter à chaque fois qu'elles touchent ta peau de braise, si chaude ♥

"-Bats toi... Marine ♥"

Dit il alors qu'il accéllères légèrement le rythme, la peau de ton anus tournant du rose au rouge à force de grappeller ses pointes de chair contre l'entrée, qui, ne s'irrite pas encore mais se gorge de sang, ses hanches, ses bourses, son muscle sexy, rebondi au dessus de sa bure démoniaque, épousent régulièrement celles ci, sans encore y claquer, la vélocité à laquelle il te déguste est loin d'être encore suffisante pour ça, ses doigts continuent de "gratouiller" tes lèvres, emprisonnant parfois ce petit bouton de chair, entre ses gros doigts, qui le branlent allégrement, rapidement, en continuant le savoureux travail de sappe sur ton plaisir ♥


C'est si bon ♥ Même s'il trouve dommage de n'avoir pas su se contrôler, la domination guerrière que tu cherchais passait forcément, dans son esprit influençé par la bête, par une sodomie dans les règles, tu es tellement vertueuse, noble de corps et d'esprit, qu'une idée lui traverse le crâne soudainement, le genre d'idées qui ne germent chez les créatures de la nuit, qu'une fois qu'ils ont trouvé un être exceptionnel, et inconsciemment ses dents de sabre, similaires en quelques points à celle des vampires, sortent... toutes seules... Il les cache d'une main, qui quittera tes lèvres pour, continuer sa délectable besogne, l'envie était grande, et tentante de te mordre, de faire de toi son égal, mais il n'avait pas le droit, pas comme ça, et encore moins dans un endroit pareil, faie de toi sa mordue, son égal, c'était là aussi...

...Là aussi quelque chose, qu'il trouva, égoiste, chaque chose en son temps, arrivait il encore à penser pendant qu'il était en train de te labourer, ses dents finirent par se rétracter, quand il se concentra à nouveau sur le plaisir intense qu'il ressentait d'être foutrement bien acceuilli dans tes chairs moites, ton anus suçait littéralement les contours de son engin, il tirait la langue, une longue langue pendante en continuant, progressivement, à donner de la vitesse à l'acte, à se dresser un peu mieux, sur ses jambes, à redresser ton cul vers les cieux, d'ou un bélier géant élargissait le volcan béant qu'était devenu ton magnifique cul, ton visage rejoignant bientôt le sol, le carrelage froid, lui n'avait qu'une chose à faire ♥ tendre, et détendre ses jambes, fléchir les genoux pour "forer", et, tendre les jambes pour remonter, tes seins venaient d'être enfin laissés en paix par sa queue de tigre.

Qui elle, ira frotter tes lèvres d'une belle envie, sans pour autant les pénétrer avec son appendice félin, non, ça, il le réservait pour son sexe, aussi, plus tard, lorsqu'il en aurait au moins terminé de te faire jouir de cette façon, sa respiration était profonde, ses ronronnements de plus en plus hauts, faisant vibrer, vibrer cette... cette divine queue qui nageait dans tes entrailles, lorsqu'il se mit à ronronner aussi fort, laissant ses pointes de chairs tournoyer et vibrer, pratiquement sur elles mêmes pendant la pénétration des flots, des flots continus de ton nectar furent expulsés entre tes lèvres.

"-Ohh... regardez là ♥ Cette fière guerrière... En train... en train de prendre son pied, depuis son cul possédé par un salaud de monstre batti comme un vulgaire âne, comme un cheval, un minotaure... combien de temps va tu pouvoir tenir à cette cadence, hmmm ♥ Avant d'en jouir... Haan tu te rends compte, au moins ? De jouir de ton cul bien pris, bien ramoné, visité de fond en comble, farcie jusqu'a la gorrrrge, ne t'en fait paaas, laisses toi aller ♥ je... ne le dirai à personne..."


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